samedi 2 mars 2019

VICIEUSE DE MON PERE


Je m’appelle Shawn
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu'à ma raie fessière. Je suis très poilue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue noire. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.





JE SUIS LA VICIEUSE DE MON PERE

Dès mon dix-huitième anniversaire, mon père, qui a la cinquantaine, s’intéresse davantage à moi. En effet, mon corps se transforme.
Mes petits seins sont bien formés, avec leurs beaux mamelons. Mes grandes lèvres, jusqu'au mont de Vénus sont bien velus, un superbe triangle pubien et mes aisselles sont couvertes de poils.
Mon bassin est large, mes hanches sont plus amples plus courbées, des poils pubiens plus épais et des cuisses plus fortes.
Chaque matin, au lever, il vient dans ma chambre, je suis enfant unique. Il me fait me retirer mon pyjama. Nue, je me laisse peloter les seins, doigter la chatte et embrasser sur la bouche.
Il me baigne, accroupie, cuisses écartées. Je dois me laisser faire. Je jouis lorsqu’il caresse mon clitoris.
Une fois propre, il me baise partiellement, sans percer mon hymen. J’apprends à le sucer.
Je peux aller ensuite en classe. Ce matin-là, mon père m’annonce :
- Désormais, finis les sous vêtements. Plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de justaucorps. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sûr de pantalons. Tu ne portes que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu es pieds nus soit tu portes des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons.
Mon père m’a choisi une robe facile à enfiler, s’arrêtant à mi-cuisses. Je la mets sur mon corps nu. Cela est étrange, d’avoir les seins nus et libres et les fesses nues et libres.
Je glisse mes pieds nus dans de superbes escarpins à talons moyens.
Je me rends à l’école.
Peu de copines remarquent que je suis nue sous ma robe.
Aux toilettes, avant de me soulager, ma copine Anaïs de mon âge, une lesbienne, glisse ses mains sous ma robe et découvre mes fesses nues.
- C’est plus pratique. Caresse-moi.
Ses doigts experts me caressent le clitoris et doigte ma chatte, sous ma robe. J’ai mon premier orgasme lesbien en l’embrassant.
Vers seize heures, je quitte l’école.
Mon père m’invite en l’absence de ma mère, à faire les devoirs, nue, dans ma chambre. Il me pelote les seins et me caresse le clitoris, pour que je retienne mieux les leçons.
- Désormais, tu dors toujours nue et tu as le droit de te masturber. Voici tes nouveaux jouets, tu vas découvrir le sexe.
Je découvre une panoplie complète de jouets sexuels. Curieuse, je prends le premier qui est un gode de dix-sept centimètres de long et quatre de diamètre.
La chatte trempée d’excitation, je m’allonge sur le lit, cuisses complètement ouvertes, j’enfonce le gode dans ma chatte. Je jouis comme une folle.
Mon père me fait sucer son mandrin et caresse mes seins aux mamelons tendus.
Sans prêter garde, je me déflore.
Devenue femme, je m’offre à mon père à quatre pattes :
- Papa, prends-moi à fond. J’ai la chatte en feu.
- Tends tes bras, pour m’offrir tes fesses bien rebondies.
Mon père enfonce son gros mandrin dans ma chatte trempée.
- Que tu es bien trempée, je vais te baiser à fond.
Je sens ses testicules claquer contre ma chatte. Chaque va-et-vient et ses mains me saisissant la taille, pour que je coulisse sur lui, me fait jouir.
Après quelques va-et-vient, il change de trou.
Le mandrin bien lubrifié, il force mon oeillet encore vierge.
- Pousse, cela va rentrer tout seul.
En effet, son gros mandrin m’écartèle l’anus. Je gémis, mais je jouis, lorsqu’il me caresse mon clitoris tendu.
Maintenant, je sens ses testicules gonflés claquer contre mes fesses.
Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses, pour me chauffer les fesses. Soumise, je ne peux opposer aucune résistance.
Je coulisse sur son mandrin jusqu’aux testicules.
- Continue, ma chérie, tu es bien ouverte et chaude.
- J’aime ta queue dans mon puits.
Il se retire délicatement et me fait sucer son mandrin qui éjacule dans ma bouche.
Un de mes neveux, qui a vingt ans, qui nous a surpris, voyant mon anus béant, prend le relais.
- C’est bien, Alexandre, encule-la. Shawn a besoin de se faire défoncer, maintenant qu’elle est devenue femme.
Alexandre est un superbe brun musclé, bien monté. Il m’ouvre davantage l’anus je me caresse le clitoris pour jouir.
Mon père vicieux, prend un autre gode.
Sans débander, Alexandre s’agenouille, je me redresse jusqu’à toucher son buste avec son dos. Mon père enfonce le gode réaliste plus long et plus large dans ma chatte trempée. Je découvre la double pénétration. Alexandre me pelote les seins, tandis que mon père me lèche mon clitoris. Un violent orgasme m’irradie.
Alexandre éjacule en moi.
Il se retire, je le suce et je sens le gode qui a pénétré ma chatte, m’enculer à son tour.
Je jouis à nouveau.
Pantelante, je suis baignée par Alexandre, dans un bain torride, mêlant caresses, baisers et léchages.
- Tu t’en sors bien, Shawn. Tu aimes le sexe. Je connais tes cousins qui seront ravis de te baiser.
Il me faut d’autres sexes.

En effet, chaque soir, je dors avec Alexandre, qui me baise ou m’encule selon ses envies. Mon anus s’assouplit davantage,  ma rosette anale est plus large que les autres filles.

Pour les vacances de printemps, mon père me conduit chez mes cousins, les homosexuels Brice et Charles et leurs sœurs, lesbiennes, Emmanuelle et Fleur.
Ils ont entre dix-huit et vingt ans.
J’assiste, nue, en me branlant, à la sodomie de Brice par Charles. Je suis excitée de voir le long mandrin de Charles s’enfoncer dans l’anus de Brice. Brice se met à bander.
- Viens, me sucer, puis je vais t’enculer ensuite.
J’accepte. Son mandrin durci dans ma bouche.
Il m’allonge sur le dos, me replie mes genoux sur mes épaules, m’écartant bien les cuisses. Il m’encule jusqu’aux testicules, en me tenant les jambes. Je jouis.
- Tu aimes ça, te faire défoncer l’œillet.
- Oui, Brice, encule-moi profondément.
Après quelques va-et-vient en cadence avec ceux que reçoit Brice par Charles, je sens son sperme inondé mon anus.
Après les avoir sucé, je m’offre à quatre pattes à Charles, qui m’encule. Charles s’agenouille derrière moi, enfonce son gros mandrin jusqu’aux testicules, m’étreint la taille avec ses bras. Brice se met derrière Charles et l’encule. Charles me caresse les seins et la chatte, le clitoris.
- Tu es bien large, Shawn. Tu ondules bien sur ma queue
Je m’empale sur son mandrin, tout en serrant et détendant mon muscle anal au fur et à mesure des va et vient ! J’enserre, relâche son mandrin et je reprends ;
Ses masturbations me font serrer les muscles fessiers, pour une sodomie plus intense. Charles m’embrasse sur la bouche.
Il ne faut pas longtemps pour Brice et Charles éjaculent.
Je me douche en leur compagnie, pour un lavement anal.
Une fois propre, je rejoins Emmanuelle et Fleur, en plein 69.
Je lèche l’anus de Fleur.
Puis à tour de rôle, après mon 69 avec chacune d’elle, elles mettent des gode-ceintures avec des vibromasseurs réalistes.
Je suis prise en double pénétration par Emmanuelle et Fleur.
J’ai un violent orgasme.
Emmanuelle et Fleur changent d’orifices pour me satisfaire.
Je dors nue en leurs compagnies.
J’alterne pendant les vacances, entre les deux couples.

