lundi 11 mars 2019

MANOIR 2E EPISODE FIN


Il me tient tenant par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, qu'il entend que je sois désormais mise en commun entre lui et des inconnus. Je suis soumise et prostituée. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne peux pas ne pas te révolter. On obtient ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouvons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne dois, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Lève-toi. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser. »
Je me lève, me baigne dans l’eau tiède, qui me fait frémir quand mes fesses meurtris y plongent, et je dois m’éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, je reviens dans la cellule.
L’homme regarde Jasmin, qui est entrée, et se tient debout au chevet du lit, elle aussi les yeux baissés, muette elle aussi.
Jasmin écarte sa jupe et l’homme l’encule. Je dois lécher la chatte et le clitoris de Jasmin, qui se retient de jouir sous ma langue. Je suis accroupie, cuisses écartées.
Je me relève et embrasse l’homme.
Je reste nue et en mules, dévoilant mon slip avec mon gode.
Jasmin me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et elles trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet vêtu comme Sam, c’est un superbe transsexuel blond, ferré. Il nous précède, et nous fait entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent, avec des dobermans à leurs pieds.
Nous sommes mises à quatre pattes. Je reconnais Lancelot.
Le valet tenant Lancelot me retire le gode et Lancelot m’encule profondément jusqu’au nœud. Je me retiens de jouir, la bouche bâillonnée par le mandrin du valet.
Dès le retrait de Lancelot, le valet m’encule à son tour, tandis que je suce Lancelot.
Le valet éjacule à son tour.
Pantelante, je me relève et je rejoins le réfectoire.
La pièce est dallée, avec une table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les soumises y ont pu faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir noir. J’assiste à une double pénétration canine d’une des soumises, sous l’œil vigilant du valet de permanence, bien monté.
Dès que la soumise a fini, je la remplace.
Un berger allemand est allongé sur le dos, je m’empale la chatte trempée sur son sexe en érection. Je pose mes genoux de part et d'autre de l'animal, puis je colle ma chatte contre le sexe du chien et me met à onduler du bassin. Le valet m’insère le sexe de son partenaire. Pendant que je descends le long du membre animal, mais un poids s’abat sur ses épaules pour me maintenir en place. J’accueille le nœud de Lancelot qui a lubrifié le passage grâce à sa semence. Allongée sur le berger allemand, je me fais sodomiser par Lancelot pour la troisième fois. Je m'allonge ensuite de tout son long sur son amant vaginal. Je sens les deux nœuds de ses partenaires coincés en moi. Puis Lancelot se retire de mon anus en m’arrachant un incroyable râle de douleur. Je me libère du berger allemand. Le valet profite de mon anus humide pour m’enculer sauvagement à quatre pattes.
J’ai droit à un lavement.
A la bibliothèque, je suis seule avec le valet transsexuel, puis il sort, quand entrent un jeune, blond, bien monté et un blond aussi, trapu.
Je suis offerte, agenouillée, penchée, les seins écrasés contre la fourrure et tenant à pleines mains les deux coins du pouf. Le premier m’encule, puis le second sauvagement. Je me retiens de jouir.
Le brun m’observe, en se masturbant.
Pour conclure, un dogue allemand vient m’enculer, l’anus largement inondé par les deux hommes.
Le soir, des orgies anales me sont destinées, pour m’élargir. Je suis fouettée la nuit, enchaînée et enculée par les chiens.
En une semaine, mon corps s’est transformé, mes zones érogènes sont plus sensibles, plus belles, et comme anoblies : ma bouche refermée sur des mandrins anonymes, mes mamelons sont devenus constamment tendus, saillants, gros et longs, constamment froissés, mon clitoris est devenu gros comme une cerise, saillant et volumineux, percé d’un anneau doré, tout comme mes grandes lèvres, baisée et enculée à plusieurs reprises. Je suis une prostituée digne. Je porte tatouée à l’encre noire, juste au-dessus de la naissance de mes fesses, mon prénom de soumise Pénélope Anal et autour de mes chevilles mon prénom Olivia. Nul besoin de gode au bout d’une semaine.
A l’aube du dimanche, je retourne au Pensionnat, nue et en mules, sans mes carcans, escortée par deux surveillants. J’apprend que je suis une soumise à temps plein, consensuelle, perverse, qu’aucune rançon n’est réclamée, car je suis devenue orpheline, pas comme les autres soumises.
Je me retrouve le gynécologue, qui m’examine. Mon anus est encore humide de mes saillies anales canines nocturnes.
- Elle a été forcée plus d'une fois et elle a été déchirée, aussi. Son œillet assoupli va plaire à d’autres usages. Les chiens ont fait un excellent travail.
Le gynécologue et Alban se relaient pour m’enculer.
Je me repose nue, dans ma chambre, après ma douche. Je reprends les cours. Je n’ai plus honte d’être seins nus et fesses nues sous mon uniforme.
A la piscine, je me baigne nue en compagnie des autres filles. Toutes portent des anneaux dorés aux grandes lèvres, leurs anus sont assouplis.
Le soir, après la douche commune, le souper pris nue, empalée sur un gode anal réaliste, fixé au tabouret de cuir, je suis prise entre les mains, les langues et les bouches lesbiennes de mes partenaires de chambre. Souvent, elles me prennent avec un double gode réaliste ou un double vibromasseur fixé à un gode-ceinture. J’aime subir ce double assaut de godes ou de vibromasseurs, me rappelant combien j’aime le sexe.
Pendant la nuit, nue, je suis livrée à un des surveillants bien montés, qui m’encule pendant une partie de la nuit, satisfait de mon anus bien assoupli.

Au bout d’une semaine, mes fesses et mes cuisses portent de nouvelles marques de coups de cravache sur mes anciennes marques presque effacées. Je jouis fréquemment fouettée, tout en me montrant docile.
Tous les matins, lors de la visite gynécologique, je suis baisée et enculée, après mon inspection.
Le dimanche matin, nue, en mules, je vais pour m’habiller, mais la directrice, Hermine, une grande blonde, aux seins plantureux, doté d’un imposant mandrin, me rejoint :
- Ma chérie, le Maître Donatien réclame tes services. Tu restes nue, masturbe-toi la chatte et l’anus, pour le rejoindre.
Pantelante, je rejoins, en compagnie d’Hermine, le Manoir, avec mes carcans en cuir, sans avoir les yeux bandés. Le Manoir est caché derrière un grand et haut mur. Il comprend : une grille qui donne accès à un rez-de-chaussée, à droite d'un grand vestibule, la bibliothèque, un salon, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et une pièce attenante réservée aux valets. Quelques chambres, au rez-de-chaussée, sont occupées par les filles amenées par les membres. Les autres chambres, aux étages, par ceux d'entre eux qui font un séjour. Dans ce bâtiment, les filles ne peuvent circuler qu'accompagnées ; elles sont absolument astreintes au silence, même entre elles, et  aux yeux baissés; elles ont toujours les seins nus et le plus souvent la jupe relevée par-devant ou par-derrière. On en dispose comme on veut.
La partie centrale du bâtiment abrite une aile avec les communs, les filles de la communauté proprement dite, dans des chambres doubles, en ce sens qu'elles sont partagées en deux par une demi-paroi, à laquelle est de part et d'autre adossée la tête de chaque lit, lit ordinaire, une salle de bain, et une penderie commune. Les portes des chambres ne ferment pas à clé, et les membres du club peuvent y entrer n'importe quand dans la nuit, que les filles passent enchaînées. Mais à part cette mise à la chaîne, il n'y a aucune règle astreignante. Enfin, se trouve la partie libre et quasi publique avec un restaurant, un bar, de petits salons au rez-de-chaussée, et aux étages, des chambres. Le restaurant et le bar ont maître d'hôtel et barman, quelques garçons - les cuisines étaient au sous-sol - mais ce sont les filles qui faisaient le service autour des tables. Au restaurant, elles sont en uniforme. Au bar, vêtues des grandes robes de soie, une mantille de dentelle semblable à la mantille d'uniforme leur couvrait les cheveux, les épaules, les seins, elles sont là pour attendre qu'on les choisit, surtout des hommes d'affaires étrangers.
Je rejoins le rez-de-chaussée.
Là, le Maître Donatien me reçoit, c’est un bel étalon du double de mon âge, bien monté.
- Voici, la belle soumise Pénélope, saillie par mes chiens, je te réserve d’autres plaisirs. Mais avant, suce-moi, tandis qu’Hermine va t’honorer.
Je me penche en avant, prend en bouche le mandrin de Donatien, tandis que cuisses écartées, je sens le mandrin de Pénélope m’enculer. Mains jointes à mon cou, je ne peux me masturber. Mais Hermine me masturbe mon gros clitoris. J’ondule mon bassin sur son mandrin.
Tous les deux éjaculent presque simultanément en moi.
