vendredi 1 mars 2019

Manoir 1er épisode


Je m’appelle Prudence.
J’ai 18 ans et je suis encore vierge.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu'à ma raie fessière. Je suis très poilue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre son entrecuisse velue noire. Ses hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

Le mystérieux manoir

Mi juin
Je suis l’unique fille d’une famille bourgeoise d’une ville moyenne, qui a fait fortune dans les médias.
Je suis l’assistante d’une petite agence de détectives privés. Je mène des fois quelques enquêtes de filatures sur les maris infidèles et les épouses non satisfaites.
Je rêve de trouver mon prince charmant.
Ce matin, je viens juste de me réveiller, vêtue juste de mon kimono court sur mon corps nu, mes pieds nus chaussés de mules à petits talons, les cheveux libres, je me prépare mon petit déjeuner.
J’aime me caresser dans mon lit, lors de mes rêves érotiques. Ma chatte est toute trempée et mon clitoris encore tendu quand je me réveille.
J’offrirais ma virginité à l’homme que je désire.
J’écoute mes messages sur mon répondeur et il y a un mystérieux message :
- Le comte B, Lady A et la jeune O ont été retrouvés morts de façon mystérieuse dans la résidence du comte. Le comte venait d’enculer Lady et la jeune O venait de sucer son mandrin, lors de la mort. Je suis l’amant du comte B et je désire savoir, mademoiselle, les raisons de cette triple mort. Mon tarif est le votre.
Je regarde aussitôt la télévision et je découvre la sortie des corps sur des civières.
Je déjeune rapidement. Je me douche rapidement, en profitant pour caresser mes mamelons et en doigtant ma chatte, taquinant mon clitoris et je jouis.
Je m’habille d’un porte-jarretelles auquel je fixe mes bas, un slip et un soutien-gorge assortis, le tout en satin, sous une veste et une jupe droite, je chausse mes sandales blanches à hauts talons. Je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Je prends ma coupé pour rejoindre le quartier résidentiel où a lieu le meurtre.
Un cordon de police m’empêche d’avancer, mais un de mes contacts me donne quelques notes et je me rends au sud de la ville, à une luxueuse résidence.
Là, un majordome africain m’accueille et me conduit au salon.
Là, se trouvent une soubrette blonde, seins nus, penchée en avant, les mains sur un tabouret, se faisant enculer par un bel étalon brun, musclé, bronzé, torse nu. Il m’invite à approcher.
Il me baise la main.
- Mettez-vous à l‘aise.
C’est la première fois que j’assiste à un ébat en direct. Je m’assois, ouvre ma veste, caresse mes seins devant le spectacle.
- Retirez votre veste, je veux voir vos seins.
J’obéis. Le majordome me dégrafe le soutien-gorge et offre la vue de mes seins à l’étalon.
- J’oubliais de me présenter, miss Prudence, je suis l’amant de feu le comte B. Je suis bisexuel. Retirez votre jupe et caressez vos seins.
Je me retrouve en porte-jarretelles, bas et slip, sandales.
Mon slip est tout trempé. Je n’ose le retirer.
Sans attendre, le majordome m’aide à enlever mon slip. Il passe les mains derrière les fesses et je me soulève un peu.
- Ecarte vos cuisses, pour le majordome s’occupe de votre chatte, penchez-vous un peu.
J’obéis. La langue du majordome me conduit à un premier orgasme. Mes mamelons sont tendus.
- Levez-vous, maintenant, que vous êtes prête, la chatte en feu.
Je me retrouve à la place de la soubrette. Il me penche en avant. Il enfonce son gros mandrin dans ma chatte vierge et me déflore en douceur. Je ne ressens presque rien.
Une vague de chaleur m’irradie la chatte. Mes seins se balancent au rythme de ses coups de mandrin.
- Tu étais vierge, Prudence.
- Oui.
- Ne dis rien. Tu vas sucer le majordome.
Mais là, je suis experte. Je suce tous mes amants.
Le mandrin est assez gros, mais j’arrive à le prendre en bouche. Je referme et resserre ma bouche sur son mandrin que j’ai saisi, le long duquel je monte et je descends. Le majordome gémit et il éjacule après quelques va-et-vient.
Ne prêtant pas garde, je sens un mystérieux intrus dans mon anus encore serré. C’est l’autre homme qui tient à m’ouvrir par l’anus.
Je ne peux me dérober. Il s’enfonce centimètre par centimètre, me saisit par les hanches et ses testicules claquent contre ma chatte trempée. Une langue me lèche le clitoris tendu.
Je jouis lors de ma première sodomie. Le majordome me caresse les seins tout en restant dans ma bouche.
- Voilà, ton œillet est un peu dilaté. Avec un peu d’exercices, tu pourras connaître l’orgasme. Ouvre-toi bien et pousse fort.
L’homme se retire de mon anus et cède la place au majordome. Je me retrouve à quatre pattes sur le tapis, déchaussée. Le majordome m’encule profondément. Je dois m’ouvrir davantage. Je gémis en suçant celui qui m’a défloré.
La seconde sodomie est plus facile.
Je passe la matinée à me faire enculer par mes deux amants.
Pantelante, nue, la bouche remplie de leurs spermes, je suis conduite par la soubrette à la salle de bains au premier étage. La salle de bains est entièrement recouverte de glaces de haut en bas.
La soubrette me conduit vers le bac de douche qui est à côté du lavabo.
– Monte là-dedans.
Au-dessus du bac, une chaîne pend. Elle m’attache les poignets et tire jusqu'à ce j’ai les bras en l'air. Toute nue, dressée comme une danseuse, je dois pisser devant elle.
Elle prend ensuite une poche qui ressemble à une bouillotte et d'où sort un tuyau en plastique souple, terminé par une canule. Elle l'ouvre, y met un peu de savon liquide, et compléta au lavabo avec de l'eau froide. Puis elle l'accroche au mur, à côté de moi.
– Ouvre les jambes.
J’écarte mes pieds. Elle s'accroupit derrière moi, m’ouvre les fesses de la main gauche, et elle enfonce la canule dans mon anus et ouvre le petit robinet.
De l’eau froide inonde mon anus, la soubrette me lèche la chatte pendant mon premier lavement.
Après un nouvel orgasme, elle me retire la canule et je m’abandonne. La soubrette recommence jusqu’à ce que mon anus soit propre.
Elle me douche longuement le corps, s’attardant sur mes seins, ma chatte, mes fesses, mes reins et m’embrasse longuement sur la bouche. Je me sens un peu lesbienne.
Cette double défloration m’a mis dans un tel état d’excitation.
Une fois propre, je rejoins nue les deux hommes.
- Miss Prudence, ta perte de ta virginité est ton premier acompte. Sur tu es coopérative, tes frais augmenteront, en cas contraire, tu seras punie, mais pas avant d’être allée au manoir. C’est là, que la jeune O et Lady A ont fait leurs débuts. Rhabille-toi, mais tu me laisses ton slip et ton soutien-gorge en souvenir. Désormais, plus jamais aucun sous-vêtement, ni culottes ni strings, ni soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne porteras que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu seras pieds nus soit tu porteras des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons.
C’est étrange, le fait d’avoir, sous ma veste que j’ai refermée, les seins libres et nus comme j’ai nus et libres mes fesses.
Mes seins sont effleurés par le tissu de ma veste et j’éprouve une nouvelle sensation.
De retour à l’agence, je prépare le dossier sur les trois victimes et me renseigne sur elles. La jeune O se trouve être la fille cachée de Lady A et du comte B. La jeune O s’est rendue à deux reprises à un manoir, dont je ne connais pas l’endroit exact.
Je suis encore sous le choc d’avoir perdu mon double pucelage par un étranger.
L’après-midi, je rentre chez moi et j’y retrouve la soubrette.
Monsieur m’a suggéré de t’aider dans le tri des vêtements avant de te rendre au manoir. Tu es très belle. Voici, un guide pour rendre ton anus plus sensible et plus assoupli. Déshabille-toi.
J’obéis. La soubrette retire sa tenue et exhibe des jolis seins plantureux avec de petits anneaux dorés et une chatte et un pubis entièrement lisses. Elle m’invite à lui caresser les fesses et je découvre tatoué à l’encre noire, les initiales de Monsieur sur chacun de ses fesses. En écartant ses cuisses, je découvre deux petits anneaux dorés chacun dans ses grandes lèvres, qui sont reliés par un cadenas.
- Il m’a fait intégralement épilée, tatouée et me fait porter ces anneaux pour que je sois seulement enculée. Tu le seras peut-être un jour. Les amis de Monsieur recherchent des jeunes filles bien éduquées.
Quand je me baisse pour ouvrir un tiroir, je vois mes ses seins bouger doucement. Je met près de deux heures à disposer sur mon lit les vêtements qu'il me faut ensuite ranger dans la valise. La soubrette range tous mes slips, mes culottes et mes justaucorps. Pour mes soutiens-gorge aussi, pas un qui reste : tous se croisent dans le dos, et se fixent sur le côté.
La soubrette range aussi mes porte-jarretelles et ne me laisse que ma guêpière dont elle va l’exécuter en seins nus. La soubrette range mes chandails, mes chemisiers et mes corsages qui ne peuvent être remontés ou ouverts facilement. Les boutons et les pressions me sont interdits. Ils doivent s’ouvrir facilement. Elle range aussi mes jupons. Elle me dit que je porterais des robes sans boutons s’arrêtant à mi-cuisses.
Une fois la valise prête, la soubrette la referme.
Je me mets à quatre pattes sur mon lit et la soubrette me prépare l’anus, tout en caressant d’une main mon clitoris et je découvre l’orgasme anal. Elle m’enfonce d’abord l’index puis l’index et le majeur pour m’assouplir.
Puis elle me fait accroupir et j’enfonce mon index et mon majeur dans mon anus, tandis qu’elle me caresse la chatte. Je jouis.
Pendant deux jours, la soubrette me rend fréquemment visite pour voir les progrès.

