jeudi 21 février 2019

24 HEURES DE SOUMISSION



Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.



            24 heures de soumission

Début juin, je suis responsable de la communication d’une écurie de voitures d’endurance.
J’ai de nombreux amants. Je couche en moyenne avec trois par jour.
J’ai perdu ma virginité accidentellement peu après mes dix-huit ans, avec mon père, excité par ma masturbation. J’ai connu mon premier orgasme avec lui.
Je me refuse à la sodomie.
Parmi les participants, se trouve l’écurie Toyama avec une voiture électrique hybride à cockpit fermé avec quatre roues motrices, l’écurie Orchidée avec une voiture conçue sur son propre châssis à cockpit fermé et un nouveau moteur diesel, l’écurie Vision, une monocoque à cockpit ouvert avec un moteur V8 diesel, l’écurie Monaco, une voiture à cockpit ouvert avec un moteur V6 à double turbo.
Je suis au sein de l’écurie Orchidée. Nous disposons d’un stand, d’un camp d’assistance technique avec un ensemble routier et d’une loge sur le circuit. Pour chaque voiture, il y a un responsable du ravitaillement, un pour le contrôle voiture, un pour l’extincteur, un pour la vanne de sécurité, un pour l’habitacle, quatre mécaniciens et deux responsables pour les pneus. Nous avons engagés deux voitures.
Dans l’heure qui suit le départ, je quitte le stand pour rejoindre l’assistance, vêtue d’un tailleur fuchsia avec une jupe droite mi-longue sur mon chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge et mon slip en dentelle transparente, mon porte-jarretelles et mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à hauts talons.
Mais en passant devant une remorque neutre, je me retrouve endormie.
Quand je me réveille, je suis allongée sur un grand lit, nue, pieds nus, allongée sur le ventre. Je suis, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés. Un écran diffuse en direct la course sans le son.
La Toyama 2 est en tête, devant l’Orchidée 8 et la Vision 12.
Ma vision est limitée par des œillères et un collier immobilise mon cou.
- La Barbie du paddock est bien sage, dans cette position, dit une des voix, à fort accent anglais.
- Regarde, comme elle mouille, dit une autre voix, à fort accent allemand.
Soudain, on m’insère un bijou d’anus de petite taille dans mon anus vierge, maintenu par une ceinture de contrainte qui m'oblige à le garder en moi :
- Tu va être contrainte de garder ça, ok ? On va t'élargir ton adorable petit cul pour ensuite te prendre par là. En attendant on va te regarder te tordre de plaisir, dit l’allemand.
Le bijou d’anus vibre dans mon anus.
En même temps, je suis baisée, la chatte resserrée par le bijou d‘anus. Je connais le plaisir à chaque mouvement de mon bassin.
Vers quinze heures, baisée par deux ou trois hommes, avec de longs mandrins, je suis cravachée sur les fesses. Je gémis.
- Tu vas voir, d'ici peu, tes fesses vont virer au rouge écarlate comme des petites pommes bien mûres, zébrées et brûlantes, dit l’anglais.
Une des mains masculines me doigte la chatte et caresse mon clitoris qui se tend, sous l’excitation.
- Quelles superbes fesses musclées, elle a besoin d’un bon dressage, dit le hollandais.
- Regardez, elle est toute humide par-devant. Elle ruisselle, dit l’australien. Elle adore ça, être cravachée.
Un des hommes me retire le bijou d’anus, après avoir caressé ma chatte trempée. Je jouis.
- Sa chatte est en feu, s’ouvre sous mes doigts.
 -Prenons-la maintenant par son œillet qui est un peu serré. Elle est encore vierge par là.
Sans attendre, un des hommes, au gros mandrin, m’encule sans ménagement.
- Ecarte les fesses. Ouvre-toi bien : ça va rentrer tout seul, pousse fort...
J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma collerette anale me fait tout de même mal. Son mandrin repousse mes tissus s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses.
- Je suis jusqu’aux testicules. Elle est bien lubrifiée, une fois cravachée.