- Voilà, tu es bien lubrifiée. Je vais te mettre un bijou d‘anus canin.
Le bijou d’anus est moulé sur le devant d’un sexe d’un dogue allemand. J’aime avoir l’anus bien rempli.
Donatien me conduit derrière la partie libre. J’entends hennir des chevaux. Je vais réaliser mon désir de baiser avec un cheval.
Donatien me conduit dans un des box, je dois sucer un superbe pur-sang.
Installée et menottée sur un chevalet, je suis d’abord baisée par le sexe, pour le lubrifier, puis je connais ma saillie anale équine. Le sexe équin mesure jusqu’à dix centimètres de diamètre pour quatre-vingt centimètres de long. Mon anus résiste interminablement. Je grimace de douleur qu’en Donatien forcer le passage. Je gémis, bâillonnée par le mandrin d’Hermine tandis que des larmes de souffrances coulent sur mon visage. Enfin le passage anal cède à la pression. Le phallus c’est mis plus profond en moi. Je gémis de douleur tellement ça fait mal. La douleur semble diminuer. Le gland et toute sa longueur de bite du cheval gonflent encore. Soudainement, hennissant comme un sauvage je sens une énorme quantité de spermes dans mon anus. Le liquide épais jaillit de  mon anus, dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets. Le sperme est recueilli dans une bassine.
Puis, on me retire le pur-sang Alizé, pour le selle Français Flèche Eros. Je suis à nouveau enculée et je suce cette fois Donatien. Je suis à nouveau inondée de spermes.
Enfin, pour la matinée, je suis enculée par un anglo-arabe Zéphyr, suçant cette fois les gardes montés du Manoir.
A la fin de mes saillies anales du matin, je suis enculée par les hommes. Je suis nourrie, toujours attachée au chevalet.
Les saillies reprennent l’après-midi, jusqu’au coucher du soleil. Je suis aussi promenée, nue, à cru, sur un des chevaux, empalée sur deux godes équins réalistes, qui défoncent ma chatte et mon anus, les mains jointes à mon cou, subissant les va-et-vient lors de la promenade. Il n’est pas rare que j’ai un ou plusieurs orgasmes, sévèrement punis par des coups de cravache, donnés lorsque je retrouve le chevalet.
Le soir, je garde mon corps en sueur, pour mon lavement dans ma cellule, avant de souper avec les autres soumises, nue et en mules. Pendant la nuit, enchaînée, je suis enculée par les chiens des valets.
Ainsi le lendemain matin, après quelques coups de fouet sur mes fesses, je rejoins l’anus béant, les écuries pour mes nouvelles saillies.

En une semaine de saillies anales équines, mon anus s’est encore assoupli.
Hermine et le gynécologue lui redonnent sa tonicité en deux mois : il est maintenant redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer. Ma chatte reste constamment lisse, comme celle d’une jeune fille, dévoilant mon gros clitoris percé.
Mon corps s’est transformé par le port constant du corset. Mes hanches sont plus rondes.
J’éprouve de la fierté à être tatouée et d’avoir la chatte et le clitoris percé, mes mamelons et mon clitoris constamment tendus et de prendre du plaisir anal sans me caresser. Donatien m’a prévu d’autres plaisirs, pour moi, sa soumise vicieuse et perverse. Je suis devenue bisexuelle, aimant tout autant les femmes que les hommes.

Mi août, au lever du soleil, je prends une douche et je me rends nue et en mules, au bureau d’Hermine.
- Ma chérie, tu es attendue au Club Désir Sévices Bijou Maîtrise, par le Comte Horace, un bel homme. Tu vas mettre ta nouvelle robe et tu vas bien raser ta chatte et le pourtour de ton anus.
Fardée et parfumée, j’enfile ma robe composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je glisse mes pieds nus dans des mules dorées à double bride à très hauts talons. Je porte un collier et des bracelets aux poignets, dorés, cachant des anneaux pour m’attacher. Ma peau est patinée, je suis intégralement bronzée par les séances de solarium et les bains de soleil, nu intégral, après la piscine.
Une superbe limousine m’attends dans la cour du Pensionnat.
Un superbe étalon africain, en uniforme de chauffeur, m’ouvre la portière. Je monte, en prenant soin de relever ma jupe pour m’asseoir cul nu sur la banquette en cuir. Je porte un bijou d’anus imposant moulé sur le devant du sexe d’un doberman. J’écarte bien mes cuisses.
Nous quittons le Pensionnat, par une route de campagne.
Après une heure et demie de route, le chauffeur marque une pause.
Le chauffeur me fait sortir de la voiture. Il m’allonge sur le dos, déchaussée. Il me retire mon bijou d’anus, me relève ma jupe, me lubrifie l’anus avec ma mouille abondante. Puis il m’ouvre complètement les cuisses, en me tenant par les chevilles. Il enfonce son long et gros mandrin bien dur dans mon anus que j’ouvre.
- Tu aimes ça, te faire limer l’œillet.
- Oui, j’aime ta grosse queue. Cela me rappelle l’étalon Zéphyr.
- Tu as joui avec des chevaux.
- Même j’ai joui avec des chiens.
- C’est pour cela que tu es bien souple avec ma queue.
Il entre et sort de mon anus, je me caresse les seins, étirant mes mamelons tendus, après avoir enlevé mon boléro.
- Ton clitoris bande au maximum.
- Oui, pine-moi, fais-moi jouir.
Sans attendre, je connais deux violents orgasmes, avant qu’il éjacule en moi, tout en doigtant profondément ma chatte trempée.
- Allez, ma belle, rhabille-toi. Je te remets ton bijou pour garder mon sperme au chaud.
Rhabillée, je me rassois.
Après une heure de route, nous franchissons un portail, gardé par deux superbes hommes armés sur de deux superbes pur-sangs, dont je regarde leurs sexes, me rappelant mes saillies équines.
Puis je découvre le long de la longue allée bordée d’arbres, des maîtres-chiens tenant en laisse de superbes dobermans, bergers allemands, dogues allemands et malinois, tous des mâles.
Au bout de l’allée, la limousine s’arrête devant le perron d’une superbe villa. Des domestiques sont là, il y a une soubrette blonde, un jeune homme en tenue de soubrette, un transsexuel majordome, un gynécologue, un docteur et un élégant transsexuel, le fameux Comte Horace, nu sous sa robe de chambre.
- Voici, notre nouvelle invitée, Pénélope, qui est une jeune soumise docile, bien dressée. Fleur est chargée de ton bain, avec interdiction de t’honorer. C’est Aimée, ton majordome, Brice, le gynécologue, Charles, le docteur ont ce privilège et Orchidée est chargée de te farder et de parfumer. Tu as une garde-robe à ta disposition. Tu es soubrette pour le Club et ses annexes : le restaurant et le bar et les salles spéciales. Orchidée vas te raser intégralement, pour que tu sois la chatte toujours  parfaitement lisse ainsi que la raie de tes fesses mais aussi bien sûr, tes aisselles et tes jambes. Après le rasage ou l'épilation, Orchidée passe la chatte et la raie à la flamme d'une bougie pour que même le duvet disparaisse à coup sûr. Tes mains et tes pieds sont manucurés par Aimée.
Je monte au premier étage, accompagnée par Fleur et Orchidée. Nue, après mes besoins naturels, je me glisse dans un bain tiède. D’instinct, je m’accroupis, cuisses écartées, entourant de glaces et de miroirs dans la grande salle de bains. Fleur me passe la grosse éponge sur ma chatte, mon clitoris et mon anus. Orchidée me fait mon lavement, assise et courbée en avant sur un bidet. Fleur me savonne l’anus pour le laver soigneusement et m’enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle elle m’asperge d'eau tiède. Je mouille sous le jet d’eau tiède, me rappelant mes éjaculations antérieures par les hommes, les chiens et les chevaux. Orchidée me lèche la chatte et le clitoris pendant l’opération, qu’elle répète jusqu’à ce que je sois propre. Fleur me lave la chatte, je dois  de retenir le liquide ou au ,contraire le laisser s'écouler. Je suis aussi shampooinée et le reste de mon corps recouvert de gel douche parfumé et je me rince dans l’eau tiède du bain.
A la sortie du bain, je suis enveloppée dans une grande serviette, me regardant dans les glaces.
