Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux
yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées,
musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert,
couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue
entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une
plaie rouge entre mon entrecuisse velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent
le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont
larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits
intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes
marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent
le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de
beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme
des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis
intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se
fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de
longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille,
90 de hanches, 1,72 m.
VICIEUSE DE MON COUSIN
Je suis secrétaire dans une
agence bancaire.
Je suis encore vierge, mais j’ai
de longues expériences lesbiennes avec mes copines de lycée.
Cet été, le 5 juin, je rejoins
mon cousin Alban, un bel étalon musclé, brun, bien monté et son ami, Nathan, un
bel étalon musclé, qui lui ressemble, mais blond, qui m’ont fait connaître mes
premières fellations. Cette relation avec deux homosexuels m’a transformé.
J’aime regarder ce couple faire l’amour, tendant leurs mandrins dressés vers ma
bouche pour les sucer.
Alban a récemment adopté
Lancelot, un superbe berger allemand mâle. Je suis subjuguée par la longueur de
son sexe, douze centimètres de long et quatre au repos.
Je suis juste vêtue de mon
string, seins nus, quand je promène Lancelot, sur la plage.
Lors d’une pause, Lancelot vient
me lécher la chatte, le clitoris et l’anus, tandis que j’écarte mon string.
Très rapidement je jouis.
Inconsciemment, je m’accroupis,
toute nue, cuisses écartées. Lancelot me lèche à nouveau ma chatte. Je sens sa
bite qui commence à sortir de son fourreau. Quelques instants plus tard, la
bite de l’animal est sortie en entier, et je suis étonnée par la grosseur de
l’engin, dix-sept centimètres de long et cinq de diamètre. Surtout la boule
qu'il a l’extrémité. Ma chatte ruisselle déjà à voir cette énorme queue que je
prends dans ma bouche sans hésiter.
Je mets à quatre pattes, nue.
Alban et Nathan m’observent, en se masturbant mutuellement.
Lancelot me lèche la chatte le
clitoris et l’anus. Puis d’un seul coup, il passe ses pattes avants autour de
ma taille. Son gros sexe remplit ma chatte jusqu’au nœud. Le chien commence des
va-et-vient de plus en plus rapide pour ma grande joie. Je commence à jouir
puisque la bite canine m’a pénétrée entièrement et bute sur mon utérus. Il
éjacule en moi, en me déflorant. Je ne ressens aucune douleur. Sa boule est
déjà bien grosse. Je reste verrouillée une vingtaine de minutes. Il déverse en
moi une quantité de foutre chaud.
Puis Lancelot n’a qu’une envie,
honorer mon anus vierge.
Il m’encule en douceur. Je sens
les va-et-vient dans mon anus, ses pattes de devant agrippées à mes épaules. Il
éjacule en moi. Je connais orgasme sur orgasme.
Il se retire, je remets mon
string et je vais me baigner.
Alban et Nathan me rejoignent.
- Alors, comment s’est passé la
promenade avec Lancelot, ma belle ? me susurre Nathan, en caressant
mon clitoris tendu sous mon string.
- J’ai pris mon pied. Je ne suis
plus vierge de la chatte ni de mon anus. Mon anus est un peu douloureux, mais
j’aime ça.
8 juin, après trois jours à me
faire lécher la chatte et l’anus par Lancelot, en lui prodiguant des caresses,
pour me faire jouir, dans la villa que nous louons, je retrouve au réveil,
Alban et Nathan, nus, faisant l’amour. Alban encule Nathan. Nathan
s’offre, en appui sur ses bras en arrière, sur ses jambes écartées, le mandrin
en érection, tandis qu’Alban est agenouillé entre ses cuisses. Je suce Nathan,
tandis qu’Alban éjacule, sous le massage.
-Alban, tu es royal. Shawn, tu me suces à merveille.
- Ma chérie, tu veux te faire
monter à nouveau par Lancelot.
- Pourquoi, je suis suffisamment
prête à le recevoir, en embrassant Nathan.
Alban rebande et m’invite à
m’empaler sur son mandrin pour me baiser. Nous sommes tête-bêche, je suis
allongée sur ses jambes, les cuisses serrées fortement par Alban, visionnant
mon entrecuisse et mes fesses. Je suis baisée jusqu’à la garde.
Lancelot m’encule jusqu’au nœud,
couché sur mon dos. Je jouis comme jamais auparavant, dans cette première
double pénétration.
Je suis doublement inondée.
Quelques instants après avoir
sucé Lancelot, je m’offre à quatre pattes, à nouveau attachée à lui, jusqu’au
nœud. Une série d’orgasmes anaux m’épuise, jusqu’à l’éjaculation.
Enfin, Alban et Nathan
m’enculent dans la même position, jusqu’à l’orgasme anal, me fessant. C’est pas
désagréable, je mouille davantage.
- Tu es sacrément bien ouverte
de l’œillet, avec Lancelot, me complimente Alban.
- Oui, pine-moi bien l’œillet,
je suis chaude.
- C’est royal de t’enculer, dit
Nathan, quand il m’encule.
- J’ai besoin d’être enculée ou
prise en double pénétration, mes chéris.
12 juin, nous sommes conviés à
une soirée dans une luxueuse villa, appartenant au Marquis Désiré de Saint Bon
Plaisir. Je porte exceptionnellement une robe de soirée, très légère, composée
d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, à corselet montant jusque
sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le
boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le
boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Je me suis fardée et
maquillée, coiffée d’un chignon et chaussée de mules à très hauts talons à mes
pieds nus.
- Voici, la séduisante Shawn, de
l’agence de la banque Business Diamant Services des Marchés, vous êtes très belle.
Plus belle qu’en photo, que m’a montré Alban, mon compagnon. Je m’appelle le
Marquis Désiré.
- Marquis, j’ai été déflorée
dans une situation très spéciale.
