jeudi 7 mars 2019

SECRETAIRE LE JOUR ET PUTE LA NUIT


Je m’appelle Shawn.

J’ai 20 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.

SECRETAIRE LE JOUR ET PUTE LA NUIT


 
10 février



C’est mon premier jour, chez mon nouvel employeur, une société de prestations de service pour de riches patrons. Je suis vêtue de mon tailleur fuchsia sur mon chemisier blanc, cachant mon soutien-gorge en dentelle transparente, dévoilant mes jolis seins nus, une jupe droite cache mon string et mon porte-jarretelles assortis à mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à hauts talons, coiffée d’un chignon.

A l’accueil, je suis reçue par Alban, le directeur des ressources humaines.

- Miss Shawn, la nouvelle secrétaire du groupe Damien Marketing Victoire, je vous attendais. Tu es encore plus belle que sur les photos.

- Monsieur Alban, j’ai une expérience dans le secrétariat.

Nous prenons l’ascenseur pour rejoindre le huitième étage de la tour d’affaires.

L’homme me toise, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement, et avec une attention si précise et si sûre que je me sens pesée et jaugée, il regarde mes mains aux ongles vernis en rouge.

- Ta bouche doit être plus rouge, tes paupières doivent être légèrement ombrées. C’est le code maquillage de la maison.

Puis les mains d’Alban entrouvrent ma veste et déboutonnent en partie mon chemisier. Je suis adossée. Je baisse les yeux.

- Soutien-gorge en dentelle, petits seins, tes mamelons se tendent. Tu es excitée.

Je n’ose répondre.

Il me force à écarter mes cuisses et je sens sa main sous ma jupe.

- Bas Nylon, porte-jarretelles et string, le patron va adoré. Tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent. As-tu des amants ?

Je n’ose répondre.

- Toi, une jolie beauté, qui n’a pas d’amants.

Arrivée au huitième étage, je découvre Aimée, une jolie brune aux seins plantureux, nus, sous un corsage transparent, la secrétaire particulière de Brice.

- Aimée, conduit Miss Shawn, à Brice et au Duc Val. Elle est chaude.

Dans le bureau, donnant sur une baie vitrée, je découvre les deux hommes qui s’entretiennent debout.

- Voici, la nouvelle recrue, Miss Shawn, fille de notre associé et avocat, Xavier, très belle, approche. Tu baisses désormais en présence d’hommes, annonce Brice.

Brice, le directeur général, me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Brice retire ma veste qu’il jette à terre, déboutonne mon chemisier.

- Regarde, la belle, elle porte des dessous en dentelle transparente, dit le Duc.

- Elle aime l’élégance.

Le Duc, le directeur des opérations financières, glisse ma jupe que je dois ôter.

- Elle est encore plus belle.

Aimée entre.

- Approche, Aimée, déshabille-la.

En quelques instants, je suis nue, pieds nus, déchaussée.

- As-tu déjà  reçu la fessée ou le martinet ?

- Oui, Messieurs, quand j'étais au collège.

Je cache mes seins et mon pubis.

- Tu es prude, encore vierge, certainement de la chatte et de l’œillet. Tu n’as jamais sucé un homme.

Sans attendre, accroupie, cuisses écartées, les deux hommes me font sucer leurs queues qui gonflent et me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée.

- Très bien, nos queues sont dures pour te fouiller, annonce Brice.

Une fois debout, Brice me caresse de sa main droite un sein, et l'autre me tient l'épaule.

Le Duc enfonce son gros mandrin dans ma chatte et me déflore. Je gémis un peu.

Brice m’écarte bien les fesses et m’encule.

Brice glisse son bras droit autour de ma taille, ce qui lui donnait plus de prise. Le Duc me lèche le clitoris pour apaiser la douleur anale.

Brice positionne son nœud sur la collerette gonflée après y avoir déposé un peu de sa chaude salive.

- Pousse comme pour chier et ça va passer.

Joignant le geste à la parole, je me mets à dilater mon sphincter. Le passage commence à s’entrouvrir un peu. Mon muscle anal s’ouvre de plus en plus sous la poussée du membre bandé. Peu à peu, la tige de chair s’introduit dans mon fondement et le gland rougi vient trouver sa place bien au chaud. Je suis soulagée quand l’intégralité du nœud se trouve enfin dans mon anus. Il entame alors un lent mouvement coulissant. Je me sens bien remplie et je ressens l’impression bizarre de devoir chier. Pourtant, je sais bien que je me suis vidée complètement avant cette initiation anale. Je mets ça sur le compte de la pression infligée à mon trou de balle et me laisse aller à mon plaisir. Le léchage clitoridien continue. Brice me bourre de plus en plus fort, le Duc caresse mes seins aux mamelons tendus, qu’il tire. Son mandrin coulisse toujours plus fort dans mon anus. Je me surprends à faire aller et venir mon fessier d’avant en arrière pour accompagner le mouvement régulier du mandrin qui me tringle à fond. Les mains de Brice d’un soir quittent mes seins pour se saisir sans douceur de mes hanches. D’un geste quasi animal, il m’aide à gigoter sur le pieu de chair qui me fend en deux. J’entends les ahanements de plus en plus bruyants de l’homme derrière moi. Ses soupirs se joignent à mes râles de femme en rut et la pièce entière résonne de notre plaisir partagé. Il baratte mon anus dans tous les sens. Brice m’imprime de temps à autres un mouvement circulaire qui m’ouvre le trou entièrement. Je me sens dilatée comme jamais auparavant.

- Ejaculez dans mon puits. Je suis ton sac à foutre, ton vide-burnes ! Inonde-moi maintenant !

- Elle aime ça.

Le Duc ne se fait pas prier. Allongée sur le dos, la bouche de Brice sur ma bouche ; ses deux mains me plaquent les épaules sur le bureau, les jambes relevées, les mollets posées sur les épaules du Duc, je suis enculée.

Je connais un nouvel orgasme anal.

Il éjacule à son tour. Je suis pantelante, mais je les nettoie.

On me présente mon contrat. Je signe.

- Très bien, Miss Shawn est doublement ouverte à ce jour. Finis les dessous, ma belle. Tu es à la disposition du personnel du troisième étage, section archives. Voici une enveloppe avec les règles que tu dois apprendre par cœur. Le personnel loge à l’immeuble Désir Valeur Morale, à quelques mètres d’ici. Ta garde-robe t’attends. Fais-toi une toilette. Tes dessous seront remis à Aimée.

Nue, je rejoins une grande salle de bains avec douche transparente. Je me douche, me sèche. Je dois pisser pour des examens médicaux, subir des examens gynécologiques, nue, avec spéculum et écarteur anal devant Brice et le Duc, divers examens médicaux à l’étage dédié. Les sodomies se succèdent.

Je dois m’habituer à porter un bijou d’anus pour conserver le sperme de mes amants.

Il est réaliste, avec la forme d’un pénis avec des veines et un gland prononcé et en relief, long de onze centimètres et trois de diamètre. Je garde ainsi l’anus dilaté, mon anus est prêt à la sodomie, la rendre plus facile et moins douloureuse aussi. Cet objet froid me fait tout drôle.

Nue, en mules à très hauts talons, fardée, parfumée, je rejoins mon service.

Je lis des dizaines d’écrits SM, qui m’excite. Je n’ose me masturber.

Au coucher du soleil, je prends un couloir souterrain accessible au troisième sous-sol mène à l’immeuble Désir Valeur Morale, escortée par un majordome africain. Je porte mes carcans de cuir aux poignets et à mon cou. Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pendait devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celle qui le porte.

A l’accueil, Chloé me conduit à ma chambre 125, au premier étage. La chambre comprend un lit, une petite salle de bains sans douche.

Je dois porter un corset seins nus avec une ceinture de chasteté avec accès unique anal. La chatte n’est plus accessible à la pénétration par un pénis : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) permet à la femme d’uriner, le clitoris et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour que la femme soumise puisse aller aux toilettes. Il est également possible d’utiliser l’orifice anal pour insérer des boules de geisha ou des bijoux d’anus dans l’anus de la femme, ou encore pour la sodomiser avec un gode ou un mandrin. La ceinture est réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc moelleux pour assurer un confort de port à la femme soumise : la ceinture peut ainsi être conservée pendant la journée sous une jupe ou une robe ! La ceinture ajustable est verrouillée par un cadenas livré avec des clés. Cela entretien mon angoisse de ne plus avoir des relations sexuelles qu'avec son maître qui possède la clé du cadenas de la ceinture de chasteté et qui décide, seul, quand il enlèvera la ceinture de chasteté de sa soumise. J’ai un sentiment de honte et de fierté à porter en permanence cette ceinture de chasteté. Je me sens ainsi possédée, en permanence. Je suis fière de l'attention que lui porte son homme et du fait qu'il veuille qu'elle soit pour lui seul. Je suis à la fois dépendante et humiliée. Je suis reconnaissante à son homme qui la veut pour lui uniquement, le fait d'appartenir à un homme me rend heureuse, je suis le trésor, la favorite de son seigneur et maître. Mais cependant, j’éprouve une certaine honte à être ainsi cadenassée, j’ai peur que quelqu'un le découvre.

La douche se trouve dans la chambre 6996, en vis-à-vis, reliée par un pont au-dessus d’un jardin. La chambre 6996 sert pour mes relations sexuelles.

Des inconnus m’enculent. Je garde ma ceinture de chasteté.

Le chef des vigiles, Hercules, un imposant étalon musclé africain, me fait saillir par son berger allemand, Adam, pour m’élargir. Je m’offre à quatre pattes, offrant mes fesses, à mon amant. Je gémis puis je jouis au bout d’une demi-heure. Son sexe long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre me comble.

Je sens le gland du chien ouvrir les parois de mon anus. Il m’encule avec tout son pénis, même le noeud. Il me monte avec un va-et-vient. Je crie de douleur. Mais plus Adam va de l'arrière vers l'avant rapidement, mieux son rectum supporte cette sodomie. Il éjacule en moi. Je sens le noeud d’Adam grossir dans mon anus. Je serre les dents pour supporter la douleur. Je sens le noeud arrêter de grossir. À chaque fois qu’Adam bouge, j’ai un orgasme. J’ai ainsi quatre orgasmes puis elle sentit le noeud rétrécir. Un bruit de succion accompagna la sortie de la bitte d’Adam de mon anus. Un flot de sperme sort cette fois de mon anus.

L’anus rougi et dilaté, je suis enculée par Hercules, avec son gros mandrin. Hercules me saisit par la taille, pour faire coulisser sur son mandrin, jusqu’aux testicules. Il s’agrippe de plus en plus fortement à mes hanches douloureuses.

- Empale-toi sur ma queue, ma belle. Adam a commencé à t’élargir.

J’obéis, recevant quelques claques magistrales sur mes fesses brûlantes.

Il me cravache les fesses et les cuisses.

- Cela est fait pour te dresser, ma belle.

Je gémis un peu et je mouille de désir.

