dimanche 3 mars 2019

MANNEQUIN LESBIEN POUR PHOTOGRAPHES PERVERS


Je m’appelle Miel.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Mon pubis est encore velu, tout comme ma chatte et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

MANNEQUIN LESBIEN POUR PHOTOGRAPHES PERVERS

Depuis mes 16 ans, je pratique le lesbianisme avec mes amies au collège puis au lycée. Je n’ai jamais couché avec un garçon. Je tiens à préserver ma virginité. Mes amies le savent, quand elles me godent, n’enfoncent pas trop loin le gode dans ma chatte aux lèvres plus proéminentes, par les multiples baises lesbiennes. Je suis une jouisseuse hors pair.
Mes amies aiment ma chatte et mon pubis velus. Je n’oserais jamais me raser, pour rester séduisante. Je muscle mon corps en faisant du vélo, de la gymnastique et du sport nautique.

Un après-midi de juillet, sur une plage espagnole, je bronze seins nus, exhibant mes petits seins, qui attirent les regards. Je viens d’avoir 18 ans.
Un photographe me mitraille sous toutes les coutures. Il me demande :
 -Vous êtes séduisante. Cela vous direz de faire des photos en maillot de bain, pour une beauté au corps de femme avec un visage d’enfant. Ton corps est élancé, tes pieds, tes mains sont très belles.
- J’accepte.
Nous allons à l’hôtel. J’ai juste mis un tee-shirt blanc et une minijupe rose, avec mes sandales blanches.
Je lui présente mes maillots de bains, bikinis et maillot une pièce.
Pendant la séance photo, sur une autre plage, j’ai un déclic. Je mouille à la vue de son mandrin qui bande.
Lors de la pause, seins nus avec mon slip de bain, pieds nus, coiffée d’une queue-de-cheval, je lui annonce :
- J’ai envie de voir votre sexe.
Sans attendre, le photographe, un bel étalon musclé, du double de mon âge, me conduit dans une cabane déserte.
Je retire mon slip et je fais ma première fellation.
Alban guide ma bouche. Je referme mes lèvres que je resserre sur son long mandrin, je descend le long du mandrin, je monte en aspirant, de redescendre en faisant glisser le gland dans le creux de ma joue, je caresse le dessous des testicules de la pointe des doigts, les enveloppe, les sollicite. Mon visage défait s'inonde de larmes chaque fois que le membre gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. L’homme éjacule un peu dans ma bouche, puis il me met à quatre pattes, bras tendus, pour que mes fesses bien rebondies, accueillent son mandrin bandant.
Il me baise, en me tenant par la taille, pour me faire coulisser.
- Non, pas ça. Je suis.
- Laisse-toi faire, tu vas aimer, puis je m’occupe ensuite de ton œillet.
Agrippé de plus en plus fortement à mes hanches, il me déflore et me mène à mon premier orgasme vaginal hétérosexuel.
Sans attendre, il se retire, m’écarte bien les fesses et enfonce son mandrin dans mon anus serré de vierge.
- Ouvre-toi bien : ça va rentrer tout seul, pousse fort...
J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma collerette anale me fait tout de même mal. Il  marque une pause avant d'aller de l'avant et d'augmenter la profondeur de la pénétration, son mandrin repoussant mes tissus s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Il entamer un lent mouvement de va et vient, ressortant presque entièrement de mon anus, pour y replonger aussitôt. Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain. Par sa technique sans faille, je connais ma première jouissance anale. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses, pour me lubrifier davantage. Il m’allonge sur le ventre, sans débander. J’écarte mes jambes, l’anus bien détendu. Il m’enserre par les hanches et pelote mes seins aux mamelons tendus lors de sodomies profondes. Je jouis. J’agite ma croupe pour qu’il bande davantage.
Il se retire et m’encule plus longuement. Je suis envahi par mon premier orgasme anal.
- Tu es divine, tu as besoin de te faire défoncer l’œillet.
- C’est jouissif. Jamais on m’a prise par derrière.
Alban continue à m’enculer jusqu’à éjaculer dans mon anus béant.
Après un 69 torride, je suis à nouveau enculée à quatre pattes jusqu’à l’éjaculation.
La séance photo se termine en photos de charme nue.
A la fin de la séance photos de charme, nous prenons une douche à ma chambre de mon hôtel. Alban me masturbe la chatte, en faisant passer le jet d’eau sur mon clitoris tendu, je jouis comme une folle.
Une fois rafraîchie, je revêts sur mon corps nu, à la demande d’Alban, une petite robe d’été dos nu, avec mes sandales blanches, coiffée d’une queue-de-cheval.
Nous déjeunons avec une amie photographe, Diane, un peu plus âgée que moi, blonde aux petits seins, qui regardait mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement, et avec une attention si précise et si sûre.
Nous parlons des séances photos et de ma défloration.
- Miel, il faut élargir cet œillet pour être plus désirable. Les hommes aiment les femmes cachant entre leurs fesses musclées, une rosette anale plus large.
- Mais, je ne suis pas adepte de la sodomie.
- Il faut t’y faire, ma belle, ton œillet doit répondre aux exigences, de photos de charme. Cet après-midi, nous ferons des séances photos lesbiennes. Tu sembles être une lesbienne experte. Embrasse-moi sur la bouche.
J’obéis, Diane dénude un de mes seins qu’elle pelote. Nous mêlons nos langues dans de langoureux baisers.
Mes mamelons se tendent et ma chatte ruisselle.
- Tu me plais. Tu as de superbes seins.
Nous allons dans une villa non loin de l’hôtel.
Là, nue, je pose pour Diane, me masturbant en solo, avec mes doigts, me faisant jouir, puis avec un gode réaliste dans ma chatte. Le gode va et vient automatiquement dans ma chatte trempée, long de vingt centimètres et cinq de diamètre, je le sens s’étire et se contracter. J’ai un violent orgasme.
Alban m’écarte ensuite les fesses, une fois à quatre pattes et me l’enfonce dans l’anus.
Je n’oppose aucune résistance. Mon anus se détend, les va-et-vient et il me masturbe mon clitoris tendu.
Diane s’équipe à son tour. C’est un gode-ceinture avec un gode vaginal long de dix-huit centimètres et quatre de diamètre et son gode anal long de dix-neuf sur quatre. Diane m’enfonce simultanément les deux godes, masturbe mon clitoris et caresse mes seins, tandis qu’Alban nous photographie.
Cette double pénétration me met dans un état second, enchaînant les orgasmes.
Puis je m’allonge sur le dos, cuisses écartées, pour ma seconde double pénétration. J’enserre la taille de Diane, mes pieds s’appuient sur ses fesses.
- Tu aimes ça, deux queues simultanément.
- Oui, c’est excitant. Ma chatte dégouline et mon œillet s’ouvre bien.
- Tu vois, la sodomie te plait.
La séance photo dure plus d’une heure, les double pénétrations se succèdent dans diverses positions, empalées, sur le ventre.
L’anus béant et bien humide, je suis longuement enculée par Alban, qui a bandé pendant toute la séance.
- Tu vois, tu t’ouvres un peu plus que tout à l’heure.
Alban éjacule dans ma bouche. Je me douche avec Diane.

Trois jours après, je suis draguée par un photographe scandinave, Dan, un bel étalon musclé brun.
Je fais des photos de charme, nue, dans son hôtel. Dan pousse le vice à ce que je me gode. Je prends un gode et me l’enfonce dans la chatte.
Mais Dan a remarqué que ma rosette anale est un peu plus large, par mes sodomies pratiquées avec mes godes en solo.
 - Encule-toi.
J’obéis. J’écarte mes fesses et enfonce le gode, je fais quelques va-et-vient et je jouis.
Dan me retire le gode et m’encule dans la foulée. Je connais plusieurs orgasmes anaux sans me caresser.
- Tu es un peu étroite, mais j’aime ta prestation.
Nous passons une demi-heure dans diverses positions, sans débander.
Il éjacule dans ma bouche. Nous prenons une douche.