A mon retour de vacances, mon père me conduit, vêtue d’une petite robe estivale sur mon corps nu et chaussée de sandales à petits talons, dans un pensionnat sélect, de la haute bourgeoisie.
Dès que j’ai franchi le portail, je suis conduite par un bel étalon, le surveillant James.
Je me retrouve dans le bureau du directeur, au rez-de-chaussée, un homme de cinquante ans, Mr Donatien, qui n’est autre que le beau-père de ma mère. Je dois me déshabiller devant lui, tandis que son assistante, la superbe blonde, sa femme, Maîtresse Justine, aux seins plantureux, vêtue d’un tailleur, m’examine.
Elle soupèse mes seins, doigte ma chatte et je dois prendre une position obscène, devant un double jeu de miroirs aux murs et un au plafond. Je dois me pencher en avant, les mains au sol, cuisses écartées.
Justine m’écarte les fesses et me doigte l’anus.
- Tu es souple, ma chérie. Tu dois te faire enculer souvent.
Sans attendre, James m’encule jusqu’aux testicules et Justine me pelote les seins, en étirant mes mamelons et caresse mon clitoris tendu.
Je ne prête pas attention, à la douleur de piqûres dans chacune de mes aréoles et  dans chaque mamelon et dans mon clitoris.
James éjacule rapidement, lors de mon orgasme anal.
- Très bien, tu va t’empaler sur Donatien.
Donatien exhibe un imposant mandrin, muni d’une gaine à picots.
Face à Donatien, je suis aidée par James et Justine, pour que le mandrin de Donatien m’encule. Une fois empalée jusqu’aux testicules, je m’accroche à ses avant-bras, en écartant bien mes cuisses. Donatien me tient par la  taille.
Puis il me tient par les jambes tendues et je le masturbe, en coulissant sur mon mandrin qui m’encule. J’ai mal sur les picots qui m’arrachent l’anus.
Justine me cravache les fesses pour m’encourager à jouir.
Après une demi-heure, je suis libérée et je suce Donatien.
Puis, nue et en mules à hauts talons avec une plate-forme, je reçois de curieux accessoires : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le fermait et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets, le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. Puis Justine me pince mes mamelons auxquels elle pose une pince réglable ornée d'un poids aimanté auquel peuvent s'ajouter cinq autres poids aimantés par simple attraction magnétique. Elle règle la vis. La pince avec le premier poids pèse 30 grammes, chaque poids supplémentaire pèse 15 grammes. Une fois tous les poids assemblés, la pince pèse plus de 100 grammes en étirant délicieusement mes mamelons vers le bas. Je gémis sous une tension visible et une tension sensuelle. Elle en pose aussi à chacune de mes grandes lèvres de ma chatte humide.
- Ainsi, tu vas connaître le plaisir de la jouissance sous la contrainte.
Justine me lie les mains dans le dos et me conduit dans un cabinet gynécologique très spécial, avec de nombreux miroirs et glaces, tout autour du fauteuil, des caméras et des télévisions.
Je suis menottée, bras tendus en arrière, un anneau, les pieds glissés dans les supports pour les jambes, les lèvres de ma chatte s’entrouvrent toutes seules.
Ce n‘est pas ma première visite gynécologique. Mes cuisses sont écartées au maximum. Je vois sur les écrans le gros plan sur ma chatte et mon anus.
Mon bassin est placé à hauteur du visage de Justine.
Je subis d’abord le spéculum, avec masturbation clitoridienne et vaginale, puis l’écarteur anal pour que je m’ouvre au maximum.
Je dois pisser en public. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême par la montée du désir dans mon ventre. Immobilisée, je subis mon orgasme sans pouvoir me caresser.
- Baisse les yeux, ma belle, maintenant que tu es en présence d’hommes. Tu ne peux plus te dérober, tes lèvres restent entrouvertes, tes cuisses toujours écartées, pour donner accès à ta bouche, ta chatte et ton anus qui sont ouverts à qui veux. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Tu dois toujours regarder le sexe à découvert, que tu dois sucer. En outre, à la nuit, nue, menottée dans le dos, tu écartes tes cuisses et tu suces. On ne bande les yeux que pour te fouetter. Tu es fouettée chaque jour, ce n'est pas tant pour notre plaisir que  pour ton instruction.
Une fois l’écarteur anal retiré, les cinq hommes, bien montés, se relaient pour m’enculer et éjaculer dans ma bouche.
On joue avec les pinces à seins pour me soumettre.