A peine remise par une courte douche, fardée, parfumée, je retrouve Brice à son bureau, dans ma tenue, avec des mules à talons de douze centimètres contre dix pour les premières mules. Le bijou d’anus est plus gros et plus lourd, vingt-deux centimètres de long et cinq de diamètre.

Vêtue d’un manteau, les mains menottées dans le dos, Brice me conduit à un palace, dans sa limousine, conduite par Hercules.

Dans une grande pièce de restaurant, vêtue de mon corset et de ma ceinture de chasteté, en mules, je dois les sucer sous la table, avalant en totalité, sans perdre une goutte, sur ordre de Brice. Je les nettoie aussi.

Nourrie de spermes, Brice me fait partager le dessert. Je dois rester agenouillée, cuisses écartées, à ses côtés.

Les vingt inconnus vont venir dans ma chambre 6996, pour satisfaire leurs désirs.

Avant l’aube, je rejoins ma chambre, pantelante, par les multiples sodomies subies qui m’ont rempli l’anus de spermes chauds.

Après ma douche, nue, pieds nus, déchaussée, démaquillée, un bon lavement anal, je rejoins ma chambre.

Hercules me saisit les mains, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains jointes à la hauteur du cou. Le valet accroche l'anneau de la chaîne qui se trouve sur l'oreiller à celui du collier, et je m’allonge, cuisses écartées. La chaîne cliquète dans l'anneau, se tend. Je garde ma ceinture de chasteté, l’anus libre de mon bijou d’anus.

- Tu seras bien ainsi. On viendra t’enculer d’ici le lever du soleil.

Cuisses écartées, je sens les coups de cravache sur l’intérieur de mes cuisses. Je gémis un peu.

Dans la pénombre, je suis enculée par des inconnus, qui m’ouvrent complètement les cuisses, les reins soulevés. Il me tient par les chevilles. Je sens ses testicules contre mes fesses brûlantes. Je mouille de désir, mon clitoris et mes mamelons sont tendus à l’extrême. Je connais l’orgasme anal sans me caresser.

Ils éjaculent tous dans ma bouche.

Adam m’encule aussi. Je suis prosternée pour mieux m’offrir à lui.



11 février

Au lever du soleil, un valet vient me voir.

Il me libère de la chaîne et me fait me mettre debout à côté du lit.

Il me retire ma ceinture de chasteté.

Il pose un coffret en bois qui contient, sur un lit de velours brun, dans un compartiment un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes faits à l'imitation d'un sexe dressé, qui vont des plus minces aux plus épaisses.

Il en choisit un de trente-cinq centimètres et sept de diamètre, au gland proéminent, aux veines saillantes, en érection, qu’il enfonce jusqu’aux testicules moulés. Il a attaché, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes.

Je ne peux l’expulser. Il attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu’il doit forcer et distendre, et il les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette contrainte.

Je sens le gland qui monte et descend à l’intérieur de mon anus. Le gland va encore plus vite de haut en bas dans mon anus. Je connais des vibrations par à-coups et des vibrations dont l’intensité augmente progressivement. Le gode s’allonge à chaque mouvement et s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Ce gode à mouvements de va-et-vient me donne l’impression d’avoir un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable.

Je me rallonge sur le lit, cuisses écartées. Mon bassin ondule violemment sur ce gode qui m’encule. Je me retiens de jouir.



Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, je le porte fixé au centre de mes reins, écartelée, et chaque jour davantage, je porte aussi des godes gonflables pour m’écarteler.

Rares sont les nuits où je suis enculée à nombreuses reprises par mes vingt inconnus, mon anus s’est assoupli.



20 février,

Portant le gode, nue, en mules, je retrouve Brice à son bureau, tenue en laisse par mon collier. Il m’attend avec le Duc.

- Cela fait huit jours de sodomies intenses, pour Miss Shawn. Ton œillet doit être rendu plus facile.

Je suis longuement enculée par les deux hommes et Hercules, largement inondés par leurs spermes chauds dans mon anus béant et humide.

Je dois porter sous mon tailleur strict, avec un chemisier sur mes seins nus aux mamelons fardés, une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, dévoilant ma chatte rougie, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins. Un gros bijou d’anus long de dix-huit centimètres, en pyramide, avec une butée, évitant que je ne l’expulse et sept de diamètre. Sa base est moulé sur le gland d’un dogue allemand. J’ai été saillie par des bergers allemands, des dobermans, des labradors et des dogues allemands pour m’élargir. Je garde mes mules à très hauts talons. J’aime avoir mes seins nus, mes fesses nues, mes jambes nues et mes pieds nus mis en valeur, cambrée sur mes mules. J’attire les regards.

Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes. Mon corselet offre des hanches de courtisane, mon dos cambré et les fesses en arrière. Mes seins tendent leurs mamelons. Le corselet  moule le corps, pour en épouser les formes et les mettre en valeur.

Je deviens l’attraction de DMV. De l’archivage, je passe au service clientèle. Là, je rédige des contrats que je dois signer, comme étant la putain. Je reçois d’étranges instructions : je dois me prêter, mes carcans sont dans mon sac à main. Les clients sont libres de me fouiller partout. Je ne peux me dérober, je ne fermes jamais tout à fait les lèvres, ni ne croise les jambes, ni ne serre les genoux pour donner libre accès à ma bouche, ma chatte et mon œillet. Je dois relever ma jupe pour me faire enculer. Je suis aussi cravachée pour mes fautes entre le coucher et le lever du soleil. Je ne dois plus lever les yeux sur les hommes. Mes yeux se fixent sur leurs mandrins que je dois sucer. Le soir, je dors nue, suçant, cuisses écartées, enculée et cravachée, menottée dans le dos. Je suis soumise.



22 février

Dès mon arrivée, dans mon élégant tailleur vert, sur mon corselet noir, en mules blanches, coiffée d’une queue-de-cheval, le directeur commercial, Sir Nathan, un bel étalon du double de mon âge, me fait le baise-main.

- Miss Shawn, la pute de DMV, tu es sublime.

Les yeux baissés, la bouche entrouverte, je reste silencieuse.

- Aujourd’hui, nous avons quatre clients espagnols, dont les jumeaux Armand et Xavier, ils sont redoutables en affaire. Tu iras au restaurant des Trois Délices. J’ai réservé une table.

Je sens une main sur mes fesses.

Je me retourne, les yeux baissés, la bouche entrouverte.

- Sir, tu m’as caché cette déesse, dit Armand, un bel étalon musclé, brun. Des fesses musclées, montre-moi tes jolis yeux. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou sucer.

J’ouvre mes yeux.

- Sublime regard vert émeraude, de jolis seins, tu es très désirable, dit Xavier.

Xavier m’embrasse sur la bouche, tandis qu’une des mains d’Armand caresse mes fesses et me donne une petite claque magistrale.

Nous signons les contrats, en compagnie de Louis, un beau blond et Don Eros, un beau brun.

Tous me caressent mes fesses, encore marquées par les coups de cravache de la nuit.

- Elle est cravachée souvent, demande Louis.

- Quand elle a commise des fautes, mais de moins en moins souvent, elle est très docile, dit Sir Nathan.

- Oui, Sir, je suis une pute docile.

Après un long entretien sur mes goûts sexuels, mes objets de punition, la grosseur et la longueur des godes anaux, mes ébats canins, enfin, mes besoins lesbiens, nous allons au restaurant.

Le restaurant se trouve, à trois blocs de la tour d’affaires. Je sens le vent monter le long de mes jambes et saisir mes cuisses nues. Armand me tient fermement les mains dans le dos, pour que tout le monde puisse voir que j’ai les fesses nues.

Tantôt Armand, Xavier, Louis et Don Eros me plaquent contre un mur, pour m’embrasser tout en doigtant ma chatte trempée et mon clitoris tendu.

Arrivés au restaurant, nous allons à l’étage. Je suis assise sur le canapé, la jupe relevée. Armand et Louis sont à ma gauche et Xavier et Don Eros à ma droite.

Entre deux plats, je dois les sucer sous la table, sans perdre une goutte.

Peu avant le dessert, je me retrouve assise nue, livrée aux caresses de mes amants.

- Tu es une excellente suceuse, me complimente Armand.

- Son œillet élargi ne demande qu’à recevoir les hommages, dit Xavier.

- Sa chatte n’a du recevoir souvent un pilonnage en règle, dit Don Eros.

- Une double pénétration lui ferait un excellent plaisir, dit Louis.

Sans attendre, je me retrouve à quatre pattes, sur le canapé. Tout en suçant Armand, je suis prise en double pénétration.

Louis, qui a le sexe le plus fin, me baise, il est couché sur le dos, je suis dessus, avec le corps incliné vers Louis. Xavier avec son gros mandrin m’encule simultanément. Dès que Xavier a éjaculé en moi, Armand, qui possède un mandrin plus gros, profite de mon œillet ouvert, pour m’enculer. Je suce alors Don Eros, qui lui aussi m’encule, avec son long mandrin.

Je ne compte plus mes orgasmes, ma bouche remplie de spermes chauds tout comme mon anus et ma chatte trempée.

Je partage leurs desserts, empalée, sur leurs mandrins. Profondément enculée, jusqu’aux testicules, je m’abandonne aux caresses de mes seins, mes reins, mon dos, mes fesses brûlantes par les claques magistrales.

Bien lubrifiée, je m’abandonne aussi à leurs éjaculations. Ils me remettent mon bijou d’anus. Pantelante, je me rhabille.

Ils vont me revoir à ma chambre 6996, pour me cravacher, me prendre à nouveau jusqu’au coucher du soleil.



25 février

Mes frasques avec les quatre espagnols ont fait le tour des services. Je suis reconnue comme une pute pour des contrats juteux.

Vers midi, alors que je me refais une beauté aux toilettes, le responsable des opérations fiscales, le Comte, ouvre ma veste rose, regarde mes mamelons tendus.

- Il faut mettre un fard plus foncé, le tien est trop clair.

Ses mains glissent entre mes cuisses, soulèvent ma jupe et me masturbent le clitoris tendu. Il me susurre :

- Sacha, l’allemand et Pénélope, l’italienne, sont tes nouveaux clients. Tu mouilles de désir, d’avance.

Je me retiens de jouir, il étire mon mamelon droit. Je ne sais si je dois gémir ou jouir.

- Soulève ta jupe et retire ton bijou d’anus, que je te prenne ici.

Penchée en avant, les mains posées sur le meuble entourant les lavabos, cuisses écartées, la jupe soulevée, je retire mon bijou d’anus trempé.

D’une seule traite, il m’encule jusqu’aux testicules.

- Quel puits, tu es bien ouverte.

Mes seins se balancent, je me tends totalement aux coups. Il me saisit aux hanches, me caresse les seins, étirent mes mamelons tendus. Il écarte davantage mes fesses, pour m’enculer plus profondément. Je suis au bord de l’orgasme anal.

- Retiens-toi de jouir, ma belle. C’est moi qui décide, pour éjaculer en toi.

