lundi 11 mars 2019

MANOIR 2E PARTIE EPISODE 1


Je m’appelle Olivia. Je suis la fille de Prudence, qui a connu le Manoir.
J’ai 18 ans et je suis encore vierge.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu'à ma raie fessière. Je suis très poilue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre son entrecuisse velue noire. Ses hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.


Le mystérieux manoir 2e Partie

Mi juin
Je suis la fille jumelle de Prudence. Ma mère, Prudence, décède dans de mystérieuses conditions, dans les années qui ont suivi son passage au Manoir, ainsi que le transsexuel Annie.
J’ai passé mon éducation dans le milieu catholique, sans connaître aucun garçon. Prudence et Annie m’ont légué une grosse fortune.
Le chauffeur personnel de Prudence, Victor, vient me chercher à bord de la limousine. Je porte mon uniforme de collégienne : un chemisier blanc sur mon soutien-gorge, un collant noir sur mon slip, une jupe mi-longue, des escarpins à petits talons. Je suis coiffée d’une queue-de-cheval. J’ai hérité de la beauté de ma mère.
En chemin, la limousine est bloquée par une fourgonnette devant et deux motards.
Un des motards musclé me met un bâillon-pénis en bouche, avec un anesthésiant.
Je suis embarquée dans la fourgonnette, nue, pieds nus, enchaînée à l’arrière.
Quand je me réveille, je suis enchaînée sur un fauteuil gynécologique, les chevilles menottées, les bras tendus en arrière.
- Quelle beauté, de petits seins, une chatte et un pubis velus, elle ne doit pas être vierge. Nous allons voir cela.
Le gynécologue, un bel étalon musclé, âgé d’une vingtaine d’années, nu sous sa blouse, m’écarte les lèvres de ma chatte trempée d’excitation. Il enfonce ses doigts et caresse mon clitoris qui se tend.
- Elle est toute trempée, mais je sens qu’elle a encore un obstacle.
- Alban, déflores-la, pour la préparer. Je lui masturbe le clitoris pendant qu’elle me suce.
Alban est un bel homme du double de mon âge, enfonce son gros mandrin dans ma chatte et me déflore. Je gémis, mais le long mandrin du gynécologue étouffe mes gémissements.
- Ca y est, elle n’est plus vierge par ce côté. Mets-lui le spéculum.
- Allez, ma belle, suce-moi bien.
Ma bouche refermée et resserrée sur le mandrin qui me rempli, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée.
- C’est une suceuse novice, mais elle s’applique.
Le gynécologue se retire et m’inspecte longuement ma chatte déflorée.
- Très bien, elle est apte à se faire honorer. Voyons, ton œillet, que tu es serrée. Tu es vierge aussi de ce côté. Détends-toi.
Après Alban, c’est un grand étalon musclé, qui entre, doté d’un mandrin plus gros qu’Alban. Jamais un tel mandrin va m’ouvrir.
Il enduit mon anus de ma mouille abondante et pose son gland sur ma collerette anale. Pour étouffer mes gémissements, je dois sucer Alban. Il s’enfonce d’une traite jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses testicules viennent buter contre les globes de mes fesses. La douleur a disparu. Elle a été remplacée par une impression de plénitude, une sensation d’absolu. Je me sens bien. Il reste un long moment fiché en moi, n’esquissant pas le moindre geste, sans doute pour que je m’habitue progressivement à son mandrin qui m’encule. Il me pistonne l’anus, caressant mes fesses, me donnant quelques claques magistrales sur mes fesses, pour me lubrifier davantage. Puis il accélère le rythme. Il revient à une sodomie plus lente, plus profonde. Puis accélère de nouveau. Jusqu’à ce que lui prenne l’idée de se retirer de mon cul. Il se retire et cède sa place à Alban et au gynécologue, pour trois longues sodomies, suçant à tour de rôle.
- Très bien, elle sera enculée tous les jours.
Pour finir, après mon inspection par un écarteur anal, je suis prise dans ma première double pénétration. Alban est sous moi, m’enculant et le gynécologue me baise. J’explose dans un long orgasme, la chatte et l’anus longuement inondés par mes amants.
