vendredi 1 mars 2019

Manoir fin


Un après-midi, Sir Frédéric me fouette plus fort qu’avant, alors que je suis menottée au crochet, enculée par le vibromasseur. En quelques minutes, mon corps porte  d'épaisses balafres violettes faisant comme des cordes en travers des épaules, du dos, des fesses, du ventre et des seins, et parfois s'entrecroisant. De place en place un peu de sang perle.
A mon retour, je découvre Sarah, nue, allongée sur le ventre, ses poignets fixés aux barreaux de la tête du lit et ses chevilles au pied du lit, attachée en croix sur le lit, bras et jambes écartés.
Elle m’avoue que plusieurs hommes l’ont violé, enculée à plusieurs reprises, ainsi qu’un chien. Elle n’a pas pu voir leurs visages, car ils sont cagoulés et silencieux.
Je l’amène dans un discret cabinet gynécologique, qui permet de récupérer leurs spermes pour examens pour l’ADN.
Pendant une semaine, Sarah m’autorise juste des caresses de seins et des baisers sur sa bouche, puis nous refaisons les 69, nous doigtant nos chattes et nos anus. Elle refuse de faire l’amour à un homme. Mais elle accepte de se faire baiser la chatte par mon doberman, elle prend son pied.

Le dimanche suivant, alors que je suis seule, nue, fardée et parfumée, chez moi, j’entends à dix heures, une clef tourner dans la serrure.
Sir Oscar entre et me fait monter à ma chambre.
Sir Oscar m’embrasse langoureusement sur la bouche, glissant sa main entre mes cuisses, doigtant simultanément ma chatte et mon anus. Je jouis.
Penche-toi en avant, les mains au sol, je vais te prendre pendant que tu vas te confesser.
Sir Oscar se déshabille, se met debout derrière moi. Je le vois par le grand psyché, où je me vois tout entière.
Sir Oscar m’encule, jusqu’aux testicules, me donnant quelques claques magistrales, entre deux questions auxquelles je réponds. Je n’ai pas appartenu à d’autres hommes depuis mon retour du manoir, je ne désire pas appartenir à d’autres que j’ai rencontré, je me caresse la nuit quand je suis seule, j’ai des amies que je caresse et je désire Sarah. J’ai un premier orgasme anal peu après qu’il a caressé mon clitoris.
Sans débander, je montre à Sir Oscar, des photos de Sarah, nue.
Puis il se retire, m’allonge sur le dos, sur le lit, il m’ouvre complètement les cuisses, en m’enculant, il me saisit par les chevilles. Je me caresse les seins. La sodomie est longue jusqu’au nouvel orgasme et il éjacule en moi.
Il me remet le bijou d’anus extra large en place.
Il me relève et je m’habille.
C’est pendant le déjeuner qui suivit au bord du fleuve qui traverse la ville, que Sir Oscar, demeuré seul avec moi, recommence à m'interroger. Je m’assois les cuisses nues sur une chaise de fer, ayant relever ma jupe. Sir Oscar me fait face, qui parle lentement, décidée à ne pas dire un mot qui n’est vrai. Il veut connaître mon attraction pour Sarah, son corps mince et fuselé, fragile, enfantine et terriblement belle.
- Prudence, je serais heureux si tu le veux. Réponds.
- Je ferais ce que tu veux, réponds-je.
- Bientôt, tu ouvriras tes fesses, ta chatte et ta bouche à mes amis qui auront envie de toi, quand ils t’auront rencontrée. Tu relèves de moi. Je te veux faire l’amour à Sarah et il faudra l’emmener au manoir. Et comment crois-tu que se recrutent les filles pour le manoir ? Une fois que tu l'auras. amenée, rien ne te regardera plus et d'ailleurs, si elle veut partir, elle partira. Viens.
Il se lève brusquement, laissant sur la table l'argent de l'addition. Je le suis jusqu'à la voiture, monte, m'assois.
A peine nous avons pénétrés dans le bois qu'il fait un détour pour se ranger dans une petite contre-allée, et me prend dans ses bras, m'embrasse passionnément. Puis il me couche sur la banquette et ouvre mon chemisier blanc, sur mes seins nus. Mes chevilles nues se débattent sous le tableau de bord. Il m’encule longuement et vigoureusement et éjacule en moi. J’ai un violent orgasme anal.

Sarah loge chez moi, dans ma chambre d’ami. Nous faisons l’amour chaque fois, léchant nos clitoris, nos chattes et doigtant nos anus, avant d’enfoncer les godes, les vibromasseurs de divers calibres pour choisir.
Sarah se fait saillir par mon doberman, d’abord dans sa chatte avant qu’elle accepte de faire enculer comme moi.