- Je sais, Alban m’a tout
raconté. Ne vous faites pas, j’aime les beautés avec un œillet bien élargi,
s’ouvrant sur commande. Tu ne dois dissimuler ou travestir la vérité, me
confier spontanément tes désirs, tes envies, tes besoins, tes fantasmes et
aussi tes peurs, tes craintes et tes doutes. Tu te tiens constamment à
disposition du et me rendre aux convocations, prête à satisfaire les désirs et
à obéir aux ordres et joignable a tout instant. Tu te prêtes à mes exigences et
constamment tu veilles au bien-être, au devant des désirs. Tu es respectueuse,
ni agressive et ni impatiente ou énervée. Tu dois être parée et irréprochable,
une hygiène impeccable et tes orifices restent propres, accessibles. Tu fait
une faute, tu me remercies, humble et affectueuse et tu respectes les autres,
en étant exclusive. Tu gardes les yeux baissés en présence, de tout homme. Tu
gardes tes jambes écartées, sans aucun dessous sous ta tenue. Tu sors court
vêtue, et d'arborer un décolleté provoquant afin d'offrir le spectacle de ton
corps à des inconnus, dans les lieux et circonstances. Tu dors donc nue, mais
ni masturbation et lors de tes règles, tu offres ton œillet uniquement.
- Pourquoi toutes ces règles,
Marquis ?
- Alban et Nathan m’ont confié
pour ta soumission à temps partiel, même pendant ton travail. Tu vas découvrir
un autre monde sexuel. Relève ta jupe que je vois ta chatte.
Il découvre mon pubis et ma
chatte velue, toute nue.
- Excitante, tu es encore velue.
Ce n’est pas grave, tu auras les aisselles, la chatte et l’anus épilés, tu
gardes ton pubis velu. As-tu déjà porté un bijou d’anus ?
- Non, jamais, Marquis, qu’est-ce
qu’un bijou d’anus ?
- Il stimule le plaisir anal et
éventuellement à préparer une pénétration avec un objet plus important comme un
gode anal ou un mandrin en érection. C’est un excellent accessoire pour tous
ceux qui veulent s’initier à la sodomie. De forme conique plus ou moins enflée
et arrondie, ils possèdent généralement un embout fin, une partie large qui se
rétrécit, puis une terminaison large et plate qui permet au bijou d’anus de
s’insérer progressivement, mais l’empêche de se perdre complètement dans le
rectum. Une fois inséré dans l’anus, il peut rester en place plusieurs heures.
Il resserre les parois vaginales, il détend les sphincters anaux pour
apprivoiser le plaisir anal, les contractions des muscles anaux provoqueront un
immense plaisir qui se propage dans tout le bas-ventre et tu vas vraiment d’y
prendre goût. Ainsi tu es détendue et tes sphincters anaux se dilatent pour se
livrer ensuite à une sodomie toute en douceur. Ecarte les fesses, je vais t’en
faire porter un.
De très grande taille, il est de
forme conique et son extrémité reste fine ce qui facilite la pénétration.. La
butée permet quant à elle un parfait maintien une fois en place. Il mesure
dix-huit centimètres de long jusqu’à sept de diamètre. Il est en aluminium
brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal
rose qui est visible entre les fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus.
Il est froid dans mon anus.
Je rejoins les autres invités
qui me toisent, caressent mes seins nus que je dévoile en ouvrant mon boléro,
ma chatte est aussi caressée. Je mouille de plaisir. Je reconnais un certain
plaisir avec le bijou d’anus.
Après plusieurs présentations
par le Marquis, la jupe retroussée, je m’offre à quatre pattes, sur un tapis.
Là, des invités se relaient pour m’enculer, l’anus libre, béant par l’ouverture
due au bijou d’anus. Je connais plusieurs orgasmes anaux, la bouche remplie par
mes amants d’un soir.
Ils me fessent, je m’empale sur
leurs gros mandrins, pour me faire jouir.
Ma bouche et mon anus débordent
de spermes chauds. Je suis une vraie jouisseuse, cela plait au Marquis.
Le Marquis m’encule en dernier.
- C’est divin, un tel œillet
bien assoupli par ton amant canin. Empale-toi.
- Oui, Marquis, je vais jouir.
- Retiens-toi, tu vas jouir sur
mon ordre.
Je me retiens, mais les
va-et-vient, mes hanches agrippées fortement, ma taille saisit par ses mains.
Je résiste, tandis qu’il éjacule dans mon anus.
Enfin, je peux jouir.
Gardant ma position, je suis
présentée à Hadès, un superbe doberman, excité par mon odeur de ma chatte en
chaleur.
Il me monte d’une seule traite
jusqu’au nœud et m’encule. Pantelante, j’arrive à avoir plusieurs orgasmes
anaux en sa compagnie, attachée à lui. Il éjacule longuement en moi.
Il se retire et je le suce.
- Très docile, la belle Shawn,
Hadès t’a donné beaucoup de plaisir.
- Oui, Marquis, c’est un gros
sexe, plus gros que celui de Lancelot. J’aime ça.
- Hadès te saillira chaque jour
pour que tu t’y habitues, Shawn.
- Bien, Marquis, j’accepte.
Je suis conduite avec mon bijou
d’anus en place, dans une salle de bains pour mon lavement à l’eau froide,
accroupie, cuisses écartées et un bain rapide à l’eau froide.
Vers vingt-trois heures, je suis
à nouveau enculée par d’autres invitées, cette fois, toute nue, exposée sur un
chevalet. Je suis solidement immobilisée, le postérieur plus haut que la tête.
Mes bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds
arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses,
légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre,
ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute mon intimité est
ainsi très accessible et on peut me faire tout subir. J’enchaîne les sodomies
humaines et d’Hadès. Je découvre la cravache sur mes fesses, quand je suis
pantelante.
Les ébats durent jusqu’à l’aube.
Puis, je suis conduite dans ma
cellule, au premier étage de la villa. La cellule se compose d'une petite
chambre, avec une fenêtre qui donne sur le parc, et d'une salle de bains. Le
lit est très grand, carré, bas – moins un lit qu'une plate-forme matelassée.
L'oreiller, plat et dur comme le matelas. Il n'y a pas d'autres meubles, il y a
un tapis épais. Deux mètres au-dessus de la tête du lit, un gros anneau
brillant est scellé au mur où passe une longue chaîne d'acier : l'une de ses
extrémités s'entasse sur l'oreiller en formant une petite pile d'anneaux,
tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.
