Je m’appelle Shawn
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds
fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis jusqu'à ma raie fessière. Je suis très poilue entre les
cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge
entre mon entrecuisse velue noire. Mes hanches s'incurvent et délimitent le
ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges
et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits
intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes
marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent
le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de
beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme
des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis
intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se
fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de
longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille,
90 de hanches, 1,72 m.
JE SUIS LA VICIEUSE DE MON PERE
Dès mon dix-huitième anniversaire, mon père, qui a
la cinquantaine, s’intéresse davantage à moi. En effet, mon corps se
transforme.
Mes petits seins sont bien formés, avec leurs beaux
mamelons. Mes grandes lèvres, jusqu'au mont de Vénus sont bien velus, un
superbe triangle pubien et mes aisselles sont couvertes de poils.
Mon bassin est large, mes hanches sont plus amples
plus courbées, des poils pubiens plus épais et des cuisses plus fortes.
Chaque matin, au lever, il vient dans ma chambre, je
suis enfant unique. Il me fait me retirer mon pyjama. Nue, je me laisse peloter
les seins, doigter la chatte et embrasser sur la bouche.
Il me baigne, accroupie, cuisses écartées. Je dois
me laisser faire. Je jouis lorsqu’il caresse mon clitoris.
Une fois propre, il me baise partiellement, sans
percer mon hymen. J’apprends à le sucer.
Je peux aller ensuite en classe. Ce matin-là, mon
père m’annonce :
- Désormais, finis les sous vêtements. Plus de
culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de
justaucorps. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes
vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus
de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sûr de pantalons. Tu ne
portes que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne
soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres
vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu es pieds nus
soit tu portes des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons.
Mon père m’a choisi une robe facile à enfiler,
s’arrêtant à mi-cuisses. Je la mets sur mon corps nu. Cela est étrange, d’avoir
les seins nus et libres et les fesses nues et libres.
Je glisse mes pieds nus dans de superbes escarpins à
talons moyens.
Je me rends à l’école.
Peu de copines remarquent que je suis nue sous ma
robe.
Aux toilettes, avant de me soulager, ma copine Anaïs
de mon âge, une lesbienne, glisse ses mains sous ma robe et découvre mes fesses
nues.
- C’est plus pratique. Caresse-moi.
Ses doigts experts me caressent le clitoris et
doigte ma chatte, sous ma robe. J’ai mon premier orgasme lesbien en
l’embrassant.
Vers seize heures, je quitte l’école.
Mon père m’invite en l’absence de ma mère, à faire
les devoirs, nue, dans ma chambre. Il me pelote les seins et me caresse le
clitoris, pour que je retienne mieux les leçons.
- Désormais, tu dors toujours nue et tu as le droit
de te masturber. Voici tes nouveaux jouets, tu vas découvrir le sexe.
Je découvre une panoplie complète de jouets sexuels.
Curieuse, je prends le premier qui est un gode de dix-sept centimètres de long
et quatre de diamètre.
La chatte trempée d’excitation, je m’allonge sur le
lit, cuisses complètement ouvertes, j’enfonce le gode dans ma chatte. Je jouis
comme une folle.
Mon père me fait sucer son mandrin et caresse mes
seins aux mamelons tendus.
Sans prêter garde, je me déflore.
Devenue femme, je m’offre à mon père à quatre
pattes :
- Papa, prends-moi à fond. J’ai la chatte en feu.
- Tends tes bras, pour m’offrir tes fesses bien
rebondies.
Mon père enfonce son gros mandrin dans ma chatte
trempée.
- Que tu es bien trempée, je vais te baiser à fond.
Je sens ses testicules claquer contre ma chatte.
Chaque va-et-vient et ses mains me saisissant la taille, pour que je coulisse
sur lui, me fait jouir.
Après quelques va-et-vient, il change de trou.
Le mandrin bien lubrifié, il force mon oeillet
encore vierge.
- Pousse, cela va rentrer tout seul.
En effet, son gros mandrin m’écartèle l’anus. Je
gémis, mais je jouis, lorsqu’il me caresse mon clitoris tendu.
Maintenant, je sens ses testicules gonflés claquer
contre mes fesses.
Il me donne quelques claques magistrales sur les
fesses, pour me chauffer les fesses. Soumise, je ne peux opposer aucune
résistance.
Je coulisse sur son mandrin jusqu’aux testicules.
- Continue, ma chérie, tu es bien ouverte et chaude.
- J’aime ta queue dans mon puits.
Il se retire délicatement et me fait sucer son
mandrin qui éjacule dans ma bouche.
Un de mes neveux, qui a vingt ans, qui nous a
surpris, voyant mon anus béant, prend le relais.
- C’est bien, Alexandre, encule-la. Shawn a besoin
de se faire défoncer, maintenant qu’elle est devenue femme.
Alexandre est un superbe brun musclé, bien monté. Il
m’ouvre davantage l’anus je me caresse le clitoris pour jouir.
Mon père vicieux, prend un autre gode.
Sans débander, Alexandre s’agenouille, je me
redresse jusqu’à toucher son buste avec son dos. Mon père enfonce le gode
réaliste plus long et plus large dans ma chatte trempée. Je découvre la double
pénétration. Alexandre me pelote les seins, tandis que mon père me lèche mon
clitoris. Un violent orgasme m’irradie.
Alexandre éjacule en moi.
Il se retire, je le suce et je sens le gode qui a
pénétré ma chatte, m’enculer à son tour.
Je jouis à nouveau.
Pantelante, je suis baignée par Alexandre, dans un
bain torride, mêlant caresses, baisers et léchages.
- Tu t’en sors bien, Shawn. Tu aimes le sexe. Je
connais tes cousins qui seront ravis de te baiser.
Il me faut d’autres sexes.
En effet, chaque soir, je dors avec Alexandre, qui
me baise ou m’encule selon ses envies. Mon anus s’assouplit davantage, ma rosette anale est plus large que les
autres filles.
Pour les vacances de printemps, mon père me conduit
chez mes cousins, les homosexuels Brice et Charles et leurs sœurs, lesbiennes,
Emmanuelle et Fleur.
Ils ont entre dix-huit et vingt ans.
J’assiste, nue, en me branlant, à la sodomie de
Brice par Charles. Je suis excitée de voir le long mandrin de Charles
s’enfoncer dans l’anus de Brice. Brice se met à bander.
- Viens, me sucer, puis je vais t’enculer ensuite.
J’accepte. Son mandrin durci dans ma bouche.
Il m’allonge sur le dos, me replie mes genoux sur
mes épaules, m’écartant bien les cuisses. Il m’encule jusqu’aux testicules, en
me tenant les jambes. Je jouis.
- Tu aimes ça, te faire défoncer l’œillet.
- Oui, Brice, encule-moi profondément.
Après quelques va-et-vient en cadence avec ceux que
reçoit Brice par Charles, je sens son sperme inondé mon anus.
Après les avoir sucé, je m’offre à quatre pattes à
Charles, qui m’encule. Charles s’agenouille derrière moi, enfonce son gros
mandrin jusqu’aux testicules, m’étreint la taille avec ses bras. Brice se met
derrière Charles et l’encule. Charles me caresse les seins et la chatte, le
clitoris.
