Je m’appelle Prudence.
J’ai 18 ans et je suis encore
vierge.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des
jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil
est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu'à
ma raie fessière. Je suis très poilue entre les cuisses et j’ai une superbe
croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre son entrecuisse velue
noire. Ses hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement
renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans
lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont
un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours
dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau
lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes
seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes
épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes
yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils
bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de
belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
Le mystérieux
manoir
Mi juin
Je suis
l’unique fille d’une famille bourgeoise d’une ville moyenne, qui a fait fortune
dans les médias.
Je suis
l’assistante d’une petite agence de détectives privés. Je mène des fois
quelques enquêtes de filatures sur les maris infidèles et les épouses non
satisfaites.
Je rêve de
trouver mon prince charmant.
Ce matin, je
viens juste de me réveiller, vêtue juste de mon kimono court sur mon corps nu,
mes pieds nus chaussés de mules à petits talons, les cheveux libres, je me
prépare mon petit déjeuner.
J’aime me
caresser dans mon lit, lors de mes rêves érotiques. Ma chatte est toute trempée
et mon clitoris encore tendu quand je me réveille.
J’offrirais ma
virginité à l’homme que je désire.
J’écoute mes
messages sur mon répondeur et il y a un mystérieux message :
- Le comte B,
Lady A et la jeune O ont été retrouvés morts de façon mystérieuse dans la
résidence du comte. Le comte venait d’enculer Lady et la jeune O venait de
sucer son mandrin, lors de la mort. Je suis l’amant du comte B et je désire
savoir, mademoiselle, les raisons de cette triple mort. Mon tarif est le votre.
Je regarde
aussitôt la télévision et je découvre la sortie des corps sur des civières.
Je déjeune
rapidement. Je me douche rapidement, en profitant pour caresser mes mamelons et
en doigtant ma chatte, taquinant mon clitoris et je jouis.
Je m’habille
d’un porte-jarretelles auquel je fixe mes bas, un slip et un soutien-gorge
assortis, le tout en satin, sous une veste et une jupe droite, je chausse mes
sandales blanches à hauts talons. Je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Je prends ma
coupé pour rejoindre le quartier résidentiel où a lieu le meurtre.
Un cordon de
police m’empêche d’avancer, mais un de mes contacts me donne quelques notes et
je me rends au sud de la ville, à une luxueuse résidence.
Là, un
majordome africain m’accueille et me conduit au salon.
Là, se
trouvent une soubrette blonde, seins nus, penchée en avant, les mains sur un
tabouret, se faisant enculer par un bel étalon brun, musclé, bronzé, torse nu.
Il m’invite à approcher.
Il me baise la
main.
- Mettez-vous
à l‘aise.
C’est la
première fois que j’assiste à un ébat en direct. Je m’assois, ouvre ma veste,
caresse mes seins devant le spectacle.
- Retirez
votre veste, je veux voir vos seins.
J’obéis. Le
majordome me dégrafe le soutien-gorge et offre la vue de mes seins à l’étalon.
- J’oubliais
de me présenter, miss Prudence, je suis l’amant de feu le comte B. Je suis
bisexuel. Retirez votre jupe et caressez vos seins.
Je me retrouve
en porte-jarretelles, bas et slip, sandales.
Mon slip est
tout trempé. Je n’ose le retirer.
Sans attendre,
le majordome m’aide à enlever mon slip. Il passe les mains derrière les fesses
et je me soulève un peu.
- Ecarte vos
cuisses, pour le majordome s’occupe de votre chatte, penchez-vous un peu.
J’obéis. La
langue du majordome me conduit à un premier orgasme. Mes mamelons sont tendus.
- Levez-vous,
maintenant, que vous êtes prête, la chatte en feu.
Je me retrouve
à la place de la soubrette. Il me penche en avant. Il enfonce son gros mandrin
dans ma chatte vierge et me déflore en douceur. Je ne ressens presque rien.
Une vague de
chaleur m’irradie la chatte. Mes seins se balancent au rythme de ses coups de
mandrin.
- Tu étais
vierge, Prudence.
- Oui.
- Ne dis rien.
Tu vas sucer le majordome.
Mais là, je
suis experte. Je suce tous mes amants.
Le mandrin est
assez gros, mais j’arrive à le prendre en bouche. Je referme et resserre ma
bouche sur son mandrin que j’ai saisi, le long duquel je monte et je descends.
Le majordome gémit et il éjacule après quelques va-et-vient.
Ne prêtant pas
garde, je sens un mystérieux intrus dans mon anus encore serré. C’est l’autre
homme qui tient à m’ouvrir par l’anus.
Je ne peux me
dérober. Il s’enfonce centimètre par centimètre, me saisit par les hanches et
ses testicules claquent contre ma chatte trempée. Une langue me lèche le
clitoris tendu.
Je jouis lors
de ma première sodomie. Le majordome me caresse les seins tout en restant dans
ma bouche.
- Voilà, ton
œillet est un peu dilaté. Avec un peu d’exercices, tu pourras connaître
l’orgasme. Ouvre-toi bien et pousse fort.
L’homme se
retire de mon anus et cède la place au majordome. Je me retrouve à quatre
pattes sur le tapis, déchaussée. Le majordome m’encule profondément. Je dois
m’ouvrir davantage. Je gémis en suçant celui qui m’a défloré.
La seconde
sodomie est plus facile.
Je passe la
matinée à me faire enculer par mes deux amants.
Pantelante,
nue, la bouche remplie de leurs spermes, je suis conduite par la soubrette à la
salle de bains au premier étage. La salle de bains est entièrement recouverte
de glaces de haut en bas.
La soubrette
me conduit vers le bac de douche qui est à côté du lavabo.
– Monte
là-dedans.
Au-dessus du
bac, une chaîne pend. Elle m’attache les poignets et tire jusqu'à ce j’ai les
bras en l'air. Toute nue, dressée comme une danseuse, je dois pisser devant
elle.
Elle prend
ensuite une poche qui ressemble à une bouillotte et d'où sort un tuyau en
plastique souple, terminé par une canule. Elle l'ouvre, y met un peu de savon
liquide, et compléta au lavabo avec de l'eau froide. Puis elle l'accroche au
mur, à côté de moi.
– Ouvre les
jambes.
J’écarte mes
pieds. Elle s'accroupit derrière moi, m’ouvre les fesses de la main gauche, et
elle enfonce la canule dans mon anus et ouvre le petit robinet.
De l’eau
froide inonde mon anus, la soubrette me lèche la chatte pendant mon premier
lavement.
Après un
nouvel orgasme, elle me retire la canule et je m’abandonne. La soubrette
recommence jusqu’à ce que mon anus soit propre.
Elle me douche
longuement le corps, s’attardant sur mes seins, ma chatte, mes fesses, mes
reins et m’embrasse longuement sur la bouche. Je me sens un peu lesbienne.
Cette double
défloration m’a mis dans un tel état d’excitation.
Une fois
propre, je rejoins nue les deux hommes.
- Miss
Prudence, ta perte de ta virginité est ton premier acompte. Sur tu es
coopérative, tes frais augmenteront, en cas contraire, tu seras punie, mais pas
avant d’être allée au manoir. C’est là, que la jeune O et Lady A ont fait leurs
débuts. Rhabille-toi, mais tu me laisses ton slip et ton soutien-gorge en
souvenir. Désormais, plus jamais aucun sous-vêtement, ni culottes ni strings,
ni soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent
toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce
fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien
sur de pantalons. Tu ne porteras que des jupes ou des robes mais à la condition
qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses.
Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour
tes pieds, soit tu seras pieds nus soit tu porteras des chaussures mais dans ce
cas, toujours à talons.
C’est étrange,
le fait d’avoir, sous ma veste que j’ai refermée, les seins libres et nus comme
j’ai nus et libres mes fesses.
Mes seins sont
effleurés par le tissu de ma veste et j’éprouve une nouvelle sensation.
De retour à
l’agence, je prépare le dossier sur les trois victimes et me renseigne sur
elles. La jeune O se trouve être la fille cachée de Lady A et du comte B. La
jeune O s’est rendue à deux reprises à un manoir, dont je ne connais pas
l’endroit exact.
Je suis encore
sous le choc d’avoir perdu mon double pucelage par un étranger.
L’après-midi,
je rentre chez moi et j’y retrouve la soubrette.
Monsieur m’a
suggéré de t’aider dans le tri des vêtements avant de te rendre au manoir. Tu
es très belle. Voici, un guide pour rendre ton anus plus sensible et plus
assoupli. Déshabille-toi.
J’obéis. La
soubrette retire sa tenue et exhibe des jolis seins plantureux avec de petits
anneaux dorés et une chatte et un pubis entièrement lisses. Elle m’invite à lui
caresser les fesses et je découvre tatoué à l’encre noire, les initiales de
Monsieur sur chacun de ses fesses. En écartant ses cuisses, je découvre deux
petits anneaux dorés chacun dans ses grandes lèvres, qui sont reliés par un
cadenas.
- Il m’a fait
intégralement épilée, tatouée et me fait porter ces anneaux pour que je sois
seulement enculée. Tu le seras peut-être un jour. Les amis de Monsieur
recherchent des jeunes filles bien éduquées.
Quand je me
baisse pour ouvrir un tiroir, je vois mes ses seins bouger doucement. Je met
près de deux heures à disposer sur mon lit les vêtements qu'il me faut ensuite
ranger dans la valise. La soubrette range tous mes slips, mes culottes et mes
justaucorps. Pour mes soutiens-gorge aussi, pas un qui reste : tous se croisent
dans le dos, et se fixent sur le côté.
La soubrette
range aussi mes porte-jarretelles et ne me laisse que ma guêpière dont elle va
l’exécuter en seins nus. La soubrette range mes chandails, mes chemisiers et
mes corsages qui ne peuvent être remontés ou ouverts facilement. Les boutons et
les pressions me sont interdits. Ils doivent s’ouvrir facilement. Elle range
aussi mes jupons. Elle me dit que je porterais des robes sans boutons
s’arrêtant à mi-cuisses.
Une fois la
valise prête, la soubrette la referme.
Je me mets à
quatre pattes sur mon lit et la soubrette me prépare l’anus, tout en caressant
d’une main mon clitoris et je découvre l’orgasme anal. Elle m’enfonce d’abord
l’index puis l’index et le majeur pour m’assouplir.