Je porte mon collier et mes
bracelets faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince,
au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui
fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut
s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des
bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas
de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on
positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant
le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des
mouvements de celui qui le porte. Je suis baignée, accroupie, cuisses écartées,
dans une salle de bains, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les
murs et au plafond, les yeux baissés, la bouche entrouverte par un valet, bien
monté, juste vêtu d’un gilet, en bottes, avec une cravache à la ceinture.
A la réserve du collier et des
bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me
serrent davantage, je suis nue.
Il me saisit les mains avec
familiarité, il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis
ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur
du cou, comme en prière. Le valet accroche l'anneau de la chaîne qui se trouve
sur l'oreiller à celui du collier, et il me dit de m'allonger.
Je me couche. Le valet m’écarte
les cuisses, m’encule sauvagement jusqu’aux testicules. Je ne peux résister, me
faisant jouir.
Il se retire pour éjaculer sur
mon pubis et dans ma bouche.
- Tu seras punie, pour avoir
joui sans autorisation.
Le valet défait du crochet
l'autre extrémité de la chaîne et la tire : elle cliquète dans l'anneau, se
tend. J'avance vers la tête du lit, mes poings poussant son menton.
Je dois garder mes cuisses
écartées, sans pouvoir toucher mes propres genoux, ni ma chatte. Mes lèvres de
ma chatte, qui me brûlent, me sont interdites, et me brûlent peut-être parce
que je les sais ouvertes à qui veut tout comme mon œillet.
Seule dans le noir, Hadès
m’encule à plusieurs reprises, sans me laisser de répit.
Juste avant l’aube, il me retire
l’oreiller de sous ma tête, je me mets à genoux, me maintient à la chaîne.
Le valet, me prenant par le
bras, m'aide pour que je me dresse tout à fait et me place debout sur le lit et
face au mur. Le valet rattache les bracelets ensemble à la chaîne ; il dresser
mes bras au-dessus de la tête. Mes pieds reposent, nus, à plat. Le valet me
cravache à toute volée les fesses, à cinq reprises, plus haut ou plus bas pour
que les traces soient distinctes.
Il me prend par les hanches pour
me faire pivoter dans la pénombre, sans lâcher la cravache. Lorsque je suis
face au valet, il se donne un peu de recul, puis il me cravache en travers des
cuisses. Le tout a duré une minute.
Hadès vient me saillir, à
l’aurore.
Tous les hommes portent à un
anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes
les grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont
aussi. Mais au matin, ceux qui ont été de service la nuit dorment, et c'est
l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L’homme qui entre, juste habillé
d'un blouson de cuir, le mandrin en érection, botté.
Il me libère de la
chaîne, m’allonge sur le ventre, cuisses écartées et m’encule d’une seule
traite jusqu’aux testicules. Il m’enserre par les hanches, me prend les seins
pour m’enculer plus profondément. Je jouis. Il éjacule en moi et m’insère un
gode long de vingt-trois centimètres, de quatre à cinq de diamètre, avec un
nœud de la taille d’une balle de golf qui se gonfle à la taille d’une balle de
tennis pour m’écarteler l’anus. Je ne peux l’expulser, trois chaînettes sont
accrochées à une étroite ceinture autour de ma taille, une par derrière qui
suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli
des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de
façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser la tige et
permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre,
et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis
seule, je ne peux être tentée de me soulager de cette contrainte. Nue et en
mules, je déjeune, accroupie, cuisses écartées. J’éprouve un certain plaisir
avec ce gode.
Pendant huit jours,
je suis fouettée, saillie jusqu’à ce que mon œillet soit bien élargi.
Au 21 juin, nue,
après mon bain, le Marquis me fait me rhabiller de ma robe de soirée, de mules
à très hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, et je porte désormais un
bijou d’anus long de treize centimètres et cinq de diamètre pour 895g, pour
avoir l’anus bien rempli.
Je suis raccompagnée
à mon agence bancaire, à bord d’un jet privé puis en limousine, en compagnie du
Marquis.
Là, je retrouve Alban
et Nathan et la Comtesse Diane, ma
nouvelle directrice.
Dans son bureau, en
compagnie du Marquis, les yeux baissés, la bouche entrouverte, la jupe relevée,
dévoilant ma chatte épilée, j’écoute la Comtesse :
- Shawn, dite
Vicieuse Désir, ton nom de soumise, ton séjour a permis de découvrir de
nouveaux vices, plaisirs sexuels et de nouveaux horizons. Tu devras être à la
hauteur des désirs des Maîtres. Horace sera ton amant. Tu lui dois le respect,
obéissance. Fini ton penthouse, désormais, tu vis dans une villa avec ta propre
chambre de soumise. Tu restes nue dès ton arrivée chez toi, à disposition, pour
tes fautes.
Je retrouve mon
bureau. Je relève ma jupe pour m’asseoir cul nu, sur le cuir. J’écarte bien mes
cuisses.
Mes amants viennent
me complimenter. Je me tiens plus droite, j’ai le regard plus clair. Tous
regardent mes seins nus quand je retire mon boléro.
Lorsque je me rends
aux toilettes, mes copines sont surprises de voir ma chatte nue, sans string.
« C'est plus
pratique.
– Pratique pour quoi
?
– J’aime avoir les
seins nus et libres et la chatte nus sous mes vêtements, ainsi que mes jambes
nues et mes pieds nus.»
Bien sûr, Horace me
conduit en limousine, chez mes riches clients.
Le premier, un bel
étalon du double de mon âge, me toise. Je baisse les yeux, la bouche
entrouverte, la jupe relevée. Il reconnaît ma bague à l’annulaire gauche, sertie d’un petit anneau.
- Tu es Vicieuse
Désir, soumise du Marquis Désiré, à la bouche dressée, saillie.
- Oui, Maître, je
suis obéissante et docile. Je vous laisse disposer de mon corps, me fouetter,
me faire saillir.
Sans attendre, je me
retrouve nue, en mules. Je porte mes carcans en cuir à mon cou et à mes
poignets. Il me toise, caresse mes seins, étirant mes mamelons constamment
tendus, volumineux, saillants, gros et longs, puis mon clitoris qui est aussi
tendu gros comme une cerise, volumineux, saillants.