Si bien que je me rends chez Sir Oscar chaque matin, Fleur me fait me déshabiller devant Sir Oscar, elle prend mes vêtements et je ne garde que mes mules à hauts talons. Je suis toujours fardée et parfumée comme au manoir.
Il y a deux fauteuils et un chevalet où Sir Oscar me menotte juste les chevilles, laissant mes mains libres, pour prendre le téléphone posé à proximité de mes épaules, que je décroche.
Mon postérieur est plus haut que ma tête. Mes jambes sont fixées le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je ne peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible et on peut me faire tout subir.
Sir Oscar ne gêne pas pour me cravacher les fesses, ou avec une palette à fesser, me faire saillir par ses chiens qui m’enculent et bien sûr, à m’enculer.
Une fois alors que je suis menottée au chevalet, Fleur entre, je suis courbée, la croupe offerte, attendant que Sir Oscar m’encule. Je lève la tête. Nos regards se croisent. Sir Oscar me plaque contre le chevalet. Mon anus est contracté et joint.
Sir Oscar me force l’anus, mon anus se serre autour de son mandrin. Il ne se retire de moi, après avoir effectué quelques va-et-vient sans difficulté. Alors au moment de me reprendre, il dit à Fleur d'attendre, et qu'elle pourra faire me rhabiller quand il en aura fini.
Cependant, avant de la renvoyer, il m’embrasse sur la bouche avec tendresse.
- Fleur me fait peur.
- Tu la craindras davantage, une fois que tu porteras ma marque et mes fers. Dany s’en occupera. Nous allons la voir après le déjeuner. C'est une de mes amies, et tu remarques que jusqu'ici je ne t’ai jamais fait rencontrer de mes amis. Lorsque tu sortiras de ses mains, je te donnerai de véritables motifs d'avoir peur de Fleur.
Dany habite dans la forêt, à deux heures de routes du centre-ville. Je suis vêtue d’un chemisier vichy sans boutons, sur mes seins nus et sans jupe, les jambes nues, chaussée de mes mules à hauts talons. Sir Oscar m’a choisi un vibromasseur réaliste, long de vingt-trois centimètres et cinq de diamètre, avec une paire de gros testicules moulés réalistes en butée. Il fixe ensemble mes bracelets en cuir dans mon dos, pour que je ne puisse me caresser pendant le trajet. Je subis la montée et la descente rapide du gland, qui vibre à à-coups et vibre par intensité progressive, avec des pauses décidées par Sir Oscar.
Je bouge mon bassin régulièrement. J’adore me sentir remplie et je mouille bien de l’anus.
Arrivés à destination, Sir Oscar m’aide à descendre de voiture.
Nous parcourons une allée décorée de dalles en pierre, sur lesquelles mes mules claquent.
Dany nous accueille. C’est une grande blonde, transsexuelle, plantureuse, vêtue d’une robe transparente mettant en valeur son corps bronzé, ses seins, son pubis épilé et son gros mandrin en érection.
Un bouvier des Flandres à poil rugueux vint nous accueillir. Il renifle mes genoux de  sous mon chemisier et me lèche la chatte.
Dany nous rejoint.
- Voici, la belle Prudence. Libère-la, retire-lui le vibromasseur, qu’elle se retire son chemisier, je veux voir son corps.
Une fois nue, je suis attirée devant Dany.
- Viens que je te voie le ventre, tes fesses, ma chérie.
Je pivote devant elle. De ses longs ongles vernis, Dany m’effleure le ventre pour juger de sa délicatesse, m’examine les jambes.
Pendant ton séjour, tu porteras une guêpière seins nus pour affiner ta taille plus que le corset que tu as porté au manoir.
- Penche-toi et écarte tes fesses.
J’obéis.
Dany ouvre sa robe et enfonce son gros mandrin dans mon anus lubrifié et béant. Je jouis, les mains en appui sur mes genoux, mes seins se balancent au rythme des coups de mandrin. Dany me saisit aux hanches pour m’enculer profondément, me caresse les seins et m’ouvre davantage les fesses.
- Ton anus a été forcé.
- Oui. Plus d'une fois.
- Elle a été déchiré, aussi.
Pourtant, au manoir, ils l'ont préparé en l'élargissant.
Un orgasme anal m’envahit, le troisième depuis mon départ en voiture.
A peine remise de mon orgasme, l’anus inondé par son sperme, je suce Dany, tandis que Sir Oscar m’encule pour me faire jouir encore.
- Tu es une bonne suceuse, Prudence.
Dès que Sir Oscar a éjaculé en moi, il me met un bijou d’anus extra large pour que je garde leurs spermes.
Dany m’habille d’une guêpière de taffetas de nylon, et des bas très fins et noirs, Dany enfile les bas jusqu'au haut de mes cuisses, après que j’ai retiré mes mules. Dany me met la guêpière, qu'un busc, sur un côté, permet de boucler et de déboucler, tandis que par-derrière un laçage se serre ou se desserre à volonté.
Dany accroche les bas, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles. Dany lace la guêpière étroitement. Ma taille se creuse sous la pression des baleines qui, sur le ventre, descendent jusqu'au pubis. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse les fesses entièrement libres.
- Il faut compter une dizaine de jours, pour la préparation. Je suppose que vous voudrez poser les anneaux et le chiffre vous-même ? Revenez dans quinze jours, pour que nous soyons tranquilles. Ensuite, tout devrait être fini au bout de deux autres semaines. Prudence, mets-toi à genoux devant Sir Oscar.
Je m’agenouille, les bras ballant le long de son corps.
- Croise les mains derrière le dos, Prudence, et baisse les yeux.
J’obéis scrupuleusement, pensant même à entrouvrir les lèvres, puis reste immobile, le ventre frémissant d'être ainsi exposé, à peine redressé devant lui.
- Je vais te poser une question, et il est encore temps de refuser. Mais si tu acceptes maintenant, aux pieds de Sir Oscar, tu ne pourras plus te dédire. Comprends-tu ?
- Oui.
- Voici la question – écoute-la bien : Prudence, consens-tu à porter les anneaux et le chiffre dont Sir Oscar désire que tu sois marqué, sans savoir comment ils te seront imposés ?
- Oui, j’accepte de porter les anneaux et le chiffre dont Sir Oscar désire que je sois marqué... sans savoir comment ils me seront imposés.
- Très bien. Je reconduis Sir Oscar. Reste là. Mets-toi à quatre pattes, retire le bijou d’anus, le bouvier va s’occuper de toi.
Sans demander son reste, le bouvier m’encule jusqu’au nœud. J’ai plusieurs orgasmes anaux.
Il se vide longuement en moi, je suis sa chienne.
Mes râles font venir à moi, trois jeunes étalons nus, portant un collier et des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles, munis d’anneaux péniens et d’étireurs de testicules me rejoignent.
Les yeux mi-clos, je fixe mon regard sur leurs mandrins, que je serais prête à sucer.
Le chien se retire et un des garçons, Yannick, un brun, musclé, bronzé, s’approche de ma bouche et m’enfonce son gland. Je le suce en experte, jouant avec ses testicules qui sont deux clémentines bien fermes : chaque testicule devient bien gonflé et beaucoup plus sensible.
Je découvre que ses testicules sont reliés par une tige à un gode enfoncé dans son anus.
Dany me rejoint et m’annonce :
- Ma belle, ton amant ne peut éjaculer car son mandrin est bien enserré. Tu peux juste le sucer. Sir Oscar t’a fouettée depuis cinq jours, au fouet. Pendant un mois, à partir de demain, et pour te préserver en vue de ce que tu dois subir, tu ne seras plus fouetté. Mais tu le seras tout à l'heure, pour ton arrivée, puisque tu n'auras pas d'autre mal à endurer aujourd'hui. Sir Oscar ne t'a jamais fouetté l'intérieur des cuisses. Nous allons nous en occuper, quand j'aurai fini de t'examiner. Tu porteras un corset avec une ceinture de chasteté pour affiner ta taille. Tu seras marquée sur les fesses. Avec la ceinture de chasteté, ta chatte n’est plus accessible à la pénétration par un mandrin, mais tu pourras faire pipi, ton clitoris percé et tes petites lèvres seront étirées à travers la fente étroite. Bien sûr, mes étalons, mon bouvier pourront t’enculer.
Le corset en nylon, aussi durement baleiné et étroit que la guêpière, sauf qu'il prend tout le buste et monte à mi-poitrine, laissant les seins entièrement nus. Il se referme entre les jambes avec une plaque en fer, munie d’une fente étroite, où Dany fait passer le clitoris et les petites lèvres. Au niveau du sillon fessier, un orifice anal  laisse répondre aux besoins de la nature – et, le cas échéant, à la sodomie.
Charles me lace le corset, se place derrière moi, et tire sur le lacet en commençant par le bas. À mesure qu'elle serre, mes seins remontent, et offrent davantage leurs mamelons. En même temps la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le pubis et cambrer profondément les reins.
- On va te mettre des bracelets. Charles, va chercher la boîte. Apporte aussi les jetons. On tirera au sort qui le fouettera, dans la salle de musique.
Je me regarde dans le grand miroir, seins nus, avec mon corset et ma ceinture de chasteté, prête à m’offrir au premier venu.
Je porte le même collier de cuir qu’au manoir, des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles et des tongs à hauts talons complètent ma tenue de soumise.
Puis Dany me tend quatre jetons, en me priant d'en donner un à chacune d'eux, sans regarder le chiffre qui y est inscrit.
Après le choix, c’est Charles, qui me saisit par les bras et me conduit dans une pièce où je me retrouve suspendue dans le vide, par les bras tendus et les cuisses complètement ouvertes, les jambes tendues. Je suis maintenue par mes bracelets aux poignets et aux chevilles, dans cette position exposant ma chatte dans la ceinture de chasteté et mon anus violemment écartelé. Dany s'approche pour me caresser l'intérieur des cuisses du bout des doigts.
- C'est l'endroit du corps où la peau est la plus douce. Il ne faudra pas l'abîmer, Charles : tu iras doucement.
Dany me met en plus un collier de maintien à mon cou, pour que je garde la tête droite.
Charles a son mandrin à hauteur de ma chatte.
Le premier coup sur l’intérieur de mes cuisses me surprend, car plus sensible. Charles passe de la droite à la gauche, s'arrête, reprend, et il lance le bras avec une sorte d'entrain joyeux qui fait claquer les lanières énergiquement.
Dany ordonne : « Plus vite. Et plus fort. »
Dany en profite pour rentrer en profondeur une aiguille glissée dans une bague dans mon sein et j’ai une sensation de brûlure qui passe vite.
Mais à mesure que mes cuisses me brûlent davantage et je sens mes seins pousser.
Je le subis, cependant, et jusqu'au bout, et même, quand Charles s’en va.
Dany me sourit. « Remercie-moi. »
Et je la remercie.
Aujourd'hui, je demeure le reste de l'après-midi, trois heures encore, jambes ouvertes, tendues, face au jardin sur lequel on a ouvert la porte-fenêtre.
A tour de rôle, les trois étalons m’enculent pour me mener à l’orgasme.
- Mettez-la en position pour la pose des anneaux d’essais.
Je me retrouve allongée sur un banc, mes jambes sont détachées et repliées en me faisant toucher les épaules des genoux.
Une sangle est passée et refermée en travers de mes jarrets, et bouclée étroitement. J’ai ainsi les seins gonflés écrasés sous mes cuisses et les pieds à l'équerre, qu'on rattache ensemble au moyen des anneaux des chevilles et qu'une autre sangle, passée dans les anneaux en haut des colonnes, tire vers le plafond.
Dany me perce la petite lèvre gauche, pour que deux anneaux de fer mat inoxydable, avec chacun une tige ronde, épaisse, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Les deux U s’emboîtent l’un dans l’autre, chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long.
Je ne peux me dérober quand un des étalons m’enculent.
Le soir venu, je me couche tôt dans une chambre au rez-de-chaussée, voisine du salon. Je garde ma guêpière et ma ceinture de chasteté.
Je suis menottée à quatre pattes sur le lit, offrant mon magnifique fessier, Dany me lubrifie l’anus. Je relève bien mes fesses. Le bouvier m’encule longuement avant d’éjaculer à deux reprises.
Dès qu’il a retrouvé son ardeur, il m’encule à nouveau.
Profitant de mon anus béant et humide du sperme canin, un des étalons m’encule aussi.
Je subis au moins cinq saillies dans la nuit.
Pendant la journée, entre les sodomies par les étalons et le bouvier, les heures à être fouettée, à me faire lécher le clitoris par le chien et les piqûres dans mes seins, je suis occupée.
Ma petite lèvre gauche s’étire sous le poids des anneaux.
Certains soirs, Dany m’encule dans sa chambre. Je remarque qu’un des étalons subit aussi une transformation mammaire pour devenir un transsexuel.

En une semaine, je suis passée d’un bonnet B à un bonnet C et Dany continue ses piqûres pour que j’offre un bonnet D, plus sexy, pour porter la guêpière.
Dany me convie pour la seconde semaine aux écuries, non loin de sa maison. Là, j’entends les râles. Je découvre James, se faire enculer par un pur-sang, entravé sur un banc.
- Oui, Prudence, je te destine à ce plaisir avec un cheval. Tu en prends beaucoup avec mon plaisir. Un cheval offre une grosse queue et de grosses couilles qui pourront te satisfaire. Je vais te déshabiller et tu vas le sucer.
Nue, en mules, je m’accroupie sous lui, je mouille d’excitation. Je prends son énorme sexe entre mes doigts et je commence des va-et-vient très sensuels avec mes deux mains. Sa bite a immédiatement gonflé. Elle s’est allongée  et est devenue très grosse et dure. Elle faisait au moins quatre-vingt centimètres. J’approche ma bouche et je passe ma langue sur un étonnant petit tuyau qui était en plein centre de son gland dilaté, dur et bizarre Ma langue passe et repasse sur cette chose. Tout à coup du liquide blanc très important mais très clair m’inonde le visage et le menton, coulant sur mes seins et j'essaye de mettre son sexe dans ma bouche au plus profond.
Dany me courbe en deux, sous le ventre du cheval et entravées chevilles et poignets, l'instant de la saillie.
- D’abord, je vais te libérer ta chatte impatiente, puis deux autres pur-sangs t’enculeront ensuite et tu iras te promener à cheval, nue, empalée sur des godes. Tes multiples sodomies t’ont bien dilaté l‘anus que tu as juste à l’ouvrir pour accueillir son sexe.
Dany m’écarte le plus largement possible les lèvres de ma chatte et la grosse pine a cogné contre ma fente.
Le cheval tape un peu des pieds arrières d'excitation lorsque Dany fourre enfin sa bite dans ma chatte. Il me baise. Il me remplit totalement la chatte qu'il dilate excessivement : j’ai un orgasme, tout en suçant Dany, puis Charles, James et Hercules, mes trois amants.
Le cheval pousse très fort, son sexe durcit en moi.
Maintenant, écartez-lui les fesses, pour l’enculer.
Mon anus s’ouvre d’une seule traite et le sexe s’enfonce jusqu’à vingt centimètres, le gland et toute sa longueur de bite du cheval gonflent encore.
Dany le masturbe jusqu’à l’éjaculation, tandis que je suce les amants. Mon bassin ondule violemment. Soudain, le cheval éjacule en moi longtemps.
A peine a-t-on retiré le premier pur-sang, d’un autre sexe équin m’encule. La seconde saillie anale est plus facile, je suis bien béante et humide du sperme du premier. Je subis une nouvelle éjaculation dans mon anus et enfin, une troisième.
Dany me met en place un bijou d’anus large pour que je conserve le sperme équin. Ma bouche est remplie pour la première fois du sperme de mes amants, que Dany a exceptionnellement libérés de leurs contraintes.
Pantelante, fatiguée, après une courte douche revigorante, je monte à cheval.
Je m’enfile sur les deux vibromasseurs fixés à la selle, sollicitant ma chatte et mon anus béants et humides par les saillies équines. J’ai plusieurs orgasmes au trot, puis au galop, sous l’œil vigilant de Dany.
Les vibromasseurs sont activés simultanément ou en solo, avec leurs gland qui montent et descendent dans mon anus et ma chatte, dans des va-et-vient rapides, vibrant par à-coups et de façon progressive. Je ne peux me caresser le clitoris, car mes mains sont menottées à mon collier et Dany tient les rênes.
Je suis si bien empalée que je prends beaucoup de plaisir, avec les mouvements du cheval.
A la fin de la promenade, Dany me fait un double lavement et m’encule, avant de remettre la ceinture de chasteté. Demain, même programme. Ce soir, le bouvier m’enculera longtemps.