- Tu es bien large, Shawn. Tu ondules bien sur ma
queue
Je m’empale sur son mandrin, tout en serrant et
détendant mon muscle anal au fur et à mesure des va et vient ! J’enserre,
relâche son mandrin et je reprends ;
Ses masturbations me font serrer les muscles
fessiers, pour une sodomie plus intense. Charles m’embrasse sur la bouche.
Il ne faut pas longtemps pour Brice et Charles
éjaculent.
Je me douche en leur compagnie, pour un lavement
anal.
Une fois propre, je rejoins Emmanuelle et Fleur, en
plein 69.
Je lèche l’anus de Fleur.
Puis à tour de rôle, après mon 69 avec chacune
d’elle, elles mettent des gode-ceintures avec des vibromasseurs réalistes.
Je suis prise en double pénétration par Emmanuelle
et Fleur.
J’ai un violent orgasme.
Emmanuelle et Fleur changent d’orifices pour me
satisfaire.
Je dors nue en leurs compagnies.
J’alterne pendant les vacances, entre les deux
couples.
A mon retour de vacances, mon père me conduit, vêtue
d’une petite robe estivale sur mon corps nu et chaussée de sandales à petits
talons, dans un pensionnat sélect, de la haute bourgeoisie.
Dès que j’ai franchi le portail, je suis conduite
par un bel étalon, le surveillant James.
Je me retrouve dans le bureau du directeur, au
rez-de-chaussée, un homme de cinquante ans, Mr Donatien, qui n’est autre que le
beau-père de ma mère. Je dois me déshabiller devant lui, tandis que son
assistante, la superbe blonde, sa femme, Maîtresse Justine, aux seins
plantureux, vêtue d’un tailleur, m’examine.
Elle soupèse mes seins, doigte ma chatte et je dois
prendre une position obscène, devant un double jeu de miroirs aux murs et un au
plafond. Je dois me pencher en avant, les mains au sol, cuisses écartées.
Justine m’écarte les fesses et me doigte l’anus.
- Tu es souple, ma chérie. Tu dois te faire enculer
souvent.
Sans attendre, James m’encule jusqu’aux testicules
et Justine me pelote les seins, en étirant mes mamelons et caresse mon clitoris
tendu.
Je ne prête pas attention, à la douleur de piqûres
dans chacune de mes aréoles et dans
chaque mamelon et dans mon clitoris.
James éjacule rapidement, lors de mon orgasme anal.
- Très bien, tu va t’empaler sur Donatien.
Donatien exhibe un imposant mandrin, muni d’une
gaine à picots.
Face à Donatien, je suis aidée par James et Justine,
pour que le mandrin de Donatien m’encule. Une fois empalée jusqu’aux
testicules, je m’accroche à ses avant-bras, en écartant bien mes cuisses.
Donatien me tient par la taille.
Puis il me tient par les jambes tendues et je le
masturbe, en coulissant sur mon mandrin qui m’encule. J’ai mal sur les picots
qui m’arrachent l’anus.
Justine me cravache les fesses pour m’encourager à
jouir.
Après une demi-heure, je suis libérée et je suce
Donatien.
Puis, nue et en mules à hauts talons avec une
plate-forme, je reçois de curieux accessoires : en plusieurs épaisseurs de
cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par
un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on
le fermait et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie
exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et
n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise sur
le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier
trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser,
pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces
bracelets à mon cou et à mes poignets, le collier, l'anneau pend devant le cou,
reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements
de celui qui le porte. Puis Justine me pince mes mamelons auxquels elle pose
une pince réglable ornée d'un poids aimanté auquel peuvent s'ajouter cinq
autres poids aimantés par simple attraction magnétique. Elle règle la vis. La
pince avec le premier poids pèse 30 grammes, chaque poids supplémentaire pèse
15 grammes. Une fois tous les poids assemblés, la pince pèse plus de 100
grammes en étirant délicieusement mes mamelons vers le bas. Je gémis sous une
tension visible et une tension sensuelle. Elle en pose aussi à chacune de mes
grandes lèvres de ma chatte humide.
- Ainsi, tu vas connaître le plaisir de la
jouissance sous la contrainte.
Justine me lie les mains dans le dos et me conduit
dans un cabinet gynécologique très spécial, avec de nombreux miroirs et glaces,
tout autour du fauteuil, des caméras et des télévisions.
Je suis menottée, bras tendus en arrière, un anneau,
les pieds glissés dans les supports pour les jambes, les lèvres de ma chatte
s’entrouvrent toutes seules.
Ce n‘est pas ma première visite gynécologique. Mes
cuisses sont écartées au maximum. Je vois sur les écrans le gros plan sur ma
chatte et mon anus.
Mon bassin est placé à hauteur du visage de Justine.
Je subis d’abord le spéculum, avec masturbation
clitoridienne et vaginale, puis l’écarteur anal pour que je m’ouvre au maximum.
Je dois pisser en public. Mes mamelons et mon
clitoris sont tendus à l’extrême par la montée du désir dans mon ventre.
Immobilisée, je subis mon orgasme sans pouvoir me caresser.
- Baisse les yeux, ma belle, maintenant que tu es en
présence d’hommes. Tu ne peux plus te dérober, tes lèvres restent entrouvertes,
tes cuisses toujours écartées, pour donner accès à ta bouche, ta chatte et ton
anus qui sont ouverts à qui veux. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le
lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie
du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour
avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te
prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Tu dois toujours
regarder le sexe à découvert, que tu dois sucer. En outre, à la nuit, nue,
menottée dans le dos, tu écartes tes cuisses et tu suces. On ne bande les yeux
que pour te fouetter. Tu es fouettée chaque jour, ce n'est pas tant pour notre
plaisir que pour ton instruction.
Une fois l’écarteur anal retiré, les cinq hommes,
bien montés, se relaient pour m’enculer et éjaculer dans ma bouche.
On joue avec les pinces à seins pour me soumettre.
A la fin des sodomies, je suis détachée et je revêts
mon uniforme : un chemisier transparent sans aucun bouton, une jupe courte
facile à relever d’un seul geste et une ceinture baleinée en cuir pour affiner
ma taille. Mais avant de mettre mon uniforme, je dois me pencher en avant,
écarter mes fesses. Je sens un gode réaliste m’enculer, m’ouvrant sur quatre
centimètres et treize de longueur. En me redressant, je sens le gland monter et
descendre dans mon anus. Je sens l’accélération des va-et-vient dans mon anus, et encore plus vite de haut en bas
dans mon anus, puis il vibre d’abord par à-coups puis à intensité progressive.
Il mesure au total seize centimètres. Je dois conserver sous ma jupe.
