Je m’appelle Shawn.
J’ai 20 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et
latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur
perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune
couvre mon pubis. Ma chatte est velue et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de
mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse. Mes hanches s'incurvent et
délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches
sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins
parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs
pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron
attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul
grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds
flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement
athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument,
ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres
pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de
poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
SECRETAIRE LE JOUR ET PUTE LA NUIT
10 février
C’est mon
premier jour, chez mon nouvel employeur, une société de prestations de service
pour de riches patrons. Je suis vêtue de mon tailleur fuchsia sur mon chemisier
blanc, cachant mon soutien-gorge en dentelle transparente, dévoilant mes jolis
seins nus, une jupe droite cache mon string et mon porte-jarretelles assortis à
mes bas blancs, chaussée d’escarpins blancs à hauts talons, coiffée d’un
chignon.
A
l’accueil, je suis reçue par Alban, le directeur des ressources humaines.
- Miss Shawn,
la nouvelle secrétaire du groupe Damien Marketing Victoire, je vous attendais.
Tu es encore plus belle que sur les photos.
- Monsieur
Alban, j’ai une expérience dans le secrétariat.
Nous
prenons l’ascenseur pour rejoindre le huitième étage de la tour d’affaires.
L’homme me
toise, mes mains et enfin mes lèvres mais si tranquillement, et avec une
attention si précise et si sûre que je me sens pesée et jaugée, il regarde mes
mains aux ongles vernis en rouge.
- Ta
bouche doit être plus rouge, tes paupières doivent être légèrement ombrées.
C’est le code maquillage de la maison.
Puis les
mains d’Alban entrouvrent ma veste et déboutonnent en partie mon chemisier. Je
suis adossée. Je baisse les yeux.
-
Soutien-gorge en dentelle, petits seins, tes mamelons se tendent. Tu es
excitée.
Je n’ose
répondre.
Il me
force à écarter mes cuisses et je sens sa main sous ma jupe.
- Bas
Nylon, porte-jarretelles et string, le patron va adoré. Tu es facile. Tu as
envie de tous les hommes qui te désirent. As-tu des amants ?
Je n’ose
répondre.
- Toi, une
jolie beauté, qui n’a pas d’amants.
Arrivée au
huitième étage, je découvre Aimée, une jolie brune aux seins plantureux, nus,
sous un corsage transparent, la secrétaire particulière de Brice.
- Aimée,
conduit Miss Shawn, à Brice et au Duc Val. Elle est chaude.
Dans le
bureau, donnant sur une baie vitrée, je découvre les deux hommes qui
s’entretiennent debout.
- Voici,
la nouvelle recrue, Miss Shawn, fille de notre associé et avocat, Xavier, très
belle, approche. Tu baisses désormais en présence d’hommes, annonce Brice.
Brice, le
directeur général, me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout
aussi. Brice retire ma veste qu’il jette à terre, déboutonne mon chemisier.
- Regarde,
la belle, elle porte des dessous en dentelle transparente, dit le Duc.
- Elle
aime l’élégance.
Le Duc, le
directeur des opérations financières, glisse ma jupe que je dois ôter.
- Elle est
encore plus belle.
Aimée
entre.
-
Approche, Aimée, déshabille-la.
En
quelques instants, je suis nue, pieds nus, déchaussée.
- As-tu
déjà reçu la fessée ou le martinet ?
- Oui,
Messieurs, quand j'étais au collège.
Je cache
mes seins et mon pubis.
- Tu es
prude, encore vierge, certainement de la chatte et de l’œillet. Tu n’as jamais
sucé un homme.
Sans
attendre, accroupie, cuisses écartées, les deux hommes me font sucer leurs
queues qui gonflent et me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la
langue et m’arrachant une nausée.
- Très
bien, nos queues sont dures pour te fouiller, annonce Brice.
Une fois
debout, Brice me caresse de sa main droite un sein, et l'autre me tient
l'épaule.
Le Duc
enfonce son gros mandrin dans ma chatte et me déflore. Je gémis un peu.
Brice
m’écarte bien les fesses et m’encule.
Brice
glisse son bras droit autour de ma taille, ce qui lui donnait plus de prise. Le
Duc me lèche le clitoris pour apaiser la douleur anale.
Brice
positionne son nœud sur la collerette gonflée après y avoir déposé un peu de sa
chaude salive.
