Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
FILLE AU PAIR PUTE
19 avril
Lesbienne à plein temps depuis mes 15 ans, je me suis toujours refusée à un garçon, capricieuse. Je déteste leurs mandrins, même dans ma chatte et dans ma bouche, mais je préfère les godes de mes copines que sur les lèvres de ma chatte et mon clitoris, mes mamelons durcis.
Mon père, diplomate, m’a trouvé un emploi de fille au pair pour un ami Russe, Alexandre, de 45 ans, dans sa villa, avec sa femme Val, de 35 ans, sa fille Svetlana, de 18 ans, son fils Ivan, de 16 ans. Je dois leur apprendre le Français, en plus du Russe, du Danois, de l’Allemand et de l’Anglais, que je pratique, avec quelques notions d’Ukrainien. Je suis étudiante en langues étrangères.
Vers 11 heures, je débarque à l’aéroport, vêtue de mon tailleur avec jupe droite fuchsia, sur mon chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge en dentelle blanche assortie à mon string et mon porte-jarretelles, mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à talons de huit centimètres, maquillée, coiffée d’une queue-de-cheval.
Là, une limousine noire m’attends, aux vitres teintées, entourée d’hommes armés de pistolets-mitrailleurs et Alexandre m’attends. C’est un bel étalon, athlétique, brun.
Son chauffeur, Boris, 45 ans, un colosse qui me surplombe, me prend mes valises. Je monte à l’arrière.
- Je te présente Igor, mon garde du corps personnel. Tu es encore plus belle qu’en photo, me dit Alexandre en Russe.
- Merci, Alexandre, pour ce compliment, dis-je en lui répondant en Russe.
Pour me décontracter, il me montre une de ses revues qu’il édite, avec des vidéos et des jouets sexuels. Ce détail m’est inconnu. La revue montre une jeune fille nue, prise en double pénétration par de superbes étalons comme je les aime. Je suis un peu choquée, surprise par cette pratique.
- Tu as un physique de mannequin. Tu peux faire des photos de nu, si tu veux.
- Je vais réfléchir.
- Ton emploi de cours de Français, comprend aussi de faire du ménage, d’autres services dont je déciderais, ainsi que Val et ta nouvelle copine Svetlana. Mais seule la soubrette Natacha a accès à notre chambre pour le ménage. Toute faute sera sanctionnée.
Igor, 36 ans, qui a pris mon téléphone portable filme toute la scène dans la limousine à mon insu.
- J’ai compris, Alexandre.
- Mets-toi à l’aise. Nous avons une demi-heure de route jusqu’à la villa. Tu dois ranger tes vêtements et sous-vêtements personnels pour toute la durée de mon séjour car des vêtements de fonction te seront fournis. Tu portes un chemisier blanc, sans soutien-gorge, qui mets en valeur tes superbes seins, quant à tes aréoles et tes mamelons sont bien visibles. Ton chemisier s’arrête à la taille, dévoilant ton nombril lorsque tu lève les bras, la jupe, descend au-dessus de genou, et sans culotte dessous.
Alexandre allonge la main vers le col de mon chemisier, arrache les boutons. Il saisit et tranche avec un petit canif les bretelles du soutien-gorge, qu'il enlève. J’ai maintenant, sous mon chemisier non boutonné, les seins libres et nus comme elle a nus et libres les fesses et le ventre.
Il me caresse les seins à travers le tissu de mon chemisier tout en m’observant. La caresse du tissu à même ma peau a rendu mes mamelons tout durs, il les fait rouler avec délice entre ses doigts. Un torrent de plaisir traverse soudain mon corps. Le tissu de mon chemisier ne cesse de me caresser les seins, sans compter les étirements de mes mamelons tendus.
- Tu aimes que je te tire les mamelons, ma belle pute, dit Alexandre en Russe, pour m’exciter.
Je n’ose répondre.
Il me fait pencher en avant et me sort son mandrin de trente par sept.
- Tu vas me sucer.
Je me rappelle mes jeux quand je suce les godes, pour me caresser.
Je m’applique, filmée.
- Elle doit s’entraîner, patron, dit Boris, le chauffeur, qui ne manque pas une miette avec son rétroviseur.
- Mais elle me fait bander, c’est une novice qu’il faut instruire.
Il éjacule dans ma bouche.
- Tu le prends en entier. Tu avales tout jusqu’à la dernière goutte.
J’obéis.
- Tu me nettoies bien.
Une fois propre, je dois retirer ma veste de tailleur et mon chemisier, car j’ai chaud.
Mes seins nus sont mis en valeur par mes mamelons tendus. Jamais je n’ai connu une telle excitation sexuelle.
- De superbes seins nus, tu es plus resplendissante. Plus de soutien-gorges ou alors des guêpières et des corsets seins nus, pour affiner ta taille de pute.
Après cette première fellation et la caresse de mes seins, mon string est tout trempé, mon clitoris est tendu sous mon string. J’ai mouillé ma jupe.
Nous franchissons un portail étroitement surveillé par des caméras, des maîtres-chiens à l’extérieur, tenant en laisse de superbes bergers allemands, dobermans et dogues allemands. Je suis subjugué par leurs sexes.
La villa est reliée par des tunnels souterrains à d’autres villas sécurisées. Le quartier lui appartient.
- Ma pute, tu vas te présenter à Val, Svetlana et Ivan, pour ensuite, signer ton contrat d’embauche. Tu es payée en fonction de tes compétences.
Au salon, Val m’accueille, nue, en mules à talons de douze centimètres, pour me dépasser un peu. Elle est intégralement épilée, porte de petits anneaux dorés à ses grandes lèvres humides et son gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse. Ses seins plantureux me plaisent.
- J’ai vu ta vidéo, pute ou gouine Shawn, je serais juge de tes talents sexuels, en Russe. Tu montes à l’étage, pour te déshabiller dans ta chambre, je reste avec toi. Svetlana va te rejoindre, elle a hâte de te rencontrer.
Nous montons l’escalier en marbre.
- Tu as mouillé ta jupe. Ce n’est pas grave, tes vêtements seront lavés et tu vas mettre ta nouvelle tenue. Enlève ta jupe. Maintenant, baisse ton string. Tu es une naturelle, mes amis vont aimés. C’est rare de nos jours, dit Val en Russe.
Val continue à me filmer avec mon téléphone portable.
- Tourne-toi et penche-toi. De superbes fesses musclées, j’aime. Tu es une adepte de la fessée ou du martinet, donc tu es instruite selon l'éducation anglaise. Si tu as un petit ami, c’est interdit de lui téléphoner ou de lui écrire.
Val caresse mes seins aux mamelons encore tendus.
- Tu mouilles quand je te caresse.
Je n’ose répondre.
- Parles, tu es libre de parler.
- J’aime vos caresses, c’est comme avec Alexandre. Mes seins sont sensibles. Ma chatte est toute humide.
Val pince mes mamelons entre ses doigts jusqu'à ce qu'elle les sente se dresser. Je me laisse faire sans déplaisir.
Puis Svetlana entre, nue, avec son pubis velu, la chatte épilée, avec des anneaux elle aussi aux grandes lèvres de sa chatte et son clitoris est percé de la même pierre.
- Voici, ta nouvelle copine, pute ou gouine Shawn, selon comment tu la trouves.
- Très belle, sexy, une pute à instruire, comme l’a dit mon père. Ma belle, sache qu’à 14 ans, j’ai commencé à le sucer, puis il m’a initié au plaisir anal à 15 ans, avant de m’enculer chaque jour à 16 ans et il m’a déflorée à 16 ans, sous la douche. C’était divin. Toi, tu as une chatte pour les queues de beaux mâles en rut, ma pute et ton œillet est déjà lubrifié, prête à la queue de mon père, dit Svetlana en Russe.
- C'est moi qui me charge personnellement de ton éducation, rajoute Val. Je te préviens, je suis très exigeante et très sévère. Je veux de l'ordre, de la discipline et de l'obéissance. Je te dresserai jusqu'à ce que tu sois parfaite, tu m'as bien comprise ?
- Oui, Madame.
- Tu seras logée dans cette chambre, sans porte, pour accéder à tes plaisirs en solitaire ou avec un autre homme. Je me réserve le droit d'y entrer à tout moment. Il n'y a pas non plus de volets aux fenêtres, cela t'oblige à te lever avec le jour, ni de rideaux car je veux te surveiller ou te faire surveiller en permanence. Tu fais ta toilette à l'eau froide.
Val sort le martinet devant moi, car je tente de cacher mon pubis et mes seins, par pudeur.
- J'attache la plus extrême importance à la tenue de mes soubrettes. Il faut qu'elle soit impeccable du matin jusqu'au soir. Tu te rends vite compte que je suis très stricte sur ce point. Je n'admettrai aucun laisser-aller. D’abord je vais faire le tri dans tes valises. Tu ne portes plus jamais aucun sous vêtement. Plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne portes que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu es pieds nus soit tu portes des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons. Tu dois être parfaitement maquillée vingt quatre heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que tes mamelons. Quand tu te laves, aussitôt après, tu dois te remaquiller. Tu dois avoir dans ton sac en permanence de quoi faire les retouches nécessaires à ton maquillage pour qu'il soit toujours parfait. Ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue sur un simple ordre. Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même.
Le tri est rapide et je ne conserve aucun vêtement. Mes valises sont cadenassées et remises à Boris, qui me toise.
- Tu vas te doucher à l’eau froide, avant de t’habiller.
Svetlana me douche, m’insère une poire de douche dans mon anus serré. Je gémis.
- Elle est serrée de l’œillet, mère.
- Elle sera élargie dès aujourd’hui.
Une fois propre, je me suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
- Avant de t’habiller, tu vas porter ceci, pour voir si ta chatte est celle d’une vierge.
L’anus entrouvert par la poire de douche, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Ma chatte est rempli par le gode similaire d’utilisation et de calibre, pour une double pénétration pour me préparer.
Son prépuce glisse le long du gland de la sodomie et celui pour ma chatte, avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule et me baise simultanément. Ils mesurent trente par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Svetlana attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Val les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
- Tu les portes dès ton lever jusqu’au repas de midi et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit, dix heures quotidiennement. Je m’occupe personnellement de les ôter, pour que tu sois enculée par des sexes à chaque fois que ton œillet est libre et baisée comme une pute. Comme pute anale et soumise, tu dois accepter ta sodomie sans te dérober et te faire baiser.
Je mouille et mon bassin ondule sur ces godes qui réagit à mes ondulations. Je ne sais qui télécommande les godes.
- Non, tu restes nue pour signer ton contrat de pute, annonce Val, qui observe mes ondulations.
- Tu aimes ça, te faire plaisir, dit Boris.
Je chausse des sandales à talons de douze centimètres à mes pieds nus aux ongles vernis de rouge, tout comme ceux de mes mains. Je garde ma queue-de-cheval.
- Ainsi, tu dois marcher élégamment, ta silhouette est plus élancée, tes chevilles et tes mollets sont tendus, de superbes jambes. Tu marches, en redressant le buste et creusant tes reins. Tu vas faire de petits pas, pour marcher et descendre l’escalier. Tu dois te laisser peloter, caresser, et obéir. Chez moi, les invités ont tous les droits. Tu te contentes seulement de te laisser caresser. Je te mets ensuite tes bijoux.
Je croise en sortant de ma chambre, Ivan, le mandrin en érection, de vingt-cinq par six, qui me toise. Je baisse les yeux, involontairement.
- Tiens, la nouvelle chienne, elle est mieux que Natacha. Natacha va être jalouse. Tu es en plus naturelle, c’est une honte, en un mélange de mots Russes et Ukrainiens.
- Ivan, tu te calmes. Shawn n’est pas ta chienne, c’est la future vicieuse de ton père. Elle va plaire à ses amis, annonce Val, qui prend ma défense.