Le surveillant, Désiré, un bel étalon africain, me
conduit habillée, aux cours au premier étage. Je dois relever ma jupe pour
m’asseoir sur le tabouret de cuir, cuisses écartées et suivre les cours
d’éducation sexuelle et d’éducation anglaise, avec théorie et mise en pratique
par chacune des filles avec les professeurs. Je découvre ainsi après la
cravache, la palette en bois pour mes fesses nues qui sont vite rougies et
brûlantes, par les coups à toute volée, puis la canne de bambou.
Au réfectoire, je mange nue, en mules, pour exhiber
mon corps de soumise. Je porte encore mes pinces et le vibromasseur anal. La
gent masculine vient me caresser les seins, joue avec mes mamelons, me masturbe
le clitoris, m’embrasse langoureusement.
L’après-midi, c’est sport, nous sommes toutes nues,
pour les exercices de gymnastique, de vélo avec godes anaux, piscine et
espalier, pour recevoir le fouet sur nos cuisses et nos fesses.
Penchée en avant, j’ai mal aux mamelons, laissant
bien tomber les seins sous le poids des pinces ensuite le sang cesse de circuler,
le téton devient froid et là je ne sens plus rien.
Au coucher du soleil, sans mes pinces, écartelée,
dans mon lit, je suis fouettée à nouveau sur les cuisses, puis enculée par les
surveillants que je suce. Ils éjaculent dans ma bouche. Je suis douchée, menottée
à une barre, bras tendus en l’air, avec une barre d’écartement fixée aux
chevilles. Le surveillant qui me douche, passe longuement l’éponge sur me
seins, dont les mamelons et les aréoles ont été à nouveau piqués, tout comme
mon clitoris, entre mes cuisses.
Une des filles me prépare devant une glace : me
farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au
pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole des
seins et les mamelons et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la
fente du giron. Une fois prête, nue et en mules, je suis conduite, les mains
liées dans le dos, dans une grande salle recouverte de glaces, avec des
dizaines d’invités masqués, nus.
Je suis offerte en orgie à chacun, suçant, enculée,
prise en double pénétration, léchant la chatte d’une autre fille, jusqu’à
l’aube.
Nue, les mains liées dans le dos, allongée sur le
dos, cuisses écartées, je suis léchée par une des filles dans un 69 torride,
décuplant mon orgasme.
Un surveillant nous surprend et annonce :
- Vous irez finir votre nuit au sous-sol, dans la
salle des plaisirs.
Nue, les yeux bandés, pieds nus, je suis conduite en
laisse par mon collier, les mains dans le dos, avec l’autre fille.
Quand je recouvre la vue, je suis menottée à une
croix de Saint-André, face à des projecteurs. Des poids d’un kilo sont
suspendus à mes mamelons et aux lèvres de ma chatte. Je ne vois pas l’autre
fille.
- La nouvelle beauté est coupable de lesbianisme et
de jouissance non consentie. Elle porte des poids pour sa soumission, mais elle
sera fouettée cinq fois à la garcette sur les cuisses et cinq fois au martinet
sur les seins et elle sera saillie par un doberman.
Un homme, vêtu d’une tenue de moine, le visage
masqué, approche, avec une garcette, de cordes assez fines, faite de sept
lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, toutes raides trempées dans
l'eau, je le sens mieux combien les cordes sont humides et froides contre la
peau tiède de mes cuisses.
Les lanières cinglent mes cuisses, je gémis sous le
bâillon-pénis. Puis il applique la même puissance sur mes seins, faisant bouger
les poids. Je gémis.
Enfin, je suis offerte, prosternée, les mains dans
le dos, à un superbe doberman, au sexe en érection. On me lubrifie l’anus et je
sens son sexe m’écarteler l’anus. Je gémis, puis je sens même le noeud, mais
maintenant dans mon anus. Mais plus le doberman va de l'arrière vers l'avant
rapidement, mieux mon anus supporte. Je sens le noeud du doberman grossir dans
mon anus. Je serre les dents. Je sens le noeud arrêter de grossir. À chaque
fois que le doberman bouge, j’ai un orgasme. J’ai quatre orgasmes puis je sens
le noeud rétrécir. Le doberman se retire et me force à sucer son sexe, tandis
qu’un autre moine m’encule.
Les moines m’installent dans un pilori où je suis
montée par d’autres chiens qui m’enculent jusqu’au lever du soleil, pour que je
m’habitue à eux.
Au lever du soleil, on vient avec une canule reliée
à une poche suspendue au-dessus de mes fesses. Je sens l’eau tiède me nettoyer
l’anus. On retire la canule pour je garde ainsi un moment. Détachée du pilori,
je suis contrainte de me soulager au-dessus d’un urinoir masculin, cuisses
écartées, en compagnie d’un des surveillants. Celui-ci me masturbe la chatte et
me pique mon clitoris, puis mes mamelons. Je m’assois sur le bidet, et c'est le
surveillant qui me nettoie la chatte.
Je me farde et nue, je suis conduite à la visite
gynécologique.
Justine me remet les
pinces à mes mamelons et à mes lèvres de ma chatte.
Elle me
complimente :
- Les chiens t’ont
assoupli un peu plus l’œillet. Chaque soir, tu seras montée par des dobermans,
des labrador et des dogues allemands. Ainsi, tu vas devenir en une semaine, une
vraie chienne soumise.
Je déjeune nue avec
les autres filles, portant mon vibromasseur anal, muni d’une gaine à picots qui
l’élargit d’un centimètre.
Le dimanche matin,
après ma dernière saillie, mon lavement et ma visite gynécologique, je suis
conduite nue auprès de mon père chez Mr Donatien.
Tous les deux
examinent mon corps : mes mamelons qui sont constamment tendus, saillants,
gros et longs et mon clitoris gros comme une cerise, saillant et volumineux.
Ma taille s’est
affinée par le port régulier de la ceinture baleinée. Ma rosette anale est plus
large. Je me penche en avant, cuisses écartées. Mon père m’encule d’une seule
traite. Je pose mes mains sur mes genoux. Je tends totalement aux coups.
Donatien m’écarte les fesses pour que mon père m’encule plus profondément. J’ai
un violent orgasme anal sans me caresser.
Je m’accroupis pour
le sucer et recevoir son sperme en bouche.
- Son œillet est bien
assoupli.
- Les chiens ont fait
un bon travail. Shawn est devenue une chienne experte. Regardez cette vidéo.
Je découvre avec mon
père, une scène où je suis prosternée, me faisant monter par un doberman. Mes
râles de plaisir envahissent la pièce. La caméra filme en gros plan, mes fesses
et les va-et-vient du doberman dans mon anus rempli par son nœud.
- Très bien, c’est
devenue une vraie jouisseuse anale. Continuez son dressage. Je reviens dans un
mois.
Mon père m’attire
pour examiner mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses
traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté. J’adore cette
sensation d'être enfin repris en main par mon père.
- Dès la deuxième
semaine, Shawn sera désormais payée comme une prostituée. Même si elle n’a que
seize ans, d’ici deux ans, ses capacités sexuelles seront plus développées. Le
choix du séjour au Domaine du Sexe est fait pour les développer.