- Pousse
comme pour chier et ça va passer.
Joignant le
geste à la parole, je me mets à dilater mon sphincter. Le passage commence à
s’entrouvrir un peu. Mon muscle anal s’ouvre de plus en plus sous la poussée du
membre bandé. Peu à peu, la tige de chair s’introduit dans mon fondement et le
gland rougi vient trouver sa place bien au chaud. Je suis soulagée quand
l’intégralité du nœud se trouve enfin dans mon anus. Il entame alors un lent
mouvement coulissant. Je me sens bien remplie et je ressens l’impression
bizarre de devoir chier. Pourtant, je sais bien que je me suis vidée
complètement avant cette initiation anale. Je mets ça sur le compte de la
pression infligée à mon trou de balle et me laisse aller à mon plaisir. Le
léchage clitoridien continue. Brice me bourre de plus en plus fort, le Duc
caresse mes seins aux mamelons tendus, qu’il tire. Son mandrin coulisse
toujours plus fort dans mon anus. Je me surprends à faire aller et venir mon
fessier d’avant en arrière pour accompagner le mouvement régulier du mandrin
qui me tringle à fond. Les mains de Brice d’un soir quittent mes seins pour se
saisir sans douceur de mes hanches. D’un geste quasi animal, il m’aide à
gigoter sur le pieu de chair qui me fend en deux. J’entends les ahanements de
plus en plus bruyants de l’homme derrière moi. Ses soupirs se joignent à mes
râles de femme en rut et la pièce entière résonne de notre plaisir partagé. Il
baratte mon anus dans tous les sens. Brice m’imprime de temps à autres un
mouvement circulaire qui m’ouvre le trou entièrement. Je me sens dilatée comme
jamais auparavant.
- Ejaculez
dans mon puits. Je suis ton sac à foutre, ton vide-burnes ! Inonde-moi
maintenant !
- Elle
aime ça.
Le Duc ne
se fait pas prier. Allongée sur le dos, la bouche de Brice sur ma bouche ; ses
deux mains me plaquent les épaules sur le bureau, les jambes relevées, les
mollets posées sur les épaules du Duc, je suis enculée.
Je connais
un nouvel orgasme anal.
Il éjacule
à son tour. Je suis pantelante, mais je les nettoie.
On me
présente mon contrat. Je signe.
- Très
bien, Miss Shawn est doublement ouverte à ce jour. Finis les dessous, ma belle.
Tu es à la disposition du personnel du troisième étage, section archives. Voici
une enveloppe avec les règles que tu dois apprendre par cœur. Le personnel loge
à l’immeuble Désir Valeur Morale, à quelques mètres d’ici. Ta garde-robe
t’attends. Fais-toi une toilette. Tes dessous seront remis à Aimée.
Nue, je
rejoins une grande salle de bains avec douche transparente. Je me douche, me
sèche. Je dois pisser pour des examens médicaux, subir des examens
gynécologiques, nue, avec spéculum et écarteur anal devant Brice et le Duc,
divers examens médicaux à l’étage dédié. Les sodomies se succèdent.
Je dois
m’habituer à porter un bijou d’anus pour conserver le sperme de mes amants.
Il est
réaliste, avec la forme d’un pénis avec des veines et un gland prononcé et en
relief, long de onze centimètres et trois de diamètre. Je garde ainsi l’anus
dilaté, mon anus est prêt à la sodomie, la rendre plus facile et moins
douloureuse aussi. Cet objet froid me fait tout drôle.
Nue, en
mules à très hauts talons, fardée, parfumée, je rejoins mon service.
Je lis des
dizaines d’écrits SM, qui m’excite. Je n’ose me masturber.
Au coucher
du soleil, je prends un couloir souterrain accessible au troisième sous-sol
mène à l’immeuble Désir Valeur Morale, escortée par un majordome africain. Je
porte mes carcans de cuir aux poignets et à mon cou. Ils sont faits en
plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus
d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement
comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite
clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu
des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de
métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du
poignet. Pour le collier, l'anneau pendait devant le cou, reposant sur la
saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celle qui le
porte.
A
l’accueil, Chloé me conduit à ma chambre 125, au premier étage. La chambre
comprend un lit, une petite salle de bains sans douche.