Le second soir, Monsieur vient me chercher à bord d’une limousine. Je suis vêtue de ma veste sur mes seins nus, d’une jupe qui se retrousse d’un seul geste et de mules à hauts talons de dix centimètres. Je n’ai plus que ces chaussures dans ma garde-robe, abandonnant mes escarpins et mes sandales qui ont des talons plus bas.
La soubrette m’a épilé le pourtour de l’anus et l’intérieur de mes fesses.
La limousine part doucement, sans que l'homme ait dit un mot au chauffeur. Mais il ferme, à droite et à gauche, les volets à glissière sur les vitres et à l'arrière.
Mais il dit :
- Il ne faut pas t'asseoir sur ta jupe, il faut la relever et t'asseoir directement sur la banquette. 
La banquette est en moleskine, glissante et froide, c'est saisissant de la sentir coller aux cuisses. J’ai les fesses et le ventre nus et libres, de la taille aux genoux. Il glisse sa main sous ma jupe et caresse mes jambes nues et libres jusqu’à atteindre ma toison pubienne.
- Ecarte les cuisses, ne croise pas les jambes ni ne serre les genoux.
Il me retire ma veste et caresse mes seins libres et nus offerts.
Il me lie les mains dans le dos avec un foulard, me bande les yeux.
Au bout d'une demi-heure de route, on m'aide à sortir de voiture, on me fait monter quelques marches, nue, sans ma jupe, puis franchir une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout dans une pièce noire.
Puis, quand enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, il y a un épais tapis par terre, des placards et des glaces de haut en bas.
Deux femmes ont ouvert la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues de longues jupes légères et bouffantes, largement ouvertes devant, dévoilant leurs pubis et leurs chattes lisses, des anneaux sont posées aux grandes lèvres, des corselets serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant, et leurs seins nus portent aussi de petits anneaux et des manches à demi longues. Les yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Un homme encagoulé les accompagne. Je découvre un blouson en cuir, entrouvert sur son torse nu musclé et bronzé, et un short largement fendu laissant libre son mandrin en érection, avec un étireur de testicules et un anneau pénien. Il porte un long fouet de cuir souple passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule noire, dont le réseau de tulle dissimule même les yeux, et, enfin, qu'il a des gants de fin chevreau.
L’homme s’approche, caresse mes seins et glisse sa main entre mes cuisses. Je suis toute trempée d’excitation.
L’homme me libère les mains toujours liées derrière le dos.
- On va te baigner et te farder, ma belle.
Je ne baigne pas seule, les mains féminines savonnent tout mon corps et me rincent avec le pommeau de la douche. Elles me lavent les cheveux, me les rincent et me sèchent, assise dans un grand fauteuil qui bascule, et que l'on redresse.
Je reste assise sur ce fauteuil, nue
- Ne croise pas les genoux ni ne les rapproche, ma belle, me dit l’homme, voyeur.
En face de moi une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Mes paupières sont légèrement ombrées, la bouche très rouge, le mamelon et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure du pubis et sur mes aisselles lisses, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
J’entre dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis par terre.
Après le départ des femmes, l’homme m’invite :
- Mets-toi à quatre pattes sur le pouf. Je vais t’essayer avant que tu sois présentée ce soir.
J’obéis. L’homme s’agenouille derrière moi, m’enduit de ma mouille l’anus et enfonce son mandrin bien raide dans mon anus, centimètre par centimètre. Je tends mes bras, pour offrir mes fesses bien rebondies.
- Ton cul est encore serré. Mais, tu sembles aimer, ma belle.
Il me saisit à la taille, me fait coulisser sur son mandrin, m’agrippe de plus en plus fortement les hanches. Je jouis.
Ses testicules bien lourds, étirés et gonflés, sont projetés en cadence contre mes fesses. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses, me chauffant l’anus.
Totalement soumise, je ne peux me dérober et je m’empale sur lui.
Il se retire et se vide dans ma bouche. Il me lubrifie à nouveau l’anus.
Les femmes reviennent avec un collier et des bracelets à mes mesures. Voici comment ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets, puis l'homme me dit de me lever. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je prends le dîner seule, agenouillée, cuisses écartées, mangeant avec les doigts.
A la fin du dîner, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, je porte mes mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais empêche seule d'échapper au pied. Une femme avance devant elle et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils portent les mêmes blousons que le premier, mais aucun masque.
Ils ont tous leurs mandrins maintenus en érection par un anneau pénien à la base des testicules en rendant leurs testicules bien volumineux et super excités.
Ils ont aussi un extenseur de mandrin rallongeant instantanément de quatre centimètres de longueur à leur mandrin et il compresse leur mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple. Leur mandrin est durci, élargi d’un centimètre et l’extenseur comporte des nodules et des picots souples. La gaine dispose à sa base d’une séries de striures qui permettent de bien arrimer la gaine creuse à la base du mandrin. La gaine comporte dans son extrémité creuse un réservoir pour recueillir le sperme lors de l’éjaculation.
Cependant, je suis aveuglée par une lampe-phare qui m'aveugle. On me bande les yeux, j’avance et je trébuche. Deux mains descendent le long de mes fesses après avoir vérifié l'attache des bracelets : elles ne sont pas gantées, et l'une me pénètre de deux parts à la fois, si brusquement que je crie.
Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre. Mais, soudain je perds l'équilibre et bascule à la renverse, soutenue dans des bras,  pendant qu'on m’ouvre les jambes et qu'on m’écarte doucement les lèvres ; des cheveux effleurent l'intérieur de mes cuisses.
« Agenouille-toi ! – Ouvre tes jambes ! » je mets à genoux, en les éloignant l'un de l'autre, et on me défend de les rapprocher. Deux poignes pèsent sur mes épaules comme pour l'empêcher de me relever.
« Vous ne l'avez jamais attachée ?
– Non...
– Ou suspendue ?
– Non, jamais.
– Ni fouettée ?
– Non plus, mais... » C'est l’homme qui m’a emmenée qui répond
L'autre voix, un peu maniérée, le coupe : « Si vous l'attachez quelquefois, si vous le fouettez un peu, et qu'il commence à y prendre goût, ça ne vaut pas. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où il prend du plaisir, pour obtenir des larmes. »
Je fléchis un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
Puis je me retrouve le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et l'un des hommes, me maintenant des deux mains aux hanches, m’encule.
Il cède la place à un second.
Le troisième l'a très grosse et, en me forçant brusquement, me fait hurler malgré le lubrifiant.
Je suce les mandrins que l’on me présente, en aveugle.
On me laissa enfin, captive à la renverse.
Un des hommes me glisse un coussin sous les fesses, m’ouvre complètement les cuisses, me saisit aux chevilles et il m’encule en douceur. Je gémis, mais une main me caresse le clitoris et je jouis. Il m’encule un long moment.
Quand je recouvre la vue, je suis suspendue dans le vide, au milieu de la pièce, cuisses complètement ouvertes, des bracelets en fer emprisonnent mes chevilles et des chaînes sont fixées aux bracelets de mes poignets, les bras tendus en l’air. Je me retrouve exposée, ouverte, offerte, ainsi écartelée face au cercle des hommes aux yeux braqués sur mon intimité secrète. Quatre grands miroirs m’entourent, me dévoilant davantage.
Un des hommes m’enfoncent un spéculum dans l’anus pour voir ma dilatation.
On me montre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir,; le fouet de cuir que le premier des hommes qu'elle ait vu avait à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a un troisième fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, comme si on lès avait trempées dans l'eau, car on m’en caresse le ventre et je sens dans l’intérieur de mes cuisses combien les cordes sont humides et froides.
Qu'on ne me fouette en principe que les fesses et les cuisses, bref, de la taille aux genoux, comme on m'y a préparée dans la voiture qui m'a amenée, quand on l'a fait asseoir nue sur la banquette.
Je les supplie qu'on me détache qu'on arrête un instant, un seul.
Le fouet de cuir me marque beaucoup moins (ce qu'on obtient presque avec la corde mouillée de la garcette, et au premier coup avec la cravache) et donc permet de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt qu'on en a fantaisie. L’homme demande que l'on n'emploie plus que celui-là.
Un des hommes m’enculent à nouveau. Il m’écarte les fesses brûlantes et m’encule jusqu’aux testicules. Je gémis.
- Il faudrait rendre l’œillet plus commode.
- Ce sera faisable et on prendra les moyens. Son œillet n’est pas encore assez assoupli.
Les trois hommes m’enculent ensuite, pour confirmer les dires du premier. Je gémis, bâillonnée par un des mandrins.
Quand on me détache, je suis chancelante et presque évanouie, pour me donner, avant de me faire conduire dans la cellule que je dois occuper, le détail des règles que je dois observer dans le manoir pendant mon séjour et dans la vie ordinaire après mon départ, on me fit asseoir dans un grand fauteuil près du feu, et on sonne. Je me retrouve empalée sur un gode anal réaliste de calibre moyen.
Les deux jeunes femmes qui m’ont accueillie apportent de quoi m'habiller pendant mon séjour et de quoi me faire reconnaître auprès de ceux qui ont été les hôtes du château avant que je ne vienne ou qui le seront quand j‘en serais partie. Je porte un corset très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et une robe à large jupe s’arrêtant au milieu des cuisses dont le corsage laisse les seins, remontés, par le corset, nus et libres. Quand je suis habillée, et un des quatre hommes me saisit, me prenant à la taille d'une main et relevant mes jupes de l'autre, pour faire tenir avec une simple ceinture cette jupe relevée autant qu'on veut, ce qui laisse la disposition pratique de ce qu'on découvre ainsi.
D'ailleurs, on fait souvent circuler dans le manoir ou dans le parc les femmes troussées de cette manière, ou par-devant, également jusqu'à la taille. Je remonte ma jupe à plusieurs tours, dans une ceinture serrée, juste au milieu devant, pour, laisser libre le ventre, ou juste au milieu du dos pour libérer les fesses. Dans l'un et l'autre cas, la jupe retombe en gros plis diagonaux mêlés en cascade.
L’homme me fait me pencher en avant, les mains au sol. Il m’encule jusqu’aux testicules. Je gémis.
Puis il me fait asseoir entre ses cuisses, empalée, enculée, pour que j’écoute le discours.
« Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu feras les corvées et tu t’abandonneras au premier mot ou signe, pour te prêter. Tes mains, tes seins, ton oeillet, ta chatte nous sont libres d’accès à notre gré, sans que tu te dérobes, tes lèvres ne seront jamais tout à fait fermées, tes jambes seront toujours écartées, tu ne pourras plus croiser les jambes ni serrer les genoux, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet qui nous sont ouverts. Devant nous, tu ne toucheras jamais à tes seins : ils sont exhaussés par le corset pour nous appartenir. Le jour durant, tu seras donc habillée, tu relèves ta jupe si on t’en donne l'ordre, et on te baisera on t’enculera, à visage découvert - et comme il voudra - à la réserve toutefois du fouet. Le fouet ne te sera appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui te sera donné par qui le désirera, tu seras punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prends : ton regard doit constamment se fixer sur nos sexes à découvert pour que tu nous suces. Dans la journée, tu observes la même consigne, et tu ouvres ta jupe et la referme quand nous aurons fini avec toi. En outre, à la nuit, tu nous suceras, et tes cuisses seront écartées, car tu auras les mains liées au dos, et tu seras nue comme on t’a amenée tout à l'heure ; on ne te bandes les yeux que pour te maltraiter, et maintenant que tu as vu comment on te fouette, pour te fouetter. Tu seras fouettée chaque jour, pour ton instruction. La nuit, des valets te fouetteront si l’un de nous ne veut pas te fouetter. Il s'agit en  effet, par ce moyen, comme par celui de la chaîne qui, fixée à l'anneau de ton collier, te maintient plus ou moins étroitement à ton lit  plusieurs heures par jour, pour montrer que tu es contrainte, entièrement dévouée à quelque chose qui est en dehors de toi. Quand tu sortiras d'ici, tu porteras un anneau de fer à l'annulaire, qui te fera reconnaître : tu auras appris à  ce moment-là à obéir à ceux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramèneront ici. On va te conduire dans ta cellule. Mais avant, mets-toi à quatre pattes et relève ta jupe»
J’obéis, devant les deux femmes et les quatre hommes.
En un instant un superbe berger allemand amené par un des valets, se positionne sur mon dos et, une main le dirige vers mon anus palpitant, à peine sa verge touche l'entrée de mon anus qu'il se projette à l'intérieur de mon anus de toute sa longueur, m'arrachant un hurlement de douleur, le berger allemand m’encule avec force, sourd à mes cris de douleur, il me viole pendant deux minutes et d'un coup se fige pour me remplir de ses jets de foutre, je le sens se vider à l'intérieur et c’est pour moi une extase totale, et deux doigts sur ma fente me font partir aussitôt.
Mon anus me brûle tellement le chien m'a défoncé avec toute sa fougue, mais j’aime ça. Le berger allemand me lèche l’anus avant que je le suce à mon tour.
Profitant de ma béance anale et du sperme canin, je sens un gode réaliste anal de calibre moyen s’enfoncer dans mon anus, avec à sa base, attaché, à trois petits trous percés dans la base – qui s'élargit à cet endroit pour qu'on soit certain qu'il ne remonte pas à l'intérieur du corps –, trois chaînettes qu'il laisse pendantes. Je sens que le gode imite un sexe en érection, avec une extrémité renflée.
Je me relève, relève entièrement ma jupe, dévoilant mon ventre, mon pubis velu brun , mes genoux polis. L’homme attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il l' y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien.
- Ajustez-les au plus court, ainsi elle ne pourra repousser le sexe et son œillet va être forcé et distendu.
Puis l’homme attache les chaînettes avec de petits cadenas
- Ainsi, quand tu seras seule, tu ne sois pas tentée de te soulager de cette contrainte.
Je marche, le sexe bouge en moi.
Les mules claquent sur le carrelage des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules.
- Tu es dans l'aile rouge, et votre valet s'appelle Emmanuel.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle Amandine.
- Et moi Justine », dit la seconde.
- C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'aura pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile rouge l'année dernière, dit Justine, Emmanuel y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous. Ils t’ont mis un gode que tu vas porter, huit jours durant, entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où tu finis ton service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on t'y ramène, enchaînée, nue. Tu en porteras un plus épais chaque jour. Tu le porteras nue, parfumée, au repas du soir. Emmanuel ne te l’enlève pour que pour t’enchaîner, soit les mains au dos s'il doit te conduire à la bibliothèque, soit au mur pour la nuit si personne ne te réclame. Rares sont les nuits, où tu seras enculée à maintes reprises. J’y suis passée.
Au détour du couloir, on me fait s'arrêter devant une porte que rien ne distingue des autres : sur une banquette entre cette porte et la porte suivante j’aperçois un bel étalon bronzé, vêtu d’un gilet en cuir, avec un étireur de testicules et un anneau pénien, son gilet de cuir cache de petits seins, c’est un transsexuel. Il porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les trois femmes, disant :
- Je referme, vous sonnerez quand vous aurez fini. Relève ta jupe, ma belle.
Il découvre la ceinture et les chaînettes.
- Tu portes le gode d’assouplissement. Je te le retires tout à l’heure et je ferais usage de toi.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures. Il n'y a pas d'autres meubles, il a de grandes glaces sur les murs, du haut en bas de la paroi, que n'interrompent aucune tablette et au plafond. Il y a un tapis au sol. Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, est en même tissu, la couverture à double face aussi. Le seul objet qui est au mur, deux mètres au-dessus de la tête du lit, est un gros anneau d'acier brillant, où passe une longue chaîne d'acier qui pend droit sur le lit ; ses anneaux entassés forment une petite pile, l'autre extrémité s'accroche à portée de la main à un crochet cadenassé, tirée et prise dans une embrasse.
Il y a un autre crochet suspendu face à la fenêtre, à la même hauteur.
- Nous devons te faire prendre ton bain, dit Justine. Je vais défaire ta robe. 
Dans la salle de bains se trouvent le siège à la turque, dans l'angle le plus proche de la porte, et le fait que les parois sont entièrement revêtues de glace. Il y a un bidet et une douche.
Une fois nue, Amandine et Justine rangent ma robe dans le placard près du lavabo, où sont déjà rangées mes mules, et demeurent avec moi, je m’accroupis sur le socle de porcelaine, je me trouve au milieu de tant de reflets.
- Attendez que ce soit Emmanuel, dit Justine, et tu verras.
- Pourquoi Emmanuel ?
- Quand il viendra t’enchaîner, il te fera peut-être accroupir.
Puis elles me conduisent sous la douche. Pendant que Justine me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Amandine me savonne les seins et la chatte, me passe la main entre les jambes, décalotte délicatement mon clitoris. Je jouis sous leurs caresses. Amandine va jusqu’à enfoncer deux doigts dans ma chatte resserrée par le gode et Justine me masse les seins aux mamelons durcis par les caresses.
Je me sens pâlir. « Mais pourquoi ? dis-je.
- Tu seras bien obligée, réplique Justine, mais tu as de la chance.
- Pourquoi de la chance ?
- C'est ton amant qui t’a amenée ?
- Oui, dis-je.
- On sera beaucoup plus dur avec toi. Tu comprendras très vite. Je sonne Emmanuel. Nous viendrons te chercher demain matin. »
Amandine sourit en partant, et Justine, avant de me suivre, caresse, à la pointe des seins, je reste debout au pied du lit, interdite.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
« Alors la belle dame », dit le valet en entrant. Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Je vais te retirer le gode et tu vas t’installer sur le bidet.
En retirant le gode, mon anus est béant et humide. J’obéis et je rejoins le bidet. Là, je me retrouve assise, courbée en avant. Je sens un doigt chargé de savon me pénétrer et me laver soigneusement l’anus, et je frissonne profondément. Il m’enfonce ensuite une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau tiède. Je comprends que, tel un ustensile qui vient d'être utilisé, on me nettoie parfaitement partout où l'on s'est servi de moi, afin qu'on puisse recommencer dès qu'on en aura le caprice.
Profitant de mes cuisses écartées, il me caresse le clitoris et je mets à jouir.
Une fois propre, il me conduit devant la fenêtre et m’enchaîne debout, nue et les bras en l'air.
Je suis sur la pointe des pieds, j’écarte mes jambes. Il se met derrière moi, m’ouvre les fesses de la main gauche, et il présente son gland et il m’encule dans de longs va-et-vient, tandis que puis de toute sa force il abat sa cravache sur le devant des cuisses.
Puis il se retire, se met face à moi, il me soulève les cuisses, me fait empaler, enculer. Il me fixe une barre d’écartement à mes chevilles, me laissant les cuisses écartées en permanence. Empalée jusqu’aux testicules, j’entends un sifflement et je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Emmanuel me cravachait à toute volée. Il n'attends pas que je me taise, et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Mes larmes coulent dans sa bouche ouverte.
- Tu es coopérative, ma belle.
Je sens son sperme inonder mon anus béant.
Il se retire, tout en me laissant la barre d’écartement et me remet le gode en place.
Je vois des lumières rouges sur une télécommande qu’il tient en main devant moi.
Le gode se révèle être un vibromasseur qui se gonfle. J’en fait l’expérience.
Je sens d’abord le gland qui monte et descende à l’intérieur de mon anus ; puis les mouvements de va-et-vient s’accélèrent dans mon anus, et enfin, le gland va encore plus vite de haut en bas dans mon anus, combiné à des vibrations par à-coups et à intensité progressive. Je sens aussi le vibromasseur se gonfler.
- Ainsi, ton œillet va se dilater et gagner progressivement du volume.
La séance dure une demi-heure et je suis pantelante, ayant connu un orgasme anal sans me masturber.
Pendant la nuit, jusqu’à l’aube, je subis les assauts vibratoires du gland et du gonflage et dégonflage, par les actions des valets qui me viennent me faire jouir.
Je gagne un centimètre d’ouverture anale en quelques heures.
Mon pubis est entièrement couvert du sperme des valets, qui m’honorent la chatte.