Je descends l’escalier en douceur, les va-et-vient des godes en alternance ou simultanés, par à-coups puis vibrant selon une intensité progressive, me font jouir inconsciemment.
Au bas de l’escalier, Alexandre m’attend avec mon contrat en Russe et en Anglais. Il est nu, le mandrin en érection, au salon, assis sur une des chaises de la table à manger.
- Dis donc, la ceinture et les godes te vont à merveille, sur mesure. Tu es prête à signer ton contrat. Tu vas t’agenouiller, cuisses écartées, assise sur tes talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut. Ta bouche devra rester légèrement entrouverte. Tu vas signer le contrat dans cette position de soumise.
Je m’exécute, encore filmée. Mes ondulations de mon bassin s’accompagnent d’une douleur à mes hanches par mes orgasmes. J’ai hâte de me faire baiser et enculer par le mandrin d’Alexandre.
- Tu prends du plaisir, godée. Tu aimes ça, avoue que cela est fait pour toi, ma belle pute.
- Oui… Je jouis…
- Maintenant, tu as signée, tu vas sucer ma queue pour avaler mon sperme.
Je m’applique davantage, stimulée par une vidéo de fellation, faisant comme l’actrice. Il éjacule longuement en moi.
- Vas t’habiller. Il est 13 heures, tu dois avoir faim, malgré mon sperme que tu as avalée.
Alexandre me caresse mes seins dont les mamelons sont constamment tendus, par les glaçons. Le vent frais de l’extérieur sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux comme jamais auparavant, avec les mêmes glaçons. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles. Alexandre n’hésite pas à étirer mes mamelons et à masturber mon gros clitoris, tout en caressant ma chatte trempée.
Je remonte l’escalier, surveillée par Ivan.
- La chienne vient de signer. Natacha va te punir, car elle est l’unique vicieuse de mon père, dit Ivan en Ukrainien.
Boris me rejoint et fait descendre Ivan pour une explication.
Boris m’exhibe son mandrin de trente-huit par huit.
Val me retire la ceinture et les godes et m’offre à Boris.
- J’ai envie d’être baisée, Val.
- Tu vas l’être, ma belle gouine. Tu as une chatte virginale. Boris va te faire jouir, ma chérie.
Offerte à quatre pattes, sur le lit, je porte des carcans de cuir à mon cou et à mes poignets et à mes chevilles.
Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Boris me baise jusqu’aux testicules, me fesse. Je jouis, pour un nouvel orgasme.
- Oui, c’est ça, prends ton pied, ancienne vierge virginale, dit Boris en Russe.
- Oui… Pine-moi… je réponds en Français
- Elle est déflorée, maintenant à ton œillet.
Ma chatte écartelée, dégouline de mouille abondante, mon clitoris est tendu à l’extrême.
- Maintenant, tu as joui de ton écrin, ton œillet va déguster.
Je me détends sans le savoir, pour faciliter cette sodomie par un vrai mandrin.
- Je vais t’enculer profondément, tu vas aimée, la belle pute anale.
Ces mots m’excitent davantage, je mouille, mes mamelons et mon clitoris se tendent plus longtemps.
Je sens ses testicules contre mes fesses rougies par ses fessées magistrales. Je ne sais si je dois gémir ou jouir.
- La belle pute, elle aime.
- Encule-moi, je l’implore en Français.
Il éjacule enfin au bout d’une demi-heure de sodomie profonde. J’ai un peu mal à l’anus, mais j’ai joui.
- Un double orgasme pour la belle pute, tu as encore envie, je présume.
Je dois porter à nouveau mes doubles godes et ma ceinture.
Je mets mon chemisier blanc, sans soutien-gorge, qui mets en valeur mes superbes seins, quant à mes aréoles et mes mamelons sont bien visibles. Mon chemisier s’arrête à la taille, dévoilant mon nombril lorsque je lèves les bras, la jupe, descend au-dessus de genou, et sans culotte dessous.
Je mange agenouillée à la cuisine, devant Svetlana, avec mes doigts, des boules de viande épicées avec un stimulant sexuel et des concombres, bois beaucoup des mélanges de stimulants sexuels. J’ai une envie de me soulager. J’ai une envie permanente d'aller à la selle, je pisse difficilement par compression, le gode vaginal dans ma chatte resserrée, me fait mal. Dès son retrait, je pourrais peut-être me soulager. La cuisine est mitoyenne avec le salon.
Je lèche la chatte et le clitoris dès que Svetlana me l’exige, même pour Val et je suce Alexandre jusqu’à l’éjaculation.
Svetlana me conduit au chenil, sans mon double gode, où je découvre de superbes bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands. Je suis nue et en sandales, tenue en laisse par mon collier par Svetlana.
- Ce sont tes futurs amants, si tu ne trouves un homme qui te plait. J’ai commencé comme cela, baisée et enculée chaque jour, une fois déflorée.
Le berger allemand Adam me lèche la chatte et mon clitoris, pour me lubrifier. Sa langue a de puissants muscles qu'il peut utiliser beaucoup plus longtemps sans être fatigué. La langue d'un chien, est plutôt grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible. Elle est râpeuse entre mes lèvres de ma chatte que Svetlana écarte pour lui, après menottée mes mains dans mon dos.
- Prosterne-toi pour que Adam te prenne, bien chaude, ma belle chienne, dit un des gardes du chenil qui me toise, en Russe.
Je suis baisée et enculée par Adam. Je gémis un peu, mais le plaisir anal est plus fort sous les coups de reins du superbe berger allemand.
Après quelques nouvelles saillies anales, avec le nœud. Cette situation avec le nœud m’écartèle davantage, mais Adam le fait en douceur.
En une heure, je connais de nombreux orgasmes anaux, plus violents qu’en compagnie des hommes. Mon anus est un peu douloureux par la grosseur du nœud, mais je m’habitue.
Deux gardes du chenil m’enculent aussi, bien montés, je les suce sans avoir joui.
Quelle pute, son œillet est un vrai plaisir, me complimente l’un des deux.
Je suce Adam, pour le récompenser.
Vers 19 heures, on me retire enfin les double godes, portés après mon retour du chenil. Val m’enfonce jusqu’à deux doigts dans mon anus encore lubrifié du sperme de Boris. Je peux me soulager, avec un nouveau lavement anal, sous une douche rapide à l’eau froide, masturbée par Svetlana, je me retiens de jouir.
Nue, en sandales, je rejoins le bureau d’Alexandre, au rez-de-chaussée. Là, je suis enculée jusqu’aux testicules par Alexandre, tout en regardant sur un mur, l’organigramme d’une société secrète, en Russe, à côté de miroirs et de glaces, sans tain, pour me photographier et me filmer à mon insu. Je me retiens de jouir.
Il m’offre ensuite, enculée à Don Sodo, 55 ans, le gynécologue et aussi responsable des relations humaines, donc en charge de mon salaire.
Je suis offerte, menottée, nue, sur le fauteuil gynécologue, aux deux hommes, dans une pièce mitoyenne du bureau, derrière une bibliothèque.
J’ai droit même à un examen gynécologique, pour mesurer ma dilatation anale et ma défloration vaginale. Bien sûr, je suis menottée et livrée, cuisses écartées.
- Voici ma nouvelle protégée, Shawn qui se perfectionne par des saillies canines pour l’élargir.
- Quelle superbe chatte velue, ce qui est rare maintenant. La jeunesse vicieuse est en elle, son œillet est bien entrouvert. Mon assistant César la prendra tout à l’heure. Son hymen est bien percé et son œillet se dilate davantage, le gode fait bien son travail et elle est fréquemment enculée à toutes les occasions, en Russe.
J’ai droit au spéculum et à l’écarteur anal, avec une caméra pour que je puisse admirer en sa compagnie mes trésors intimes lubrifiés.
- Son œillet est assoupli mais encore assez. Elle mouille abondamment. Il faut cravacher ses fesses et ses cuisses, une soumise potentielle.
- Shawn se donne à tous les vices enfouis en elle. Regardez comment elle me suce.
- Quelle belle douche à dresser, elle doit sucer et avaler toutes les queues offertes pour elle.
Je suis photographiée et filmée.
Le mandrin de trente-six par huit du Docteur dans ma chatte, me fait jouir. Je suis surprise par son endurance sexuelle.
- Sa chatte est devenue sensible. Elle prend du plaisir. Adam l’a satisfaite sexuellement.
Puis il me libère mes jambes et m’ouvre complètement les jambes, en me tenant par les chevilles, jambes tendues.
- Je vais t’enculer jusqu’aux testicules. Si tu as mal, dis-le moi.
Je jouis dès qu’il encule.
- Continuez, je suis toute à vous, dis-je en Français.
- Tu es sacrément chaude de l’œillet. Adam t’as bien ouverte, la vicieuse.
- Pinez-moi à fond, je suis votre pute anale, dis-je en Français.
Le Docteur éjacule en moi et je le suce. César m’encule à son tour, l’anus bien lubrifié, avec son mandrin de quarante par six, de 35 ans. Je connais un violent orgasme anal, sans me caresser.
Je passe une heure, à leur merci.
Vers 20 heures, je prépare le repas, dans ma tenue, sans ma ceinture, en mules à talons de douze centimètres. Je suis vêtue d’un chemisier blanc sans boutons sur mes seins nus, mes mamelons sont fardés de rouge et sont tendus sous le pinceau que j’utilise, ainsi mes aréoles, ma bouche et mes petites lèvres de ma chatte humide, mon clitoris est tendu à l’extrême. Je me suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Ma chatte est cachée sous une jupe blanche couvrant à peine mes fesses nues, je suis chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres, mes ongles des mains et des pieds vernis en rouge. Je suis fardée et je dois passer les glaçons sur mes mamelons et mon clitoris. Je suis tellement excitée, que mes mamelons pointent plus longtemps. Je me coiffe d’un chignon pour exhiber mon collier de cuir.
Durant tout le repas, je n’arrête pas de me sentir regardée par tous, surtout mes seins. Lorsque je me penche en avant pour servir les plats, ils ballottent et tendent le tissu, ce qui les rend encore plus visibles. En plus, avec la caresse du tissu, mes mamelons ne cessent de pointer avec provocation. Cette situation finit malgré tout par devenir assez excitante, j’apprécie vraiment d’être le centre d’intérêt. Je me sens belle et désirable.
Je dois m’empaler entre les cuisses d’Alexandre et de Don Sodo, à chaque plat que je sers.
D’abord, entre celles d’Alexandre, je m’empale sur mon propre poids, enculée jusqu’aux testicules. Il caresse mes reins, mes seins aux mamelons tendus à l’extrême par le tissu du chemisier non boutonné, mes fesses et ma chatte, Adam ne se gêne pas pour me lécher mon gros clitoris.
- Tes seins méritent d’être cravachés un de ses jours. Ils sont sensibles.
- J’aime votre queue, Alexandre, je réplique en Français.
- Tu t’ouvres un peu davantage. J’aime ça.
Avec Don Sodo, il m’excite.
- Ma grosse queue te fait du bien, dans ton puits de pute de luxe.
- Je suis ta pute de luxe, Don, dis-je en Français.
- Adam te lèche bien le clitoris, tu as la chatte en feu.
Après le dessert et avant la fin de mon service, les deux hommes m’enculent sauvagement, nue, à quatre pattes, devant les vidéos tournées de moi depuis mon arrivée. Je suis toute excitée.
J’avale leurs spermes. Svetlana m’achève en 69, tandis que je suis enculée à nouveau par Boris et Igor. Igor possède un mandrin de trente-deux par huit.
Vers 23 heures, pantelante, je suis portée à ma chambre par Igor. Je me douche et je suis menottée à mon lit, allongée sur le dos, bras et jambes écartés, l‘anus libre, propre, avec un bâillon-boule mis par Igor. Il passe à nouveau les glaçons sur mes mamelons et mon clitoris.