Je ne peux résister. Mon orgasme puissant, mon muscle anal se contracte très fortement.

- Alors, la pute, tu me fais éjaculer.

- Mais, je ne peux pas résister.

J’ai droit à plusieurs claques magistrales sur mes fesses.

Il se retire et je le nettoie, cuisses écartées, sans perdre une goutte, le bijou d’anus remis en place.

Je retrouve le couple qui m’attend à la sortie des toilettes.

Sacha est un bel étalon brun, musclé et Pénélope est une brune aux seins plantureux.

- Voici, Miss Shawn, désolé pour le retard, je l’ai corrigée.

Nous allons dans un club privé. Je me promène nue et en mules, en compagnie du couple. Des dizaines de filles, les yeux bandés, bâillonnées, portant des pinces à seins, aux lèvres de la chatte, aux corps zébrés, sont exposées, tantôt les bras en l’air, cuisses écartées, tantôt sur des croix de Saint-André, de face ou de dos.

- Miss Shawn, tu es soumise, me susurre Sacha.

- Oui, je suis cravachée tous les jours, saillie par des chiens.

- Veux-tu porter des pinces à seins et aux lèvres de ta chatte, comme les autres filles ? demande Pénélope.

Sans attendre, je suis équipée de quatre pinces plates finement réglables, cette chaîne garantit aux soumises le confort dans l’inconfort ; les tétons et les lèvres de la chatte sont pincés de manière excitante et non douloureuse. Les pinces plates sont recouvertes de caoutchouc noir à leurs extrémités. Sacha me dirige en me tirant par mes chaînes au niveau des seins ou au niveau du sein ou tout simplement en empoignant la chaîne centrale. Mes mamelons sont étirés par le bas par des clochettes qui tintent au moindre mouvement. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin.

J’attire les regards, avec mes carcans de cuir.

Des maîtres me cravachent, dans les mêmes positions que les filles, m’enculent sauvagement avec des gaines péniennes à picots qui m’arrachent l’anus.

Je suce et avale des litres de spermes.

Je passe trois heures au club, empalée sur Sacha, enculée par le gode-ceinture de Pénélope.

Après cette séance de pinces à seins, je suis violée par une dizaine d’inconnus, cagoulés, tandis que je porte une cagoule laissant libre ma bouche bâillonnée par un bâillon-pénis canin, le nez, je garde mes clochettes à mes mamelons tendus. Tous éjaculent dans mon anus.

Je retrouve mon calme dans une luxueuse chambre entourée de miroirs et de glaces, sur les murs et au plafond.

- Tu es courageuse, docile, Miss Shawn, me dit Pénélope, en léchant ma chatte trempée et mon clitoris tendu, gros comme une cerise, saillant et volumineux, pendant une longue durée.

Il est devenu hypersensible. Je connais une excitation énorme. Je ressens une douleur provoquée par le fait que mon clitoris soit constamment tendu. Mon clitoris est complètement tendu et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement cet endroit est devenu sensibles.

- Ton clitoris reste plus dur plus longtemps. On l’a enduit d’une crème pour accroître ton plaisir.

Je ne sais si je dois jouir sous la langue de Pénélope. Je me retiens.

Quand sa langue passe sur mes mamelons qui sont aussi tendus, très durs, saillants, gros et longs. Ils sont aussi hypersensibles. C’est une véritable torture comme pour mon gros clitoris.

Dans un 69 lesbien torride, j’offre ma chatte toute lisse, j’ai gardé mon triangle pubien à la bouche de Pénélope et elle fait de même. Nous stimulons nos clitoris par la bouche ou par les doigts. La stimulation du clitoris est majeure.

Sacha m’encule au moyen d’une gaine pénienne à picots, je suis au-dessus de Pénélope. Je me retiens de jouir sous la langue sur ma chatte et mon clitoris, enculée.

Bien chaude, je retrouve mes pinces à seins, pour être cravachée et enculée, menottée, les bras en l’air, cuisses écartées. Je suis cravachée sur l’intérieur de mes cuisses.

Enfin, nous quittons le club, après six heures d’ébats.

Sir Nathan m’attends au pied de la tour d’affaires.

- Alors, comment s’est comportée Miss Shawn, au club ? J’ai vu quelques vidéos en direct.

- C’est une soumise docile, annonce Sacha.

- C’est une vraie lesbienne qui connaît les zones de plaisir, annonce Pénélope.

Je reste les yeux baissés, la bouche entrouverte. Mes mamelons pointent encore sous ma veste et sont visibles par Sir Nathan. Je dois soulever ma jupe pour dévoiler ma chatte totalement lisse, des pinces avec des clochettes, étirent les grandes lèvres de ma chatte.

- Elle en a besoin. Les pinces sont là pour sensibiliser les lèvres de sa chatte.

Je porte aussi un nouveau bijou d’anus, il mesure vingt-cinq centimètres de long et sept centimètres de diamètre pour 600 grammes, muni d’un puissant va-et-vient, me rappelant combien j’aime être enculée par un amant infatigable.

Je retourne au bureau.

Je travaille seins nus, sans ma veste. Tout le monde me complimente pour mes mamelons constamment tendus sous l’excitation, la sodomie permanente.

Ce soir, je vais retourner au club, comme membre officiel, prête à de nouveaux jeux.

Cela fait quinze jours que je suis employée par DMV.



26 février

Peu avant le lever du soleil, je quitte le club. Je porte encore mes pinces à mes lèvres de ma chatte.

Un bel étalon brun, musclé, du double de mon âge, m’aborde.

- Tu es Miss Shawn, je suis Donatien. Tu sors du club privé « Désirs de Vices ».

- Oui, j’aime cette ambiance.

- Monte dans ma limousine, je te conduis dans un lieu secret, à trois heures du club.

J’obéis.

Je relève ma jupe, dévoilant mes fesses, mes jambes nues et je fais tinter mes clochettes. J’écarte mes cuisses sans qu’il le demande.

Je retire ma veste, dévoilant mon corselet.

- Superbes seins nus, mis en valeur par le corselet. Tu es libre de descendre, si tu veux.

Je n’ose répondre. Le chauffeur, un bel étalon africain, me toise dans le rétroviseur.

Donatien me pelote les seins, étire et pince mes mamelons constamment tendus.

- Très bien, tes mamelons sont constamment tendus.

Je me retiens de jouir, sous les assauts des va-et-vient du bijou d’anus.

Il délace mon corselet et me fait déshabiller. Je reste nue et en mules à ses côtés, silencieuse. Il remarque les marques de la cravache sur mes cuisses et mes fesses.

- Tu aimes être cravachée.

Donatien m’embrasse langoureusement. Je perds haleine. Il me mets mes carcans à mes poignets et les joint dans mon dos et mon collier. Il me bande les yeux.

Je m’abandonne à ses caresses sur mes seins, mon clitoris tendu, ma chatte qui est doigtée.

- Tu portes un vibromasseur anal. Je le sens. Tu dois être chaude.

Nous marquons une halte dans une allée forestière.

On m’aide à descendre de la voiture.

Allongée sur le dos, sur le capot encore chaud, on me retire le bijou d’anus et le gros mandrin du chauffeur, prénommé Désiré, long de vingt-quatre centimètres et sept de diamètre, m’encule sauvagement, les seins pelotés par Donatien.

Je connais l’orgasme anal et une longue éjaculation.

- Elle aime ça, les gros sexes, Donatien.

- Mes amis vont l’adorer. Tu es belle dans le désir.

Désiré me remet le bijou d’anus en place pour que je conserve son sperme chaud dans mon anus lubrifié.

Nous remontons en voiture.

Nous franchissons une grille, gardée par des maîtres-chiens et des gardes à cheval.

- C’est la nouvelle pour le Domaine du Bois des Sévices du Marquis.

Au bout de l’allée, on m’aide à descendre, nue, les mains dans le dos, en mules, toujours aveugle, qui font du bruit dans les graviers, puis sur les marches en marbre. Mes clochettes tintent entre mes cuisses.

Je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, dans une pièce avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards. Deux femmes ouvrent la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues de corsets seins nus sous un corsage transparent, dénudant entièrement les seins, avec des manches mi-longues, dévoilant le galbe du sein, une jupe longue jusqu’à mi-cuisse à l’arrière et assez courte devant pour dévoiler leurs chattes et leurs pubis totalement lisses, leurs chattes portent des anneaux dorés, ainsi que leurs gros clitoris tendus percés horizontalement d’un anneau avec une pierre précieuse, leurs jambes et leurs pieds sont nus, dans des mules à hauts talons avec plate-forme. Leurs yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.

Elles libèrent mes mains, me retirent le vibromasseur anal, mon anus reste encore béant et expulse un peu de spermes. Elles me retirent mes clochettes.

Nue, je me baigne en leur compagnie

- Accroupis-toi, cuisses écartées, me dit l’une d’elle.

Elles me savonnent, et leurs mains douces et caressantes, viennent partout sur moi. Elles me mouillent les cheveux, puis elles me rincent debout, avec la pomme de la douche.

Assise dans un grand fauteuil de coiffeur, cuisses écartées, je me retrouve empalée sur un vibromasseur de vingt-quatre centimètres de long et sept de diamètre, muni d’un puissant va-et-vient qui m’encule. Je dois garder les cuisses écartées. On me shampouine. Et comme il y a en face de moi une haute glace que n'interrompt aucune tablette, je me vois ainsi, chaque fois que mon regard rencontre mon reflet, exposé, la tête tout empanachée de shampooing blanc. On me rince ; on me sèche ; on me longuement coiffe.

Le vibromasseur est remplacé par une canule, qui m’inonde l’anus d’émollient. Puis le vibromasseur reprend sa place. Je suis au bord de l’orgasme anal.

Elles ombrent légèrement mes paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, les mamelons et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi, du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.

Pieds nus, nue, j’entre dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu, et il y a un tapis. Je regarde mon corps dans les reflets, sous tous les angles. Je sens l'émollient qui fond en moi, sous les va-et-vient d’un nouveau vibromasseur.

Une grande fenêtre donne sur un beau parc sombre.

Un homme entre seul, vêtu d'une longue cape, sur son corps  nu, musclé, le mandrin en érection, dans une gaine à picots. C’est le mandrin que je regarde d'abord, à son premier pas, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des gants aussi, et de fin chevreau. Il me remet les clochettes aux lèvres de ma chatte.

- Lève-toi.

Il joint mes mains dans mon dos, caresse mes seins, étire mes mamelons tendus, caresse ma chatte, mon gros clitoris tendu. Je me retiens de jouir, les yeux baissés, la bouche entrouverte.

- Tu es chaude. Tu es présentée ce matin.

Je reste debout, cuisses écartées. Je me penche en avant, les mains dans le dos, enculée. Il m’encule jusqu’aux testicules, me donne quelques claques magistrales sur les fesses. Il caresse mon clitoris tendu.