Je regarde naître une lente aurore pâle, dehors.
Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette.
Il s’approche pour balayer devant la fenêtre, la fenêtre est si grande et la pièce si petite et si claire qu'il me voit enchaînée debout, nue et enchaînée les bras en l'air, avec les marques de la cravache sur les cuisses. Les balafres ont gonflé et forment des renflements étroits, plus foncés.
Il se masturbe devant moi, je regarde son mandrin en érection, tandis les va-et-vient du gland vibromasseur se font de plus en plus rapides, tout en gonflant pour me dilater, je suis entre douleur et plaisir. Ma mouille dégouline de ma chatte trempée d’excitation.
Puis le jardinier repart, les vibrations diminuent progressivement et que le vibromasseur reste gonflé.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à  un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrant toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre dans ma cellule, est vêtu d’un blouson de cuir, les jambes nues et de bottes.
Il me libère du vibromasseur et découvre mon anus béant et bien humide, il me passe la main entre les cuisses.
- Tu es toute trempée, ma belle.
Puis il me caresse les fesses, me libère du crochet qui tend mes bras en l’air et joint mes mains à mon cou, me fait pivoter et m’allonge sur le ventre, sur le lit. Je garde la barre d’écartement.
Il s’agenouille derrière mes fesses, m’encule, je sens ses testicules bien volumineux et super excités claqués contre mes fesses à chaque va-et-vient. Je jouis faiblement. Il ne se retire que pour éjaculer sur mes fesses.
Enfin, il me retire la barre d’écartement et me libère les mains.
Amandine et Justine sont entrées avec lui, et elles attendent debout de chaque côté du lit. Sur quoi il s'en va.
Justine tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mangez vite, dit Amandine, il est neuf heures, tu pourras ensuite dormir jusqu'à midi, et quand tu entendras sonner il sera temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu prends un bain et tu te coiffes, je viendrai te farder et te lacer ton corset.
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Justine, pour la bibliothèque servir le café, les liqueurs.
- Mais vous ? dis-je
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'auras affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à  nous. Chaque jour davantage, car l’homme qui va te faire prosterner, pour veiller à ce que l’une de nous fixe le gode  qu'il a choisie, le prend plus épais.
- Restez, dis-je, restez encore, et dites-moi...
mais elle n'eut pas le temps d'achever, la porte s'ouvre : c'est l’homme qui m’a emmenée, et il n'est pas seul.
Tous les deux sont nus avec des anneaux péniens et des étireurs de testicules.
Je me lève, l’homme appuie doucement la paume fraîche de ses mains, puis ses lèvres tout le long des balafres. Puis il m’entraîne au pied du lit, il fit remarquer à  son compagnon qu'il a eu raison, et le remercie
- Prends-la en premier. Ecarte tes jambes.
J’obéis. Il me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main droite me caresse un sein, et l'autre me tient l'épaule. L'inconnu s'était assis sur le rebord du lit, il a saisi et lentement ouvert, en tirant sur les poils pubiens, la chatte. René me pousse en avant, pour que je sois mieux à portée, et son bras droit glisse autour de ma taille, ce qui lui donne plus de prise.
L’inconnu me lèche le clitoris jusqu’à le durcir.
Je jouis et je perds pied, je me retrouve étendue sur le dos, la bouche de René sur ma bouche ; mes deux mains me plaquent les épaules sur le lit, cependant que deux autres mains sous mes jarrets m’ouvrent et me relèvent les jambes. Mes mains sont sous mes fesses (car au moment où René m'a poussé vers l'inconnu, il m’a lié les poignets en joignant les anneaux des bracelets), mes mains sont effleurées par le mandrin de l'homme qui se caresse au sillon de mes fesses, s’enfonçant dans mon anus. Mes jambes sont à angle droit, rendant la sodomie plus aisée. L'homme se retire après avoir éjaculé dans mon anus.
René me défait les mains, me met à quatre pattes sur le lit, m’encule à son tour, tandis que je suce l’inconnu et le nettoie. René m’inonde l’anus.
L'homme repart, René reste enculée en moi.
Il m’embrasse, me dit :
- Je t'aime. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang.
Le soleil inonde la chambre.
- Prosterne-toi, pour recevoir ton nouveau gode.
J’obéis. Justine m’enfonce le gode plus épais d’un centimètre. L’homme me cadenasse les chaînettes. Mon anus s’ouvre de trois à quatre centimètres sans gonflage jusqu’à cinq avec le gonflage.
Puis René s’installe sur le lit et me parle. Il me dit, tout en me tenant par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, qu'il entend
- Que je sois désormais mise en commun entre lui et ceux dont il déciderait, et ceux qu'il ne connaîtrait pas qui sont affiliés à la société du manoir, comme je l’ai été la veille au soir. Que c'est de lui, et de lui seul que je dépends, même si je reçois des ordres d'autres que lui, qu'il soit présent ou absent, car il participe par principe à n'importe quoi qu'on peut exiger de moi ou m’infliger, et que c'est lui qui me possède et jouit de moi à travers ceux aux mains de qui elle était remise, du seul fait qu'il la leur a remise, je leur ai soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel je l’accueille. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouvent, mais pour que tu prenne conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois, tant que tu es dans ce manoir, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Lève-toi. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. 
Je me lève, les va-et-vient du vibromasseur reprennent et il se gonfle. René remarque mes mouvements de mon bassin. Je me baigne, l'eau tiède me fait frémir quand mes cuisses meurtries y plongent, et je m’éponge sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant la glace. Je suis tentée de me caresser le clitoris pour jouir davantage. Je me farde ma bouche, non mes yeux, me poudra et toujours nue, mais les yeux baissés et la bouche entrouverte, je reviens dans la cellule.
René regarde Justine, qui est entrée, et se tient debout au chevet du lit, elle aussi les yeux baissés, muette elle aussi. Il dit de m'habiller.
Justine prend le corset, et ayant agrafé mon corset sur le devant, commence à serrer le lacet par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur mamelon. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses.
- Pas besoin de la robe, elle doit laisser visible la ceinture et les chaînettes. Elle ne chausse que ses mules. Ainsi, on verra ses marques sur ses fesses et sur ses cuisses.
Les vibrations augmentent progressivement. Les mouvements de mon bassin sont plus violents et je jouis.
Nous sommes toutes les deux debout l'une près de l'autre. Justine me caresse les seins et René plonge ses doigts dans ma chatte trempée, devant une des glaces.
Justine relève sa robe et René guide mes doigts dans sa chatte, nous jouissons presque simultanément.
René me prend dans ses bras et me fait sucer mes doigts trempés par la mouille de Justine.
« Je t'aime, je lui dis à son oreille, je l'aime », si bas qu'il entendait à peine. « Je t'aime. » II ne part que lorsqu'il me voit douce et les yeux clairs, heureuse.
Justine me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet. Il était vêtu comme Emmanuel, mais il est grand, sec.
Il me dégonfle le gode, me le retire, me fait me pencher en avant, les mains sur le mur et m’encule avec son gros mandrin. Je jouis. Il éjacule sur mes fesses.
Il nous précède, et nous fit entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent, deux dobermans à leurs pieds.
- A quatre pattes, mesdemoiselles.
Nous obéissons. Justine relève sa robe et le valet me retire le gode.
Sans attendre, le premier doberman me monte, m’encule, il n'a qu'ouvert la voie vers son propre plaisir, l'animal prend place entre mes magnifiques fesses et m’encule, et fait très rapidement passer son nœud à travers mon anus étroit. Je gémis, rapidement bâillonnée par le mandrin d’un des valets.
Justine subit le même sort.
Je desserre les fesses au maximum pour faciliter la saillie anale canine. Mon bassin ondule. Ce n’est qu’au bout d’une demi-heure, qu’il éjacule longuement et à peine qu’il est sorti de mon anus, que le second prend le relais et m’encule avec aisance, l’anus béant et humide du sperme du premier et j’explose dans quatre violents orgasmes anaux.
Les valets me remettent le gode en place, dès son retrait et le gonfle. Mon anus est devenu sensible et je sens ma rosette anale devenir plus large et un peu souple, par les sodomies nocturnes.
Pendant les repas, qui ont lieu dans la salle où on m'a fait entrer, la salle est dallée et il y a une table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les filles y ont pu faire par-dessous, et chaque fille a pour s'asseoir un tabouret rond recouvert de cuir. Il faut relever sa jupe pour s'y poser, et je retrouve ainsi, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, le premier instant où mon amant m'a fait asseoir à même la banquette de la voiture. Inversement, lorsque je vais quitter le manoir, et que je serais, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mon tailleur banal ou ma robe ordinaire, relever à chaque fois ma jupe pour m'asseoir aux côtés de mon amant, ou d'un autre, à même la banquette d'une auto ou d'un café, c'est le manoir que je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible silence. Rien cependant qui ne m’a été d'autant de secours que le silence, sinon les chaînes.
Le valet de permanence ne se gêne pas pour me caresser les seins et entre mes cuisses écartées, en augmentant l’intensité du vibromasseur. Je me mords l’index pour ne pas jouir en public.
Après le dîner, le valet me retire le gode et me fait mon lavement.
Je passe l’après-midi, en corset, jambes nues, offerte au premier venu.
A la bibliothèque, après mon service, je me fais enculer par les deux hommes présents, puis un berger allemand, un doberman et un dogue.
Pantelante, je suis reconduite à ma cellule, pour recevoir mon nouveau vibromasseur plus long et de même largeur, jusqu’à l’orgie anale pendant la nuit à la bibliothèque avec des hommes et des chiens. Je suis fouettée et enculée dans ma cellule.