« Ton maître arrive demain, Prudence », dit Dany en survenant. « Et cette nuit, tu dormiras avec moi. Maintenant que tes seins offrent un bonnet D, tu dois porter ces anneaux à tes mamelons.
Je suis suspendue dans le vide, menottée comme au premier jour. Dany me perce chacun de mes mamelons constamment tendus, pour y placer un anneau d'or incrusté à sa base.
Dany me conduit dans sa chambre. Nous sommes nus.
Dany me défait aussi, entre les jambes, l'anneau qui porte le disque.
- Ce sont les dernières heures où tu vas dormir sans tes fers. Ceux qu'on te mettra demain ne pourront plus s'enlever.
Dany me mène devant une glace à trois pans, et elle le plaça en face pour qu'il pût se regarder.
- Regarde tes fesses, c’est de part et d’autre de ta fente de tes fesses, que sera imprimé les initiales de Sir Oscar.
Charles est invité à me faire jouir entre les mains de Dany.
Dany le met à genoux, les poignets attachés par les bracelets aux barreaux du lit, voyeur.
Dany m’étend sur le lit, sur le dos, m’écarte les cuisses, me lèche longuement le clitoris constamment tendu, tout en doigtant ma chatte et mon anus humides.
Dany me caresse les seins, pince mes mamelons percés. Je jouis.
Dany m’embrasse langoureusement sur la bouche.
Je me mets à quatre pattes sur le lit, mes cuisses tournées vers Charles, pendant que Dany m’encule longuement, multipliant mes orgasmes, retardant son éjaculation.
Dany se retire et éjacule longuement dans ma bouche., tout en doigtant mon anus béant et humide. Mon bassin ondule violemment.
Dany éteint la lumière.
- Viens maintenant, nous allons dormir.

Vers quatre heures du matin, je m’offre en 69 à Dany, pour m’enculer à nouveau, allongée sur le dos, les jambes relevées, mes chevilles sur ses épaules, jusqu’à l’éjaculation.
Je quitte enfin sa chambre, après un ultime orgasme.
Vers dix heures, devant Sir Oscar, je suis percée pour recevoir mes anneaux définitifs, dans la position dans laquelle Dany m’a fait poser les anneaux d’essais.
Sir Oscar est ravie de voir mon corps avec une poitrine plantureuse, ma taille affinée et ma rosette anale plus large, pouvant accueillir jusqu’à trois doigts ensemble. Les saillies anales canines et équines m’ont rendu l’anus encore plus assoupli.
Nous rejoignons l’écurie, où je suis entravée sur le banc. Je porte un bâillon pénis et je subis jusqu’à l’évanouissement la marque au fer rouge sur mes fesses.
Quand je reprends mes esprits, un des pur-sangs m’encule vigoureusement et profondément. J’ai un violent orgasme anal, lorsqu’il éjacule longuement en moi. Sir Oscar est comblé, tout en éjaculant à son tour dans ma bouche.
Libéré du pur-sang, je suis enculée une dernière fois par les trois amants, Dany et le bouvier, je reste entravée sur le banc, nourrie de leurs spermes.
Je suis une vraie chienne soumise. Un tatoueur me tatoue mon prénom prudence à chacune de mes chevilles, chaque lettre en caractère gothique est reliée par un chaînon stylisé.
Il tatoue aussi autour de mes grandes lèvres, mon prénom et les initiales de Sir Oscar et Sir Frédéric, comme cela est marquée sur la plaque. Les initiales de Sir Oscar sont S et O entrelacés sur ma fesse gauche et S et F sur ma fesse droite pour Sir Frédéric.
Je porte aussi une nouvelle bague en plus de celle à mon annulaire gauche. Celle-ci est portée au majeur droit, reliée au poignet par une fine chaînette, prouvant mon degré de soumission.
Les fers qui trouent ma lèvre gauche et portaient en toutes lettres que je suis la propriété de Sir Oscar, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de ses pas bougent entre ses jambes, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt. De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Mais Sarah et Brigitte ne reviennent que huit jours plus tard. René n’est pas là.
Durant ces huit jours, une couturière vient chez moi et réalise sur moi, des robes  pour le grand soleil et du soir très légères, toutes sont composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins. Sir Oscar me choisit une tenue de tennis, composée d'un short blanc à ceinture élastique qui s'enlève d'un geste, porté avec un petit polo échancré en trapèze, de la base du cou jusqu'à la pointe et sur toute la largeur des seins avec un boléro pour les cacher pour que le buste soit quasi nu, et, même sans le retirer, où l'on pouvait passer la main dans le boléro, pour caresser les seins nus accessibles. Je me baignerais nue avec mes fers.
Sir Oscar aime me prendre à la chatte, saisir et tirer à plein poing mes poils pubiens, m'ouvrir et me fouiller longuement de la main et doigtant simultanément mon anus.
Dans mes nouvelles robes avec mes petits boléros ajustés et fermés, en tenue de tennis, à peine fardée, sans chapeau, et les cheveux libres, j’ai l'air d'une jeune fille sage. Partout où Sir Oscar m'emmène, on me prend pour sa fille, ou pour sa nièce, d'autant plus que maintenant il me tutoie, et que je continue à lui dire vous.
Des fois, dans une ruelle, Sir Oscar aime me caresser les seins nus et libres, glisse sa main sous ma jupe ou mon short, m’encule sur le champ jusqu’à l’orgasme et inonde mon anus, avant de me remettre un bijou d’anus large.
Fleur m’encule avec un gode-ceinture et je retrouve le doberman qui m’encule longuement lors de mon retour. Sir Frédéric m’encule aussi.

Une autre fois, Sir Oscar m’invite à déjeuner.
Je suis nue, baignée. Sir Oscar apporte une sacoche à clubs de golf, et il me dit de l'ouvrir : elle contient plusieurs cravaches différentes, deux de cuir rouge un peu épaisses, deux fines au contraire et en cuir noir, un fouet de flagellant à longues lanières de cuir brun, chacune repliée et formant boucle à son extrémité, un autre de cordelettes à nœuds, un fouet de chien fait d'une seule et dure lanière de cuir noir dont le manche était tressé, enfin des carcans comme ceux du manoir, et de belles cordes, de différentes épaisseurs. Je dispose tout, côte à côte, sur le lit ouvert. Il me réclama des crochets X, et ayant trouvé comment disposer, pour faire une manière de décoration qu'il essaie d'abord sur le lit, fouets et cravache entrecroisés, il me montre que, face à mon lit, un pan de mur libre se prête à les recevoir. Il fixe les clous. Avec les carcans et les cordes roulées, j’ai ainsi, devant moi, la panoplie complète de mes instruments de supplice.
Sir Oscar me fouette avec un fouet de chien et une chicotte, qui est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
Je m’offre à quatre pattes sur le lit, les lanières me cinglent les fesses et les cuisses, je gémis un peu, puis il m’encule jusqu’à l’orgasme anal.

Dans un restaurant chic de la ville, dans une rotonde isolée, je suis installée sur le divan, un des amis de Sir Oscar à ma droite, l'autre à ma gauche, chacun dans un fauteuil, et Sir Oscar en face. Je suis habillée de ma robe à corselet et à jupe éventail, avec mon boléro, chaussée de mes mules à hauts talons, coiffée d’une queue-de-cheval, fardée et parfumée. 
Le premier a le double de mon âge et le second est un peu plus jeune.
- Elle est ma prostituée, qui consent à montrer ses seins, sa chatte et son anus à tous, à se donner à eux.
Je dois retirer mon boléro pour exhiber mes épaules et mes seins plantureux percés, récemment cravachés. Les deux hommes me les caressent, les soupèsent, me pincent tendrement les mamelons constamment tendus.
Sir Oscar me fait me relever ma jupe pour que ses amis voient comment je suis chiffrée et ferrée, il me laisse à eux.
Le plus âgé me fait agenouiller et sucer son mandrin jusqu’à l’éjaculation en bouche, tandis que le second m’encule. J’explose dans un long orgasme.
Le jeune homme se retire, je me rhabille et me conduit dans la chambre d’un luxueux hôtel.
Nus, nous faisons l’amour.
Il est bouleversé en voyant les marques du fer et du fouet, et me cajole les fesses.
Je m’agenouille et je le suce.
- Encule-moi, je suis à toi.
Il m’encule d’abord à quatre pattes, puis allongée sur le dos. Je m’empale sur lui, enculée de face et de dos, recevant ses nombreuses éjaculations dans mon anus.
Il me chauffe les fesses de quelques claques magistrales.