Orchidée m’invite à m’allonger sur une table, couchée sur le dos sur une table assez courte, dont la tête est à quelque distance d'un mur, et sur laquelle je repose de la tête au haut de mes fesses ; mes bras sont tirés dans le prolongement de mon corps et fixés au mur en extension ; mes jambes sont repliées, remontées vers le haut, et également attachées au mur par deux chaînettes reliant mes chevilles à deux crochets très espacés l'un de l'autre, ce qui m'oblige à un grand écart douloureux. Une large sangle très serrée finit de m'immobiliser sur la table, au niveau de la poitrine, sous les seins et le haut de mon ventre. Ainsi, je ne peux rien bouger d'autre que la tête, ouverte au maximum. Orchidée enduit mon pubis de cire chaude. Je me retiens de gémir, lorsqu’elle la retire, une fois durcie en refroidissant puis arrache brusquement le cataplasme ainsi formé et tous mes poils pubiens avec. Elle recommence jusqu’à ce que mon pubis soit totalement lisse, puis s’occupe de ma raie des fesses, pour bien dégager le pourtour de l’anus. Ensuite Orchidée peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante. J'ai droit au miroir placé entre mes cuisses écartées avant d'être détachée de cette table de torture. C'est vrai que mon sexe a changé totalement d'aspect : ma fente me paraît plus longue, remonter plus haut sur le pubis, mes lèvres intimes plus renflées, toutes lisses. À part sa béance due à ma position, ma chatte ressemble tout à fait à celle d'une petite fille avec son aspect bombé et charnu très émouvant. Orchidée me passe la grosse éponge sur mon pubis totalement lisse, pour un ultime nettoyage.
Totalement lisse, je rejoins ma chambre, avec un grand lit, une porte-fenêtre, une garde-robe cachée derrière un des miroirs. La chambre possède plusieurs glaces et miroirs sur les murs et au plafond.
Je reste jambes nues, je glisse mes pieds nus dans des mules à  plates-formes, avec une seule bride sur le cou-de-pied. Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes, je redresse le buste et creuse les reins. Je porte un corset seins nus, étroitement lacé, noir, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégageaient, ainsi que les hanches, marque ma taille et l'affine au maximum et des hanches de courtisane, j'ai le dos cambré et les fesses en arrière et mes seins tendent leurs mamelons extrêmement tendus par l’excitation. Le corset épouse les formes et les met en valeur. Enfin, j’enfile une robe ultra courte dont les plis s'évasent en corolle autour de la taille comme les pétales d'une fleur, par-derrière, elle m'arrive juste au ras des fesses. Je suis prête. Orchidée me farde et parfume mes parties exhibées.
Fleur bande sous son tablier. Je veux le sucer, mais le Comte m’a interdit.
Je descends le premier étage et rejoins le rez-de-chaussée. Le Comte me toise, me glisse à l’annulaire gauche, ma bague sertie d’un petit anneau. Orchidée me remplace mon collier et mes bracelets aux poignets et aux chevilles par de nouveaux en fer  inoxydable, articulés et à demi rigides, comme on fait certains bracelets-montres. Ils sont larges de près de deux doigts et ont chacun un anneau de même métal. Le collier m’entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets.
Orchidée me susurre à l’oreille :
- Sache que le Comte ou les clients peuvent te fouetter ou t’enculer, enchaînée. Ce sont eux qui décident.
Je me penche en avant, écarte mes fesses pour recevoir le gros mandrin du Comte. Je me retiens de jouir, mais mes mouvements de mon bassin ne trahissent pas mon plaisir. Ma chatte est toute perlée.
Le Comte se retire et éjacule dans ma bouche. Je me refais une beauté.
Je rejoins Brice. Je garde ma tenue, il m’examine avec un spéculum et un écarteur anal, me gode, enchaînée au fauteuil, déchaussée. J’ai un nouvel orgasme.
Cela me vaut quelques coups de cravache sur les fesses, tout en le suçant.
- Tu es bien doublement ouverte, selon les critères requis par le Club. Je vais enduire tes seins pour stimuler la pousse et la taille de tes seins. En gros, tes seins vont pousser beaucoup plus vite que normalement et aussi beaucoup plus. Les résultats sont très rapides, tes seins vont énormément augmenter dès les premiers jours mais je te préviens, ça va faire mal. Le Comte et les clients aiment les femmes aux seins plantureux.
Détachée, je rejoins Aimée, au bar. Mais avant, Aimée s’occupe de mes mains et de mes pieds.
Une fois prête, j’attire les regards en compagnie des autres filles, qui sont soit en tenue de soubrette soit seins nus avec un tablier ou en corset seins nus, sans tablier, ni robe.
Dans un salon, trois hommes me donnent leurs commandes. Je les sers. Puis j’offre mes seins à l’un d’eux, du double de mon âge, tandis qu’un autre homme plus jeune, m’encule jusqu’aux testicules. J’écarte mes cuisses. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses. Je mouille d’excitation. Je creuse la taille pour mieux offrir mes fesses. Finalement les trois hommes m’enculent l'un après l'autre.
Au bar, un des serveurs, beau et musclé, bien monté, s'installe seul près d'une fenêtre. Il glisse la main entre mes fesses et me doigte l’anus. Je me retiens de jouir. Il enfonce jusqu’à quatre doigts, que je nettoie ensuite.
Puis dans la matinée, quatre groupes de trois clients m’enculent et me fouettent dans la chambre au-dessus du bar, le plus souvent en double anale et des fois, avec leurs chiens.
Le Comte note sur un carnet, mes prestations, mes nombres de coups de fouet, chicotte et de cravache que je reçois le plus souvent sur les fesses, les cuisses, mais aussi sur les seins et dans le dos et sur les reins.
Après chaque passe, j’ai droit à un lavement sur un bidet à l’étage.
En un mois, je gagne un bon salaire, mais en étant ferrée et marquée, je peux être payée double.
J’en parle au Comte, lors d’une nuit, à me faire enculer et cravacher, en sa compagnie.
- Ma chérie, si tu acceptes d’être ferrée et marquée, tu le seras à vie. On marquera tes fesses et ton pubis et tu seras ferrée aux grandes lèvres étirées par tes anneaux.
- J’accepte.
- Bon, fin septembre, nous irons au Domaine des Biches, pour te remettre à la Comtesse Diane Maîtresse Bisexuelle.
Jusqu’au rendez-vous, je multiplie mes passes, six à huit par demi-journée tantôt au bar tantôt au restaurant. Je finis la soirée, nue, livrée au personnel, dans une grande pièce, entourée de glaces et de miroirs, pour les voyeurs qui me filment et me photographient. Je suis bien notée par les clients.

A la date prévue, nue et en mules, avec mes carcans en fer, je suis conduite par le Comte, dans la limousine, à mi-chemin entre le Club et le Manoir. Je porte un gros bijou d‘anus moulé sur le devant d’un sexe équin.
Au milieu de la campagne, se trouve une maison basse au fond d'un grand jardin, clos de murs. Quand nous arrivons, il est deux heures de l'après-midi, la maison dort, et au coup de sonnette le doberman aboie faiblement.
Sans attendre, le doberman m’encule séance tenante, je ne peux résister. J’ai quatre violents orgasmes.
La Comtesse arrive, nue, sous son kimono, les seins plantureux, comme les miens. Je fais désormais un 110D. Elle exhibe un long et gros mandrin en érection, nu et libre.
- Continue à jouir, ma belle. J’aime quand une fille jouit avec Hadès.
Le Comte m’enfonce le mandrin de la Comtesse en bouche. Je suis aux anges.
La Comtesse éjacule dans ma bouche, presque simultanément qu’Hadès.
Hadès reste en moi, pour me saillir tout en débandant.
Lors de son retrait, je le suce.
Le Comte me remet le bijou d’anus et nous allons au cabinet gynécologique.
Là, menottée, nue, au fauteuil gynécologique, cuisses grandes ouvertes, l’anus libre, je me fais examiner la chatte et l’anus.
La Comtesse m’encule tandis que je suce le Comte.
- Cette beauté est au summum du dressage. Son oeillet bien ouvert, une perversion zoophile, une suceuse hors pair, un corps d’une grande beauté, un gros clitoris percé.
La Comtesse éjacule sur mon pubis.
Je reste menottée. Les filles me rejoignent. Trois autres filles habitent la maison, elles ont chacune une chambre au premier étage ; on me donne une petite chambre au rez-de-chaussée, voisine de celle de la Comtesse. Toutes trois, comme moi, sont nues. La Comtesse et les domestiques sont vêtues : une cuisinière et deux femmes de chambre, plus âgées que la Comtesse, sévères dans de  grandes jupes d'alpaga noir et des tabliers empesés. Deux des filles brunes, les cheveux aussi noirs que leurs poils pubiens, le bout des seins long et presque violet. L'autre était petite, ronde et blonde, et sur la peau crayeuse de sa poitrine on voyait un effrayant réseau de veines vertes. La Comtesse, qui désigne du doigt les trois zébrures noires qui rayent le devant de mes cuisses, et se répètent sur mes fesses.
Pendant un mois à partir de demain, tu n’es pas fouettée, mais tu l’es aujourd'hui, pour ton arrivée, quand j'ai fini de t'examiner. Je fais te faire fouetter l'intérieur des cuisses, jambes grandes ouvertes. Il faut marquer tes fesses. On va tirer au sort qui te fouette, Camélia apporte les jetons
Camélia est la plus grande des deux filles brunes, l'autre s'appelle Caroline, la petite blonde Iris. Elles portent toutes, un collier de cuir et des bracelets aux poignets. En plus, elles portaient aux chevilles les mêmes bracelets. La Comtesse tend quatre jetons, en donne un à chacune d'elles, sans regarder le chiffre qui est inscrit et les distribue.