A la fin des sodomies, je suis détachée et je revêts mon uniforme : un chemisier transparent sans aucun bouton, une jupe courte facile à relever d’un seul geste et une ceinture baleinée en cuir pour affiner ma taille. Mais avant de mettre mon uniforme, je dois me pencher en avant, écarter mes fesses. Je sens un gode réaliste m’enculer, m’ouvrant sur quatre centimètres et treize de longueur. En me redressant, je sens le gland monter et descendre dans mon anus. Je sens l’accélération des  va-et-vient dans mon anus, et encore plus vite de haut en bas dans mon anus, puis il vibre d’abord par à-coups puis à intensité progressive. Il mesure au total seize centimètres. Je dois conserver sous ma jupe.
Le surveillant, Désiré, un bel étalon africain, me conduit habillée, aux cours au premier étage. Je dois relever ma jupe pour m’asseoir sur le tabouret de cuir, cuisses écartées et suivre les cours d’éducation sexuelle et d’éducation anglaise, avec théorie et mise en pratique par chacune des filles avec les professeurs. Je découvre ainsi après la cravache, la palette en bois pour mes fesses nues qui sont vite rougies et brûlantes, par les coups à toute volée, puis la canne de bambou.
Au réfectoire, je mange nue, en mules, pour exhiber mon corps de soumise. Je porte encore mes pinces et le vibromasseur anal. La gent masculine vient me caresser les seins, joue avec mes mamelons, me masturbe le clitoris, m’embrasse langoureusement.
L’après-midi, c’est sport, nous sommes toutes nues, pour les exercices de gymnastique, de vélo avec godes anaux, piscine et espalier, pour recevoir le fouet sur nos cuisses et nos fesses.
Penchée en avant, j’ai mal aux mamelons, laissant bien tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler, le téton devient froid et là je ne sens plus rien.
Au coucher du soleil, sans mes pinces, écartelée, dans mon lit, je suis fouettée à nouveau sur les cuisses, puis enculée par les surveillants que je suce. Ils éjaculent dans ma bouche. Je suis douchée, menottée à une barre, bras tendus en l’air, avec une barre d’écartement fixée aux chevilles. Le surveillant qui me douche, passe longuement l’éponge sur me seins, dont les mamelons et les aréoles ont été à nouveau piqués, tout comme mon clitoris, entre mes cuisses.
Une des filles me prépare devant une glace : me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole des seins et les mamelons et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Une fois prête, nue et en mules, je suis conduite, les mains liées dans le dos, dans une grande salle recouverte de glaces, avec des dizaines d’invités masqués, nus.
Je suis offerte en orgie à chacun, suçant, enculée, prise en double pénétration, léchant la chatte d’une autre fille, jusqu’à l’aube.
Nue, les mains liées dans le dos, allongée sur le dos, cuisses écartées, je suis léchée par une des filles dans un 69 torride, décuplant mon orgasme.
Un surveillant nous surprend et annonce :
- Vous irez finir votre nuit au sous-sol, dans la salle des plaisirs.
Nue, les yeux bandés, pieds nus, je suis conduite en laisse par mon collier, les mains dans le dos, avec l’autre fille.
Quand je recouvre la vue, je suis menottée à une croix de Saint-André, face à des projecteurs. Des poids d’un kilo sont suspendus à mes mamelons et aux lèvres de ma chatte. Je ne vois pas l’autre fille.
- La nouvelle beauté est coupable de lesbianisme et de jouissance non consentie. Elle porte des poids pour sa soumission, mais elle sera fouettée cinq fois à la garcette sur les cuisses et cinq fois au martinet sur les seins et elle sera saillie par un doberman.
Un homme, vêtu d’une tenue de moine, le visage masqué, approche, avec une garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, toutes raides trempées dans l'eau, je le sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la peau tiède de mes cuisses.
Les lanières cinglent mes cuisses, je gémis sous le bâillon-pénis. Puis il applique la même puissance sur mes seins, faisant bouger les poids. Je gémis.
Enfin, je suis offerte, prosternée, les mains dans le dos, à un superbe doberman, au sexe en érection. On me lubrifie l’anus et je sens son sexe m’écarteler l’anus. Je gémis, puis je sens même le noeud, mais maintenant dans mon anus. Mais plus le doberman va de l'arrière vers l'avant rapidement, mieux mon anus supporte. Je sens le noeud du doberman grossir dans mon anus. Je serre les dents. Je sens le noeud arrêter de grossir. À chaque fois que le doberman bouge, j’ai un orgasme. J’ai quatre orgasmes puis je sens le noeud rétrécir. Le doberman se retire et me force à sucer son sexe, tandis qu’un autre moine m’encule.
Les moines m’installent dans un pilori où je suis montée par d’autres chiens qui m’enculent jusqu’au lever du soleil, pour que je m’habitue à eux.

Au lever du soleil, on vient avec une canule reliée à une poche suspendue au-dessus de mes fesses. Je sens l’eau tiède me nettoyer l’anus. On retire la canule pour je garde ainsi un moment. Détachée du pilori, je suis contrainte de me soulager au-dessus d’un urinoir masculin, cuisses écartées, en compagnie d’un des surveillants. Celui-ci me masturbe la chatte et me pique mon clitoris, puis mes mamelons. Je m’assois sur le bidet, et c'est le surveillant qui me nettoie la chatte.
Je me farde et nue, je suis conduite à la visite gynécologique.
Justine me remet les pinces à mes mamelons et à mes lèvres de ma chatte.
Elle me complimente :
- Les chiens t’ont assoupli un peu plus l’œillet. Chaque soir, tu seras montée par des dobermans, des labrador et des dogues allemands. Ainsi, tu vas devenir en une semaine, une vraie chienne soumise.
Je déjeune nue avec les autres filles, portant mon vibromasseur anal, muni d’une gaine à picots qui l’élargit d’un centimètre.