Puis sur le pouf, toujours enculée, je m’abandonne, mon dos touche son buste, enculée jusqu’aux testicules. Il me masse les lèvres de la chatte et le clitoris, déclenchant de violents mouvements de mon bassin et me masse les seins, étirent mes mamelons tendus. Les picots de sa gaine m’arrachent l’anus.

- Tu prends ton pied, enculée jusqu’aux testicules.

Sans attendre, un autre homme entre et me baise avec une gaine à picots. Ce double plaisir mêlé de douleur me font hurler de plaisir.

Les deux hommes se retirent.

Je déjeune seule, avec mon vibromasseur anal remis en place, agenouillée, cuisses écartées, je mange avec les doigts. Un nouvel orgasme anal me terrasse silencieusement. Cette sodomie par picots m’a donnée du plaisir. Je reste dans une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un guichet. J’ai gardé mes clochettes à ma chatte.

Enfin, le déjeuner fini, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, nue, les bracelets fixées dans mon dos, mes pieds nus sont chaussés de mules à hauts talons avec plate-forme.

On me bande les yeux et on me tient en laisse par mon collier.

Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous traversons un vestibule, deux salons, et pénétrèrent dans la bibliothèque, où quatre hommes prennent le café. Ils sont vêtus de capes, sur leurs corps nus, leurs mandrins en érection, sans gaine, sans masques.

Il y a aussi Donatien.

Je suis aveuglée par une lampe-phare. Tout le monde reste immobile, les deux femmes de chaque côté de moi, et les hommes en face qui me regardent. Puis le phare s'éteint ; les femmes partent. On m’a remis un bandeau sur les yeux.

On me retire le vibromasseur anal, deux mains caressent mes fesses, vérifiant mes bracelets fixés ensemble, non gantées, me pénètre simultanément la chatte et l’anus. Je jouis.

Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon tendu de l'autre. On me déchausse.

Allongée sur le pouf, sur le dos, je reçois le premier, qui m’encule. J’enserre sa taille avec mes jambes, mes pieds appuyés sur ses fesses.

Puis il me relève complètement les cuisses, sans débander, sur les épaules, pour m’enculer. Je jouis.

Enfin, il m’achève, en m’enculant latéralement, les cuisses relevées et bloquées par les cuisses de l’homme, en traction.

Lorsqu’il éjacule, il s’abat sur moi, pour mieux m’enculer.

L’anus lubrifié, allongée sur le ventre, je reçois le second, qui possède un gros mandrin, pour m’enculer, tête-bêche. La sodomie est un peu douloureuse. Il éjacule en moi.

Le troisième me fait asseoir entre ses cuisses, enculée jusqu’aux testicules, il caresse mes seins, mon dos, mes reins, mes épaules et mon cou.

Lui aussi, éjacule en moi.

Nous sommes allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, l’homme est dans mon dos et m’encule. Il caresse mes seins, le ventre, ma chatte. Le mouvement du bassin guide l'acte de la pénétration, je suis enculée profondément en ajustant mon bassin en face du mandrin. Il caresse aussi mon clitoris pour augmenter mon plaisir.

Sans débander, il m’achève, dans une position de rut, enculée, il m’enserre par les hanches, glisse ses mains autour de mes seins, pour des coups plus profonds. J’agite ma croupe pour qu’il bande et éjacule en moi.

Libre, je suis agenouillée, mes mains liées au dos, fléchie, un peu en arrière, à demi assise.

- Elle a déjà été attachée et fouettée, regardez ces marques.

On m’enlève le bandeau. La grande pièce avec des livres sur les murs est faiblement éclairée par une lampe sur une console. Deux des hommes sont debout. Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et Donatien, penché sur moi et me caresse le sein.

- Tous t’ont enculée, Miss Shawn. Tu as aimée. Tu ne vois les visages de ceux qui te violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et que tu sais jamais quels sont les responsables du pire. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil.

Je me retrouve assise entre les cuisses de Donatien, enculée comme avec le troisième homme.

On me montre la cravache, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir ; le fouet de cuir est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a la garcette de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont toutes raides,  trempées dans l'eau, on m’en caresse le ventre et mes cuisses écartées, je sens les cordes sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.

Je suis menottée, les bras en l’air, bras tendus, les mains au-dessus de la tête, à un crochet tenu par la main d’une statue, je suis sur la pointe des pieds nus. On me cravache. Je regarde les reflets dans les miroirs de mon corps nu.

Le fouet de cuir, qui m’a fait gémir, me marque beaucoup moins, que la corde mouillée de la garcette, et au premier coup avec la cravache. Je suis ensuite uniquement cravachée.

Je suis sauvagement enculée entre deux séances, écartant mes fesses brûlantes.

- Son œillet n’est pas encore élargi.

- On va en prendre les moyens.

L’homme m’insère un gode réaliste, à l'imitation d'un sexe dressé, de trente-cinq centimètres et cinq de diamètre, au gland proéminent, aux veines saillantes, en érection, attaché, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il laisse pendantes.

Je ne peux l’expulser. Il attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu’il doit forcer et distendre, et il les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être tenté de me soulager de cette contrainte.

Le gode est gonflé jusqu’à sept centimètres. Je sens le gland qui monte et descend à l’intérieur de mon anus. Le gland va encore plus vite de haut en bas dans mon anus. Le gode s’allonge à chaque mouvement et s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Ce gode à mouvements de va-et-vient me donne l’impression d’un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant infatigable. Mon bassin ondule violemment sur ce gode qui m’encule. Je me retiens de jouir. Mes clochettes tintent entre mes cuisses.

Je suis détachée, chancelante et presque évanouie.

- Son bassin ondule sur le gode du Vice, qui va l’élargir.

Je m’installe sur le sofa, cuisses écartées, ma chatte dégouline, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême sous l’excitation.

Les deux femmes jeunes et jolies, vêtues de corsets seins nus sous un corsage transparent, dénudant entièrement les seins, avec des manches mi-longues, dévoilant le galbe du sein, une jupe longue jusqu’à mi-cuisse à l’arrière et assez courte devant pour dévoiler leurs chattes et leurs pubis totalement lisses, leurs chattes portent des anneaux dorés, ainsi que leurs gros clitoris tendus percés horizontalement d’un anneau avec une pierre précieuse, leurs jambes et leurs pieds sont nus, dans des mules à hauts talons avec plate-forme. Elles apportent ma tenue.

Debout, je revêts le corset seins nus très baleiné, rigoureusement serré à la taille, auquel est fixée la ceinture de cuir. Puis le corsage laisse mes seins, remontés par le corset, dénudés entièrement, et la jupe dévoilant mon pubis velu et ma chatte totalement lisse avec mes clochettes. Je remets mes mules à hauts talons avec plate-forme.

Une des femmes écartent par-derrière les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Elle a les fesses récemment cravachées. Elles s’en vont.

« Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu te prêtes, fouillée dans tous tes orifices. Tu ne peux te dérober, tes lèvres restent entrouvertes, toujours les cuisses écartées, montrant l’accès à ta bouche, ta chatte et ton oeillet. Tes seins sont mis en valeur par le corset. Le jour durant, tu écartes ta jupe, pour te faire utiliser, à visage découvert - et comme il veut - à la réserve toutefois du fouet. Le fouet n’est appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Le fouet est donné le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu dois toujours fixer tes yeux sur nos mandrins nus, que tu dois sucer. Dans la journée, tu observes les mêmes consignes. Tu écartes et refermes ta jupe quand nous en aurons fini de toi. En outre, à la nuit, tu suces, cuisses écartées, les mains liées au dos, nue, les yeux bandés pour te fouetter. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction. La chaîne qui, fixée à l'anneau de ton collier, te maintiens plus ou moins étroitement à ton lit plusieurs heures par jour, tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un anneau de fer à l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu es obéissante à ceux qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »

Je me lève. Donatien me donne à Hughes, le premier maître qui m’a dit le discours.

L’anus libre, fesses nues, je dois m’offrir prosternée, cuisses écartées. Hughes m’encule, en appui sur ses jambes, jusqu’aux testicules. Je me retiens de jouir. Puis il se penche latéralement, sans débander, puis enjambe mes fesses, me donne quelques claques magistrales. Il éjacule en moi.

Eros, le second maître, m’encule latéralement. Je suis offerte, face à lui, je glisse et soulève une de mes cuisses au-dessus de la cuisse d’Eros. Je suis profondément enculée. Je me retiens de jouir jusqu’à l’éjaculation, installée face à Eros, en appui arrière sur mes mains.

Val, le troisième maître, m’encule, allongée sur le dos, cuisses complètement ouvertes, saisie par les chevilles, les reins soulevés, les bracelets fixés à mon collier. Il m’encule violemment et éjacule en moi.

Xavier, le quatrième maître, m’encule, renversée en arrière, les genoux sur les épaules, en traction et en appui sur ses bras. Il éjacule en moi.

On me remet le gode en place.

Mon anus est alourdi par les spermes des maîtres.

Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules.

« Tu es dans l'aile des vicieuses, et ton valet s'appelle Hermine.

- Quel valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?

- Je m'appelle Saphir Désir.

- Et moi Opale du Vice », dit la seconde.

- C'est le valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es punie et quand on n'a pas de temps pour toi, dit Saphir Désir

- J'ai été dans l'aile des vicieuses l'année dernière, dit Opale du Vice, Hermine y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.

Hermine est debout contre une banquette. C’est une grande brune aux seins plantureux, avec une veste sur son torse nu, son mandrin nu est gainé, ses testicules portent des anneaux dorés. Hermine est chaussée de mules à hauts et porte à la ceinture un fouet à lanière de cuir. Son mandrin mesure trente-deux centimètres et six de diamètre.

Nous entrons dans la cellule qui comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.

En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures. Il n'y a pas d'autres meubles, il n'y a aucune glace. Il y a un tapis. Saphir Désir me fait remarquer que le lit était moins un lit qu'une plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe à très longs poils qui imite la fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, est en même tissu, la couverture à double face aussi. Deux mètres au-dessus de la tête du lit, un gros anneau brillant est scellé au mur où passait une longue chaîne d'acier : l'une de ses extrémités s'entasse sur l'oreiller en formant une petite pile d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.

« Tu dois prendre ton bain, dit Opale du Vice. Je vais défaire ta robe. »

Ma tenue est rangée dans le placard près du lavabo, avec mes mules.

Nue, déchaussée, je découvre la salle de bains. Mes clochettes, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche. La salle de bains comprend une baignoire, entourée d’un escalier. Les parois sont entièrement revêtues de glace.

Saphir Désir et Opale du Vice demeurent avec moi, je dois m’accroupir, cuisses écartées. Hermine me retire le gode pour mon lavement par la canule et de nouveau de l’émollient. Je me retiens de jouir.

Je suis enchaînée, les bras tendus en l’air, pour éviter de me masturber, par Hermine.

- Nous viendrons te chercher demain matin, dit Opale du Vice.