L’après-midi, nue et
en bottes, je monte à cheval, sur une selle munie de deux godes réalistes qui
me remplissent. Je suis escortée par Dominique, un bel étalon brun, sur son
cheval. Nous faisons deux heures de promenade jusqu’au Domaine, qui est isolé
du pensionnat, lui-même se situe à quatre heures de route du centre-ville.
Le Domaine est dans
une grande forêt. Il est gardé par des garde-forestiers à cheval, ceinturé de
trois clôtures avec miradors, champs de mines et postes de tir, réduisant toute
évasion.
Dominique m’aide à
descendre du cheval et me dévoile ses seins plantureux. C’est un transsexuel.
C’est mon premier
contact avec mon transsexuel.
Sans ménagement, il
m’encule, entrant et sortant, tandis que je regarde deux filles installées sur
des chevalets, qui se sont enculées par les monstrueux sexes de deux beaux
pur-sangs. Elles gémissent sous les coups.
Sans prêter
attention, trop excitée par la scène, Dominique se retire et m’enfonce une
partie du sexe du pur-sang que j’ai monté, dans l’anus béant. Il me fait
coulisser dessus. Je gémis. Il me fesse et me donne des coups de cravache.
Le phallus c’est mis
plus profond en moi. J’hurle de douleur tellement ça fait mal. La douleur
semble diminuer. Le gland et toute sa longueur de bite du cheval gonflent
encore. Soudainement, hennissant comme un sauvage j’ai senti une énorme
quantité de purée de spermes dans mon anus.
- Ca y est, ma belle,
tu viens de recevoir ta première giclée de sperme équin.
Il retire le sexe et
me fait enculer par son cheval. Je me mets à jouir comme une folle, coulissant
sur le sexe, mon anus bien lubrifié.
Dominique m’enfonce
un bijou d’anus du même calibre que le sexe du cheval.
Accroupie, je suce
les deux sexes.
Dominique me conduit
dans un des box, pour le soin du pur-sang. Je m’exécute. Je caresse mon corps
nu contre le corps du pur-sang, pour offrir mon odeur. Je le suce à nouveau.
Un photographe et un
cinéaste capturent chacune de mes saillies anales équines pour des amateurs.
Je m’abandonne au
plaisir anal avec mes nouveaux amants.
Chaque membre de la
gent masculine du Domaine est là, pour m’aider à enfiler le sexe dans mon anus
lubrifié, tandis que je suce l’homme.
Le midi, je mange
nue, empalée, enculée sur une reproduction fidèle d’un sexe équin en érection,
sur une longueur réduite de douze centimètres, mais avec son gland de six
centimètres.
L’après-midi, je suis
au manège, nue et en bottes, empalée sur deux godes réalistes équins qui
remplissent ma chatte et mon anus, mes fesses sont cravachées.
A la fin de l’heure,
je suis enculée par les hommes présents que je suce.
Je me fais saillir
par un des chevaux, du pur-sang, à l’étalon arabe, en passant par le trotteur
et le selle français. Je suis entravée sur un chevalet, offrant mon anus à mes
amants.
Le soir, je suis
douchée, menotté, les bras en l’air, par un des hommes, avant le dîner et je
passe la nuit, menottée, bras et jambes écartées, offerte à une machine à
enculer, munie d’un gode équin pour me soumettre dans de longues sodomies qui
me font jouir.
Au bout d’une
semaine, je n’ai plus aucun souci pour m’ouvrir pour recevoir ces sexes.
La directrice, la
séduisante Iris, une grande blonde aux seins plantureux, m’offre à deux
dobermans.
Un est allongé sur le
dos, le sexe en érection. Je m’empale sur lui, en appui arrière sur mes bras et
sur mes jambes écartées, Iris m’enfonce son sexe dans mon anus. Je m’abaisse
pour mieux être enculée et le second doberman me baise simultanément. Je
connais plusieurs orgasmes, jusqu’à la perte de connaissance.
A peine remise de mes
orgasmes, je me retrouve sur un chevalet, avec deux sexes de chevaux, un dans
la chatte, le cheval est à angle droit avec celui qui m’encule. Mes orifices
lubrifiés par le sperme canin, me font moins mal. Les chevaux sont masturbés
pour que je reçoive simultanément leurs spermes.
Puis la gent
masculine m’encule à tour de rôle, profitant de mon anus béant et humide.
J’enchaîne les orgasmes sans me caresser.
Je passe un mois avec
les chevaux du Domaine.
Mon anus s’est encore
assoupli.
Tous les quinze
jours, je suis livrée nue, les yeux bandés, à des clients en rut, qui me
baisent, m’enculent, me fouettent. Je ne connais aucun d’eux, mais des photos
et des vidéos circulent sur mes orgies.
Je porte encore
régulièrement des poids aux mamelons, mais sans les caoutchoucs, pour faire
apparaître des rangées de dents minuscules en métal ; les sensations intimes
seront alors beaucoup plus intenses.
Je porte aussi mon
corset seins nus et un bijou d’anus de diamètre adopté aux saillies anales
équines.
Fardée et parfumée,
je deviens la vicieuse du Domaine, prête à tous les jeux pervers. J’aime les
visites gynécologiques, où devant sept ou huit hommes sont dans la salle. Nue,
j’exhibe mon intimité, avec prise de température anale, palpation du corps.
Puis on palpe mes seins, qui sont pressés, pincement et étirement de mes
mamelons tendus, ouverture de ma chatte, pour le spéculum, avec doigté anal
simultané, masturbation de mon gros clitoris volumineux, masturbation vaginale
pour une série d’orgasmes, introduction d’une main dans ma chatte et de trois
doigts dans mon anus, avant d’être offerte aux hommes, je suis menottée au
fauteuil, cuisses grandes ouvertes, qui me baisent et m’enculent.
Chaque séance
gynécologique est filmée et photographiée aussi.
Comme promis, mon
père me rejoint et m’encule séance tenante, après que les huit hommes m’ont
prise par tous les trous.
Devant lui, je me
fais saillir par un étalon arabe, qui m’encule. Mon père me caresse les seins
et la chatte pour m’exciter, décuplant mon orgasme anal.
Après une douche
sensuelle avec mon père, je me fais enculer à quatre pattes, au pied de
l’étalon arabe, que je suce.
Mon père
m’informe :
Maintenant, que tu es
devenue vicieuse et perverse, tu as droit de toucher la part qui te reviens
comme prostituée.
Il me remet une
grosse enveloppe de billets.
- Ton oncle Sir Brice
De Mont Plaisir t’attend à son château sur son île. Nul besoin de t’habiller,
tu seras conduite nue à bord d’un hydravion qui dessert l’île. Le Domaine
possède un lac où l’hydravion t’attend.
Je glisse mes pieds
nus dans mes mules. Je garde mes carcans de cuir. Je me farde et me parfume.
Pendant les deux
heures de vol, je suis caressée, les mains liées dans le dos, offerte aux
hôtesses lesbiennes et aux étalons musclés, qui m’enculent dans diverses
positions. Ma bouche et mon anus sont remplis de spermes.