Puis elle me
fait accroupir et j’enfonce mon index et mon majeur dans mon anus, tandis
qu’elle me caresse la chatte. Je jouis.
Pendant deux
jours, la soubrette me rend fréquemment visite pour voir les progrès.
Le second
soir, Monsieur vient me chercher à bord d’une limousine. Je suis vêtue de ma
veste sur mes seins nus, d’une jupe qui se retrousse d’un seul geste et de
mules à hauts talons de dix centimètres. Je n’ai plus que ces chaussures dans
ma garde-robe, abandonnant mes escarpins et mes sandales qui ont des talons
plus bas.
La soubrette
m’a épilé le pourtour de l’anus et l’intérieur de mes fesses.
La limousine
part doucement, sans que l'homme ait dit un mot au chauffeur. Mais il ferme, à
droite et à gauche, les volets à glissière sur les vitres et à l'arrière.
Mais il dit :
- Il ne faut
pas t'asseoir sur ta jupe, il faut la relever et t'asseoir directement sur la
banquette.
La banquette
est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux
cuisses. J’ai les fesses et le ventre nus et libres, de la taille aux genoux.
Il glisse sa main sous ma jupe et caresse mes jambes nues et libres jusqu’à
atteindre ma toison pubienne.
- Ecarte les
cuisses, ne croise pas les jambes ni ne serre les genoux.
Il me retire
ma veste et caresse mes seins libres et nus offerts.
Il me lie les
mains dans le dos avec un foulard, me bande les yeux.
Au bout d'une
demi-heure de route, on m'aide à sortir de voiture, on me fait monter quelques
marches, nue, sans ma jupe, puis franchir une ou deux portes toujours à
l'aveugle, je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout dans une pièce
noire.
Puis, quand
enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, il y a un épais tapis par
terre, des placards et des glaces de haut en bas.
Deux femmes
ont ouvert la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues de longues jupes
légères et bouffantes, largement ouvertes devant, dévoilant leurs pubis et
leurs chattes lisses, des anneaux sont posées aux grandes lèvres, des corselets
serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant, et
leurs seins nus portent aussi de petits anneaux et des manches à demi longues.
Les yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou,
des bracelets serrés autour des poignets.
Un homme
encagoulé les accompagne. Je découvre un blouson en cuir, entrouvert sur son
torse nu musclé et bronzé, et un short largement fendu laissant libre son
mandrin en érection, avec un étireur de testicules et un anneau pénien. Il
porte un long fouet de cuir souple passé à la ceinture, puis que l'homme est
masqué par une cagoule noire, dont le réseau de tulle dissimule même les yeux,
et, enfin, qu'il a des gants de fin chevreau.
L’homme
s’approche, caresse mes seins et glisse sa main entre mes cuisses. Je suis
toute trempée d’excitation.
L’homme me
libère les mains toujours liées derrière le dos.
- On va te
baigner et te farder, ma belle.
Je ne baigne
pas seule, les mains féminines savonnent tout mon corps et me rincent avec le
pommeau de la douche. Elles me lavent les cheveux, me les rincent et me
sèchent, assise dans un grand fauteuil qui bascule, et que l'on redresse.
Je reste
assise sur ce fauteuil, nue
- Ne croise
pas les genoux ni ne les rapproche, ma belle, me dit l’homme, voyeur.
En face de moi
une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette,
je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Mes paupières
sont légèrement ombrées, la bouche très rouge, le mamelon et l'aréole des seins
rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur
la fourrure du pubis et sur mes aisselles lisses, dans le sillon entre les
cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
J’entre dans
une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent
de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre.
Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis par
terre.
Après le
départ des femmes, l’homme m’invite :
- Mets-toi à
quatre pattes sur le pouf. Je vais t’essayer avant que tu sois présentée ce
soir.
J’obéis.
L’homme s’agenouille derrière moi, m’enduit de ma mouille l’anus et enfonce son
mandrin bien raide dans mon anus, centimètre par centimètre. Je tends mes bras,
pour offrir mes fesses bien rebondies.
- Ton cul est
encore serré. Mais, tu sembles aimer, ma belle.
Il me saisit à
la taille, me fait coulisser sur son mandrin, m’agrippe de plus en plus
fortement les hanches. Je jouis.
Ses testicules
bien lourds, étirés et gonflés, sont projetés en cadence contre mes fesses. Il
me donne quelques claques magistrales sur les fesses, me chauffant l’anus.
Totalement
soumise, je ne peux me dérober et je m’empale sur lui.
Il se retire
et se vide dans ma bouche. Il me lubrifie à nouveau l’anus.
Les femmes
reviennent avec un collier et des bracelets à mes mesures. Voici comment ils
sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au
total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne
automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec
une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le
milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau
de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il
est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de
jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On
fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets, puis l'homme
me dit de me lever. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur
la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui
le porte.
Je prends le
dîner seule, agenouillée, cuisses écartées, mangeant avec les doigts.
A la fin du
dîner, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, elles fixent
ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, je porte mes
mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais
empêche seule d'échapper au pied. Une femme avance devant elle et ouvre les
portes, l'autre la suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux
salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café.
Ils portent les mêmes blousons que le premier, mais aucun masque.
Ils ont tous
leurs mandrins maintenus en érection par un anneau pénien à la base des
testicules en rendant leurs testicules bien volumineux et super excités.
Ils ont aussi
un extenseur de mandrin rallongeant instantanément de quatre centimètres de
longueur à leur mandrin et il compresse leur mandrin en améliorant
immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple. Leur
mandrin est durci, élargi d’un centimètre et l’extenseur comporte des nodules
et des picots souples. La gaine dispose à sa base d’une séries de striures qui
permettent de bien arrimer la gaine creuse à la base du mandrin. La gaine
comporte dans son extrémité creuse un réservoir pour recueillir le sperme lors
de l’éjaculation.
Cependant, je
suis aveuglée par une lampe-phare qui m'aveugle. On me bande les yeux, j’avance
et je trébuche. Deux mains descendent le long de mes fesses après avoir vérifié
l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et l'une me pénètre de
deux parts à la fois, si brusquement que je crie.
Une main me
prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre. Mais, soudain je perds
l'équilibre et bascule à la renverse, soutenue dans des bras, pendant
qu'on m’ouvre les jambes et qu'on m’écarte doucement les lèvres ; des cheveux
effleurent l'intérieur de mes cuisses.
«
Agenouille-toi ! – Ouvre tes jambes ! » je mets à genoux, en les éloignant l'un
de l'autre, et on me défend de les rapprocher. Deux poignes pèsent sur mes
épaules comme pour l'empêcher de me relever.
« Vous ne
l'avez jamais attachée ?
– Non...
– Ou suspendue
?
– Non, jamais.
– Ni fouettée
?
– Non plus,
mais... » C'est l’homme qui m’a emmenée qui répond
L'autre voix,
un peu maniérée, le coupe : « Si vous l'attachez quelquefois, si vous le
fouettez un peu, et qu'il commence à y prendre goût, ça ne vaut pas. Ce qu'il
faut, c'est dépasser le moment où il prend du plaisir, pour obtenir des larmes.
»
Je fléchis un
peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Puis je me
retrouve le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les
fesses plus haut que le torse, et l'un des hommes, me maintenant des deux mains
aux hanches, m’encule.
Il cède la
place à un second.
Le troisième
l'a très grosse et, en me forçant brusquement, me fait hurler malgré le
lubrifiant.
Je suce les
mandrins que l’on me présente, en aveugle.
On me laissa
enfin, captive à la renverse.
Un des hommes
me glisse un coussin sous les fesses, m’ouvre complètement les cuisses, me
saisit aux chevilles et il m’encule en douceur. Je gémis, mais une main me
caresse le clitoris et je jouis. Il m’encule un long moment.
Quand je recouvre
la vue, je suis suspendue dans le vide, au milieu de la pièce, cuisses
complètement ouvertes, des bracelets en fer emprisonnent mes chevilles et des
chaînes sont fixées aux bracelets de mes poignets, les bras tendus en l’air. Je
me retrouve exposée, ouverte, offerte, ainsi écartelée face au cercle des
hommes aux yeux braqués sur mon intimité secrète. Quatre grands miroirs
m’entourent, me dévoilant davantage.
Un des hommes
m’enfoncent un spéculum dans l’anus pour voir ma dilatation.
On me montre
la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir,; le fouet de
cuir que le premier des hommes qu'elle ait vu avait à la ceinture est long,
fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a un troisième fouet de
cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont toutes
raides, comme si on lès avait trempées dans l'eau, car on m’en caresse le
ventre et je sens dans l’intérieur de mes cuisses combien les cordes sont
humides et froides.
Qu'on ne me
fouette en principe que les fesses et les cuisses, bref, de la taille aux
genoux, comme on m'y a préparée dans la voiture qui m'a amenée, quand on l'a
fait asseoir nue sur la banquette.
Je les supplie
qu'on me détache qu'on arrête un instant, un seul.
Le fouet de
cuir me marque beaucoup moins (ce qu'on obtient presque avec la corde mouillée
de la garcette, et au premier coup avec la cravache) et donc permet de faire
durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt qu'on en a fantaisie.
L’homme demande que l'on n'emploie plus que celui-là.
Un des hommes
m’enculent à nouveau. Il m’écarte les fesses brûlantes et m’encule jusqu’aux
testicules. Je gémis.
- Il faudrait
rendre l’œillet plus commode.
- Ce sera
faisable et on prendra les moyens. Son œillet n’est pas encore assez assoupli.
Les trois
hommes m’enculent ensuite, pour confirmer les dires du premier. Je gémis,
bâillonnée par un des mandrins.
Quand on me
détache, je suis chancelante et presque évanouie, pour me donner, avant de me
faire conduire dans la cellule que je dois occuper, le détail des règles que je
dois observer dans le manoir pendant mon séjour et dans la vie ordinaire après
mon départ, on me fit asseoir dans un grand fauteuil près du feu, et on sonne.
Je me retrouve empalée sur un gode anal réaliste de calibre moyen.