- Appelle-moi, Sir
Sévices. Tu es hyper excitée, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres
ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée
par le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Sans attendre, l’anus
libre, je me retrouve, les cuisses serrées, enculée par Sir, qui est assis sur
ses jambes ouvertes et repliées, ventre tendu en avant. Il m’encule jusqu’aux
testicules, profondément. Je ne peux me dérober.
- Tu es bien large.
Je t’interdis de jouir.
Je me retiens, malgré
le plaisir. Il éjacule en moi.
Il se retire et il me
présente à César, un bel étalon africain, doté d’un mandrin long de vingt-sept
centimètres et sept de diamètre, par rapport au vingt centimètres de long et
cinq de diamètre de Sir.
César s’assoit sur
ses jambes ouvertes et repliées, ventre tendu en avant. Je dois m’empaler sur
le côté droit, enculée, face à lui, glisse et soulève ma jambe gauche au-dessus
de la cuisse gauche de César. Je suis enculée jusqu’aux testicules. Je maîtrise
parfaitement ma sodomie, l’anus écartelé.
Avant qu’il
n’éjacule, je m’installe face à César, enculée, en appui arrière sur mes bras,
cuisses écartées. Il éjacule en moi.
Enfin, je fais la
connaissance du dogue allemand, Atlas, doté d’un sexe long de vingt centimètres
et six de diamètre. Il m’encule aussi, à quatre pattes. Je connais plusieurs
orgasmes, suçant César.
Après mise en bouche,
Sir me fait doucher à l’eau froide et me fait un lavement par son soumis. Le
soumis est un brun au corps admirablement musclé, un sexe bien monté sous un
pubis rasé prolongé par deux lignes qui forment un V dont les branches
indiquent ses abdominaux parfaitement dessinés. Au dessus, un torse épilé dont
les deux pectoraux bombés sont surmontés de tétons saillants légèrement bruns
aux yeux d’un bleu profond. Ses testicules sont percés de petits anneaux dorés,
étirés et gonflés en procurant des sensations merveilleuses avec un séparateur
de testicules qui étire bien les testicules en les séparant comme deux
clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus
sensible et son mandrin est lui-même pris en étau entre l’étireur et le
bracelet de cuir autour de la base commune du pénis et des testicules qui
agissent comme un super anneau pénien : le mandrin sensibilisé gonfle
facilement et atteint rapidement des érections bien lourdes et bien épaisses.
Je suis subjuguée par ses testicules mis en valeur. Il me donne envie de le
sucer.
Une fois propre, je
suis remise à un bel étalon blond. Il a un mandrin aussi gros que le doberman.
Lui aussi a le pubis rasé, et une belle ceinture abdominale. Son torse est
couvert de duvet blond et ses pectoraux, également bombés, sont ornés de deux
tétons aux aréoles rose bonbon. Il porte un parachute accroché à la base du
scrotum via des lanières. Ils comportent de trois à quatre courtes chaînes qui
peuvent servir de points d'attache à des poids. Le parachute exerce une traction
constante et un effet de pression sur les testicules de celui qui le porte. Des
poids plus lourds sont suspendus. Dans ce cas, le balancement d'un poids trop
lourd pourrait limiter certains mouvements de l'homme en même temps qu'il
procure un stimulus visuel du partenaire dominant.
Sir m’autorise de les
cravacher. Je ne me gêne pas, à cravacher leurs fesses et leurs testicules.
- Vicieuse, tu es
autorisée à les sucer. Ils ne doivent éjaculer dans ta bouche.
C’est divin, sans les
mains, car jointes à mon cou.
Puis allongée sur le
dos, sur le lit, fléchissant mes jambes sur mes seins, mains jointes à mon cou,
je reçois Sir, tête-bêche. César guide le mandrin de Sir dans mon anus que
j’offre. Je suis profondément enculée, il m’encule sauvagement. Je jouis, suçant
César.
Puis Atlas m’encule
dans ma même position jusqu’à l’orgasme, l’anus débordant de spermes.
Jusqu’au coucher du
soleil, Atlas me saillit de nombreuses reprises, prosternée. Je suis son
amante.
Au coucher du soleil,
blond me douche et me fait un long lavement anal.
Tout propre, je porte
mon bijou d‘anus. Je m’agenouille pour manger aux pieds de Sir Sévices, les
fesses et les cuisses, fraîchement cravachées par ses soins.
- Tu es une
excellente soumise. Nous ferons affaire. Tu vas signer ton contrat entre toi et
moi, puis les documents bancaires. Je te fais raccompagner après avoir été
enculée par le blond et le brun.
Chacun est allongé
sur le dos, cuisses écartées, je m’empale, enculée, assise sur ses cuisses, en
écartant mes cuisses. La sodomie est profonde jusqu’aux testicules. Je sais que
je leur plais. Je tourne légèrement mon bassin pour faire bander davantage et
j’ai droit avec chacun à une longue éjaculation et rapide. Je les suce quand je
me retire.
Puis Atlas m’encule
une ultime fois, à quatre pattes.
Douchée, avec mon
lavement anal, je me rhabille et Horace me ramène à ma villa.
Nue, en mules, je
découvre ma vraie chambre de soumise, entièrement recouverte de miroirs et de
glaces sur les murs et au plafond, exhibant mon corps nu. Je voudrais me
masturber pour me remémorer mes moments de plaisir de la journée, mais je ne
peux pas, comme l’a stipulé la lettre avec mes règles précises.
Horace me menotte à
mon lit, les mains jointes à mon cou, cuisses écartées.
Je suis livrée à ses
coups de cravache sur l’intérieur de mes cuisses, ses longues sodomies après
que je l’ai sucé, je le nettoie. J’ai droit à aucun orgasme anal pendant la
nuit.
Un pénis de singe aussi gros que peut l'être
un pénis humain, il se termine par une pointe effilée, au bout duquel un gland
minuscule fait comme une petite boule de chair, qui remplit ma bouche. C’est
divin. Un autre singe m'écarte les fesses, posant sa bouche sur la zone anale.
Je sens alors une langue agile frétiller sur mon anus. Tout mon corps
frissonne, je me tords sur place, incapable de me refuser à cet acte intime.