Le dimanche matin, après ma dernière saillie, mon lavement et ma visite gynécologique, je suis conduite nue auprès de mon père chez Mr Donatien.
Tous les deux examinent mon corps : mes mamelons qui sont constamment tendus, saillants, gros et longs et mon clitoris gros comme une cerise, saillant et volumineux.
Ma taille s’est affinée par le port régulier de la ceinture baleinée. Ma rosette anale est plus large. Je me penche en avant, cuisses écartées. Mon père m’encule d’une seule traite. Je pose mes mains sur mes genoux. Je tends totalement aux coups. Donatien m’écarte les fesses pour que mon père m’encule plus profondément. J’ai un violent orgasme anal sans me caresser.
Je m’accroupis pour le sucer et recevoir son sperme en bouche.
- Son œillet est bien assoupli.
- Les chiens ont fait un bon travail. Shawn est devenue une chienne experte. Regardez cette vidéo.
Je découvre avec mon père, une scène où je suis prosternée, me faisant monter par un doberman. Mes râles de plaisir envahissent la pièce. La caméra filme en gros plan, mes fesses et les va-et-vient du doberman dans mon anus rempli par son nœud.
- Très bien, c’est devenue une vraie jouisseuse anale. Continuez son dressage. Je reviens dans un mois.
Mon père m’attire pour examiner mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté. J’adore cette sensation d'être enfin repris en main par mon père.
- Dès la deuxième semaine, Shawn sera désormais payée comme une prostituée. Même si elle n’a que seize ans, d’ici deux ans, ses capacités sexuelles seront plus développées. Le choix du séjour au Domaine du Sexe est fait pour les développer.
L’après-midi, nue et en bottes, je monte à cheval, sur une selle munie de deux godes réalistes qui me remplissent. Je suis escortée par Dominique, un bel étalon brun, sur son cheval. Nous faisons deux heures de promenade jusqu’au Domaine, qui est isolé du pensionnat, lui-même se situe à quatre heures de route du centre-ville.
Le Domaine est dans une grande forêt. Il est gardé par des garde-forestiers à cheval, ceinturé de trois clôtures avec miradors, champs de mines et postes de tir, réduisant toute évasion.
Dominique m’aide à descendre du cheval et me dévoile ses seins plantureux. C’est un transsexuel.
C’est mon premier contact avec mon transsexuel.
Sans ménagement, il m’encule, entrant et sortant, tandis que je regarde deux filles installées sur des chevalets, qui se sont enculées par les monstrueux sexes de deux beaux pur-sangs. Elles gémissent sous les coups.
Sans prêter attention, trop excitée par la scène, Dominique se retire et m’enfonce une partie du sexe du pur-sang que j’ai monté, dans l’anus béant. Il me fait coulisser dessus. Je gémis. Il me fesse et me donne des coups de cravache.
Le phallus c’est mis plus profond en moi. J’hurle de douleur tellement ça fait mal. La douleur semble diminuer. Le gland et toute sa longueur de bite du cheval gonflent encore. Soudainement, hennissant comme un sauvage j’ai senti une énorme quantité de purée de spermes dans mon anus.
- Ca y est, ma belle, tu viens de recevoir ta première giclée de sperme équin.
Il retire le sexe et me fait enculer par son cheval. Je me mets à jouir comme une folle, coulissant sur le sexe, mon anus bien lubrifié.
Dominique m’enfonce un bijou d’anus du même calibre que le sexe du cheval.
Accroupie, je suce les deux sexes.
Dominique me conduit dans un des box, pour le soin du pur-sang. Je m’exécute. Je caresse mon corps nu contre le corps du pur-sang, pour offrir mon odeur. Je le suce à nouveau.
Un photographe et un cinéaste capturent chacune de mes saillies anales équines pour des amateurs.
Je m’abandonne au plaisir anal avec mes nouveaux amants.
Chaque membre de la gent masculine du Domaine est là, pour m’aider à enfiler le sexe dans mon anus lubrifié, tandis que je suce l’homme.
Le midi, je mange nue, empalée, enculée sur une reproduction fidèle d’un sexe équin en érection, sur une longueur réduite de douze centimètres, mais avec son gland de six centimètres.
L’après-midi, je suis au manège, nue et en bottes, empalée sur deux godes réalistes équins qui remplissent ma chatte et mon anus, mes fesses sont cravachées.
A la fin de l’heure, je suis enculée par les hommes présents que je suce.
Je me fais saillir par un des chevaux, du pur-sang, à l’étalon arabe, en passant par le trotteur et le selle français. Je suis entravée sur un chevalet, offrant mon anus à mes amants.
Le soir, je suis douchée, menotté, les bras en l’air, par un des hommes, avant le dîner et je passe la nuit, menottée, bras et jambes écartées, offerte à une machine à enculer, munie d’un gode équin pour me soumettre dans de longues sodomies qui me font jouir.

Au bout d’une semaine, je n’ai plus aucun souci pour m’ouvrir pour recevoir ces sexes.
La directrice, la séduisante Iris, une grande blonde aux seins plantureux, m’offre à deux dobermans.
Un est allongé sur le dos, le sexe en érection. Je m’empale sur lui, en appui arrière sur mes bras et sur mes jambes écartées, Iris m’enfonce son sexe dans mon anus. Je m’abaisse pour mieux être enculée et le second doberman me baise simultanément. Je connais plusieurs orgasmes, jusqu’à la perte de connaissance.
A peine remise de mes orgasmes, je me retrouve sur un chevalet, avec deux sexes de chevaux, un dans la chatte, le cheval est à angle droit avec celui qui m’encule. Mes orifices lubrifiés par le sperme canin, me font moins mal. Les chevaux sont masturbés pour que je reçoive simultanément leurs spermes.
Puis la gent masculine m’encule à tour de rôle, profitant de mon anus béant et humide. J’enchaîne les orgasmes sans me caresser.
Je passe un mois avec les chevaux du Domaine.
Mon anus s’est encore assoupli.
Tous les quinze jours, je suis livrée nue, les yeux bandés, à des clients en rut, qui me baisent, m’enculent, me fouettent. Je ne connais aucun d’eux, mais des photos et des vidéos circulent sur mes orgies.
Je porte encore régulièrement des poids aux mamelons, mais sans les caoutchoucs, pour faire apparaître des rangées de dents minuscules en métal ; les sensations intimes seront alors beaucoup plus intenses.
Je porte aussi mon corset seins nus et un bijou d’anus de diamètre adopté aux saillies anales équines.