- Elle va apprendre à être enculée, jolie beauté. Tu dois connaître le plaisir par tous les trous, au plus profond.
Un autre m’enfonce son mandrin dans ma bouche et je dois le sucer pour étouffer mes gémissements.
Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain. Je connais mon premier orgasme anal sans me caresser.
- Je vais éjaculer en toi, ma belle.
En effet, un long jet de sperme chaud m’inonde, puis trois hommes m’enculent à tour de rôle. Je prends du plaisir avec mes mouvements de mon bassin et en jouant avec mon muscle anal.
On éjacule dans ma bouche, je dois tout avaler.
Vers dix-sept heures, je découvre que la Monaco 14 et la Vision 11 ont connu des pannes moteur et des crevaisons, que les deux voitures Orchidée sont au garage et les deux voitures Toyama mènent la course.
Pantelante, j’ai droit de boire.
- Tu vas devenir rapidement docile. Nous allons te mettre sur un chevalet pour un nouveau plaisir.
Je suis détachée, mon anus dégouline de spermes, mes fesses sont brûlantes par les nouveaux coups de cravache que je reçois.
Installée sur le chevalet, menottée, les yeux bandés, je reçois simultanément un sexe en bouche et un qui m’écartèle l’anus. Je sens une boule qui m’écartèle davantage.
- Très bien, elle est attachée à son amant. Laissons-la.
Au bout d’une heure, je reçois une longue éjaculation de spermes chauds, tandis que j’atteins mon quatrième orgasme anal.
L’anus béant et débordant de spermes, une langue râpeuse me lèche avant un nouvel assaut. Le sexe est plus gros. Je n’ai aucun mal à l’accueillir jusqu’à la boule.
- Adam pour l’entrée, voici Balzac pour le plat de résistance, tu aimes ça les grosses queues.
L’assaut dure trois quart d’heures.
Enfin, un autre sexe m’encule pendant près d’une heure.
On me retire le bandeau et on me met un bâillon-pénis et de lourdes clochettes à mes mamelons tendus d’excitation.
- Cela va t’apprendre à sensibiliser les seins et les mamelons.
J’ai mal, je ne sens plus mes mamelons devenus froids et durcis.
Je découvre Adam, un superbe berger allemand, au sexe de dix-sept centimètres de long pour cinq de diamètre, Balzac, un doberman au gros sexe et Lancelot, un dogue allemand, au sexe de vingt centimètres de long et six de diamètre.
- Regarde tes nouveaux amants. Ils t’ont enculé avec amour. Tu as aimé, beauté.
- Désormais, à la fin de ton dressage, tu es service de tes maîtres. Tu restes nue, pour que nous puissions honorer ta bouche, ta chatte et ton œillet qui nous sont ouverts. Tu ne peux te dérober, tu gardes toujours les lèvres entrouvertes, tes cuisses restent écartées, pour l’accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. On te fouette pour ton manque de complaisance, ou lever les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu regardes uniquement nos sexes à découvert, tout comme ceux des chiens, pour sucer. Tu es fouettée pour ton instruction. Tu seras constamment nue sous tes tenues à la fin de ton dressage, pour être pénétrée et t’asseoir cul nu. Tu dois rester silencieuse, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser.
D’autres inconnus m’enculent jusqu’aux six heures de course, entrecoupées de saillies anales canines et de coups de cravache.
Vers vingt-deux heures, je suis menottée sur mon lit, sur le dos, les mains jointes à mon cou avec un collier et des bracelets en cuir, une barre d’écartement fixée à mes bracelets de cheville, m’empêchent de resserrer les cuisses. Je me soulage debout, au-dessus d’un seau. Le devant de mes cuisses est aussi zébré. Mes carcans en cuir sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y avait un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Je subis ma première d’une longue série de double pénétration, l’anus bien assoupli par les chiens.