 Les trois filles regardent chacune le leur et ne dirent rien, attendant que la Comtesse parle.
« J'ai deux, dit La Comtesse, qui a un ? » C'était Camélia.
La Comtesse me caresse l'intérieur des cuisses.
« C'est l'endroit du corps où la peau est la plus douce, dit-elle, il ne faut pas l'abîmer. Va doucement, Camélia. »
Aux premiers coups qui me brûlent au ventre, je gémis. Camélia passe de la droite à la gauche, s'arrête, reprend. Je me débats de tout mon pouvoir. La Comtesse entend m'amener à merci.
« Plus vite, dit-elle à Camélia, et plus fort. »
Je me raidis, mais en vain. Une minute plus tard, je cède aux cris et aux larmes, tandis que la Comtesse me caresse le visage.
- Encore un instant, dit-elle, et puis c'est fini. Cinq minutes seulement. Tu peux bien crier pendant cinq minutes: Il est vingt-cinq. Camélia tu arrêtes à trente, quand je te le dis. »
Mais j’hurle et subis le supplice cependant jusqu'au bout, et la Comtesse me sourit.
« Remercie-moi », me dit la Comtesse, et je la remercie. Je sais bien pourquoi la Comtesse a tenu, avant toute chose, à me faire fouetter. J’aime l'idée du supplice, quand je le subis j’ai trahi le monde entier pour y échapper, quand il est fini je suis heureuse de l'avoir subi, d'autant plus heureuse qu'il a été plus cruel et plus long. La Comtesse ne s'est pas trompée à l'acquiescement ni à ma révolte, et sait bien que mon merci n'est pas dérisoire. Il y a cependant à son geste une troisième raison, qu'elle m’explique. Elle tient à faire éprouver à toute fille qui entre dans sa maison, et doit y vivre dans un univers uniquement féminin, que sa condition de femme n'y perd pas son importance du fait qu'elle n'a de contact qu'avec d'autres femmes, mais en soit au contraire rendue plus présente et plus aiguë. C'est pour cette raison qu'elle exige que les filles soient constamment nues ; la façon dont j’ai été fouettée, comme la posture où elle était liée n'avaient pas non plus d'autre but. Aujourd'hui, c'est moi qui demeurerait le reste de la matinée trois heures encore - jambes ouvertes et relevées, exposée sur le fauteuil gynécologique, face au jardin. Je ne peux cesser de désirer refermer mes jambes. Demain, ce sera Caroline ou Camélia, ou Iris, que je regarde à mon tour. C'est un procédé beaucoup trop lent et beaucoup trop minutieux. Mais je vois combien il est efficace. Outre les anneaux et le chiffre que je porte à mon départ, je serais rendue plus ouvertement et plus profondément esclave que je ne l'imagine possible.
Après les trois heures, menottée, la Comtesse me libère.
Les filles me caressent, me masturbent la chatte et l’anus. Je jouis. Puis la Comtesse me présente une guêpière, de nylon, si durement baleinée et si étroite qu'on a dit une très haute ceinture de cuir, et ne comporte pas de jarretelles. Une des filles brunes la lace, cependant que la Comtesse lui ordonne de serrer de toute sa force.
- C'est pour cela que tu es bien plus belle, mais tu ne serrais pas assez, tu la porteras ainsi tous les jours.
Elle prit dans son secrétaire un coffret de cuir et l'ouvre.
- Eh bien voici les anneaux qu'il désire te faire porter. »
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. La Comtesse me montre que chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre.
« Ce n'est que le modèle d'essai, dit-elle. On peut l'enlever. Le modèle définitif, tu vois, il y a un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer. »
Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, un symbole féminin doré, sur l'autre, rien. « Sur l'autre, dit La Comtesse, il y aura ton nom, le titre, le nom et le prénom de ton Maître, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Iris porte un disque analogue à son collier. Mais toi, tu le portes à ton ventre. - Mais..., dis-je. - Je sais, répond La Comtesse, c'est pour cela que j'ai emmené Iris. Montre ton ventre, Iris. » « Je te perce dans un instant, dit La Comtesse, ce n'est rien, le plus long est de poser les agrafes pour suturer ensemble l'épiderme du dessus et la muqueuse de dessous. C'est beaucoup moins dur que le fouet.
- Mais vous n'endormez pas ? s'écrie-je tremblante.
- Jamais de la vie, répondit La Comtesse, tu es attachée seulement un peu plus serré, c'est bien suffisant. Viens. »
Menottée sur le fauteuil, la Comtesse me retire mes anneaux à mes grandes lèvres percées et y passe l'anneau d'essai. Si léger qu'il fût - plus qu'il n'en avait l'air, mais il est creux - il pèse. Le dur métal, dont on voit bien qu'il entre dans la chair, semblait un instrument de supplice. Que serait-ce lorsque s'y ajoute le second anneau, qui pèserait davantage ? Cet appareil barbare éclaterait au premier regard.
« Bien entendu, dit La Comtesse. Quiconque, n'importe qui d'autre, même toi devant la glace, quiconque relèvera ta jupe voit immédiatement ses anneaux à ton ventre, et si on le retourne, son chiffre sur tes fesses. Tu pourras peut-être un jour faire limer les anneaux, mais le chiffre tu ne l'effaceras jamais.
- Je crois, dit Camélia, qu'on efface très bien les tatouages. » (C'est elle qui sur la peau blanche d'Iris a tatoué, au-dessus du triangle du ventre, en lettres bleues ornées comme des lettres de broderie, les initiales du maître d'Iris.)
- Tu seras marquée au fer. Sir Sévices me les a envoyés il y a deux jours.
- Au fer ? crie Iris.
 Au fer rouge. »
Du premier jour, je partage la vie de la maison. L'oisiveté y est absolue, et délibérée, les distractions monotones. Les filles sont libres de se promener dans le jardin, de lire, de dessiner, de jouer aux cartes, de faire des réussites. Elles peuvent dormir dans leur chambre, ou s'étendre au soleil pour se brunir. Parfois elles parlent ensemble, ou deux à deux, des heures entières, parfois elles restent assises sans rien dire aux pieds de la Comtesse. Les heures des repas sont toujours semblables, le dîner a lieu aux bougies, le thé est pris dans le jardin, et il y a quelque chose d'absurde dans le naturel des deux domestiques à servir ces filles nues, assises à une table de cérémonie.
Pendant la journée, je suis enculée par Hadès, quatre à cinq fois par jour, pour mon plus grand plaisir.
Le soir, La Comtesse nomme l'une d'elles pour dormir avec elle, la même parfois plusieurs soirs de suite. Elle la caresse et se fait caresser par elle le plus souvent vers l'aube, et se rendort ensuite, après l'avoir renvoyée dans sa chambre.
Le lendemain après-midi, qui est toujours remise au sort. A trois heures, sous le hêtre pourpre où les fauteuils de jardin sont groupés autour d'une table ronde en pierre blanche, La Comtesse apporte la coupe aux jetons. Chacune en prend un. Celle qui tire le nombre le plus faible est alors si la boule noire est tirée, est fouettée, blanche, non.
Car La Comtesse, à deux reprises, et jusqu'ici pour Iris seulement, m’a tendu le fouet de cordes, en me disant de frapper. Je suis saisie par un terrible plaisir, si aigu et je dois me faire violence pour ralentir mes coups et ne pas frapper à toute volée.
A peine mes blessures sont-elles cicatrisées : « Que je regrette, dit La Comtesse, de ne pouvoir te faire fouetter. Quand tu reviendras... Enfin, je vais en tout cas t'ouvrir tous les jours. » 
Et tous les jours, je suis ouverte jusqu'à l'heure où sonne la cloche du dîner. Et La Comtesse a raison : c'est vrai que je ne peux songer à rien d'autre, pendant ces deux heures, qu'au fait qu'elle est ouverte, à l'anneau qui pèse à ma chatte, qui pèse bien davantage lorsque le second anneau s'y ajoute. A rien d'autre qu'à mon esclavage et aux marques de mon esclavage.
- Ton maître arrive demain matin. Tu dors avec moi cette nuit. »
La courte nuit d'été s'éclaircit lentement, et vers quatre heures du matin le jour noie les dernières étoiles. Je dors cuisses écartées, je suis tirée du sommeil par la main de la Comtesse entre mes cuisses. Mais La Comtesse veut seulement me réveiller, pour que je la caresse. J’effleure de mes lèvres la dure pointe des seins, de ma main son mandrin. La Comtesse est prompte à se rendre - mais ce n'est pas à moi. La Comtesse jouit, quand je la suce.