Détachée, l’anus propre, Saphir Désir sourit en partant, et Opale du Vice, avant de me suivre, caresse, mes mamelons tendus, je reste debout au pied du lit, interdite. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.

Hermine fait apporter un chevalet, où je suis menottée, le postérieur plus haut que la tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est ainsi très accessible. Hermine me retire mes clochettes à mes lèvres de ma chatte trempée.

Elle caresse mon clitoris tendu à l’extrême.

- Tu seras saillie dès cet après-midi et cravachée. Ton œillet n’est pas encore assez élargi à mon goût.

Hermine m’encule sauvagement, en me cravachant les fesses.

Hermine éjacule sur mes fesses, me caresse la chatte et je dois la sucer jusqu’à la dernière goutte.

Je n’ai plus l'usage de mes mains pour me masturber ma chatte. Les lèvres de ma chatte me brûlent peut-être parce que je les sais ouvertes à qui veut : au valet Hermine, s'il lui plait d'entrer.

Le fouet me laisse sereine, ses multiples sodomies m’ont rendu plus vicieuses.

Je me repose.

Dans l’heure qui suit, je sens un sexe m’enculer. C’est un premier berger allemand qui m’encule jusqu’au nœud. Je le subis, jouissant, multipliant mes orgasmes.

A peine le premier berger allemand parti, qu’un second m’encule d’une seule traite.

Puis deux dobermans se relaient pour m’enculer. Je suis à moitié évanouie par mes multiples orgasmes, l’anus alourdi de spermes canins qui dégoulinent.

Après une courte pause, Hermine revient.

- Quatre étalons t’ont donné beaucoup de plaisir, vu tes râles de plaisir.

Hermine me libère les poignets du chevalet et les fixe au-dessus de ma tête à un crochet, bras tendus.

Je suis cambrée. Hermine me cravache à toute volée. Il n'attends pas qu'elle me taise, et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il a cessé que je crie encore, et que ses larmes coulent dans sa bouche ouverte.

Hermine cravache le devant des cuisses.

Le tout a duré cinq minutes.

Il ouvre la fenêtre et me laisse menottée debout, au crochet, bras tendus en l’air, les chevilles fixées au chevalet. Hermine m’a mis une poire anale avec un ballonnet qu'on gonfle une fois introduit à l'intérieur de mon anus. J’ai une envie permanente d'aller à la selle, difficultés pour uriner par compression.

Je dois garder la pose.

Un jardinier m’observe et se masturbe devant mon corps nu, avec mes marques sur mes cuisses.

Au bout de deux heures, on me remet sur le chevalet, sans la poire anale, je suis à nouveau saillie par deux labradors et deux dogues allemands pour m’élargir.

Au coucher du soleil, je suis épuisée.

On me change le vibromasseur anal pour un de trente-cinq centimètres et sept de diamètre pour remplir mon anus béant et rougi complètement distendu par les saillies canines. Je l’accepte. Les va-et-vient sont plus violents et puissants que le gode du Vice, c’est le gode du Désir Anal. Je ne peux résister, enculée par mon amant infatigable.

Au bout d’une heure, l’anus libre, je sens des mains sur mes hanches pour me faire coulisser sur le pénis du singe aussi gros que peut l'être un pénis humain, il se termine par une pointe effilée, au bout duquel un gland minuscule fait comme une petite boule de chair. Il mesure dix-huit centimètres. Je suis longuement enculée par un chimpanzé. Un autre chimpanzé me fait sucer son sexe.

Je suis doublement inondée.

Sept chimpanzés se relaient pour m’enculer et presque autant pour les sucer. Je ne compte plus mes orgasmes anaux. Les chimpanzés me caressent les fesses.

Au bout de trois heures à me donner aux chimpanzés, je suis longuement cravachée sur les fesses.

Quelques instants après, un valet entre, c’est Val, un superbe transsexuel, une brune aux petits seins, avec un mandrin de vingt-cinq centimètres et sept de diamètre. Il est vêtu d’une veste sur son corps nu, de bottes.

Il possède à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.

- Miss Shawn, ton œillet est bien ouvert par les chiens et les chimpanzés.

Il me libère du chevalet, regarde le devant de mes cuisses marquées, il caresse ma chatte et doigte profondément mon anus dégoulinant de spermes. Je garde les yeux baissés. Il regarde mes fesses, le dos de mes cuisses.

Il m’allonge sur le lit, me pose mes mollets sur ses épaules et m’encule sauvagement.

- Tu aimes te faire enculer, la jouisseuse anale.

Je n’ose répondre, les mains jointes à mon collier.

Il caresse mes cuisses, mes mollets et mes chevilles. Je connais un orgasme quand il éjacule en moi.

Gardant les jambes levées, il me cravache les fesses, pour mon orgasme non désiré.

Il me met un bijou d’anus de quinze centimètres de long et six de centimètres pour garder le sperme.

Il libère mes poignets.

Saphir Désir et Opale du Vice, qui sont entrées avec lui, et qui attendent debout. Sur quoi il s'en va.

Je dois me prosterner, James, un des valets, entre.

Il porte un coffret avec un nouveau gode.

Il est moulé sur un sexe réaliste d’un labrador. Il mesure vingt-trois centimètres et cinq de diamètre, une fois gonflé. Le nœud m’écartèle l’anus de la taille d’une balle de golf à une balle de tennis.

Il est maintenu à ma ceinture de cuir.

- Tu seras mieux ainsi.

J’ai du mal à m’agenouiller sur le lit, cuisses écartées.

James repart.

Je mange avec les doigts un bol de divers légumes et viandes, mélangés à un excitant sexuel. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.

- Tu peux dormir ensuite, jusqu’à dix-neuf heures. Il est dix-sept heures. Tu restes nue ce soir. Tu prends ton bain, te coiffes, dit Saphir Désir, je viens te farder.

- Tu es de service, dit Opale du Vice. Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à nous.



Désormais, huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, je le porte fixé au centre de mes reins, écartelée, et chaque jour davantage, je porte aussi des godes gonflables pour m’écarteler.

Rares sont les nuits où je suis enculée à nombreuses reprises, mon anus s’est assoupli.



Donatien me rejoint avec un autre homme, tous les deux sont nus, les mandrins en érection.

- La belle au labrador, aux fesses et aux cuisses marquées, viens offrir ta chatte et ton œillet de soumise canine.

Je me lève. Donatien m’embrasse langoureusement. L’autre homme me retire le gode labrador.

- Son œillet est bien ouvert, mais encore assez élargi, Donatien.

- C’est normal, Miss Shawn, n’a pas été soumise à ses amants, Yannis.

Yannis m’écarte mes fesses brûlantes et m’encule d’une seule traite jusqu’aux testicules. Je sens la langue de Donatien sur ma chatte et mon clitoris, pelotant mes seins à deux mains. Je jouis.

Yannis m’encule jusqu’à l’éjaculation en moi et joint mes bracelets dans mon dos.

Donatien me renverse sur le lit, en arrière, les genoux sur les épaules, m’encule en traction et en appui sur ses bras.

- Elle est bien ouverte.

Yannis m’embrasse langoureusement.

Donatien éjacule aussi.

Je garde la pose et Donatien me remet le gode labrador en place.

Yannis part. Je me baigne, accroupie, cuisses écartées, l'eau tiède me fait frémir quand mes cuisses meurtries y plongent, et je dois m’éponger sans frotter, pour ne pas réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe devant la glace et, toujours nue mais les yeux baissés et la bouche entrouverte, revient dans la cellule.

- Ma belle, Miss Shawn, ton œillet doit être élargi chaque jour davantage. Les chiens sont là, pour t’écarteler. Tu as pris goût.

Nue, en mules, avec ma ceinture de cuir, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.

Opale du Vice me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons, ils trouvèrent de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet, c’est Jason, doté d’un long et gros mandrin, de trente centimètres de long et six de diamètre. Il était vêtu comme Hermine. C’est un grand étalon africain, musclé, chauve. Je fixe son mandrin en érection.

- Tu dois être Miss Shawn, avec le gode Atlas. T’en fait pas, Balzac sera plus apte à t’enculer, la belle.

Sans attendre, je dois me pencher, les mains contre le mur et je me fais longuement enculée, l’anus libre, lubrifié par le sperme de mes amants.

- Oui, tu es sacrément chaude. Tu te retiens de jouir.

Il se retire et éjacule sur mes fesses, me donnant quelques claques magistrales en me remettant le gode en place.

Nous entrons dans une antichambre dallée de marbre noir où, par un escalier venant du sous-sol, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de hauts rideaux, deux autres valets attendent, deux dobermans bruns à leurs pieds, plus un dogue allemand.

« C'est la clôture », murmura Opale du Vice.

Le bâtiment comprend au rez-de-chaussée, à droite d'un grand vestibule (sur lequel ouvrait l'une des grilles, la plus grande), la bibliothèque, un salon, un fumoir, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et une pièce attenante réservée aux valets. Quelques chambres, au rez-de-chaussée, sont occupées par les filles que les membres du club amènent. Les autres chambres, aux étages, par ceux d'entre eux qui font un séjour. A l'intérieur, les filles ne peuvent circuler qu'accompagnées ; elles étaient absolument astreintes au silence, même entre elles, et aux yeux baissés; elles ont toujours les seins nus et le plus souvent la jupe relevée par-devant ou par-derrière. On en dispose comme on veut. Quelque usage qu'on en fait, quoi qu'on en exige.

Mais Jason qui marche devant l'entend et se retourne brusquement.

- Eh, toi ! Tu oublies le règlement ? Viens ici ! » Il claqua dans ses doigts.

- À quatre pattes. Par terre, toutes les deux. Tout de suite ! »

Opale du Vice se courbe en avant, sur le carrelage, appuyé sur ses bras tendus.

- Pardon, pardon... Ne me fouettez pas... Je vous en supplie... »

Je fais de même, les yeux baissés, la bouche entrouverte.

- C’est la nouvelle avec le gode Atlas. Je lui réserve Balzac. Apollo va s’occuper de la nouvelle et Hadès d’Opale, dit un des valets.

Le valet me retire le gode et Apollo m’encule jusqu’au nœud, l’anus enduit de foie gras.

Je reste vingt minutes avec Apollo jusqu’à l’éjaculation et quatre orgasmes anaux.

Balzac me saillit dans la foulée. Elle dure trois quart d’heures.

Pantelante, je suis enculée sauvagement par les deux valets à tour de rôle, que je suce et j’avale.

- La nouvelle est courageuse, vicieuse à souhait. Elle suce divinement bien.

L’un d’eux me conduit au réfectoire, une salle dallée, la table longue, en verre épais, pour que les valets puissent voir ce que les soumises y ont pu faire par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir noir. Nue, je me retrouve profondément empalée sur le gode qui m’écartèle davantage. Je me retiens de jouir, cuisses écartées. Le valet de permanence remarque mes mamelons et mon clitoris tendus à l’extrême, par l’excitation que j’ai subie.

Le valet me caresse mes fesses marquées, mes seins.