La lumière éteinte, sans rideaux, ni volets, la porte ouverte, je suis à la merci du premier venu.
Adam m’encule, massant mes seins avec ses pattes avant. Je jouis sous le bâillon-boule.
Je suis enculée à trois reprises jusqu’au lever du soleil, par Adam, qui me lèche aussi mon gros clitoris tendu à l’extrême, prosternée ensuite pendant la nuit, pour une meilleure saillie anale canine.
20 avril
Au lever du soleil, l’anus dégoulinant de spermes canins, pantelante, en sueur, je suis réveillée par Félix, l’étalon Africain, doté d’un mandrin de quarante par six, 25 ans, m’encule jusqu’aux testicules, en me retirant juste mon bâillon. Je reste prosternée, cuisses écartées.
Il me met mon bijou d’anus de douze par six. Il se resserre sur la tige dont le diamètre est plus ou moins celui d'un petit doigt, ce qui correspond à l'ouverture normale et naturelle de l'anus pour permettre les échanges gazeux. Il entretient l'élasticité mon anus.
En marchant, je contracte mon anus et avance le bijou d’anus contre ma chatte qu’il stimule.
Il détend les sphincters anaux pour apprivoiser le plaisir anal et se familiariser avec cette zone et les contractions des muscles anaux provoqueront un immense plaisir qui se propage dans tout le bas-ventre des utilisateurs qui risquent vraiment d’y prendre goût ! Mes sphincters anaux se dilatent pour me livrer ensuite à une sodomie toute en douceur. J’éprouve des orgasmes intenses anaux.
- Tu verras ton œillet va s’ouvrir davantage et chaque nouvelle sodomie sera moins douloureuse, dit-il en Russe.
En descendant à la cuisine, après une douche rapide à l’eau froide, en tenue, et pieds nus, sans mes mules, pour ne pas réveiller la villa, j’éprouve un certain plaisir anal.
Svetlana est déjà là.
Elle m’embrasse langoureusement et masturbe mon gros clitoris, en me passant un nouveau glaçon sur mes mamelons et mon clitoris.
Svetlana sait pour mes ébats sexuels avec les hommes de la villa et m’annonce :
- Ma chérie, il faut quelques achats pour te rendre plus désirable. Adam est un excellent amant canin. Tu as joui cette nuit. Je t’ai observée, enculée comme une chienne, en excellent Français.
- Oui, j’aime. On pourra faire l’amour entre filles, si tu veux. Je dois me faire enculer tous les jours, c’est la pratique de la villa, dis-je en Russe.
- Tu aimes ça, tu es une vicieuse, dis donc, en Français.
Adam me lèche ma chatte et mon clitoris, pendant que je prépare le petit déjeuner. Je me retiens de jouir.
Le petit déjeuner est servi à la table à manger. Je m’agenouille, cuisses écartées, pour déjeuner, nourrie par Svetlana.
Vers 8 heures, Svetlana me fait des essayages de tenues dans ma chambre, nue devant un grand miroir, après que je me sois fardée et parfumée.
J’apprends à mettre un corset.
- Tu as des hanches de courtisane, le dos cambré et les fesses en arrière pour qu'on les caresse encore plus, et tes seins tendent même leurs mamelons durcis. Un corset est fait pour mouler le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur, dit-elle en Russe.
Je dois une jupe, dévoilant par-devant, le haut de mes cuisses et par-derrière, elle m'arrive juste au ras des fesses. Le corset me force à me tenir droite, à bomber les seins et à cambrer les reins. Mes fesses rebondies vont beaucoup plaire.
L’air entre sous ma jupe et caresse mon dorénavant sexe tout nu. Toutes ces stimulations font effrontément pointer mes mamelons, je suis certaine que cela se remarque à dix mètres et cela m’embarrasse quelque peu.
Je commence à m’habituer à avoir les seins libres et nus comme j’ai nus et libres les fesses et le ventre, ma chatte et mon anus sont facilement accessibles.
Vers 9 heures, je suis prête, avec mon boléro fermé au cou, pour compléter ma tenue de pute de luxe. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Val arrive, tenant une cravache dans sa main.
- La pute de luxe Shawn, tu n’as pas encore été cravachée. Je vais te le faire avant ta sortie avec Svetlana, en Français.
Val me retire ma jupe et me m’installe attachée en croix, jambes écartées et bras en l'air, faisant glisser ses poignets et ses chevilles dans les anneaux qui se fermaient comme des menottes. Deux barres verticales en bois blond, espacées d'un bon mètre, sont plantées au milieu d’une pièce capitonnée fermée à l’étage, sur toute la hauteur de la pièce. Elles sont régulièrement percées pour permettre d'ajuster, au moyen de goupilles, la position de quatre anneaux d'acier qui y sont suspendus, deux en l'air et deux au sol.
Mes cuisses et mes fesses sont zébrées par les coups de cravache à toute volée. Je porte quatre marques sur les fesses et deux sur le dos de mes cuisses, les traces sont distinctes. Je ne gémis, mais je mouille abondamment, comme le remarque Svetlana.
La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, car on m’en caresse les seins avec mes clochettes et l’intérieur de mes cuisses, je sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède. La chicotte est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
- Ma mère, Shawn a sa chatte toute humide. Elle ruisselle, elle adore ça, dit-elle en Russe.
- La pute de luxe Shawn n'en a pas eu assez! Shawn en redemande! Ce sera pour plus tard, va te promener, ma belle. Ta chatte est humide quand je passe et plonge mes doigts dedans. Tu es sensible de la chatte, tu vas allumée les mâles en rut, en Français.
Avant de me détacher, je suis offerte à un autre homme de la villa. C’est le photographe Sven, un Danois, comme moi. Il est âgé de 60 ans, il a fait de nombreuses photos pour les magazines d’Alexandre. Il exhibe son mandrin de quarante par sept, qu’il frotte entre mes cuisses humides.
- Elle est déjà trempée, cette jeune chienne. Elle est le futur modèle pour une série de photos érotiques. Allez, ma belle, je vais te défoncer ton superbe écrin velu, puis ton œillet. Tu es une vraie chienne.
Il me baise d’une seule traite jusqu’aux testicules. Il bande à fond.
- Ca une chatte de vicieuse, tu me serres. Je vais éjaculer, en Danois.
- Excusez-moi, je suis trop excitée, dis-je en Français.
- Ce n’est pas grave, je vais t’enculer aussi, avec une gaine à picots, comme pour tous mes modèles que je fais poser, en Danois.
Il m’encule jusqu’aux testicules, en m’écartant bien les fesses brûlantes.
- Tes fesses sont encore chaudes. Tes mamelons pointent sous ton boléro. Tu aimes que je t’étire mes mamelons, en Danois.
Je décharge un flot de mouille.
La sodomie dure une éternité.
Pantelante, je suis libérée et je le suce, accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés. J’avale tout son sperme sur son mandrin.
Je nettoie ma tâche de mouille et je me refais une beauté.
Svetlana m’a abandonnée.
Sven m’embrasse langoureusement sur la bouche. Une première pour moi, je préfère la bouche d’une femme.
- Tu signeras des feuillets complémentaires pour les séances photos. J’ai hâte de t’enculer uniquement, tu es super sexy. J’aime bien ta bouche de déesse, en Danois.
Rhabillée, en mules, je retrouve Svetlana, au garage, non loin de la villa, près du chenil, sans mes carcans de cuir, sauf mon collier pour me faire reconnaître. Les chiens aboient en sentant mon odeur de chienne. J’ai mis mon bijou d’anus.
- Tu as de la chance, car Sven ne baise pas aussi facilement des jeunes filles. Ce sont tes fesses qui l’excitent et tes petits seins et surtout que tu sois naturelle.
La limousine est de sortie, mais il y a une superbe BMW cabriolet qui nous attend, aux initiales de Svetlana : SV 01.
- Monte à bord, c’est ma voiture personnelle. Surtout relève ta jupe pour t’asseoir comme moi, cuisses écartées, les yeux toujours baissés, comme si tu étais ma chienne lesbienne. C’est excitant, le cuir froid sur tes cuisses, en Danois.
- Je suis surprise que tu parles Danois, ma chérie, dis-je en Danois.
- J’apprends en cours accéléré avec des mannequins Danois que mon père ramène pour les contrats. Ainsi, Ivan ne pourra pas écouter nos mots doux lesbiens, en Danois.
Assise, je me sens à la fois gênée, excitée et surtout je repense à Sven. Mes fesses brûlantes sont apaisées par le cuir froid. Svetlana a pris son sac à main. Je suis son invitée, elle a mon téléphone portable.
Nous prenons l’autoroute pour rejoindre en un quart d’heure le centre ville. Les routiers ne cessent de reluquer mes cuisses nues et ma chatte bien visible, cuisses écartées, pour exhiber ma chatte.
- C’est jouissif, je mouille.
- C’est normal, qui est une beauté facile, car tu as envie de tous les hommes qui te désirent, en Danois.
- Non, Svetlana, je suis une femme tout simplement.
Elle caresse ma cuisse gauche.
- Tu es toute excitée, ton clitoris est bien tendu, en Danois.
Au centre ville, nous prenons un verre, nous embrassons, main dans la main, comme deux lesbiennes, Svetlana caresse mes seins aux mamelons durcis sous mon boléro. Je suis au bord de l’orgasme, avec mon bijou d’anus.
- Tu aimes que je te caresse les seins ma chérie, en Danois.
Je jouis faiblement.
Puis nous allons dans une boutique de lingerie, pour des corsets et des guêpières seins nus, en cuir, en satin et en dentelle, pour mes prochaines tenues. C’est la transsexuelle Dan qui m’accueille. Elle prend mes mensurations et remarque mon collier de soumise.
- Svetlana, c’est la nouvelle fille au pair, Shawn la Danoise. Quelle beauté, encore plus belle que Natacha, la pute et la chienne d’un certain Olav. Quand à toi, je te garde sur mon téléphone portable. Fais quelques pas, nue, pour mes amies.
Dan m’allonge sur une table dans l’arrière-boutique, cuisses écartées.
Elle m’encule jusqu’aux testicules, je connais un violent orgasme anal et une longue éjaculation dans mon anus bien lubrifié.
- Tu es sacrément chaude de l’œillet. Déjà saillie, ma belle, je le sais. Svetlana m’a envoyé tes saillies avec Adam. Tu n’as pas encore essayé avec les autres chiens. Il paraît que les colleys sont de bons baiseurs.
Remise de mon orgasme anal, l’anus bien rempli de sperme, je reste nue et en mules, en sueur, fraîchement remise en beauté par Dan.
Nous franchissons une porte secrète, qui conduit chez un tatoueur et perceur.
- Voici ma nouvelle muse, Shawn la pute anale, cela ne te choque pas.
- Non, je suis là pour me faire enculer, comme ta pute, en Russe.
- Tu sais te montrer docile. Ecarte un peu tes cuisses, j’admire ton œillet de pute.
Je retire le bijou d’anus. Il est encore entrouvert.
- Allonge-toi que j’admire cette superbe chatte et son gros clitoris bien visible entre tes poils.
Nue, je m’allonge sur la table, cuisses écartées. Je suis toute mouillée, mes mamelons et mon clitoris sont constamment tendus désormais.
- Je vais te raser juste autour du clitoris, pour te poser ton bijou.
Je porte désormais le même bijou que Svetlana, mon clitoris est percé horizontalement.
Le tatoueur Sir Vladimir m’encule ensuite et masturbe mon clitoris percé, je connais un double orgasme anal, tellement l’excitation clitoridienne est intense.
- J’aime quand tu me masturbes mon clitoris. Il est hyper sensible, je vais jouir plus vite, en Russe.
- Lâche-toi, tu es toute mouillée. Natacha s’est faite tatouée il y a trois mois, un mystérieux symbole sur son pubis totalement. J’ai conservé le dessin.