Au bout de huit jours, aucun appareil n’est plus nécessaire, et René me dit
- Je suis heureux que tu sois si bien ouverte, et je veillerais que tu le demeures. Tu aimes être caressée, fouettée, te soumettre dans le silence. Ta bouche est plus belle à sucer les mandrins anonymes, tes mamelons que des mains constamment froissent, et entre tes cuisses écartelées ta chatte et ton anus sont labourées à plaisir. Tu es devenue digne d’une prostituée.
Ce soir-là, je fais le service et je conserve donc non seulement mon corset et mes mules, mais aussi le vibromasseur gonflé qui remplit mon anus. Les hommes arrivent l'un après l'autre, nus, cagoulés de noir, leurs mandrins libres en érection.
Je les suce, avant de me faire enculer par chacun et aussi par trois chiens devant René.
Puis je me retrouve assise sur un banc long, les yeux bandés, nue, déchaussée.
Je m’allonge sur le dos, on me fixe des bracelets en cuir à mes chevilles. De gros doigts me saisissent les bras et me les rabattent en arrière, ils sont plaqués contre le bois, puis on pesa sur mes poignets croisés pour les immobiliser.
Je reçois la cravache, le fouet pour m’interroger sur mon vrai emploi. Je gémis tout en gardant le silence. Je me suis habituée à être fouettée.
On gonfle davantage le vibromasseur mais je ne dis rien.
- Elle garde le silence. Elle ira au chenil et elle sera questionnée, dit un des hommes.