Fardée et parfumée, je deviens la vicieuse du Domaine, prête à tous les jeux pervers. J’aime les visites gynécologiques, où devant sept ou huit hommes sont dans la salle. Nue, j’exhibe mon intimité, avec prise de température anale, palpation du corps. Puis on palpe mes seins, qui sont pressés, pincement et étirement de mes mamelons tendus, ouverture de ma chatte, pour le spéculum, avec doigté anal simultané, masturbation de mon gros clitoris volumineux, masturbation vaginale pour une série d’orgasmes, introduction d’une main dans ma chatte et de trois doigts dans mon anus, avant d’être offerte aux hommes, je suis menottée au fauteuil, cuisses grandes ouvertes, qui me baisent et m’enculent.
Chaque séance gynécologique est filmée et photographiée aussi.
Comme promis, mon père me rejoint et m’encule séance tenante, après que les huit hommes m’ont prise par tous les trous.
Devant lui, je me fais saillir par un étalon arabe, qui m’encule. Mon père me caresse les seins et la chatte pour m’exciter, décuplant mon orgasme anal.
Après une douche sensuelle avec mon père, je me fais enculer à quatre pattes, au pied de l’étalon arabe, que je suce.
Mon père m’informe :
Maintenant, que tu es devenue vicieuse et perverse, tu as droit de toucher la part qui te reviens comme prostituée.
Il me remet une grosse enveloppe de billets.
- Ton oncle Sir Brice De Mont Plaisir t’attend à son château sur son île. Nul besoin de t’habiller, tu seras conduite nue à bord d’un hydravion qui dessert l’île. Le Domaine possède un lac où l’hydravion t’attend.
Je glisse mes pieds nus dans mes mules. Je garde mes carcans de cuir. Je me farde et me parfume.
Pendant les deux heures de vol, je suis caressée, les mains liées dans le dos, offerte aux hôtesses lesbiennes et aux étalons musclés, qui m’enculent dans diverses positions. Ma bouche et mon anus sont remplis de spermes.
A mon arrivée au débarcadère, on m’aide à descendre de l’hydravion. Je remonte le débarcadère, tenue en laisse par mon collier, par un séduisant domestique africain, bien monté, nu sous son gilet et son pantalon entièrement ouvert. Je suis intriguée par le fer qui troue son périnée, juste sous les testicules, augmenté du disque gravé, descend au niveau du bout de son mandrin au repos, et à chacun de ses pas bouge entre ses jambes comme le battant d'une cloche, le disque étant plus lourd que l'anneau auquel il pend.
Là, les yeux baissés, la bouche entrouverte, je suis présentée à mon oncle, un bel homme d’une cinquantaine d’années, entourée de filles nues, portant elles aussi des fers aux lèvres de leurs chattes épilées et au pubis lisse.
Mon oncle vient me caresser les seins, joue avec mes mamelons tendus, en mettant sa main sur ma bouche, puis glissant simultanément ses doigts dans ma chatte et mon anus.
- Très bien, tu es souple. Maintenant, tu ne vas plus porter tes carcans en cuir, mais en fer au cou, aux poignets et aux chevilles. Les filles vont te raser, car j’aime les femmes avec un pubis et une chatte lisses de jeunes filles. Tu porteras aussi tatouer à l’encre noire, juste au-dessus de la naissance de tes fesse, le nom de V P pour Victoire Prisca et les grandes lèvres de ta chatte seront percées en vue du port prochain d’anneaux et ton gros clitoris recevra un anneau doré avec une plume pour l’exciter.
Je me retrouve rapidement baignée par les filles, dans une grande baignoire, toujours les mains dans le dos. Une des filles me retire mes carcans en cuir et une autre me passe ceux en fer. Ils sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils étaient larges de près de deux doigts et ont chacun un anneau de même métal. Le collier m’entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets.
Nue, avec mes carcans en fer, le comte m’annonce :
- On ne te retire les carcans ni jour ni nuit, ni même pour te baigner, tant que séjourne sur l’île. Rasez-la et maquillez-la.
Je m’offre les cuisses écartées. On étale la cire sur mon pubis, puis sur les aines, le haut de mes cuisses, mes grandes lèvres, mon périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur de mes fesses. On procède par petite touches et je hurle sans discontinuer, sous le bâillon-pénis que m’a mis le comte. 
Ensuite on peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante.
Totalement lisse, on me fixe une barre d’écartement aux chevilles et une autre fille perce les grandes lèvres de ma chatte et mon gros clitoris. Les anneaux d’essais sont glissés dans les trous de chacune de mes grandes lèvres, chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.
Une fois mon gros clitoris percé, la fille me glisse un anneau doré agrémenté d’une plume qui vient caresser le clitoris.
Libre, la bouche libre, je me regarde devant un grand miroir, cuisses écartées, tandis que les filles s’occupent de mes paupières, ma bouche, mes mamelons, mes grandes lèvres percées. Je suis redevenue une jeune fille avec une chatte à l’aspect bombé et charnu très émouvant.
Le comte caresse ma chatte lisse et fait tinter mes anneaux.
- Tu es désirable comme ça. Laisse-moi t’enculer.
 A quatre pattes, je m’abandonne au long mandrin du comte, ma chatte ruisselle et les anneaux se balancent entre mes cuisses à chaque coup de rein. Il éjacule longuement en moi tout en glissant à mes mamelons, des clochettes reliées par des pinces aux dents minuscules pour me soumettre, mais l’orgasme anal m’emporte.
Je le suce longuement en retour.
Je porte un corset seins nus, qui dénude largement mes fesses et mon pubis. Mes anneaux se balancent entre mes cuisses à chacun de mes pas. Je suis cambrée sur mes mules à plate-formes à hauts talons.
Le château comprend au rez-de-chaussée, une grande salle à manger avec un pilori et un chevalet pour les punitions, au premier étage, les chambres avec chacune une terrasse et plusieurs miroirs et glaces recouvrent les murs et les plafonds. Chaque chambre possède une salle de bains avec baignoire transparente, douche et bidet pour lavement, cuvette de toilette, avec des chaînes suspendues dans la salle de bains, dans la chambre.
Le comte me met à la chaîne, debout, déchaussée, sur la pointe des pieds, une chaîne passée de chaque côté de mon collier, mes mains liées dans le dos, une barre d’écartement fixée entre mes chevilles. Le fouet cingle l’intérieur de mes cuisses. Je gémis.
Le comte y ajoute, un trépied avec un énorme gode qui m’encule.
Une fois l’intérieur des cuisses bien zébré, le domestique africain avec son anneau me rejoint, m’encule avec son long mandrin.
Fleur, la blonde aux petits seins, nous rejoint. Le comte l’équipe d’un gode-ceinture avec un double gode interne à picots. A tour de rôle, avec le domestique, je suis enculée.
L’anus bien dilaté, je reçois simultanément le mandrin du domestique et celui de Fleur. J’ai un peu mal. L’éjaculation du domestique africain permet au gode de Fleur me donner du plaisir.
Le comte prend le relais, tandis que Fleur continue à m’enculer.
- Tu seras prise souvent en double anale, car ton œillet est bien large.
Libre, je me douche, savonnée et rincée par Fleur, dans une douche lesbienne intense et jouissive. Je porte un bijou d’anus de bon calibre, lourd, imitant le devant d’un sexe équin.
Puis je descends au rez-de-chaussée, en mules, je vais voir les annexes, où logent les domestiques.
Là, je découvre un superbe transsexuel blond aux seins plantureux qui encule un superbe étalon brun, qui bande. Je suis aux anges.
Une main étrangère me caresse les seins, jouant avec mes clochettes qui tintent, une autre s’enfonce avec ses cinq doigts dans ma chatte humide. Je jouis. La main se plaque sur ma bouche pour étouffer mes râles.