J’ai droit à une douche vaginale et mon premier lavement avec une poire remplie d’eau froide.
Nue, je suis escortée par Alban, pour recevoir mon uniforme.
Je suis mesurée, pesée et j’enfile mon chemisier blanc sur mes seins nus, un kilt s’arrêtant à mi-cuisses et des mules à talons moyens.
- Te voilà prête, pour ton premier jour au Pensionnat du Vice. Tu feras une visite au Manoir ensuite.
Après les cours sexuels du matin, où je suis restée cul nu, la jupe relevée sur le tabouret de cuir muni d’un imposant vibromasseur pour m’enculer, je suis conduite au Manoir, qui se trouve à un quart d’heure de marche.
Les deux surveillants me pelotent mes seins nus, aux mamelons tendus, mes fesses nues et ma chatte trempée et mon anus béant.
Avant de franchir la grille, on me bande les yeux et on me menotte les mains dans le dos, en prenant soin de retirer ma jupe.
Un vent frais monte le long de mes jambes et saisit mes cuisses nues.
Je monte quelques marches, puis franchis une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout nue, en mules, dans une pièce noire où on me laisse. Puis, quand enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, il y a un tapis au sol, de nombreux miroirs et glaces. Deux jeunes femmes, jolies, vêtues d’un corset seins nus et d’une jupe ample et mi-longue, transparente, largement fendue devant sur leurs pubis et leurs chattes lisses avec de petits anneaux dorés et derrière sur leurs fesses nues zébrées, chaussées de mules à très hauts talons, les yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
- Que tu es belle, laisse-moi t’embrasser.
- Je vais te lécher la chatte.
Je m’abandonne, sous le long baiser langoureux de la première et la seconde me lèche la chatte et le clitoris et me doigte l’anus.
La chatte bien trempée, les mamelons et le clitoris tendu, elles me libèrent mes mains et m’annoncent :
- On va te baigner et te farder, te parfumer.
Je rejoins une grande baignoire transparente dans une immense salle de bains entièrement recouverte de glaces et de miroirs sur les murs et au plafond.
- Accroupis-toi, cuisses écartées. Tu ne fermes plus tout à fait les lèvres, ni ne croises les jambes, ni ne serres les genoux.
J’obéis, les seins caressés par la grosse éponge, de même que ma chatte et mon clitoris. Je veux me masturber.
Elles me font jouir, en me masturbant. Elles m’enfoncent aussi une canule dans l’anus pour qu’il soit propre.
Une fois propre et sèche, je rejoins le fauteuil au centre de la salle de bains.
En m’installant sur le fauteuil, les cuisses écartées, je ressens une étrange sensation. Un gros vibromasseur anal de bonne dimension long et large m’écartèle l’anus. Je ne peux m’y opposer. Je gémis un peu, mais une vague de chaleur m’irradie, combinée à une excitation due à une crème qu’enduit mes mamelons et mon clitoris. Ils se tendent davantage. Mon bassin ondule sur le vibromasseur pendant que je suis fardée. Je me regarde dans la  grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Je regarde le durcissement de mes mamelons et mon clitoris qui grossit.
Mes paupières sont légèrement ombrées, ma bouche très rouge, mes mamelons et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes. Je suis au bord de l’orgasme anal, sans me caresser, quand je quitte le fauteuil.
Les femmes me masturbent une nouvelle fois.
J’ai chaussée mes mules à très hauts talons.
Je rejoins la pièce annexe où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis au sol.
Il y a une fenêtre qui donne sur un parc. Cuisses écartées, j’admire ma chatte, mon clitoris a encore grossi, mes mamelons sont complètement tendus et très dur au point de lui faire vraiment mal  tellement ces endroits sont devenus sensibles.
Lors du retour des deux femmes, une prend mes mesures du cou et de mes poignets. L’autre choisit les carcans correspondants. Voici comment ils étaient faits : en  plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets.
Un bel étalon musclé, au mandrin en érection, avec une gaine à picots, ferré juste sous les testicules, vêtu d'une longue cape. Je regarde ce mandrin qui m’excite et le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des gants aussi, et de fin chevreau.