Enfin, je suis menottée debout, sur la pointe des pieds nus, avec mon bâillon-pénis, mes clochettes à mes mamelons tendus et aux grandes lèvres humides de ma chatte entrouverte, dégoulinante. Mon anus est rempli par un gros bijou d’anus à picots.
On me marque les fesses au fer rouge des lettres S et V, pour Sévices et Vices. On tatoue juste au-dessus de la naissance de mes fesses, les initiales V et D pour Vicieuse Désir et on me perce les grandes lèvres de ma chatte de deux anneaux dorés.
Je suis à moitié évanouie, portée à bout de bras, à l’extérieur, à l’abri des regards.
L’aube se lève. Les hommes qui m’accompagnent, me masturbent la chatte, mon clitoris et pelote mes seins. Je jouis sous le bâillon, les mains liées dans le dos.
- Elle a besoin d’être caressée, cette beauté, après les sévices subis. C’est sa récompense.
- Elle a aussi besoin d’être enculée, elle aime ça.
J’hoche la tête, les yeux baissés.
Les sodomies reprennent avec d’autres inconnus et de nouveaux chiens. Mon anus est alourdi, mais j’ai droit à des lavements à l’eau froide.
Le lendemain, vers onze heures, on me rase la chatte et le pourtour de l’anus, pendant ma douche à l’eau froide. Je revis. Les hommes m’apprennent à me maquiller la bouche, les seins et la chatte.
Ce n’est que vers quatorze heures, rhabillée, nue sous mon tailleur, le chemisier sans bouton, mes pieds nus dans mes escarpins, que je quitte la remorque.
Je rejoins l’équipe. Toyama 1, Orchidée 7, Monaco 13 et Vision 12 sont dans le même tour, à quelques secondes d’écart.
Soudain, je m’effondre, inconsciente.
Je suis hospitalisée, évacuée par hélicoptère.

Je reste trois jours dans le coma, nue sous ma blouse.
A mon réveil, l’inspectrice Eva et la psychologue Claire m’interrogent. J’ai une extinction de voix.
- Tu as sacrément prendre du plaisir. Pendant ton coma, tu n’arrêtais pas de jouir. A chaque fois, ta chatte était trempée, tes mamelons et ton clitoris étaient tendus, me dit Eva.
Je lui tends des messages sur mon viol.
- Ma belle, tes violeurs t’ont marqué au fer rouge et t’ont tatouée et tu portes aussi des anneaux à la chatte. Tu dois sacrément être une bonne soumise sexuelle, dit Claire, en soulevant ma blouse, pour voir ma chatte nue.
- Claire, elle prétends avoir été enculée par des chiens. Voilà, l’explication de sa béance de son œillet, quand on l’a découverte.
- Oui, on a même retrouvé du sperme canin mélangé au sperme humain. Elle a du bien aimé ça.
Après leur départ, je prends ma douche. Je découvre mes marques au fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Je découvre mon tatouage et à mes grandes lèvres de ma chatte humide, mes anneaux dorés.
Je suis devenue une soumise sexuelle en moins de vingt-quatre heures.
Je reste jusqu’au samedi matin à l’hôpital.
Je suis transférée dans une discrète maison de repos, sous une fausse identité, où je suis attirée par les infirmières, qui me pelotent les seins, me doigtent ma chatte voir mon anus, pour me faire jouir.
Le directeur, un homme plus âgé que moi, n’hésite pas à me fesser cul nu dans ma chambre. Je jouis.

Début juillet, je sors de la maison de repos, en compagnie d’Eva et Claire.
Un doberman m’approche. Je suis nue sous ma petite robe d’été, sans slip ni soutien-gorge et en sandales à hauts talons.
Il vient flairer ma chatte.
Je me laisse faire et je jouis devant Eva et Claire. Je réussis à noter le numéro du chien dans son oreille. C’est Balzac.