A mon arrivée au
débarcadère, on m’aide à descendre de l’hydravion. Je remonte le débarcadère,
tenue en laisse par mon collier, par un séduisant domestique africain, bien
monté, nu sous son gilet et son pantalon entièrement ouvert. Je suis intriguée
par le fer qui troue son périnée, juste sous les testicules, augmenté du disque
gravé, descend au niveau du bout de son mandrin au repos, et à chacun de ses
pas bouge entre ses jambes comme le battant d'une cloche, le disque étant plus
lourd que l'anneau auquel il pend.
Là, les yeux baissés,
la bouche entrouverte, je suis présentée à mon oncle, un bel homme d’une
cinquantaine d’années, entourée de filles nues, portant elles aussi des fers
aux lèvres de leurs chattes épilées et au pubis lisse.
Mon oncle vient me
caresser les seins, joue avec mes mamelons tendus, en mettant sa main sur ma
bouche, puis glissant simultanément ses doigts dans ma chatte et mon anus.
- Très bien, tu es
souple. Maintenant, tu ne vas plus porter tes carcans en cuir, mais en fer au cou,
aux poignets et aux chevilles. Les filles vont te raser, car j’aime les femmes
avec un pubis et une chatte lisses de jeunes filles. Tu porteras aussi tatouer
à l’encre noire, juste au-dessus de la naissance de tes fesse, le nom de V P
pour Victoire Prisca et les grandes lèvres de ta chatte seront percées en vue
du port prochain d’anneaux et ton gros clitoris recevra un anneau doré avec une
plume pour l’exciter.
Je me retrouve
rapidement baignée par les filles, dans une grande baignoire, toujours les mains
dans le dos. Une des filles me retire mes carcans en cuir et une autre me passe
ceux en fer. Ils sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils
étaient larges de près de deux doigts et ont chacun un anneau de même métal. Le
collier m’entoure exactement le cou dans son milieu, sans le serrer mais
suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile
encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets
et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre,
les bracelets.
Nue, avec mes carcans
en fer, le comte m’annonce :
- On ne te retire les
carcans ni jour ni nuit, ni même pour te baigner, tant que séjourne sur l’île.
Rasez-la et maquillez-la.
Je m’offre les cuisses écartées. On étale la cire
sur mon pubis, puis sur les aines, le haut de mes cuisses, mes grandes lèvres,
mon périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur de mes fesses. On procède par
petite touches et je hurle sans discontinuer, sous le bâillon-pénis que m’a mis
le comte.
Ensuite on peaufine
et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire,
m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle
termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant
longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante.
Totalement lisse, on
me fixe une barre d’écartement aux chevilles et une autre fille perce les
grandes lèvres de ma chatte et mon gros clitoris. Les anneaux d’essais sont
glissés dans les trous de chacune de mes grandes lèvres, chacun est formé de
deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre. Chaque anneau est long comme deux
phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, un
anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque
de même métal aussi large que l'anneau est long.
Une fois mon gros
clitoris percé, la fille me glisse un anneau doré agrémenté d’une plume qui
vient caresser le clitoris.
Libre, la bouche
libre, je me regarde devant un grand miroir, cuisses écartées, tandis que les
filles s’occupent de mes paupières, ma bouche, mes mamelons, mes grandes lèvres
percées. Je suis redevenue une jeune fille avec une chatte à l’aspect bombé et
charnu très émouvant.
Le comte caresse ma
chatte lisse et fait tinter mes anneaux.
- Tu es désirable
comme ça. Laisse-moi t’enculer.
A quatre pattes, je m’abandonne au long
mandrin du comte, ma chatte ruisselle et les anneaux se balancent entre mes
cuisses à chaque coup de rein. Il éjacule longuement en moi tout en glissant à
mes mamelons, des clochettes reliées par des pinces aux dents minuscules pour
me soumettre, mais l’orgasme anal m’emporte.
Je le suce longuement
en retour.
Je porte un corset
seins nus, qui dénude largement mes fesses et mon pubis. Mes anneaux se
balancent entre mes cuisses à chacun de mes pas. Je suis cambrée sur mes mules
à plate-formes à hauts talons.
Le château comprend
au rez-de-chaussée, une grande salle à manger avec un pilori et un chevalet
pour les punitions, au premier étage, les chambres avec chacune une terrasse et
plusieurs miroirs et glaces recouvrent les murs et les plafonds. Chaque chambre
possède une salle de bains avec baignoire transparente, douche et bidet pour
lavement, cuvette de toilette, avec des chaînes suspendues dans la salle de
bains, dans la chambre.
Le comte me met à la
chaîne, debout, déchaussée, sur la pointe des pieds, une chaîne passée de
chaque côté de mon collier, mes mains liées dans le dos, une barre d’écartement
fixée entre mes chevilles. Le fouet cingle l’intérieur de mes cuisses. Je
gémis.
Le comte y ajoute, un
trépied avec un énorme gode qui m’encule.
Une fois l’intérieur
des cuisses bien zébré, le domestique africain avec son anneau me rejoint,
m’encule avec son long mandrin.
Fleur, la blonde aux
petits seins, nous rejoint. Le comte l’équipe d’un gode-ceinture avec un double
gode interne à picots. A tour de rôle, avec le domestique, je suis enculée.
L’anus bien dilaté,
je reçois simultanément le mandrin du domestique et celui de Fleur. J’ai un peu
mal. L’éjaculation du domestique africain permet au gode de Fleur me donner du
plaisir.
Le comte prend le
relais, tandis que Fleur continue à m’enculer.
- Tu seras prise
souvent en double anale, car ton œillet est bien large.
Libre, je me douche,
savonnée et rincée par Fleur, dans une douche lesbienne intense et jouissive.
Je porte un bijou d’anus de bon calibre, lourd, imitant le devant d’un sexe
équin.
Puis je descends au
rez-de-chaussée, en mules, je vais voir les annexes, où logent les domestiques.
Là, je découvre un
superbe transsexuel blond aux seins plantureux qui encule un superbe étalon
brun, qui bande. Je suis aux anges.
Une main étrangère me
caresse les seins, jouant avec mes clochettes qui tintent, une autre s’enfonce
avec ses cinq doigts dans ma chatte humide. Je jouis. La main se plaque sur ma
bouche pour étouffer mes râles.
Je sens enfin un gros
mandrin muni de picots m’enculer. J’ouvre bien les fesses pour l’accueillir.
Enfoncée jusqu’aux testicules, les mains me soulèvent les cuisses pour un pal
plus profond. J’explose en un violent orgasme.
Sans débander,
l’inconnu me conduit à l’intérieur. Le transsexuel se retire de l’anus de
l’étalon. Il a un long mandrin de vingt centimètres et s’enfonce partiellement
dans mon anus pour une nouvelle double anale. L’étalon soumis me masturbe mon
clitoris, faisant passer la plume sur mon clitoris constamment tendu et mord
mes mamelons. Une vague d’un violent orgasme me terrasse. Je suis largement
inondée de spermes.
Je suis portée sur le
lit, couchée sur le transsexuel, tandis que l’inconnu se retire de mon anus
béant qui avale le mandrin du transsexuel. L’étalon soumis m’encule en double
anale avec le transsexuel. J’ai un nouvel orgasme.