Une pointe de chair se pose sur mon anus humide, pénètre le petit trou plissé,
se retire, revient, entre à nouveau, cette fois plus loin, de plus en plus
loin, de plus en plus profondément. Je jouis, ce qui excite le chimpanzé, qui
redouble ses coups pour m’enculer. Le grand singe jouit. Plantant son pénis au
plus profond de moi il éjacule. Je sens nettement les jets chauds fuser au fond
de mon rectum, sur les parois sensibilisées de mon intimité.
L’autre singe prend le relais, tandis que je
nettoie celui qui m’a enculée. Huit à dix-huit centimètres de long me comblent
et 120 grammes de testicules.
Après avoir nettoyé le second singe, je suis
enculée par un colley, m’offrant un sexe de treize centimètres de long et trois
de diamètre. Je connais à nouveau le plaisir.
Au lever du jour, je
regarde naître une lente aurore pâle, dehors au pied de la fenêtre, du
rez-de-chaussée, suspendue, les bras en l’air, à un crochet, tenu dans la main
d’une statue d’un bel Apollon nu, le sexe en érection, cuisses écartées, les
cuisses et les fesses sont encore brûlantes des coups de cravache. Les balafres
ont gonflées, et formaient des bourrelets étroits. Je découvre un des
maîtres-chiens, en gilet, sur son corps nu, le mandrin en érection, avec un
séparateur de testicules, les testicules percés, botté, tenant en laisse le
colley qui m’a saillie dans la nuit.
Les yeux baissés, la
bouche entrouverte, la tête baissée, je l’observe.
Un autre homme entre
dans ma cellule, il est aussi vêtu d’un gilet et botté. Il porte à un anneau
les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les
grilles, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Il caresse ma chatte,
mon anus dégouline de spermes que je ne peux retenir. Je me retenir de jouir,
quand il masturbe mon clitoris. Je garde les yeux baissés, la bouche
entrouverte.
Il me libère de la
chaîne, joint mes mains à mon cou. Il m’allonge sur le dos, sur le lit, me fait
lever les jambes écartées, mes mollets posés sur ses épaules.
Il est musclé, son
mandrin est emprisonné dans un harnais qui lui gonfle les testicules. Son
mandrin reste volumineux et attirant, son érection est stimulée et maintenue.
Il m’encule avec vigueur, sans éjaculer, agenouillé. Je me retiens de jouir.
Il me nourrit et me
remet mon bijou d’anus après ma douche et mon lavement.
- Alors, belle dame,
tu as aimé.
Je retrouve pendant
une semaine Sir Sévices, pour améliorer mon instruction. Les saillies
reprennent le soir avec les chimpanzés et le colley.
Sir Sévices me fait
épiler ma chatte. On épile à la cire chaude, les aines, haut des cuisses,
grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur des fesses. On
arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire,
m'examinant avec une grosse loupe, me faisant hurler à chaque fois. Elle
termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant
longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante. J'ai droit
au miroir placé entre mes cuisses écartées. Ma fente me paraît plus longue,
remonter plus haut sur le pubis, mes lèvres intimes plus renflées, toutes
lisses, ma chatte ressemble tout à fait à celle d'une petite fille avec son
aspect bombé et charnu très émouvant.
J’aperçois mon gros
clitoris comme une cerise, tendu il est saillant. Mes mamelons, saillants, gros
et longs sont devenus hypersensibles, ce qui m’excite. Mes mamelons et mon
clitoris pointent désormais vingt-quatre heures sur vingt-quatre. J’ai
interdiction de me faire jouir depuis le début du traitement. Je suis frustrée,
par la douleur.
Je porte aussi un
petit anneau doré qui perce chacun de mes mamelons, mon gros clitoris
(agrémenté d’une pierre précieuse) et un sur chacune de mes grandes lèvres et
de mes petites lèvres. Je suis ainsi la propriété du Marquis.
Après la pose de mes
anneaux, je suis conduite nue sous ma cape, avec mes carcans de cuir, les mains
menottées dans le dos, en mules, les yeux bandés, avec un lourd bijou d’anus,
moulé sur le sexe d’Atlas, dans une autre limousine.
Horace
m’annonce :
- Vicieuse Désir, je
vais te remettre à l’Académie des Soumises du Marquis et du Baron Donatien de
Sade Mon Plaisir. Ils aiment les soumises de ton rang. C’est pour cela que tu
portes les anneaux pour te faire reconnaître par les clients. Tu vas aussi
porter l’uniforme.
Après trois heures de
route, au milieu d’une grande forêt, étroitement surveillée par des hommes
armés à cheval, des maîtres-chiens qui aboient à mon passage, de multiples
sodomies sauvages par les gardes et leurs chiens et ma première saillie équine
dans ma chatte en chaleur, on m'aide d'une poigne ferme à sortir de voiture. Je
marche sur du gravier, monte quelques marches, puis franchis une ou deux
portes, toujours à l'aveugle.
On retire ma cape, on
me caresse sur tout le corps. Je me retiens de jouir, quand je suis doublement
fouillée.
Je porte un corset
seins nus mettant en valeur mes hanches de courtisane, mon dos cambré et mes
fesses en arrière, mes seins tendent même leurs mamelons. Il mouler le corps,
pour en épouser les formes et les mettre en valeur. Je porte aussi une jupe
éventail juste au ras des fesses.
Mes anneaux de mes
grandes lèvres et ceux de mes petites lèvres sont cadenassés pour éviter toute
pénétration de ma chatte.
- Tu dois rester
chaste.
Je dois aussi porter
une ceinture de chasteté rendant inaccessible ma chatte à la pénétration par un
mandrin : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un
centimètre) permet à la femme d’uriner, mon clitoris et mes petites lèvres non
cadenassées sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un
orifice anal. Elle est confortable et verrouillée par un cadenas.
Une ceinture mise en
place, je suis présentée à la directrice, un superbe transsexuel brun aux seins
plantureux, dans une robe à corselet seins nus, doté d’un gros mandrin.
- Je m’appelle Lady
Orchidée. Je suis là pour ton instruction. Toute faute commise par toi, ou une
des soumises ou vis-à-vis d’un client, sera sévèrement punie jusqu’à
l’isolement et cela joue sur ton carnet de soumise. Le nombre total de fautes
sera totalisées et transmises à tes Maîtres. Tu seras saillie suivant un
planning précis. Tes seins, tes fesses et tes cuisses seront fouettées chaque
jour. Tu vas porter aussi le gode anal Plaisir, spécialement adapté.