Quatre jours après, je reçois Alban et Diane qui ont développé les photos. Je suis séduite par les photos. Je me déshabille et je refais une séance photos de charme, nue.
- Miel, as-tu été fessée ?
- Jamais, mais j’accepte.
Je tends mes fesses, je suis sur les genoux.
Alban me caresse les fesses, avant de me donner quelques claques magistrales, qui me font mouiller.
Pendant chaque fessée, Alban me doigte l’anus.
Puis je me mets en levrette, le bassin bien cambré, les fesses bien mises en évidence prête à recevoir le châtiment.
Diane prend une raquette de bois et la fait claquer sur mes fesses brûlantes et rougies. Mon anus est rempli par un puissant vibromasseur qui fait onduler mon bassin.
Les fesses marquées, enfin, debout, appuyée contre un mur, mes fesses sont cravachées. Je gémis un peu.
Les fesses brûlantes, avec cinq marques plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes, Alban m’encule. J’ai un violent orgasme anal. Alban éjacule dans ma bouche.
- Son œillet s’est un peu élargi.
- Je m’encule régulièrement avec mes godes.
Diane me reprend avec un double vibromasseur, plus gros que ceux de la première fois, qui se gonflent de manière aléatoire.
Pantelante, je découvre mes fesses dans le miroir que me tend Diane.
- Vois-tu, nous avons des amis qui sont intéressés par une beauté comme toi, pour des séances photos. Tu y seras aussi fessée. Désormais, tu ne portes plus jamais aucun sous vêtement. Plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entre jambes jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne portes que des jupes ou des robes mais à la condition qu'en aucun cas elles ne soient plus longues que le milieu de tes cuisses. Jamais de tee-shirt ou autres vêtements sous tes corsages ou chemisiers. Pour tes pieds, soit tu seras pieds nus soit tu porteras des chaussures à talons. Chez nos amis, tu te prêtes, tu offres ton corps, tu ne peux te dérober. Ta bouche doit garder les lèvres entrouvertes, tes cuisses sont écartées à tout occasion, pour montrer ton accès. Désormais, tu baisses les yeux, en présence d’un homme et tu regardes uniquement son sexe. Tu le suceras. Tu dois ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu dois te taire, et obéir. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser.
J’accepte.
L’après-midi, après ma douche, je revêts une robe spéciale : sa jupe est courte, entrouverte devant et derrière, mes seins nus et libres sont mis en valeur par le corset lacé du corsage. Tout le monde peut voir que j’ai les fesses nues et libres sous ma jupe. Diane vérifie mon accès.
- Tu mouilles, ma chérie.
- Je suis toute excitée, dans cette tenue provocante.
Je monte à bord d’une limousine, les yeux bandés, la jupe relevée, assise cul nu sur la banquette arrière en moleskine, glissante et froide, je la sens coller à mes cuisses. Je porte des mules à très hauts talons. Mes mains sont attachées au dos, avec des menottes.
Après un long trajet, on m’aide à descendre.
On me retire ma robe. Je suis nue, quand je monte les marches. Les mains inconnues caressent mes seins et ma chatte. Je franchis plusieurs portes du château à l’aveugle.
On approche même un candélabres à deux branches en faïence provençale et je sens la flamme des bougies me chauffer l'intérieur des cuisses - pour voir ma chatte.
Je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout dans une pièce éclairée, avec un épais tapis par terre, entourée de miroirs et de glaces, photographiant mon corps nu exposé.
La porte s’ouvre, deux femmes jeunes et jolies, nues, intégralement épilées, portant de petits anneaux dorés aux grandes lèvres, au gros clitoris et aux mamelons tendus, chaussées de mules à très hauts talons, les yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Elles libèrent mes mains, caressent ma chatte et mes seins, qu’elles pelotent, en silence.
- On va te baigner, te farder. Tu es très belle.
Je dois m’accroupir, cuisses écartées, dans une grande baignoire transparente.
Elles me lavent longuement, me savonnent, me lavent les cheveux, savonnent mon pubis et me font ma toilette vaginale.
Une fois propre et sèche, entourée de miroirs et de glaces au plafond et sur les murs, de la salle de bains, je m’assois sur un pouf, toujours entourée de miroirs.
- Garde les cuisses écartées, me murmure une des filles.
J’obéis, déclenchant la sortie d’un gode réaliste qui s’enfonce profondément dans mon anus. Elles me coiffent, je me regarde dans la grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace. Elles ombrent légèrement mes paupières, ma bouche est peinte très rouge, avant de peindre mes mamelons et l’aréole de mes seins, elles pincent mes mamelons pour étaler une crème spéciale, puis ils sont peints en rose. Je me relève un peu, pour qu’elles peignent en rouge le bord des lèvres de ma chatte. Je me lève, pour être parfumée longuement sur mes aisselles lisses, ma fourrure pubienne, le sillon entre mes cuisses, le sillon sous mes seins et au creux de mes paumes.
J’attends ensuite, nue et en mules, empalée sur le gode qui m’encule.
Je n’ose me caresser, mon bassin ondule violemment et je me retiens de jouir, ma chatte dégouline, mon clitoris se tend, lui aussi a été recouvert d’une crème spéciale.
Le produit stimulant dans mes aréoles et mes mamelons, mon clitoris, me déclenche une hyper sensibilité. Mes mamelons pointeront au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très dur au point de me faire vraiment mal, devenus sensibles.
Sur une des parois du petit boudoir, il y a une grande fenêtre qui donne sur un beau parc sombre. Puis un bel étalon musclé, cagoulé dissimulant les yeux, nu sous une cape, botté, entre. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je regarde son long mandrin en érection, portant un fer qui troue son périnée, juste sous les testicules, augmenté du disque gravé, et à chacun de ses pas bouge entre ses jambes comme le battant d'une cloche, le disque étant plus lourd que l'anneau auquel il pend. Je vois aussi le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture. Il est ganté. Les deux femmes l’accompagnent, vêtues d’une jupe largement ouverte devant, assez courte et d’un corset seins nus.
- Tu ne bouge pas, me dit-il.
Elles cherchent mon collier et mes bracelets. Voici comment ils étaient faits : en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionnait du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte. Bien qu'il y a assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y peut glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets.
L’homme me fait me lever, penchée en avant.
Il m’écarte les fesses et m’encule jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir.
- Tu es un peu étroite, mes fesses cravachées me plaisent. Ton clitoris tendu sous mes doigts est bon signe. Ta chatte trempée est un excellent atout.
La sodomie dure plus d’une demi-heure.
Je connais d’autres amants qui vont jouir de ton œillet, qui sera élargi.
Il éjacule en moi et se retire et me met un bijou d’anus. Il est très beau, il est en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre mes fesses une fois qu’il est introduit dans l’anus. Il est très doux et très petit, provoque une délicieuse excitation anale permanente. Il est long de six centimètres pour trois de diamètre et 34 grammes. Sa forme en sapin et sa large base me garantissent un excellent maintien dans l’anus.  La section qui relie les deux extrémités est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne. La tige de la taille de l’auriculaire servira de support lorsque le sphincter se referme.
- Ainsi tu vas garder mon sperme au chaud. Tu es prête pour le dîner.
Seule, agenouillée, cuisses écartées, sur un pouf, je dîne avec mes doigts, une main invisible me sert les plats par un guichet.
Les femmes me refont une beauté. Mes mamelons et mon clitoris se tendent un peu plus. Mes mamelons deviennent saillants, gros et longs et mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux.
Les deux femmes fixent ensemble dans mon dos, les deux anneaux de mes bracelets et je les suis. Mon anus s’habitue au bijou qui me garde ouverte. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre la suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux  salons, et pénétrons dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils sont nus mais aucun masque.
Je n’ai pas le temps de voir leurs visages, aveuglée par une lampe-phare. On me remet ensuite le bandeau sur les yeux.
Deux mains doigtent simultanément ma chatte et mon anus. Je jouis faiblement.
Une main me prend  un sein, une bouche saisit mon mamelon tendu de l'autre. Mais, soudain je perd l'équilibre et bascule à la renverse, soutenue dans quels bras ? pendant qu'on m’ouvre les jambes, un des hommes m’encule dans cette position. Il m’écrase les seins avec son buste musclé, jusqu’aux testicules.
Puis je suis mise à genoux,
- Ouvre tes jambes ! » j’ouvre bien mes cuisses, et on me défend de les rapprocher. Deux poignes pesèrent sur mes épaules comme pour l'empêcher de se relever. Je dois sucer le mandrin qui m’est présenté, long en érection.
Je suis fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons
- Elle n’a jamais été attachée, les appareils photo crépitent depuis mon arrivée à la bibliothèque.
- Ses fesses ont juste connu quelques coups de cravache. Elle va prend du plaisir. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où elle prendra plaisir, pour obtenir les larmes.
Sans attendre, je me retrouve à genoux, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les fesses plus haut que le torse, et l’un des hommes m’écarte les fesses et enfonce son gros mandrin dans mon anus béant.
- Quel plaisir, son œillet est un peu élargi, mais elle aime ça.
Le second fait de même, en caressant mon clitoris tendu.
Le troisième qui a un très gros mandrin, force mon anus brusquement. Je gémis.