- C’est un blason des SS Ukrainiens, dont un des amis de mon père m’a montré sur un livre.
- Natacha aurait une liaison avec un homme de main de la mafia Ukrainienne, d’où son tatouage. Le beau jeune homme la conduit souvent à bord de sa Ferrari F40 ou d’une 488 GTB ou d’une 812 ou d’une F8, toutes sont rouges, avec une plaque d’immatriculation commune en cyrillique.
- Alexandre ne va pas aimer cette information sur Natacha, me susurre Svetlana, tout en suçant Sir Vladimir qui a éjaculé dans mon anus.
- Je vais défoncer ta chatte trempée de ma belle déesse.
- Oui, pine-moi à fond, j’ai la chatte en feu, en Russe.
- Ton clitoris est bien tendu maintenant.
Il éjacule dans ma chatte.
Au retour, vers 13 heures, après un restaurant avec Sir Vladimir, qui m’a offert mon percement de mon clitoris et Dan m’a fait un prix sur mes dessous seins nus, tout est déjà payé d’avance, nous croisons dans une ruelle entre les villas du quartier, proche de celle d’Alexandre.
Je sors mon téléphone portable et je filme la scène en direct. Natacha, 25 ans, se fait longuement enculée, dans son uniforme de soubrette, seins nus, en mules à talons de douze centimètre. Son amant, un beau colosse, de 35 ans, porte tatoué sur son avant-bras gauche, le même blason que Natacha.
- Tu es encore trempée, ma chérie, en Danois. C’est la scène qui t’excite.
- Continue à me masturber, je suis aux anges, telle une Maîtresse, en Danois.
Je l’envoie depuis ton portable à Alexandre et à Val et à d’autres amis.
De retour à la villa, nous laissons Natacha entrer la première et nous rangeons la BMW. Je suis toute excitée, mon siège est rempli par mon flot de mouille abondant.
J’ai pris en photo la plaque d’immatriculation de la Ferrari F40 du bel Adonis, qui repart.
La correction de Natacha sera sévère. Ivan est convoqué aussi.
Alexandre et Val reçoivent Natacha. Natacha rejoint Ivan dans la cuisine.
Nous arrivons derrière.
J’entends les râles de plaisir de Natacha, enculée par Ivan.
- Ivan et Natacha, venez ici. Nous avons à parler.
Natacha a juste le temps de recevoir le sperme d’Ivan dans son anus encore entrouvert par Olav.
Ils arrivent. Nous restons en retrait.
Du sperme coule du mandrin en érection d’Ivan, de seize par huit.
- Tu t’es faite Natacha, Ivan, le spécialiste en Ukrainien. Sachant que l’Ukrainien est interdit sous mon toit. Tu seras punie par Shawn. Approche, ma belle.
- C’est elle, la chienne, dit Natacha en Ukrainien. Tu baisses les yeux en ma présence, tu es interdite de séjourner ici.
Je garde les yeux ouverts et je lui réponds en Ukrainien et Svetlana traduit à l’oreille d’Alexandre :
- La chienne Natacha se fait enculer par Olav. Tu es amoureuse de lui, tatouée pour lui, montre ton pubis de pute anale.
- Retire ce que tu viens de dire, tu es ma soumise, en Ukrainien.
- Olav n’est pas mon type d’étalon, je préfère Dan ou mon colley pour me faire jouir. Regarde mon superbe bijou, en Danois.
- Répète, je n’ai pas compris.
- Natacha, tu as très bien compris, ce que vient de dire Shawn.
Tout en parlant, je commence à griffer les testicules encore remplis de sperme d’Ivan d’une main et de l’autre, je griffe les fesses de Natacha.
- Retire tes pattes, m’ordonne Natacha dans un mélange de Russe et d’Ukrainien, énervée.
Sans ménagement, nue, Natacha est conduite dans une pièce au sous-sol, par Boris et Igor.
Quant à Ivan, avec Svetlana, nous l’amenons dans une pièce mitoyenne, menotté à un crochet, bras tendus, sur la pointe des pieds.
Je me change, en Maîtresse, avec mon corset seins nus en cuir noir, que me lace étroitement Val, je porte une cagoule, ne laissant visible que mes yeux et ma bouche, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée, chaussée de cuissardes à talons de douze centimètres assorties en noir. J’enfile mon double gode muni d’un gode réaliste similaire anal extérieur. Je ne porte plus mes harnais de cuir.
Je le caresse devant le miroir.
Je punis d’abord Ivan. Un superbe colley m’observe et vient me lécher mon clitoris laissé exhibé par le slip. Je jouis en enculant Ivan.
Le colley m’encule ensuite, libérée de mon slip. Je connais deux violents orgasmes anaux. Svetlana et Val cravachent, puis à la garcette et à la chicotte, Ivan, qui gémit, équipé d’un étireur de testicules et d’un harnais de chasteté avec une grosse boule anale. Svetlana a filmé le dressage d’Ivan avec mon portable. L’étireur de testicules les étire bien en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible, pour des jeux pervers et sadiques, sur chaque testicule déjà bien gonflé et bien sensible. Ivan ne peut avoir une érection, avec une boule anale de six par quatre.
Je remet mon slip et je corrige Natacha, escortée par le colley. Je l‘encule aussi, puis le colley prend le relais, avant une longue correction, cravachée sur les fesses, les cuisses, les reins et les seins, pincés par de lourds poids. Elle hurle sous le bâillon O.
En sueur, pantelante, je me retire au bout de deux heures de soumission.
Vers 16 heures, je me douche longuement, accompagnée du colley, qui me suit à la trace. Il se prénomme Shawn comme moi. Je le suce, pour le récompenser du plaisir anal qu’il m’a donnée.
Vers 20 heures, je suis offerte à six superbes étalons très bien montés, musclés, comme j’aime, prénommés Alban, Brice et Carlos ont un mandrin de trente-cinq par six, Duc, Eros ont un mandrin de vingt-cinq par sept et Jason, le superbe étalon Africain, le mieux monté avec un quarante par huit. J’ai remis mes harnais de cuir.
Je suis nue, les yeux bandés, sans mes carcans de cuir. Je suis longuement caressée sur tout mon corps, le colley me lèche aussi le clitoris pour m’exciter.
Je suce celui qui me baise ou m’encule. Les double pénétrations me font exploser dans de violents doubles orgasmes.
Alban se couche sur le dos et je m’empale ma chatte sur lui, tandis que Duc m’encule simultanément. Je prends beaucoup de plaisir.
Sans ménagement, je m’offre empalée sur Brice qui se trouve sur le dos et j’ouvre bien les jambes pour que Carlos me baise simultanément. Le frottement de mon clitoris tendu à l’extrême contre le pubis que Carlos qui me baise, me provoque une vague de plaisir comme à la première double pénétration.
Enfin, le summum, je m’empale la chatte, sur Eros qui me prend dans ses bras, je l’entoure de mes jambes et Jason qui me soutient aussi, m’encule simultanément.
J’explose sous les orgasmes, tellement mon clitoris est sollicité.
L’action est renouvelée pour un total de six double pénétrations, qui me ravit. Je n’ai pris autant de plaisir. Je suis exténuée, ma chatte et mon anus sont encore bien ouverts, débordant de flots de spermes.
Svetlana me filme avec mon téléphone portable.
Vers 22 heures, Jason me prend dans ses bras et me conduit à ma chambre, le bijou d’anus remis, pour conserver un peu de spermes. Il me retire mon masque de nuit. Je me douche devant lui, me masturbe devant Jason, qui se masturbe aussi.
Sous le jet d’eau froide, après mon lavement anal avec une canule enfoncée dans mon anus, d’eau froide aussi, Jason m’encule d’une seule traite jusqu’aux testicules. Je m’offre penchée en avant, les mains au sol, l’eau froide ruisselle sur mon dos et mes reins.
- Quel œillet, bien ouvert par ton bijou, tu es encore chaude, en Danois.
- Encule-moi, je suis ta pute, en Russe.
- Tu aimes que je te fesse et que je caresse ton clitoris percé, en Danois.
- Je vais exploser, en Russe.
Sans débander, il éteint la douche et m’installe sur le lit, mon dos contre son buste musclé. Il pelote mes seins, étirant mes mamelons tendus à l’extrême et masturbe mon clitoris, en fouillant ma chatte. Je connais un nouvel orgasme anal, tandis qu’il éjacule en moi. Je le nettoie, le bijou d’anus remis en place.
Nous retournons au salon. Là, je découvre mes amants d’un soir, s’enculant mutuellement, assis entre les cuisses de celui qui l’encule, même Dan est présent, enculée par Eros. Leurs mandrins en érection m’excitent, je les suce, l’anus libre. Mais le colley m’encule, lorsque je me mets à quatre pattes, bien cambrée.
Jason est surpris de me voir enculée par le colley.
- Tu jouis, ma belle, enculée par ton amant canin, en Danois.
- J’aime ça, une belle queue canine dans mon puits de chienne, en Russe.
Dès que le colley a éjaculé longuement en moi, Jason me reprend, me baisant cette fois. Je m’offre, cuisses écartées, accoudée, il me fesse longuement, tandis que son pubis frotte mon clitoris tendu et ses testicules claquent contre mes fesses brûlantes, lors d’un violent orgasme.
Dan me baise aussi dans la même position, me fesse aussi.
Je suce et je nettoie l’ensemble de mes amants, les seins, le pubis, les fesses, les reins recouverts de spermes, lors de leurs éjaculations sur moi.
Je tire au sort un numéro et je dois passer la nuit avec Jason, dans une autre villa. Je reste nue et en mules, le bijou d’anus en moi.
Par un tunnel secret, nous découvrons une luxueuse chambre avec de nombreux miroirs et glaces sur les murs et au plafond, sans fenêtre, ventilée par un air frais, qui décuple mon excitation sexuelle. La salle de bains dotée elle aussi de miroirs, abrite une douche, une grande baignoire transparente, un bidet, un urinoir et une cuvette sans lunette.
Nous prenons un bain masturbatoire pour me relaxer et me préparer. Je le masturbe en échange de masturbation de mon clitoris et de ma chatte fouillée avec ses doigts.
Après un 69 torride, sur le lit, enculée par le colley, qui m’abandonne ensuite, Jason me baise d’abord. Je m’offre allongée sur le dos, les jambes relevées, tête bêche, baisée à fond. Je jouis, puis sans débander, je glisse mes jambes le long de son buste, massée de haut en bas dans ma chatte en feu. J’ai gardé mon bijou pour offrir ma chatte resserrée de vierge.
Il se retire après mon orgasme, pour m’enculer. Allongée sur le dos, je pose mes mollets sur ses épaules, il est agenouillé et m’encule profondément. Mon anus lubrifié par les coups de reins du colley, permet une longue sodomie profonde.
J’enchaîne les orgasmes anaux, car mon clitoris est sollicité par ses doigts. Il caresse mes cuisses, mes mollets et mes chevilles.
Il regarde son éjaculation.
Malgré la fatigue de mes nombreux ébats sexuels de la journée, après une nouvelle fellation, je m’assois sur ses cuisses. Il est allongé sur le dos. Je m’empale, sous tout mon poids, enculée, cuisses contre ses cuisses, j’ouvre bien grand les miennes. Je connais un nouvel orgasme anal, mais Jason retarde son éjaculation, pour me faire pivoter vers lui, de face. Il s’agenouille, je suis toujours enculée, sans débander. Nous sommes enlacés, cuisses sur cuisses, nous caressons nos corps, nous embrassons, jusqu’à l’ultime éjaculation.
21 avril
Vers une heure du matin, nous dormons, enlacés, son mandrin mou dans ma chatte, mon pubis est recouvert de spermes tout autant que mon anus libre entrouvert. Jason est mon nouvel amant.