Je sens enfin un gros mandrin muni de picots m’enculer. J’ouvre bien les fesses pour l’accueillir. Enfoncée jusqu’aux testicules, les mains me soulèvent les cuisses pour un pal plus profond. J’explose en un violent orgasme.
Sans débander, l’inconnu me conduit à l’intérieur. Le transsexuel se retire de l’anus de l’étalon. Il a un long mandrin de vingt centimètres et s’enfonce partiellement dans mon anus pour une nouvelle double anale. L’étalon soumis me masturbe mon clitoris, faisant passer la plume sur mon clitoris constamment tendu et mord mes mamelons. Une vague d’un violent orgasme me terrasse. Je suis largement inondée de spermes.
Je suis portée sur le lit, couchée sur le transsexuel, tandis que l’inconnu se retire de mon anus béant qui avale le mandrin du transsexuel. L’étalon soumis m’encule en double anale avec le transsexuel. J’ai un nouvel orgasme.
Les deux se retirent et j’ai droit à un lavement, avec une poire de lavement, entravée sur le chevalet, les fesses cravachées par le transsexuel.
Une fois propre, à moitié évanouie, je suis enculée par un grand chien danois, jusqu’au nœud. J’ai quatre orgasmes.
Quand je me réveille, je suis menottée, bras et jambes écartées, allongée sur le ventre, l’anus libre, un coussin sous le ventre, pour cambrer mes fesses brûlantes par les coups de palette à fesser, que me donne un des domestiques.
Au coucher du soleil, je suis détachée, douchée et je porte mon bijou d’anus large pour prendre le repas, assise, nue, sur un tabouret en cuir, cuisses écartées.
Je suis fouettée sur le pilori et sur le chevalet, pour mes fautes de la journée.
A moitié évanouie, je suis portée aux épaules et aux jarrets, soulevée et emportée par un des domestiques.
Je me retrouve nue dans une grande cage.
Des mains douces se posent sur ma peau, se glissent entre mes cuisses. De temps en temps, ce sont des membres poilus qui me frôlent, sensation nouvelle pour moi, pas désagréable du tout. Un des chimpanzés, un peu plus grand que les autres, s'approche alors de moi. Je vois alors le pénis du singe. Aussi gros que peut l'être un pénis humain, il se termine par une pointe effilée, au bout duquel un gland minuscule fait comme une petite boule de chair. Une main velue se pose sur une de mes hanches, me force à me retourner. Avant que je ne réalise ce qui arrive, une bouche sombre aux lèvres lippues lèche ma chatte. Je mouille. Sans que je puisse réagir, quatre ou cinq chimpanzés me prennent par les bras, les jambes, m'immobilisant sur place. Derrière moi un singe m'écarte les fesses, posant sa bouche sur la zone anale. Je sens alors une langue agile frétiller sur mon anus. Tout mon corps frissonne, je me tords sur place, incapable de me refuser à cet acte intime. Avec une force surprenante, le grand male me courbe en avant. Je sens quelque chose entre mes fesses, qui avance et recule. C'est le pénis rigidifié qui se frotte à moi, chaud et dur, lubrifié par des sécrétions intimes de l'animal. Une pointe de chair se pose sur mon anus humide, pénètre le petit trou plissé, se retire, revient, entre à nouveau, cette fois plus loin, de plus en plus loin, de plus en plus profondément. Derrière moi, le grand singe s'active de plus en plus vigoureusement, au point de sentir en moi son dard puissant aller et venir de plus en plus librement, m'emplissant le rectum de cette chair chaude et dure. J’ai un violent orgasme anal. Des mouvements plus violents encore me font néanmoins crier, ouvrir la bouche. C'est ce moment dont profite un chimpanzé planté devant moi, une de ses mains tenant son long pénis érigé. D'un mouvement rapide, il plante son membre rose entre mes lèvres, l'engloutissant jusqu'à la garde. Me voilà pris à la fois par derrière et par devant, ne pouvant me soustraire ni à ‘une ni à l'autre de ces pénétrations. Le singe donne de petits coups de ventre, faisant aller et venir son membre dur dans ma bouche, dont la pointe effilée bute sur ma luette à chaque mouvement, me procurant une étrange sensation de plénitude buccale.
Un troisième se glisse dans ma chatte pour une double pénétration. Je suis aux anges.
Je sens soudain quelques giclées chaudes fuser au fond de ma gorge. J'avale le liquide tiède, au fur et à mesure qu'il jaillit au fond de ma bouche. Lorsque le singe se retire, assez rapidement, je découvre le goût du sperme d'un chimpanzé. Pas si désagréable que ça.
Tandis que le grand singe s'active toujours en moi, un autre chimpanzé prend la place inoccupée de ma bouche, l'emplissant d'un nouveau pénis raidi. Celui-ci, relativement plus petit. Le jeune singe va et vient entre mes lèvres, pour rapidement laisser fuser plusieurs jets tièdes, que j'avale cette fois sans sourciller, comme si c'était une boisson savoureuse...
Un troisième lascar prend la suite. Cette fois, c'est un pénis de belle taille qui m'emplit la bouche. Sans être très long, il est relativement gros, au point de me distendre la mâchoire. Le pénis n'est pas aussi tendre que les précédents. Très dur, il est un peu râpeux, à tel point que je m'efforce de le serrer entre mes lèvres, de façon à ne pas me faire mal. C'est tout ce que je peux faire, toujours immobilisé par plusieurs paires de bras.
C'est un cri plus sonore qui m'avertit que le grand singe jouit. Plantant son pénis au plus profond de moi il éjacule. Je sens nettement les jets chauds fuser au fond de mon rectum, sur les parois sensibilisées de mon intimité et en même temps, je sens ceux dans ma chatte.
Le singe, devant moi, se retire et me lèche la chatte. Le chimpanzé qui m'emplit la bouche de son pénis finit par éjaculer, le corps tremblant de tous ses membres, m'emplissant le gosier de sperme chaud. A peine eut-il éjaculé qu'il se recule, laissant la place à un autre singe. Celui-ci, d'abord, s'accroupit devant moi, me prend entre ses lèvres. Il m'aspire avec force, ce qui raidit encore plus ma verge érigée, sensibilisée, un peu douloureuse. Derrière moi le grand singe se retire lentement, le pénis mollissant rapidement. Le chimpanzé a introduit à nouveau son pénis entre mes lèvres, tandis que l'autre singe, devant lui, accroupi, continue à me lécher la chatte.
A quatre pattes, ceux qui m’ont baisé la chatte, profitent pour m’enculer.
Je m’évanouis, sous la multiple d’orgasmes anaux, allongée sur le dos, cuisses écartées.
Les chimpanzés m’entourent et caressent mes seins, faisant tinter les clochettes.
Ayant repris mes esprits, je m’accroupis, assise sur les cuisses du grand singe, qui m’a enculé, je guide son sexe dans ma chatte humide. Nous faisons l’amour, mes seins collés contre son torse velu. Le grand singe me baise avec vigueur et je jouis.
Un autre singe se colle dans mon dos et m’encule simultanément, décuplant mon plaisir.
Ce n’est qu’après trois heures d’ébats avec les singes, que je retrouve ma chambre, allongée sur le dos, les jambes fléchies au maximum sur mes seins, les chevilles fixées par des chaînes au plafond, enculée par un gros vibromasseur à picots, muni par une machine, avec un stimulateur clitoridien. Le vibromasseur  s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode et se gonfle et se dégonfle de façon aléatoire pour m’élargir un peu plus. Mes seins aux mamelons libres sont  emprisonnés dans des coupelles transparentes, subissent la pression pour les faire gonfler. Mes mamelons tendus et mon clitoris tendu sont mis à rude épreuve. Je suis entre gémissements et plaisir. Mes seins connaissent une petite pousse sous l’effet d’injections par les piqûres dans les coupelles en profondeur dans mes seins.
Après une heure de plaisir, on me retire la machine et les coupelles. On mesure ma dilatation avec un écarteur anal et les dimensions de mes seins. Je peux me reposer, juste enchaînée par mon collier, les mains jointes à mon cou.