Le lendemain, lorsqu'à deux heures j’arrive chez Sir Oscar qui m'a fait appeler.
- Thomas est tombé fou amoureux de toi. Il est venu ce matin me supplier de te rendre ta liberté, et me dire qu'il voulait vivre avec toi. Il veut te “sauver”. Tu vois ce que je fais de toi si tu es à moi, Prudence, et si tu es à moi tu n'es pas libre de refuser. Mais tu es toujours libre, tu le sais, de renoncer d'être à moi. Je le lui ai dit. Il revient à trois heures. Viens, ce sera plus simple.
Sir Oscar monte avec moi dans la petite chambre blanche, celle qui est mansardée. À la surprise de Y, elle avait été entièrement réaménagée, vidée, et tous les murs, le plafond, l'envers de la porte, et jusqu'au sol, molletonnés de satin. Deux barres verticales en bois, espacées d'un bon mètre, sont plantées au milieu, sur toute la hauteur de la pièce. Elles sont régulièrement percées pour permettre d'ajuster, au moyen de goupilles, la position de quatre anneaux d'acier qui y sont suspendus, deux en l'air et deux au sol. Fleur est là, occupée à tirer un lourd rideau de velours devant l'ouverture de la petite salle de bains.
- Voilà, j'ai fait aménager cette chambre pendant que tu étais avec Dany. Mais elle n'est pas encore finie quand tu es rentré. Elle est capitonnée. Fleur me déshabille de ma robe à corselet et de mon boléro et me déchausse.
Nue, je suis menée entre les barres où je suis attachée en croix, jambes écartées et bras en l'air, faisant glisser mes poignets et mes chevilles dans les anneaux qui se ferment comme des menottes.
Sir Oscar se postant derrière moi, se met nu, m’encule dans cette position, me renversant la tête en arrière. Fleur me pince les mamelons percés, tandis que je jouis, sous les coups de mandrin de Sir Oscar, mon bassin ondule violemment. Fleur me doigte longuement la chatte et me masturbe le clitoris percé. Je suis entre douleur et plaisir.
Fleur me cravache ensuite les seins, le ventre, la chatte, les cuisses, de zébrures.
Thomas arrive une heure après et a le courage de venir derrière moi, pour m’enculer, pincé mes mamelons et fouillé longuement ma chatte sans éjaculer en moi, me laissant sur ma faim.
Il disparaît.

Un matin, lors du retour de Sarah, lorsque nous sommes toutes les deux, après que j’ai pris mon bain, j’enjambe le rebord de la baignoire, fait tinter contre l'émail les fers de son ventre, pour que ce bruit insolite attire son attention. Sarah tourne la tête et voit le disque qui pendait à ma lèvre gauche.
- Que portes-tu à la lèvre gauche de ta chatte et tes zébrures sur tes cuisses et tes seins.
C'est Sir Oscar, je réponds, René m'a donné à lui ; et j'ai été ferré, glisse ta main entre mes cuisses.
Je ne m’essuie pas et je prends la main de Sarah, qui s’est assise sur le tabouret. Sarah lit l’inscription et j’écarte ensuite mes deux fesses blessées, présente le “S” et le “H” qui les creusaient. « Il m'a également marqué à son chiffre », dis-je aussi tranquillement qu'il pût. « Le reste, c'est des coups de cravache. Il me fouette lui-même, en général, mais aussi sa servante
Sarah m’embrasse et me doigte la chatte et l’anus, pour me faire jouir.
Sarah me sèche, me brosse les cheveux, je reste nue et chausse mes mules.
Sarah porte une chemisier.
- René est amoureux de toi. Quand René t'emmènera au manoir, tu comprendras. Est-ce que t'as déjà couché avec lui ? Laisse-moi te caresser. Je te raconterai le manoir.
Sarah retire son chemisier, dévoilant son corps nu et je lui caresse les seins, en lui léchant la chatte, la tête entre ses cuisses, la menant au plaisir.
Puis nous mêlons nos langues dans un long baiser langoureux, tout en continuant à lui doigter la chatte trempée d’excitation. Sarah explose dans un violent orgasme.
Puis je raconte.
- J’y retourne prochainement. Tu seras conviée à voir le manoir.
J’encule ensuite Sarah avec un des vibromasseurs de Sir Oscar, la menant à un orgasme anal violent, puis Sarah me rend la pareille.

Nous allons le mois d’août avec Sir Oscar, Sir Frédéric, Sarah, Brigitte, René et moi, dans une luxueuse villa en bord de mer.
Mais dans le jardin de la villa, qui est une grande villa sur deux étages et un sous-sol, on est loin de la mer. De grands murs à droite et à gauche protégent des voisins ; l'aile des domestiques donne dans la cour d'entrée, sur l'autre façade, et la façade sur le jardin, où ma chambre ouvre de plain-pied sur une terrasse, au premier étage, est exposée à l'est. La paroi qui sépare ma chambre de celle de Sir Oscar exceptée - et c'était la paroi d'une grande alcôve délimitée par une arche et séparée du reste e la chambre par une sorte de barrière semblable à la rampe d'un escalier, à balustres de bois tourné. Les épais tapis sur le carrelage sont en coton. Il y avait deux fauteuils  et des matelas cambodgiens repliés en trois. Pour tout mobilier une très belle commode ventrue avec une penderie, une coiffeuse avec un tabouret muni d’un vibromasseur anal. Brigitte loge tout près de ma chambre, et le matin, quand Brigitte me rejoint lorsque son bain de soleil sur la terrasse, Brigitte s'étends auprès de moi. Je suis seule, couchée à plat ventre sur une cambodgienne. Brigitte est tombée amoureuse de moi.
Une fin d'après-midi, de dimanche, Brigitte s'arrange pour se trouver seule avec moi.
Il a fait moins chaud que de coutume. René dort sur le divan d'une pièce fraîche au rez-de-chaussée. Sarah, piquée de voir qu'il préfère dormir, m’a rejoint dans mon alcôve. La mer et le soleil m’ont déjà dorée davantage : mes cheveux, mes sourcils, mes cils, les poils pubiens de sa chatte, mes aisselles semblent poudrés d'argent, et comme je ne suis pas du tout fardée, ma bouche était du même rose que la chair rose de ma chatte. Pour que Sir Oscar puisse la voir en détail, je prends soin  plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui maintenant ouvertes en pleine lumière : j’ai allumé la lampe de chevet. Les volets sont tirés, la chambre presque obscure. Sarah gémit plus d'une heure sous mes caresses et enfin les seins dressés, les bras rejetés en arrière, serrant à pleines mains les barreaux de bois qui forment la tête de son lit à l'italienne, commence à crier lorsque je lui tiens écartés les lobes ourlés de cheveux pâles, je lui mords le clitoris, les fines et souples petites lèvres. Je la sens brûlante et raidie sous sa langue, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détend d'un peul coup, ressorts cassés, moite de plaisir. Puis je la renvoie dans sa chambre, où elle dort ; elle est réveillée et prête quand à cinq heures René vient la chercher pour aller en mer, partent.
C’est alors que je suis étendue sur une cambodgienne, sur ma terrasse, j’aperçois à travers les tuiles de la balustrade Brigitte qui court vers la maison. Je me lève, reste nue, et reçois Brigitte. Brigitte est jalouse de ma liaison lesbienne avec Sarah.
Garde-moi près de toi. Garde-moi près de toi tout le temps. J’ai vu tes fers et ta marque, Sarah m’a parlé du manoir et que Sir Oscar te fouette tous les jours. Apprends-moi, je t'en supplie, reprend-elle, je voudrais être comme toi. Je ferai tout ce que tu me diras. Promets-moi de m'emmener quand tu retourneras là où Sarah m'a dit.
Brigitte obtient de demeurer près de moi et la promesse qu'elle serait emmenée au manoir. Mais Sir Oscar m’interdit de lui apprendre la moindre caresse, de l'embrasser fût-ce sur la bouche, et de se laisser embrasser par elle. Il exige que Brigitte ne me quitte pas, à aucun moment, qu'elle voit aussi bien quand je caresses Sarah, que le caresser et se livrer à lui, tout comme être fouettée par lui ou passée aux verges par Fleur. Les baisers dont je couvre Sarah, ma bouche sur la bouche de Sarah, font trembler Brigitte de jalousie et de haine. Mais blottie sur le tapis dans l'alcôve au pied du lit d'O, elle me regarde chaque fois que je suis liée à la balustrade de bois me tordre sous la cravache, à genoux recevoir humblement dans ma bouche l'épais sexe dressé de Sir Oscar, quand je suis prosternée écarter elle-même mes fesses à deux mains pour m’enculer, sans autres sentiments que l'admiration, l'impatience et l'envie.
Brigitte assiste à mes saillies anales par les chiens : un berger allemand, un doberman et un dogue allemand.

Dans la grande salle carrelée de rouge et chaulée de blanc, René est seul. Je suis nue et en mules.
- Sir Oscar t'attend à côté, ajouta-t-il en s'adressant à moi, il a besoin de toi,
Je suis debout, au milieu. de la pièce, face à René.
Mais de l'autre côté de la porte, aussitôt pressée contre le mur, saisie à la chatte et aux seins, la bouche entrouverte par la langue de Sir Oscar, je gémis de bonheur et de délivrance. Mes mamelons se raidissent sous la main de Sir Oscar. De l'autre main il fouillait si rudement ma chatte que je crois m'évanouir.
Il me quitta doucement, j’ai mes cuisses moites, mes mamelons constamment tendus sont fièrement dressés
- Viens, dit-il, j'ai besoin de toi.
Alors en ouvrant les yeux, je m’aperçois brusquement qu'il y avait là quelqu'un d'autre. La grande pièce ouvre de même par une grande porte sur le jardin, et sur la terrasse qui précède le jardin, assis dans un fauteuil d'osier, un bel étalon bronzé, musclé, se masturbe, exhibant un gros mandrin bien dur, sortant de son pantalon, vêtu juste d’un gilet en cuir sur son torse musclé et bronzé, me regarde.
L’homme se lève, glisse son pantalon et s’approche de moi, poussée par Sir Oscar, qui a pris soin de me lier les poignets en joignant les anneaux des bracelets en cuir que je porte.
- Voici le Commandant, il va faire usage de toi.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche, je baisse les yeux, si bien que je ne devine plutôt que je ne vois Brigitte se glisser par la fenêtre ouverte, pieds nus et muette.
Il se retire, regarde ma bouche entrouverte à mes genoux disjoints. Il tourna autour de moi, attentif à mes seins, à mes cuisses, à mes fesses. Je me laisse aller contre Sir Oscar, les yeux fermés, le commandant insiste sur l'agrément des seins un peu lourds et de la taille étroite, des fers plus épais, plus longs et plus visibles qu'il n'est coutume.
Sir Oscar m’invite à me pencher en avant pour sucer le commandant.