- Lève-toi, ma belle. Tu ressembles à Prudence, une soumise qui a passé quelques temps ici. Elle, aussi, avait l’œillet serré comme une vierge, comme toi. Ecarte tes fesses et penche-toi en avant. Vous deux, occupez-vous de ses seins et son clitoris.
Cuisses écartées, penchée en avant, les seins pelotés par une des femmes et l’autre me léchant le clitoris qui se tend davantage. L’homme, prénommé Eros, enfonce son long et gros dans mon anus lubrifié par ma mouille.
- Détends-toi, je vais t’enculer jusqu’aux testicules.
Je gémis un peu, mais le plaisir m’envahit. Je me retiens de jouir, en sa présence. Mais à chaque nouvelle ouverture de mes fesses, je coulisse sur mon mandrin qui bande davantage.
- C’est bien, ma belle, vas-y, empale-toi. Tu dois apprendre à te faire enculer, ma vicieuse. Je te pine profondément. Je viens.
Eros éjacule en moi, tandis que je connais un orgasme.
Il se retire et accroupie, cuisses écartées, je le suce et le nettoie.
- Tu es docile. Avale.
J’obéis.
- Tu seras présentée tout à l’heure. Ton œillet va plaire aux invités, après ton dîner.
Eros cède la place à Hercules, un imposant étalon au gros mandrin avec des picots et ferré aussi.
Je dois subir une nouvelle sodomie, sans me dérober.
En appui sur mes bras en arrière et sur mes jambes écartées, je le reçois agenouillé, tenue par la taille. Il m’encule jusqu’aux testicules. Son gros mandrin m’écartèle davantage. Ses poils frottent mon clitoris tendu.
Il éjacule lui aussi dans mon anus et je ne peux me retenir d’un orgasme. Sans débander, il étire mes mamelons tendus pour me soumettre.
Il se retire et me met mon premier bijou d’anus. Il est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois que l’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, provoque une délicieuse excitation anale permanente. Il mesure six centimètres de long, pour trois de diamètre, pour 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base garantissent un excellent maintien dans l’anus.  La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. Cette tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.
- Tu gardes ainsi mon sperme bien au chaud et tu restes ouverte pour tout à l’heure. Tu as besoin d’être enculer pour t’élargir.
Seule, toujours nue, dans une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un guichet. Je suis agenouillée, cuisses écartées, je mange avec les doigts. J’éprouve une excitation anale. Pourquoi dois-je être enculée ? De gros mandrins m’écartèlent, est-ce pour m’élargir ?
Enfin, le dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prenaient le café. Ils portaient les mêmes grandes robes que le premier, mais aucun masque. Ils ont tous leurs mandrins maintenus en érection par un anneau pénien à la base des testicules en rendant leurs testicules bien volumineux et super excités. Ils ont aussi un extenseur de mandrin rallongeant instantanément de quatre centimètres de longueur à leur mandrin et il compresse leur mandrin en améliorant immédiatement sa rigidité tout en restant très doux et très souple. Leur mandrin est durci, élargi d’un centimètre et l’extenseur comporte des nodules et des picots souples. La gaine dispose à sa base d’une séries de striures qui permettent de bien arrimer la gaine creuse à la base du mandrin. La gaine comporte dans son extrémité creuse un réservoir pour recueillir le sperme lors de l’éjaculation.
Je ne peux voir leurs visages, aveuglée par une lampe-phare.
On me bande les yeux. On me caresse les seins, la chatte, le clitoris et on m’embrasse langoureusement. L’anus libre du bijou d’anus, je subis l’assaut simultané de leurs doigts dans mon anus et ma chatte. Je me retiens de gémir. Une main me prend un sein, une bouche saisit mon mamelon tendu.
Je me retrouve allongée sur le dos, ayant perdu l’équilibre, les cuisses écartées, déchaussée. On me retire le bijou d’anus et un premier homme, bien monté, m’encule. Il m’ouvre complètement les cuisses, en me saisissant par les chevilles. Je ne peux opposer de résistance. Les mandrins se succèdent dans ma bouche. Un coussin soulève mes reins pour un meilleur accès.