Chaque jour, j’ai droit à ma visite gynécologique, livrée au transsexuel, qui est un gynécologue. Je reçois mes injections dans mes seins, pour stimuler leur pousse et leur taille.

En un mois, j’ai gagné vingt centimètres de tour de poitrine et je possède des bonnets D.
Je porte officiellement mes fers définitifs, qui sont plus lourds que ceux d’essais.
Je porte marqué au fer rouge, sur chacune de mes fesses, les armoiries du comte et celle d’un marquis inconnu, toutes les deux comprennent un fouet et une cravache entrecroisés.
Je passe la plupart de mon après-midi avec les chimpanzés, avec une ceinture de chasteté, rendant ma chatte inaccessible à la pénétration par un pénis : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) qui me permet  d’uriner, le clitoris et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite.  La ceinture comporte un orifice anal pour que la femme soumise puisse aller aux toilettes. Il est également possible d’utiliser l’orifice anal pour insérer des boules de geisha ou des bijoux d’anus dans l’anus ou encore pour me faire enculer avec un gode ou un pénis. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port.
Tous les quinze jours, la ceinture de chasteté est retirée pour une longue toilette intime avec épilation de mes poils rebelles, pour que je reste lisse.
Ma taille s’est encore affinée, par le port constant du corset.

En juillet, je suis l’attraction d’une soirée costumée. Je suis nue, fardée et parfumée, sans ma ceinture de chasteté, offerte à une orgie d’invités de la haute bourgeoisie, venus en couple.
Je porte juste un masque avec une tête de biche. À la fois coiffure et masque, couvre toute la tête en ne laissant libre que les yeux, et la fourrure, en véritable pelage d'un daim d'un an ou deux, descend assez bas pour atteindre la taille, tandis qu'au-dessus deux bois, simples et courts, s'incurvent en forme de lyre. Dissimulée dans la peau, une armature métallique maintient rigide la forme des oreilles dressées. Je l’enfile sur la tête. Une lanière assez large se resserre sur ma nuque, cachée sous cette manière de cape qui retombe sur le buste, et le masque s'applique étroitement aux tempes et le long des joues. L'espace du museau est vide et au bout les narines, dégagées pour permettre la respiration. Cousue dans le cou, à l'intérieur, est une paire de menottes dans les anneaux de laquelle je glisse mes poignets, bras repliés sur les seins, tandis qu'un large ceinturon de cuir permet d'ajuster le bas de l'appareil à la taille.
J’apparaît aux invités, la chape de pelage me cache tout le buste, et mes bras repliés ne masque rien de ma chatte et mon pubis lisses. Je porte juste mes carcans de fer aux chevilles et mes mules transparentes à hauts talons.
Je suis conduite depuis ma chambre, tenue en laisse, par les fers reliés ensemble à mes grandes lèvres, par un des domestiques, qui est nu.
Je suis présentée comme la nouvelle Vénus du Sexe.
Des mains me caressent ma chatte, mais surtout s’attardent sur mes fesses qui sont écartées et on éclaire avec des chandeliers ma collerette anale élargie que l’on commente.
Puis à tour de rôle, les mandrins m’enculent, tandis que des mains féminines doigtent ma chatte et on embrasse ma bouche entre deux râles.
Des fois, le comte, pour agrémenter la soirée, amène des fouets, des cravaches, des martinets, des palettes à fesser et des cannes de bambou, pour que je sois fouettée par les invités. Je prends du plaisir.
Mon anus est alourdi par le poids du sperme des invités. Je peux me soulager, accroupie, au-dessus d’une bassine.
Le clou de l’orgie est quand je suis prosternée, enculée par les chiens de chacun des invités, pour une succession d’orgasmes anaux.
Après leurs départs, au lever du jour, je suis suspendue, nue, cuisses écartées, à des chaînes, sur la terrasse, des chaînes sont passées aux bracelets de mes chevilles, une chaîne est passée aux menottes sur mes seins, sans mon masque, pour me faire enculer par la gent masculine du château jusqu’à l’épuisement.
Libre, je suis douchée et je me repose dans ma chambre, avec un des chimpanzés, qui me caresse.