Je dois
porter un corset seins nus avec une ceinture de chasteté avec accès unique
anal. La chatte n’est plus accessible à la pénétration par un pénis : une fente
de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) permet à
la femme d’uriner, le clitoris et les petites lèvres sont étirés à travers la
fente étroite. La ceinture comporte un orifice anal pour que la femme soumise
puisse aller aux toilettes. Il est également possible d’utiliser l’orifice anal
pour insérer des boules de geisha ou des bijoux d’anus dans l’anus de la femme,
ou encore pour la sodomiser avec un gode ou un mandrin. La ceinture est
réalisée en inox brossé très esthétique, très solide et simultanément très
souple. Les bords de la ceinture sont recouverts d’un rembourrage en caoutchouc
moelleux pour assurer un confort de port à la femme soumise : la ceinture peut
ainsi être conservée pendant la journée sous une jupe ou une robe ! La ceinture
ajustable est verrouillée par un cadenas livré avec des clés. Cela entretien
mon angoisse de ne plus avoir des relations sexuelles qu'avec son maître qui
possède la clé du cadenas de la ceinture de chasteté et qui décide, seul, quand
il enlèvera la ceinture de chasteté de sa soumise. J’ai un sentiment de honte
et de fierté à porter en permanence cette ceinture de chasteté. Je me sens
ainsi possédée, en permanence. Je suis fière de l'attention que lui porte son
homme et du fait qu'il veuille qu'elle soit pour lui seul. Je suis à la fois
dépendante et humiliée. Je suis reconnaissante à son homme qui la veut pour lui
uniquement, le fait d'appartenir à un homme me rend heureuse, je suis le
trésor, la favorite de son seigneur et maître. Mais cependant, j’éprouve une
certaine honte à être ainsi cadenassée, j’ai peur que quelqu'un le découvre.
La douche
se trouve dans la chambre 6996, en vis-à-vis, reliée par un pont au-dessus d’un
jardin. La chambre 6996 sert pour mes relations sexuelles.
Des inconnus
m’enculent. Je garde ma ceinture de chasteté.
Le chef
des vigiles, Hercules, un imposant étalon musclé africain, me fait saillir par
son berger allemand, Adam, pour m’élargir. Je m’offre à quatre pattes, offrant
mes fesses, à mon amant. Je gémis puis je jouis au bout d’une demi-heure. Son
sexe long de dix-sept centimètres et cinq de diamètre me comble.
Je sens le
gland du chien ouvrir les parois de mon anus. Il m’encule avec tout son pénis,
même le noeud. Il me monte avec un va-et-vient. Je crie de douleur. Mais plus
Adam va de l'arrière vers l'avant rapidement, mieux son rectum supporte cette
sodomie. Il éjacule en moi. Je sens le noeud d’Adam grossir dans mon anus. Je
serre les dents pour supporter la douleur. Je sens le noeud arrêter de grossir.
À chaque fois qu’Adam bouge, j’ai un orgasme. J’ai ainsi quatre orgasmes puis
elle sentit le noeud rétrécir. Un bruit de succion accompagna la sortie de la
bitte d’Adam de mon anus. Un flot de sperme sort cette fois de mon anus.
L’anus
rougi et dilaté, je suis enculée par Hercules, avec son gros mandrin. Hercules
me saisit par la taille, pour faire coulisser sur son mandrin, jusqu’aux
testicules. Il s’agrippe de plus en plus fortement à mes hanches douloureuses.
-
Empale-toi sur ma queue, ma belle. Adam a commencé à t’élargir.
J’obéis,
recevant quelques claques magistrales sur mes fesses brûlantes.
Il me
cravache les fesses et les cuisses.
- Cela est
fait pour te dresser, ma belle.
Je gémis
un peu et je mouille de désir.
A peine
remise par une courte douche, fardée, parfumée, je retrouve Brice à son bureau,
dans ma tenue, avec des mules à talons de douze centimètres contre dix pour les
premières mules. Le bijou d’anus est plus gros et plus lourd, vingt-deux
centimètres de long et cinq de diamètre.
Vêtue d’un
manteau, les mains menottées dans le dos, Brice me conduit à un palace, dans sa
limousine, conduite par Hercules.
Dans une
grande pièce de restaurant, vêtue de mon corset et de ma ceinture de chasteté,
en mules, je dois les sucer sous la table, avalant en totalité, sans perdre une
goutte, sur ordre de Brice. Je les nettoie aussi.