Après avoir joui en moi, sans éjaculer, l’homme me remet le bijou d‘anus et je me retrouve agenouillée, cuisses écartées, et mes mains liées au dos me font pencher en avant. Je fléchis un peu en arrière, à demi assise sur les talons. Deux poignes pèsent sur ses épaules comme pour m'empêcher de me relever.
- Elle n’a jamais attachée, ni fouettée. Il faut l’attachée, pour la fouettée, pour qu’elle y prenne plaisir, jusqu’aux larmes.
Son œillet est un peu serré, dit un autre.
Je suis prosternée, cuisses écartées, pour me faire enculer. On me retire le bijou d’anus, l’homme se met en appui sur ses jambes et m’encule profondément. J’ondule mon bassin.
Je suce en même temps.
Le second me fait remettre à genoux, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et l'un des hommes, me maintenant des deux mains aux hanches, m’encule jusqu’aux testicules.
Le troisième m’encule latéralement, toujours prosternée. Il est en traction, puis il enjambe mes fesses. Il me masse les seins, jouant avec mes mamelons tendus et me donne quelques claques magistrales sur les fesses et les cuisses. Mon anus se lubrifie davantage.
Je me retrouve les cuisses serrées, les jambes ramenées vers mes seins. Agenouillé, les cuisses écartées, il m’encule avec son gros mandrin. Je gémis, empalée jusqu’aux testicules.
Sans débander, il se dresse au-dessus de moi, en m’écartant les jambes et entre et sort de mon anus béant et humide.
Je suis libérée, gémissante. On me retire le bandeau.
La grande pièce avec des livres sur les murs est faiblement éclairée par une lampe sur une console, et par la clarté du feu, qui se ranime. Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et
Le quatrième m’encule, en caressant mon sein. Mais tous quatre m’ont prise, et je ne l'ai pas distingué des autres.
- Tu verras les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et tu ne dois  jamais savoir quels sont les responsables du pire. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te vois fouettée, qu'une première fois tu n’as donc pas de bandeau, mais qu'eux mettent leurs masques, et que je ne les distingue plus.
L’home a un mandrin gros et ferme, son gland est bien enfoncé, l’anus détendu, je l’accueille. Allongée sur le côté, il se colle contre moi. Il me caresse les seins, la chatte, mon clitoris. Il s’enfonce jusqu’aux testicules.
- Que tu es belle, dans le plaisir.
J’avoue que cette position me fait mouiller. Il m’embrasse langoureusement sur la bouche.
Puis il se retire, me remet le bijou d’anus en place.
On me le retire, m’allonge sur le dos.
Un superbe berger allemand, entre, le sexe en érection. Le berger allemand m’encule. Puis je redresse les jambes, je les passe par-dessus le dos du berger allemand et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui. Il s’enfonce jusqu’au nœud pour m’écarteler. Je gémis un peu. Je connais quatre orgasmes anaux sous ses coups de reins. Il éjacule en moi.
Il se retire, me lèche l’anus et je dois le sucer.
Le berger allemand repart. On me montre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir que le premier des hommes que j’ai vu à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a un troisième fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui étaient toutes raides, trempées dans l'eau.
Sans attendre, pantelante, je suis menottée, les bras en l’air, sur la pointe des pieds nus, une barre d’écartement m’empêche de resserrer les cuisses. On m’enfonce un gode canin avec son nœud de la taille d’une balle de golf, long de dix centimètres et trois de diamètre. Je ne peux l’expulser. Avec la garcette, on caresse l’intérieur de mes cuisses et ma chatte.
Que sauf les mains sont tenues un peu au-dessus de la tête, je ne peux donc bouger, et voir venir les coups. Qu'on ne me fouette en principe que les fesses et les cuisses. Je peux crier, me débattre et de pleurer. On me laisse respirer, mais quand j’ai repris haleine, on recommence, jugeant du résultat non par mes cris ou mes larmes, mais, par les traces plus ou moins vives ou durables, que les fouets laissent sur ma peau.