Les deux
jeunes femmes qui m’ont accueillie apportent de quoi m'habiller pendant mon
séjour et de quoi me faire reconnaître auprès de ceux qui ont été les hôtes du
château avant que je ne vienne ou qui le seront quand j‘en serais partie. Je
porte un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et une robe
à large jupe s’arrêtant au milieu des cuisses dont le corsage laisse les seins,
remontés, par le corset, nus et libres. Quand je suis habillée, et un des
quatre hommes me saisit, me prenant à la taille d'une main et relevant mes
jupes de l'autre, pour faire tenir avec une simple ceinture cette jupe relevée
autant qu'on veut, ce qui laisse la disposition pratique de ce qu'on découvre
ainsi.
D'ailleurs, on
fait souvent circuler dans le manoir ou dans le parc les femmes troussées de
cette manière, ou par-devant, également jusqu'à la taille. Je remonte ma jupe à
plusieurs tours, dans une ceinture serrée, juste au milieu devant, pour,
laisser libre le ventre, ou juste au milieu du dos pour libérer les fesses.
Dans l'un et l'autre cas, la jupe retombe en gros plis diagonaux mêlés en
cascade.
L’homme me
fait me pencher en avant, les mains au sol. Il m’encule jusqu’aux testicules.
Je gémis.
Puis il me
fait asseoir entre ses cuisses, empalée, enculée, pour que j’écoute le
discours.
« Tu es ici au
service de tes maîtres. Le jour durant, tu feras les corvées et tu
t’abandonneras au premier mot ou signe, pour te prêter. Tes mains, tes seins,
ton oeillet, ta chatte nous sont libres d’accès à notre gré, sans que tu te
dérobes, tes lèvres ne seront jamais tout à fait fermées, tes jambes seront
toujours écartées, tu ne pourras plus croiser les jambes ni serrer les genoux,
pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet qui nous sont
ouverts. Devant nous, tu ne toucheras jamais à tes seins : ils sont exhaussés
par le corset pour nous appartenir. Le jour durant, tu seras donc habillée, tu
relèves ta jupe si on t’en donne l'ordre, et on te baisera on t’enculera, à
visage découvert - et comme il voudra - à la réserve toutefois du fouet. Le
fouet ne te sera appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre
celui qui te sera donné par qui le désirera, tu seras punie du fouet le soir
pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de
complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prends : ton regard
doit constamment se fixer sur nos sexes à découvert pour que tu nous suces.
Dans la journée, tu observes la même consigne, et tu ouvres ta jupe et la referme
quand nous aurons fini avec toi. En outre, à la nuit, tu nous suceras, et tes
cuisses seront écartées, car tu auras les mains liées au dos, et tu seras nue
comme on t’a amenée tout à l'heure ; on ne te bandes les yeux que pour te
maltraiter, et maintenant que tu as vu comment on te fouette, pour te fouetter.
Tu seras fouettée chaque jour, pour ton instruction. La nuit, des valets te
fouetteront si l’un de nous ne veut pas te fouetter. Il s'agit en effet, par ce moyen, comme par celui de la
chaîne qui, fixée à l'anneau de ton collier, te maintient plus ou moins
étroitement à ton lit plusieurs heures
par jour, pour montrer que tu es contrainte, entièrement dévouée à quelque
chose qui est en dehors de toi. Quand tu sortiras d'ici, tu porteras un anneau
de fer à l'annulaire, qui te fera reconnaître : tu auras appris à ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce
même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous ta jupe, si
correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te
trouvent indocile te ramèneront ici. On va te conduire dans ta cellule. Mais
avant, mets-toi à quatre pattes et relève ta jupe»
J’obéis,
devant les deux femmes et les quatre hommes.
En un instant
un superbe berger allemand amené par un des valets, se positionne sur mon dos
et, une main le dirige vers mon anus palpitant, à peine sa verge touche
l'entrée de mon anus qu'il se projette à l'intérieur de mon anus de toute sa
longueur, m'arrachant un hurlement de douleur, le berger allemand m’encule avec
force, sourd à mes cris de douleur, il me viole pendant deux minutes et d'un
coup se fige pour me remplir de ses jets de foutre, je le sens se vider à
l'intérieur et c’est pour moi une extase totale, et deux doigts sur ma fente me
font partir aussitôt.
Mon anus me
brûle tellement le chien m'a défoncé avec toute sa fougue, mais j’aime ça. Le
berger allemand me lèche l’anus avant que je le suce à mon tour.
Profitant de
ma béance anale et du sperme canin, je sens un gode réaliste anal de calibre
moyen s’enfoncer dans mon anus, avec à sa base, attaché, à trois petits trous
percés dans la base – qui s'élargit à cet endroit pour qu'on soit certain qu'il
ne remonte pas à l'intérieur du corps –, trois chaînettes qu'il laisse
pendantes. Je sens que le gode imite un sexe en érection, avec une extrémité
renflée.
Je me relève,
relève entièrement ma jupe, dévoilant mon ventre, mon pubis velu brun , mes
genoux polis. L’homme attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il
l' y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des
fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en
contournant le triangle pubien.
- Ajustez-les
au plus court, ainsi elle ne pourra repousser le sexe et son œillet va être
forcé et distendu.
Puis l’homme
attache les chaînettes avec de petits cadenas
- Ainsi, quand
tu seras seule, tu ne sois pas tentée de te soulager de cette contrainte.
Je marche, le
sexe bouge en moi.
Les mules
claquent sur le carrelage des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes
et propres, avec des serrures minuscules.
- Tu es dans
l'aile rouge, et votre valet s'appelle Emmanuel.
- Quel valet ?
dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle
Amandine.
- Et moi
Justine », dit la seconde.
- C'est le
valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es
punie et quand on n'aura pas de temps pour toi.
- J'ai été
dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justine, Emmanuel y était déjà. Il
vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font
partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous. Ils t’ont mis un
gode que tu vas porter, huit jours durant, entre son lever et le repas de midi,
puis entre la tombée du jour où tu finis ton service dans la bibliothèque et
l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on t'y ramène, enchaînée, nue.
Tu en porteras un plus épais chaque jour. Tu le porteras nue, parfumée, au
repas du soir. Emmanuel ne te l’enlève pour que pour t’enchaîner, soit les
mains au dos s'il doit te conduire à la bibliothèque, soit au mur pour la nuit
si personne ne te réclame. Rares sont les nuits, où tu seras enculée à maintes
reprises. J’y suis passée.
Au détour du
couloir, on me fait s'arrêter devant une porte que rien ne distingue des autres
: sur une banquette entre cette porte et la porte suivante j’aperçois un bel
étalon bronzé, vêtu d’un gilet en cuir, avec un étireur de testicules et un
anneau pénien, son gilet de cuir cache de petits seins, c’est un transsexuel. Il
porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de
gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les trois femmes, disant :
- Je referme,
vous sonnerez quand vous aurez fini. Relève ta jupe, ma belle.
Il découvre la
ceinture et les chaînettes.
- Tu portes le
gode d’assouplissement. Je te le retires tout à l’heure et je ferais usage de
toi.
La cellule est
toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le
couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule
proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur
une salle de bains.
En face des
portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la
fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de
fourrures. Il n'y a pas d'autres meubles, il a de grandes glaces sur les murs,
du haut en bas de la paroi, que n'interrompent aucune tablette et au plafond.
Il y a un tapis au sol. Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d'une
étoffe à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme
le matelas, est en même tissu, la couverture à double face aussi. Le seul objet
qui est au mur, deux mètres au-dessus de la tête du lit, est un gros anneau
d'acier brillant, où passe une longue chaîne d'acier qui pend droit sur le lit
; ses anneaux entassés forment une petite pile, l'autre extrémité s'accroche à
portée de la main à un crochet cadenassé, tirée et prise dans une embrasse.
Il y a un
autre crochet suspendu face à la fenêtre, à la même hauteur.
- Nous devons
te faire prendre ton bain, dit Justine. Je vais défaire ta robe.
Dans la salle
de bains se trouvent le siège à la turque, dans l'angle le plus proche de la
porte, et le fait que les parois sont entièrement revêtues de glace. Il y a un
bidet et une douche.
Une fois nue,
Amandine et Justine rangent ma robe dans le placard près du lavabo, où sont
déjà rangées mes mules, et demeurent avec moi, je m’accroupis sur le socle de
porcelaine, je me trouve au milieu de tant de reflets.
- Attendez que
ce soit Emmanuel, dit Justine, et tu verras.
- Pourquoi
Emmanuel ?
- Quand il
viendra t’enchaîner, il te fera peut-être accroupir.
Puis elles me
conduisent sous la douche. Pendant que Justine me frotte précautionneusement le
dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet,
Amandine me savonne les seins et la chatte, me passe la main entre les jambes,
décalotte délicatement mon clitoris. Je jouis sous leurs caresses. Amandine va
jusqu’à enfoncer deux doigts dans ma chatte resserrée par le gode et Justine me
masse les seins aux mamelons durcis par les caresses.
Je me sens
pâlir. « Mais pourquoi ? dis-je.
- Tu seras
bien obligée, réplique Justine, mais tu as de la chance.
- Pourquoi de
la chance ?
- C'est ton
amant qui t’a amenée ?
- Oui, dis-je.
- On sera
beaucoup plus dur avec toi. Tu comprendras très vite. Je sonne Emmanuel. Nous
viendrons te chercher demain matin. »
Amandine
sourit en partant, et Justine, avant de me suivre, caresse, à la pointe des
seins, je reste debout au pied du lit, interdite.
A la réserve
du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis
baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
« Alors la
belle dame », dit le valet en entrant. Et il me saisit les deux mains. Il fait
glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint
étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me
trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Je vais te
retirer le gode et tu vas t’installer sur le bidet.
En retirant le
gode, mon anus est béant et humide. J’obéis et je rejoins le bidet. Là, je me
retrouve assise, courbée en avant. Je sens un doigt chargé de savon me pénétrer
et me laver soigneusement l’anus, et je frissonne profondément. Il m’enfonce
ensuite une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle
il m'asperge d'eau tiède. Je comprends que, tel un ustensile qui vient d'être
utilisé, on me nettoie parfaitement partout où l'on s'est servi de moi, afin
qu'on puisse recommencer dès qu'on en aura le caprice.
Profitant de
mes cuisses écartées, il me caresse le clitoris et je mets à jouir.