J’écarte mes fesses.
Le gode long de vingt-cinq centimètres et sept de diamètre s’insère sans
difficulté. Il est veiné, en érection, réaliste, au prépuce rétractable, lors
de ses va-et-vient à diverses vitesses, gainé de picots.
Trois chaînettes sont
fixées à la base du gode, accrochées à la ceinture de chasteté, une par
derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui
longeaient le pli des aines en contournant le triangle. On les ajuste au plus
court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le
gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et
distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que,
lorsque je suis seule, je ne puis être tenté de me soulager de cette
contrainte.
L’effet est immédiat,
les va-et-vient me conduisent à l’ondulation de mon bassin.
- Rappelle-toi, tu as
interdiction de jouir avec ce gode. Va au salon, te présenter.
Marchant les cuisses
écartées, les yeux baissés, la bouche entrouverte, retenant mes râles de
plaisir, tenue en laisse par mes anneaux de ma chatte, je quitte le bureau de
la directrice au premier étage.
Je découvre des
dizaines de soumises. Tous portent une marque au fer rouge, soit sur l’épaule,
soit à l’intérieur des cuisses, avec un fouet et une cravache entrecroisés.
Le valet qui me tient
en laisse, prénommé Ahmed, un bel étalon, fait une halte, lorsque je croise des
invités. Je dois soulever ma jupe, pour montrer ma ceinture de chasteté.
Je suce chacun d’eux,
accroupie, cuisses écartées, écoutant leurs compliments sur ma bouche dressée.
- Quelle suceuse,
c’est une pure merveille.
- J’ai hâte d’honorer
son œillet.
Je ne compte mes
clients. Ma bouche dégouline de spermes, recouvrant mon décolleté.
Au bout de deux heures,
on me retire le gode anal.
Cravachée par les
clients sur les fesses et les seins, je suis enculée à de nombreuses reprises,
tous éjaculent dans ma bouche. J’avale tout.
Je suis saillie par
les chiens des invités, jusqu’à l’épuisement par mes nombreux orgasmes anaux
que j’ai retenu avec le gode.
Après trois heures de
sodomies sauvages, saillies anales, je suis conduite aux écuries, en remontant
un passage souterrain.
Là, installée sur un
chevalet, je dois sucer le gland de mon premier cheval, un pur-sang, Tornade.
Une fois en érection, les invités me mettent son gros sexe, long de
quatre-vingt centimètres dans ma chatte en feu, libérée de la ceinture de
chasteté.
Je mouille
d’excitation.
Baisée, je sens le
gland qui vient de toucher le col de l'utérus et me provoque un formidable
orgasme. Je coulisse sur le vit en poussant des cris de plaisir, mais soudain
les cris changèrent. Le cheval éjacule me provoquant un nouvel orgasme
foudroyant.
Un des invités
m’enduit l’anus du sperme équin. Je suis bien ouverte. Positionnant le gland du
membre devenu moins dur sur sa rondelle, je commence à pousser. Le sphincter résiste, mais le
muscle cède. J’hurle de douleur, mais ne lâche rien. Je suis enculée sur trente
centimètre. Je commence à m'agiter doucement puis, mon anus se dilatant,
accélère le mouvement mais s'arrête net en poussant un hurlement de douleur: le
cheval, sous l'effet du coulissement sur sa queue, rebande. Mon anus est tendu
à la limite de la déchirure. Je ne bouge
plus, mais pousse des cris de douleur qui bientôt s'éteignent. Mon anus s'étant
habitué au sexe énorme qui le pourfend, j’hurle de plaisir. Pendant ce temps,
le cheval éjacule une dernière fois ce qui me provoque un énième orgasme. Ahmed
fait sortir le sexe débandé de mon anus rougi complètement distendu et
boursouflé ce qui libère un flot de sperme.
A peine remise, je
suis enculée par un alezan, Zéphyr. La saillie anale est plus jouissive.
Enfin, je finis avec
un trotteur français, Etalon de Bon Plaisir. Il m’encule d’une seule traite.
L’anus dégoulinant de spermes équins, pantelante, je suis libérée du chevalet.
Je dois porter une
large ceinture de cuir garnie de boucles et d'anneaux qu'il serre au maximum
autour de ma taille. Je ne peux presque plus respirer, ma taille est fortement
réduite.
Je suis offerte en
double pénétration par Lady Orchidée dans ma chatte et Ahmed qui m’encule,
devant un grand miroir pour que je puisse admirer ma taille de guêpe. J’enfile
un harnais de cuir qui me serre depuis les reins jusqu'à la tête. Je porte un mors
relié à des rênes qui me pendent sur le ventre. Le mors était articulé avec
deux tiges métalliques arrondies qui viennent appuyer sur mon palais lorsqu’on
tire sur les rênes. Ma langue est prise dans une pince fixée à son mors. Je
porte des oeillères pour réduire mon champ de vision et un bijou d’anus avec
une magnifique queue de cheval qui avait exactement la couleur de ses propres
cheveux. Elle est ornée de rubans à la base et en plusieurs points de sa
longueur. Elle fait près d'un mètre de long et se termine par une tige fine et
souple elle même fixée à un gros cylindre long et creux. Je porte un gode
gonflable. Puis les invités m’enculent longuement à tour de rôle.
Je deviens ainsi
Gwendoline la belle des Haras. Mes pieds nus sont chaussées de cuissardes avec
des hauts talons. Je dois marcher avec des petits pas.
Les invités
m’admirent, me promènent dans les écuries. A chaque fois, un nouvel sexe équin
m’encule. Je jouis, bâillonnée, cravachée.
Je passe une semaine
aux écuries, à me faire saillir, à marcher au trot, levant bien haut mes jambes
au manège. Je suis nourrie de nourriture liquide.
Au bout d’une semaine
comme jument, je suis libérée de mes accessoires. J’ai maigrie. Je retrouve mon
uniforme et je reprends mes cours. Je porte sur mon épaule gauche, la marque au
fer rouge, lors de son séjour comme jument.
Bien instruite, je
suis offerte à de nouveaux clients, qui me fouettent, m’enculent.
Mi-juillet, Alban
et Nathan viennent me rechercher à
l’Académie.