Les deux se retirent
et j’ai droit à un lavement, avec une poire de lavement, entravée sur le
chevalet, les fesses cravachées par le transsexuel.
Une fois propre, à
moitié évanouie, je suis enculée par un grand chien danois, jusqu’au nœud. J’ai
quatre orgasmes.
Quand je me réveille,
je suis menottée, bras et jambes écartées, allongée sur le ventre, l’anus
libre, un coussin sous le ventre, pour cambrer mes fesses brûlantes par les
coups de palette à fesser, que me donne un des domestiques.
Au coucher du soleil,
je suis détachée, douchée et je porte mon bijou d’anus large pour prendre le
repas, assise, nue, sur un tabouret en cuir, cuisses écartées.
Je suis fouettée sur
le pilori et sur le chevalet, pour mes fautes de la journée.
A moitié évanouie, je
suis portée aux épaules et aux jarrets, soulevée et emportée par un des domestiques.
Je me retrouve nue
dans une grande cage.
Des mains douces se
posent sur ma peau, se glissent entre mes cuisses. De temps en temps, ce sont
des membres poilus qui me frôlent, sensation nouvelle pour moi, pas désagréable
du tout. Un des chimpanzés, un peu plus grand que les autres, s'approche alors
de moi. Je vois alors le pénis du singe. Aussi gros que peut l'être un pénis
humain, il se termine par une pointe effilée, au bout duquel un gland minuscule
fait comme une petite boule de chair. Une main velue se pose sur une de mes
hanches, me force à me retourner. Avant que je ne réalise ce qui arrive, une
bouche sombre aux lèvres lippues lèche ma chatte. Je mouille. Sans que je
puisse réagir, quatre ou cinq chimpanzés me prennent par les bras, les jambes,
m'immobilisant sur place. Derrière moi un singe m'écarte les fesses, posant sa
bouche sur la zone anale. Je sens alors une langue agile frétiller sur mon
anus. Tout mon corps frissonne, je me tords sur place, incapable de me refuser
à cet acte intime. Avec une force surprenante, le grand male me courbe en
avant. Je sens quelque chose entre mes fesses, qui avance et recule. C'est le
pénis rigidifié qui se frotte à moi, chaud et dur, lubrifié par des sécrétions
intimes de l'animal. Une pointe de chair se pose sur mon anus humide, pénètre
le petit trou plissé, se retire, revient, entre à nouveau, cette fois plus
loin, de plus en plus loin, de plus en plus profondément. Derrière moi, le
grand singe s'active de plus en plus vigoureusement, au point de sentir en moi
son dard puissant aller et venir de plus en plus librement, m'emplissant le
rectum de cette chair chaude et dure. J’ai un violent orgasme anal. Des
mouvements plus violents encore me font néanmoins crier, ouvrir la bouche.
C'est ce moment dont profite un chimpanzé planté devant moi, une de ses mains
tenant son long pénis érigé. D'un mouvement rapide, il plante son membre rose
entre mes lèvres, l'engloutissant jusqu'à la garde. Me voilà pris à la fois par
derrière et par devant, ne pouvant me soustraire ni à ‘une ni à l'autre de ces
pénétrations. Le singe donne de petits coups de ventre, faisant aller et venir
son membre dur dans ma bouche, dont la pointe effilée bute sur ma luette à
chaque mouvement, me procurant une étrange sensation de plénitude buccale.
Un troisième se
glisse dans ma chatte pour une double pénétration. Je suis aux anges.
Je sens soudain
quelques giclées chaudes fuser au fond de ma gorge. J'avale le liquide tiède,
au fur et à mesure qu'il jaillit au fond de ma bouche. Lorsque le singe se
retire, assez rapidement, je découvre le goût du sperme d'un chimpanzé. Pas si
désagréable que ça.
Tandis que le grand
singe s'active toujours en moi, un autre chimpanzé prend la place inoccupée de
ma bouche, l'emplissant d'un nouveau pénis raidi. Celui-ci, relativement plus
petit. Le jeune singe va et vient entre mes lèvres, pour rapidement laisser
fuser plusieurs jets tièdes, que j'avale cette fois sans sourciller, comme si
c'était une boisson savoureuse...
Un troisième lascar
prend la suite. Cette fois, c'est un pénis de belle taille qui m'emplit la
bouche. Sans être très long, il est relativement gros, au point de me distendre
la mâchoire. Le pénis n'est pas aussi tendre que les précédents. Très dur, il
est un peu râpeux, à tel point que je m'efforce de le serrer entre mes lèvres,
de façon à ne pas me faire mal. C'est tout ce que je peux faire, toujours
immobilisé par plusieurs paires de bras.
C'est un cri plus
sonore qui m'avertit que le grand singe jouit. Plantant son pénis au plus
profond de moi il éjacule. Je sens nettement les jets chauds fuser au fond de
mon rectum, sur les parois sensibilisées de mon intimité et en même temps, je
sens ceux dans ma chatte.
Le singe, devant moi,
se retire et me lèche la chatte. Le chimpanzé qui m'emplit la bouche de son
pénis finit par éjaculer, le corps tremblant de tous ses membres, m'emplissant
le gosier de sperme chaud. A peine eut-il éjaculé qu'il se recule, laissant la
place à un autre singe. Celui-ci, d'abord, s'accroupit devant moi, me prend
entre ses lèvres. Il m'aspire avec force, ce qui raidit encore plus ma verge
érigée, sensibilisée, un peu douloureuse. Derrière moi le grand singe se retire
lentement, le pénis mollissant rapidement. Le chimpanzé a introduit à nouveau
son pénis entre mes lèvres, tandis que l'autre singe, devant lui, accroupi,
continue à me lécher la chatte.
A quatre pattes, ceux
qui m’ont baisé la chatte, profitent pour m’enculer.
Je m’évanouis, sous
la multiple d’orgasmes anaux, allongée sur le dos, cuisses écartées.
Les chimpanzés
m’entourent et caressent mes seins, faisant tinter les clochettes.
Ayant repris mes
esprits, je m’accroupis, assise sur les cuisses du grand singe, qui m’a enculé,
je guide son sexe dans ma chatte humide. Nous faisons l’amour, mes seins collés
contre son torse velu. Le grand singe me baise avec vigueur et je jouis.
Un autre singe se
colle dans mon dos et m’encule simultanément, décuplant mon plaisir.
Ce n’est qu’après
trois heures d’ébats avec les singes, que je retrouve ma chambre, allongée sur
le dos, les jambes fléchies au maximum sur mes seins, les chevilles fixées par
des chaînes au plafond, enculée par un gros vibromasseur à picots, muni par une
machine, avec un stimulateur clitoridien. Le vibromasseur s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de
va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en
suivant les montées et descentes du gode et se gonfle et se dégonfle de façon
aléatoire pour m’élargir un peu plus. Mes seins aux mamelons libres sont emprisonnés dans des coupelles transparentes,
subissent la pression pour les faire gonfler. Mes mamelons tendus et mon
clitoris tendu sont mis à rude épreuve. Je suis entre gémissements et plaisir.