Lorsque René m'avertit qu'il me laisse, la nuit est déjà tombée. Je suis nue dans ma cellule, et René est nu. Il me prend dans ses bras, m’embrasse, m’allonge sur le lit, sur le dos, m’encule, allongé contre moi, pour finalement éjaculer dans ma bouche, qu'ensuite il embrasse encore.
« Avant de partir, je voudrais te voir encore une fois fouetté dans cette chambre. Et cette fois je te le demande, car je voudrais que ce soit jusqu'au sang. Acceptes-tu ? »
J’accepte
« Je t'aime », répète René. « Sonne Emmanuel. »
Y sonne.
Emmanuel me menotte devant la grande fenêtre comme au premier soir, René m’embrasse, me caresse encore, fait signe à Emmanuel.
Il me cravache les fesses jusqu’au sang et m’encule ensuite, sur l’ordre de René.
D’autres valets m’enculent, décuplant mes orgasmes anaux, jusqu’à l’épuisement.
René renvoie Emmanuel, il me délie, me couche et part.

Toujours est-il que le surlendemain de son départ, au soir tombé, nue, je me regarde dans les grandes glaces les marques de la cravache qui cicatrisent sur ses fesses et sur le devant de mes cuisses, Emmanuel entre.
- Tu ne prends pas ton dîner. Tu dois t'apprêter.
Il me désigne dans l'angle le siège à la turque.
Je m’accroupis devant lui, je me baigne, sous son regard.
Je me sèche, me coiffe, me parfume, me farde.
Emmanuel me penche en avant, les mains au sol. Il m’encule jusqu’aux testicules. J’ai un orgasme, quand il s’empare de mon clitoris fraîchement percé au niveau du capuchon, orné d’un petit anneau doré avec un diamant. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses. Il éjacule dans ma bouche.
Quand je suis prête, il me lie les mains au dos.
Je reste debout devant une des glaces à observer ma chatte trempée enter mes cuisses écartées. Emmanuel, revenant, avait à la main le même bandeau dont on m’a bandé les yeux le premier soir. Il a aussi, qui cliquète, une longue chaîne semblable à celle du mur. Il y a encore cinq jours et cinq nuits à passer.
Emmanuel attache sur ses yeux le bandeau de velours. Il se renfle un peu au-dessous des orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le moindre regard, impossible de lever les paupières. Emmanuel attache cette chaîne à l'anneau de mon collier, et me prie de l'accompagner. Je sens qu'on me tire en avant, et marche.
Mes pieds nus sentent le carreau glacé. Puis le sol, toujours aussi froid, devient rugueux – il marchait sur un dallage de pierre, grès ou granit.
À deux reprises, le valet me fait arrêter, j’entend le bruit d'une clef dans une serrure, ouverte, puis refermée.
- Prends garde aux marches.
Je descends un escalier, et effectivement j’y trébuche une fois.
Emmanuel me rattrape à bras le corps : il me presse, dos contre le mur froid où je sens de mes mains liées m'accroche tant bien que mal pour ne pas glisser, et qu'il m'embrasse dans le cou, derrière l'oreille, que sa bouche va de l'un à l'autre de mes mamelons, qu'il me lèche la chatte.
Je me retrouve prosternée sur les marches de l’escalier, enculée à aisance. Il éjacule longuement dans mon anus tandis qu’un orgasme anal m’irradie.
Emmanuel ne me redresse qu’après.
Je descends les dernières marches, quand j’entends ouvrir encore une porte, que je franchis, et j’ai aussitôt sous mes pieds un épais tapis.
Au milieu de la salle, trône une sorte de table basse réglable par plusieurs manivelles, j'ai la chatte trempée, dégoulinante. Je suis très excitée. Je me suis allongée sur la table d'abord sur le dos les cuisses bien écartées pour laisser voir ma chatte qui, je le sens, ruisselle abondamment.
Je m’allonge sur le ventre le cul légèrement cambré par des coussins, il pose une couverture sur mon dos pour me protéger me dit-il des griffures. Je suis entravée.
- Tu vas subir les saillies anales canines. Ici, tous les chiens sont spécialement dressés pour enculer les soumises. Tu seras aussi interrogée. Dans une autre pièce, d’autres surprises t’attendent.
La pièce est voûtée. Dans une niche, un plateau de bois présente de l'eau, des fruits et du pain. Des rampes lumineuses, en veilleuse, éclairent en rasant les bases de la voûte d'une lueur rousse. Emmanuel s’en va.
Un homme cagoulé entre. Il tire les rideaux et je découvre de part et d’autre des cages avec des chiens de garde, excités par mon odeur de femelle en chaleur.
L’homme me lubrifie l’anus.
Le premier chien, un berger allemand, pose ses pattes de devant qui enserrent mon buste, son sexe s’enfonce dans mon anus, guidé par l’homme. Il éjacule assez rapidement, mais il m’encule à nouveau, en enfonçant cette fois son nœud pour m’écarteler. Je sens son nœud se mettre à gonfler. La bête me remplit au plus profond de moi-même en se projetant de plus en plus, c’est douloureux et bon. J’ai quatre orgasmes
Un à un, tous les chiens m'ont enculée déversant une grosse quantité de foutre dans mon anus mis à mal par les nombreuses saillies.
Un berger belge m’a donné énormément de plaisir quand il m’a enculé avec sa longue tige qu’il fait coulisser assez rapidement dans mon anus. Puis un doberman m’encule.
Toutes les cinq saillies, on me fait un lavement. Des hommes me fouettent aussi, en l’absence des chiens et m’enculent aussi.
Je finis mes journées épuisée, le cul en feu à satisfaire, mais je garde le silence sur ma mission dans le manoir.
Un après-midi, le valet me conduit dans une grande pièce où m’attendent trois pur-sangs, leurs sexes en érection.
Je m’approche et le caressant sur le front. Je passe ma main sous lui. Je mouille de suite entre les cuisses ! Je me suis agenouillé sous lui doucement. Sans un mot,  je prends son énorme sexe entre mes doigts et je commence des va-et-vient très sensuels avec mes deux mains. Sa bite gonfle immédiatement et s’allonge et devient très grosse et dure. Elle fait au moins quatre-vingt centimètres. J’approche ma bouche et je passe ma langue sur un étonnant petit tuyau qui est en plein centre de son gland dilaté. Ma langue passe et repasse sur cette chose. J'essaie de mettre son sexe dans ma bouche au plus profond.
Le valet me fait menotter à une sorte de table matelassée légèrement inclinée m'oblige à être courbée en deux, les fesses plus hautes que la tête, et une barre métallique posée au sol force mes jambes à être écartée de façon importante.
Le valet enfonce son sexe dans mon anus. Je grimace de douleur quand il force le passage. Je pousse des cris déchirant tandis que des larmes de souffrances coulent sur mon visage.
Enfin le passage anal cède à la pression.
Le phallus se met plus profond en moi. Je hurle de douleur tellement ça fait mal. La douleur diminue et son gland et toute sa longueur de bite du cheval gonflent encore.
Soudainement, hennissant comme un sauvage il m’inonde largement l’anus, qui dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets.
Les deux autres pur-sangs m’enculent ensuite.
Ceci se répète, le matin, les chiens et l’après-midi, les chevaux.