- Petits seins, beau visage, tu dois être Miss Shawn.

Je sais qu’en quittant les lieux, je dois, vêtue comme tout le monde, mais les fesses nues sous mon tailleur banal ou ma robe ordinaire, relever à chaque fois ma jupe pour s'asseoir aux côtés de son amant, ou d'un autre, à même la banquette d'une auto ou d'un café, je retrouve mes seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout était permis, et le terrible silence.

A la fin du repas, dehors, le valet m’encule sauvagement devant les autres filles, les mains jointes à mon cou. Il éjacule une partie sur mes fesses et le reste dans ma bouche que j’offre, accroupie, cuisses écartées, le gode remis en place.

Je semble plaire aux valets.



6 mars,

Nue, en mules, avec mon gode Balzac, je suis présentée par Donatien à des inconnus. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, les bracelets fixés dans mon dos, je découvre un grand russe, un chinois barbu, un japonais, un sud-américain chauve et un émir des pays arabes. Chacun possède une mallette de billets de leurs pays d’origine. Ma chatte a été épilée, ainsi que le haut des cuisses, les grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur des fesses. J’ai mes lèvres intimes plus renflées, toutes lisses.

Cela plait aux inconnus.

- Messieurs, Miss Shawn a son œillet élargi par les multiples saillies canines depuis le début de son instruction. Elle est docile. Soumise au Duc dans la chambre 6996, qui me l’a confié pour parfaire son instruction. J’ai vu vos enchères. Je vais la libérer de son gode, son œillet est encore lubrifié par ses saillies de la nuit. Ses mamelons et son clitoris sont constamment tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre, démontrant son excitation sexuelle.

Je dois me prosterner, sur le tapis, cuisses écartées.

Le russe, le Vicomte Vladimir, d’un mandrin de six centimètres et vingt-deux de long, m’encule jusqu’aux testicules, en m’écartant bien les fesses, sur lesquelles il me donne quelques claques magistrales.

- Quel œillet bien chaud, elle prend du plaisir, sous mes fessées.

Vladimir éjacule sur mes fesses et dans ma bouche, je le nettoie.

Sans attendre, le chinois, Tan Sen, possède un petit mandrin, trois de diamètre et quinze de long. Mais il m’encule, une fois qu’il est bien dur dans ma bouche.

Ses rapides va-et-vient me font jouir rapidement, tandis que Samo, un Yakuza, enfonce son gros mandrin, sept de diamètre et vingt-cinq de diamètre dans ma bouche. Je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le membre gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée.

- Excellente suceuse, sa bouche est très bien dressée.

 -Son puits me convient. Elle sait maîtrisée le plaisir.

Samo m’encule à son tour, je suis allongée sur le dos, je dois fléchir au maximum sur mon buste, tête-bêche, son gros mandrin rend ma sodomie douloureuse. Mais je prends du plaisir.

Le sud-américain, Juan, et l’émir, Kamal, dotés tous les deux de gros mandrins, me prennent en double anale, une première pour moi.

Kamal se met sur le dos pour que je m’encule dessus, offrant mon anus dilaté à Juan. Ils m’enculent lentement puis plus rapidement ou violemment. Je suis enculée en rythme. Ils rentrent par surprise, donne quand c’est possible des petits coups plus sauvages et ardents, pour que les deux mandrins fassent un maximum d’effet. Ils modifient régulièrement les cadences et je connais plusieurs orgasmes anaux.

Pantelante, l’anus débordant de spermes chauds, Donatien me met un nouveau gode anal : long de vingt centimètres et quatre de diamètre, avec son gland bien dessiné, ses veines en relief et sa paire de testicules le rendent encore plus réaliste. Donatien le gonfle jusqu’à sept centimètres de diamètre. Je subis aussi des va-et-vient et des vibrations qui s’accroissent.

Je dois rester debout, à attendre le verdict.

Chacun remet sa mallette.

Je suis transférée dans la journée sur la côte, dans une luxueuse villa, sous haute protection, avec mon gode anal vibrant en place.

Quand j’émerge, sans mon bandeau sur les yeux et ma bouche libre du bâillon-pénis que j’ai porté, pour étouffer mes orgasmes anaux, je suis allongée sur une chaise longue, près de la piscine, nue, avec mes carcans de cuir, les mains libres, déchaussée.

Une grande brune aux seins plantureux, nue, au pubis et à la chatte épilés, s’approche de moi :

- Miss Shawn, émerge. Tu es désormais la propriété d’un Maître. Tu signes ton contrat d’esclave dès aujourd’hui. Tu vas être fouettée pour ton premier jour à la Villa des Mille Soumises Dressées du Désir.

Je me lève, tenue en laisse par mon collier. Je la suis, il y a deux hommes pour dix femmes.

J’entre dans le salon. Là, je découvre une femme nue, intégralement épilée, aux petits seins, avec les seins, les fesses, le dos et les cuisses cravachées, portant un masque de nuit, les bras en l’air, sur la pointe des pieds, sur le carrelage froid.

- Tu vas faire équipe avec Câline Désir.

Je suis installée dans la même position, dans un face-à-face, bouche contre bouche, limite baiser, mamelons contre mamelons tendus, les fesses bien cambrées, cuisses écartées par une barre d’écartement.

La brune m’enfonce un gode anal gonflable moulé sur le sexe d’un doberman, dans l’anus et Câline Désir reçoit le même gode anal, relié par une tige courbée. Les godes sont gonflables, vibrants et dotés de va-et-vient puissants.

Un valet tient une cravache, puis une garcette.

A chacun de mes orgasmes anaux, je suis cravachée d’abord sur les fesses, dix à vingt coups en moyenne, puis sur le dos, les reins et le devant des cuisses et l’intérieur des cuisses. Je gémis quand les coups cinglent l’intérieur de mes cuisses.

Mes multiples orgasmes anaux m’épuisent, mais je résiste.

Au bout de trois heures, en sueur, assoiffée, malgré les rares gorgées d’eau données au goulot de la bouteille, je reçois la visite de la brune.

- Tu es accro aux sodomies, Miss Shawn. Je vais t’en faire passer l’envie. Détache-la. La punition du joug te fera du bien.

Détachée du crochet, on fixe mes carcans de mes poignets à un joug. Je dois garder les bras tendus. On me coiffe d’une queue-de-cheval, pour maintenir en place le crochet anal dans l’anus relié pour me maintenir le dos cambré et la tête en arrière. La boule anale mesure cinq centimètres et pèse 500 grammes.

Je dois garder la barre d’écartement et je suis promenée en laisse, dans la villa, cravachée et fouettée à la garcette. Je suis dédiée à sucer les rares hommes présents.

Mon supplice dure cinq jours et cinq nuits, à sucer, en étant fouettée. Le crochet n’est retiré que pour mes besoins que je fais dans le jardin, comme une chienne soumise. Je dors peu, je suis nourrie de liquides mêlant des stimulants sexuels.



13 mars,

Avant de me retirer le joug, à l’aube, j’entends un hélicoptère atterrir non loin de la villa.

La brune vient me voir :

- C’est ton Maître, tu vas recevoir les anneaux aux grandes lèvres de ta chatte et un anneau à ton gros clitoris comme toutes les autres soumises.

Je suis suspendue par mon joug. On m’épile la chatte. Les yeux baissés, avec un bâillon-pénis, je sens qu’on perce mes grandes lèvres pour poser deux petits anneaux dorés discrets, à chacune, soit quatre anneaux et mon clitoris est percé horizontalement pour l’installation d’un anneau doré alourdi en son centre par une pierre précieuse pour l’étirer. Il me faut deux à quatre mois pour qu’il soit bien en place, soit le même temps pour mes grandes lèvres.

Le Maître vient admirer le travail.

- Très bien, le travail est excellent. Je suis Hussein, le frère de Kamal. Tu es la propriété officielle de Tan Sen et Samo, pour leurs bordels SM dans l’Emirat du Tamarzastan. Viens, je vais t’enculer, Emeraude du Vice.

Hussein possède un mandrin impressionnant, trente centimètres et six de diamètre.

Prosternée, je suis longuement enculée. Il éjacule longuement dans ma bouche.

- Kamal avait raison, tu as un puits bien ouvert, chienne soumise.

Je revêts une tenue plus sexy : un corset seins nus sous un corsage transparent, dénudant entièrement les seins, avec des manches mi-longues, dévoilant le galbe du sein, une jupe longue jusqu’à mi-cuisse à l’arrière et assez courte devant pour dévoiler ma chatte lisse et mon pubis velu, je suis chaussée de mules à hauts talons avec plate-forme. Je garde ma queue-de-cheval. Je porte un gros bijou d’anus : cinq centimètres de diamètre et douze de long pour poids : 899 gr. J’ai l’anus bien rempli et bien lourd.

Je monte à bord de l’Ecureuil, assise cul nu. Nous rejoignons l’aérodrome à proximité. Je signe mon contrat en trois exemplaires.

Là, je monte à bord d’un Falcon 900, qui nous conduit au Maghreb, où je rejoins d’autres soumises. Nous sommes attachées nues, dans la soute d’un B747, les mains menottées dans le dos, une chaîne nous relie à chacune par nos colliers, une barre d’écartement nous empêche de nous masturber, nous portons des bâillons-pénis et des masques de nuit. Nous sommes ainsi aveugles et muettes, prêtes à être fouettées si nous faisons une faute.

L’avion rejoint la capitale du Tamarzastan, en six heures de vol.

A l’aéroport, je suis libérée de mes chaînes, on me fait monter dans une limousine, toujours nue, aveugle, bâillonnée, les mains menottées dans mon dos, déchaussée. Il faut chaud. Je suis en sueur.

Sur la banquette arrière, je me retrouve rapidement, l’anus libre, étendue sur la banquette, sur le dos, les genoux sur les épaules. Un inconnu avec un gros mandrin m’encule sauvagement. Je jouis sous le bâillon.

Il éjacule en moi.

Il me retire le bâillon et s’enfonce jusqu'à la gorge qu’il heurte le fond de mon palais me fait jaillir de nouvelles larmes.

- Tu es facile, ton œillet est bien élargi, chienne soumise.

La limousine marque une halte.

Je suis enculée sauvagement par trois inconnus à tour de rôle, qui éjaculent dans ma bouche.

Mon anus a du mal à se refermer sur mon bijou d’anus.

Enfin, nous franchissons le portail d’un palais oriental. Je descends pieds nus, tenue en laisse par mon collier. Le sable est brûlant.

- Emeraude du Vice, elle rejoint le harem des appartements privés du Prince Farouk, pour sa première journée. Elle sera lavée, parfumée et saillie par Eclair du Haras des Vices.

Après un long dédale dans un grand bâtiment au centre de la forteresse, toujours nue, pieds nus, ayant recouvrée la vue, tenue en laisse par mon collier, les mains jointes dans mon dos, je suis abandonnée au rez-de-chaussée devant une porte.