Une fois
propre, il me conduit devant la fenêtre et m’enchaîne debout, nue et les bras
en l'air.
Je suis sur la
pointe des pieds, j’écarte mes jambes. Il se met derrière moi, m’ouvre les
fesses de la main gauche, et il présente son gland et il m’encule dans de longs
va-et-vient, tandis que puis de toute sa force il abat sa cravache sur le
devant des cuisses.
Puis il se
retire, se met face à moi, il me soulève les cuisses, me fait empaler, enculer.
Il me fixe une barre d’écartement à mes chevilles, me laissant les cuisses
écartées en permanence. Empalée jusqu’aux testicules, j’entends un sifflement
et je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Emmanuel me
cravachait à toute volée. Il n'attends pas que je me taise, et recommence
quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas
que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Mes larmes coulent
dans sa bouche ouverte.
- Tu es
coopérative, ma belle.
Je sens son
sperme inonder mon anus béant.
Il se retire,
tout en me laissant la barre d’écartement et me remet le gode en place.
Je vois des
lumières rouges sur une télécommande qu’il tient en main devant moi.
Le gode se
révèle être un vibromasseur qui se gonfle. J’en fait l’expérience.
Je sens
d’abord le gland qui monte et descende à l’intérieur de mon anus ; puis les
mouvements de va-et-vient s’accélèrent dans mon anus, et enfin, le gland va
encore plus vite de haut en bas dans mon anus, combiné à des vibrations par
à-coups et à intensité progressive. Je sens aussi le vibromasseur se gonfler.
- Ainsi, ton
œillet va se dilater et gagner progressivement du volume.
La séance dure
une demi-heure et je suis pantelante, ayant connu un orgasme anal sans me
masturber.
Pendant la
nuit, jusqu’à l’aube, je subis les assauts vibratoires du gland et du gonflage
et dégonflage, par les actions des valets qui me viennent me faire jouir.
Je gagne un
centimètre d’ouverture anale en quelques heures.
Mon pubis est
entièrement couvert du sperme des valets, qui m’honorent la chatte.
Je regarde
naître une lente aurore pâle, dehors.
Devant la
fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand
jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de
l'allée, poussant une brouette.
Il s’approche
pour balayer devant la fenêtre, la fenêtre est si grande et la pièce si petite
et si claire qu'il me voit enchaînée debout, nue et enchaînée les bras en
l'air, avec les marques de la cravache sur les cuisses. Les balafres ont gonflé
et forment des renflements étroits, plus foncés.
Il se masturbe
devant moi, je regarde son mandrin en érection, tandis les va-et-vient du gland
vibromasseur se font de plus en plus rapides, tout en gonflant pour me dilater,
je suis entre douleur et plaisir. Ma mouille dégouline de ma chatte trempée
d’excitation.
Puis le
jardinier repart, les vibrations diminuent progressivement et que le
vibromasseur reste gonflé.
Aucune femme
n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des
bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui,
chacune dans leur genre, ouvrant toutes les portes, ou tous les cadenas, ou
tous les colliers.
Les valets les
ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment,
et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre
dans ma cellule, est vêtu d’un blouson de cuir, les jambes nues et de bottes.
Il me libère
du vibromasseur et découvre mon anus béant et bien humide, il me passe la main
entre les cuisses.
- Tu es toute
trempée, ma belle.
Puis il me
caresse les fesses, me libère du crochet qui tend mes bras en l’air et joint
mes mains à mon cou, me fait pivoter et m’allonge sur le ventre, sur le lit. Je
garde la barre d’écartement.
Il
s’agenouille derrière mes fesses, m’encule, je sens ses testicules bien
volumineux et super excités claqués contre mes fesses à chaque va-et-vient. Je
jouis faiblement. Il ne se retire que pour éjaculer sur mes fesses.
Enfin, il me
retire la barre d’écartement et me libère les mains.
Amandine et
Justine sont entrées avec lui, et elles attendent debout de chaque côté du lit.
Sur quoi il s'en va.
Justine tire
vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du
café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mangez vite,
dit Amandine, il est neuf heures, tu pourras ensuite dormir jusqu'à midi, et
quand tu entendras sonner il sera temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu
prends un bain et tu te coiffes, je viendrai te farder et te lacer ton corset.
- Tu n’es de
service que dans l'après-midi, dit Justine, pour la bibliothèque servir le
café, les liqueurs.
- Mais vous ?
dis-je
- Ah ! nous
sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton
séjour, ensuite tu es seule et tu n'auras affaire qu'aux hommes. Nous ne
pourrons pas te parler, et toi non plus à
nous. Chaque jour davantage, car l’homme qui va te faire prosterner,
pour veiller à ce que l’une de nous fixe le gode qu'il a choisie, le prend plus épais.
- Restez,
dis-je, restez encore, et dites-moi...
mais elle
n'eut pas le temps d'achever, la porte s'ouvre : c'est l’homme qui m’a emmenée,
et il n'est pas seul.
Tous les deux
sont nus avec des anneaux péniens et des étireurs de testicules.
Je me lève,
l’homme appuie doucement la paume fraîche de ses mains, puis ses lèvres tout le
long des balafres. Puis il m’entraîne au pied du lit, il fit remarquer à son compagnon qu'il a eu raison, et le
remercie
- Prends-la en
premier. Ecarte tes jambes.
J’obéis. Il me
soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main
droite me caresse un sein, et l'autre me tient l'épaule. L'inconnu s'était
assis sur le rebord du lit, il a saisi et lentement ouvert, en tirant sur les
poils pubiens, la chatte. René me pousse en avant, pour que je sois mieux à
portée, et son bras droit glisse autour de ma taille, ce qui lui donne plus de
prise.
L’inconnu me
lèche le clitoris jusqu’à le durcir.
Je jouis et je
perds pied, je me retrouve étendue sur le dos, la bouche de René sur ma bouche
; mes deux mains me plaquent les épaules sur le lit, cependant que deux autres
mains sous mes jarrets m’ouvrent et me relèvent les jambes. Mes mains sont sous
mes fesses (car au moment où René m'a poussé vers l'inconnu, il m’a lié les
poignets en joignant les anneaux des bracelets), mes mains sont effleurées par
le mandrin de l'homme qui se caresse au sillon de mes fesses, s’enfonçant dans
mon anus. Mes jambes sont à angle droit, rendant la sodomie plus aisée. L'homme
se retire après avoir éjaculé dans mon anus.
René me défait
les mains, me met à quatre pattes sur le lit, m’encule à son tour, tandis que
je suce l’inconnu et le nettoie. René m’inonde l’anus.
L'homme
repart, René reste enculée en moi.
Il m’embrasse,
me dit :
- Je t'aime.
Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire
fouetter jusqu'au sang.
Le soleil
inonde la chambre.
-
Prosterne-toi, pour recevoir ton nouveau gode.
J’obéis.
Justine m’enfonce le gode plus épais d’un centimètre. L’homme me cadenasse les
chaînettes. Mon anus s’ouvre de trois à quatre centimètres sans gonflage
jusqu’à cinq avec le gonflage.
Puis René
s’installe sur le lit et me parle. Il me dit, tout en me tenant par le collier,
deux doigts glissés entre le cuir et le cou, qu'il entend
- Que je sois
désormais mise en commun entre lui et ceux dont il déciderait, et ceux qu'il ne
connaîtrait pas qui sont affiliés à la société du manoir, comme je l’ai été la
veille au soir. Que c'est de lui, et de lui seul que je dépends, même si je
reçois des ordres d'autres que lui, qu'il soit présent ou absent, car il
participe par principe à n'importe quoi qu'on peut exiger de moi ou m’infliger,
et que c'est lui qui me possède et jouit de moi à travers ceux aux mains de qui
elle était remise, du seul fait qu'il la leur a remise, je leur ai soumise et
les accueillir avec le même respect avec lequel je l’accueille. C'est parce
qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera
impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui
maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne peux pas ne pas
te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour
l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouvent, mais pour que tu prenne
conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois, tant que
tu es dans ce manoir, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le
dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Lève-toi. Tu
n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou
caresser.
Je me lève,
les va-et-vient du vibromasseur reprennent et il se gonfle. René remarque mes
mouvements de mon bassin. Je me baigne, l'eau tiède me fait frémir quand mes
cuisses meurtries y plongent, et je m’éponge sans frotter, pour ne pas
réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant
la glace. Je suis tentée de me caresser le clitoris pour jouir davantage. Je me
farde ma bouche, non mes yeux, me poudra et toujours nue, mais les yeux baissés
et la bouche entrouverte, je reviens dans la cellule.
René regarde
Justine, qui est entrée, et se tient debout au chevet du lit, elle aussi les
yeux baissés, muette elle aussi. Il dit de m'habiller.
Justine prend
le corset, et ayant agrafé mon corset sur le devant, commence à serrer le lacet
par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des
goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent,
s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur mamelon. En
même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer
profondément les fesses.
- Pas besoin
de la robe, elle doit laisser visible la ceinture et les chaînettes. Elle ne
chausse que ses mules. Ainsi, on verra ses marques sur ses fesses et sur ses
cuisses.
Les vibrations
augmentent progressivement. Les mouvements de mon bassin sont plus violents et
je jouis.
Nous sommes
toutes les deux debout l'une près de l'autre. Justine me caresse les seins et
René plonge ses doigts dans ma chatte trempée, devant une des glaces.
Justine relève
sa robe et René guide mes doigts dans sa chatte, nous jouissons presque
simultanément.
René me prend
dans ses bras et me fait sucer mes doigts trempés par la mouille de Justine.
« Je t'aime,
je lui dis à son oreille, je l'aime », si bas qu'il entendait à peine. « Je
t'aime. » II ne part que lorsqu'il me voit douce et les yeux clairs, heureuse.
Justine me
prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau
sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les
portes, un valet. Il était vêtu comme Emmanuel, mais il est grand, sec.
Il me dégonfle
le gode, me le retire, me fait me pencher en avant, les mains sur le mur et
m’encule avec son gros mandrin. Je jouis. Il éjacule sur mes fesses.
Il nous précède,
et nous fit entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui
se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent, deux dobermans
à leurs pieds.
- A quatre
pattes, mesdemoiselles.
Nous
obéissons. Justine relève sa robe et le valet me retire le gode.