Puis je suce Sir Oscar, tandis que le commandant m’écarte les fesses et m’encule sur le champ. Je jouis, bâillonnée.
- Son anus est bien élargi, comme promis. Elle prend du plaisir, son bassin bouge violemment.
Le commandant m’encule profondément, tandis que Sir Frédéric encule le commandant à son tour.
Ils synchronisent leurs éjaculations, mon anus et ma bouche sont remplis de leurs spermes.
Sir Oscar me met un bijou d’anus large tandis que je m’accroupis, mains liées dans le dos, nettoyant le commandant et Sir Frédéric.
Sir Oscar me libère les mains et je monte à ma chambre.
Quand Sir Oscar pousse là porte, je me retourne si brusquement, en m'appuyant le dos à la commode, que les fers entre mes jambes heurtent une des poignées de bronze, et tintent.
- Va te doucher et faire ton lavement, j’ai une autre surprise pour toi.
J’obéis.
Une fois, propre, je trouve sur le lit, un carton avec un masque de biche.
Je le mets et il me couvre toute la tête en ne laissant libre que les yeux, et la fourrure, en véritable pelage d'un daim d'un an ou deux, descendait assez bas pour atteindre la taille. Dissimulée dans la peau, une armature métallique maintient rigide la forme des oreilles dressées. Je l’enfile sur la tête de Y. Il resserre sur ma nuque une lanière assez large, cachée sous cette manière de cape qui retombait sur mes seins, et le masque s'applique étroitement aux tempes et le long des joues. Un ajustement néanmoins est nécessaire pour que mon regard se centre dans l'ovale des paupières. L'espace du museau est vide et au bout les narines, dégagées pour permettre la respiration. Cousue dans le cou, à l'intérieur, est une paire de menottes dans les anneaux de laquelle Sir Oscar me fait passer les poignets, ce qui me fait prendre la même position qu'imposaient les carcans du manoir, bras repliés sur les seins, tandis qu'un large ceinturon de cuir permet d'ajuster le bas de l'appareil à la taille. Je me regarde dans la psyché : la chape de pelage me cache tout le buste, et mes bras repliés ne masquent rien de ma chatte et de mon pubis velu, sur une paire de jambes, longues et fines.
- Tu es très belle en jeune biche et tu seras donc, en tant qu'animal sauvage, mené en laisse. Brigitte, va chercher dans le premier tiroir de ma commode, tu trouveras une chaîne.
Sir Oscar prit la chaîne que Brigitte rapporte, dévisse le premier maillon qui est une attache rapide, le passe dans l'anneau que je porte à ma lèvre gauche de ma chatte, puis revisse. La chaîne a plus d'un mètre de long, et se termine par un mousqueton. Sir Oscar dit à Brigitte d'en prendre l'extrémité et de marcher devant moi.
Brigitte fait trois fois le tour de la pièce, me tirant derrière elle par la chatte, nu en bas, masqué et privé de ses bras en haut.
- Le commandant a raison, il faut aussi te faire épiler complètement. Ce sera pour demain
Sir Oscar et Sir Frédéric me cravachent sur les fesses et les cuisses, qui seules apparaissaient sous la cape fauve, et comme je ne suis pas attachée chaque coup me fait me cambrer avec le soubresaut d'une jument à l'instant de la saillie.
Le même soir, et pour la première fois en compagnie de Sarah et de Brigitte, de René, de Sir Oscar, je dîne nue, ma chaîne passée entre mes jambes, remontée sur mes fesses, et entourant ma taille, l’anus rempli par un vibromasseur anal extra large. Fleur sert seule.

Le lendemain matin, Sir Oscar me conduit dans une pièce du sous-sol, où je suis nue.
Je suis couchée sur le dos sur une table assez courte, dont la tête est à quelque distance d'un mur, et sur laquelle je repose de la tête au haut de mes fesses ; mes bras sont tirés dans le prolongement de mon corps et fixés au mur en extension et mes jambes sont repliées, remontées vers le haut, et également attachées au mur par deux chaînettes reliant mes bracelets à mes chevilles à deux crochets très espacés l'un de l'autre, ce qui m'oblige à un grand écart douloureux. Une large sangle très serrée finit de m'immobiliser sur la table, au niveau de la poitrine, sous les seins et le haut de mon ventre. Ainsi, je ne peux rien bouger d'autre que la tête, ouverte au maximum.
La jeune fille étale la cire qu'elle a mise précédemment à chauffer sur un petit réchaud, pour épiler entièrement de ma toison intime ! Tout poil doit disparaître de cette zone : pubis, aines, haut des cuisses, grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur des fesses. Elle procède par petite touches et je me retiens de gémir.
Ensuite la fille peaufine et arrache à la pince à épiler les quelques duvets qui ont échappé à la cire, m'examinant avec une grosse loupe, me faisant gémir à chaque fois. Elle termine sa prestation en forme de supplice chinois en enduisant et massant longuement toutes les parties épilée avec une lotion adoucissante. Elle me place un miroir placé entre mes cuisses écartées avant d'être détachée de cette table de torture. C'est vrai que mon sexe a changé totalement d'aspect : ma fente me paraît plus longue, remonter plus haut sur le pubis, mes lèvres intimes plus renflées, toutes lisses. À part sa béance due à ma position, ma chatte ressemble tout à fait à celle d'une petite fille avec son aspect bombé et charnu très émouvant.
Je suis plus désirable ainsi avec mes épaules larges, mes hanches minces et mes longues jambes accentuent, exige que je sois entièrement lisse. Mais seules les effigies de déesses sauvages offrent aussi haute et visible la fente de la chatte entre les lèvres de laquelle apparaît le clitoris.
Sir Oscar me trouve plus émouvante, et lorsque j'ai revêtu mon masque, les lèvres également dépourvues de fard au visage et à ma chatte et si pâles, il me caresse presque timidement.
Mais tout le reste de l'après-midi il vient dormir auprès de moi, m’encule à plusieurs reprises et le soir se fait apporter pour nous deux, à dîner dans ma chambre.

Nous prenons un bateau au débarcadère non loin de la villa. Je fais le trajet, nue, sous ma cape, les deux anneaux de mes bracelets en cuir sont fixés ensemble, derrière mon dos, par Sir Oscar. Il attache la cape qui est attachée à mon collier de cuir, comme au manoir, la longue cape rouge qui me couvre tout entière, mais s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir, ayant les mains attachées derrière le dos. Je suis chaussée de mes mules à hauts talons et Brigitte est vêtue d’une veste sans boutons, ouverte sur son torse nu, et un pantalon fuseau, chaussée de mules à petits talons, me tient scrupuleusement par sa chaîne.
Sir Oscar conduit lui-même le bateau. Le vent frais cingle mes seins, ma chatte, mon clitoris et je ressens les va-et-vient du vibromasseur large que je porte dans mon anus pour me prêter au premier venu. Je serre les fesses et j’ai plusieurs orgasmes anaux pendant le trajet. Ma chatte est toute trempée, mon clitoris et mes seins sont durcis.
Nous arrivons sur une crique aménagée, avec un débarcadère. Sir Oscar me retire le vibromasseur pour que je dois disponible. Il libère mes mains pour que mes bras soient repliés sur mes seins. Il me doigte la chatte et l’anus.
- Tu es toute trempée, ma belle. Cela t’excite, de te donner à des inconnus.
Il me déchausse et je marche pieds nus sur les planches en bois du débarcadère puis sur le marbre froid des marches menant à la terrasse, tenue en laisse par Brigitte.
Des couples lesbiens et des transsexuels m’attendent, tous sont nus, car c’est un bal masqué nu. Je vois les mandrins qui bandent et les femmes sont toutes intégralement épilées, portent des anneaux aux mamelons et aux clitoris.
Il y a un buffet.
Brigitte s’arrête, les couples et les transsexuels s’approchent de moi.
- Voici, notre invitée, Prudence, la propriété de Sir Oscar, car elle est ferrée et marquée à lui. Prudence va se prêter à vous : cunnilingus, sodomies, fessées et doigtés sont ses plaisirs. Amenez-la au chevalet.
Brigitte me conduit au centre de la terrasse, où trône le chevalet. Sir Oscar me libère les mains. Je me couche sur le dos, mes genoux sont repliés vers mes seins et mes pieds sont soulevés et tirés par des sangles passés dans les anneaux des bracelets de mes chevilles, les relient à ceux des colonnes, en hauteur, et me tendent les jambes. Mes bras sont ramenés en arrière, et sont assujettis ensemble à un anneau scellé au-dessus de ma tête.
J’expose le creux de ma chatte et mon anus violemment écartelés.
Les langues, les doigts et les mandrins se succèdent, tandis que j’explose dans de nombreux orgasmes, sous l’œil de Brigitte.
Prisonnière, je m’abandonne au plaisir. Certains vont jusqu’à m’enculer et me doigter la chatte ou enfoncer simultanément plusieurs doigts dans ma chatte et mon anus.
Mon anus déborde de spermes, par les nombreux mandrins qui m‘enculent.
Vers la fin de la nuit, le commandant, vêtu en lion, m’encule devant l’assistance jusqu’à l’éjaculation en moi.
C’est le jour venu, tous les danseurs partis, que le commandant enfin se retire lentement de moi, et me libère de ma position.
Je me mets debout péniblement sur mes jambes, je retire mon masque de biche et apparaît nue, les mains libres.
Avec Sir Oscar, tous les deux m’enculent, sur une des tables, jusqu’à un nouvel orgasme.

Debout et nue devant ma commode ventrue, Sir Oscar exige de moi désormais que dans sa chambre je sois constamment nue. Même les mules ne me sont plus permises, ni les colliers, ni aucun bijou.

Le quatrième jour seulement Sir Oscar entre chez moi à la fin de l'après-midi et je le suce, il se vide dans ma bouche.