Vers 7 heures, avant de me quitter, il me baise une ultime fois. Je m’offre à quatre pattes, Jason est agenouillé derrière moi, m’étreint la taille, me défonce la chatte jusqu’aux testicules. Il caresse mes seins, mon ventre, mon clitoris et je coulisse sur son mandrin, en ondulant mes fesses tout en recevant ses coups péniens, en m’insultant en Danois, pute, chienne, vicieuse, perverse. Je suis toute excitée et il éjacule sur mes fesses et m’abandonne, pour se doucher et disparaître.
Vers 9 heures, je me réveille, dans ma chambre, nue, les fesses encore recouvertes du sperme de Jason. Le colley me lèche tendrement ma chatte entrouverte et mon clitoris. Je jouis encore.
Le majordome Horace, un superbe étalon Africain, m’observe, doté d’un mandrin similaire à celui de Jason. Je connais un violent orgasme lorsque le colley me baise vigoureusement, attaché par son nœud dans ma chatte. L’attache dure trois quart d’heure, avec une longue éjaculation. Je redresse mes jambes, je les passe par-dessus le dos du chien, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui.
Le colley se retire et Horace m’encule sauvagement. Débordant de spermes, je me douche devant lui et me fait un bon lavement anal. Il se masturbe devant moi.
- Shawn ou Maîtresse Sévices, prenez votre petit déjeuner, des amis d’Alexandre vous attendent nue, au salon, et en mules, fardée et parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval.
Je déjeune, m’exécute. Je porte mon collier et mes bracelets de cuir, durcis par mes douches, à mes poignets et à mes chevilles, telle une soumise.
Je porte désormais ma bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche, faite sur mesure et une autre bague au majeur droit, relié au poignet par une chaînette très fine, sous mon bracelet de mon poignet droit. Je dois les porter quotidiennement pour me faire reconnaître comme soumise d’Alexandre.
Au salon, je retrouve, tenue en laisse par Svetlana, Alexandre, Val et un couple, un homme de 55 ans, en costume élégant et une jolie brune de 45 ans, en robe dos nu transparente, sur son corps nu, intégralement épilé, son pubis est tatoué. Je garde mes yeux baissés et ma bouche entrouverte.
- Svetlana, laisse nous avec Soumise Shawn ou Maîtresse des Sévices.
- Bien, père, Shawn est entre de bonnes mains.
- 1,75 m, 85B, en moins de 48 heures, cette ancienne vierge est doublement ouverte, même si faut encore l’élargir. Elle raffole des fessés, de la cravache, de la garcette et de la chicotte, qui la fait mouiller d’excitation, je pense aussi le fait d’être humiliée et exhibée. C’est une authentique chienne anale et pute anale. Elle a récupérée le salaire de la traîtresse Natacha.
- Belle bouche à dresser, petits seins à fouetter, les marques récentes sur ses fesses, le devant, le dos et l’intérieur de ses cuisses, en font un atout de choix. Cette vicieuse, adepte SM, déflorée, docile, elle n’aura aucun mal à se plier aux désirs des clients du Club. Son statut de chienne et de Maîtresse augmentent sa valeur : 10.000 à débattre, annonce Marquis D S H, dans un mélange de Russe, d’Allemand et d’Ukrainien. Au fait, ma belle, tu m’appelles Marquis. Mon épouse Marquise A V est une ancienne soumise du Club, que j’ai racheté. Sven te prendra ensuite pour une séance photo à la sortie du Club. D’ici cinq jours, tu seras encore plus vicieuse qu’aujourd’hui. Alexandre a des affaires à régler, ta présence n’est pas utile. Il faut te perfectionner.
La Marquise m’écarte les lèvres de ma chatte humide, en enfonçant trois doigts dans mon anus lubrifié.
- Les grandes et les petites lèvres sont faites pour les fers, son gros clitoris percé est parfait et son œillet s’ouvre sur commande. Tu mouilles et tu te retiens de jouir, c’est parfait. Comme Maîtresse, elle apprendra les règles au fur et à mesure de son apprentissage. Natacha sera dressée chez des amis qui détestent ces chiennes qui s’offrent à l’ennemi. Ivan sera aussi dressé. Quant à toi, tu vas pisser, lâche un peu de ta mouille et boire la coupe. Ta chatte rasée sera sublime avec tes fers. Tu seras aussi tatouée sur tes reins, pour te faire reconnaître. Tu es une excellente pute, vicieuse, perverse et surtout une femme facile. C’est ce qu’il compte, ta facilité et ta docilité. On verra ensuite pour ta valeur, dit elle, en Russe. Tes mamelons, ton clitoris, ton écrin et ton puits sont très sensibles. Tu as déjà porté des pinces à seins, donc tu peux porter des poids à tes mamelons et à ton écrin humide.
Elle retire ses doigts et me fait lécher un à un.
Je m’exécute. C’est un drôle de goût, mais j’avale tout, sans protester.
- Tu as aimée, ma chérie.
J’hoche la tête, silencieuse, en buvant un grand verre de jus de fruit avec un stimulant sexuel, pour me faire passer le goût.
- Ma belle, je compte sur toi, ta docilité, ton intelligence et ton air de vicieuse, annonce le Marquis.
Il me saisit les mains avec familiarité, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou, prisonnière.
- Ton œillet est chaud, ma belle, je présume. Tu es déjà enculée depuis hier soir 20 heures, jusqu’à ce matin, même par ton colley. Ouvre toi bien et tu ne jouis pas, sinon tu seras punie au Club, annonce Marquise.
Je sens le gros mandrin de trente-cinq par huit m’écarteler l’anus bien lubrifié, jusqu’aux testicules. Je me penche bien, en avant, cuisses écartées, offerte à lui, mon clitoris est léché par le colley qui m’a rejoint. Saisie aux hanches, je ne peux me dérober, mes fesses sont écartées par les mains de Marquise.
- Quel puits de pute anale, j’aime ça, chez une femme, dit Marquis.
- Elle a les fesses encore brûlantes, dit Marquise.
Il entre et sort pour mieux me faire sentir son gros mandrin qui me défonce, ses testicules claquent contre mes fesses rougies par les claques magistrales.
- Prends ça, chienne.
Je reste silencieuse, mais je mouille abondamment. Je suis au bord de mon orgasme anal, quand il se retire sans me prévenir.
Je suis frustrée.
La Marquise me met mon masque de nuit et un bâillon O. Je garde mes mains jointes à mon cou, mes mamelons me font un peu mal par l’excitation sexuelle. Il prend mon téléphone portable.
Nous montons en voiture, à l’arrière d’une limousine. Je reste nue et en mules, assise, cuisses écartées, mon clitoris est très tendu, sans me faire mal. Le colley m’a habilement léché.
Nous roulons un long moment. La limousine s’arrête dans un chemin forestier.
Je suis descendue, tenue en laisse, depuis mon départ.
Allongée sur le dos, sur la banquette, je suis enculée à trois reprises, sans connaître les auteurs. J’appuie mes pieds nus sur leurs fesses, pour mieux les recevoir jusqu’aux testicules.
Puis je me rassois, frustrée et pantelante, sans avoir joui.
Après un long trajet, nous franchissons une grille gardée par des maîtres-chiens dont les chiens aboient, à mon odeur de chienne et j’entends les sabots des gardiens montés. Le Club est étroitement surveillé.
A une centaine de mètres d’un superbe pavillon de chasse, on m’aide à descendre, toujours tenue en laisse. On libère mes mains.
- A quatre pattes, ma belle chienne, tu vas faire ta belle, pour tes amants, annonce une voix masculine.
Je marche à quatre pattes, offerte aux langues canines qui m’entourent, me léchant tantôt ma chatte, mon clitoris surtout. Je me retiens de jouir, par crainte d’être punie.
Nous franchissons les marches menant au rez-de-chaussée au salon. Je suis en sueur.
- Voici, notre dernière chienne, Soumise S ou Maîtresse V, selon les goûts de cette pute anale partiellement dressée, exhibitionniste, vicieuse, perverse et surtout suceuse experte. Elle sera instruite pendant quelques jours. C’est une chienne anale, tous calibres de sexe canin et humain l’ont honorée.
On m’écarte les fesses, doigte jusqu’à quatre doigts dans mon anus encore humide. Les commentaires en langue étrangère, qui me sont connus, me sont des compliments.
Je parade à quatre pattes, tenue en laisse par un superbe valet, nu, sous son blouson et en bottes, sur le podium. Les chiffres montent à partir de l’enchère à 10.000.
Aveugle, je ne peux connaître les clients.
Au bout d’une heure, le chiffre de 50.000 est affiché.
- Les enchères sont closes pour Soumise S. Sa nouvelle valeur sera connue par son futur Maître. Amenez-la à son bain, elle doit se faire belle.
Je quitte le podium, sans pouvoir me relever. Mes genoux me font mal.
Je monte un grand escalier en marbre, avec grâce.
Déchaussée, j’entre dans mon bain d’eau froide. On me menotte mes poignets à un crochet, les bras tendus au-dessus de ma tête, à peine fléchis, cuisses écartées, accroupie. Des jeux de miroirs et de glaces de grande dimensions sur les murs et au plafond, reflètent mon corps nu. L’homme cagoulé, que je ne peux voir, les yeux baissés en sa présence, mais je fixe uniquement son mandrin de quarante par six, qui m’obsède, me lave avec une grosse éponge. Il savonne tout mon corps, puis me rince à l’eau froide avec l’éponge, sur laquelle je dois me frotte, augmentant mon excitation sexuelle. Je m’efforce de ne pas penser au caractère obscène que ses mouvements revêtent alors. Humiliée, je me laisse faire.
A la sortie du bain, l’homme m’enveloppe dans une grande serviette pour me sécher. Il masturbe mon gros clitoris, pour mesurer mon excitation.
Nue, je me farde et me parfume devant lui, toujours les yeux baissés.
Le Marquis m’observe de loin.
Sans attendre, l’homme m’encule, je suis allongée sur le ventre, cuisses écartées.
- Quel œillet de soumise, tu vas avoir du succès, superbe chienne, en Danois.
Il se retire et éjacule dans ma bouche. J’avale tout et je le nettoie.
Toujours nue, en laisse, avec mes mules aux pieds, je quitte la salle de bains, pour un salon privé. Il est 13 heures, je commence à avoir faim.
Quatre superbes étalons musclés, bien montés, m’attendent, nus, cagoulés, avec une cape et des bottes. Le salon est entièrement couvert de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond, pour que je puisse m’observer nue.
- Enfin, voici la fameuse Soumise S, sa chatte sera rasée pour la pose de ses fers aux petites et grandes lèvres, son clitoris percé garde son bijou, fouettez-lui les seins avec ses pinces à seins, avec clochettes. Puis elle portera des poids pour davantage les sensibiliser, et ainsi qu’à ses grandes lèvres de sa chatte humide.
Je suis suspendue à un crochet, comme à la baignoire, déchaussée, sur la pointe des pieds. Les pinces emprisonnent mes mamelons constamment tendus. Les clochettes tintent au moindre mouvement. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Mes seins doivent être sensibilisés.
Je gémis lorsque le martinet cingle mes seins, en faisant tinter les clochettes. Mais les quatre hommes caressent ma chatte humide, sous l’étirement de mes grandes lèvres. Mes grandes lèvres de ma chatte en portent aussi avec des clochettes, pour les étirer davantage, ainsi qu’une pince sur mon gros clitoris tendu avec une clochette. Des dents minuscules mordent mes mamelons.
J’adore ce traitement.
Au bout d’une demi-heure, on s’occupe ensuite de mes fesses, mes cuisses, mes reins, toujours menottée. Je suis pantelante, presque évanouie, mais j’ai joui.
Lors de la pause, les quatre hommes m’enculent et me prennent en double pénétration, je dois retarder mes orgasmes, ma chatte et mon anus débordent de spermes.