Il y a trois mois, trois jours que j'attends, ou dix jours, ou dix ans. Je sens qu'on m'enveloppe dans une étoffe épaisse, et quelqu'un me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve dans ma cellule, c‘est le début de l’après-midi, dans une position insolite : un berger allemand est couché sur le dos, son sexe enfoncé dans ma chatte trempée et un doberman m’encule simultanément. Je m’aplatis sur le berger allemand. Je crie au début, car c’est assez douloureux. Tous les deux enfoncent leurs nœuds dans ma chatte et mon anus. La douleur est contrebalancée par le plaisir de la queue de l'autre chien dans ma chatte, puis le plaisir anal m’envahit. J’enchaîne les orgasmes. Et lorsque les deux chiens éjaculent, à quelque minutes d'intervalles, que je sens ma chatte et mon anus abondamment trempés de sperme tiède, qui sort de ma chatte et de mon anus, dégoulinant le long de mes jambes, je faillis m’évanouir.
Les deux chiens se retirent et me lèchent la chatte et l’anus. Je jouis.
René est surpris de ma soumission comme chienne.
- Avant de te rhabiller, laisse-moi te prendre en double pénétration, ma chérie.
L’homme qui m’a expliqué les règles du manoir entre.
Je me couche sur René lui offrant ma chatte tandis que l’autre m’encule.
J’ai un violent orgasme quand ils éjaculent presque simultanément.
Je nettoie leurs mandrins.
Justine vient me donner un dernier bain et un double lavement. Ensuite elle me brosse les cheveux, me farde et me tend le parfum ; nos regards se croisent, mais aussitôt Justine détourne le sien. Il sort.
Quand je reviens dans la cellule, Justine n’y est plus.
Devant une des glaces, je découvre mon nouveau corps. Je suis intégralement épilée, ma toison pubienne brune a disparu, ainsi que mes aines, le haut de mes cuisses, mes grandes lèvres, mon périnée, mon pourtour de l'anus et l'intérieur de mes fesses.
Je remarque que mon clitoris percé est mis en valeur et il a pris du volume.
- En effet, pendant ton séjour, chaque soir, tu as reçu une injection et ton clitoris es devenu hyper sensible. Le moindre frottement de tissus ou même ne serait ce que l'air sur ton clitoris te provoqueront une excitation énorme. Ton clitoris pointe au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Comme depuis deux semaines, les mains menottées, elle n’a pas pu se faire jouir. Elle a éprouvé la douleur sans broncher par son clitoris constamment tendu.
Mon clitoris est devenu gros comme une cerise, volumineux, saillant.
Je me masturbe devant les deux hommes. J’ai un violent orgasme.
Je me poudre et je me mets du rouge à lèvres.
Je choisis une bague de fer, intérieurement cerclée d'or, dont le chaton large et lourd, mais renflé, portait en nielles d'or le dessin d'une sorte de roue à trois branches, qui chacune se referme en spirale, semblable à la roue solaire des Celtes. La seconde, en forçant un peu, me va exactement. Elle est lourde à sa main, et l'or brille comme à la dérobée dans le gris mat du fer poli.
L’homme me défait le collier et les bracelets qui m’ont tenue captive depuis deux semaines.
Je m’habille, dans ma cellule. J’enfile ma jupe sur mes fesses nues, mes reins et mes fesses sont longuement caressés par René. Je me chausse de mes mules à mes pieds nus. Je ne mets pas ma veste, restant torse nu. Les deux hommes me caressent mes seins, mais je sens que mes mamelons sont constamment tendus comme mon clitoris.
Nous quittons la cellule, je mets ma veste et je suis René, le tenant par la main. L'inconnu qui nous accompagne, ouvre les grilles, et que ne gardent plus ni valets ni chiens. Il soulève un des rideaux de velours, et nous fait passer tous les deux. Le rideau retombe. On entend la grille se refermer. Nous sommes seuls dans une autre antichambre qui ouvre sur le parc. Il n'y a plus qu'à descendre les marches du perron, devant  lequel je reconnais la voiture. Je m’assois sur la banquette arrière,  en relevant ma jupe, près de mon amant, la voiture démarre.

De retour chez moi, je retrouve mon amie Sarah, qui a assuré la permanence en mon absence.
Sarah me confie :
- Le comte B et Lady A sont deux amants cachés. La jeune O est née d’une liaison incestueuse entre un certain Sir Oscar et sa cousine, qui est morte peu après la naissance d’O. O a été éduquée par le comte B et Lady A, deux membres de la haute bourgeoisie. Le comte B est un homosexuel, qui aurait une liaison avec un certain René, membre influent au niveau de l’Etat, un haut fonctionnaire fédéral auprès du gouverneur. Un amant d’O, un agent fédéral s’est suicidé à la mort d’O. Enfin, ton amie Brigitte m’a révélé que le trio est mort empoisonné, sans avoir trouvé l’objet du délit. O est membre de l’ordre des Vierges, par sa bague, ses fers aux deux grandes lèvres et ses marques au fer rouge sur ses fesses, tout comme Lady A. Le comte B appartient à l’ordre des affiliés, se réunissant dans un manoir.
- Sarah, tu m’as manqué pendant deux semaines. Viens me faire l’amour, j’ai la chatte en feu et je te réserves quelques surprises.
Sarah est une beauté de cinq ans plus âgée que moi, châtain aux yeux verts, pour des mensurations 85B-56-86 pour 1,70 cm.
Nous montons dans ma chambre. Je me déshabille, dévoilant mon corps intégralement épilé, mon anneau au capuchon du clitoris.
Sarah a sa chatte intégralement épilée ainsi que le pourtour de son anus.
Sarah se couche sur le dos. Nous sommes sont allongées l'une sur l'autre, face à face, la tête face au sexe de notre partenaire. Ainsi nous prodiguons un cunnilingus nous permettant des orgasmes simultanés. Nous léchons nos clitoris et nous insérons délicatement nos doigts dans l'anus de ma compagne.
- Ton cul est bien large et souple, ma chérie, me complimente Sarah. Toi, vierge du cul, tu es devenue large.
- J’aime me faire enculer. Surtout, quand un étalon bien monté m’encule, je suis aux anges.
Puis nous sommes allongées tête bêche, nous coulissons nos corps de manière à faire se rencontrer nos chattes, remplies par un double gode.
Repue, je me mets à quatre pattes et j’invite Sarah :
- Encule-moi, je suis ta soumise.
Sarah enfonce son gros gode réaliste dans mon anus qu’elle m’a lubrifié en 69. Je jouis sous ses coups de boutoir bien ajustés. J’ai un premier orgasme, puis un second, le clitoris caressé par Sarah.
Je fantasme sur les hommes, les chiens et les chevaux qui m’ont enculé, décuplant mon second orgasme anal.
Puis j’encule Sarah avec le gode-ceinture. Sarah est offerte, les jambes tendues en V en l'air, Sarah stimule son clitoris avec ses doigts.
Pantelantes, nous prenons une longue douche lesbienne, caressant nos corps, doigtant nos chattes et nos anus vers de nouveaux orgasmes.
Peu après le départ de Sarah, je reçois nue, un officier fédéral qui a vu ma bague et mon clitoris percé.
- Je suis officier Ken, dépendant du juge en charge du triple meurtre. Vous êtes très belle, miss Prudence. Sucez-moi et je vous prendrais pour me confier à vous.
J’obéis. L’homme exhibe un superbe mandrin et un étireur de testicules mettant en valeur ses testicules rasés et portant des anneaux dorés à chacun. Ils sont bien volumineux.
J’alterne en gobant ses testicules et en suçant son mandrin qui durcit.
Il me conduit sur le canapé et m’encule sur le champ sans demander mon reste. Il s’enfonce jusqu’aux testicules, qu’il fait claquer contre ma chatte trempée. Je m’empale sur lui, lors de mon orgasme anal.
- Tu es bien une jouisseuse de l’ordre des vierges. J’aime ton cul élargi, souple, qui s’ouvre pour m’accueillir.
- Encule-moi, je suis ta soumise.
Il me chauffe les fesses de quelques claques magistrales, avant d’éjaculer dans ma bouche. Nous prenons une douche et il se confie.
- Prudence, O est née de l’inceste de la cousine de Sir Oscar, un parlementaire de l’Etat. Sir Oscar l’a fait éduquée dans les écoles catholiques jusqu’à sa puberté. A 16 ans, il l’a remise au manoir pour son éducation, à laquelle j’y ai participé. O est une jolie fille qui se soumet à tous les désirs du manoir. A sa sortie du manoir, elle a son anus élargi, elle aime les viols collectifs. Sir Oscar l’a remet à un membre du bureau du gouverneur, pour la dresser, de façon sadique. Puis Sir Oscar l’a fait marquée avec des fers, qui percent chacune de ses grandes lèvres et sa marque sur ses fesses au fer rouge. O devient la propriété de Sir Oscar. C’est là, que le comte B, un membre du conseil municipal entre en jeu, en rachetant O et lui fait poser trois anneaux dorés : un au clitoris et deux pour ses mamelons et O offre un clitoris et des mamelons constamment tendus comme toi. Je l’ai remarqué. Enfin, Lady A en fait sa soumise attitrée lors d’orgies masquées. Je pense que le tueur est un membre d’un ordre rouge, qui dirige la ville et le comté.
Je le suce et il m’encule à nouveau, je suis renversée en arrière, les chevilles sur les épaules. Je sens le poids et le volume de ses testicules sur mes fesses à chaque coup porté et j’ai un orgasme anal violent.
Il éjacule dans ma bouche.
A son départ, je découvre dans ma table de chevet, un coffret. Je l’ouvre et découvre une collection de bijoux d’anus de divers calibres.
Ils vont de six centimètres de long dont cinq m’enculent, pour trois de diamètre, pour 34 grammes à treize centimètres de long dont douze m’enculent pour cinq de diamètre pour 635 grammes.
Ils sont en forme de forme en sapin et ont une large base pour un excellent maintien dans l’anus. Mon anus se referme sans gêne sur le bijou. Je me lubrifie l’anus et je me l’enfonce. J’ai le cul bien rempli. Je me masturbe le clitoris sur mon lit, repensant aux ébats du manoir.