Quelques jours après, je suis seule dans la grande maison sèche avec Brigitte et Sir Oscar. René a emmené Sarah.
Un dimanche soir, je descends nue, pieds nus, devant trois visiteurs. Tous les trois m’enculent à quatre pattes sur le canapé et éjaculent dans ma bouche.
Ils reviennent le lendemain vers onze heures. Cette fois-là Sir Oscar les fait monter tout droit dans sa chambre, où je suis nue. Ils m’enculent à nouveau, me fessent et je les sucent.
Lorsqu'ils partent, Sir Oscar me fait fouetter, liée à la balustrade près de mon lit où j’y reste près de trois heures,
Le 15 septembre arrive ; je suis toujours là avec Brigitte et Sir Oscar.
Brigitte est nue. Je l’étends sur le lit, je la caresse, puis Sir Oscar lui honore la chatte et l’encule pour la première fois. Brigitte est allongée sur le dos, les jambes ouvertes et retournées. Pour cette première fois, elle est écartelée. Elle gémit.
Le lendemain du départ de Brigitte, Sir Oscar et Sir Frédéric rejoignent René pour un vol en jet privé. Je reste à la villa, seule, en compagnie de deux valets du manoir : Emmanuel et son frère jumeau Dominique. Je retrouve les habitudes du manoir, toujours nue, enculée par leurs soins, par mes chiens, fouettée et enchaînée le soir à mon lit.
Le trio Sir Oscar, Sir Frédéric et René sont portés disparus lors du vol. Dany me fait opérer des seins, pour qu’ils retrouvent leurs formes naturelles, je retrouve mes seins d’adolescente.

Le 15 septembre, Emmanuel et Dominique me conduisent au manoir. Je suis vêtue de ma robe avec ma jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je fais le trajet sans mon boléro, assise cul nu, sur le cuir de la banquette arrière, me livrant aux caresses, baisers et pincement de mes mamelons. Emmanuel a pris soin de lier mes poignets en joignant les anneaux des bracelets de cuir dans mon dos. Mes pieds nus sont chaussés de mules à hauts talons.
Lors de haltes, je suis enculée par mes deux amants, que je suce, juste nourrie de leurs spermes.
Nous arrivons en fin d’après-midi au manoir. Je ne rejoins pas le premier bâtiment, mais un bâtiment annexe dans une autre parcelle attenante.
La parcelle est gardée par des hommes à cheval. Je fantasme sur les sexes des pur-sangs, me voyant enculée par eux.
La voiture stoppe dans une grande cour dallée en pierre.
Emmanuel me bande les yeux. Des mains m’aident à descendre de la voiture. On desserre le laçage, je me retrouve intégralement nue comme à mon premier séjour, mais cette fois, je suis marquée et ferrée.
On me fixe un collier autour du cou et on y fixe une laisse. On me tire en avant et je marche en compagnie de la personne qui me tire.
Je gravis plusieurs marches et je franchis quelques portes, où des valets caressent mes fesses et mes seins.
A la dernière porte, je suis abandonnée, seule, aveugle.
Puis Dany s’approche de moi, me retire le bandeau et me contemple.
- Mais on te voit les petites lèvres, maintenant que tu es épilée, s'écrie Dany en les lui tirant doucement. Je ne me rendais pas compte que tu étais si bombée, ni fendue si haut. Je vais te laisser menottée, pour ton bain, que tu prendras accroupie. Un soumis va s’occuper de toi. Tu seras nue pour la première journée, comme lors de ton premier séjour. Je tiens à montrer aux valets du manoir des ferrées, comment tu es belle, disponible. Bien sûr, tu seras saillie par des chiens et des chevaux, mais tu dresseras des soumis. Cela est ta mission.
Un superbe soumis entre. Il est vêtu d’une veste portée entrouverte sur un torse musclé et bronzé, d'un ample pantalon, fendu d’avant en arrière, laissant libre le mandrin maintenu en érection par un anneau pénien et une boule anale reliée à l’anneau pénien, ainsi il est constamment enculé. Les manches et les jambes sont assez courtes, pour laisser apparaître les bracelets d’acier. Il est chaussé de simples tongs avec une large bande en cuir brun dans laquelle on glisse le pied.
Je fixe mon regard sur son mandrin long et gros.
Le soumis fait couler l'eau et, j’entre dans la baignoire, je m’accroupis, tandis que Dany fait dresser mes bras au-dessus de ma tête. Mes fers pendent bien entre mes cuisses et étirent ma lèvre gauche. Le soumis peut me savonner. Il me savonne l’entrée de mon anus, me rince puis savonne mes seins, mon dos, mes fesses et me rince. Une fois propre, le soumis m’enfonce une canule dans mon anus pour me nettoyer. Je jouis.
Dany me détache, mais je reste les mains liées dans le dos. Le soumis m’essuie.
Le soumis m’écarte bien les fesses et je sens un mystérieux objet froid m’enculer sur onze centimètres, pesant 300 grammes. L’objet s’écarte en trois parties, une fois introduit dans l’anus. J’éprouve aucune douleur. Mon anus s’ouvre sur six centimètres. Dany le verrouille avec le cadenas.
Ainsi, personne ne peut t’enculer, sauf s’il a la clé du cadenas. Tu ne peux l’expulser, ton anus va rester bien ouvert.
- Je vais te mettre ton nouveau collier et tes nouveaux bracelets et tu chausseras des tongs à hauts talons. Tu vas faire le tour des lieux après le déjeuner.
Elle me retire mon collier et mes bracelets en cuir et me met un nouveau collier en fer, m’entoure exactement le cou dans son milieu, suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets et à mes chevilles, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Ils sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal.
Dany me dit, au moment où retentit le dernier déclic qui ferme le collier,
- Je ne les retire ni jour ni nuit, ni même pour te baigner, tant que tu seras au manoir.
Dany me conduit devant le grand miroir à trois faces me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge les aréoles et les mamelons, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Elle me poudre le visage, une fois que je suis peinte, et elle me vaporise le parfum sur les seins et les aisselles lisses.
Je me couche sur la banquette, je relève et j’ouvre bien mes cuisses, Dany fixe des sangles aux bracelets de mes chevilles et les tend. Je suis immobilisée, tandis que le parfum se répand au creux de ma chatte, me brûle si fort que je gémis et me débats.
Dany me libère et je chausse mes tongs.
- Tes seins et tes fesses sont faits pour la cravache des clients, me dit Dany.
Je déjeune et j’éprouve le besoin de frotter mes fesses sur la chaise.
- Patience, Prudence, tu seras comblée tout à l’heure.
Le valet, un grand jeune homme blond, bronzé, vêtu d’un gilet en cuir, un short largement fendu laissant libre son mandrin en érection, avec un étireur de testicules et un anneau pénien. Il porte une cravache passée à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule noire, dont le réseau de tulle dissimule même les yeux, et, enfin, qu'il a des gants de fin chevreau.
- Voici, Yann, qui s’occupera de toi, pendant ton séjour.
Yann me saisit les mains avec familiarité, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou, tenue en laisse par les anneaux de ma lèvre gauche. Mes tongs à hauts talons claquent sur le marbre. Le désir anal m’envahit.
Je parcoure toute l’aile orientée à l’est du long bâtiment, découvrant sur trois niveaux, des chambres pour les soumis, les transsexuels soumis et les soumises. Deux autres filles sont ferrées et marquées comme moi et je découvre que les soumis et les transsexuels sont aussi ferrés avec le fer qui troue le périnée, juste sous les testicules, augmenté du disque gravé qui dit en toutes lettres qu'ils sont la propriété de leurs maîtres, descend au niveau du bout du mandrin au repos.
Tous portent des étireurs de testicules et des anneaux péniens, pour maintenir leurs érections. Au rez-de-chaussée, les valets promènent des bergers allemands, au premier étage, ce sont des dobermans et au second étage, ce sont des dogues allemands.
Yann m’apprend que je loge au second étage, dans une chambre individuelle que je verrais ce soir.
Nous traversons le jardin pour rejoindre l’aile orientée à l’ouest, où se trouvent la bibliothèque, un salon, un fumoir, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et une pièce attenante réservée aux valets. J’ai droit à un lit ordinaire avec une salle de bain, et une penderie commune. Les portes des chambres ne ferment pas à clé, et les membres peuvent y entrer n'importe quand dans la nuit, que les filles passent enchaînées. Mais à part cette mise à la chaîne, il n'y a aucune règle astreignante. Il y a un restaurant, un bar, de petits salons au rez-de-chaussée, et aux étages, des chambres. Les membres peuvent recevoir au restaurant et au bar leurs invités.
Le restaurant et le bar ont maître d'hôtel et barman, quelques garçons - les cuisines sont au sous-sol - mais ce sont les filles qui faisaient le service autour des tables. Au restaurant, elles sont en uniforme. Au bar, vêtues des grandes robes de soie, une mantille de dentelle semblable à la mantille d'uniforme leur couvre les cheveux, les épaules, les seins, elles sont là pour attendre qu'on les choisisse. Le restaurant et le bar couvrent leurs frais normalement, l'hôtel aussi. L'argent que rapportent les filles est réparti suivant des quotes-parts déterminées : tant pour le manoir, tant pour la fille. Toutes ne coûtent pas le même prix : je serais payée double parce que j'appartiens officiellement à un membre et que je porte des fers et une marque. Fouetter une fille se paye à part, la faire fouetter par un valet, également. Les notes sont payées au bureau de l'hôtel les pourboires remis directement.
Enfin Dany examine les filles chaque jour. Il y a, pour une part, un roulement établi pour ce qui se fait en uniforme ; tant de jours de service au restaurant pour le déjeuner ; tant de jours de service pour le dîner; de même, en grandes robes, tant d'après-midi, ou tant de soirées de présence au bar. Cependant, le bar et le restaurant étant communs aux visiteurs et aux membres, rien n'empêche ceux-ci d'y prendre une fille et de la ramener.
A la bibliothèque, devant quatre hommes bien montés, je suis menottée à un chevalet, enculée par eux, un berger allemand, un doberman et un dogue allemand, puis les valets transsexuels, une fois que je suis libéré de la chasteté anale, jusqu’à l’épuisement. Mon anus déborde de spermes humains et canins lorsqu’on m’insère un vibromasseur réaliste a la taille d’un pénis avec le gland est très lisse puis la hampe du pénis est légèrement texturée afin de provoquer des sensations beaucoup plus tactiles lors des montées et descentes de l’anus, long de onze centimètres et il a un diamètre de pénétration progressif qui va de trois centimètres à quatre centimètres, avec ses deux beaux testicules. Les va-et-vient sont des montées et descentes du gland rapides, combinées à des vibrations par à-coups et des vibrations à intensité progressive.
Je fais mon lavement, accroupi sur un siège à la turque et qu'une fille blonde, qui est de service, savonne un instant mon anus, entre mes fesses ouvertes. Elle me rince avec un flexible de métal annelé et terminé par une mince canule d'ébonite que, par un ressort, on peut commander de la pression du doigt. L’eau est très froide.
Yann me brosse les cheveux, me lubrifie l’anus et me remet le vibromasseur en place, puis il me parfume. J’ai toujours mes mains jointes au cou, depuis que j’ai quitté la bibliothèque.
Yann me conduit au second étage de l’aile où se trouve le cabinet gynécologique de Dany.
Au milieu de la pièce trône le fauteuil gynécologique avec les supports pour les jambes. Je m'installe. Je m'allonge sur le siège qui est un peu frais sur mon dos. Dany se positionne entre les supports de mes jambes et en me souriant guide mes pieds. Je sens les lèvres de ma chatte qui s'entrouvrent toutes seules. Mes cuisses sont écartées au maximum. Je sens que le fauteuil bouge en me basculant vers l'arrière, puis il monte pour que mon bassin soit à la hauteur du visage de Dany.
Dany passe son bras droit autour de ma cuisse et ses doigts couverts de latex se posent sur mon pubis, enserrant mon clitoris. Mes seins se gonflent quand je respire. Avec son autre main, Dany entrouvre les lèvres de ma chatte qu'elle a sous les yeux.
– En tous cas, vous n'avez aucun problème de production de mouille.
Dany enfonce doucement un doigt dans ma chatte.
Un deuxième doigt rejoint le premier. Dany bouge doucement et délicatement ses doigts dedans, tandis que mon clitoris est sollicité par des petits pincements qui me font mouiller outre mesure. Dany est bien en train de me caresser la chatte.
Dany m’enfonce un spéculum dans la chatte, me déclenchant des ondes de plaisirs. Puis Dany pose ses lèvres sur ma chatte et commence à le lécher tout en aspirant mon clitoris. J’ai un violent orgasme.
En ouvrant les yeux, menottée au fauteuil, je découvre qu’une caméra filme mon visage et des mini caméras filment ma chatte et mon anus.
Dany retire le spéculum de ma chatte et en place un autre dans mon anus libre et béant.
Dany me caresse à nouveau le clitoris. Tandis que j’aperçois huit étalons nus, en train de se masturber. Sur un grand panneau d’écrans de télévision, je découvre des vues sur ma chatte, mon clitoris et mon anus, avec des gros plans. Je vois la mouille qui ruisselle de ma chatte et mon anus qui expulse les dernières gouttes de spermes humains et canins.
- Messieurs, elle est à vous. Nous allons l’allonger sur le ventre, pour faciliter sa sodomie.
On me libère et je me retrouve allongée sur le ventre, accoudée, les jambes relevées et écartées, des sangles m’empêchent tout mouvement à mes chevilles et mes bracelets à mes poignets sont aussi fixés à des chaînes suspendues à un mur . Je suis immobilisée.
A tour de rôle, les étalons m’écartent les fesses, puis m’enserrent par les hanches, j’explose dans de violents orgasmes anaux, puis ils éjaculent dans ma bouche.
A la fin, un doberman vient m’enculer, se couchant sur mon dos, j’ai quatre orgasmes anaux avec lui et il m’inonde longuement l’anus. Je suis épuisée et heureuse.
A peine remise de mon plaisir, Dany me fait un lavement, je suis toujours menottée. Les étalons sont partis et les écrans de télévision repassent en boucle mes orgasmes.
Dany me libère et me remet le vibromasseur en place. Je me retrouve mains jointes au cou, tenue en laisse jusqu’au rez-de-chaussée et je suis menée dans un parc attenant au bâtiment.
Là, je suis mis au pilori, mes jambes dans des ceps, prisonnière, l’anus libre.
Puis je sens un sexe m’enculer. C’est un taureau. Dany enfonce le sexe taurin dans mon anus. Le chibre taurin m’encule sur une longueur impressionnante puis Dany se met à le frictionner pour faire monter le sperme. J’attends l’éjaculation. Au bout de dix minutes, je reçois une semence abondante, explosive, épaisse, alors que j’ai mon orgasme anal.
Dany me fait sucer le sexe taurin. Je suis comblée.
Dany organise une nouvelle saillie avec un autre taureau, avant que je me douche et je mange au réfectoire.
Pour la douche, toutes les filles sont menottées debout, avec une large ceinture de cuir, comportant des tas d'anneaux sur son pourtour, serrée autour de la taille. nous sommes chacune dans une douche individuelle entièrement carrelée ; sur les murs, des tas de pommes de douches orientées dans tous les sens. Yann m'attache les bras tendus en l'air puis saisit un tuyau annelé qui sort du mur devant moi, terminé par une espèce de canule, au-dessous de laquelle se détachent deux chaînettes. Il e s'accroupit devant moi, enfile la canule dans mon anus, avant de fixer une chaînette sur le devant de ma ceinture, l'autre derrière, suivant la raie de mes fesses, pour l'empêcher de ressortir.
Puis les valets ressortent, referment soigneusement la porte.
Au second étage, nous sommes douchées à l’eau glacée, tandis qu’un jet d’eau froide inonde violemment nos anus. Puis tout s’arrête, sauf l’eau froide dans mon anus, Yann me cravache mon dos, mes seins, mes fesses.
Yann décroche ma sonde anale de ma ceinture et me la retire : l'eau continue à s'écouler d'entre mes fesses, mêlée d'excrément qui ont en partie coulé le long de mes cuisses. J'ai à nouveau droit à une douche à grand jet, mais chaude cette fois, puis Yann me savonne partout, douche de rinçage et enfin Yann me sèche en me frottant tout le corps avec une serviette, sur mes longues lignes rouges s'entrecroisant partout sur mon dos, mes seins et mes fesses.
Toujours menottée, Yann m’encule vigoureusement, comme le font les autres valets aux filles.
Il me libère et je rejoins ma chambre entièrement recouverte de grandes glaces, du haut en bas de la paroi, que n'interrompent aucune tablette, ainsi qu’au plafond. La salle de bains est équipée d’une douche avec un crochet, une double canule est installée au bidet, elle est aussi les parois sont entièrement revêtues de glace.
Une fille vient me farder, me parfumer, devant Yann et épiler mes poils rebelles sur mon pubis et entre mes cuisses, mes fesses. Je dois rester totalement lisse.
Je reste nue et en tongs à hauts talons, les cheveux libres.
Yann m’enfonce la tige anale plus grosse que le vibromasseur que j’ai porté, lubrifiée complètement dans mon anus Sa base se termine par un anneau qui affleure juste de mon anus. Les anneaux de la ceinture en cuir sont différents : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes mains libres, je ne pourrais pas retirer la sonde qui me dilate l'anus.
C’est plus excitant que lors du premier séjour. Je dois garder la tige pour ma première nuit, sachant que je peux être enculée à n’importe quelle heure de la nuit, par un valet ou un des dogues allemands.
C’est le cas, je dois me mettre à quatre pattes sur le lit, la chaîne est fixée à mon collier. Trois dogues m’enculent lors de ma première nuit.