Enfin, un quatrième sexe m’encule. Il est plus gros. Je sens des poils contre mon dos nu. Le sexe est guidé dans mon anus. Une fois qu’il sera introduit il va commencer à pomper exactement doucement au départ puis de plus en plus vite jusqu’à ce que je sente son noeud à l’entrée de mon anus. Alors que son éjaculation me remplit je suis proche de l’orgasme. Mais quand le chien approche de l'orgasme réel, son pénis commencera à grossir davantage, et plus particulièrement la base de son pénis. Je sens la base de son pénis grossir. Je suis attachée par son pénis, son bulbe grossit beaucoup plus encore et soudainement il s'arrête avec tout son sexe profondément dans mon anus. En même temps, je sens gicler au fond de mon anus du sperme chaud, son pénis compte les pulsations. La quantité de sperme augmente à chaque giclée, et son apparence d'eau et sa transparence se changent en un liquide blanc qui me rappellera celui du sperme humain quand vous le verrez. Quelques secondes plus tard son pénis a atteint une telle taille que la base du pénis atteint trois fois le diamètre de l'érection. La base du pénis qui a gonflé pour atteindre cette telle taille, se trouve juste dans l’anus. Grâce à la pression créée par son pénis élargi, son sperme se répand dans tout mon anus, sans qu'il y ait une seule fuite grâce au bulbe du pénis. Pendant environ une minute, je sens son pénis grossir bien encore, je reste attachée trois quart d’heure, connaissant quatre orgasmes anaux. Puis le chien se retire, me lèche l’anus et je dois le sucer.
On me remet le bijou d’anus en place.
- La voilà, devenue jouisseuse anale avec son nouvel amant.
On m’enlève le bandeau, je suis menottée debout, au milieu de la pièce, sur la pointe des pieds, une barre d’écartement fixée à mes chevilles. Je suis les bras tendus en l’air, les mains au-dessus de la tête, une chaîne est tenue par un superbe Adonis nu, entourée d’un miroir à trois glaces.
Un superbe berger allemand me lèche la chatte et le clitoris tendu.
- Tu dois voir les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et tu ne sais jamais quels sont les responsables du pire. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil, sauf qu'on veut que tu te voie fouettée, qu'une première fois sans bandeau et eux sont masqués.
Un des hommes s’approche, caresse mes fesses, pelote mes seins en m’embrassant langoureusement sur la bouche.
Je découvre la cravache, qui est longue et fine, de fin bambou gainé de cuir, comme on en voit dans les vitrines des grands selliers ; le fouet de cuir que le premier des hommes que j’ai vu avait à la ceinture est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a un troisième fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, les cordes humides et froides sont passées entre mes cuisses, ma chatte et mes seins. C’est une garcette.
- On va pincer tes mamelons pendant que tu es fouettée. Tes mamelons et ton clitoris sont tendus au moyen d’une crème stimulante. Tu es interdite de te faire jouir, ses points hypersensibles. On ne fouette que les fesses et les cuisses, de la taille aux genoux. Tu peux crier.
L’homme prend un de mes mamelons tendus à l’extrême, pour sensibiliser les seins et le pince entre deux mâchoires, mon mamelon et mon sein sont étirés vers le bas, par le poids de la clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Il répète l’opération pour l’autre mamelon. Son maintien « endort » le mamelon.
Les clochettes tintent à chaque mouvement de mes seins sous les coups de fouet. Je gémis et je jouis avec le bijou d’anus.
Le fouet de cuir m’est appliqué plus longuement.
Puis un des hommes souhaite m’enculer. Il me retire mon bijou d’anus, mon anus lubrifié par le sperme canin, je le reçois jusqu’aux testicules. Mes fesses sont brûlantes. Mes seins se balancent à chaque coup de reins. Je jouis silencieusement.
Puis les trois hommes se relaient pour m’enculer et éjaculer en moi.
- Il faut rendre son œillet plus commode.
 - Mettez-lui le gode de jouissance.
On apporte un coffret en bois qui ressemble à ces boîtes que les peintres utilisent pour ranger leurs pinceaux et leurs couleurs, et James l'ouvre. Elle contient, sur un lit de velours, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes de sexe en érection, qui vont des plus minces aux plus épais. L’homme choisit le plus large, correspondant au sexe d’un doberman, long de vingt-six centimètres et cinq de diamètre avec son nœud de la taille d’une balle de tennis. Je gémis un peu, lorsqu’il l’enfonce jusqu’au nœud. Le gode est maintenu en place par trois chaînettes qu’il accroche à l’étroite ceinture autour de ma taille, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. On les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne puisse être tentée de me soulager de cette contrainte. On me retire les pinces à mes  mamelons devenus froids.
On me détache, chancelante et presque évanouie, nue, les hommes me doigtent la chatte resserrée à tour de rôle.
Les deux jeunes femmes apportent un corset seins nus très baleiné, et rigoureusement serré à la taille, et une jupe transparente courte, entièrement ouverte devant et derrière, dévoilant ma chatte et mes fesses. Le Maître répète les mêmes phrases que Diane.
- Tu es contrainte à tous les plaisirs. A tout moment, tu offres ton corps à nos sexes nus et libres que tu fixes constamment. Ta bouche reste entrouverte pour nous sucer. Tu es fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui t’es donné par qui le désire, tu es fouettée le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend. En outre, à la nuit, tu nous suces, tu écartes tes cuisses, les mains liées au dos, nue. On ne bande tes yeux que pour te maltraiter et te fouetter. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction. Tu dois te faire saillir une à plusieurs fois par jour par des chiens pour t’élargir. A la fin de ton séjour, tu seras constamment nue sous tes vêtements, pour te donner aux hommes. On va te conduire dans ta cellule. »
Je ne me sens pas d'aplomb sur les mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied.
Les mules claquent sur les carrelages rouges des couloirs, où des portes se succédaient, discrètes et propres, avec des serrures minuscules, comme les portes des chambres dans les grands hôtels.
- Tu loges dans l’aile des novices soumises, et ton valet s'appelle Nathan.
- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je m'appelle Aimée.
- Et moi Justine », dit la seconde.
La première reprit : « C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand vous serez punie et quand on n'as pas de temps pour toi.
- Lors de mon séjour l'année dernière, dit Justine, Nathan y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Au détour du couloir, on me fait m'arrêter devant une porte que rien ne distingue des autres : sur une banquette entre cette porte et la porte suivante j’aperçois un bel étalon, du double de mon âge, brun, musclé, juste vêtu d’un gilet, le mandrin en érection, portant un fer qui troue son périnée, juste sous les testicules, augmenté du disque gravé, et des bottes, porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir.
Il s’approche de moi, pelote mes seins en m’embrassant langoureusement sur la bouche, caresse ma chatte trempée et me susurre :
- Je vais te retirer le gode pour t’enculer ma belle et te faire monter par tes amants.
Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je m’abandonne.
Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entrer.
La cellule est toute petite, et comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvre sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, sur le mur, un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures est replié, laissant apparaître un chevalet.
Il y a un tapis au sol.
Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe noire à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, est en même tissu, la couverture à double face aussi.
Au mur, se trouve deux mètres au-dessus de la tête du lit, un gros anneau brillant est scellé au mur où passe une longue chaîne d'acier : l'une de ses extrémités s'entasse au sol en formant une petite pile d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.
Aimée et Justine me retirent ma jupe et mon corset.
Nathan me conduit au bidet, entouré de glaces sur les murs et au plafond. Nathan me retire le gode, du sperme coule. Je m’assois, courbée en avant. Il me savonne l’anus et enfonce une canule, montée à l'extrémité du flexible de la douche, par laquelle il m'asperge d'eau tiède. Je me mets à mouiller, faisant tendre mes mamelons et mon clitoris. Je reste les cuisses écartées, pendant toute la durée.
Une fois propre, je me glisse dans la baignoire transparente par un escalier.
Je m’accroupis, cuisses écartées. Nathan me menotte les bras en l’air.
Justine me frotte précautionneusement le dos et les fesses, en ayant soin de ne pas raviver le souvenir du fouet, Aimée me savonne les seins et le ventre, me passe la main entre les jambes, passant sur mon clitoris et ma chatte. Je me retiens de jouir. Je ferme les yeux par la montée du plaisir.
Une fois rincée, Nathan vient me détacher.
Justine me caresse un sein, je reste debout au pied du lit. A la réserve du collier et des bracelets, ma ceinture de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Nathan m’installe sur le chevalet. Il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou, comme en prière. Je m’allonge sur le ventre, immobilisée, les fesses plus hautes que la tête, mes jambes sont immobilisées le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer.
Nathan m’encule comme promis.
- Le gode t’a bien ouvert. Attends que tes amants viennent te prendre cette nuit.
Puis je le suce, pour recevoir son sperme.
Il caresse une dernière fois mes fesses et ma chatte.
Il éteint la lumière, un grand miroir est en partie futé sur une porte, me permet de voir mes fesses zébrées.
Privée de mes mains, je sens mon corps inaccessible ; ma chatte et mon anus me brûlent, me sont interdites, et me brûlent peut-être parce que je les sais ouvertes à qui veux. Endormie, au bout de quelques instants, je sens un sexe m’enculer jusqu’au nœud. C’est un superbe doberman qui me conduit à quatre violents orgasmes anaux en trois quart d’heure, éjaculant longuement en moi, me léchant l’anus et je le suce en retour.