Le lendemain après mon lavement par la soubrette que René m’a offerte, je rejoins la mairie pour lire l’état civil. Je porte mon bijou d‘anus le plus gros. Je suis vêtue d’un tee-shirt porté à même la peau, et qui dessinent si doucement mes seins, une jupe plissée qui si facilement tourbillonne, prennent un peu l'allure d'un discret uniforme. Je suis chaussée de mes mules à très hauts talons.
Je porte un collier et des bracelets composés de discrètes chaînettes qui me rappellent un peu le manoir.
Mais il n’y a aucun avis de décès de la cousine de Sir Oscar, comme si elle avait disparue.
Là, je fais la connaissance d’Annie, une jolie beauté brune, aux yeux verts, qui me séduit.
Annie est un transsexuel qui connaît les mœurs des hauts fonctionnaires de la ville.
Nous allons dans un discret hôtel, non loin de la mairie et de la représentation du gouverneur.
Nus, nous faisons l’amour dans un 69 torride. Je la suce, embouchant totalement son long et gros mandrin, en caressant ses testicules. Annie me lèche la chatte et plonge deux doigts dans mon anus. Je jouis entre deux fellations.
Annie m’encule à quatre pattes. J’ai plusieurs orgasmes, les fesses chauffées par ses claques magistrales.
Je suis la première femme qu’elle encule, préférant les hommes.
Elle m’invite à me caresser le clitoris et d’une main, Annie s’empare de mes seins, pince tendrement mes mamelons constamment tendus. J’explose en un violent orgasme anal.
Je me redresse, pour toucher ses seins plantureux avec mon dos, toujours enculée. Les caresses sur mes seins se font plus sensuelles et mon bassin ondule violemment sur son mandrin. Annie me doigte profondément la chatte trempée.
- Tu connais le plaisir, Prudence. J’aime m’enfoncer dans ton cul élargi, souple et trempé. Coulisse sur ma queue, ma chérie.
Annie éjacule dans mon anus. Je me retire et je nettoie son mandrin.
Nous entendons du bruit dans la rue. C’est Mark et Peter, deux fonctionnaires travaillant pour le procureur régional et le shérif. Mark est un coureur de jupon bisexuel et Peter est un homosexuel, client assidu d’Annie.
Annie me fait quelques confidences sexuelles sur les deux. Je fantasme de faire l’amour avec les deux et les soumettre à mon désir. Sarah possède des tenues en cuir de dominatrice. Je serais ainsi cagoulée et anonyme.
Je me douche avec Annie, qui me fait jouir.
Nous sommes debout l'une derrière l'autre. J’écarte les cuisses afin de laisser accès ces parties intimes à Annie.
Annie stimule ces zones de sa partenaire avec les doigts ou avec la main. L'accès est facile et polyvalent, permettant de stimuler le clitoris, et m’enfonce les doigts simultanément dans la chatte et l’anus. J’ai un violent orgasme.
Je me rhabille et je pars draguer Mark, que je convie chez moi.
Je le déshabille et le menotte à mon lit, les yeux bandés, attaché en croix sur le lit, bras et jambes écartés. Je le suce, en me faisant lécher l’anus. Je jouis.
Une fois bien dur, j’emprisonne son mandrin dans une cage de chasteté que je cadenasse. Je lui rase les testicules.
Le "Harnais de chasteté" est réalisé en lanières de cuir noir avec deux anneaux en métal qui enserrent le mandrin et il se referme grâce à deux cadenas et je le gode en même temps avec un gode long de quatorze centimètres et trois de diamètre. Il gémit car il est serré. Je l’encule autant de temps que je le désire.
Il passe l’après-midi, bâillonné dans ma chambre, à la merci de la cravache que je lui administre, menotté à quatre pattes su le lit.
J’alterne la cravache et le gode.
Peu avant la tombée de la nuit, je le libère et je le contrains à se laver devant moi et à éjaculer dans ma bouche. Je suis vêtue d’une cagoule noire ne laissant apparaître que mes yeux et ma bouche, une robe en cuir, qui me couvre jusqu’aux genoux, ouvert devant pour dévoiler mon clitoris percé. Je suis chaussée de cuissardes à hauts talons. Je modifie ma voix pour qu’il ne me reconnaisse pas.
- Très bien soumis M, tu te montres docile. Tu viendras tous les après-midis te confier à ta maîtresse. Appelle-moi, Miss P. D’ici deux semaines, ton anus sera prêt et je te livrerais à d’autres jeux. Pas un mot à quiconque de notre relation, sinon tu seras fouetté jusqu’au sang et mis à l’isolement.
- Oui, Miss P. J’accepte.
- Lèche-moi le clitoris, en signe d’acompte.
Je jouis.
Le soir, je fais l’amour avec Sarah avec divers godes réalistes, nous enculant mutuellement.
D’abord je m’allonge sur le dos, et Sarah se place entre mes deux cuisses en mettant au niveau de ma chatte sa chatte. Je me suis un coussin sous les fesses.  En écartant mes cuisses, j’autorise un contact large entre nos deux chattes, nos deux clitoris.
Les vibrations et la chaleur reçus par mon clitoris me mènent à l’orgasme.
Sarah m’embrasse mon cou et stimule mes seins.
Puis je reste allongée sur le dos, Sarah se met au-dessus de mon visage. Je lui lèche la chatte, les petites lèvres, et le clitoris ainsi que mes doigts sont enfoncés dans sa chatte et caressent son clitoris. Sarah a un orgasme.
Tout en restant allongée sur le dos, j’écarte mes cuisses. Sarah me doigte la chatte et l’anus simultanément. Elle caresse aussi mon clitoris jusqu’à l’orgasme.
Enfin, Sarah me gode avec un double gode réaliste, à quatre pattes jusqu’à l’ultime orgasme.
Nous prenons une longue douche où nous caressons nos corps mutuellement, doigtant simultanément nos chattes et nos anus jusqu’à l’orgasme.

Deux jours après, Mark se confie, lors de son dressage :
- Je fus le valet qui s’est occupé d’O. Je l’ai fouetté et enculé à nombreuses reprises lors de son premier séjour. Elle en réclamait toujours davantage, même les chiens de garde ne suffisent pas à la satisfaire pour la sodomie.
- Mark, tu t’es déjà fait prendre par un chien.
- Non.
Je fais entrer un doberman que René m’a remis.
Je menotte Mark à quatre pattes sur le lit, lui lèche l’anus et lui met son harnais en place.
Le doberman place ses deux pattes sur son dos. Je l’aide à l’enculer. le doberman éjacule au bout de vingt minutes.
Mark doit sucer son sexe en signe de soumission.
Je m’offre ensuite devant Mark, sans ma jupe. Le doberman m’encule, après que je l’ai sucé. Il fait des va-et-vient frénétiques et j’explose dans de violents orgasmes. La saillie dure plus trois quart d’heures, juste au moment où Sarah me surprend, enculée, hurlant mon plaisir.
Sarah retire sa jupe et pose son clitoris contre ma bouche pour que je la lèche. Sarah jouit aussi. Le doberman m’inonde largement et entre puis m’encule à nouveau jusqu’au nœud, m’encule avec puissance et il m’inonde plus longtemps.
Je suis repue et heureuse de mon doberman.
Il se retire. Avec Sarah, nous suçons son sexe, nous sommes comblés.
Nous libérons Mark. Je le douche, après avoir mis mon bijou d’anus extra large.
- Tu aimes jouir avec les chiens, Miss P.
- Oui, je me suis habituée au manoir. Ce sont les meilleurs amants.

Le lendemain après-midi, alors que Sarah dresse Mark, je rejoins Annie avec Peter dans un hôtel de passe. Annie est en train d’enculer Peter, qui est penché en avant.
J’en profite pour me déshabiller et je me mets à genoux, nue, pieds nus. Je lui caresse les testicules qui sont gonflés d’excitation, j’enserre et je soupèse ses testicules, les griffant.
Je referme ma bouche que je resserre sur son mandrin, je monte et descend jusqu’à frapper le fond de ma gorge, repoussant ma langue.
- Retire-toi de ma queue, petite pute, ordonne Peter.
Parles correctement à Lady Prudence, tu es venu te dresser, tout comme ton ami Mark.
Qu’elle arrête de me sucer, je veux qu’un homme me suce.
Mais Peter éjacule dans ma bouche, longuement, j’avale tout.
J’en profite pour lui mettre le harnais de chasteté. Annie lui menotte les poignets dans le dos.
Nous lui épilons les testicules et le pubis et lui mettons un gros vibromasseur anal, en lui écartant bien les jambes, menottées aux barreaux du lit.
Je m’assois au-dessus du visage de Peter, pour qu’il me lèche la chatte et l’anus, mais il se refuse. Je cravache alors l’intérieur de ses cuisses jusqu’à sa soumission.
Après m’avoir mené à l’orgasme, je l’interroge.
Il m’avoue qu’il vu la scène avec A, B et O, mais pas leur mort.
- Tu es prêt à le redire devant un avocat pour le procès, lui ordonne-je. En échange, je te dresse pendant deux semaines, faisant de toi, non plus, un petit pédé mais un bisexuel. Tu aimeras me lécher ensuite et je m’enculerais sur ton mandrin. Tu vas garder le harnais pendant vingt-quatre heures en gage, tu ne pourras pas faire l’amour à un homme.
- Retires-le.
- Non. Tu es mon soumis et celui d’Annie.
Peter obéit.