Le lendemain matin, à dix heures, un valet me défait les chaînes.
Le bain pris, la toilette faite, l'examen de Dany passé, je reste nue, je vais au réfectoire pour les autres à un office de l'étage, je prends un petit déjeuner. Les portes des chambres restaient ouvertes sur le couloir, et il est permis d'aller de l'une chez l'autre.
Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, huit heures ou dix heures généralement, je porte la sonde anale qui ne m’est enlevée, et par Yann, qu'au moment où il m’enchaîne les mains au dos si je dois me faire enculer par des membres du manoir.
En plus, je suis courbée sur la balustrade de l’escalier, liée, pour recevoir la chicote sur le bas de mon dos, mes fesses et mes cuisses, jamais assez fort pour me marquer, toujours assez longtemps pour m’arracher des cris, des supplications et parfois des larmes. La chicote est un engin fait en deux parties, d'une part un manche en bois verni et de l'autre une tresse en cuir noir, reliés ensemble par une boucle qui forme charnière, de telle sorte que, quand on l'utilise avec habilité, le coup de poignet sur le manche donne encore plus de vitesse à la tresse en cuir.
Le premier matin, déliée, je m'abats en gémissant sur mon lit tant mes fesses me brûlaient encore, Natacha, une grande blonde aux petits seins, intégralement épilée, nue, portant des anneaux entourant ses mamelons et portent à ses grandes lèvres, quatre anneaux d'acier spécial, avec fermoir et à la charnière totalement invisibles une fois refermés. Natacha me prend dans ses bras pour me consoler.
Pourquoi avoir accepté d'être ferrée ? j’avoue sans peine que j'en suis heureuse et que mon amant me fouette tous les jours.
- Alors, tu as l'habitude, dit Natacha. Ne te plains pas, ça te manquerait.
- Peut-être, dis-je, et je ne me plains pas, mais l'habitude, ah non, je ne peux pas m'habituer.
- Eh bien, dit Natacha, tu auras de quoi faire, parce que ce serait bien rare que tu ne le sois qu'une fois par jour ici. Les filles comme toi, les hommes voient tout de suite que c'est fait pour ça. Tes anneaux au ventre, ta marque sont des signes que les hommes remarquent. Je vais te farder et te parfumer.
Mais avant, Yann m’encule, allongée sur le ventre, écartant mes fesses brûlantes. Je jouis.
Une fois fardée et parfumée, Yann me remet la sonde en place.
Au réfectoire, les filles s’assoient sur un tabouret rond recouvert de cuir noir. Je remarque que le mien est muni d’une ouverture. Le valet me retire la sonde anale et je m’empale sur un vibromasseur réaliste extra large pour m’enculer. Je ne sais qui a la télécommande. J’écarte bien mes cuisses.  Mon bassin bouge régulièrement. Le valet de permanence me caresse et me pince tendrement mes mamelons percés, me masse les seins et glisse sa main entre mes cuisse pour caresser mon clitoris percé. Je jouis silencieusement entre deux bouchées.
Après le dessert et le départ des autres filles, je reste seule avec lui et son chien, un labrador.
Le valet me faire me mettre à genoux, les mains jointes à mon cou, le buste reposant sur un pouf, et les fesses plus haut que le torse. Il guide le sexe du labrador en érection dans mon anus jusqu’au nœud qu’il enfonce pour m’écarteler l’anus, tandis qu’il enfonce son gros mandrin dans ma bouche. Je suis prise de plusieurs orgasmes anaux, avec des va-et-vient rapides. Je sens le sperme du valet dans ma bouche en même temps que celui du labrador remplit mon anus. Le valet se retire et je sens le nœud du labrador grossir dans mon anus. Après quatre orgasmes, le nœud rétrécit et le labrador se retire pour me faire sucer son sexe. Le valet m’encule, après une nouvelle érection due à ses anneaux péniens placés à la base commune du mandrin et des testicules favorisent l’érection et en aidant à maintenir l’érection.
Le labrador est comblé par ma fellation et j’ai un violent orgasme anal avec le valet.
Le valet me remet la sonde anale en place avant un long lavement sous la douche.