Je les reçois nue,
pieds nus. Je suis tatouée sur mon pubis totalement et juste au-dessus de la
naissance de mes fesses, V et D en lettres gothiques.
Alban et Nathan
m’enculent sauvagement, devant Lady Orchidée que je suce, avant de me faire
enculer par Lady Orchidée. L’anus débordant de spermes, je suis enculée par un
dogue allemand, Balzac, jusqu’au nœud.
J’ai droit à un bon
lavement anal et je porte mon bijou d’anus, le plus gros et le plus lourd.
Portant mes carcans,
mains jointes à mon cou, après mon bain, Alban et Nathan examinent mes reins et
mes fesses, aux cicatrises blanches et récentes.
Je revêt ma robe à
corselet seins nus, avec une jupe éventail et mes mules à très hauts talons. Je
ne porte pas mon boléro sur mes seins nus.
Lady Orchidée me
retire mes carcans, après que je l’ai sucé et tout avalé.
Dehors, il n'y a ni
valets ni chiens. Tous les deux me tiennent par la main.
Je découvre le parc.
Je découvre une limousine, conduite par César, le frère jumeau d’Horace. L’anus
libre, je le suce, accroupie, cuisses écartées, jupe relevée.
Il me tient sous les
cuisses et je m’empale, enculée sur son gros mandrin qui me remplit. Son torse
musclé et ses pectoraux frottent mes mamelons tendus. Je mouille d’excitation.
Il éjacule en moi et
je le suce pour le nettoyer.
Nous prenons la
limousine.
- Lève ta jupe maintenant et montres-moi ton
cul!
Je soulève ma jupe vers le haut. Il est vrai
que de chaque voiture que la limousine double, les occupants ont une vue
imprenable sur mes fesses
- Ecarte un peu les
jambes pour que j’aille voir un peu plus loin ce qui se passe, m’ordonne Alban
l! Voilà une position de chienne en rut me complimente-t-il.
Ses doigts se posent
sur mon anus libre et commencent à le masser délicatement sur les bords
d’abord, puis de plus en plus franchement au centre. Peu à peu, les sphincters
se relâchent et son index en profite évidement pour forcer le passage et
commencer à fouiller. Il en ressort gluant, recouvert de mouille anale. La
mouille, se concentre juste derrière mon anus et ne demande qu’à sortir à la
première poussée. Il me laisse ainsi près de cinq minutes afin que toute la
mouille descende vers la sortie, pour le plus grand plaisir des autres
automobilistes. Il met sa main en forme de coupelle sous son anus.
- Relâches tes sphincters à présent, dis-il!
Au besoin aides-toi avec un doigt.
Je passe une main
entre mes cuisses et m’enfonce doucement l’index dans le cul. Je me mets à
fouiller timidement. Lorsque mes sphincters se relâchent, il s’en écoule une
substance visqueuse et gluante, pas très liquide, mais ayant une forte odeur de
poisson. Il retire sa main puisque plus rien ne sort de mon anus.
Au parking de la
station-service, je descends, nue et en mules, faisant les cent pas, l’anus
libre. Deux beaux routiers musclés me toisent
- Bonjour, belle
dame.
Je rejoins la petite
cabine à l’arrière de leur camion.
Je les suce, à quatre
pattes entre les deux, livrant ma chatte, mon anus et mon clitoris à leurs
doigts.
Je suis menottée au
lit, à quatre patte. L’autre homme me cravache les fesses. Je mouille pendant plusieurs
minutes puis le premier me fesse magistralement, tout en m’enculant jusqu’aux
testicules. Je suce le second au gros mandrin. Il m’attrape par les cheveux et
me dirige ma bouche vers son mandrin fièrement dressé. Il force l’entrée de ses
lèvres.
L’homme que j’ai
sucé, m’encule aussi sur une plus grande longueur jusqu’aux testicules.
Mon anus lubrifié par
le premier me donne du plaisir sous ses va-et-vient.
Je les nettoie
ensuite.
Je reste menottée au
lit, tandis que le camion reprend la route. Je suis allongée sur le dos,
cuisses écartées, enculée par son partenaire. La limousine les guide.
Après une heure de
sodomies sauvages, menottée au lit, par les deux routiers, nous entrons dans
une longue allée boisée. Le camion stationne près d’un hangar.
On m’aide à descendre
du camion, nue, l’anus rempli de spermes, avec mon bijou d’anus et mes mules.
Les portes de la
remorque s’ouvrent et je découvre des dizaines de jeunes filles nues, avec des
carcans de cuir, aux corps zébrés, qui sont libérées et conduites au hangar,
saillies dans la foulée par plusieurs chiens de garde.
Alban s’approche
derrière moi et me susurre :
- Bienvenue au
Château du Comte Brice de Sodome et Mille Vices. Tu es son invitée. Les deux
routiers t’ont bien fait jouir.
- Oh oui, c’est
jouissif.
- Tu es encore plus
resplendissante, avec tes anneaux, totalement lisse, tes mamelons et ton
clitoris sont encore plus tendus.
Un bel étalon, en
homme d’affaire, se présente.
Instinctivement, je
baisse les yeux, entrouvre ma bouche.
- Voici, VD, la
fameuse soumise, très belle, la bouche bien dressée, doublement ouverte, à
temps plein, consensuelle, tu vas apprendre à farder ton corps de déesse. Déjà
saillie par des chiens et des chevaux, ainsi que par des singes, tu es très
recherchée. Je te conduis à ta chambre de l’aile des Vicieuses de premier rang.
L’homme me prend par
la main. Je suis escortée par un valet, qui me tient en laisse par les anneaux
de ma chatte, reliés entre eux. Un doberman est à mes côtés.
Le château possède un
grand hall d’entrée, au sol en marbre, avec au rez-de-chaussée, les salles de
présentation, des cellules de soumises indociles. Au premier étage, par un
grand escalier en marbre, les chambres, les locaux des valets, le chenil et la
salle de sports et de punitions.
Au second étage, se
trouve la salle des jeux, de multiples pièces secrètes, le tout sous
surveillance vidéo constante, comme l’ensemble du château. Je découvre aussi la
chambre du Comte, entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs
et au plafond. Des vidéos sont diffusées en continu ou des vues sur les
chambres des vicieuses.