Eva fait ses recherches et aboutit à un chenil non loin du circuit. Là, le propriétaire les informe qu’un groupe de clients fortunés, de trois écuries de course automobile, un allemand, un anglais et un américain, accompagnés d’un représentant du groupe international S V, qui détient des parts dans Orchidée, lui ont demandé trois chiens de garde, habitués à monter des femmes. Ils ont payé en espèce. Le propriétaire a gardé discrètement une photocopie des passeports. Les trois suspects sont arrêtés et interrogés non loin de leurs usines. Ils nient les faits.
Mais je confirme par l’enregistrement audio des voix.

Je retrouve le propriétaire quelques jours après, profitant de ma journée de sortie. J’ai pris un taxi.
L’homme, prénommé Sir Alban, n’est surpris de mon retour et me dit :
- Alors Vicieuse Désir, tu as envie de te faire monter. Cela t’a manqué.
Je suis juste vêtue d’un tee-shirt blanc moulant mes seins aux mamelons tendus et d’un mini-short fendu à l’entrejambe et des mules à hauts talons que j’ai acheté avec Eva.
- Oh oui, je veux surtout Balzac et Lancelot. Ils m’ont manqué. Cela plus d’un mois que je n’ai pas joui d’une queue.
- Tu n’es pas toute seule, ma chérie. Des hommes cagoulés t’attendent aussi pour s’occuper de ton œillet bien chaud.
En effet, j’entre dans une immense pièce où étaient installés chevalets et fauteuil gynécologique.
Je me déshabille devant eux. Ils bandent.
Je m’installe dans le fauteuil gynécologique. Sir Alban me travaille la chatte et l’anus, s’attardant sur mes mamelons et mon clitoris. Je jouis avec le spéculum puis avec l’écarteur anal.
- Très bien, tu es bien excitée pour tes amants.
J’entre dans une pièce attenante, entourée de cages avec mes amants canins.
Je suis allongée sur une table, sur le dos, les chevilles et les poignets entravés, cuisses écartées. Ma chatte ruisselle abondamment. Les hommes se masturbent, lèchent mes mamelons et mon clitoris.
Un berger allemand, Adam, me baise en premier jusqu’au nœud, puis un malinois m’encule. Je suis entravée, sur le ventre, pour mieux offrir mes fesses. J’explose avec quatre nouveaux orgasmes anaux violents, sous sa longue éjaculation.
- Quelle beauté dans le désir, elle aime ça.
- Laisse-toi écarteler l’œillet, ma belle.
- Il te défonce bien.
- Tous les chiens doivent la saillir aujourd’hui.
En effet, Balzac, Lancelot et trois autres chiens de garde me baisent ou m’enculent, m’inondant largement de spermes. Je prends beaucoup de plaisir avec un berger belge, un doberman.
A la fin de l’orgie canine, les hommes présents se relaient pour m’enculer, malgré ma fatigue.
D’abord à quatre pattes, prosternée, enculée latéralement, cuisses complètement ouvertes, puis les cuisses relevées complètement sur mes épaules, sur le dos, avec les cuisses relevées et bloquées par les cuisses de mon amant et au final, tête-bêche, avec un gros mandrin qui m’encule.
J’ai l’anus et la chatte en feu, mais heureuse de m’être faite saillir par autant de mâles.
Le lendemain, je suis tellement usée et fatiguée que je dors toute la journée en pensant à ce que j’avais pris ce jour là.
L’enquête avance, les hommes cagoulés voyeurs du chenil sont interrogés, car ils m’ont pris pour une soumise.
L’attrait pour la sodomie m’envahit. Je ne cesse de doigter mon anus, tout en me masturbant seule sous ma douche.
La remorque du viol est retrouvée à la frontière. Elle est inspectée et permet de trouver de nombreux indices pour faire parler les suspects.
L’allemand est identifié comme un membre financier de l’écurie Vision. Il se prénomme Maître Erwan. L’anglais est un membre de l’état-major technique de l’écurie Toyama, Sir Basile. Le hollandais est un agent de sécurité de l’écurie Monaco et un de mes anciens amants, Dan. L’australien est un pilote privé du Falcon 7X de l’écurie Orchidée, Ken. Tous ont un jour ou l’autre m’ont croisé et je me suis refusée à leurs avances, même à Dan, après qu’il ait tenté de m’enculer.