Un second doberman m’encule un peu plus tard, plus longtemps.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Nathan revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte, éclairant mes fesses, le sperme canin dégouline le long de ma chatte et de mes cuisses.
- Très bien, Conan et Eros t’ont bien sailli, ma belle. Je vais te cravacher les fesses.
Dans la pénombre, je sens une atroce brûlure par le travers des fesses, et hurle. Pierre me cravache à toute volée. Il n'attend pas que je me taise, et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes.
Il me détache et me menotte, accroupie, cuisses écartées, à une longue chaîne tenue dans la gueule d’un lion, les bras en l’air.
Il me cravache le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Quand il part, après avoir refermé la lumière et, la porte de la salle de bains, gémissante j’oscille de douleur le long du mur, au bout de ma chaîne, dans le noir. Je me tais et m’immobilise pendant que le jour se lève. Je regarde la grande fenêtre, vers laquelle je suis tournée, est orientée vers l'est, et va du plafond au sol, sans aucun rideau. Je regarde naître une lente aurore pâle. Devant la fenêtre, il y a une pelouse, au bout de la pelouse une allée. Il fait grand jour et depuis longtemps je ne bouge plus. Un jardinier apparaît le long de l'allée, poussant une brouette. Il s’approche et me découvre enchaînée nue et les marques de la cravache sur mes cuisses. Les balafres sont gonflées, et forment des bourrelets étroits beaucoup plus foncés que rouge. Un doberman me lèche la chatte et le clitoris tendu à l’extrême.
Aucune femme n'a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à  un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers. Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dormaient, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir, le mandrin nu et libre, en érection, ferré, torse musclé et velu, et bottes.
Le chevalet a disparu. Le lit est déployé. Il s'assoit sur le bord du lit et, tandis qu'il regarde attentivement la marque sur le devant de mes cuisses, il me passe la main entre les jambes. Il me caresse ma chatte trempée et mon clitoris tendu.
- Tu mouilles, ma belle. T’en fais pas, Hadès t’a léché, pour te monter tout à l’heure.
Il compare mes traces fraîches sur mes fesses et que Nathan a faites, avec celles au dos des cuisses qui datent de la soirée.
- Quel bel œillet, j’ai envie de te prendre, ma belle.
Il me libère enfin de la chaîne. Il joint mes mains à mon collier, m’allonge sur le ventre, tendant mes reins. Il m’encule jusqu’aux testicules, sauvagement. Puis, il donne un grand coup de reins, pour enfoncer son mandrin queue jusqu'au bout, je suis cambrée, la tête relevée, j’écarte les fesses et relève et écarte un peu mes jambes. Il m’encule sauvagement. Il va et vient, lorsqu'il m’encule, il se laisse tomber, faisant claquer son corps sur mes fesses. La sodomie dure un quart d’heure. Il se retire et éjacule dans ma bouche. Il me remet le bijou d’anus.
Aimée et Justine, sont entrées avec lui, et qui attendent. Sur quoi il s'en va.
Les femmes me caressent et Aimée enduit mes mamelons et mon clitoris de crème. Justine tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mange vite, dit Aimée, il est neuf heures, tu peux ensuite dormir jusqu'à  midi, et quand tu entends sonner il sera temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu te baignes et tu te coiffes, je viens te farder et te lacer ton corset.
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Justine, pour servir le café, les liqueurs.
- Mais vous ? dis-je.
- Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à  nous.
Deux inconnus entrent, tous les deux sont nus, le mandrin en érection, le blond musclé est ferré et le brun porte une gaine à picots sur son gros mandrin.
Les deux femmes disparaissent.
Agenouillée, sur le lit, cuisses écartées, je suis approché par le blond, qui m’embrasse langoureusement sur la bouche, pelote mes seins et caresse mon clitoris.
- Je vois que tes mamelons et ton clitoris sont davantage tendus qu’hier soir. Tes amants canins t’ont bien monté, ma chérie. Lève-toi et écarte tes fesses.
J’obéis. Le blond me fait empaler sur son mandrin, tandis que le brun passe la main sur mes seins.
Enculée, je dois écarter les jambes. Je suis appuyée du dos contre le blond. Et sa main droite me caresse un sein, et l'autre me tient l'épaule.
Le brun me lèche le clitoris et enfonce ses doigts dans ma chatte resserrée par le mandrin du brun.
- Quel écrin, un magnifique escargot tendu, c’est le summum de la beauté.
Le blond me tient par la taille et je coulisse sur son mandrin. Je connais l’orgasme.
Je me retrouve offerte aux deux mandrins.
Le brun se met sur le dos pour que je m’empale sur la gaine à picots, enculée. Les picots me font un peu mal. Le blond m’encule simultanément et ils me liment doucement, puis plus rapidement ou violemment l’anus, en rythme. Ils rentrent par surprise, donnent quand c’est possible des petits coups plus sauvages et ardents, pour que les deux mandrins fassent un maximum d’effet. Je connais une  nouvel orgasme, doublement rempli de spermes chauds dans mon anus. Mes mains sont liées dans le dos.
Le brun disparaît et le blond m’encule encore, les mains libres. Je suis offerte, le blond se couche derrière moi, je joins mes jambes et les plie ensemble. Le blond me caresse les seins et le clitoris. J’ai un nouvel orgasme, à nouveau inondée de sperme. Le blond me remet le bijou d’anus en place.
Le soleil inonde la chambre. Mais seule la sonnerie de midi nous réveille.
Il me dit, tout en la tenant par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou, qu'il entend que je sois désormais mise en commun entre lui et ceux dont il décide, et ceux qu'il ne connaît pas, comme je l’ai été la veille au soir. Je dois être soumise. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne pourras pas ne pas te révolter. On obtiendra ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouverons, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne devais, tant que tu serais dans ce château, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Lève-toi. Tu n'ouvriras désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser.
Je me lève, m’assois sur le bidet, l’anus libre, pour mon lavement., puis je me baigne dans l’eau tiède. Mes fesses meurtries me font frémir, je dois m’éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je farde ma bouche, non mes yeux, me poudra, et toujours nue, mais les yeux baissés, reviens dans la cellule.
Justine est là, la jupe entièrement relevée, pieds nus, sur le dos. Les cuisses sont relevées et bloquées par le blond, qui l’encule. Il est en position de traction.
- Viens offrir ta chatte à sa bouche.
J’obéis, je m’assois sur sa bouche, la chatte léchée. Je me retiens de jouir.
Le blond éjacule dans l’anus de Justine.
Le blond lui met un bijou d’anus plus imposant que le mien.
Justine se rhabille, les fesses et les cuisses fraîchement cravachées.
Les yeux baissés, muette, Justine me lace mon corset seins nus, par derrière, le corset est durement baleiné, long et rigide, comme au temps des tailles de guêpes, et comporte des goussets où reposent les seins. A mesure qu'on serre, les seins remontaient, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les fesses.
Mais James me fait prosterner sur le lit, cuisses écartées, pour remplacer le bijou d’anus par un gode plus large, canin. Je ne peux me dérober. Je me retiens de gémir. Il le cadenasse. Nul besoin de jupe, je dois exhiber pendant huit jours durant, entre la tombée du jour où finit mon service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, huit heures ou dix heures généralement, où on m’y ramène - enchaînée et nue, je porte fixé le gode, montrant les chaînettes et la ceinture. Il ne m’est enlevé que par le valet Nathan pour m’enchaîner, les mains dans le dos pour être enculée à la bibliothèque.
- Les chiens ont commencé à l’élargir. Son œillet devient un peu plus sensible.
James et le blond repartent. Justine me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons un nouveau valet, plus élégant, ferré, au long mandrin nu et libre. Nous allons dans l’antichambre dallée de marbre.
Sans attendre, un des valets avec son dogue allemand, me prend sur le côté. Il me retire le gode et enfonce le sexe du dogue dans mon anus béant. Le dogue m’encule jusqu’au nœud, tout comme Justine. Je connais quatre orgasmes jusqu’à l’éjaculation au bout d’une demi-heure.
L’anus béant et humide, le valet m’encule ensuite, tandis que je dois sucer le dogue qui m’a enculée. Je jouis, en ondulant violemment mon bassin sur son mandrin.
Le valet me remet le gode en place, qu’il cadenasse et me conduit au réfectoire.
- Tu es très belle, docile et tu prends plaisir à te faire monter.
Je rejoins le réfectoire, une salle dont le sol est dallé, la table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les filles peuvent faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir noir. Je m’assois cul nu sur le tabouret, retrouvant au contact du cuir lisse et froid sous ses cuisses, le plaisir d’avoir les fesses nues sous mes vêtements à ma sortie, n’importe où, avec n’importe qui. Cuisses écartées, je me laisse masturber par le valet de permanence, qui m’encule seul dans le réfectoire, à la fin du repas, l’anus libre.
Je suis seule à la bibliothèque, escortée par un valet. Le valet demeure dans la pièce, debout. La bibliothèque est encore déserte. Les portes-fenêtres ouvrent à l'ouest.
Deux hommes entrent, caressent mes fesses marquées. Je les sers, avant d’être longuement enculée par les deux hommes, à tour de rôle, comme la veille au soir, sur le pouf.
Un des hommes m’allonge sur le dos, cuisses écartées et m’encule, tout en caressant mes seins, mon clitoris tendu. Je me retiens de jouir.
Il éjacule en moi et le doberman Hadès m’encule dans cette position.
L’homme guide son sexe dans mon anus. Je suis bien lubrifiée par le sperme. Il me monte frénétiquement, je jouis. Au bout d’une demi-heure, il éjacule en moi et je subis le léchage de mon anus, avant de le sucer.