Mes seins connaissent une petite pousse sous l’effet d’injections par les
piqûres dans les coupelles en profondeur dans mes seins.
Après une heure de
plaisir, on me retire la machine et les coupelles. On mesure ma dilatation avec
un écarteur anal et les dimensions de mes seins. Je peux me reposer, juste
enchaînée par mon collier, les mains jointes à mon cou.
Chaque jour, j’ai
droit à ma visite gynécologique, livrée au transsexuel, qui est un gynécologue.
Je reçois mes injections dans mes seins, pour stimuler leur pousse et leur
taille.
En un mois, j’ai
gagné vingt centimètres de tour de poitrine et je possède des bonnets D.
Je porte
officiellement mes fers définitifs, qui sont plus lourds que ceux d’essais.
Je porte marqué au
fer rouge, sur chacune de mes fesses, les armoiries du comte et celle d’un
marquis inconnu, toutes les deux comprennent un fouet et une cravache
entrecroisés.
Je passe la plupart
de mon après-midi avec les chimpanzés, avec une ceinture de chasteté, rendant
ma chatte inaccessible à la pénétration par un pénis : une fente de sept
centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) qui me
permet d’uriner, le clitoris et les
petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour
que la femme soumise puisse aller aux toilettes. Il est également possible
d’utiliser l’orifice anal pour insérer des boules de geisha ou des bijoux
d’anus dans l’anus ou encore pour me faire enculer avec un gode ou un pénis. La
ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et
simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un
rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port.
Tous les quinze
jours, la ceinture de chasteté est retirée pour une longue toilette intime avec
épilation de mes poils rebelles, pour que je reste lisse.
Ma taille s’est encore affinée, par le port constant
du corset.
En juillet, je suis
l’attraction d’une soirée costumée. Je suis nue, fardée et parfumée, sans ma
ceinture de chasteté, offerte à une orgie d’invités de la haute bourgeoisie,
venus en couple.
Je porte juste un
masque avec une tête de biche. À la fois coiffure et masque, couvre toute la
tête en ne laissant libre que les yeux, et la fourrure, en véritable pelage
d'un daim d'un an ou deux, descend assez bas pour atteindre la taille, tandis
qu'au-dessus deux bois, simples et courts, s'incurvent en forme de lyre.
Dissimulée dans la peau, une armature métallique maintient rigide la forme des
oreilles dressées. Je l’enfile sur la tête. Une lanière assez large se resserre
sur ma nuque, cachée sous cette manière de cape qui retombe sur le buste, et le
masque s'applique étroitement aux tempes et le long des joues. L'espace du
museau est vide et au bout les narines, dégagées pour permettre la respiration.
Cousue dans le cou, à l'intérieur, est une paire de menottes dans les anneaux
de laquelle je glisse mes poignets, bras repliés sur les seins, tandis qu'un
large ceinturon de cuir permet d'ajuster le bas de l'appareil à la taille.
J’apparaît aux
invités, la chape de pelage me cache tout le buste, et mes bras repliés ne
masque rien de ma chatte et mon pubis lisses. Je porte juste mes carcans de fer
aux chevilles et mes mules transparentes à hauts talons.
Je suis conduite
depuis ma chambre, tenue en laisse, par les fers reliés ensemble à mes grandes
lèvres, par un des domestiques, qui est nu.
Je suis présentée
comme la nouvelle Vénus du Sexe.
Des mains me
caressent ma chatte, mais surtout s’attardent sur mes fesses qui sont écartées
et on éclaire avec des chandeliers ma collerette anale élargie que l’on
commente.
Puis à tour de rôle,
les mandrins m’enculent, tandis que des mains féminines doigtent ma chatte et
on embrasse ma bouche entre deux râles.
Des fois, le comte,
pour agrémenter la soirée, amène des fouets, des cravaches, des martinets, des
palettes à fesser et des cannes de bambou, pour que je sois fouettée par les
invités. Je prends du plaisir.
Mon anus est alourdi
par le poids du sperme des invités. Je peux me soulager, accroupie, au-dessus
d’une bassine.
Le clou de l’orgie
est quand je suis prosternée, enculée par les chiens de chacun des invités,
pour une succession d’orgasmes anaux.
Après leurs départs,
au lever du jour, je suis suspendue, nue, cuisses écartées, à des chaînes, sur
la terrasse, des chaînes sont passées aux bracelets de mes chevilles, une
chaîne est passée aux menottes sur mes seins, sans mon masque, pour me faire
enculer par la gent masculine du château jusqu’à l’épuisement.
Libre, je suis
douchée et je me repose dans ma chambre, avec un des chimpanzés, qui me
caresse.
Après une année
passée au château sur l’île, à l’aube de mes dix-sept ans, je suis devenue plus
vicieuse et perverse que les autres filles. Je sais manier le fouet, le
martinet, la palette à fesser, la canne de bambou, la garcette sur les autres
filles, pour devenir une future maîtresse SM.
Le comte me retire
mes carcans de fer et m’annonce :
- Désormais, Shawn,
tu as les connaissances et le désir anal en toi. Tu vas retrouver ton père. Tes
poils pubiens vont repousser, mais en gage de ta soumission, tu devras avoir
épilée les lèvres de ta chatte et ton anus. Tes mamelons portent désormais un
anneau doré relié par une chaîne prouvant que tu es une soumise de premier
choix. Comme tu es ferrée et marquée, quiconque, même toi devant la glace,
quiconque relève ta jupe vois immédiatement tes anneaux à ta chatte, et si on
le retourne, ton chiffre sur tes fesses, sait que tu es une fille docile et
soumise. Tu portes aussi ce bijou d’anus.
Je me penche en avant
et j’écarte mes fesses. Le comte m’enfonce un bijou d’anus long de treize
centimètres et cinq de diamètre, pour 895g. Chaque mouvement de cette pomme de
pin fait bouger le bijou d’anus en moi, et frotte tout ou partie de ma chatte.
Le bijou d’anus stimule ma chatte. Malgré qu’il soit lourd, j’aime avoir mon
anus bien rempli. Il est moulé sur le devant d’un sexe d’un doberman, pour me
rappeler mes saillies anales canines.
Je glisse mes pieds
nus dans mes mules à hauts talons, fardée et parfumée. Je suis tenue en laisse
par les fers de ma chatte par le domestique qui m’a accueilli.
Je prends le même hydravion
pour deux heures d’orgies anales.
Pantelante, je suis débarquée au Domaine du Sexe,
avant de rejoindre le pensionnat, vêtue de mon uniforme: un chemisier
transparent sans aucun bouton, une jupe courte facile à relever d’un seul geste
et une ceinture baleinée en cuir pour affiner ma taille.