Quand à S V, son représentant, le Duc Victor, veut fusionner les trois écuries Toyama, Orchidée et Monaco, pour pouvoir contrôler les différents services de chaque écurie. Le Duc a financé l’achat de la remorque sous un prête nom d’une banque aux Bahamas et a versé un million pour la vidéo et cinq millions pour la diffusion sur un réseau privé SM. D’après certaines sources, mon dressage et mon abattage auraient coûté au bas mot douze millions, soit vingt pour cent des parts de S V dans Orchidée.
Mon dressage aurait servi de prétexte pour le regroupement.
Tous nient les faits.

Peu de temps après, un procès se tient sur les possibles copies du moteur qui équipe l’Orchidée, pour équiper Vision et Monaco. Ma sœur jumelle Hermine se présente à la barre, reconnaît quelques protagonistes et remet au procureur des photos de son dressage de 24 heures qu’elle a subi en même temps que moi. Une enquête complémentaire est ouverte.

Après deux semaines de procès, le jugement est rendu, les protagonistes échappent à la prison et n’ont que faibles amendes à payer.
Au pied de mon immeuble, vêtue d’un chemisier fuchsia sur mes seins nus et d’une jupe ample blanche sur mes fesses nues et chaussée de sandales, j’embarque dans un faux taxi, malgré la protection rapprochée d’Eva.
Pendant le trajet, l’homme cagoulé verrouille les portes et les vitres se teintent.
Il coupe un à un les boutons de mon chemisier. Je n’ose protester. Il le retire, j’offre mes seins nus et libres, dont il enduit mes mamelons d’une mystérieuse crème. Je sens mes mamelons complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroit sont devenus sensibles.
Il glisse ma jupe. Je suis totalement nue, assise sur la banquette froide. Il me met mes carcans de cuir à mes poignets, mes chevilles et à mon cou. Nue, je voudrais me caresser, surtout quand l’homme enduit aussi mon clitoris entre mes cuisses écartées inconsciemment. Lui aussi, me fait mal, tendu. L’homme me fixe les bracelets dans mon dos. Il me met un bâillon boule harnais en cuir, composé de plusieurs sangles rivetées, reliées entres par des anneaux et des passants et trois boucles permettent de l'adapter. Je dois mordre la boule. Mes yeux sont recouverts par un masque.
- Tu seras ainsi plus docile, ma belle Vicieuse Désir.
Il pince mes mamelons tendus par de lourdes clochettes.
Il me fait empaler sur son gros mandrin en érection. Je suis assise entre ses cuisses, empalée jusqu’aux testicules, jusqu’à la fin du trajet. Je jouis et ondule mon bassin sur son gros mandrin. Il me pelote les seins provoquant une tension maximale à mes mamelons, puis mon clitoris en doigtant ma chatte.
- Tu as déjà goûté à la double, ta chatte est trempée.
Un orgasme me terrasse, mais il retarde son éjaculation.
Le taxi s’arrête. L’homme m’aide à me retirer.
Mes sandales claquent dans un grand escalier, tenue en laisse par les anneaux de mes grandes lèvres. Je dois suivre, toujours aveugle et muette. Je reçois des coups de cravache pour me faire avancer. J’entends des chiens aboyer et des hennissements.
Quand je recouvre la vue, je suis nue, entourée de miroirs et de glaces, dans une grande pièce, les mains jointes à mon cou. Des chaînes sont fixées aux bracelets de mes chevilles pour m’empêcher de bouger.
Soudain, deux jeunes femmes entrent, portant un bâillon O, un écarteur de chatte et un gros vibromasseur anal avec une base empêchant toute expulsion. Elles sont nues, intégralement épilées, marquées au fer rouge sur les fesses, l’intérieur de la cuisse gauche et sur l’épaule droite. Elles sont chaussées de mules à hauts talons.