On me détache et je suis saillie, enculée par trois superbes dogues allemands, à mon usage. Je les suce, sans mon bâillon O.
L’anus ouvert et bien lubrifié, après trois saillies entre une demi-heure et trois quart d’heure pour chacune, je m’évanouis.
Offerte sur un chevalet, dans la pièce, mes seins tombent sous le poids des pinces, mes mamelons deviennent froids. Je suis immobilisée, nue, dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible. On me rase ma chatte et on pose sur chacune de mes petites lèvres et de mes grandes lèvres, de petits anneaux dorés pour me faire reconnaître, ce qui décuple mon plaisir. Je gémis un peu, mais je m’habitue à être percée.
Les clochettes de mes mamelons sont remplacées par des poids de un kilo chacun, pour m’habituer. Mes seins sont à nouveau cravachés, tout comme les autres zones. Je prends énormément de plaisir.
Je suis libérée du chevalet et tenue en laisse, les mains jointes à mon cou, je reçois les instructions pour mon séjour, en Russe :
« Tu es ici au service de tes maîtres. De jour comme de nuit, tu es constamment nue, pour te prêter. Ta bouche, ton écrin et surtout ton œillet seront fouillés et remplis à notre gré. Tu ne peux te dérober, les lèvres de ta bouche entrouvertes, cuisses toujours écartées, pour que ta bouche, ta chatte et ton puits nous sont ouverts. Nue, tu te donnes au premier venu, à visage découvert - et comme il veut - à la réserve toutefois du fouet. Le fouet n’est appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui le désire, tu es fouettée pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tes yeux doivent constamment fixés nos queues nues et libres, pour les sucer. En outre, à la nuit, tu nous suces, nue, fouettée, saillie à tout heure. A ce propos, s'il convient que tu dois prendre goût à te faire fouetter chaque jour, pour ton instruction. Tu es contrainte ici. Tu portes déjà ton anneau à ton annulaire, tes nouveaux anneaux dorés te feront reconnaître, que tu es constamment nue sous tes tenues. Si tu es indocile, tu reviens ici. On va te conduire à ta cellule. »
Je suis conduite à ma cellule, en descendant avec grâce l’escalier de marbre, que j’ai monté à quatre pattes.
Ma cellule comprend juste un chevalet et une salle de bains avec une baignoire encastrée, un bidet, un seau pour mes besoins, entièrement recouvert de miroirs.
J’y reste jusqu’au coucher du soleil. Je suis nourrie, les poids restent à mes seins. Je suis saillie, enculée par des bergers allemands, des dobermans et des dogues allemands. Je les suce, ainsi que les valets, nus sous leurs blousons, bottés, lorsqu’ils me fouettent.
Je peux enfin manger, au réfectoire. Je suis insérée dans une colonne de six soumises, je porte un harnais au niveau des hanches, pour enculer une autre soumise avec un gode similaire à celui pour m’élargir. Nous sommes fouettées pour nous faire avancer. La dernière de la file est enculée par un des valets. Je jouis, sous cette sodomie, plus fort que les autres, qui gémissent. Je suis toujours les mains jointes à mon cou.
Libérée du gode, je suis assise, cuisses écartées, empalée sur mon propre poids, sur un gode canin avec l’avant d’un dogue allemand. Mes mains sont menottées dans mon dos, je suis nourrie par un valet, qui me cravache les fesses, me caresse mes seins, ainsi que mon gros clitoris.
Je suis ramenée dans la colonne, cette fois, je suis la dernière, enculée par le valet qui nous escorte à nos cellules.
Mon valet me baigne et m’abandonne sur le chevalet, la porte-fenêtre grande ouverte. L’air frais cingle mes seins. Les balafres sur mes seins, mes reins, mes fesses et mes cuisses me font moins mal. Je porte à nouveau mes clochettes à mes mamelons uniquement.
Le soir, je suis offerte au salon, à de nouveaux clients, cagoulés, nus, qui me fouettent, m’enculent sauvagement, enculée par mes amants canins. Chaque client glisse des billets dans une chatte moulée, pour accueillir l’argent. Je ne sais combien je suis payée.
22 avril
A l’aube, je retrouve ma cellule, pour une courte nuit, saillie jusqu’au lever du soleil.
Le rituel reprend jusqu’au 25 avril.
25 avril
Vers 15 heures, fraîchement fouettée et saillie, l’anus dégoulinant de mon amant canin, un superbe dogue allemand, je reçois la visite du Marquis, qui vient me chercher pour me conduire à Sven, pour une séance photo torride.
Mes reins sont tatoués en lettres cyrilliques « Votre dévouée chienne S » en écriture gothique.
Je suis heureuse de retrouver le Marquis, qui est fier de mon instruction. J’ai répondu à toutes les attentes du Club. Libérée du chevalet, par le Marquis, je vais me baigner, dans l’eau froide, avec ma canule insérée dans mon anus, surveillée par lui en personne. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Ta bouche suceuse, tes mamelons froissés, surtout ta chatte et ton œillet labourés à plaisir, constamment offensées, sont devenus plus sensibles, plus belles, te faisant une pute anale digne, en Russe.
Le Maître du Club entre, pour un dernier entretien :
- Soumise S, nous avons du écourter ton séjour au Club, mais tu as encore beaucoup à apprendre comme Maîtresse et Soumise. Tu es désormais comme Val et Svetlana, tes Maîtresses. Tu es désormais une Soumise très recherchée par ta beauté, ta grâce, tes qualités sexuelles et surtout comme vicieuse née. Tu es libre de me répondre.
- Oui, Maître et Marquis, je suis une pute anale vicieuse et chienne. Je suis prête à me donner au premier venu, offrant mon œillet.
- Tu as compris ton instruction contrainte, dit le Maître, dont je tourne le dos, collant mes seins contre le tissu de la veste du Marquis, lui offrant mes fesses zébrées, les yeux baissés. Montre-moi tes superbes yeux que tu as caché, je t’autorise.
J’obéis, puis les rabaisse, par soumission.
Le Marquis m'attire pour examiner mes marques sur mon corps. Il passa les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. Je suis reprise en main par le Marquis.
Je porte une robe dos nu courte et transparente sur mon corps nu, avec un corset seins nus blanc, étroitement lacé, mes mules à talons de douze centimètres, sans mes harnais de cuir, fardée et parfumée, gardant ma queue-de-cheval. Je découvre mon sac à main, offert par le Marquis, avec mes papiers d’identité, mon permis et une liasse de billets.
Ils sont satisfaits de mon anus élargi par les multiples sodomies et ma chatte offre des lèvres plus proéminentes percées.
Nous quittons le Club, à bord de ma Ferrari 488GTB, immatriculé M V avec ma date de naissance, en cyrillique, longeons les nouveaux parcs avec des chevaux, jusqu’au centre ville. Je suis une cavalière émérite. Pendant le trajet, le Marquis caresse ma chatte épilée, que j’offre, cuisses écartées, ma robe dévoile tout.
- Tu es encore toute humide. Tu es en mode soumise facile.
- Oui, Marquis, j’attends d’autres queues pour me satisfaire, homme, chien ou gode.
- Tu seras comblée.
Vers 17 heures, après un long trajet, ponctué de sodomies sauvages par le Marquis, je me descends devant un luxueux immeuble, chez Sven, à cinq rues de chez Alexandre, je monte à pied jusqu’au cinquième étage.
Je marque une pause à chaque palier, offrant une vue imprenable sur ma chatte épilée avec ses anneaux dorés et mon clitoris percé. Je suis essoufflée par le corset, en sueur, haletante, la respiration coupée. Ma taille s’est affinée par le port constant du corset au Club.
Au troisième étage, un bel Apollon bien monté, profitant de ma pause, me courbe sur la rambarde de l’escalier, m’encule longuement, sans que je le suce.
- Quelle beauté, jamais j’ai trouvé un tel œillet bien ouvert. Tu es une superbe chienne, toi, en Russe. Tu n’es pas farouche comme les putes de Sven.
Il se retire et éjacule dans ma bouche, que je lui offre, accroupie, cuisses écartées. Ma chatte dégouline de mouille. Le bel Apollon disparaît, sans un mot.
Je trouve sur le palier du cinquième étage, les portes marquées Sven Photographe de Charme. J’ouvre la porte de droite et tombe sur sa secrétaire, une superbe brune, coiffée à la garçonne.
Une séance photo s’achève pour un autre modèle, prénommé Kalina. Ses râles deviennent des gémissements, peu après des bris par terre. Je remplis, assise, nue, déchaussée, cuisses écartées, ma fiche biographique en partie remplie.
La porte s’ouvre sur le studio. Kalina sort en pleurs, nue, tenant ses habits.
- Kalina, tu es une traînée. Tu vas être corrigée au Club, en Danois.
Kalina croise mon regard.
- C’est la nouvelle chienne de Sven. Tu as beaucoup de chance, en Ukrainien.
Kalina est conduite par le Marquis, au Club, dès qu’elle quitte le studio.
- Elle devra payer les dégâts occasionnés, en Danois. Viens, ma belle Shawn, tu m’as manqué, je fantasme sur tes fesses, tes seins et surtout tes superbes yeux.
Sven me regarde sous tous les angles. J’ai remis mes mules, pour ne pas me faire mal à mes pieds nus.
- Shawn, imagine qu’un amant invisible t’encule. Tu prends les poses pour jouir avec lui, en Danois.
La séance photo, nue, je fantasme sur un amant invisible qui m’encule, dans diverses poses érotiques, sur une chaise, à quatre pattes, penchée en avant, cuisses écartées, cambrée, exhibant ma chatte percée et mon clitoris percé, fléchissant mes pieds, debout. Je suis face à un miroir pour me regarder, ouverte, fière de mes anneaux.
Une fois les bris du miroir nettoyés, par la secrétaire, qui est une ancienne soumise, comme je le vois par ses anneaux dorés à sa chatte, elle est totalement lisse, je rejoins le lit.
- Shawn, je te présente Sarah, mon épouse, soumise d’un ami du Marquis qui l’a dressée, depuis l’âge de ses 18 ans. Maintenant à 45 ans, elle est encore un peu soumise et se rend aussi au Club, pour de courts séjours. Elle est intégralement épilée, ferrée comme toi, avec son gros clitoris percé.
Sarah soulève sa jupe éventail, exhibant son pubis et sa chatte totalement lisses, percés.
Là, Sven, dans un 69 torride, me prépare longuement et m’encule pendant plus d’une heure, sans compter mes orgasmes que j’ai retenu au Club. Mes hanches sont douloureuses lors des nombreuses baises, après un nouveau 69. Ma chatte est encore plus sensible avec les anneaux. Je n’ai autant joui, baisée.
Un miroir cachant un appareil photographique immortalise mes ébats avec Sven.
Sarah nous observe, cela m’excite davantage.
A la fin de la séance photo, pantelante, je me douche près du lit, dans une salle de bains immense avec de nombreux miroirs qui reflètent mon corps nu. J’écarte mes fesses pour regarder mon anus, debout, courbée. Il est superbe, entrouvert, rougi, avec encore un peu de spermes de Sven, mon amant. Je me suis fais un lavement pour un futur usage.
Séchée, nue, en mules, je retrouve le couple.
- Tu es encore plus belle, les cheveux libres. On te prendrais pour notre fille, en Danois.
- Sven, c’est notre fille, cette jolie poupée de soie et d’acier, musclée, bisexuelle, soumise, Maîtresse. C’est la fille dont rêve tout homme dans son lit, en regardant ses photos de la sublime pute, en Danois.
Je n’ose répondre.
- Réponds, Shawn, nous attendons le son de ta voix, dit Sarah.
- Oui, je peux jouer votre fille, si vous le souhaitait. Il faut l’accord d’Alexandre et de Val.