James me conduit peu avant le coucher du soleil, au
bureau du directeur. Mr Donatien a cédé sa place à sa mort, à Maître dit le
Marquis de Sodome, un bel étalon brun d‘une trentaine d’années, musclé, doté
d’un imposant mandrin de vingt centimètres et Justine est devenue son esclave
sexuelle. La nouvelle assistante se prénomme Prudence, une blonde aux seins
plantureux, intégralement épilée, vêtue d’un justaucorps en cuir et
transparent, ouvert sur ses mamelons percés d’anneaux dorés et à l’entrejambe
lisse, portant des fers similaires aux miens et un bijou d‘anus, chaussée de
cuissardes. Elle me toise, caresse mes seins sous le chemisier, tire la chaîne
de mes mamelons. Je gémis silencieusement, la tête en arrière.
Elle retire ma jupe, me lèche mon clitoris percé et
ma chatte percée. Je jouis, tandis que James me passe mon collier et mes
bracelets de cuir à mes poignets et à mes chevilles.
James me retire mon chemisier, dès que je suis bien
chaude. Je suis installée sur une chaise sans aucune assise, l’anus libre. Mes
bras sont tendus en l’air, accrochés à un crochet au plafond. Mes cuisses sont
écartées et des chaînes sont fixées à mes bracelets de mes chevilles pour
m’immobiliser.
Jouant sur la gravité, je dois coulisser sur le
mandrin du Marquis, tandis que mes seins et ma chatte sont cinglés par les coup
de martinet. Je dois compter les coups sans me tromper, sous peine de
recommencer. Je m’évanouis à deux reprises.
Le Marquis éjacule en moi. Puis on m’insère un vibromasseur
anal muni d’une gaine à picots, long de douze centimètres et cinq de diamètre,
maintenu par des chaînes fixées à une ceinture de cuir. Je dois garder la même
position, mais cette fois, le Marquis me donne des coups de garcette sur
l’intérieur de mes cuisses et sur mes reins et mes fesses. Je ne dois pas de me
tromper en comptant.
Enfin, l’ultime punition, je suis suspendue par les
bras, en l’air, à un crochet, sur la pointe des pieds, avec une barre
d’écartement, me faisant saillir simultanément par deux dobermans, une dans ma
chatte et un dans mon anus. Dès qu’ils ont éjaculé en moi, deux surveillants
bien montés me prennent, avec chacun une gaine à picots jusqu’à l’épuisement.
Je suis détachée, évanouie et portée au dortoir, où
je suis attachée, les bras et les jambes écartées.
Un des dobermans du pensionnat qui a reconnu mon
odeur, vient me saillir, enfonçant son sexe jusqu’au nœud, dans mon anus béant.
J’enchaîne les orgasmes, tandis qu’il éjacule en moi, tout en léchant mes
mamelons tendus.
Après son retrait, je suis à moitié évanouie.
Désiré et un autre surveillant blond me rejoignent.
Je les suce dans un torride 69.
Puis, je suis prosternée, mains jointes à mon cou,
une chaîne est fixée à mon collier et mes cuisses sont gardées ouvertes par une
barre d’écartement fixée aux bracelets de mes chevilles.
- Regarde ce cul, elle mouille d’avance, dit Désiré.
- Elle me plait. Je peux la fouetter avant de
l’enculer, dit l’autre.
- Bien sûr, c’est une soumise. Son cul sera
davantage trempée.
Je reçois d’abord la cravache sur mes fesses et sur
l’intérieur de mes cuisses, puis un vibromasseur anal à picots m’est enfoncé
dans l’anus profondément, tandis que la canne à bambou m’est appliquée sur les
fesses et quelques coups de martinet sur ma chatte, déclenche en moi, un
violent orgasme anal, malgré les picots dans mon anus.
Bien lubrifiée, Désiré m’encule, penché
latéralement, puis il enjambe mes fesses sur un côté. J’ai un nouvel orgasme.
Désiré se retire pour éjaculer dans ma bouche,
tandis que le surveillant blond m’encule en appui sur ses jambes jusqu’aux
testicules.
Tous les deux éjaculent presque simultanément :
Désiré dans ma bouche et le surveillant blond dans mon anus.
Ils me font mon lavement, menottée à mon lit. Je me
soulage devant eux, cuises écartées, mains jointes au cou, face à eux,
au-dessus d’un urinoir pour hommes.
Je glisse mes pieds nus dans mes mules et tenue en
laisse par les fers de ma chatte par le surveillant blond. Je quitte le
dortoir, au troisième étage.
Je rejoins le réfectoire, où je m’empale sur un
imposant gode anal réaliste de gros calibre. Je reste les mains jointes,
cuisses écartées. On me bande les yeux pour me nourrir. De temps à autre, des
lanières cinglent mes fesses et mes reins. On détache mes mains pour les lier
dans le dos. Des poids d’un kilo sont posés à mes mamelons, tandis que je dois
sucer les mandrins que l’on me présente.
Après le dessert, je suis prise en double anale, par
des inconnus, je suis empalée sur leurs mandrins, un me soulève les cuisses et
l’autre me tient par les hanches, tandis que mes mamelons se frottent contre le
torse musclé d’un des inconnus. Je suis offerte à six étalons bien montés, en
double anale, avec éjaculation et multiples orgasmes anaux.
On m’abandonne sur le tapis du réfectoire, les mains
dans le dos, à moitié évanouie, aveugle, l’anus débordant de spermes. J’écarte
mes cuisses, pour accueillir un autre mandrin qui m’encule. Je ne peux me
dérober. L’inconnu s’allonge sur moi et m’embrasse tout en m’enculant.
Lors de mon nouvel orgasme, l’inconnu éjacule en
moi, puis je sens son sperme chaud sur mes seins et mes poils pubiens.
Quand on me retire mon bandeau, je suis menottée au
sous-sol, les bras tendus en l’air, les cuisses complètement ouvertes, mes
bracelets sont fixés à des chaînes au plafond. Un collier de maintien m’empêche
de bouger la tête. Là, je suis fouettée sur les seins, les cuisses, la chatte.
Je gémis et je dois compter les coups sans me tromper.
Une machine à double vibromasseur est positionnée
entre mes cuisses. Les double vibromasseurs sont insérés dans ma chatte et mon
anus. A mon insu, ils se gonflent et se dégonflent de façon aléatoire pour
m’élargir, en plus de vibrer et de s’allonger et de rétrécir pour simuler les
ébats. J’enchaîne les orgasmes, jusqu’à l’évanouissement.
A mon réveil, je suis en sueur, ma chatte dégouline
de mouille.
Désiré me libère et me fait me prosterner. Il me met
un crochet anal avec triple boules de quatre centimètres de diamètre chacune
dans l’anus. Puis il passe une chaîne dans mon dos, fixée à mon collier, me lie
mes mains dans le dos, pour que je sois cambrée.
Il m’attache en hauteur dans le dortoir, les fesses
en l’air, cuisses écartées. Je passe la matinée dans cette position, me faisant
lécher la chatte et baiser par des godes réalistes à picots dans ma chatte. Mes
seins sont fouettés simultanément.
L’après-midi, je suis montée en saillie par les
dobermans, nue, à l’extérieur, tenue en laisse par les fers de ma chatte, à
quatre pattes. Les dobermans se relaient pour me faire jouir.
Après un bon lavement et une longue douche froide,
j’officie comme maîtresse sur de jeunes soumises.

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