« Recommence. » Elle m’embrasse la bouche et les seins, et me tient contre elle une heure encore avant de me renvoyer. Elle m’a enlevé mes fers.
« Ce sont les dernières heures, m’as-elle dit, où tu vas dormir sans porter de fers. Ceux qu'on te mettra tout à l'heure ne peuvent plus s'enlever. »
Elle a doucement et longuement passé sa main sur mes fesses, m’encule sauvagement, puis m'a emmenée dans la pièce où elle s'habille, la seule de la maison où il y a une glace à trois faces, toujours fermée. Elle a ouvert la glace, pour que je puisse me voir.
« C'est la dernière fois que tu te vois intacte, me dit-elle. C'est ici, où tu es si ronde et lisse, que l'on t'imprimera les initiales, de part et d'autre de la fente de tes fesses. Je te ramènerai devant la glace la veille de ton départ, tu ne te reconnaîtras plus. Va dormir. »
Le lendemain à dix heures, Camélia vient me chercher, me baigne, me coiffe, et me farde les lèvres, mon Maître arrive.
« Allons, viens, dit Iris, il t'attend. »
Le soleil est déjà haut dans le ciel.
« Voilà, dit La Comtesse quand Iris m’amène devant lui, les anneaux peuvent être posés quand vous voudrez, elle est percée. »
Sans répondre, l’homme, un élégant conseiller spécial du ministère de l’Intérieur, m’attire dans ses bras, m'embrassa sur la bouche, et me soulevant tout à fait, me couche sur la table, où il demeure penché sur moi. Puis il m'embrasse encore me caresse les sourcils et les cheveux, et se redressant, dit à La Comtesse : « Tout de suite, si vous voulez bien. » La Comtesse prend le coffret de cuir qu'elle a apporté et mis sur un fauteuil, et tend à Sir Sévices les anneaux disjoints qui portent mon nom et le sien.
« Faites », dit Sir Sévices. Iris relève mes genoux, et je sens le froid du métal que la Comtesse glisse dans ma chair. Au moment d'emboîter la seconde partie de l'anneau dans la première, La Comtesse prend soin que la face niellée d'or soit contre la cuisse, et la face portant l'inscription vers l'intérieur. Ils sont rivés. Quand c’est fini, il remercie La Comtesse et m’aide O à me mettre debout. Je m’aperçois alors que ces nouveaux fers sont beaucoup plus lourds que ceux qu'elle avait provisoirement portés les jours précédents. Mais ceux-ci sont définitifs.
« Votre chiffre maintenant, n'est-ce pas ? » dit La Comtesse à Sir Sévices. Sir Sévices acquiesce d'un signe de tête, et me soutient, je chancèle, par la taille ; je suis si mince.
Mes hanches en semblent plus rondes et mes seins plus lourds.
Je suis menottée au centre de la salle d’examen gynécologique, debout, les bras en l’air, avec une barre d’écartement, sur la pointe des pieds nus. La Comtesse me met un bâillon-pénis, rase une dernière fois mon pubis. Il y a un gros réchaud rond à une bouche. Une double abominable douleur me transperce, et je ne sais jamais qui a enfoncé dans la chair, de mes fesses les deux fers rouges à la fois, et sur mon pubis, ni quelle voix a compté lentement jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés. Sur la fesse gauche, je porte le B et le M entrecroisés, encadrés par un fouet et une cravache et l’autre fesse, le S et le D entrecroisés, encadrés d’un sexe canin et d’un sexe équin et sur le pubis, je porte le V entrecroisé par un fouet et une cravache. Mes fers portent les lettres SS pour la lèvre gauche et sur l’autre SV, pour soumise vicieuse.
De retour à la capitale, je me remarque dans le miroir de mon appartement, à une heure de route du Manoir, les fers trouent mes lèvres de ma chatte, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée. Je désormais des robes pour le grand soleil et quelques robes du soir très légères composées d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je fréquente le Manoir, pour parfaire mon instruction et je suis fouettée. Je retourne aussi au Club, où je suis doublement payée.
Sir Sévices me met enceinte. Je me rends sur la tombe de ma mère Prudence, qu’a connu, Sir Sévices, je la fleuris.
Quelques mois après, je donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille. Je ne cherche pas à faire limer l'anneau et, quand bien plus tard je me laisse déshabiller par ses amants, – lesquels ne l'appellent que par mon prénom entier –, seuls les marques au fer effrayent réellement ceux qui les découvrent.

MANOIR 2E PARTIE EPISODE 1


Je m’appelle Olivia. Je suis la fille de Prudence, qui a connu le Manoir.
J’ai 18 ans et je suis encore vierge.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu'à ma raie fessière. Je suis très poilue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre son entrecuisse velue noire. Ses hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.


Le mystérieux manoir 2e Partie

Mi juin
Je suis la fille jumelle de Prudence. Ma mère, Prudence, décède dans de mystérieuses conditions, dans les années qui ont suivi son passage au Manoir, ainsi que le transsexuel Annie.
J’ai passé mon éducation dans le milieu catholique, sans connaître aucun garçon. Prudence et Annie m’ont légué une grosse fortune.
Le chauffeur personnel de Prudence, Victor, vient me chercher à bord de la limousine. Je porte mon uniforme de collégienne : un chemisier blanc sur mon soutien-gorge, un collant noir sur mon slip, une jupe mi-longue, des escarpins à petits talons. Je suis coiffée d’une queue-de-cheval. J’ai hérité de la beauté de ma mère.
En chemin, la limousine est bloquée par une fourgonnette devant et deux motards.
Un des motards musclé me met un bâillon-pénis en bouche, avec un anesthésiant.
Je suis embarquée dans la fourgonnette, nue, pieds nus, enchaînée à l’arrière.
Quand je me réveille, je suis enchaînée sur un fauteuil gynécologique, les chevilles menottées, les bras tendus en arrière.
- Quelle beauté, de petits seins, une chatte et un pubis velus, elle ne doit pas être vierge. Nous allons voir cela.
Le gynécologue, un bel étalon musclé, âgé d’une vingtaine d’années, nu sous sa blouse, m’écarte les lèvres de ma chatte trempée d’excitation. Il enfonce ses doigts et caresse mon clitoris qui se tend.
- Elle est toute trempée, mais je sens qu’elle a encore un obstacle.
- Alban, déflores-la, pour la préparer. Je lui masturbe le clitoris pendant qu’elle me suce.
Alban est un bel homme du double de mon âge, enfonce son gros mandrin dans ma chatte et me déflore. Je gémis, mais le long mandrin du gynécologue étouffe mes gémissements.
- Ca y est, elle n’est plus vierge par ce côté. Mets-lui le spéculum.
- Allez, ma belle, suce-moi bien.
Ma bouche refermée et resserrée sur le mandrin qui me rempli, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée.
- C’est une suceuse novice, mais elle s’applique.
Le gynécologue se retire et m’inspecte longuement ma chatte déflorée.
- Très bien, elle est apte à se faire honorer. Voyons, ton œillet, que tu es serrée. Tu es vierge aussi de ce côté. Détends-toi.
Après Alban, c’est un grand étalon musclé, qui entre, doté d’un mandrin plus gros qu’Alban. Jamais un tel mandrin va m’ouvrir.
Il enduit mon anus de ma mouille abondante et pose son gland sur ma collerette anale. Pour étouffer mes gémissements, je dois sucer Alban. Il s’enfonce d’une traite jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre les globes de mes fesses. La douleur a disparu. Elle a été remplacée par une impression de plénitude, une sensation d’absolu. Je me sens bien. Il reste un long moment fiché en moi, n’esquissant pas le moindre geste, sans doute pour que je m’habitue progressivement à son mandrin qui m’encule. Il me pistonne l’anus, caressant mes fesses, me donnant quelques claques magistrales sur mes fesses, pour me lubrifier davantage. Puis il accélère le rythme. Il revient à une sodomie plus lente, plus profonde. Puis accélère de nouveau. Jusqu’à ce que lui prenne l’idée de se retirer de mon cul. Il se retire et cède sa place à Alban et au gynécologue, pour trois longues sodomies, suçant à tour de rôle.
- Très bien, elle sera enculée tous les jours.
Pour finir, après mon inspection par un écarteur anal, je suis prise dans ma première double pénétration. Alban est sous moi, m’enculant et le gynécologue me baise. J’explose dans un long orgasme, la chatte et l’anus longuement inondés par mes amants.
J’ai droit à une douche vaginale et mon premier lavement avec une poire remplie d’eau froide.
Nue, je suis escortée par Alban, pour recevoir mon uniforme.
Je suis mesurée, pesée et j’enfile mon chemisier blanc sur mes seins nus, un kilt s’arrêtant à mi-cuisses et des mules à talons moyens.
- Te voilà prête, pour ton premier jour au Pensionnat du Vice. Tu feras une visite au Manoir ensuite.