Sans attendre, nue,
déchaussée, je suis offerte au Comte.
Le Comte s’offre,
assis sur ses jambes ouvertes et repliées, ventre tendu en avant. Tête en bas,
j’embouche son gros mandrin, les genoux en appui sur les épaules du Comte. Je
lèche son gland.
- Quelle suceuse
experte que tu es.
Il se redresse et
fait glisser mes cuisses sur ses épaules, j’embouche son mandrin jusqu’aux
testicules.
Il lèche ma chatte
percée et trempée, mon clitoris tendu et doigte profondément mon anus lubrifié.
- Quel superbe écrin
et quel œillet bien ouvert, tu me plais.
J’enserre et soupèse
les testicules de mes doigts agiles et experts.
Dans une envie de
désir, libre, je m’empale sur son mandrin, qui m’encule. je m’accroche à son
cou, mes jambes sur ses épaules, enculée jusqu’aux testicules. Assis au bord du
lit, il me maintient sous les reins et me fait coulisser à son rythme. Je
m’empale totalement pour l’embrasser, selon ses désirs. Il éjacule en moi et je
le suce en retour dans un 69 torride.
Escorté par le valet,
qui me tient en laisse par les anneaux de ma chatte, après une douche rapide à
l’eau froide et un lavement, menottée, les bras en l’air. Je découvre ma
chambre, entièrement recouverte de miroirs et de glaces sur les murs et au
plafond, avec un lit ordinaire. Deux mètres au-dessus de la tête du lit, un
gros anneau brillant était scellé au mur où passe une longue chaîne d'acier :
l'une de ses extrémités s'entasse sur l'oreiller en formant une petite pile
d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.
Il me saisit les
mains, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces
deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou.
Le valet accrocha l'anneau de la chaîne qui se trouve sur l'oreiller à celui du
collier, et je m’allonge, cuisses écartes. Le valet défait du crochet l'autre
extrémité de la chaîne et la tire : elle cliquète dans l'anneau, se tend. Mes
poings poussant son menton, je suis enchaînée au mur.
Le doberman me lèche
la chatte, puis m’encule jusqu’au nœud, couchée sur mes bras. Je jouis jusqu’à
l’éjaculation.
Le valet m’encule,
prosternée. Je dois garder l’anus libre.
Après une courte
sieste, suçant les valets et enculée par le doberman, je fais mes besoins
naturels. je suis baignée, dans une salle de bains au demi-étage. Accroupie,
cuisses écartées, dans une baignoire, entourée de miroirs et de glaces sur les
murs et au plafond, la canule enfoncée dans mon anus. Je suis rincée à l’eau
froide, les yeux baissés. Je me retiens de jouir, lors du balayage soigneux
d'une énorme éponge sur laquelle je me frotte plusieurs fois. Lorsque l'éponge
est disposée entre mes cuisses ou sur mes seins. Pendant mon lavement, le valet
me lave les cheveux, après m’avoir menottée, les bras en l’air à un crochet
au-dessus de ma tête.
L’anus propre, il me
rase les poils rebelles de mon pubis.
Nue, en mules, devant
un grand miroir à trois faces je me farde la bouche avec un rouge clair, un peu
liquide, que j'applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Je peins du même
rouge l'aréole et mes mamelons percés, et les petites lèvres entre mes cuisses,
en soulignant la fente du giron.
Nue, en mules,
fardée, parfumée sous les aisselles, sur mon pubis lisse, sous les seins et au
creux des paumes, tenue en laisse, les mains menottées dans le dos, avec mon
bijou d’anus, je suis conduite aux salles de présentation. Mes mules claquent
sur le marbre. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte. Les valets me
caressent, forcent ma bouche.
Dans la salle de
présentation, je retrouve le doberman et des invités masqués, nus, les mandrins
en érection. Je ne reconnais pas le Comte.
- Voici VD, instruite
aux sévices, jouisseuse canine et suceuse experte, elle n’attends que vos
queues pour la satisfaire. Son œillet est réservé à ses amants du soir :
le dogue Lancelot et au doberman Hannibal, autant de fois qu’ils le désirent.
Sa chatte est doigtée uniquement sans orgasmes non autorisés et sa bouche est remplie
par vos spermes. Accroupie, cuisses écartées, donne du plaisir.
Les invités
m’entourent, je suce sur de bonnes longueurs, manquant de m’étouffer. Je reçois
une bonne giclée de spermes chauds en bouche.
Si les chiens me
désirent, je dois m’offrir, allongée sur le dos, les jambes relevées et
écartées, des chaînes fixées aux bracelets de mes chevilles m’empêchent de
resserrer les cuisses pendant ma saillie. Je connais plusieurs orgasmes.
Allongée sur le
ventre, le chien m’encule tête-bêche, pour que je suce les hommes. La première
saillie dans cette position me fait un peu mal, mais je me soumets aux désirs
du chien.
Je reste une partie
de l’après-midi, saillie, à sucer et à avaler, les fesses et les cuisses
brûlantes sous la cravache des invitées.
Je suis leur esclave
sexuelle.
Chaque jour, pendant
un mois, je suis offerte à de nouveaux invités, de nouveaux chiens me sont
offerts.
Ce n’est qu’à la fin
août, que je recouvre ma liberté.
Je suis devenue une
très belle esclave, musclée, sportive, intégralement lisse, coiffée à la
garçonne. Je porte en plus de mes anneaux, de mes tatouages, un nouveau
tatouage autour de ma cuisse gauche « Alban Nathan Marquis Baron ». A
l’anneau de ma petite lèvre gauche, un disque de même métal aussi large que l'anneau
est long. Sur une des faces, mon nom, le titre, le nom et le prénom du Marquis,
et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. J’en suis fière.
Je vis désormais dans
ma villa, toute nue, en mules, prête à toutes les demandes de mes amants, je
garde ma bague.
Tous aiment
m’enculer, souvent je me fais saillir par leurs chiens, qui m’enculent aussi.
Cela surprend certains de mes amants, mais je les suce avec un tel bonheur, que
doublement remplie de spermes, je suis aux anges.
Bons baisers de
Shawn, votre esclave dévouée, j’ai hâte de vous rencontrer.

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