Sans attendre,
le premier doberman me monte, m’encule, il n'a qu'ouvert la voie vers son
propre plaisir, l'animal prend place entre mes magnifiques fesses et m’encule,
et fait très rapidement passer son nœud à travers mon anus étroit. Je gémis,
rapidement bâillonnée par le mandrin d’un des valets.
Justine subit
le même sort.
Je desserre
les fesses au maximum pour faciliter la saillie anale canine. Mon bassin
ondule. Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure, qu’il éjacule longuement et à
peine qu’il est sorti de mon anus, que le second prend le relais et m’encule
avec aisance, l’anus béant et humide du sperme du premier et j’explose dans
quatre violents orgasmes anaux.
Les valets me
remettent le gode en place, dès son retrait et le gonfle. Mon anus est devenu
sensible et je sens ma rosette anale devenir plus large et un peu souple, par
les sodomies nocturnes.
Pendant les
repas, qui ont lieu dans la salle où on m'a fait entrer, la salle est dallée et
il y a une table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce
que les filles y ont pu faire par-dessous, et chaque fille a pour s'asseoir un
tabouret rond recouvert de cuir. Il faut relever sa jupe pour s'y poser, et je
retrouve ainsi, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, le premier
instant où mon amant m'a fait asseoir à même la banquette de la voiture.
Inversement, lorsque je vais quitter le manoir, et que je serais, vêtue comme
tout le monde, mais les fesses nues sous mon tailleur banal ou ma robe
ordinaire, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir aux côtés de mon amant,
ou d'un autre, à même la banquette d'une auto ou d'un café, c'est le manoir que
je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les
bouches à qui tout est permis, et le terrible silence. Rien cependant qui ne
m’a été d'autant de secours que le silence, sinon les chaînes.
Le valet de
permanence ne se gêne pas pour me caresser les seins et entre mes cuisses
écartées, en augmentant l’intensité du vibromasseur. Je me mords l’index pour
ne pas jouir en public.
Après le
dîner, le valet me retire le gode et me fait mon lavement.
Je passe
l’après-midi, en corset, jambes nues, offerte au premier venu.
A la
bibliothèque, après mon service, je me fais enculer par les deux hommes présents,
puis un berger allemand, un doberman et un dogue.
Pantelante, je
suis reconduite à ma cellule, pour recevoir mon nouveau vibromasseur plus long
et de même largeur, jusqu’à l’orgie anale pendant la nuit à la bibliothèque
avec des hommes et des chiens. Je suis fouettée et enculée dans ma cellule.
Au bout de
huit jours, aucun appareil n’est plus nécessaire, et René me dit
- Je suis
heureux que tu sois si bien ouverte, et je veillerais que tu le demeures. Tu
aimes être caressée, fouettée, te soumettre dans le silence. Ta bouche est plus
belle à sucer les mandrins anonymes, tes mamelons que des mains constamment
froissent, et entre tes cuisses écartelées ta chatte et ton anus sont labourées
à plaisir. Tu es devenue digne d’une prostituée.
Ce soir-là, je
fais le service et je conserve donc non seulement mon corset et mes mules, mais
aussi le vibromasseur gonflé qui remplit mon anus. Les hommes arrivent l'un
après l'autre, nus, cagoulés de noir, leurs mandrins libres en érection.
Je les suce,
avant de me faire enculer par chacun et aussi par trois chiens devant René.
Puis je me
retrouve assise sur un banc long, les yeux bandés, nue, déchaussée.
Je m’allonge
sur le dos, on me fixe des bracelets en cuir à mes chevilles. De gros doigts me
saisissent les bras et me les rabattent en arrière, ils sont plaqués contre le
bois, puis on pesa sur mes poignets croisés pour les immobiliser.
Je reçois la
cravache, le fouet pour m’interroger sur mon vrai emploi. Je gémis tout en
gardant le silence. Je me suis habituée à être fouettée.
On gonfle
davantage le vibromasseur mais je ne dis rien.
- Elle garde
le silence. Elle ira au chenil et elle sera questionnée, dit un des hommes.
Lorsque René
m'avertit qu'il me laisse, la nuit est déjà tombée. Je suis nue dans ma
cellule, et René est nu. Il me prend dans ses bras, m’embrasse, m’allonge sur
le lit, sur le dos, m’encule, allongé contre moi, pour finalement éjaculer dans
ma bouche, qu'ensuite il embrasse encore.
« Avant de
partir, je voudrais te voir encore une fois fouetté dans cette chambre. Et
cette fois je te le demande, car je voudrais que ce soit jusqu'au sang.
Acceptes-tu ? »
J’accepte
« Je t'aime »,
répète René. « Sonne Emmanuel. »
Y sonne.
Emmanuel me
menotte devant la grande fenêtre comme au premier soir, René m’embrasse, me
caresse encore, fait signe à Emmanuel.
Il me cravache
les fesses jusqu’au sang et m’encule ensuite, sur l’ordre de René.
D’autres
valets m’enculent, décuplant mes orgasmes anaux, jusqu’à l’épuisement.
René renvoie
Emmanuel, il me délie, me couche et part.
Toujours
est-il que le surlendemain de son départ, au soir tombé, nue, je me regarde
dans les grandes glaces les marques de la cravache qui cicatrisent sur ses
fesses et sur le devant de mes cuisses, Emmanuel entre.
- Tu ne prends
pas ton dîner. Tu dois t'apprêter.
Il me désigne
dans l'angle le siège à la turque.
Je m’accroupis
devant lui, je me baigne, sous son regard.
Je me sèche,
me coiffe, me parfume, me farde.
Emmanuel me
penche en avant, les mains au sol. Il m’encule jusqu’aux testicules. J’ai un
orgasme, quand il s’empare de mon clitoris fraîchement percé au niveau du
capuchon, orné d’un petit anneau doré avec un diamant. Il me donne quelques
claques magistrales sur les fesses. Il éjacule dans ma bouche.
Quand je suis
prête, il me lie les mains au dos.
Je reste
debout devant une des glaces à observer ma chatte trempée enter mes cuisses
écartées. Emmanuel, revenant, avait à la main le même bandeau dont on m’a bandé
les yeux le premier soir. Il a aussi, qui cliquète, une longue chaîne semblable
à celle du mur. Il y a encore cinq jours et cinq nuits à passer.
Emmanuel
attache sur ses yeux le bandeau de velours. Il se renfle un peu au-dessous des
orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le
moindre regard, impossible de lever les paupières. Emmanuel attache cette
chaîne à l'anneau de mon collier, et me prie de l'accompagner. Je sens qu'on me
tire en avant, et marche.
Mes pieds nus
sentent le carreau glacé. Puis le sol, toujours aussi froid, devient rugueux –
il marchait sur un dallage de pierre, grès ou granit.
À deux
reprises, le valet me fait arrêter, j’entend le bruit d'une clef dans une
serrure, ouverte, puis refermée.
- Prends garde
aux marches.
Je descends un
escalier, et effectivement j’y trébuche une fois.
Emmanuel me
rattrape à bras le corps : il me presse, dos contre le mur froid où je sens de
mes mains liées m'accroche tant bien que mal pour ne pas glisser, et qu'il
m'embrasse dans le cou, derrière l'oreille, que sa bouche va de l'un à l'autre
de mes mamelons, qu'il me lèche la chatte.
Je me retrouve
prosternée sur les marches de l’escalier, enculée à aisance. Il éjacule
longuement dans mon anus tandis qu’un orgasme anal m’irradie.
Emmanuel ne me
redresse qu’après.
Je descends
les dernières marches, quand j’entends ouvrir encore une porte, que je
franchis, et j’ai aussitôt sous mes pieds un épais tapis.
Au milieu de
la salle, trône une sorte de table basse réglable par plusieurs manivelles,
j'ai la chatte trempée, dégoulinante. Je suis très excitée. Je me suis allongée
sur la table d'abord sur le dos les cuisses bien écartées pour laisser voir ma
chatte qui, je le sens, ruisselle abondamment.
Je m’allonge
sur le ventre le cul légèrement cambré par des coussins, il pose une couverture
sur mon dos pour me protéger me dit-il des griffures. Je suis entravée.
- Tu vas subir
les saillies anales canines. Ici, tous les chiens sont spécialement dressés
pour enculer les soumises. Tu seras aussi interrogée. Dans une autre pièce,
d’autres surprises t’attendent.
La pièce est
voûtée. Dans une niche, un plateau de bois présente de l'eau, des fruits et du
pain. Des rampes lumineuses, en veilleuse, éclairent en rasant les bases de la
voûte d'une lueur rousse. Emmanuel s’en va.
Un homme
cagoulé entre. Il tire les rideaux et je découvre de part et d’autre des cages
avec des chiens de garde, excités par mon odeur de femelle en chaleur.
L’homme me
lubrifie l’anus.
Le premier
chien, un berger allemand, pose ses pattes de devant qui enserrent mon buste,
son sexe s’enfonce dans mon anus, guidé par l’homme. Il éjacule assez
rapidement, mais il m’encule à nouveau, en enfonçant cette fois son nœud pour
m’écarteler. Je sens son nœud se mettre à gonfler. La bête me remplit au plus
profond de moi-même en se projetant de plus en plus, c’est douloureux et bon.
J’ai quatre orgasmes
Un à un, tous
les chiens m'ont enculée déversant une grosse quantité de foutre dans mon anus
mis à mal par les nombreuses saillies.
Un berger
belge m’a donné énormément de plaisir quand il m’a enculé avec sa longue tige
qu’il fait coulisser assez rapidement dans mon anus. Puis un doberman m’encule.
Toutes les
cinq saillies, on me fait un lavement. Des hommes me fouettent aussi, en
l’absence des chiens et m’enculent aussi.
Je finis mes
journées épuisée, le cul en feu à satisfaire, mais je garde le silence sur ma
mission dans le manoir.
Un après-midi,
le valet me conduit dans une grande pièce où m’attendent trois pur-sangs, leurs
sexes en érection.
Je m’approche
et le caressant sur le front. Je passe ma main sous lui. Je mouille de suite
entre les cuisses ! Je me suis agenouillé sous lui doucement. Sans un mot, je prends son énorme sexe entre mes doigts
et je commence des va-et-vient très sensuels avec mes deux mains. Sa bite gonfle
immédiatement et s’allonge et devient très grosse et dure. Elle fait au moins
quatre-vingt centimètres. J’approche ma bouche et je passe ma langue sur un
étonnant petit tuyau qui est en plein centre de son gland dilaté. Ma langue
passe et repasse sur cette chose. J'essaie de mettre son sexe dans ma bouche au
plus profond.