- Dès que tu as signé tes feuillets le 20 avril, l’accord est inclus dedans, dit Sven.
- Jason vient te chercher. Tu nous rejoins au restaurant, dans ta robe de soirée, réalisée sur mesure par Dan, sandales à hauts talons de rigueur et chignon de princesse, fardée, parfumée, ongles des mains et des pieds vernis, ma chérie.
Sarah s’occupe de ma pédicure et ma manucure.
Jason me rejoint chez Sven, une fois prête, regardant les épreuves de ma séance.
- Tu es encore plus resplendissante sous l’objectif, dit Jason, en Russe. Ta robe te va à merveille, transparence et sexy.
Nous rentrons chez Alexandre. Il est 19 heures.
Je reçois des compliments sur mon corps zébré et transformé.
Nue, pieds nus, dans ma chambre, je découvre ma robe de soirée.
C’est une robe du soir très légère, composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Je me farde, me parfume, gardant mon bijou d’anus dogue allemand dans mon anus.
Jason lace ma robe. Tout le monde peut voir que je suis nue dessous. Je glisse mes pieds nus dans des sandales à talons de douze centimètres. Svetlana me fait un superbe chignon.
- Tu es sublime, ma belle Shawn, dit Val, en Russe. Tu vas rendre jalouse des femmes. Surtout, prête toi à ton amant, ce soir.
Vers 20 heures, à bord de ma Ferrari, conduite par Jason, nous allons au restaurant, réservé par Sven et Sarah.
Les clients se questionnent sur moi, en considérant comme une jeune fille séduisante de la haute bourgeoisie.
Lorsque je m’assois, je relève discrètement ma jupe éventail, dévoilant mes fesses nues encore zébrées. Je garde mon boléro et je l’ouvre pour montrer mes superbes seins nus au couple et aux serveurs.
Je fais forte impression, que le chef du restaurant et le directeur m’offrent des suppléments gratuitement.
Lorsque je me rends aux toilettes pour dames, un bel inconnu me prend la main et m’annonce élégamment :
- Non, ma poupée, c’est par ici, pour toi.
Nous entrons aux toilettes pour hommes. Je suis toisée par de jeunes étalons.
Sans attendre, le bel inconnu me relève ma jupe, dévoilant mes fesses et mes reins tatoués. Ma chatte percée et mon clitoris percé ne l’effraient nullement, cela l’excite.
Son gros mandrin me défonce quelques instants la chatte au plus profond, tout en masturbant mon clitoris.
- C’est une vraie pute. Tu possèdes une chatte bien humide, tu aimes ça, dit-il en Russe, en faisant signe aux trois autres jeunes, qui se masturbent.
Je connais un violent orgasme, mais il n’éjacule pas. Je reste sur ma faim.
- Voyons, ton œillet de pute bien ouvert. Tu es toute humide aussi, tu aimes les fessées.
Il m’encule jusqu’aux testicules, un des jeunes m’écarte bien les fesses et un autre me donne des claques magistrales sur mes fesses brûlantes. Je suis seins nus sans mon boléro, mes mamelons sont étirés par leurs doigts.
- A toi, Jouisseur, elle est prête, cette pute.
Je suis à nouveau enculée, fessée, suçant penchée en avant, le premier qui m’a pris.
- Tu suces à merveille, en plus. C’est rare, d’habitude les putes sont plus habituées à jouir enculées, mais pas à avoir un tel talent.
Les quatre jeunes se relaient à tour de rôle. Je fais de mon mieux pour avaler leurs spermes. Le premier ne cesse de me filmer avec mon téléphone portable, sorti de mon sac à main. Il y glisse quelques billets pour ma passe.
Je suis abandonnée au bout d’une demi-heure, seule dans les toilettes pour hommes. Je me refais rapidement une beauté, mon bijou d’anus a été remis en place, remet mon boléro. J’ai repris mon téléphone portable. La liasse de billets n’a pas disparu.
Jason me rejoint, intrigué que je ne sorte pas des toilettes pour dames.
Je n’ose lui avouer mes sodomies contraintes aux toilettes pour hommes. Nous remontons au restaurant.
Les quatre jeunes m’observent et disparaissent.
Nous rentrons chez Alexandre. Nous faisons l’amour et mon colley me baise et m’encule pendant la nuit, pour fêter mon retour.
2 mai
Vers 14 heures, après un bon déjeuner, une saillie anale par mon colley, Svetlana me rejoint dans ma chambre, je suis nue devant mon miroir, à admirer mon corps.
Ma chérie, habille-toi, j’ai une surprise pour toi. On prend ta Ferrari.
Je me douche rapidement. Fardée, parfumée, Svetlana me fait enfiler une robe dos nu fuchsia assez courte, couvrant mes fesses, des escarpins noirs à talons de dix centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.
Le haras se trouve à mi-chemin entre la villa d’Alexandre et le Club.
A l’entrée, je remets mes papiers d’identité. Svetlana est connue, elle y vient souvent.
Je découvre de superbes étalons équins, avec d’imposants sexes en érection, dans leurs box.
- Quatre-vingt-cinq centimètres pour satisfaire ta curiosité, tu peux sucer Sultan. Mais avant, déshabille-toi, tu exciteras et caresseras avec ton corps nu son corps.
J’obéis, devant Sultan, un Selle Français. Le propriétaire du haras Youri a 47 ans.
Dis donc, Svetlana, tu nous as caché que ta sœur est sublime, en Russe.
Je m’accroupis, nue et en mules, devant ce sexe. Je suis fascinée par sa taille et n'y tenant plus, me met à le lécher avec gourmandise. J’arrive à peine à rentrer son gland dans ma bouche bien dressée. Youri me pelote les seins et mon clitoris tendu sous l’excitation sexuelle.
- Tu mouilles, ma belle. Quelle suceuse, tu continues encore un peu.
Sultan se met en érection et éjacule. J’avale une bonne partie d’une telle quantité de sperme.
- Installe-toi sur le chevalet, m’ordonne Youri.
Youri me baise un peu puis m’encule sauvagement. Je me retiens de jouir, préférant me faire plaisir avec Sultan.
Je veux la queue de Sultan, Youri, je suis chaude.
Enfin, le sexe équin de Sultan remplit ma chatte trempée jusqu’au fond de ma chatte, pour un superbe orgasme.
Sultan me baise mieux qu’un homme et qu’un chien. Je suis constamment filmée depuis ma fellation, par mon téléphone portable tenu par Svetlana, Youri se masturbe devant ma saillie équine. Sultan bande davantage, par mes va-et-vient combinés aux siens.
Pendant ce temps, Youri n'arrête pas de photographier l'accouplement bestial tout en se masturbant.
Ma chatte est tellement distendue, lorsque Youri le retire, après son éjaculation.
Youri enduit mon anus de son sperme chaud. Mon anus s’ouvre et le gland entre sans problème, puis jusqu’à trente centimètres, pour ma première saillie anale équine.
Mon anus est dilaté davantage par la nouvelle érection de Sultan. Je gémis un peu, mais l’orgasme anal m’envahit.
Je coulisse sur sa queue en érection, enculée, dilatée, mon anus s’étant habituée à ce sexe.
- Pine-moi Sultan, mon puits t’appartient. Je suis ta pute chevaline, en Allemand.
Je suce Youri jusqu’à l’éjaculation en bouche et dans mon anus, simultanées.
- Quelle pute chevaline, tu es faites pour ce vice.
Youri me prend par les cheveux et se fait sucer jusqu'à la jouissance.
Youri sort le sexe débandé de mon anus rougi complètement distendu et boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
Pantelante, le bijou d’anus remis en place, je frotte mes seins contre son corps chaud, masturbant le sexe de Sultan, comme si c’était un homme.
J’ai même droit à une nouvelle saillie anale équine, menottée nue, sous le ventre d’Alizé, un trotteur Français, cuisses complètement ouvertes, une chaîne passant sur le dos d’Alizé immobilise mes bracelets de mes chevilles et mes bras sont tendus avec une chaîne autour du cou d’Alizé. Un dispositif me fait coulisser sur le sexe enfoncé sur quarante centimètres, pour m’enculer, lors de la promenade au manège. Son sexe en érection éjacule trois fois, par la masturbation de Svetlana, d’autres hommes me sont offerts que je suce, pour étouffer mes râles sous les vagues de plaisir anal.
- Quelle sacrée pute chevaline, c’est rare qu’une pute jouisse enculée par nos chevaux.
Je dois aussi être enculée soit par Sultan soit par Alizé soit par Zéphyr, un pur sang arabe. Je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos du cheval, menottée par les chevilles, enculée partiellement, au manège.
Ses nombreux orgasmes anaux violents me font perdre connaissance.
17 mai
Je ne sais depuis combien de temps, je suis enfermée dans la pénombre.
Il me fait suspendre, les bras tendus, chaque jour, je suis en sueur, je sens la pisse, la mouille, le sperme, sur mon corps zébré à la chicotte, donnée pour n’importe quelle punition. Je pisse dans un seau, dont une partie est versée sur mon corps, pour apaiser mes brûlures.
- Alors, la belle pute chevaline, tu apprécies que je te fouette, tes épaules, ton dos, tes fesses, ton ventre et tes seins. Tu perds souvent connaissance quand je te cravache ta chatte devenue aussi sensible que ton œillet que tu ouvres sans te dérober. En somme, tu es une parfaite chienne, mode chevaline.
Mes mamelons sont étirés par un système de poulie pour les étirer vers le haut, je dois rester sur la pointe des pieds nus, un certain temps, une barre d’écartement fixée à mes chevilles. Mes jambes sont ankylosées.
- Garde la position, pointe des pieds, bras tendus, mamelons et clitoris constamment tendus. Très bien, tu aimes ça.
Je suis enculée à n’importe moment de la journée.
Je porte mes carcans de cuir à mon cou, mes poignets et à mes chevilles.
Je dors menottée, avec la barre d’écartement, sur un matelas à même le sol, enchaînée par mon collier, nue, lavée un jour sur deux ou sur trois, mais pas ma chatte, mon anus est lavé par une poire de lavement.
L’inconnu est cagoulé, dos derrière moi, quand je suis exhibée devant le miroir qui reflète mon corps zébré. Je ne compte plus les jours, une semaine, deux semaines, un mois, je n’ai aucun repère, car il me met un masque de nuit, si je tente de lever mes yeux.
- Allons, c’est fini, pour aujourd’hui, tu peux te rhabiller. Je te libère, va te doucher, tu sens la pisse, la transpiration, le sperme et la mouille de pute.
L’inconnu me relâche, pour un million. J’ai pris de la valeur.
Dans une pièce étroite sans fenêtre, je me douche à l’eau froide, en évitant avec l’éponge mes zones fouettées. Ce vicieux m’a bien fouettée, il sait que j’aime jouir sous le fouet.
Je remets ma robe dos nu fuchsia pour cacher mes marques sur mon dos. Je me farde, avec ma trousse de maquillage, dans mon sac à main. Il y a mon téléphone portable et toujours la liasse de billets depuis mon départ du Club.
Je glisse mes pieds nus dans mes escarpins noirs. Je me recoiffe, sans mes carcans de cuir.
Je suis dans les sous-sols de l’immeuble où se trouve Sven.
Je me réfugie chez Sven et je tente de souvenir de mon enlèvement.
Je franchis la porte et perds connaissance.
- Shawn, réveille-toi. Qui t’a fouettée, ma chérie ? C’est Sven, en Danois.
Je suis portée sur le lit, déshabillée. Sarah me passe de la crème apaisante sur mes marques.
- Depuis combien de jours, elle a été fouettée, surtout qu’il l’a enlevée ? me questionne Sarah, en Danois.
- Je ne sais plus. Son mandrin de quarante par six m’a défoncé mon puits assez souvent. Il me fouettait sans aucune raison, en Danois.
Sven me baise, pour me faire rappeler des souvenirs.