Après les cours sexuels du matin, où je suis restée cul nu, la jupe relevée sur le tabouret de cuir muni d’un imposant vibromasseur pour m’enculer, je suis conduite au Manoir, qui se trouve à un quart d’heure de marche.
Les deux surveillants me pelotent mes seins nus, aux mamelons tendus, mes fesses nues et ma chatte trempée et mon anus béant.
Avant de franchir la grille, on me bande les yeux et on me menotte les mains dans le dos, en prenant soin de retirer ma jupe.
Un vent frais monte le long de mes jambes et saisit mes cuisses nues.
Je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout nue, en mules, dans une pièce noire où on me laisse. Puis, quand enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, il y a un tapis au sol, de nombreux miroirs et glaces. Deux jeunes femmes, jolies, vêtues d’un corset seins nus et d’une jupe ample et mi-longue, transparente, largement fendue devant sur leurs pubis et leurs chattes lisses avec de petits anneaux dorés et derrière sur leurs fesses nues zébrées, chaussées de mules à très hauts talons, les yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
- Que tu es belle, laisse-moi t’embrasser.
- Je vais te lécher la chatte.
Je m’abandonne, sous le long baiser langoureux de la première et la seconde me lèche la chatte et le clitoris et me doigte l’anus.
La chatte bien trempée, les mamelons et le clitoris tendu, elles me libèrent mes mains et m’annoncent :
- On va te baigner et te farder, te parfumer.
Je rejoins une grande baignoire transparente dans une immense salle de bains entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond.
- Accroupis-toi, cuisses écartées. Tu ne fermes plus tout à fait les lèvres, ni ne croises les jambes, ni ne serres les genoux.
J’obéis, les seins caressés par la grosse éponge, de même que ma chatte et mon clitoris. Je veux me masturber.
Elles me font jouir, en me masturbant. Elles m’enfoncent aussi une canule dans l’anus pour qu’il soit propre.
Une fois propre et sèche, je rejoins le fauteuil au centre de la salle de bains.
En m’installant sur le fauteuil, les cuisses écartées, je ressens une étrange sensation. Un gros vibromasseur anal de bonne dimension long et large m’écartèle l’anus. Je ne peux m’y opposer. Je gémis un peu, mais une vague de chaleur m’irradie, combinée à une excitation due à une crème qu’enduit mes mamelons et mon clitoris. Ils se tendent davantage. Mon bassin ondule sur le vibromasseur pendant que je suis fardée. Je me regarde dans la  grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Je regarde le durcissement de mes mamelons et mon clitoris qui grossit.
Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche très rouge, mes mamelons et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Je suis au bord de l’orgasme anal, sans me caresser, quand je quitte le fauteuil.
Les femmes me masturbent une nouvelle fois.
J’ai chaussée mes mules à très hauts talons.
Je rejoins la pièce annexe où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis au sol.
Il y a une fenêtre qui donne sur un parc. Cuisses écartées, j’admire ma chatte, mon clitoris a encore grossi, mes mamelons sont complètement tendus et très dur au point de lui faire vraiment mal  tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Lors du retour des deux femmes, une prend mes mesures du cou et de mes poignets. L’autre choisit les carcans correspondants. Voici comment ils étaient faits : en  plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets.
Un bel étalon musclé, au mandrin en érection, avec une gaine à picots, ferré juste sous les testicules, vêtu d'une longue cape. Je regarde ce mandrin qui m’excite et le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des gants aussi, et de fin chevreau.
- Lève-toi, ma belle. Tu ressembles à Prudence, une soumise qui a passé quelques temps ici. Elle, aussi, avait l’œillet serré comme une vierge, comme toi. Ecarte tes fesses et penche-toi en avant. Vous deux, occupez-vous de ses seins et son clitoris.
Cuisses écartées, penchée en avant, les seins pelotés par une des femmes et l’autre me léchant le clitoris qui se tend davantage. L’homme, prénommé Eros, enfonce son long et gros dans mon anus lubrifié par ma mouille.
- Détends-toi, je vais t’enculer jusqu’aux testicules.
Je gémis un peu, mais le plaisir m’envahit. Je me retiens de jouir, en sa présence. Mais à chaque nouvelle ouverture de mes fesses, je coulisse sur mon mandrin qui bande davantage.
- C’est bien, ma belle, vas-y, empale-toi. Tu dois apprendre à te faire enculer, ma vicieuse. Je te pine profondément. Je viens.
Eros éjacule en moi, tandis que je connais un orgasme.
Il se retire et accroupie, cuisses écartées, je le suce et le nettoie.
- Tu es docile. Avale.
J’obéis.
- Tu seras présentée tout à l’heure. Ton œillet va plaire aux invités, après ton dîner.
Eros cède la place à Hercules, un imposant étalon au gros mandrin avec des picots et ferré aussi.
Je dois subir une nouvelle sodomie, sans me dérober.
En appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, je le reçois agenouillé, tenue par la taille. Il m’encule jusqu’aux testicules. Son gros mandrin m’écartèle davantage. Ses poils frottent mon clitoris tendu.
Il éjacule lui aussi dans mon anus et je ne peux me retenir d’un orgasme. Sans débander, il étire mes mamelons tendus pour me soumettre.
Il se retire et me met mon premier bijou d’anus. Il est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois que l’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, provoque une délicieuse excitation anale permanente. Il mesure six centimètres de long, pour trois de diamètre, pour 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base garantissent un excellent maintien dans l’anus.  La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. Cette tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Tu gardes ainsi mon sperme bien au chaud et tu restes ouverte pour tout à l’heure. Tu as besoin d’être enculer pour t’élargir.
Seule, toujours nue, dans une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un guichet. Je suis agenouillée, cuisses écartées, je mange avec les doigts. J’éprouve une excitation anale. Pourquoi dois-je être enculée ? De gros mandrins m’écartèlent, est-ce pour m’élargir ?
Enfin, le dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prenaient le café. Ils portaient les mêmes grandes robes que le premier, mais aucun masque. Ils ont tous leurs mandrins maintenus en érection par un anneau pénien à la base des testicules en rendant leurs testicules bien volumineux et super excités. Ils ont aussi un extenseur de mandrin rallongeant instantanément de quatre centimètres de longueur à leur mandrin et il compresse leur mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple. Leur mandrin est durci, élargi d’un centimètre et l’extenseur comporte des nodules et des picots souples. La gaine dispose à sa base d’une séries de striures qui permettent de bien arrimer la gaine creuse à la base du mandrin. La gaine comporte dans son extrémité creuse un réservoir pour recueillir le sperme lors de l’éjaculation.
Je ne peux voir leurs visages, aveuglée par une lampe-phare.
On me bande les yeux. On me caresse les seins, la chatte, le clitoris et on m’embrasse langoureusement. L’anus libre du bijou d’anus, je subis l’assaut simultané de leurs doigts dans mon anus et ma chatte. Je me retiens de gémir. Une main me prend un sein, une bouche saisit mon mamelon tendu.
Je me retrouve allongée sur le dos, ayant perdu l’équilibre, les cuisses écartées, déchaussée. On me retire le bijou d’anus et un premier homme, bien monté, m’encule. Il m’ouvre complètement les cuisses, en me saisissant par les chevilles. Je ne peux opposer de résistance. Les mandrins se succèdent dans ma bouche. Un coussin soulève mes reins pour un meilleur accès.
Après avoir joui en moi, sans éjaculer, l’homme me remet le bijou d‘anus et je me retrouve agenouillée, cuisses écartées, et mes mains liées au dos me font pencher en avant. Je fléchis un peu en arrière, à demi assise sur les talons. Deux poignes pèsent sur ses épaules comme pour m'empêcher de me relever.
- Elle n’a jamais attachée, ni fouettée. Il faut l’attachée, pour la fouettée, pour qu’elle y prenne plaisir, jusqu’aux larmes.
Son œillet est un peu serré, dit un autre.
Je suis prosternée, cuisses écartées, pour me faire enculer. On me retire le bijou d’anus, l’homme se met en appui sur ses jambes et m’encule profondément. J’ondule mon bassin.
Je suce en même temps.
Le second me fait remettre à genoux, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et l'un des hommes, me maintenant des deux mains aux hanches, m’encule jusqu’aux testicules.
Le troisième m’encule latéralement, toujours prosternée. Il est en traction, puis il enjambe mes fesses. Il me masse les seins, jouant avec mes mamelons tendus et me donne quelques claques magistrales sur les fesses et les cuisses. Mon anus se lubrifie davantage.
Je me retrouve les cuisses serrées, les jambes ramenées vers mes seins. Agenouillé, les cuisses écartées, il m’encule avec son gros mandrin. Je gémis, empalée jusqu’aux testicules.
Sans débander, il se dresse au-dessus de moi, en m’écartant les jambes et entre et sort de mon anus béant et humide.
Je suis libérée, gémissante. On me retire le bandeau.