Au bout de huit jours, mon corps s’est transformé : nul besoin de gode pour mon anus devenu sensible, mon clitoris a atteint la grosseur d’une cerise, mes mamelons se sont rallongés de deux centimètres. J’ai pris goût au fouet, silencieuse. Ma bouche suçant des mandrins anonymes, mes mamelons étirés par les clochettes et froissés par des mains et enculée et baisée, ma chatte et mon anus sont devenus plus sensibles, devenus plus beaux, et comme anoblis. Je suis une prostituée digne, je porte à chacune de mes grandes lèvres, un anneau doré et un autre perce mon gros clitoris, juste au-dessus de la naissance de mes fesse, je suis tatouée à l’encre noire en lettres gothiques Désir V et je porte aussi un V marqué au fer rouge sur l’épaule gauche.
Le blond me fouette une dernière fois, nue dans ma chambre par Nathan.
Nathan m’encule ensuite sur ordre du blond. Je me retiens de jouir.
Pantelante, le blond m’embrasse.
Effectuant mes tâches, je m’abandonne au plaisir canin. Jusqu’à cinq à six fois, les chiens se relaient pour me saillir. Le soir, ce sont des inconnus qui me fouettent et m’enculent, nue à la bibliothèque. Je regarde, silencieuse, les filles se faire enculer.
Le surlendemain du départ du blond, au soir tombé, nue, je remarque au miroir de sa salle de bains les marques maintenant presque effacées de la cravache de Nathan sur le devant de mes cuisses, écarte mes fesses pour regarder mes lèvres de chatte étirées et plus proéminentes et ma rosette anale plus large qu’à mon arrivée. Nathan entre, m’encule quelques instants. Je lui appartiens. C’est deux heures encore avant le dîner.
Nathan me baigne, accroupie, cuisses écartées, bras tendus en l’air, menottée au crochet. Il s’attarde sur mes seins, ma chatte, mon clitoris percé, mes fesses. Je me retiens de jouir.
Détachée, il m’enveloppe dans une serviette, me sèche. Je me farde, reste pieds nus. Je reste debout.
Il me joint les mains dans le dos, m’attache sur ses yeux le bandeau de velours. Il se renfle un peu au-dessous des orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le moindre regard, impossible de lever les paupières.
Il attache la longue chaîne à l'anneau de mon collier, et je le suis. Je marche pieds nus sur le marbre froid, puis sur les pierres, menant à deux portes, descendant l’escalier.
 Nathan me couche contre les marches froides où de ses mains liées je m'accroche tant bien que mal pour ne pas glisser, et qu'il me prend les seins. Sa bouche va de l'un à l'autre, et en même temps qu'il s'appuie contre moi, m’enculant dans cette position, cuisses écartées. Il me relève, après ma jouissance.
Je descends enfin les dernières marches quand je l'entends ouvrir encore une porte, que je franchis, et sentit aussitôt sous ses pieds un épais tapis. La chaîne est encore un peu tirée, puis les mains de Nathan détachent mes mains, dénouent mon bandeau : elle était dans une pièce ronde et voûtée, très petite et très basse ; les murs et la voûte sont de pierre sans aucun revêtement. La chaîne qui était fixée à son collier tient au mur à un piton à un mètre de haut, face à la porte et ne me laisse que la liberté de faire deux pas en avant. Il n'y a ni lit ni simulacre de lit, ni couverture, et seulement trois ou quatre coussins, mais hors de portée, et qui ne me sont pas destinés.
Par contre, à ma portée, dans une niche d'où part le peu de lumière qui éclaire la pièce, un plateau de bois porte de l'eau, des fruits et du pain. Dans cette chaude pénombre où ne pénètre aucun bruit, je perds le compte du  temps. Il n'y a plus ni jour ni nuit, jamais la lumière ne s'éteint. Un valet indifféremment, remet sur le plateau de l'eau, des fruits et du pain quand il n'y en avait plus, et la conduit se baigner dans un réduit voisin. Je ne vois jamais les hommes qui entrent, parce qu'un valet entre chaque fois avant eux pour lui bander les yeux, et détache le bandeau seulement quand ils sont partis. Je perds aussi leur compte, et leur nombre, et ses douces mains ni ses lèvres caressant à l'aveugle ne savent jamais reconnaître qui elles touchent. Parfois ils sont plusieurs, et le plus souvent seuls, mais chaque fois, avant qu'on s'approche de moi, je suis installée sur le chevalet et fouettée.
Des fois, je suis saillie par des chiens qui m’enculent, les yeux bandés. Je perds aussi le compte des supplices et de mes cris, que la voûte étouffe. J’attends. Tout d'un coup le temps cesse d'être immobile.
Je sens qu'on m'enveloppe dans une étoffe épaisse, et quelqu'un me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve nue dans ma cellule, couchée sur la fourrure, cuisses écartées, enculée par Alban.
- Tu es devenue plus large qu’à tes débuts. J’aime tes seins aux mamelons tendus et ton clitoris percé tendu.
J’ai un violent orgasme anal. Il éjacule dans ma bouche.
Justine me donne mon dernier bain. Je fais aussi mon dernier lavement, l’anus largement tapissé de spermes canins de la veille. Justine me farde, me brosse les cheveux, me parfume et caresse une dernière fois mes seins, ma chatte et mon clitoris, jusqu’à la jouissance.
Justine repart.
Alban m’attend avec l’homme qui m’a donné les instructions. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte. J’écarte mes fesses devant eux.
- Regardez, cette rosette anale plus large. Elle aime le sexe et le fouet.
Avant de me retirer mes carcans, je m’offre à quatre pattes, pour recevoir plusieurs doigts dans mon anus. Il insère deux doigts puis continu avec des mouvements de vas et vient à me dilater. Peu de temps s’écoule avant qu’il ne me mette un troisième doigt puis un quatrième. Je suis enfin bien ouverte, l’anus dilaté, je mouille comme une folle, je gigote les fesses pour montrer à mon maître que je prends du plaisir. Le pouce de mon maître étant maintenant dans mon anus, je sens une certaine résistance mais j’essaie de me détendre afin de faciliter l’acte, je deviens une jouisseuse anale en chaleur. Mon anus se détend, Alban me caresse le clitoris, pour augmenter le plaisir pendant que mon maître me met son poing dans l’anus. Je hurle de plaisir, je ne m’arrête plus de hurler, c’est un moment de jouissance exceptionnel. Mon anus se dilate autour de la main de mon maître, mes jambes commencent à trembler, je hurle de plus en plus.
- Très bien, tu aimes ça, mes doigts dans ton puits.
Il me retire mes carcans, je reçois ma bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche. Alban m’attire pour examiner mes reins et mes fesses. Il passe les doigts sur les nombreuses traces du fouet, plus ou moins estompées selon leur ancienneté, sur les marques des carcans. Je mouille de plaisir.
Je découvre ma nouvelle robe, une jupe mi-longue jusqu’au milieu des cuisses, fendue discrètement devant et derrière, transparent devant pour voir mes anneaux à ma chatte et à mon clitoris, maintenue à mon corset seins nus, étroitement lacé, avec un boléro dévoilant partiellement mes seins nus. Je chausse mes pieds nus de mules à deux brides sur le cou-de-pied, à talons moins haut que celles que j’ai porté. Je porte désormais un collier et des bracelets dorés à mes poignets, qui cachent des anneaux pour m’attacher. Un valet nous accompagne, jusqu’aux grilles, sans valets ni chiens. Nous entrons seuls dans l’antichambre. Il y a le parc avec la même limousine qui m’a déposé. Je relève ma jupe, pour m’asseoir cul nu.
Je retrouve Diane et Dan, dans un cabinet gynécologique. Je suis exhibée nue, sur le fauteuil gynécologique, cuisses grandes ouvertes. Diane m’examine la chatte, me masturbe le clitoris, m’enfonce un spéculum puis un écarteur anal, je jouis.
- Voici un superbe œillet, bien large, les chiens ont fait un excellent travail. Elargi et déchiré, aussi, mais assoupli. Tes fesses, tes cuisses, tes reins et tes seins portent les marques du fouet. Superbe travail avec les anneaux à tes grandes lèvres et à ton gros clitoris, tu es devenue soumise.
- J’ai besoin de jouir avec une queue. Cela fait longtemps que ma chatte n’a pas été honorée.
Un superbe transsexuel blond entre, aux seins plantureux et au long mandrin de vingt-et-un centimètres, en érection, ferré.
- Voici, Sam, pour te satisfaire, ma chérie. Il aime les beautés à l’œillet élargi.
Il me baise d’abord jusqu’aux testicules, puis bien lubrifié, il m’encule jusqu’aux testicules. Je connais plusieurs orgasmes avant sa longue éjaculation.
- Quel plaisir, ton œillet chaud et large, tu prends beaucoup de plaisir. Ta chatte est une grotte bien chaude.
- Oui, pine-moi à fond, je suis ta soumise.
Après avoir éjaculé, je le suce pour le nettoyer.
Nous prenons une douche ensemble.
Diane m’a fait réaliser de nouvelles tenues : j’aime regarder mes seins bouger doucement. Elle a réalisé des soutien-gorges fermés au milieu du devant, juste sous le creux des seins. Mes seins et ma chatte restent toujours être nus sous mes vêtements et ton entrejambes jamais dissimulée sous mes jupes ou des robes plus longues que le milieu de tes cuisses. Je dois rester seins nus sous mes corsages ou chemisiers. Je chausse des sandales, mules à talons à mes pieds nus.
Je promène constamment nue dans mon appartement, je n’ai plus le droit de te masturber ni de te caresser. Mes rideaux restent toujours être complètement ouverts et la nuit, toutes les lumières allumées. Nue, j’entretiens ma chatte, dont les pourtours sont toujours rasés, mais je garde mon pubis velu. Diane ou un autre homme vient m’enculer une à plusieurs fois par jour, même des chiens.