Un valet les escorte. Il est simplement vêtu d’une veste sur son torse musclé, le mandrin nu et libre en érection dans une gaine à picots, des bottes, un fouet à lanière de cuir. Les yeux baissés, je regarde son mandrin.
- Voici Vicieuse Désir, la nouvelle invitée du Domaine S V pour continuer son dressage. Vingt-quatre heures ont été trop courtes. Tu es en manque de sexe, de punitions et de saillies.
Je mouille à l’évocation des mots.
Il m’enfonce une tige métallique flexible entièrement recouverte de silicone très doux à la texture parfaitement annelée pour une délicieuse stimulation dans ma chatte trempée, en laissant les deux extrémités arrondies à l'extérieur. Je sens l'effet des stries sur les parois internes de ma chatte vagin tandis que la courbe idéalement inclinée stimule mon point G. J’offre une vue de mes lèvres vaginales écartées, donnant un accès direct au clitoris et à toute ma chatte et ce, sans les mains.
Le valet me libère. J’échange mes sandales contre des mules à plate-formes.
Je suis le trio.
Nous allons à la salle gynécologique, elle aussi entièrement recouverte de miroirs et de téléviseurs.
Là, je suis offert à un harem d’hommes nus, cagoulés. Je suis menottée au fauteuil, allongée sur le dos, cuisses écartées.
Avec une torche et une mini caméra, j’aperçois l’intérieur de ma chatte trempée, détaillée par le gynécologue, qui masturbe mon clitoris.
- Cette beauté aime se masturber. Ses lèvres de la chatte sont proéminentes, preuve qu’elle baise fréquemment.
Simultanément, le gynécologue me met un écarteur dans ma rosette anale plus large par les saillies anales canines que j’ai subi.
- Cette beauté a besoin de se faire saillir. Son œillet est encore un peu serré, mais assoupli jusqu’à six centimètres de diamètre. Faites-lui prendre son bain, qu’elle soit fardée et saillie sur le champ.
Avant d’être libérée, je suis enculée à de nombreuses reprises par les hommes présents, qui tous éjaculent dans ma bouche libre.
On me remet ensuite le harnais en place.
Pantelante, je marche difficilement, l’anus rempli par un vibromasseur canin moulé sur celui d’un labrador. Je ne peux l’expulser par un système de trois chaînettes cadenassés, une suit le sillon des fesses et deux contournant mon triangle pubien, au plus court, à une étroite ceinture de cuir autour de ma taille. Mon anus ne peut repousser le vibromasseur long de vingt-six centimètres et six de diamètre, enfoncé sur toute sa longueur jusqu’au nœud de la taille d’une balle de tennis. Je sens les va-et-vient du vibromasseur me rappelant mes saillies anales.
Je rejoins la grande salle de bains entièrement recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et au plafond.
Je me glisse nue dans l’eau froide.
Les mains menottées à un crochet au-dessus de ma tête, les yeux baissés, la chatte écartée, je dois rester accroupie, cuisses écartées, dans la grande baignoire transparente. Le valet savonne mes seins, faisant tinter mes clochettes, mon ventre. Les deux femmes savonnent mon dos, mes fesses, ma chatte et le bas de mon corps. Je mouille d’excitation lorsque je frotte ma chatte et mon clitoris sur l’éponge. Puis je suis rincée, l’eau a durci mes carcans et ma ceinture de cuir. On décalotte mon clitoris tendu pour le nettoyer.
- Tes mamelons et ton clitoris sont constamment tendus d’excitation. Tu connais aussi avec la crème, une hyper sensibilité. D’ici quelques jours, tes mamelons et ton clitoris pointent au maximum tout le temps, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Bien sur, tu es interdites de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
A la sortie de la baignoire, libre, je suis fardée. Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche très rouge, les mamelons pincés et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte écartée rougi.
Je franchis une autre porte, seule, les mains libres, en mules.