Le valet me
fait menotter à une sorte de table matelassée légèrement inclinée m'oblige à
être courbée en deux, les fesses plus hautes que la tête, et une barre
métallique posée au sol force mes jambes à être écartée de façon importante.
Le valet
enfonce son sexe dans mon anus. Je grimace de douleur quand il force le
passage. Je pousse des cris déchirant tandis que des larmes de souffrances
coulent sur mon visage.
Enfin le
passage anal cède à la pression.
Le phallus se
met plus profond en moi. Je hurle de douleur tellement ça fait mal. La douleur
diminue et son gland et toute sa longueur de bite du cheval gonflent encore.
Soudainement,
hennissant comme un sauvage il m’inonde largement l’anus, qui dégouline le long
de mes jambes jusqu’aux mollets.
Les deux
autres pur-sangs m’enculent ensuite.
Ceci se
répète, le matin, les chiens et l’après-midi, les chevaux.
Il y a trois
mois, trois jours que j'attends, ou dix jours, ou dix ans. Je sens qu'on
m'enveloppe dans une étoffe épaisse, et quelqu'un me prend aux épaules et aux
jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve
dans ma cellule, c‘est le début de l’après-midi, dans une position
insolite : un berger allemand est couché sur le dos, son sexe enfoncé dans
ma chatte trempée et un doberman m’encule simultanément. Je m’aplatis sur le
berger allemand. Je crie au début, car c’est assez douloureux. Tous les deux
enfoncent leurs nœuds dans ma chatte et mon anus. La douleur est contrebalancée
par le plaisir de la queue de l'autre chien dans ma chatte, puis le plaisir
anal m’envahit. J’enchaîne les orgasmes. Et lorsque les deux chiens éjaculent,
à quelque minutes d'intervalles, que je sens ma chatte et mon anus abondamment
trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le
long de mes jambes, je faillis m’évanouir.
Les deux
chiens se retirent et me lèchent la chatte et l’anus. Je jouis.
René est
surpris de ma soumission comme chienne.
- Avant de te
rhabiller, laisse-moi te prendre en double pénétration, ma chérie.
L’homme qui
m’a expliqué les règles du manoir entre.
Je me couche
sur René lui offrant ma chatte tandis que l’autre m’encule.
J’ai un
violent orgasme quand ils éjaculent presque simultanément.
Je nettoie
leurs mandrins.
Justine vient
me donner un dernier bain et un double lavement. Ensuite elle me brosse les
cheveux, me farde et me tend le parfum ; nos regards se croisent, mais aussitôt
Justine détourne le sien. Il sort.
Quand je
reviens dans la cellule, Justine n’y est plus.
Devant une des
glaces, je découvre mon nouveau corps. Je suis intégralement épilée, ma toison
pubienne brune a disparu, ainsi que mes aines, le haut de mes cuisses, mes
grandes lèvres, mon périnée, mon pourtour de l'anus et l'intérieur de mes
fesses.
Je remarque
que mon clitoris percé est mis en valeur et il a pris du volume.
- En effet,
pendant ton séjour, chaque soir, tu as reçu une injection et ton clitoris es
devenu hyper sensible. Le moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que
l'air sur ton clitoris te provoqueront une excitation énorme. Ton clitoris
pointe au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de
même pour ton clitoris. Comme depuis deux semaines, les mains menottées, elle
n’a pas pu se faire jouir. Elle a éprouvé la douleur sans broncher par son
clitoris constamment tendu.
Mon clitoris
est devenu gros comme une cerise, volumineux, saillant.
Je me masturbe
devant les deux hommes. J’ai un violent orgasme.
Je me poudre
et je me mets du rouge à lèvres.
Je choisis une
bague de fer, intérieurement cerclée d'or, dont le chaton large et lourd, mais
renflé, portait en nielles d'or le dessin d'une sorte de roue à trois branches,
qui chacune se referme en spirale, semblable à la roue solaire des Celtes. La
seconde, en forçant un peu, me va exactement. Elle est lourde à sa main, et
l'or brille comme à la dérobée dans le gris mat du fer poli.
L’homme me
défait le collier et les bracelets qui m’ont tenue captive depuis deux
semaines.
Je m’habille,
dans ma cellule. J’enfile ma jupe sur mes fesses nues, mes reins et mes fesses
sont longuement caressés par René. Je me chausse de mes mules à mes pieds nus.
Je ne mets pas ma veste, restant torse nu. Les deux hommes me caressent mes
seins, mais je sens que mes mamelons sont constamment tendus comme mon clitoris.
Nous quittons
la cellule, je mets ma veste et je suis René, le tenant par la main. L'inconnu
qui nous accompagne, ouvre les grilles, et que ne gardent plus ni valets ni
chiens. Il soulève un des rideaux de velours, et nous fait passer tous les
deux. Le rideau retombe. On entend la grille se refermer. Nous sommes seuls
dans une autre antichambre qui ouvre sur le parc. Il n'y a plus qu'à descendre
les marches du perron, devant lequel je
reconnais la voiture. Je m’assois sur la banquette arrière, en relevant ma jupe, près de mon amant, la
voiture démarre.
De retour chez
moi, je retrouve mon amie Sarah, qui a assuré la permanence en mon absence.
Sarah me
confie :
- Le comte B
et Lady A sont deux amants cachés. La jeune O est née d’une liaison incestueuse
entre un certain Sir Oscar et sa cousine, qui est morte peu après la naissance
d’O. O a été éduquée par le comte B et Lady A, deux membres de la haute
bourgeoisie. Le comte B est un homosexuel, qui aurait une liaison avec un
certain René, membre influent au niveau de l’Etat, un haut fonctionnaire
fédéral auprès du gouverneur. Un amant d’O, un agent fédéral s’est suicidé à la
mort d’O. Enfin, ton amie Brigitte m’a révélé que le trio est mort empoisonné,
sans avoir trouvé l’objet du délit. O est membre de l’ordre des Vierges, par sa
bague, ses fers aux deux grandes lèvres et ses marques au fer rouge sur ses
fesses, tout comme Lady A. Le comte B appartient à l’ordre des affiliés, se
réunissant dans un manoir.
- Sarah, tu
m’as manqué pendant deux semaines. Viens me faire l’amour, j’ai la chatte en
feu et je te réserves quelques surprises.
Sarah est une
beauté de cinq ans plus âgée que moi, châtain aux yeux verts, pour des
mensurations 85B-56-86 pour 1,70 cm.
Nous montons
dans ma chambre. Je me déshabille, dévoilant mon corps intégralement épilé, mon
anneau au capuchon du clitoris.
Sarah a sa
chatte intégralement épilée ainsi que le pourtour de son anus.
Sarah se
couche sur le dos. Nous sommes sont allongées l'une sur l'autre, face à face,
la tête face au sexe de notre partenaire. Ainsi nous prodiguons un cunnilingus
nous permettant des orgasmes simultanés. Nous léchons nos clitoris et nous
insérons délicatement nos doigts dans l'anus de ma compagne.
- Ton cul est
bien large et souple, ma chérie, me complimente Sarah. Toi, vierge du cul, tu
es devenue large.
- J’aime me
faire enculer. Surtout, quand un étalon bien monté m’encule, je suis aux anges.
Puis nous
sommes allongées tête bêche, nous coulissons nos corps de manière à faire se
rencontrer nos chattes, remplies par un double gode.
Repue, je me
mets à quatre pattes et j’invite Sarah :
- Encule-moi,
je suis ta soumise.
Sarah enfonce
son gros gode réaliste dans mon anus qu’elle m’a lubrifié en 69. Je jouis sous
ses coups de boutoir bien ajustés. J’ai un premier orgasme, puis un second, le
clitoris caressé par Sarah.
Je fantasme
sur les hommes, les chiens et les chevaux qui m’ont enculé, décuplant mon
second orgasme anal.
Puis j’encule
Sarah avec le gode-ceinture. Sarah est offerte, les jambes tendues en V en
l'air, Sarah stimule son clitoris avec ses doigts.
Pantelantes,
nous prenons une longue douche lesbienne, caressant nos corps, doigtant nos
chattes et nos anus vers de nouveaux orgasmes.
Peu après le
départ de Sarah, je reçois nue, un officier fédéral qui a vu ma bague et mon
clitoris percé.
- Je suis
officier Ken, dépendant du juge en charge du triple meurtre. Vous êtes très
belle, miss Prudence. Sucez-moi et je vous prendrais pour me confier à vous.
J’obéis.
L’homme exhibe un superbe mandrin et un étireur de testicules mettant en valeur
ses testicules rasés et portant des anneaux dorés à chacun. Ils sont bien
volumineux.
J’alterne en
gobant ses testicules et en suçant son mandrin qui durcit.
Il me conduit
sur le canapé et m’encule sur le champ sans demander mon reste. Il s’enfonce
jusqu’aux testicules, qu’il fait claquer contre ma chatte trempée. Je m’empale
sur lui, lors de mon orgasme anal.
- Tu es bien
une jouisseuse de l’ordre des vierges. J’aime ton cul élargi, souple, qui
s’ouvre pour m’accueillir.
- Encule-moi,
je suis ta soumise.
Il me chauffe
les fesses de quelques claques magistrales, avant d’éjaculer dans ma bouche.
Nous prenons une douche et il se confie.
- Prudence, O
est née de l’inceste de la cousine de Sir Oscar, un parlementaire de l’Etat.
Sir Oscar l’a fait éduquée dans les écoles catholiques jusqu’à sa puberté. A 16
ans, il l’a remise au manoir pour son éducation, à laquelle j’y ai participé. O
est une jolie fille qui se soumet à tous les désirs du manoir. A sa sortie du
manoir, elle a son anus élargi, elle aime les viols collectifs. Sir Oscar l’a
remet à un membre du bureau du gouverneur, pour la dresser, de façon sadique.