Quelques jours après, je le fais saillir par mon doberman, en compagnie de Mark, dans le sous-sol de ma maison, loin des regards.
Peter et Mark témoignent devant un avocat.
Brigitte m’apprend que O est bien la fille de Sir Oscar et de Lady A et non d’une cousine de Sir Oscar. Mais Sir Oscar a eu bien une fille avec sa cousine, dont on n’a jamais retrouvé la trace, ni de la fille ni de la cousine. O était enceinte, lors de sa mort. Son père est inconnu, je n’ai pas assez d’éléments pour l’identifier.
Brigitte me conduit chez elle.
Nous retirons nos tenues. Brigitte offre un joli corps bronzé, blonde aux yeux noisette, pour 84D-60-91 et 1,73 m. Elle a son pubis et sa chatte velus, comme je les aime.
Nous faisons un long 69 torride, où je l’encourage à me doigter l’anus.
Elle s’équipe d’un gode-ceinture et m’encule à quatre pattes sur le lit.
- Tu n’es plus vierge du cul ni de la chatte, Prudence.
- J’ai perdu mon pucelage avec mon premier amant. Encule-moi bien à fond, j’ai le cul en feu.
- Ca se voit, ton bassin ondule violemment. Tu as du te faire enculer par plusieurs hommes, car tu es bien élargie.
- Mais par des chiens et des chevaux, mon amant m’a initié aux jeux sexuels avec des animaux. Le sexe d’un chien est le summum pour moi, quand je suis enculée.
Brigitte fait venir son dogue allemand pour me monter.
Le dogue me remplit la chatte, puis lors de son retrait, je l’enfonce dans mon anus béant et humide, devant le regard surpris de Brigitte.
- Jamais, il m’a pris par là. Je le réserve aux hommes.
- Il m’a enfoncé son nœud, c’est l’extase. Il va m’inonder prochainement.
Après quatre orgasmes anaux, il m’inonde largement l’anus.
Je remet mon bijou d’anus large et je me douche avec Brigitte, pour jouir encore.
Brigitte est surprise de voir mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.

Début juillet, René m’invite à rencontrer Sir Oscar, dans sa luxueuse résidence sur la colline qui domine la ville, reliée par un monte-charge souterrain au manoir par une issue secrète.
La police a fouillé une crypte sous le jardin du manoir et a trouvé des ossements de la cousine disparue de Sir Oscar. L’identification est formelle.
Sir Oscar est un bel athlète plus âgé que moi, accompagné de son jumeau, Sir Frédéric, un superbe transsexuel brun, avec une poitrine plantureuse.
Je suis habillée d’un chemisier transparent noir, dont je ne boutonne pas le col, laissant libre accès à mes seins nus dont j’ai rougi mes mamelons et les aréoles. Mes poils pubiens ont repoussé, mais je laisse ma chatte et mon anus lisses. Je porte une jupe éventail noire transparente, des bas noirs et des mules à  hauts talons noirs, je laisse mes cheveux libres. J’ai rougi les lèvres de ma chatte. J’ai parfumé trois fois mon corps.
René me laisse avec les deux inconnus.
Tous les deux sont vêtus de gilets en cuir et de pantalons fendus, laissant complètement accessibles les fesses et le triangle délimité par les aines, exhibant leurs mandrins libres en érection par des anneaux péniens.
Sir Oscar me félicite pour le dressage de Mark et de Peter. Je les suce avant le repas.
Sir Frédéric me fait me retirer ma jupe, pour que je m’assois cul nu sur le cuir de la chaise, d’où sort quand je m’assois, un superbe gode réaliste qui s’enfonce dans mon anus que j’ai lubrifié par ma saillie anale par mon doberman. Je jouis sous les va-et-vient que télécommande les deux inconnus.
J’ouvre mon chemisier pour exhiber mes seins nus aux mamelons constamment tendus.
A tour de rôle, ils me caressent les seins, mon bassin ondule violemment par la montée de l’orgasme anal et les caresses mammaires. J’ai mon orgasme juste au moment du dessert, un banana split. Tous les plats sont dédiés aux fruits et légumes phalliques, ce qui m’excite davantage.
Après le dessert, ils me prennent en double pénétration, Sir Oscar me remplit la chatte et Sir Frédéric m’encule. J’ai un violent orgasme.
Je les nettoie, après qu’ils ont éjaculé dans mes orifices béants.
Je suis offerte à quatre pattes à un dogue, qui m’encule devant eux. Je suce les deux mandrins pour étouffer mes râles. Le dogue m’inonde largement l’anus et il m’encule une seconde fois après que je l’ai sucé.
A peine remise de mon dixième orgasme anal, Sir Oscar me remet en place le bijou d’anus extra large en place, pour que je garde leurs spermes et le sperme canin.
Après le départ du dogue, je me prosterne, le nez dans le tapis, Sir Oscar et Sir Frédéric alternent entre la cravache et le martinet sur mes fesses. Je gémis un peu puis je jouis, ma chatte est abondamment mouillée d’excitation. À mesure que les cinglons s'entrecroisent, leurs mandrins bandent.
Puis à tour de rôle, ils m’enculent après avoir retiré le bijou d‘anus. Il me prend par aux hanches, m'agrippe fermement par les épaules et la base de la nuque, et il me force, dans des entrées et sorties. Je crie, l’anus déchiré.
Sir Oscar me remet le bijou d’anus.
Prudence, il faudra t’habituer à nos deux queues, tant que ton anus ne sera pas fait à nos mandrins, nous le forcerons.
Je suis le couple.
Je monte l’escalier de marbre, nue, pieds nus, menant à l’étage et rejoins ma grande chambre avec ma salle de bains.
La soubrette blonde aux seins plantureux Fleur s’occupe de moi, pour me doucher. Elle porte des anneaux aux mamelons constamment tendus qui sont reliés par des chaînes à un collier en cuir, qui étirent constamment ses mamelons et des fers aux grandes lèvres auxquels sont fixés des poids pour étirer ses grandes lèvres. Son anus est rempli par un vibromasseur, trahi par les mouvements de son bassin. Ses fesses sont tatouées à l’encre noire des lettres entrelacées O et F en caractères gothiques. Elle porte un bâillon pénis pour étouffer ses râles, provoqués par le vibromasseur.
- Un jour, Prudence, tu porteras aussi des fers. Fleur, douche-la, masturbe-la, elle est ton nouveau cadeau.
Fleur me frotte précautionneusement le dos et les fesses, l’anus libre est savonné par ses doigts experts et je jouis, puis mes seins, ma chatte, mon clitoris jusqu’à l’orgasme. Elle me pince les mamelons tendus.
Une fois rincée, je m’assois courbée en avant, sur le bidet, Fleur m’enfonce une double canule dans l’anus et la chatte. Je jouis sous la double inondation, qui me laisse propre pour la prochaine fois.
Sir Oscar me doigte l’anus pour voir si je suis bien propre.
Sir Frédéric m’installe dans ma chambre. Je porte des bracelets similaires au manoir aux poignets et aux chevilles. Entre le grand lit et le grand miroir à proximité de la porte d’entrée, se trouve au plafond, un crochet, avec une chaîne, à laquelle il fixe mes bracelets au-dessus de ma tête, devant le miroir et m’écarte bien les jambes, pour fixer des chaînes aux anneaux de mes bracelets de mes chevilles. Ainsi, je me retrouve les bras tendus, cuisses bien écartées, sur la pointe des pieds. Il me met un bâillon pénis en bouche et du plancher, sort un trépied sur lequel est fixé verticalement un imposant vibromasseur anal réaliste qui s’enfonce sur vingt centimètres dans mon anus. Sir Frédéric enclenche les vibrations et j’ai rapidement mon premier orgasme. Les orgasmes m’épuisent rapidement, car ils se succèdent.
En pleine nuit, alors que les vibrations et les va-et-vient se sont arrêtés, je sens la cravache cingler mes fesses, mes cuisses pendant cinq minutes, pour bien me marquer. Je jouis sous le bâillon.
Surtout, que mes mamelons et mon clitoris sont pincés. Puis les vibrations reprennent jusqu’à l’aurore, alternant avec les coups de cravache, de martinet, de palette à fesser en bois d’érable.
Sans quitter le trépied, je suis tournée vers la fenêtre, regardant le jour naître.
Le dogue me lèche la chatte pendant une éternité, je jouis sans cesse.
Puis, le vibromasseur est remplacé par un vrai mandrin et j’explose en un long et violent orgasme.
L’homme se retire après avoir éjaculé dans mon anus.
A dix heures, je suis détachée et je découvre mes balafres sur mes cuisses et mes fesses. Mon anus est rempli par le bijou d’anus large.
Je déjeune nue, pieds nus, au salon, servie par Fleur.
Fleur me douche, me donne mes vêtements, sans mes bas.
Sir Frédéric et Sir Oscar sont de sortie.
Le lendemain, un peu avant midi, le chauffeur de Sir Oscar m’a reconduit chez moi.
De retour chez moi, nue, je refais mon maquillage et ma coiffure, me rhabille d’un tailleur sans chemisier sur mes seins nus et chausse mes mules à hauts talons, après avoir vernis mes ongles des pieds en rouge. Je garde le bijou d’anus toute la matinée.
Je sais peu de choses sur le poison qui a tué le trio.

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