Deux hommes cagoulés nus, me font me mettre, cuisses écartées, l’anus libre, accoudée, fesses bien tendues. Un doberman m’encule jusqu’au nœud, d’une seule traite. Je jouis rapidement et connais quatre orgasmes. De discrètes caméras et appareils photographiques immortalisent la scène.
A peine s’est-il retiré, qu’un dogue allemand prend le relais, puis un labrador et enfin, je suis offerte en double pénétration canine, un doberman me baise jusqu’au nœud et un dogue allemand m’encule jusqu’au nœud. Je suis épuisée par mes orgasmes violents et le poids des spermes canins qui me remplit l’anus qui déborde.
J’ai droit à un lavement rapide, à quatre pattes, une canule enfoncée dans l’anus, menottée à un chevalet. Je gémis sous l’eau froide qui me rince.
Puis je rejoins une grande pièce entièrement recouverte de miroirs et de glaces. Des hommes nus avec des femmes nues sous des capes m’attendent. Les hommes sont cagoulés et portent des gaines à picots sur leurs mandrins en érection.
Accroupie, les mains liées dans le dos, je dois sucer les hommes et lécher la chatte ou l’anus des femmes selon leurs désirs.
Je suis suspendue dans le vide, avec un collier de posture, qui m’empêche de bouger la tête. Mes cuisses sont complètement ouvertes, donnant une vision de ma chatte écartelée et de mon anus encore béant et dégoulinant de spermes canins.
Mon anus est positionné à hauteur des mandrins. Le collier posture est un collier rigide qui est assez large pour restreindre le mouvement du cou. Je dois garder le menton élevé et le cou étendu.
On caresse mes fesses, remarquant mes marques au fer rouge, on joue à doigter ma chatte pour mes réactions, on pince, étire mes mamelons tendus à l’extrême par l’excitation de mon exhibition et on sollicite mon clitoris tendu. Je ne sais si je dois jouir. Mais je mouille.
 -Messieurs, Vicieuse Désir a toutes les qualités requises. Une superbe chatte, regardez-la sur les écrans. Elle aime être baisée.
Un écran de télévision permet de voir ma chatte trempée.
- Voyons son œillet assoupli par de multiples assauts. Il s’ouvre aisément. Mais elle a encore besoin d’être enculée par de nouveaux sexes. N’est-ce pas ?
Je n’ose répondre.
- Messieurs, elle est à vous, avec ses jambes en l’air, prête à tout.
Environ une quinzaine d’étalons m’enculent et éjaculent dans ma bouche offerte. Je dois tout avaler. Les femmes, munies de gros vibromasseurs m’enculent aussi. Je ne compte plus mes orgasmes.
Pantelante, à moitié évanouie, je suis longuement fouettée à la cravache, la garcette, la chicotte et la raquette en bois sur mes fesses et mes cuisses brûlantes, que je ne peux resserrer, pendant les trois heures que je reste suspendue.
La garcette est constituée de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides trempées dans l'eau, ce que je constate quand on caresse l’intérieur de mes cuisses, je sens les cordes humides. La chicotte est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
Un des hommes s’approche de moi et me détache, m’allonge sur le canapé. Je garde mon collier de posture et mes mains sont liées dans le dos.
Je suis couchée sur le côté et l’homme m’encule, les cuisses un peu écartées, face à mon dos, ses jambes derrière mes jambes, tout en pelotant mes seins aux mamelons encore tendus, ma chatte trempée et mon clitoris. Je me retiens de jouir, malgré la sodomie profonde.
- Que tu es chaude, ma belle, j’ai hâte de te voir avec tes nouveaux amants. Je te laisse jouir.
Il éjacule en moi et je le nettoie.
Encore nue, avec un vibromasseur anal canin, maintenue par une ceinture, en mules, les mains liées dans le dos, je quitte le château par l’escalier que j’ai emprunté pour venir. Je traverse un petit pont en bois, menant au chenil.
Non, pas le chenil, pour ma beauté, j’ai un autre choix pour ma vicieuse.
Avant d’entrer dans le haras, l’homme me penche en avant, d’autres mains m’écartent les fesses et je reçois sa main gantée dans mon anus. Je gémis un peu.