Puis Sir Oscar l’a fait marquée avec des fers, qui percent chacune de ses
grandes lèvres et sa marque sur ses fesses au fer rouge. O devient la propriété
de Sir Oscar. C’est là, que le comte B, un membre du conseil municipal entre en
jeu, en rachetant O et lui fait poser trois anneaux dorés : un au clitoris
et deux pour ses mamelons et O offre un clitoris et des mamelons constamment
tendus comme toi. Je l’ai remarqué. Enfin, Lady A en fait sa soumise attitrée
lors d’orgies masquées. Je pense que le tueur est un membre d’un ordre rouge,
qui dirige la ville et le comté.
Je le suce et
il m’encule à nouveau, je suis renversée en arrière, les chevilles sur les
épaules. Je sens le poids et le volume de ses testicules sur mes fesses à
chaque coup porté et j’ai un orgasme anal violent.
Il éjacule
dans ma bouche.
A son départ,
je découvre dans ma table de chevet, un coffret. Je l’ouvre et découvre une
collection de bijoux d’anus de divers calibres.
Ils vont de
six centimètres de long dont cinq m’enculent, pour trois de diamètre, pour 34
grammes à treize centimètres de long dont douze m’enculent pour cinq de
diamètre pour 635 grammes.
Ils sont en
forme de forme en sapin et ont une large base pour un excellent maintien dans
l’anus. Mon anus se referme sans gêne sur le bijou. Je me lubrifie l’anus et je
me l’enfonce. J’ai le cul bien rempli. Je me masturbe le clitoris sur mon lit,
repensant aux ébats du manoir.
Le lendemain
après mon lavement par la soubrette que René m’a offerte, je rejoins la mairie
pour lire l’état civil. Je porte mon bijou d‘anus le plus gros. Je suis vêtue
d’un tee-shirt porté à même la peau, et qui dessinent si doucement mes seins,
une jupe plissée qui si facilement tourbillonne, prennent un peu l'allure d'un
discret uniforme. Je suis chaussée de mes mules à très hauts talons.
Je porte un
collier et des bracelets composés de discrètes chaînettes qui me rappellent un
peu le manoir.
Mais il n’y a
aucun avis de décès de la cousine de Sir Oscar, comme si elle avait disparue.
Là, je fais la
connaissance d’Annie, une jolie beauté brune, aux yeux verts, qui me séduit.
Annie est un
transsexuel qui connaît les mœurs des hauts fonctionnaires de la ville.
Nous allons
dans un discret hôtel, non loin de la mairie et de la représentation du
gouverneur.
Nus, nous
faisons l’amour dans un 69 torride. Je la suce, embouchant totalement son long
et gros mandrin, en caressant ses testicules. Annie me lèche la chatte et
plonge deux doigts dans mon anus. Je jouis entre deux fellations.
Annie m’encule
à quatre pattes. J’ai plusieurs orgasmes, les fesses chauffées par ses claques
magistrales.
Je suis la
première femme qu’elle encule, préférant les hommes.
Elle m’invite
à me caresser le clitoris et d’une main, Annie s’empare de mes seins, pince
tendrement mes mamelons constamment tendus. J’explose en un violent orgasme
anal.
Je me
redresse, pour toucher ses seins plantureux avec mon dos, toujours enculée. Les
caresses sur mes seins se font plus sensuelles et mon bassin ondule violemment
sur son mandrin. Annie me doigte profondément la chatte trempée.
- Tu connais
le plaisir, Prudence. J’aime m’enfoncer dans ton cul élargi, souple et trempé.
Coulisse sur ma queue, ma chérie.
Annie éjacule
dans mon anus. Je me retire et je nettoie son mandrin.
Nous entendons
du bruit dans la rue. C’est Mark et Peter, deux fonctionnaires travaillant pour
le procureur régional et le shérif. Mark est un coureur de jupon bisexuel et
Peter est un homosexuel, client assidu d’Annie.
Annie me fait
quelques confidences sexuelles sur les deux. Je fantasme de faire l’amour avec
les deux et les soumettre à mon désir. Sarah possède des tenues en cuir de
dominatrice. Je serais ainsi cagoulée et anonyme.
Je me douche
avec Annie, qui me fait jouir.
Nous sommes
debout l'une derrière l'autre. J’écarte les cuisses afin de laisser accès ces
parties intimes à Annie.
Annie stimule ces zones de sa partenaire avec les doigts ou
avec la main. L'accès est facile et polyvalent, permettant de stimuler le
clitoris, et m’enfonce les doigts simultanément dans la chatte et l’anus. J’ai
un violent orgasme.
Je me rhabille et je pars draguer Mark, que je convie chez
moi.
Je le déshabille et le menotte à mon lit, les yeux bandés,
attaché en croix sur le lit, bras et jambes écartés. Je le suce, en me faisant
lécher l’anus. Je jouis.
Une fois bien dur, j’emprisonne son mandrin dans une cage de
chasteté que je cadenasse. Je lui rase les testicules.
Le "Harnais de chasteté" est réalisé en lanières
de cuir noir avec deux anneaux en métal qui enserrent le mandrin et il se
referme grâce à deux cadenas et je le gode en même temps avec un gode long de
quatorze centimètres et trois de diamètre. Il gémit car il est serré. Je l’encule
autant de temps que je le désire.
Il passe l’après-midi, bâillonné dans ma chambre, à la merci
de la cravache que je lui administre, menotté à quatre pattes su le lit.
J’alterne la cravache et le gode.
Peu avant la tombée de la nuit, je le libère et je le
contrains à se laver devant moi et à éjaculer dans ma bouche. Je suis vêtue
d’une cagoule noire ne laissant apparaître que mes yeux et ma bouche, une robe
en cuir, qui me couvre jusqu’aux genoux, ouvert devant pour dévoiler mon
clitoris percé. Je suis chaussée de cuissardes à hauts talons. Je modifie ma
voix pour qu’il ne me reconnaisse pas.
- Très bien soumis M, tu te montres docile. Tu viendras tous
les après-midis te confier à ta maîtresse. Appelle-moi, Miss P. D’ici deux
semaines, ton anus sera prêt et je te livrerais à d’autres jeux. Pas un mot à
quiconque de notre relation, sinon tu seras fouetté jusqu’au sang et mis à
l’isolement.
- Oui, Miss P. J’accepte.
- Lèche-moi le clitoris, en signe d’acompte.
Je jouis.
Le soir, je fais l’amour avec Sarah avec divers godes
réalistes, nous enculant mutuellement.
D’abord je m’allonge sur le dos, et Sarah se place entre mes
deux cuisses en mettant au niveau de ma chatte sa chatte. Je me suis un coussin
sous les fesses. En écartant mes
cuisses, j’autorise un contact large entre nos deux chattes, nos deux clitoris.
Les vibrations et la chaleur reçus par mon clitoris me
mènent à l’orgasme.
Sarah m’embrasse mon cou et stimule mes seins.
Puis je reste allongée sur le dos, Sarah se met au-dessus de
mon visage. Je lui lèche la chatte, les petites lèvres, et le clitoris ainsi
que mes doigts sont enfoncés dans sa chatte et caressent son clitoris. Sarah a
un orgasme.
Tout en restant allongée sur le dos, j’écarte mes cuisses.
Sarah me doigte la chatte et l’anus simultanément. Elle caresse aussi mon
clitoris jusqu’à l’orgasme.
Enfin, Sarah me gode avec un double gode réaliste, à quatre
pattes jusqu’à l’ultime orgasme.
Nous prenons une longue douche où nous caressons nos corps
mutuellement, doigtant simultanément nos chattes et nos anus jusqu’à l’orgasme.
Deux jours après, Mark se confie, lors de son
dressage :
- Je fus le valet qui s’est occupé d’O. Je l’ai fouetté et
enculé à nombreuses reprises lors de son premier séjour. Elle en réclamait
toujours davantage, même les chiens de garde ne suffisent pas à la satisfaire
pour la sodomie.
- Mark, tu t’es déjà fait prendre par un chien.
- Non.
Je fais entrer un doberman que René m’a remis.
Je menotte Mark à quatre pattes sur le lit, lui lèche l’anus
et lui met son harnais en place.
Le doberman place ses deux pattes sur son dos. Je l’aide à
l’enculer. le doberman éjacule au bout de vingt minutes.
Mark doit sucer son sexe en signe de soumission.
Je m’offre ensuite devant Mark, sans ma jupe. Le doberman
m’encule, après que je l’ai sucé. Il fait des va-et-vient frénétiques et
j’explose dans de violents orgasmes. La saillie dure plus trois quart d’heures,
juste au moment où Sarah me surprend, enculée, hurlant mon plaisir.
Sarah retire sa jupe et pose son clitoris contre ma bouche
pour que je la lèche. Sarah jouit aussi. Le doberman m’inonde largement et
entre puis m’encule à nouveau jusqu’au nœud, m’encule avec puissance et il
m’inonde plus longtemps.
Je suis repue et heureuse de mon doberman.
Il se retire. Avec Sarah, nous suçons son sexe, nous sommes
comblés.
Nous libérons Mark. Je le douche, après avoir mis mon bijou
d’anus extra large.
- Tu aimes jouir avec les chiens, Miss P.
- Oui, je me suis habituée au manoir. Ce sont les meilleurs
amants.
Le lendemain après-midi,
alors que Sarah dresse Mark, je rejoins Annie avec Peter dans un hôtel de
passe. Annie est en train d’enculer Peter, qui est penché en avant.
J’en profite pour me
déshabiller et je me mets à genoux, nue, pieds nus. Je lui caresse les
testicules qui sont gonflés d’excitation, j’enserre et je soupèse ses
testicules, les griffant.
Je referme ma bouche que je resserre sur son mandrin, je
monte et descend jusqu’à frapper le fond de ma gorge, repoussant ma langue.
- Retire-toi de ma queue, petite pute, ordonne Peter.
Parles correctement à Lady Prudence, tu es venu te dresser,
tout comme ton ami Mark.
Qu’elle arrête de me sucer, je veux qu’un homme me suce.
Mais Peter éjacule dans ma bouche, longuement, j’avale tout.
J’en profite pour lui mettre le harnais de chasteté. Annie
lui menotte les poignets dans le dos.
Nous lui épilons les testicules et le pubis et lui mettons
un gros vibromasseur anal, en lui écartant bien les jambes, menottées aux
barreaux du lit.