La grande pièce avec des livres sur les murs est faiblement éclairée par une lampe sur une console, et par la clarté du feu, qui se ranime. Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et
Le quatrième m’encule, en caressant mon sein. Mais tous quatre m’ont prise, et je ne l'ai pas distingué des autres.
- Tu verras les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et tu ne dois  jamais savoir quels sont les responsables du pire. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te vois fouettée, qu'une première fois tu n’as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent leurs masques, et que je ne les distingue plus.
L’home a un mandrin gros et ferme, son gland est bien enfoncé, l’anus détendu, je l’accueille. Allongée sur le côté, il se colle contre moi. Il me caresse les seins, la chatte, mon clitoris. Il s’enfonce jusqu’aux testicules.
- Que tu es belle, dans le plaisir.
J’avoue que cette position me fait mouiller. Il m’embrasse langoureusement sur la bouche.
Puis il se retire, me remet le bijou d’anus en place.
On me le retire, m’allonge sur le dos.
Un superbe berger allemand, entre, le sexe en érection. Le berger allemand m’encule. Puis je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos du berger allemand et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Il s’enfonce jusqu’au nœud pour m’écarteler. Je gémis un peu. Je connais quatre orgasmes anaux sous ses coups de reins. Il éjacule en moi.
Il se retire, me lèche l’anus et je dois le sucer.
Le berger allemand repart. On me montre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir que le premier des hommes que j’ai vu à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a un troisième fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui étaient toutes raides, trempées dans l'eau.
Sans attendre, pantelante, je suis menottée, les bras en l’air, sur la pointe des pieds nus, une barre d’écartement m’empêche de resserrer les cuisses. On m’enfonce un gode canin avec son nœud de la taille d’une balle de golf, long de dix centimètres et trois de diamètre. Je ne peux l’expulser. Avec la garcette, on caresse l’intérieur de mes cuisses et ma chatte.
Que sauf les mains sont tenues un peu au-dessus de la tête, je ne peux donc bouger, et voir venir les coups. Qu'on ne me fouette en principe que les fesses et les cuisses. Je peux crier, me débattre et de pleurer. On me laisse respirer, mais quand j’ai repris haleine, on recommence, jugeant du résultat non par mes cris ou mes larmes, mais, par les traces plus ou moins vives ou durables, que les fouets laissent sur ma peau.
Chaque coup de fouet me fait mouiller, augmentant la tension à mes mamelons et mon clitoris.
Le gode canin amplifie mon désir anal. Je les supplie de me détacher, pour me masturber.
Un des hommes fixe une pince à chaque grande lèvre et une pince par mamelon tendu. Les chaînes et les pinces sont en métal massif chromé. Les pinces plates sont recouvertes de caoutchouc noir à leurs extrémités mais il retire ces caoutchoucs pour faire apparaître des rangées de dents minuscules en métal ; les sensations intimes seront alors beaucoup plus intenses à mes mamelons tendus, dont il resserre les vis. Elles sont très puissantes et écrasent mes chairs. Mes grandes lèvres s'allongèrent beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Au bout d’un quart d’heure, on regarde le résultat, la cravache m’a davantage marquée que la garcette, que le fouet de cuir.
On dégonfle le gode canin et on me le retire quelques instants. Un des hommes bien monté, m’encule jusqu’aux testicules. Les clochettes tintent à chaque coup de rein. L’homme éjacule en moi et me remet le gode en place.
Je suis cravachée en plus des fesses et de l’arrière des cuisses et sur le devant de mes cuisses et sur mes seins avec un martinet de poche.
Pantelante, je connais un nouvel orgasme anal.
On me retire les clochettes aux grandes lèvres pour me baiser.
Je connais ma première double pénétration, la chatte resserrée par le gode canin.
Avant de me détacher, on me retire la barre d’écartement. On enduit mon clitoris et on libère quelques instants mes mamelons tendus que l’on enduit, avant de les remettre.
- Vois-tu la crème qui enduit ton clitoris et tes mamelons, n’a qu’un but, déclencher une hyper sensibilité de ses points là. Le moindre frottement de tissus ou même que l'air sur tes mamelons ou ton clitoris te provoquent une excitation énorme. Le résultat, c'est que tes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Inutile de te dire que malgré cette hyper excitation, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Détachée, je suis chancelante et presque évanouie, je dois enfiler un mystérieux slip muni d’un gros gode réaliste, long de trente centimètres et quatre de diamètre. Le slip est une ceinture de cuir qui entoure ma taille, et les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longeaient le pli des aines en contournant le triangle pubien. Une fois enfilé, les chaînettes sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre mon anus et on les cadenasse avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puisse être tentée de me soulager de cette contrainte. Une fois place, je sens les va-et-vient dans mon anus, me rappelant une sodomie par un amant infatigable. Ce gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode.
Je m’agenouille, cuisses écartées, assise sur ses talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut. Ma bouche  reste légèrement entrouverte.
« Tu restes nue la première semaine, pour que tout le monde voit que tu portes le gode, pendant tes corvées. On te le retire que t’honorer. Nous fouillons ta chatte, ton œillet à tout moment. Tu ne peux plus te dérober, tes lèvres de ta bouche restent entrouvertes, tes cuisses restent toujours écartées, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. Le fouet ne t’es appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Ton regard doit se fixer sur nos sexes nus et libres, pour les sucer. La nuit, nue, enchaînée, tu suces et gardes les cuisses écartées pour te faire honorer, ou bien par un chien. Les chiens sont les meilleurs moyens pour t’élargir. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction. Tu es contrainte. On va te conduire dans ta cellule. »
Je ne sens pas d'aplomb sur les mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules, comme les portes des chambres dans les grands hôtels.
- Tu es dans l'aile des soumises novices, et votre valet s'appelle Sam.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle Anaïs.
- Et moi Jasmin », dit la seconde.
La première reprit : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu est punie et quand on n'as pas de temps pour vous.
- L’année dernière, j’ai connu Sam. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous. Souvent, des chiens viennent nous monter pendant la nuit.
Au détour du couloir, je m’arrête devant une porte que rien ne distingue des autres : sur une banquette entre cette porte et la porte suivante j’aperçois un bel étalon bronzé, vêtu d’un gilet en cuir, avec un étireur de testicules et un anneau pénien, son gilet de cuir cache de petits seins, c’est un transsexuel. Il porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les trois femmes, disant :
- Je referme, vous sonnerez quand vous aurez fini.
Il découvre la ceinture et les chaînettes.
- Tu portes le gode d’assouplissement. Je te le retires tout à l’heure et je ferais usage de toi.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures. Il n'y a pas d'autres meubles, il a de grandes glaces sur les murs, du haut en bas de la paroi, que n'interrompent aucune tablette et au plafond. Il y a un tapis au sol. Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, est en même tissu, la couverture à double face aussi. Le seul objet qui est au mur, deux mètres au-dessus de la tête du lit, est un gros anneau d'acier brillant, où passe une longue chaîne d'acier qui pend droit sur le lit ; ses anneaux entassés forment une petite pile, l'autre extrémité s'accroche à portée de la main à un crochet cadenassé, tirée et prise dans une embrasse.
Il y a un autre crochet suspendu face à la fenêtre, à la même hauteur.
Dans la salle de bains se trouvent le siège à la turque, dans l'angle le plus proche de la porte, et le fait que les parois sont entièrement revêtues de glace. Il y a un bidet et une douche.
Une fois nue, Anaïs et Jasmin demeurent avec moi, je m’accroupis sur le socle de porcelaine, je me trouve au milieu de tant de reflets.
- Attendez que ce soit Sam, dit Jasmin, et tu verras.
- Pourquoi Sam ?
- Quand il viendra t’enchaîner, il te fera peut-être accroupir. Ils t’ont mis un gode que tu vas porter, huit jours durant, entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où tu finis ton service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on t'y ramène, enchaînée, nue. Tu en porteras un plus épais chaque jour. Tu le porteras nue, parfumée, au repas du soir. Sam ne te l’enlève pour que pour t’enchaîner, soit les mains au dos s'il doit te conduire à la bibliothèque, soit au mur pour la nuit si personne ne te réclame. Rares sont les nuits, où tu seras enculée à maintes reprises. J’y suis passée.
Puis elles me conduisent sous la douche. Pendant que Jasmin me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Anaïs me savonne les seins et la chatte, me passe la main entre les jambes, décalotte délicatement mon clitoris. Je jouis sous leurs caresses. Anaïs va jusqu’à enfoncer deux doigts dans ma chatte resserrée par le gode et Jasmin me masse les seins aux mamelons durcis par les caresses.
Je me sens pâlir. « Mais pourquoi ? dis-je.
- Tu es bien obligée, réplique Jasmin, mais tu as de la chance.
- Pourquoi de la chance ?
- C'est ton amant qui t’amène ?
- Oui, dis-je.