Chaque coup de fouet me fait mouiller, augmentant la tension à mes mamelons et mon clitoris.
Le gode canin amplifie mon désir anal. Je les supplie de me détacher, pour me masturber.
Un des hommes fixe une pince à chaque grande lèvre et une pince par mamelon tendu. Les chaînes et les pinces sont en métal massif chromé. Les pinces plates sont recouvertes de caoutchouc noir à leurs extrémités mais il retire ces caoutchoucs pour faire apparaître des rangées de dents minuscules en métal ; les sensations intimes seront alors beaucoup plus intenses à mes mamelons tendus, dont il resserre les vis. Elles sont très puissantes et écrasent mes chairs. Mes grandes lèvres s'allongèrent beaucoup et mes mamelons aussi en déformant aussi mes seins vers le bas. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Au bout d’un quart d’heure, on regarde le résultat, la cravache m’a davantage marquée que la garcette, que le fouet de cuir.
On dégonfle le gode canin et on me le retire quelques instants. Un des hommes bien monté, m’encule jusqu’aux testicules. Les clochettes tintent à chaque coup de rein. L’homme éjacule en moi et me remet le gode en place.
Je suis cravachée en plus des fesses et de l’arrière des cuisses et sur le devant de mes cuisses et sur mes seins avec un martinet de poche.
Pantelante, je connais un nouvel orgasme anal.
On me retire les clochettes aux grandes lèvres pour me baiser.
Je connais ma première double pénétration, la chatte resserrée par le gode canin.
Avant de me détacher, on me retire la barre d’écartement. On enduit mon clitoris et on libère quelques instants mes mamelons tendus que l’on enduit, avant de les remettre.
- Vois-tu la crème qui enduit ton clitoris et tes mamelons, n’a qu’un but, déclencher une hyper sensibilité de ses points là. Le moindre frottement de tissus ou même que l'air sur tes mamelons ou ton clitoris te provoquent une excitation énorme. Le résultat, c'est que tes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour ton clitoris. Inutile de te dire que malgré cette hyper excitation, je t'interdis de te faire jouir. Tu découvres ainsi la frustration et la douleur que cela procure en plus de la douleur provoquée par le fait que tes mamelons et ton clitoris soient constamment tendus.
Détachée, je suis chancelante et presque évanouie, je dois enfiler un mystérieux slip muni d’un gros gode réaliste, long de trente centimètres et quatre de diamètre. Le slip est une ceinture de cuir qui entoure ma taille, et les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longeaient le pli des aines en contournant le triangle pubien. Une fois enfilé, les chaînettes sont ajustées au plus court, pour forcer et distendre mon anus et on les cadenasse avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puisse être tentée de me soulager de cette contrainte. Une fois place, je sens les va-et-vient dans mon anus, me rappelant une sodomie par un amant infatigable. Ce gode s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode.
Je m’agenouille, cuisses écartées, assise sur ses talons, le dos bien droit, légèrement cambrée, la tête droite mais les yeux baissés, les mains posées sur les cuisses paumes vers le haut. Ma bouche  reste légèrement entrouverte.
« Tu restes nue la première semaine, pour que tout le monde voit que tu portes le gode, pendant tes corvées. On te le retire que t’honorer. Nous fouillons ta chatte, ton œillet à tout moment. Tu ne peux plus te dérober, tes lèvres de ta bouche restent entrouvertes, tes cuisses restent toujours écartées, pour donner libre accès à ta bouche, ta chatte et ton œillet. Le fouet ne t’es appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Ton regard doit se fixer sur nos sexes nus et libres, pour les sucer. La nuit, nue, enchaînée, tu suces et gardes les cuisses écartées pour te faire honorer, ou bien par un chien. Les chiens sont les meilleurs moyens pour t’élargir. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction. Tu es contrainte. On va te conduire dans ta cellule. »
Je ne sens pas d'aplomb sur les mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules, comme les portes des chambres dans les grands hôtels.
- Tu es dans l'aile des soumises novices, et votre valet s'appelle Sam.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle Anaïs.
- Et moi Jasmin », dit la seconde.