Je m’assois au-dessus du visage de Peter, pour qu’il me
lèche la chatte et l’anus, mais il se refuse. Je cravache alors l’intérieur de
ses cuisses jusqu’à sa soumission.
Après m’avoir mené à l’orgasme, je l’interroge.
Il m’avoue qu’il vu la scène avec A, B et O, mais pas leur
mort.
- Tu es prêt à le redire devant un avocat pour le procès,
lui ordonne-je. En échange, je te dresse pendant deux semaines, faisant de toi,
non plus, un petit pédé mais un bisexuel. Tu aimeras me lécher ensuite et je
m’enculerais sur ton mandrin. Tu vas garder le harnais pendant vingt-quatre heures
en gage, tu ne pourras pas faire l’amour à un homme.
- Retires-le.
- Non. Tu es mon soumis et
celui d’Annie.
Peter obéit.
Quelques jours après, je le fais saillir par mon doberman,
en compagnie de Mark, dans le sous-sol de ma maison, loin des regards.
Peter et Mark témoignent devant un avocat.
Brigitte m’apprend que O est bien la fille de Sir Oscar et
de Lady A et non d’une cousine de Sir Oscar. Mais Sir Oscar a eu bien une fille
avec sa cousine, dont on n’a jamais retrouvé la trace, ni de la fille ni de la
cousine. O était enceinte, lors de sa mort. Son père est inconnu, je n’ai pas
assez d’éléments pour l’identifier.
Brigitte me conduit chez elle.
Nous retirons nos tenues. Brigitte offre un joli corps
bronzé, blonde aux yeux noisette, pour 84D-60-91 et 1,73 m. Elle a son pubis et
sa chatte velus, comme je les aime.
Nous faisons un long 69 torride, où je l’encourage à me
doigter l’anus.
Elle s’équipe d’un gode-ceinture et m’encule à quatre pattes
sur le lit.
- Tu n’es plus vierge du cul ni de la chatte, Prudence.
- J’ai perdu mon pucelage avec mon premier amant. Encule-moi
bien à fond, j’ai le cul en feu.
- Ca se voit, ton bassin ondule violemment. Tu as du te
faire enculer par plusieurs hommes, car tu es bien élargie.
- Mais par des chiens et des chevaux, mon amant m’a initié
aux jeux sexuels avec des animaux. Le sexe d’un chien est le summum pour moi,
quand je suis enculée.
Brigitte fait venir son dogue allemand pour me monter.
Le dogue me remplit la
chatte, puis lors de son retrait, je l’enfonce dans mon anus béant et humide,
devant le regard surpris de Brigitte.
- Jamais, il m’a pris par là. Je le réserve aux hommes.
- Il m’a enfoncé son nœud, c’est l’extase. Il va m’inonder
prochainement.
Après quatre orgasmes anaux, il m’inonde largement l’anus.
Je remet mon bijou d’anus large et je me douche avec
Brigitte, pour jouir encore.
Brigitte est surprise de voir mes mamelons et mon clitoris
constamment tendus.
Début juillet, René m’invite à rencontrer Sir Oscar, dans sa
luxueuse résidence sur la colline qui domine la ville, reliée par un
monte-charge souterrain au manoir par une issue secrète.
La police a fouillé une crypte sous le jardin du manoir et a
trouvé des ossements de la cousine disparue de Sir Oscar. L’identification est
formelle.
Sir Oscar est un bel athlète plus âgé que moi, accompagné de
son jumeau, Sir Frédéric, un superbe transsexuel brun, avec une poitrine
plantureuse.
Je suis habillée d’un chemisier transparent noir, dont je ne
boutonne pas le col, laissant libre accès à mes seins nus dont j’ai rougi mes
mamelons et les aréoles. Mes poils pubiens ont repoussé, mais je laisse ma
chatte et mon anus lisses. Je porte une jupe éventail noire transparente, des
bas noirs et des mules à hauts talons
noirs, je laisse mes cheveux libres. J’ai rougi les lèvres de ma chatte. J’ai
parfumé trois fois mon corps.
René me laisse avec les deux inconnus.
Tous les deux sont vêtus de gilets en cuir et de pantalons
fendus, laissant complètement accessibles les fesses et le triangle délimité
par les aines, exhibant leurs mandrins libres en érection par des anneaux
péniens.
Sir Oscar me félicite pour le dressage de Mark et de Peter.
Je les suce avant le repas.
Sir Frédéric me fait me retirer ma jupe, pour que je
m’assois cul nu sur le cuir de la chaise, d’où sort quand je m’assois, un
superbe gode réaliste qui s’enfonce dans mon anus que j’ai lubrifié par ma
saillie anale par mon doberman. Je jouis sous les va-et-vient que télécommande
les deux inconnus.
J’ouvre mon chemisier pour exhiber mes seins nus aux
mamelons constamment tendus.
A tour de rôle, ils me caressent les seins, mon bassin
ondule violemment par la montée de l’orgasme anal et les caresses mammaires.
J’ai mon orgasme juste au moment du dessert, un banana split. Tous les plats
sont dédiés aux fruits et légumes phalliques, ce qui m’excite davantage.
Après le dessert, ils me prennent en double pénétration, Sir
Oscar me remplit la chatte et Sir Frédéric m’encule. J’ai un violent orgasme.
Je les nettoie, après qu’ils ont éjaculé dans mes orifices
béants.
Je suis offerte à quatre pattes à un dogue, qui m’encule
devant eux. Je suce les deux mandrins pour étouffer mes râles. Le dogue
m’inonde largement l’anus et il m’encule une seconde fois après que je l’ai
sucé.
A peine remise de mon dixième orgasme anal, Sir Oscar me
remet en place le bijou d’anus extra large en place, pour que je garde leurs
spermes et le sperme canin.
Après le départ du dogue, je me prosterne, le nez dans le
tapis, Sir Oscar et Sir Frédéric alternent entre la cravache et le martinet sur
mes fesses. Je gémis un peu puis je jouis, ma chatte est abondamment mouillée
d’excitation. À mesure que les cinglons s'entrecroisent, leurs mandrins
bandent.
Puis à tour de rôle, ils m’enculent après avoir retiré le
bijou d‘anus. Il me prend par aux hanches, m'agrippe fermement par les épaules
et la base de la nuque, et il me force, dans des entrées et sorties. Je crie,
l’anus déchiré.
Sir Oscar me remet le bijou d’anus.
Prudence, il faudra t’habituer à nos deux queues, tant que
ton anus ne sera pas fait à nos mandrins, nous le forcerons.
Je suis le couple.
Je monte l’escalier de marbre, nue, pieds nus, menant à
l’étage et rejoins ma grande chambre avec ma salle de bains.
La soubrette blonde aux seins plantureux Fleur s’occupe de
moi, pour me doucher. Elle porte des anneaux aux mamelons constamment tendus
qui sont reliés par des chaînes à un collier en cuir, qui étirent constamment
ses mamelons et des fers aux grandes lèvres auxquels sont fixés des poids pour
étirer ses grandes lèvres. Son anus est rempli par un vibromasseur, trahi par
les mouvements de son bassin. Ses fesses sont tatouées à l’encre noire des
lettres entrelacées O et F en caractères gothiques. Elle porte un bâillon pénis
pour étouffer ses râles, provoqués par le vibromasseur.
- Un jour, Prudence, tu porteras aussi des fers. Fleur,
douche-la, masturbe-la, elle est ton nouveau cadeau.
Fleur me frotte précautionneusement le dos et les fesses,
l’anus libre est savonné par ses doigts experts et je jouis, puis mes seins, ma
chatte, mon clitoris jusqu’à l’orgasme. Elle me pince les mamelons tendus.
Une fois rincée, je m’assois courbée en avant, sur le bidet,
Fleur m’enfonce une double canule dans l’anus et la chatte. Je jouis sous la
double inondation, qui me laisse propre pour la prochaine fois.
Sir Oscar me doigte l’anus pour voir si je suis bien propre.
Sir Frédéric m’installe dans ma chambre. Je porte des
bracelets similaires au manoir aux poignets et aux chevilles. Entre le grand
lit et le grand miroir à proximité de la porte d’entrée, se trouve au plafond,
un crochet, avec une chaîne, à laquelle il fixe mes bracelets au-dessus de ma
tête, devant le miroir et m’écarte bien les jambes, pour fixer des chaînes aux
anneaux de mes bracelets de mes chevilles. Ainsi, je me retrouve les bras
tendus, cuisses bien écartées, sur la pointe des pieds. Il me met un bâillon
pénis en bouche et du plancher, sort un trépied sur lequel est fixé
verticalement un imposant vibromasseur anal réaliste qui s’enfonce sur vingt
centimètres dans mon anus. Sir Frédéric enclenche les vibrations et j’ai
rapidement mon premier orgasme. Les orgasmes m’épuisent rapidement, car ils se
succèdent.
En pleine nuit, alors que les vibrations et les va-et-vient
se sont arrêtés, je sens la cravache cingler mes fesses, mes cuisses pendant
cinq minutes, pour bien me marquer. Je jouis sous le bâillon.
Surtout, que mes mamelons et mon clitoris sont pincés. Puis
les vibrations reprennent jusqu’à l’aurore, alternant avec les coups de
cravache, de martinet, de palette à fesser en bois d’érable.
Sans quitter le trépied, je suis tournée vers la fenêtre,
regardant le jour naître.
Le dogue me lèche la chatte pendant une éternité, je jouis
sans cesse.
Puis, le vibromasseur est remplacé par un vrai mandrin et
j’explose en un long et violent orgasme.
L’homme se retire après avoir éjaculé dans mon anus.
A dix heures, je suis détachée et je découvre mes balafres
sur mes cuisses et mes fesses. Mon anus est rempli par le bijou d’anus large.
Je déjeune nue, pieds nus, au salon, servie par Fleur.
Fleur me douche, me donne mes vêtements, sans mes bas.
Sir Frédéric et Sir Oscar sont de sortie.
Le lendemain, un peu avant midi, le chauffeur de Sir Oscar
m’a reconduit chez moi.
De retour chez moi, nue, je refais mon maquillage et ma
coiffure, me rhabille d’un tailleur sans chemisier sur mes seins nus et chausse
mes mules à hauts talons, après avoir vernis mes ongles des pieds en rouge. Je
garde le bijou d’anus toute la matinée.
Je sais
peu de choses sur le poison qui a tué le trio.

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