- On est beaucoup plus dur avec toi. Tu comprends très vite. Je sonne Sam. Nous venons te chercher demain matin. »
Anaïs sourit en partant, et Jasmin, avant de la suivre, caressa, à la pointe des seins, je reste debout au pied du lit, interdite. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, tout comme mon slip, je suis nue.
- Je vais te retirer le gode et tu vas t’installer sur le bidet.
En retirant le gode, mon anus est béant et humide. J’obéis et je rejoins le bidet. Là, je me retrouve assise, courbée en avant. Je sens un doigt chargé de savon me pénétrer et me laver soigneusement l’anus, et je frissonne profondément. Il m’enfonce ensuite une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau tiède. Je comprends que, tel un ustensile qui vient d'être utilisé, on me nettoie parfaitement partout où l'on s'est servi de moi, afin qu'on puisse recommencer dès qu'on en aura le caprice.
Profitant de mes cuisses écartées, il me caresse le clitoris et je mets à jouir.
Je le suce aussi.
 « Alors la belle dame », dit le valet en entrant. Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de ses bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Sam me pare d’une ceinture de chasteté, l’une des parties enserre la taille, l’autre est une sorte de plaque souvent triangulaire qui passe entre les jambes, et comprend de petits orifices pour permettre les fonctions naturelles, mais ceux-ci ne permettent pas d’y glisser un doigt. La femme peut se doucher et se baigner avec, l'usage du bidet est aussi conseillé. Le modèle classique de la ceinture de chasteté pour femme consiste en une bande de taille attachée à une protection d'entrejambe qui est maintenue verrouillée au centre de la taille. Ma chatte n’est plus accessible à la pénétration par un pénis : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) me permet d’uriner, mon clitoris tendu et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts  d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port à la femme soumise.
Equipée de ma ceinture, je suis prête pour mes sodomies nocturnes.
Sam me fait agenouiller, les fesses bien rebondies, la taille cambrée. Il m’enchaîne avec le crochet qui en fixe l'autre extrémité, et tire pour la raccourcir.
Sam m’encule, avec son gros mandrin, je jouis en silence.
- Tu es encore serrée, mais d’ici quelques jours, tu me supplieras.
Il éjacule en moi et m’abandonne, après avoir caressé mes fesses brûlantes et mon clitoris tendu. La douleur aux mamelons et au clitoris deviennent supportables.
Il éteint la lumière, qui est une applique entre les deux portes, et sort.
Seule dans le noir et silencieuse, et par force immobile, les mains immobilisées, je ne peux me masturber, ma chatte trempée dans la fente. Ma chatte est brûlante, prête à tous les valets pour m’honorer. Le fouet me rend sereine. Jamais je n’ai pris autant de plaisir à être enculée.
Sans attendre, je sens un sexe canin m’enculer jusqu’au nœud. Il reste en moi plus d’une demi-heure, je connais quatre orgasmes, jusqu’à l’éjaculation. Il est long de dix-sept centimètres pour cinq de diamètre.
Par le miroir de la salle de bains, je vois l’ombre du berger allemand qui m’a enculée ce soir.
Peu de temps après son départ, c’est un doberman, avec un gros sexe qui m’encule. Je gémis un peu, mais le plaisir m’envahit. Je m’empale sur son sexe, attachée à lui. J’ai droit à une double ration de spermes chauds dans mon anus, tapissé du sperme du berger allemand. Je reste attachée près de trois quart d’heure.
Ces sodomies canines me mettent dans un état second.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, avant le retour de Sam, un dogue allemand m’encule. Il est long de vingt centimètres et six de diamètre. J’ai un peu mal. Il reste une bonne demi-heure.
Sam revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte. Sam découvre mon anus béant et débordant de spermes.
- Très bien, je vois que Adam, Lancelot et Conan, ont fait un excellent travail. Tu es bien ouverte. Laisse-moi t’enculer avant de te fouetter.
En effet, je n’ai aucun problème pour recevoir le mandrin de Sam.
Il se retire et éjacule dans ma bouche. La main gauche de Sam se pose sur ma taille, je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Sam me cravache à toute volée. Il n'attend pas que je me taise et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il a cessé que je crie encore, et que mes larmes coulaient dans ma bouche ouverte.
Il me détache et me fait accroupir, cuisses écartées, de face, bras tendus en l’air, menottée à un crochet dans la gueule d’un lion.
Je me retrouve empalée, enculée sur un imposant gode canin réaliste de la dimension du dogue allemand.
Il me cravache le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Quand il part, après avoir refermé la lumière et, la porte de la salle de bains, gémissante j’oscille de douleur, au bout de ma chaîne, dans le noir. Je jouis, empalée par mon propre poids, sur le gode qui m’écartèle. Ma chatte est trempée abondamment. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
La grande fenêtre, vers laquelle je suis tournée, est orientée vers l'est, et va du plafond au sol, sans aucun rideau. Je regarde naître une lente aurore pâle, dehors au pied de la fenêtre. Devant la fenêtre,  il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette.
Le jardinier s’approche et me découvre enchaînée,  nue, avec ma ceinture de chasteté, empalée sur le gode, mon bassin ondulant, en pleins râles de plaisir, mes cuisses cravachées. Derrière lui, je découvre une soumise nue sous un cheval, guidée par un garde. La soumise subit l’assaut de l’étalon, tout en suçant le gardien.
Mes balafres ont gonflées, et forment des bourrelets étroits.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L'homme qui entre dans ma cellule est nu sous son blouson de cuir et botté, il est ferré.
Il m’aide à me retirer du gode, qui m’a bien ouverte. Il me retire la ceinture de chasteté, il me passe la main entre les jambes, me caresse la chatte, le clitoris, je me retiens de jouir, les yeux baissés, mais mon bassin ondule sous sa main. Il caresse mes fesses zébrées et doigte mon anus encore béant.
- Tu es bien ouverte, je vais t’honorer.
Il me libère enfin de la chaîne.
Je m’écroule sur le lit, épuisée, allongée sur le ventre, cuisses écartées.
L’homme m’encule avec son gros mandrin. Je lui tends mes reins. Il m’enserre par les hanches, pelote mes seins lors de sodomies profondes, faisant claquer ses testicules contre mes fesses brûlantes.
- Tu aimes ça, que je te laboures l’œillet.
Après quelques va-et-vient, il se retire et éjacule dans ma bouche.
J’enfile le slip avec un nouveau gode plus large, cinq centimètres de diamètre pour trente de long. L’homme me le cadenasse. Il me remet mes clochettes à mes mamelons tendus.
Anaïs et Jasmin entrent, quand l’homme s’en va. Jasmin tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et portait du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et  des croissants.
- Mange vite, dit Anaïs, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et je te coiffe, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Jasmin, pour la bibliothèque
- Mais vous ? dis-je
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à  nous.
La porte s’ouvre, deux superbes étalons musclés, nus, ferrés, avec un doberman.
Les deux femmes disparaissent, sur les tapis les mules ne s'entendent pas.
Je suis agenouillée, cuisses écartées, tenant une tasse de café à la main gauche et de l'autre un croissant au rebord du lit, je reste immobile. Je pose la tasse et le croissant sur la table.
Le premier, un grand brun, s’approche de moi, me renverse et m’approche, en doigtant ma chatte trempée.
Il embrasse mes fesses, mes cuisses.
Il me relève, me fait me mettre debout, me retire le gode.
Il m’encule, empalée debout, sur la pointe des pieds. L’autre homme, un blond, caresse ma chatte entre mes cuisses écartées, ses mains caressent mes seins faisant tinter mes mamelons que le valet a enduit de crème, tout comme mon clitoris, avant de partir.
Le blond masturbe mon clitoris, alors que je suis empalée jusqu’aux testicules. Je jouis.
- Quel écrin, une superbe mangue qui est toute trempée d’excitation. Son escargot a grossi.
- Son œillet est un vrai plaisir.
Le brun me fait coulisser su son mandrin, me tenant par la taille.
Sans attendre, je me retrouve doublement enculée, le plus gros mandrin se met sur le dos pour que je m’empale, enculée, et l’autre enfonce son mandrin dans mon anus dilaté au-dessus de l’autre pour commencer à limer doucement, puis plus rapidement ou violemment l’anus. Ils m’enculent simultanément, mes mains sont menottées dans le dos. Ils éjaculent en moi.
Le blond disparaît. Le brun m’encule ensuite, après que je l’ai masturbé, les mains libres. Il me remet le gode en place.
Le soleil a percé la brume et inonde la chambre. Mais seule la sonnerie de midi nous réveille.
Le brun me retire le gode et je m’offre à quatre pattes au doberman, qui m’encule.
C’est Lancelot, je reste attachée à lui, pendant une demi-heure. Mon clitoris est caressé par l’homme, tandis que les clochettes tintent.
L’anus rempli, je dois le sucer, le gode remis en place par l’homme.