La première reprit : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attache et te détache, te fouette quand tu est punie et quand on n'as pas de temps pour vous.
- L’année dernière, j’ai connu Sam. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous. Souvent, des chiens viennent nous monter pendant la nuit.
Au détour du couloir, je m’arrête devant une porte que rien ne distingue des autres : sur une banquette entre cette porte et la porte suivante j’aperçois un bel étalon bronzé, vêtu d’un gilet en cuir, avec un étireur de testicules et un anneau pénien, son gilet de cuir cache de petits seins, c’est un transsexuel. Il porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer les trois femmes, disant :
- Je referme, vous sonnerez quand vous aurez fini.
Il découvre la ceinture et les chaînettes.
- Tu portes le gode d’assouplissement. Je te le retires tout à l’heure et je ferais usage de toi.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures. Il n'y a pas d'autres meubles, il a de grandes glaces sur les murs, du haut en bas de la paroi, que n'interrompent aucune tablette et au plafond. Il y a un tapis au sol. Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, est en même tissu, la couverture à double face aussi. Le seul objet qui est au mur, deux mètres au-dessus de la tête du lit, est un gros anneau d'acier brillant, où passe une longue chaîne d'acier qui pend droit sur le lit ; ses anneaux entassés forment une petite pile, l'autre extrémité s'accroche à portée de la main à un crochet cadenassé, tirée et prise dans une embrasse.
Il y a un autre crochet suspendu face à la fenêtre, à la même hauteur.
Dans la salle de bains se trouvent le siège à la turque, dans l'angle le plus proche de la porte, et le fait que les parois sont entièrement revêtues de glace. Il y a un bidet et une douche.
Une fois nue, Anaïs et Jasmin demeurent avec moi, je m’accroupis sur le socle de porcelaine, je me trouve au milieu de tant de reflets.
- Attendez que ce soit Sam, dit Jasmin, et tu verras.
- Pourquoi Sam ?
- Quand il viendra t’enchaîner, il te fera peut-être accroupir. Ils t’ont mis un gode que tu vas porter, huit jours durant, entre son lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour où tu finis ton service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, dix heures généralement, où on t'y ramène, enchaînée, nue. Tu en porteras un plus épais chaque jour. Tu le porteras nue, parfumée, au repas du soir. Sam ne te l’enlève pour que pour t’enchaîner, soit les mains au dos s'il doit te conduire à la bibliothèque, soit au mur pour la nuit si personne ne te réclame. Rares sont les nuits, où tu seras enculée à maintes reprises. J’y suis passée.
Puis elles me conduisent sous la douche. Pendant que Jasmin me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Anaïs me savonne les seins et la chatte, me passe la main entre les jambes, décalotte délicatement mon clitoris. Je jouis sous leurs caresses. Anaïs va jusqu’à enfoncer deux doigts dans ma chatte resserrée par le gode et Jasmin me masse les seins aux mamelons durcis par les caresses.
Je me sens pâlir. « Mais pourquoi ? dis-je.
- Tu es bien obligée, réplique Jasmin, mais tu as de la chance.
- Pourquoi de la chance ?
- C'est ton amant qui t’amène ?
- Oui, dis-je.
- On est beaucoup plus dur avec toi. Tu comprends très vite. Je sonne Sam. Nous venons te chercher demain matin. »
Anaïs sourit en partant, et Jasmin, avant de la suivre, caressa, à la pointe des seins, je reste debout au pied du lit, interdite. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, tout comme mon slip, je suis nue.
- Je vais te retirer le gode et tu vas t’installer sur le bidet.
En retirant le gode, mon anus est béant et humide. J’obéis et je rejoins le bidet. Là, je me retrouve assise, courbée en avant. Je sens un doigt chargé de savon me pénétrer et me laver soigneusement l’anus, et je frissonne profondément. Il m’enfonce ensuite une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau tiède. Je comprends que, tel un ustensile qui vient d'être utilisé, on me nettoie parfaitement partout où l'on s'est servi de moi, afin qu'on puisse recommencer dès qu'on en aura le caprice.
Profitant de mes cuisses écartées, il me caresse le clitoris et je mets à jouir.