Après une année passée au château sur l’île, à l’aube de mes dix-sept ans, je suis devenue plus vicieuse et perverse que les autres filles. Je sais manier le fouet, le martinet, la palette à fesser, la canne de bambou, la garcette sur les autres filles, pour devenir une future maîtresse SM.
Le comte me retire mes carcans de fer et m’annonce :
- Désormais, Shawn, tu as les connaissances et le désir anal en toi. Tu vas retrouver ton père. Tes poils pubiens vont repousser, mais en gage de ta soumission, tu devras avoir épilée les lèvres de ta chatte et ton anus. Tes mamelons portent désormais un anneau doré relié par une chaîne prouvant que tu es une soumise de premier choix. Comme tu es ferrée et marquée, quiconque, même toi devant la glace, quiconque relève ta jupe vois immédiatement tes anneaux à ta chatte, et si on le retourne, ton chiffre sur tes fesses, sait que tu es une fille docile et soumise. Tu portes aussi ce bijou d’anus.
Je me penche en avant et j’écarte mes fesses. Le comte m’enfonce un bijou d’anus long de treize centimètres et cinq de diamètre, pour 895g. Chaque mouvement de cette pomme de pin fait bouger le bijou d’anus en moi, et frotte tout ou partie de ma chatte. Le bijou d’anus stimule ma chatte. Malgré qu’il soit lourd, j’aime avoir mon anus bien rempli. Il est moulé sur le devant d’un sexe d’un doberman, pour me rappeler mes saillies anales canines.
Je glisse mes pieds nus dans mes mules à hauts talons, fardée et parfumée. Je suis tenue en laisse par les fers de ma chatte par le domestique qui m’a accueilli.
Je prends le même hydravion pour deux heures d’orgies anales.
Pantelante, je suis débarquée au Domaine du Sexe, avant de rejoindre le pensionnat, vêtue de mon uniforme: un chemisier transparent sans aucun bouton, une jupe courte facile à relever d’un seul geste et une ceinture baleinée en cuir pour affiner ma taille.
James me conduit peu avant le coucher du soleil, au bureau du directeur. Mr Donatien a cédé sa place à sa mort, à Maître dit le Marquis de Sodome, un bel étalon brun d‘une trentaine d’années, musclé, doté d’un imposant mandrin de vingt centimètres et Justine est devenue son esclave sexuelle. La nouvelle assistante se prénomme Prudence, une blonde aux seins plantureux, intégralement épilée, vêtue d’un justaucorps en cuir et transparent, ouvert sur ses mamelons percés d’anneaux dorés et à l’entrejambe lisse, portant des fers similaires aux miens et un bijou d‘anus, chaussée de cuissardes. Elle me toise, caresse mes seins sous le chemisier, tire la chaîne de mes mamelons. Je gémis silencieusement, la tête en arrière.
Elle retire ma jupe, me lèche mon clitoris percé et ma chatte percée. Je jouis, tandis que James me passe mon collier et mes bracelets de cuir à mes poignets et à mes chevilles.
James me retire mon chemisier, dès que je suis bien chaude. Je suis installée sur une chaise sans aucune assise, l’anus libre. Mes bras sont tendus en l’air, accrochés à un crochet au plafond. Mes cuisses sont écartées et des chaînes sont fixées à mes bracelets de mes chevilles pour m’immobiliser.
Jouant sur la gravité, je dois coulisser sur le mandrin du Marquis, tandis que mes seins et ma chatte sont cinglés par les coup de martinet. Je dois compter les coups sans me tromper, sous peine de recommencer. Je m’évanouis à deux reprises.
Le Marquis éjacule en moi. Puis on m’insère un vibromasseur anal muni d’une gaine à picots, long de douze centimètres et cinq de diamètre, maintenu par des chaînes fixées à une ceinture de cuir. Je dois garder la même position, mais cette fois, le Marquis me donne des coups de garcette sur l’intérieur de mes cuisses et sur mes reins et mes fesses. Je ne dois pas de me tromper en comptant.
Enfin, l’ultime punition, je suis suspendue par les bras, en l’air, à un crochet, sur la pointe des pieds, avec une barre d’écartement, me faisant saillir simultanément par deux dobermans, une dans ma chatte et un dans mon anus. Dès qu’ils ont éjaculé en moi, deux surveillants bien montés me prennent, avec chacun une gaine à picots jusqu’à l’épuisement.
Je suis détachée, évanouie et portée au dortoir, où je suis attachée, les bras et les jambes écartées.
Un des dobermans du pensionnat qui a reconnu mon odeur, vient me saillir, enfonçant son sexe jusqu’au nœud, dans mon anus béant. J’enchaîne les orgasmes, tandis qu’il éjacule en moi, tout en léchant mes mamelons tendus.
Après son retrait, je suis à moitié évanouie.
Désiré et un autre surveillant blond me rejoignent. Je les suce dans un torride 69.
Puis, je suis prosternée, mains jointes à mon cou, une chaîne est fixée à mon collier et mes cuisses sont gardées ouvertes par une barre d’écartement fixée aux bracelets de mes chevilles.
- Regarde ce cul, elle mouille d’avance, dit Désiré.
- Elle me plait. Je peux la fouetter avant de l’enculer, dit l’autre.
- Bien sûr, c’est une soumise. Son cul sera davantage trempée.
Je reçois d’abord la cravache sur mes fesses et sur l’intérieur de mes cuisses, puis un vibromasseur anal à picots m’est enfoncé dans l’anus profondément, tandis que la canne à bambou m’est appliquée sur les fesses et quelques coups de martinet sur ma chatte, déclenche en moi, un violent orgasme anal, malgré les picots dans mon anus.
Bien lubrifiée, Désiré m’encule, penché latéralement, puis il enjambe mes fesses sur un côté. J’ai un nouvel orgasme.
Désiré se retire pour éjaculer dans ma bouche, tandis que le surveillant blond m’encule en appui sur ses jambes jusqu’aux testicules.
Tous les deux éjaculent presque simultanément : Désiré dans ma bouche et le surveillant blond dans mon anus.
Ils me font mon lavement, menottée à mon lit. Je me soulage devant eux, cuises écartées, mains jointes au cou, face à eux, au-dessus d’un urinoir pour hommes.
Je glisse mes pieds nus dans mes mules et tenue en laisse par les fers de ma chatte par le surveillant blond. Je quitte le dortoir, au troisième étage.
Je rejoins le réfectoire, où je m’empale sur un imposant gode anal réaliste de gros calibre. Je reste les mains jointes, cuisses écartées. On me bande les yeux pour me nourrir. De temps à autre, des lanières cinglent mes fesses et mes reins. On détache mes mains pour les lier dans le dos. Des poids d’un kilo sont posés à mes mamelons, tandis que je dois sucer les mandrins que l’on me présente.
Après le dessert, je suis prise en double anale, par des inconnus, je suis empalée sur leurs mandrins, un me soulève les cuisses et l’autre me tient par les hanches, tandis que mes mamelons se frottent contre le torse musclé d’un des inconnus. Je suis offerte à six étalons bien montés, en double anale, avec éjaculation et multiples orgasmes anaux.
On m’abandonne sur le tapis du réfectoire, les mains dans le dos, à moitié évanouie, aveugle, l’anus débordant de spermes. J’écarte mes cuisses, pour accueillir un autre mandrin qui m’encule. Je ne peux me dérober. L’inconnu s’allonge sur moi et m’embrasse tout en m’enculant.
Lors de mon nouvel orgasme, l’inconnu éjacule en moi, puis je sens son sperme chaud sur mes seins et mes poils pubiens.
Quand on me retire mon bandeau, je suis menottée au sous-sol, les bras tendus en l’air, les cuisses complètement ouvertes, mes bracelets sont fixés à des chaînes au plafond. Un collier de maintien m’empêche de bouger la tête. Là, je suis fouettée sur les seins, les cuisses, la chatte. Je gémis et je dois compter les coups sans me tromper.
Une machine à double vibromasseur est positionnée entre mes cuisses. Les double vibromasseurs sont insérés dans ma chatte et mon anus. A mon insu, ils se gonflent et se dégonflent de façon aléatoire pour m’élargir, en plus de vibrer et de s’allonger et de rétrécir pour simuler les ébats. J’enchaîne les orgasmes, jusqu’à l’évanouissement.

A mon réveil, je suis en sueur, ma chatte dégouline de mouille.
Désiré me libère et me fait me prosterner. Il me met un crochet anal avec triple boules de quatre centimètres de diamètre chacune dans l’anus. Puis il passe une chaîne dans mon dos, fixée à mon collier, me lie mes mains dans le dos, pour que je sois cambrée.
Il m’attache en hauteur dans le dortoir, les fesses en l’air, cuisses écartées. Je passe la matinée dans cette position, me faisant lécher la chatte et baiser par des godes réalistes à picots dans ma chatte. Mes seins sont fouettés simultanément.
L’après-midi, je suis montée en saillie par les dobermans, nue, à l’extérieur, tenue en laisse par les fers de ma chatte, à quatre pattes. Les dobermans se relaient pour me faire jouir.
Après un bon lavement et une longue douche froide, j’officie comme maîtresse sur de jeunes soumises.

Dès le début de l’hiver, je suis promenée nue à l’extérieur, avec mon crochet anal, tenue en laisse par les fers de ma chatte, les mains liées dans le dos, devant des visiteurs, que je dois sucer. Je sens le souffle glacé monter le long de mes jambes et saisir mes cuisses nues, tendre davantage mes mamelons et mon clitoris, provoquant une excitation énorme, par leurs sensibilités. Je me retiens de jouir, sous cette montée du désir.

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