La porte s’ouvre et je découvre une pièce circulaire. Une porte unique que je viens de franchir constitue son seul passage. La pièce est luxueuse, éclairée par ouvertures dans le plafond et des persiennes sur les murs.

La porte est verrouillée.

Au milieu de la pièce, se trouve un grand bassin, où se baignent de jeunes soumises intégralement épilées, portant des anneaux aux grandes lèvres, à leurs gros clitoris et aux mamelons tendus, tatouées et marquées au fer rouge. Elles me parlent dans un mélange d’arabe et de dialectes asiatiques.

Trois s’approchent de moi, libèrent mes mains, caressent mon corps, me retirent mon bijou d’anus, pour me doigter longuement l’anus jusqu’à quatre doigts. Je suis bien ouverte et je jouis sous leurs doigts.

J’entre dans le bassin, embrassée sur ma bouche, mes mamelons, ma chatte et mon clitoris, par des expertes.

Je suis longuement lavée, ainsi que ma chatte et mon anus.

Elles introduisent une main entière dans ma chatte, pour me nettoyer et mon anus subit le même sort. Je dois être propre, sans aucune trace de spermes.

A la sortie du bassin, je suis massée de toutes parts. Je m’endors.

Les soumises se relaient pour m’enculer au moyen de divers godes de différents calibres, certains sont inspirés de sexes canins.

J’apprends en détail les us et coutumes qu'elle devait savoir adopter dans ce monde.

Je fais mes besoins dans le jardin, accroupie, cuisses écartées, surveillée par une des soumises.

Je dors sur un petit matelas souple posée à même le sol en compagnie de mes partenaires de harem, autour du bassin central qui fait à peine un mètre de profondeur. Dans ce bassin, nous y faisons toute nos toilettes. Je suis constamment nue, avec souvent un bijou d’anus.

Parfumée, maquillée, la chatte épilée et l’anus épilé, le Prince Farouk aime les pubis velus, qui est peigné à la brosse, la chatte et l’anus propres, mes anneaux sont mis en valeur et brillent, je porte de lourdes boucles d'oreille ornée d'améthyste, bracelets sertis de rubis ou saphir et divers anneaux sont passés aux doigts et aux orteils. Je dois enfiler une jupe entièrement transparente, dévoilant mon pubis velu, et un soutien-gorge quart de seins assorti, dénudant mes seins et mes mamelons tendus aux aréoles marrons. Je suis l’objet sexuel de Farouk.

Mais avant, en sortant du harem, tenue en laisse par mon collier, pieds nus, je rejoins une pièce attenante au harem.

Là, je découvre un superbe étalon, le fameux pur-sang arabe, Eclair du Haras des Vices, auquel je suis destinée.

Je retire ma jupe et accroupie, cuisses écartées, je caresse les couilles de l'étalon et la base de son sexe, pour qu’il bande. Je me déforme la bouche pour avaler l'énorme gland. Le cheval est rapidement au mieux de sa forme avec plus de quarante centimètres de corps caverneux raide comme un bâton.

- Ouh ! aie ! stop !

Je suis installée sur un chevalet, me rappelant celui du Domaine du Bois des Sévices du Marquis. Je suis menottée.

Son sexe de cinquante centimètre m’encule. Je hurle, l’anus écartelé. Ma bouche est vite remplie par des mandrins des amis de Farouk, que je dois sucer et avaler. Le cheval m’encule sur près de la moitié de sa longueur. Il contracte de façon saccadée son arrière train.

La saillie dure une éternité jusqu’à l’éjaculation. J’atteins l’orgasme anal. Puis il éjacule dans mon anus, je suis anéantie. Quand l'animal retire son vit, ce dernier continue de laisser échapper du liquide séminal.

Je dois nettoyer aussi Eclair, tandis que les amis m’enculent, l’anus complètement distendu et boursouflé. Mon anus est grand ouvert et suinte.

- C’est une excellente jouisseuse anale, Farouk, dit un des amis, un Européen.

- Elle est française, déflorée des deux côtés par mon fidèle, Brice, qui me fournit ses plus belles soumises, annonce Farouk. Elle sera constamment enculée pendant son séjour. Elle va pouvoir se restaurer.

Nue, je rejoins le bout d’une grande table, avec mon bijou d’anus pour conserver le sperme.

Farouk me masturbe la chatte et me pelote longuement les seins, pendant que je fais le service.

Excitée, les mamelons et le clitoris tendus, j’attire les regards.

Ma chatte rosie, les lèvres de ma chatte béante et trempée, sont exposées.

Je rejoins la chambre, bien éclairée, avec de multiples glaces et miroirs sur les murs et au plafond.

Deux soumises nues sont là pour m’observer.

Je me prosterne, cuisses écartées, selon les désirs de Farouk.

Farouk me rejoint :

- Alors, Emeraude du Vice, tu m’as plu lors de ta première saillie anale équine. Tu es une sacrée jouisseuse.

Je n’ose répondre.

Farouk me présente son gros mandrin de sept centimètres de diamètre et vingt de long, pour ses soixante ans.

Il me lèche longuement ma chatte trempée et mon clitoris tendu.

Il m’encule sauvagement jusqu’aux testicules qu’il fait claquer sur mes fesses brûlantes. J’ai un nouvel orgasme anal.

Il éjacule en moi.

Il me cravache les fesses tandis que je garde la pose.

Une des soumises le suce et j’ai droit aussi de le sucer.

Il s’allonge sur le dos. Une des soumise guide son mandrin dans mon anus encore un peu béant. Je dois m’empaler sur lui, de face, les cuisses très écartées de part et d’autre du bassin, jusqu’aux testicules. Je m’accroche à ses épaules, lors de ses va-et-vient, me balance d’avant en arrière doucement puis il éjacule en moi. J’ai encore un orgasme anal.

- Très bien, empalée, tu me fais éjaculer rapidement, la belle.

Me libérant de son mandrin, je dois pivoter, m’empaler, dos à lui, le masser pour qu’il rebande dans mon anus bien lubrifié. J’ai les cuisses largement ouvertes sur celles de Farouk. Il me pelote les fesses, la chatte, le clitoris et les seins aux mamelons tendus. Je suis empalée jusqu’aux testicules. Je sens son mandrin bien dur, bandant, qui m’écartèle l’anus jusqu’à l’orgasme.

Il éjacule une troisième fois.

Je me retire, le suce et le nettoie.

- Tu es endurante, Emeraude du Vice.

Après une courte pause à le sucer, Farouk s’allonge sur le dos. Je m’empale sur son mandrin, enculée jusqu’aux testicules. Je passe la jambe à l’extérieur du lit, pour une sodomie plus profonde. Il m’immobilise en plaquant fortement une main sur une de mes cuisses, pour mieux m’enculer. Un orgasme m’irradie.

Il éjacule encore.

Mon anus est alourdi par les litres de sperme.

Dans un torride face-à-face, tous les deux allongés, sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, enculée jusqu’aux testicules, je m’abandonne. Je coulisse sur son mandrin pour une ultime éjaculation.

Gardant la pose, enculée, je dois subir la saillie de ma chatte par le dalmatien Conan, long de douze centimètres et trois de diamètre.

Baisée jusqu’au nœud, je connais un double plaisir, Conan éjacule en moi.

Très bien, tu aimes les doubles pénétrations.

Farouk me remet mon bijou d’anus et une des femmes me ramène au harem. J’ai mal aux hanches à cause des fabuleux orgasmes que j’ai eu avec Conan.

A l'intérieur du harem, je suis lavée, ma chatte et mon anus sont nettoyés.

Chaque soir, je suis baisée par Conan et enculée par Farouk.

Les saillies de Conan me rendent entièrement dépendante de lui, tout comme avec Eclair, pour mes saillies anales équines.

Une fois, je suis prise en double pénétration, enculée par Eclair et baisée par Conan, allongée sur Conan. Je subis de longues éjaculations par mes deux amants.



Je garde mes hanches si étroites, le ventre plat, mes fesses rebondies et musclées.



10 juin

Cela fait trois mois que je suis au harem. Mes grandes lèvres portent deux plus gros anneaux dorés que les premiers anneaux que j’ai porté, à chacune, soit quatre anneaux et mon clitoris reçoit un anneau plus gros doré alourdi en son centre par une pierre précieuse pour l’étirer. Mes grandes lèvres sont bien étirées maintenant. Farouk me les cadenasse lorsqu’il me présente à ses amis. Je suis rarement enculée par ses amis. Mon anus reste partiellement béant, suite aux multiples saillies anales équines que j’ai subi. Farouk a trouvé de nouveaux amants équins pour me satisfaire dans les écuries des champs de course du Prince. Lorsque mon amant équin gagne une course, je dois passer une demi-journée à me faire saillir par ses soins.

Aujourd’hui, je dois éduquer de nouvelles soumises européennes, fraîchement dressées, enculées (souvent déflorées par Farouk). Je maîtrise le fouet, sur les ordres des anciennes. Bien sûr, je porte aussi des marques sur mes seins, mes fesses, mon dos et mes cuisses. J’éprouve de la fierté.

Je reste l’esclave sexuelle du Prince. Il m’encule moins souvent dans la semaine.

Je dois assister à la défloration anale d’une jeune beauté, Orchidée, c’est une brune aux yeux verts. Elle fait 1,68 m pour des mensurations de rêve 84C-64-89, elle est tatouée sur le haut de ma cuisse droite et au poignet gauche, son nombril est percé. Ses seins sont naturels. Son corps est mince, sa chatte est épilée, je ne garde qu’un ticket pubien. Elle porte déjà les petits anneaux à sa chatte, selon les règles en vigueur.

Je doigte l’anus d’Orchidée, qui se rebelle. Farouk la cravache.

L’anus bien lubrifié par sa mouille, j’enfonce le mandrin de Farouk, que j’ai sucé.

Orchidée gémit, se contracte, obligeant Farouk à la cravache, je dois lécher le clitoris tendu d’Orchidée et la première sodomie est réalisée. Farouk m’équipe d’un gode-ceinture avec le sexe canin d’un berger allemand pour l’enculer.

Je l’encule comme une chienne. Elle se rebelle, je la fesse et la cravache.



Après quelques semaines de saillies anales canines puis équines pour Orchidée, Farouk n’a aucun mal à l’enculer. Orchidée me lèche l’anus en même temps, prête à me faire monter par le nouveau amant canin, un dogue allemand, doté d’un mandrin long de vingt centimètres et six de diamètre en érection, prénommé Hadès.

- C'est un des canidés les mieux pourvus. Tu vas apprécier de le prendre dans ton puits !

A quatre pattes, Hadès me monte d’une seule traite et m’encule directement.

- Quel sauvage !

Le dogue s'agite maintenant frénétiquement dans mon anus, je gémis, mais le plaisir anal l’emporte.

- Il t’encule profondément et longtemps. Il vient d'entrer son nœud, il te déchire l'anus. Il te dilate bien, c'est géant. C'est trop bon…

Le nœud gonfle et m’écartèle davantage l’anus. La saillie dure trois quart d’heure avec l’éjaculation. Mon anus est rougi complètement ouvert et dégoulinant de sperme.