- Sven, non pas, pas la chicotte sur ma chatte, s’il te plait, en Danois.
- Je te baise juste, Shawn, en Danois.
- Encule-moi plutôt, cela va me relaxer, en Danois.
A quatre pattes, sur le lit, je découvre mes marques dans mon dos, sur mes fesses, mes cuisses.
- Continue, encule-moi. Je me souviens, ce vicieux m’a enlevée au haras. J’ai perdu connaissance, enculée par de superbes étalons. J’ai tellement joui.
Un orgasme anal moins violent me terrasse.
Sven éjacule en moi. Je suis comblée.
Je m’effondre, sans débander.
Sven se retire et me fait sucer son mandrin.
Les hommes d’Alexandre recherchent l’inconnu au haras.
Jason vient me chercher et me reconduit chez Alexandre.
Au cabinet de Don Sodo, devant Alexandre et Jason, je suis examinée, nue, cuisses écartées, non menottée.
- Ton œillet a du être écartelé, ma chérie. Ce n’est pas un sexe canin qui t’a écartelé, mais un sexe hors norme.
- Non, tu veux dire, le sexe de Sultan, ou Alizé ou Zéphyr, m’ont enculée. Je ne pense pas, ils m’ont juste baisée.
Jason note les noms.
- Qui sont ces noms, ma chérie ? me questionne Jason.
- Des hommes ou des étalons, je ne souviens plus, dis-je.
- Shawn est encore traumatisée, il lui faut un long repos, sans rapports sexuels pendant quelques jours et rééduquer son œillet. La sodomie qu’elle a subi par ces sexes hors normes, l’a perturbée, annonce Don Sodo.
- Elle a été violée par de tels sexes, annonce Alexandre.
- Elle va s’en remettre. Le colley pourrait juste la baiser uniquement. Sa chatte est moins sensible que son œillet, annonce Don Sodo.
Don Sodo prend un écarteur anal et mesure mon ouverture anale. Il est très surpris.
- Au moins du dix centimètres, elle a reçu pour être enculée. Ses muscles anaux rééduqués par électrothérapie, le rendra plus tonique en quelques jours.
Don Sodo m’insère l’appareil dans mon anus. je jouis et mes muscles anaux retrouvent leurs fonctions.
22 mai
En quelques jour, mon anus est maintenant redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer.
Les hommes d’Alexandre ont fait fermer le haras fréquenté par Svetlana, qui n’a pas été mise au courant du projet d’Olav.
Olav et un autre complice sont remis à la villa d’Alexandre.
Je fais une séance de rééducation, quand j’entends une voix que je reconnais, celle de mon violeur de la cave, qui a été retrouvée par l’ADN de ma mouille.
Vers 15 heures, vêtue d’un court kimono, sur mon corps nu, en compagnie de Don Sodo, je découvre les deux hommes nus. Les yeux baissés, j’identifie le mandrin de mon violeur. Mais les deux hommes seront dressés. Ils sont fortement maintenus, en position agenouillée, cuisses écartées, leurs mandrins en érection. Deux poignes pèsent sur leurs épaules comme pour les empêcher de se relever.
- Amenez-les au sous-sol pour qu’ils soient dressés, je dis en Russe et traduit en Ukrainien aux deux hommes.
Je me change en Maîtresse Sévices dans ma chambre, aidée par Svetlana.
- Shawn, ma chérie, je n’ai pas ordonnée que tu sois enculée par des chevaux, c’est… dit Svetlana en Danois.
- Je connais la vérité, ma chérie. Ils seront envoyés au Club des Soumis comme Ivan, en Danois.
Jason ne me reconnaît même pas sous ma tenue, je tiens une coupelle d’un mélange de ma pisse et de ma mouille, avec du sperme du colley, que je vais administrer aux deux hommes.
Je les fouette à la garcette et à la chicotte jusqu’au sang, ainsi que leurs testicules.
- Arrête, tu es folle. Tu me fais mal, pute d’Alexandre. Tu es sa chienne, sa pute anale, m’insulte Olav.
Je le fais taire avec un bâillon O et un bandeau sur les yeux. L’étireur de testicules les étire bien en les séparant comme deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible, pour des jeux pervers et sadiques, sur chaque testicule déjà bien gonflé et bien sensible. Ivan ne peut avoir une érection, avec une boule anale de six par quatre.
Je pisse sur Olav, l’encule et l’insulte en Ukrainien.
- Bois ma pisse, pervers, vicieux, tu aimes ta Maîtresse. Je suis mieux que ta pute Natacha.
Le colley l’encule comme une lopette.
- Vas-y encule-le à fond, c’est ton amant, en Danois. Il sera dressé au Club, comme son complice.
Je fais de même pour son complice. Jason m’encule pour décupler les coups de garcette sur le dos et les fesses des deux violeurs.
En sueur, me donnant au maximum, je libère ma vengeance.
Vers 17 heures, je quitte le sous-sol, Jason me reconnaît quand je retire ma cagoule.
Je prends une courte douche, pour me remettre de mes émotions.
Jason, le colley et Alexandre me baisent et m’enculent pour fêter ma vengeance contre Olav.
Je suis comblée et j’ai droit à une longue douche avec Jason, qui m’encule comme au premier jour.
Vers 19 heures, d’autres Maîtres viennent corriger les deux hommes.
- Shawn, ma chérie, tu vas devoir vivre dans une nouvelle villa, pour ta sécurité. C’est le transsexuel Dan qui le connaît. Mais avant, tu dois recevoir tes fers à tes grandes lèvres étirées. C’est la tradition pour une soumise à un million.
Nue, menottée au lit, cuisses écartées, le tatoueur Sir Vladimir, qui s’occupe de moi. Il me baise longuement, pour que mes lèvres de ma chatte soient bien humides et juteuses.
Je suis marquée à l’intérieur de ma chatte des initiales de mon Maître. Je porte aussi à mes grandes lèvres épilées, mes fers à ses initiales.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Les fers qui trouent mes deux grandes lèvres de ma chatte me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
Je garde mon pubis velu, à la requête de nombreux Maîtres.
Vers 21 heures, quand j’émerge, je suis allongée nue, libre, dans une luxueuse chambre, avec des miroirs uniquement au plafond. J’admire mes fers entre mes cuisses.
Un superbe transsexuel, Sabrina, une blonde aux cheveux mi-longs, nue, m’accueille, exhibant son mandrin de vingt-six par six.
- Suce-moi et je t’encule ensuite, ma sublime beauté. Dan me n’avait pas menti, tu as un corps de déesse. Tes violeurs seront bien dressés chez mes amis.
Je m’applique, jouant avec les testicules épilés et portant des anneaux dorés.
- Quelle bouche, tu es une suceuse née. Rarement, une femme ne m’a donné autant de plaisir que toi. Ta chatte est trempée quand je te doigte, tu es une vicieuse.
Sabrina s’assoit sur le bord du lit. Je m’empale la chatte sur son mandrin, face à Sabrina, sur ses cuisses. Je m’accroche à son cou, mes mollets sur ses épaules, tandis que Sabrina écarte largement ses propres cuisses.
Maintenue sous les reins, je sens mon gros clitoris percé contre son pubis. Je coulisse sur son mandrin et m’empale totalement, donnant de baisers langoureux.
-Tu es chaude. Je vais t’enculer ainsi.
- Encule-moi, je veux sentir ta queue en moi.
Sabrina retire son mandrin et le guide dans mon anus qui s’ouvre tout grand pour le recevoir.
- Quel puits, tu es sacrément élargie. Je sais que tu as été enculée par des chiens et des sexes imposants.
- C’est divin d’être enculée par toi.
- Tu vas me faire éjaculer à ce rythme.
- Remplis-moi de ton sperme, je te nettoie ensuite.
Une fois l’anus bien rempli de sperme, je remets mon bijou d‘anus dogue allemand en place, je le nettoie, sans perdre une goutte.
- Tu sais y faire.
Après un 69 torride, il m’encule encore. Je suis allongée sur le ventre, cuisses écartées, enculée jusqu’aux testicules, mes seins sont pelotés par ses mains, lors de coups plus profonds. J’agite ma croupe pour le faire bander davantage.
Sabrina éjacule en moi à nouveau.
Devant Sabrina, je me fais encore jouir, enculée par mon colley, qui m’a rejoint.
Sabrina est surprise par ma saillie anale canine, qui dure trois quart d’heure avec trois orgasmes anaux consécutifs.
24 mai
Vers 10 heures, après quelques longueurs de piscine, nue, derrière la villa, sécurisée par des caméras et des rondes des maîtres-chiens à l’extérieur, je retrouve Dan et Sven.
La villa se trouve à trois heures de la villa d’Alexandre et à deux heures du Club.
Je suis devenue la propriétaire officielle de Sultan, Alizé et Zéphyr, qui sont logés dans un autre haras. Mais je peux passer des heures à caresser mon corps nu sur leurs corps équin, sans évoquer les saillies de ma chatte par leurs sexes.
Dan et Sven s’enculent mutuellement, ce qui m’excite, je suce leurs mandrins offerts, tout en les photographiant.
- Sven, tu bandes quand Dan t’encule, j’aime ça, dis-je en Danois.
- Tu veux me sucer, Shawn, dit Sven en Danois.
Je ne peux refuser, tout en photographiant le mandrin de Sven dans ma bouche.
Puis Sven encule Dan, je suce à alors Dan.
Sabrina a déjà réalisé plusieurs croquis de moi, suite à des photos par Sven, mais aussi depuis mon arrivée, dans diverses pièces de la villa, nue, dans des positions académiques et érotiques. Elle compte les peindre et les exposer, même mes saillies avec mon colley sont des sujets qui l’intéressent, ainsi que des gros plans sur mes fesses musclées, fraîchement enculée et les fesses zébrées par Sabrina.
Une fois en érection, après une double fellation, accroupie, cuisses écartées, entre Dan et Sven, je suis prise en double pénétration debout, pour me faire doublement jouir.
- Tu es trop chaude, Shawn, ta chatte ruisselle, dit Sven.
- Mon clitoris est tendu, tout comme mes mamelons, vous me faites du bien.
- Ton puits s’ouvre bien, ma belle. Tu aimes que je t’encule.
- Dan, ta queue me fait jouir. J’ai l’œillet en feu, tout comme ma chatte de pute.
Puis ils inversent, Sven m’encule et Dan me baise, toujours debout.
- Sven a raison, ta chatte est brûlante, ton clitoris est très tendu, Dan.
- Son œillet est un vrai plaisir pour ma queue, ma belle.
- Prenez-moi, je suis votre déesse du sexe. J’aime sucer vos belles queues.
Je deviens la maîtresse de Sven. Sarah n’est nullement jalouse, car je suis aussi sa fille d’adoption.
A la villa, je peux aussi bronzer nue à la piscine ou au solarium, selon la météo.
Tantôt Soumise tantôt Maîtresse, je me donne à tous les hommes, les couples, les femmes, les transsexuels et les chiens des amis, sans retenue, mon anus s’ouvre pour recevoir leurs mandrins, leurs godes et les sexes canins. Je suis une pute anale très recherchée, au sein de la Mafia, pour signer des contrats secrets.
Natacha est devenue la Soumise officielle d’un parrain Russe qui vit au Qatar, pour des sévices sexuels.
Ivan a été expulsé vers l’Ukraine, avec Olav, comme Soumis et homme soubrette pour une riche comtesse.
Svetlana continue à apprendre le Français, lors de nos ébats à trois avec Sabrina ou avec mon colley.
Sven me rend fréquemment visite pour de torrides séances photos de sa muse.
A bientôt, mes amours, votre chère et séduisante Soumise S ou Maîtresse Sévices, selon vos désirs, j’ai hâte de recevoir vos hommages à votre pute anale.
Bravo ! Très jolie et excitante histoire... 😘mia
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