Depuis deux semaines, je suis prête pour mon nouveau rendez-vous. C’est un vernissage de photos. Je me baigne seule, me farde avec les mêmes fards que ceux du château et me parfume avec un vaporisateur qui projette le parfum en brume épaisse, un parfum. Sur ma peau, la brume fond et coule, sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, se fixe en gouttelettes minuscules. Je me parfume trois fois, laissant à chaque fois le parfum sécher sur elle. Je met ma robe à corselet seins nus, largement fendue sur toute ma jambe gauche jusqu’à la taille, mi-longue, ample, montrant ainsi que je ne porte pas de slip, mes seins nus sont mis en valeur et je glisse mes pieds nus dans des sandales à hauts talons. Je me retrouve les seins bombés, les reins cambrés, tes chevilles sont beaucoup plus fines, ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes.
Je me rends au rendez-vous. Les photos sont SM, sans le visage du modèle. Un bel étalon du triple de mon âge m’accueille, regarde mes genoux, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement, et avec une attention si précise et si sûre et parce que je porte à l'annulaire gauche la bague. Mais non, il ne dit rien, il sourit : il avait vu la bague. Marquis Désiré Saint Bondage me tend la main droite, dans laquelle je pose la mienne, et lui adressant enfin directement la parole, c’est pour remarquer que j’ai des mains faites pour porter des fers, tant le fer me va bien.
Devant l’assistance, il dénude mes fesses, fraîchement cravachées, me retire mon gros bijou d’anus et me doigte devant l’assistance. J’ai retiré mon boléro fermé au cou, pour exhiber mes seins à l’assistance. Il les pelote, étirant mes mamelons tendus, tout en me doigtant l’anus. Je suis au bord de l’orgasme.
Il me penche en avant et m’encule avec son long mandrin en érection, jusqu’à l’éjaculation en moi, me fessant et faisant claquer ses testicules contre mes fesses.
- Quel plaisir de t’enculer, ton puits est bien large. Tu aimes te faire défoncer.
- Oui, Marquis, j’aime avoir mon puits bien rempli par une longue pine. Je suis chaude.
- Coulisse sur ma queue, ma belle.
Au bout d’un quart d’heure, il éjacule longuement en moi. Il remet le bijou d’anus en place.
Je prends des collations en contemplant les photos.
De temps à autre, une main féminine vient se glisser sous ma jupe et caresse ma chatte nue, libre et humide d’excitation, me rappelant mon séjour. Je jouis sous leurs doigts.
A la fin de la visite, aux toilettes pour hommes, je relève ma jupe pour offrir mon anus à mes amants d’un soir.
Je suis gâtée, chaque nouvel orgasme attire de nouveaux amants bien montés, qui m’enculent tantôt sauvagement tantôt en en douceur, pelotant mes seins, jouant avec mes mamelons et mon clitoris tendu. Mon anus béant et humide déborde de spermes chauds.
Dès qu’un se retire, un autre prend le relais. Je ne compte plus les orgasmes. Je suis surprise d’une envie de soulager, dans l’urinoir, pour le plaisir de certains.
Des hommes me nettoient ensuite la chatte.
Pantelante, je retrouve le Marquis. Mes sodomies aux toilettes sont passées en boucle sur le réseau de télévision privée de la galerie. Je suis bercée par mes râles de plaisir.
- Tu es une bonne soumise, t’offrant au premier venu.
- J’ai envie de sexe, que mes fesses soient brûlantes et que mon œillet soit bien rempli.
Sans attendre, le Marquis me fait monter à bord d’une limousine aux vitres teintées. Je m’endors.
Quand je me réveille, je suis enchaînée nue, dans une luxueuse chambre, une barre d’écartement m’empêche de resserrer les cuisses ouvertes au sexe d’un doberman qui m’encule jusqu’au nœud. Ses pattes pelotent mes seins. J’enchaîne les orgasmes.
Le Marquis m’observe.
- C’est ta troisième saillie depuis ton arrivée, Adam, Conan et Balzac t’ont enculé et maintenant, c’est Lancelot qui t’encule.
Je ne peux répondre, submergée par les vagues de mes orgasmes. Mon bassin ondule violemment sur son gros sexe qui se vide en moi.
J’ai passé un quart d’heure avec Adam, j’arrive à trois quart d’heure avec Lancelot.
Lorsqu’il se retire, comme tous les autres, il me lèche l’anus, la chatte et le clitoris tendu au maximum.
Le Marquis me met un bijou d’anus moulé sur le devant d’un sexe d’un doberman, muni d’une gaine à picots.
Il me détache, je me baigne devant lui, cuisses écartées, accroupie.
- Va te préparer, tes clients t’attendent. Tu pourras te reposer après six clients. Tu es payée double car tu as la chatte lisse et percée et tu aimes les chiens.
Je me farde, me parfume, enfile ma tenue : je mets des bas, des mules à une bride sur le cou-de-pied à hauts talons, pour que j’offre des seins redressés et des reins creusés, complété par une guêpière seins nus, que je lace seule, pour cambrer mon dos et les fesses en arrière, mes seins tendent leurs mamelons tendus. Je revêts une robe ultra court dont les plis s'évasent en corolle autour de la taille comme les pétales d'une fleur, donnant la vision de la lisière de mes bas juste au ras de mes fesses nues. Je me tiens droite, les seins bombés et les reins cambrés. Le Marquis complète ma tenue par un bâillon-pénis moulé sur un sexe d’un berger allemand avec des chaînes au bout desquelles se trouvent des pinces pour emprisonner mes mamelons tendus et des pinces à clochettes sont posées à mes grandes lèvres. Le summum de la soumission, enculée par un bijou d’anus, pincée aux mamelons et aux grandes lèvres, muette, les yeux baissés. Je porte aussi mes carcans de cuir, mon collier et mes bracelets à mes poignets.
- Tu es superbe. Rejoins l’étage des clients hétérosexuelles, il y a un étage pour les homosexuels et un étage pour les transsexuels. Tu es là, pour le service et t’offrir aux désirs.
Je quitte le troisième étage, où se trouve les chambres des soumises.
Je croise au second étage, un couple d’homosexuels en plein ébat. Je suis en pleine excitation, regardant le mandrin qui se balance sous les coups, bandant. J’ai hâte de le sucer.
Mais un coup de martinet sur mes fesses, me rappelle à l’ordre, donnée par une femme seins nus, en corset et cuissardes.
Je descends au premier étage et je découvre une orgie avec plusieurs couples.
Je fais le service. Les femmes me lèchent la chatte, les hommes m’enculent et me fessent et j’ai droit à me faire enculer par un grand danois d’un des couples.
Le Marquis me retire le bâillon pour me laisser respirer et émettre mes râles de plaisir. Je reste une heure attachée au grand danois, qui m’inonde largement.
Après son retrait, je suis déshabillée et lavée par les femmes, devant les hommes.
Une fois l’anus propre, je suis offerte en triple pénétration, une double anale, suçant à tour de rôle les autres enculeurs, décuplant mes orgasmes.
Je ne retourne qu’à ma chambre, pour une courte pause, nue et en mules, les fesses et les cuisses cravachées par les clients.