Ce n’est qu’au huitième jour, que je suis en uniforme pour les petits déjeuners : je suis étonnée du plaisir avec lequel je me retrouve serrée dans le corset noir. J’aspire profondément pour me creuser la taille et le ventre quand Natacha serre les lacets. Le corset monte jusque sous les seins, qu'une légère armature maintenait écartés, et qu'un étroit rebord soutient si bien qu'ils sont projetés en avant et paraissent d'autant plus libres et fragiles.
J’enfile une robe avec une large jupe bouffante, doublée de taffetas, largement juste au milieu devant, pour, laisser libre le ventre, ou juste au milieu du dos pour libérer les fesses. La jupe s’arrête au tiers de la cuisse, laissant visible à tous, mes anneaux à la lèvre gauche de ma chatte, et si on le retourne, mon chiffre sur mes fesses. Un boléro entrouvert, sur les seins nus, et n'a d'ailleurs aucun système de fermeture, assez court juste pour couvrir les seins. Il est en dentelle blanche et cache entièrement les seins, assez transparent pour qu'on en devine l'aréole, et pour qu'on comprend qu'ils sont libres sous le boléro. Au reste, il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désirait voir les seins et ma croupe reste constamment nue et accessible à tous. Je garde mes tongs à hauts talons.
Quand je prends mon service au bar, je sers six hommes qui se masturbent en me regardant faire le service.
Je viens entre les jambes du premier, après avoir retiré mon boléro, en redressant les épaules pour avancer les hanches à hauteur de la bouche de l'homme, et cela, sans la moindre hésitation, heureux à l'évidence de plaire.
C’est un bel étalon d’une trentaine d’années, qui glisse sa main entre mes cuisses, me caresse la chatte, jouant avec mon clitoris percé et me doigtant la chatte. Je jouis le second se glisse derrière moi et m’encule, c’est le signal. Je suce le premier et j’alterne avec les six hommes. Tous éjaculent dans ma bouche.
Pantelante, je suis conduite par Yann dans une chambre dans l’aile au sud.
Quand il s'écarte, il fait glisser le boléro et me délace mon corset, et, torse nu, il m'allonge à plat ventre sur le lit. Il observe longuement mon dos, effleurant à peine, du bout de ses doigts qu'il fait légers, les traces mauves et irrégulières des cinglons.
- Tu es fréquemment fouettée, Prudence.
- Oui.
- Il t’a traitée de putain.
- Oui, je suis une putain.
Yann m’embrasse langoureusement sur la bouche.
Profitant de la fente arrière de ma jupe, Yann me caresse l’anus qui s’ouvre. Il me fait un anulingus et je jouis. Puis Yann m’encule dans cette position. Je laisse mes jambes ouvertes pour faciliter la sodomie puis je serre mes cuisses l'une contre l'autre pour enserrer plus fermement le mandrin dans mon anus. Yann se redresse sur ses avant-bras pour me soulager un peu et m’enculer plus vigoureusement. J’ai un violent orgasme anal.
Sans débander, il m’allonge sur le côté les jambes pliées en chien de fusil. Yann se place derrière et épouse les contours de mon corps en caressant mes seins et mon clitoris tout en m'embrassant dans la nuque et derrière les oreilles. Dès qu’il éjacule, je tends ma croupe pour le recevoir jusqu’aux testicules, puis il s’endort, sans débander.
Je m’endors aussi.
Le jour baisse quand je me réveille. Yann se retire, me prend mes fers dans ses mains, remarque la cravache et le fouet entrecroisés, gravés au-dessus du nom.
- J’aime être cravachée.
- Suce-moi, Prudence.
Je le suce, tandis qu’il me doigte l’anus.
Puis il m’embrasse les seins. Je jouis.
Yann m’encule une dernière fois à quatre pattes sur le lit.
Il m’encule d’une seule traite en me maintenant fermement par mes hanches. Plus je me cambre, plus la sodomie est facilitée, profonde et intense.
Je vais et viens sur son mandrin, en serrant et détendant mon anus lors des va-et-vient. J’enserre son mandrin, le relâche et je reprends. Yann aime ça.
Il me caresse les seins, le clitoris, la chatte et je serre les muscles fessiers pour une sodomie plus intense.
Il éjacule dans mon anus et me met un bijou d’anus large muni de picots
Je me rhabille, il lace étroitement mon corset.
Yann me conduit aux écuries, pour me faire saillir par un cheval de trait. Nue, je me met sous le cheval. Il m’introduit son sexe que j’ai sucé dans mon anus, il relève et écarte mes jambes de part et d’autre du train arrière du cheval. Il passe une chaîne qu’il fixe aux anneaux des bracelets des chevilles et fait de même à mes poignets. Je suis enculée par le cheval, qui peut aller et venir en marchant au pas. Je sens son sexe et son gland gonflés dans mon anus, pour qu’il éjacule. J’ai un violent orgasme, sous le long jet de sperme. Je vais de me faire saillir par un cheval de trait.
Yann me détache après que le sexe ai retrouvé sa taille initiale.
Il me douche, menottée, comme dans les douches du manoir, avec un long lavement.
Au bureau, où je conduis un des clients ensuite pour qu'il prenne une chambre, il dit : « Vous me ferez monter du whisky, et une chicote. »
Après que je l’ai sucé, après qu'il m’a enculée à plusieurs reprises, que, levant pour la troisième fois son fouet, il saisit mes mains et il me cingle les fesses avec la chicote.

Quelques jours après, dans ma chambre tranquille et sombre, avec une grande porte-fenêtre qui ouvre sur le parc. Le grand lit est si bas qu'on dirait à peine un lit, il se confond avec le sol, avec le mur auquel il s'appuie. Dans la chambre un grand miroir fait face au lit. Il est en partie futé sur une porte. S'il bouge, c'est qu'on entre. Je suis nue quand je reçois le valet qui porte un plateau.
Un grand chien danois s’assoit à côté du plateau, aussi silencieux et embarrassé que moi. La porte-fenêtre s'ouvre. Lui est entré, m'a souri, m'a prise dans ses bras quand je me suis levée. Je me suis agenouillée sur le tapis près du lit pour faire le service.
Nue, je flatte le chien, le suce et je me mets à plat dos sous le grand danois, je redresse les jambes, les passe par-dessus le dos du grand danois et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Il m’encule vigoureusement et j’ai plusieurs orgasmes anaux.
Plus tard, j'ai vu que le grand miroir n'est miroir que de mon côté, et que la porte est transparente, qui ouvre dans une seconde pièce d'où l'on surveillait, si l'on veut, tout ce qui se passe dans ma chambre. Naturellement, il y a plusieurs chambres dont la disposition est semblable.
Quand mon tour vient de faire ce qu'on appelle le service des chambres, c'est-à-dire de se rendre, accompagnée de Natacha, dans les chambres du premier manoir, par un souterrain reliant les deux manoirs, pour faire la toilette des filles qui y étaient logées.
Dans l’une d’elle, se trouve une grande brune, gracile, bronzée contre la tenture écarlate, frissonnante, les cuisses portant pour la première fois les sillons violets de la cravache. Elle s'appelle Dominique. Son amant est un garçon maigre d'une trentaine d'années qui la tenant aux épaules, renversée, se faisant enculée par un inconnu, sous lequel elle gémit. Natacha la lave. Je la farde, lui lace son corset, lui passe sa robe.
Je deviens la favorite de James, qui me fait asseoir à califourchon sur lui, de ses mains me tenant à la taille et aux fesses.

Au début de l'après-midi, nue comme au premier jour, en tongs à hauts talons, portant la ceinture de cuir maintenant en place, un imposant gode anal, je suis rejointe par Dany. Elle m’annonce que le jet privé a été retrouvé en mer, dans des eaux profondes, avec aucun survivant. Une photo de femme entièrement nue, d'après certains indices vraisemblablement une prostituée, que la police recherche, apparaît sur la une du journal. 
Au bout de trois heures d'interrogatoire, je n'ai toujours rien dit
- Tu es libre, maintenant, Prudence, dit Dany. On peut t'enlever tes fers, le collier, les bracelets, effacer la marque. Tu peux retourner chez toi. Mais si tu veux, dit encore Dany, tu peux rester.

Dès que je suis en retour à ma résidence, je garde mes deux bagues et ne porte plus aucun sous-vêtements, porte des jupes de plus en plus courtes et de plus en plus fines, tout en cachant mes fers. Mes hauts de plus en plus décolletés et surtout de plus en plus transparents. Je ne serre jamais mes jambes et ne croise jamais mes bras pour masquer mes seins.
Quand je me déshabille par mes amants, je leur montre mes fers et mes marques le “S” et le “H”, qui finalement ont été tout aussi vains, effrayent réellement ceux qui les découvrent.
Le triple meurtre avec O et le double meurtre des deux soumis ne sont jamais résolus, car les meurtriers sont morts, emportant leurs secrets.
J’épouse secrètement le transsexuel, Annie, dont j’ai deux jumelles qui seront éduquées à leur majorité au manoir, dont je suis devenue membre et maîtresse.

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