Je suis installée sur un chevalet, menottée, sans défense.
L’homme m’enfonce le sexe d’un des vingt étalons présents. C’est un pur-sang arabe, Zéphyr. Mon anus résiste un peu, mais je suis enculée sur trente centimètres et neuf de diamètre. Une fois en place, je commence à m’agiter doucement puis, mon anus se dilatant, accélère le mouvement mais s'arrête net en poussant un hurlement de douleur: le cheval, sous l'effet du coulissement sur sa queue, bande. Ma bouche est remplie par d’autres hommes. Mon anus s'étant habitué au sexe énorme qui le pourfend, je reprend mes mouvements et hurle maintenant de plaisir. Zéphyr éjacule en moi jusqu’à mon orgasme.
L’homme retire le sexe débandé de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Mais Zéphyr est rapidement remplacé par Eclair Double Plaisir, un trotteur français. Il me donne encore de plus de plaisir, largement inondée.
Puis Hercules Double Sexe m’achève. Je passe la nuit à me faire saillir trois à quatre fois par mes amants équins puis canins, jusqu’à l’épuisement.
On me fait mon lavement et je dors aux haras, menottée à une croix de Saint-André, fouettée sur le dos, les fesses, les cuisses, le dos, les seins. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême par les applications régulières des crèmes.
Je deviens la vicieuse du haras. On cherche de nouveaux étalons en rut pour me saillir. Les autres soumises qui m’accompagnent, gémissent, tandis que je prends du plaisir.

A la fin de la première semaine au Domaine S V, je découvre ma sœur jumelle Hermine exposée nue, le corps zébré, sur une croix de Saint-André.
Au même moment, lors d’une orgie anale, avec vente aux enchères, je découvre aussi la voiture d’endurance la Shawn V8, équipée de pièces copiées sur les voitures Orchidée, Vision et Monaco.
Je ne sais combien d’hommes m’enculent, me prennent en double pénétration, en double anale et m’offre à leurs chiens pour des saillies anales canines.
A chaque évanouissement, je suis fouettée sur les fesses. Mon anus est alourdi par les litres de spermes et je dois avaler le sperme en bouche, mon unique nourriture.
Je rejoins fréquemment le haras pour me faire saillir.
Je porte à mon gros clitoris tendu, un anneau doré serti d’une pierre précieuse et mes anneaux à mes grandes lèvres sont remplacés par des fers à chacune. Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Les deux U s'emboîtent l'un dans l'autre, le ressort intérieur force ma chair percée pour se bloquer. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Il y a mon nom, les noms et prénoms de mes Maîtres, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. J’éprouve de la fierté, d’être marquée au fer rouge, tatouée et ferrée.
Mon pubis totalement lisse reçoit lui aussi un marquage au fer rouge d’un fouet et d’une cravache entrecroisés.

C’est qu’à l’aube du second samedi, que l’assaut de la police est donné au Domaine. Je suis encore au haras, enculée par un superbe étalon.
La police judiciaire, la brigade des mœurs, la douane, les services fiscaux avec leurs unités spéciales encerclent le Domaine, arrêtent tous les suspects, libèrent les soumises. Des numéros de compte bancaire sont saisis, des vidéos aussi, des corps sans vie sont découverts. Hermine a été incinérée et je retrouve une urne.
Des complices sont arrêtés à la même heure dans tout le pays.
Quand Eva me découvre enculée par un cheval, elle est surprise. On m’aide à retire le sexe. Je me douche. Je rééduque mon muscle anal.
Le groupe international S V et ses filiales sont dissoutes après un long jugement.
Je deviens la pilote numéro 3 de l’écurie Orchidée, devenue H V en hommage à Hermine. Je reste désormais nue sous mes tenues et j’ai gardé mes fers, mes tatouages et mes marquages au fer rouge. Je donne naissance à un fils issu de mes relations au Domaine.
J’aime mes mamelons et mon clitoris constamment tendus.

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