En un mois, je suis sollicitée par les homosexuels et les transsexuels. Chaque soir, je couche avec un transsexuel qui m’encule sauvagement pendant la nuit. Je porte les marques du fouet sur mes fesses, mes cuisses, mes seins et mon dos, j’en éprouve de la fierté. Désormais, mon pubis est entièrement rasé. Je me retrouve avec une chatte et un pubis de jeune fille. Sur mon pubis, tatoué à l’encre noire, je porte un fouet et une cravache entrecroisés, signe de ma soumission.
Les multiples sodomies ont élargi davantage mon anus, prêt à des doubles anales. Les sexes canins ont assoupli aussi mon anus.

A la mi-août, je reçois la visite d’Alban, Diane et Dan. Je suis nue, dans ma chambre.
Les deux amants m’enculent en double anale, tandis que je lèche la chatte de Diane.
Le Marquis m’a invité en Angleterre dans son luxueux donjon.
Simplement vêtue de ma robe à corselet seins nus, avec une jupe ample, mes pieds nus chaussés de mules à double bride, fardée et parfumée, je le rejoins, à bord d’un jet privé.
Une limousine me conduit nue à trois heures de route de l’aéroport, les yeux bandés, avec mes carcans en fer, au cou, aux poignets et aux chevilles, mes mains sont jointes à mon cou.
Arrivée au donjon, je suis menottée, suspendue les bras en l’air, cuisses écartées, au sous-sol du donjon.
Je suis caressée par des inconnus, doigtée de toutes parts, puis enculée et fouettée jusqu’à l’épuisement.
Quand on me retire le bandeau, les hommes sont nus et cagoulés, tenant chacun un accessoire pour me fouetter. Mon anus dégouline de spermes. Mes cuisses et mes fesses sont zébrées, quand je me regarde dans le grand miroir.
Je suis enculée ensuite, prisonnière dans un pilori, par de grands chiens de garde, de divers calibres, pour ma plus grande jouissance anale.
Je ne compte plus mes orgasmes, déclenchés, sans que je me caresse.
Au moins, une dizaine de chiens se relaient.
Puis je reçois mes fers aux grandes lèvres de ma chatte, toujours prisonnière dans mon pilori.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable, comme le fer de la bague doublée d'or. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils étaient oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre, dont le ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, le fouet et la cravache entrecroisés et sur l’autre, le nom, le titre de mon Maître, Maître Sir Donatien Baise pour ma grande lèvre gauche et Désiré Sodomie Baron Mon Plaisir pour ma grande lèvre droite.
Quand on me libère, je vois qu’ils se balancent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend.
- Te voici ferrée, selon les vœux de tes Maîtres. Désormais, quiconque relève ta jupe voit immédiatement ses anneaux à ta chatte, et si on le retourne, ton chiffre sur tes fesses. Tu seras chiffrée plus tard. Tu portes déjà le V sur l’épaule gauche.
Devant le miroir, je découvre les fers entre mes cuisses, mon clitoris tendu au maximum, par l’excitation.
Je passe une semaine à me faire saillir par les chiens des valets du donjon. Je suis devenue une soumise zoophile. Je ne sais à quel jeu je serais livrer par le Marquis.