Je le suce aussi.
 « Alors la belle dame », dit le valet en entrant. Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de ses bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
Sam me pare d’une ceinture de chasteté, l’une des parties enserre la taille, l’autre est une sorte de plaque souvent triangulaire qui passe entre les jambes, et comprend de petits orifices pour permettre les fonctions naturelles, mais ceux-ci ne permettent pas d’y glisser un doigt. La femme peut se doucher et se baigner avec, l'usage du bidet est aussi conseillé. Le modèle classique de la ceinture de chasteté pour femme consiste en une bande de taille attachée à une protection d'entrejambe qui est maintenue verrouillée au centre de la taille. Ma chatte n’est plus accessible à la pénétration par un pénis : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) me permet d’uriner, mon clitoris tendu et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts  d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port à la femme soumise.
Equipée de ma ceinture, je suis prête pour mes sodomies nocturnes.
Sam me fait agenouiller, les fesses bien rebondies, la taille cambrée. Il m’enchaîne avec le crochet qui en fixe l'autre extrémité, et tire pour la raccourcir.
Sam m’encule, avec son gros mandrin, je jouis en silence.
- Tu es encore serrée, mais d’ici quelques jours, tu me supplieras.
Il éjacule en moi et m’abandonne, après avoir caressé mes fesses brûlantes et mon clitoris tendu. La douleur aux mamelons et au clitoris deviennent supportables.
Il éteint la lumière, qui est une applique entre les deux portes, et sort.
Seule dans le noir et silencieuse, et par force immobile, les mains immobilisées, je ne peux me masturber, ma chatte trempée dans la fente. Ma chatte est brûlante, prête à tous les valets pour m’honorer. Le fouet me rend sereine. Jamais je n’ai pris autant de plaisir à être enculée.
Sans attendre, je sens un sexe canin m’enculer jusqu’au nœud. Il reste en moi plus d’une demi-heure, je connais quatre orgasmes, jusqu’à l’éjaculation. Il est long de dix-sept centimètres pour cinq de diamètre.
Par le miroir de la salle de bains, je vois l’ombre du berger allemand qui m’a enculée ce soir.
Peu de temps après son départ, c’est un doberman, avec un gros sexe qui m’encule. Je gémis un peu, mais le plaisir m’envahit. Je m’empale sur son sexe, attachée à lui. J’ai droit à une double ration de spermes chauds dans mon anus, tapissé du sperme du berger allemand. Je reste attachée près de trois quart d’heure.
Ces sodomies canines me mettent dans un état second.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, avant le retour de Sam, un dogue allemand m’encule. Il est long de vingt centimètres et six de diamètre. J’ai un peu mal. Il reste une bonne demi-heure.
Sam revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte. Sam découvre mon anus béant et débordant de spermes.
- Très bien, je vois que Adam, Lancelot et Conan, ont fait un excellent travail. Tu es bien ouverte. Laisse-moi t’enculer avant de te fouetter.
En effet, je n’ai aucun problème pour recevoir le mandrin de Sam.
Il se retire et éjacule dans ma bouche. La main gauche de Sam se pose sur ma taille, je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Sam me cravache à toute volée. Il n'attend pas que je me taise et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il a cessé que je crie encore, et que mes larmes coulaient dans ma bouche ouverte.
Il me détache et me fait accroupir, cuisses écartées, de face, bras tendus en l’air, menottée à un crochet dans la gueule d’un lion.
Je me retrouve empalée, enculée sur un imposant gode canin réaliste de la dimension du dogue allemand.
Il me cravache le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Quand il part, après avoir refermé la lumière et, la porte de la salle de bains, gémissante j’oscille de douleur, au bout de ma chaîne, dans le noir. Je jouis, empalée par mon propre poids, sur le gode qui m’écartèle. Ma chatte est trempée abondamment. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
La grande fenêtre, vers laquelle je suis tournée, est orientée vers l'est, et va du plafond au sol, sans aucun rideau. Je regarde naître une lente aurore pâle, dehors au pied de la fenêtre. Devant la fenêtre,  il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette.