- Ton anus est bien ouvert comme pour tes saillies anales équines.

Je passe de longues heures à me faire enculer par les amis jusqu’à l’aube.



Farouk me fait subir des dizaines de sodomies et double anale par des inconnus, dans divers bâtiments du palais pendant deux mois.



16 juillet

Vers 8 heures, je quitte nue le harem, en mules, tenue en laisse par mes anneaux de la chatte, qui est cadenassée par deux gros cadenas. L’homme qui m’escorte, me conduit dans la grande salle.

Brice, Duc Val et mon père Xavier et un de mes frères, Sylvain sont présents, nus, sucés par les autres filles du Harem.

- Voici, Emeraude du Vice, ancienne Miss Shawn, à la bouche très bien dressée, doublement ouverte, adepte des saillies anales canines et équines, d’où son ouverture anale qui la font très demandée. Elle ne reçoit que du sperme canin et équin dans sa chatte. Elle est masturbée par les autres filles du Harem, c’est une excellente lesbienne, future bisexuelle. Elle porte les anneaux de soumise, pour étirer les lèvres de sa chatte, dit Farouk.

Les quatre hommes me toisent, me caressent le corps, me font divers compliments, me susurrent des paroles vicieuses, qui m’excitent. Je dois rester les mains menottées dans le dos.

Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, silencieuse.

Chacun me doigte l’anus assoupli et me fait lécher ses doigts.

Je suce chacun, accroupie, cuisses écartées.

Lorsque je suce Brice, Sylvain m’encule sauvagement, faisant claquer ses testicules contre mes fesses brûlantes par les claques magistrales. Jamais, je n’ai remarqué la grosseur du mandrin de Sylvain. Habituée par de gros mandrins, je m’ouvre facilement.

- Un danois l’encule facilement, elle est très facile d’accès, susurre Farouk à Sylvain.

Je me retrouve empalée sur le mandrin de Sylvain, Brice éjacule dans ma bouche, j’avale jusqu’à la dernière goutte. Un orgasme anal me terrasse, combiné à la longue éjaculation de Sylvain dans mon anus en feu.

Je dois sucer Duc Val et me faire enculer par Xavier.

- Quel puits, ma fille, tu possèdes. Il est bien assoupli.

Les chiens et les chevaux l’honorent régulièrement. C’est une vraie chienne soumise à ses amants, une jument exceptionnelle.

En une demi-heure cependant, tout es terminé pour moi. Je suis en nage, du sperme dégouline de partout sur mon corps.

Après un bain rapide, au harem, je reviens nue.

Emeraude du Désir va rejoindre l’Extrême-Orient à bord de mon B777, pour parfaire son dressage. J’ai de nouvelles soumises dressées par ses soins.

Sans attendre, je rejoins l’aéroport, dans la limousine, nue sur la banquette, aveugle, avec mon bâillon-pénis et un gros bijou d’anus, moulé sur le devant du sexe du dogue allemand, me rappelant combien j’aime être remplie.

Nous sommes attachées nues, dans la soute d’un B747, les mains menottées dans le dos, une chaîne nous relie à chacune par nos colliers, une barre d’écartement nous empêche de nous masturber, nous portons des bâillons-pénis et des masques de nuit. Nous sommes ainsi aveugles et muettes, prêtes à être fouettées si nous faisons une faute.

Nous débarquons sur un aéroport privé, à la frontière entre la Chine et le Vietnam.

Nous sommes séparées et vendues suspendues, les bras en l’air, sur la pointe des pieds, cuisses écartées, ayant retrouvé la vue, la bouche libre.

- Voici Emeraude du Vice, beauté européenne, à la bouche bien dressée, propriété de Tan Sen et Samo, dressée par le Prince Farouk, l’enchère est à 25.000.

Le vendeur m’écarte bien les fesses, pour montrer mon anus encore béant par le bijou d’anus. Des caméras filment en gros plan, mes fesses, mon anus, ma chatte cadenassée, mes seins, ma bouche.

Les enchères grimpent.

En une heure, les enchères sont à 125.000. Mais cela n’est pas encore assez.

Je suis contrainte d’être enculée par un dogue allemand, devant les acheteurs, pour plus de réalisme. Les ondulations de mon bassin trahissent mes orgasmes anaux, qui durent une bonne demi-heure jusqu’à l’éjaculation. Je dois nettoyer le sexe du dogue allemand.

Le compteur monte à 250.000.

Pantelante, je suis à nouveau menottée.

Un appel téléphonique annonce : 525.000 pour Emeraude du Vice.

Les bougies s’éteignent. Les enchères s’arrêtent à 800.000 par de nombreux appels téléphoniques.

Je dois rejoindre le Vietnam à bord d’un cargo. Je passe la traversée dans une cage, avec impossibilité de m’asseoir, me tenir debout, je dois rester accroupie, cuisses écartées, menottée aux barreaux au-dessus de ma tête.

Les hommes me violent dans la cage, je suis nourrie de leurs spermes, de divers légumes phalliques, enfoncés dans mon anus lubrifié.

Je passe trois jours en mer, avant ma destination.



20 juillet

A l’aube, le cargo accoste dans une baie protégée.

On transfère ma cage, avec une couverture dessus, pour éviter de reconnaître les lieux.

On ouvre la cage dans un grand bâtiment. C’est un bordel réputé.

J’ai droit à une douche sommaire, un lavement.

On enduit mon corps d’une poudre dorée, qui cache un stimulant sexuel. Ce qui déclenche une excitation, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.

Je porte des pinces à seins, à mes mamelons tendus et à mes grandes lèvres, munies de lourdes clochettes qui tintent et se balancent entre mes jambes, étirant simultanément mes mamelons et mes grandes lèvres.

Sans ménagement, je suis conduite dans une grande cage, où je dois danser, retenue par une chaîne venant du plafond de la cage, fixée à mon collier. Mes carcans sont remplacés par ceux en fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils étaient hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Je dois les garder jour et nuit, même pour me baigner. J’en porte à mon cou, mes bracelets et à mes chevilles. On farde ma bouche, mes paupières et mes mamelons en rouge, ainsi que les petites lèvres de ma chatte.

Je dois danser des heures, nue, en mules. Je porte aussi une chaîne, pareille à celles avec lesquelles on attache les chiens d’un mètre et demi de long, et se termine par un mousqueton, fixé au plafond de la cage. La chaîne entoure ma taille. Je suis intégralement épilée, ma toison pubienne a disparu.

Il y a des dizaines d’invités fortunés, masqués, nus, qui s’occupent des filles.

Je suis enculée à de nombreuses reprises par les inconnus. On aime mon anus assoupli. Je reçois des billets à mes pieds. Certains se masturbent et éjaculent sur mon corps, certains me font sucer leurs mandrins, tandis que d’autres se relaient pour m’enculer sauvagement, me fessant.

Puis un client me gagne aux enchères. Je suis soigneusement nettoyée du sperme.

Nue, tenue en laisse par ma chaîne, par un vigile, je rejoins dans ma chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs, cachant des caméras et des appareils photographiques à déclenchement automatique, qui diffusent en direct, sur des réseaux confidentiels, mes ébats sexuels.

Il y a un grand lit en rond, une coiffeuse avec un gros vibromasseur anal sur le tabouret, une douche et des toilettes.

Chaque client m’encule sauvagement, après de longues caresses, masturbations de ma chatte et mon anus, que je l’ai sucé, dans de torrides 69. Il fait souvent venir un doberman spécialement dressé, Hannibal, pour qu’il m’encule, pour que le client me baise, lors de plusieurs doubles pénétrations jouissives, décuplant mes nombreux orgasmes, suivis d’éjaculations.

La secrétaire de DMV que je suis, devient en trois mois d’esclavage au Vietnam, une vraie esclave sexuelle prête à tous les désirs.



Fin septembre

Duc Val me rejoint dans le bordel.

Je me réveille, d’une courte nuit de sodomies et de doubles pénétrations par de riches clients.

Je suis allongée nue, sur mon lit, cuisses écartées, l’anus béant, dégoulinant de spermes canins et humains, la chatte entrouverte, débordant de spermes canins et humains.

- Alors, Miss Shawn, alias Emeraude du Vice, tu es devenue une superbe esclave sexuelle. Tu as été marquée hier soir au fer rouge, sur tes fesses, des lettres EV sur ta fesse gauche, pour Emeraude du Vice et SD pour Sir Nathan et Duc Val, tes propriétaires officiels. Une plaque fixée à un de tes anneaux porte la cravache et le fouet entrecroisés et Miss Shawn, Comte X. Ainsi, tu es officiellement ferrée, marquée, avec ta bouche bien dressée, doublement ouverte. Je te ramène par le jet privé. Ton dressage et ton instruction en Extrême-Orient s’achèvent. Tu redeviens la secrétaire de direction du Comte X. Tu as compris ce que l’on attends de toi.



6 octobre

Je me présente à la tour DMV. J’ai quitté ma chambre de Désir Valeur Morale pour une villa, conduite tous les jours, par mon chauffeur, Hermine. En effet, Hermine me baise tous les jours depuis mon retour, la chatte libre de mon cadenas, que j’ai remis à Duc Val. Hermine doit me faire assurer une descendance.

Nue sous mon nouveau tailleur fuchsia, sans chemisier, ni porte-jarretelles ni bas, juste en mules à très hauts talons, fardée, parfumée, je retrouve Aimée et une nouvelle, disons plutôt un homme travesti en femme soubrette.

- Tiens, Miss Shawn, tu es rayonnante. On n’a pas trouvé de remplaçante à la hauteur. Mais cette soubrette, Lopette Yannis, est à la hauteur, avec sa cage de chasteté et sa boule anale.

C’est le fameux Yannis qui m’a violé avec Donatien, au Domaine du Bois des Sévices du Marquis.

Il garde les yeux baissés, la bouche entrouverte.

- Tu me lécheras le clitoris, Lopette, quand j’en éprouverais le besoin.

Je baisse ma jupe, dévoilant mes anneaux, ma plaque et mes fesses marquées au fer rouge.

- Miss Shawn, tu es…

- Silence, Lopette, qui t’a autorisé à parler. Mène-moi au bureau du Comte X.

Il m’escorte jusqu’au septième. Il frappe et ouvre la porte.

Je découvre Xavier, enculant Sylvain.

- Ma chérie, Sylvain est ta seconde lopette. Sache que tu seras enculée par moi, plusieurs fois par jour. Je t’ai choisi un danois pour te faire saillir.

- Merci, je suis devenue la pute familiale, soumise, père.

- Non, ma chérie, tu as le rang de Maîtresse, Lady Shawn Miss des Baisers du Désir. Viens me sucer, Sylvain m’a fait jouir.





Bons baisers de Shawn, votre esclave dévouée, j’ai hâte de vous rencontrer.

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