Quelques jours, après avoir été fouettée pendant la nuit, dans ma cellule, enchaînée à mon lit, la chatte trempée par l’orgie lesbienne nocturne, je suis réveillée. Je suis nue, pieds nus.
On me bande les yeux, on défait le dernier maillon, que l’on passe dans le second anneau que je porte à la chatte, puis referme. La chaîne, pareille à celles avec lesquelles on attache les chiens - c'en est une - a un mètre et demi de long, et se termine par un mousqueton. Mes mains sont jointes à mon collier. On glisse mes pieds nus dans des mules à double bride à très hauts talons.
On m’aide à descendre, tirée par la chatte.
Puis je traverse un grand champ.
Après une demi-heure de marche, le valet marque une pause.
Des mains inconnues me caressent la chatte, le clitoris et doigtent mon anus.
Une voix masculine me susurre :
- Tu es prête pour tes nouveaux amants, ma belle. 
J’hoche la tête. Je suis à nouveau conduite en laisse vers le centre d’une ferme.
Là, accroupie, cuisses écartées, je suce des dizaines de mandrin en érection, qui éjaculent dans ma bouche.
Je m’attends à ce qu’ils m’enculent.
Quand je recouvre la vue, je suis menottée sur un chevalet, sans défense, les fesses plus hautes que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Un long et gros sexe m’encule en m’écartelant.
Te voici, saillie par ton nouvel amant, le pur-sang Zéphyr. Il aime les soumises de grande beauté.
Je ne peux répondre, la bouche remplie par les mandrins d’autres hommes.
Mon anus s’ouvre facilement et le gland et toute sa longueur du sexe équin semblent encore. Soudainement, hennissant comme un sauvage j’ai senti une énorme quantité de spermes dans mon anus écartelé. Le liquide épais jaillissait de  mon anus, dégouline le long de mes jambes jusqu’aux mollets.
- Enfin, il a éjaculé en toi. Alizé va te prendre ensuite et enfin, nous allons satisfaire ta chatte avec Etalon Sexe d’Or.
La seconde sodomie est plus aisée. Je jouis rapidement et j’ai un orgasme.
Lorsque l’Etalon Sexe d’Or me remplit la chatte jusqu’au fond. J’ondule mon bassin sur son sexe. Je ne dois quasiment rien faire, c'est lui qui me baise ! Il me remplit totalement la chatte qu'il dilate excessivement : c'est trop bon. je jouit comme une femelle en chaleur. A un moment, je pousse très fort en même temps que l'animal, et tout d’un coup je sens une douleur dans ma chatte. Le cheval pousse très fort. Tout d’un coup il durcit encore plus son engin.
Les hommes sont satisfaits de moi. Trois autres étalons se relaient pour m’enculer jusqu’à midi. Je passe trois jours à me faire enculer par divers chevaux, mais non les hommes que je dois sucer et avaler leurs spermes. Je suis rincée à l’eau froide, dans un grand seau. Je suis nourrie comme les hommes, entravée dans un pilori.

En un mois, je ne compte plus mes amants équins que le fermier m’offre. Mon anus s’est encore assoupli. Je peux recevoir jusqu’à quatre doigts simultanément.
Je suis officiellement marquée au fer rouge, après une saillie anale équine, menottée au chevalet. Je reçois les lettres S sur chacune de mes fesses, entrelacée sur la fesse gauche d’un fouet et sur la fesse droite d’une cravache.
A mon retour au donjon, lors de ma visite gynécologique, j’apprends la mystérieuse disparition de mes Maîtres.
Je retourne en Espagne, ferrée et chiffrée, là où a commencé mon instruction, pour effectuer le service au bar et au restaurant, nue et en mules. Je suis enculée et fouettée par les clients. J’ai gagné de grosses sommes, depuis le début de mon dressage. J’accepte ma condition de soumise prostituée. Je gagne plus que modèle de charme.
J’épouse un transsexuel et donne naissance à des jumeaux, un garçon et une fille. Je continue mes saillies avec un doberman et je me rends souvent au haras, pour me faire saillir par mon étalon.
Je garde mes fers et ma marque au fer rouge.

Bons baisers de Miel, votre esclave dévouée, j’ai hâte de vous rencontrer.




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