Le jardinier s’approche et me découvre enchaînée,  nue, avec ma ceinture de chasteté, empalée sur le gode, mon bassin ondulant, en pleins râles de plaisir, mes cuisses cravachées. Derrière lui, je découvre une soumise nue sous un cheval, guidée par un garde. La soumise subit l’assaut de l’étalon, tout en suçant le gardien.
Mes balafres ont gonflées, et forment des bourrelets étroits.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures.
L'homme qui entre dans ma cellule est nu sous son blouson de cuir et botté, il est ferré.
Il m’aide à me retirer du gode, qui m’a bien ouverte. Il me retire la ceinture de chasteté, il me passe la main entre les jambes, me caresse la chatte, le clitoris, je me retiens de jouir, les yeux baissés, mais mon bassin ondule sous sa main. Il caresse mes fesses zébrées et doigte mon anus encore béant.
- Tu es bien ouverte, je vais t’honorer.
Il me libère enfin de la chaîne.
Je m’écroule sur le lit, épuisée, allongée sur le ventre, cuisses écartées.
L’homme m’encule avec son gros mandrin. Je lui tends mes reins. Il m’enserre par les hanches, pelote mes seins lors de sodomies profondes, faisant claquer ses testicules contre mes fesses brûlantes.
- Tu aimes ça, que je te laboures l’œillet.
Après quelques va-et-vient, il se retire et éjacule dans ma bouche.
J’enfile le slip avec un nouveau gode plus large, cinq centimètres de diamètre pour trente de long. L’homme me le cadenasse. Il me remet mes clochettes à mes mamelons tendus.
Anaïs et Jasmin entrent, quand l’homme s’en va. Jasmin tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et portait du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et  des croissants.
- Mange vite, dit Anaïs, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à midi, et quand tu entends sonner il est temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et je te coiffe, je viens te farder
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Jasmin, pour la bibliothèque
- Mais vous ? dis-je
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pouvons pas te parler, et toi non plus à  nous.
La porte s’ouvre, deux superbes étalons musclés, nus, ferrés, avec un doberman.
Les deux femmes disparaissent, sur les tapis les mules ne s'entendent pas.
Je suis agenouillée, cuisses écartées, tenant une tasse de café à la main gauche et de l'autre un croissant au rebord du lit, je reste immobile. Je pose la tasse et le croissant sur la table.
Le premier, un grand brun, s’approche de moi, me renverse et m’approche, en doigtant ma chatte trempée.
Il embrasse mes fesses, mes cuisses.
Il me relève, me fait me mettre debout, me retire le gode.
Il m’encule, empalée debout, sur la pointe des pieds. L’autre homme, un blond, caresse ma chatte entre mes cuisses écartées, ses mains caressent mes seins faisant tinter mes mamelons que le valet a enduit de crème, tout comme mon clitoris, avant de partir.
Le blond masturbe mon clitoris, alors que je suis empalée jusqu’aux testicules. Je jouis.
- Quel écrin, une superbe mangue qui est toute trempée d’excitation. Son escargot a grossi.
- Son œillet est un vrai plaisir.
Le brun me fait coulisser su son mandrin, me tenant par la taille.
Sans attendre, je me retrouve doublement enculée, le plus gros mandrin se met sur le dos pour que je m’empale, enculée, et l’autre enfonce son mandrin dans mon anus dilaté au-dessus de l’autre pour commencer à limer doucement, puis plus rapidement ou violemment l’anus. Ils m’enculent simultanément, mes mains sont menottées dans le dos. Ils éjaculent en moi.
Le blond disparaît. Le brun m’encule ensuite, après que je l’ai masturbé, les mains libres. Il me remet le gode en place.
Le soleil a percé la brume et inonde la chambre. Mais seule la sonnerie de midi nous réveille.
Le brun me retire le gode et je m’offre à quatre pattes au doberman, qui m’encule.
C’est Lancelot, je reste attachée à lui, pendant une demi-heure. Mon clitoris est caressé par l’homme, tandis que les clochettes tintent.
L’anus rempli, je dois le sucer, le gode remis en place par l’homme.

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