Nourrie de
spermes, Brice me fait partager le dessert. Je dois rester agenouillée, cuisses
écartées, à ses côtés.
Les vingt
inconnus vont venir dans ma chambre 6996, pour satisfaire leurs désirs.
Avant
l’aube, je rejoins ma chambre, pantelante, par les multiples sodomies subies
qui m’ont rempli l’anus de spermes chauds.
Après ma
douche, nue, pieds nus, déchaussée, démaquillée, un bon lavement anal, je
rejoins ma chambre.
Hercules
me saisit les mains, et il fait glisser l'un dans l'autre les anneaux des
bracelets, puis ces deux-là dans celui du collier. Je me trouve les mains
jointes à la hauteur du cou. Le valet accroche l'anneau de la chaîne qui se
trouve sur l'oreiller à celui du collier, et je m’allonge, cuisses écartées. La
chaîne cliquète dans l'anneau, se tend. Je garde ma ceinture de chasteté,
l’anus libre de mon bijou d’anus.
- Tu seras
bien ainsi. On viendra t’enculer d’ici le lever du soleil.
Cuisses
écartées, je sens les coups de cravache sur l’intérieur de mes cuisses. Je
gémis un peu.
Dans la
pénombre, je suis enculée par des inconnus, qui m’ouvrent complètement les
cuisses, les reins soulevés. Il me tient par les chevilles. Je sens ses
testicules contre mes fesses brûlantes. Je mouille de désir, mon clitoris et
mes mamelons sont tendus à l’extrême. Je connais l’orgasme anal sans me
caresser.
Ils
éjaculent tous dans ma bouche.
Adam
m’encule aussi. Je suis prosternée pour mieux m’offrir à lui.
11 février
Au lever du
soleil, un valet vient me voir.
Il me
libère de la chaîne et me fait me mettre debout à côté du lit.
Il me
retire ma ceinture de chasteté.
Il pose un
coffret en bois qui contient, sur un lit de velours brun, dans un compartiment
un assortiment de chaînette et de ceintures, et dans l'autre un choix de godes
faits à l'imitation d'un sexe dressé, qui vont des plus minces aux plus
épaisses.
Il en
choisit un de trente-cinq centimètres et sept de diamètre, au gland proéminent,
aux veines saillantes, en érection, qu’il enfonce jusqu’aux testicules moulés.
Il a attaché, à trois petits trous percés dans la base, trois chaînettes qu'il
laisse pendantes.
Je ne peux
l’expulser. Il attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y
accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le
triangle pubien. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement
intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à
l'anneau de chair qu’il doit forcer et distendre, et il les attache avec de
petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être
tenté de me soulager de cette contrainte.
Je sens le
gland qui monte et descend à l’intérieur de mon anus. Le gland va encore plus
vite de haut en bas dans mon anus. Je connais des vibrations par à-coups et des
vibrations dont l’intensité augmente progressivement. Le gode s’allonge à
chaque mouvement et s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient
grâce à son enveloppe qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et
descentes du gode. Ce gode à mouvements de va-et-vient me donne l’impression
d’avoir un véritable homme à ma disposition qui me fait l’amour en étant
infatigable.
Je me
rallonge sur le lit, cuisses écartées. Mon bassin ondule violemment sur ce gode
qui m’encule. Je me retiens de jouir.
Désormais,
huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du
jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, je le porte fixé au centre
de mes reins, écartelée, et chaque jour davantage, je porte aussi des godes
gonflables pour m’écarteler.
Rares sont
les nuits où je suis enculée à nombreuses reprises par mes vingt inconnus, mon
anus s’est assoupli.
20
février,
Portant le
gode, nue, en mules, je retrouve Brice à son bureau, tenue en laisse par mon
collier. Il m’attend avec le Duc.
- Cela
fait huit jours de sodomies intenses, pour Miss Shawn. Ton œillet doit être
rendu plus facile.
Je suis
longuement enculée par les deux hommes et Hercules, largement inondés par leurs
spermes chauds dans mon anus béant et humide.
Je dois porter sous mon tailleur strict, avec un chemisier sur mes
seins nus aux mamelons fardés, une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste,
dévoilant ma chatte rougie, mais toujours à corselet montant jusque sous les
seins. Un gros bijou d’anus long de dix-huit centimètres, en pyramide, avec une
butée, évitant que je ne l’expulse et sept de diamètre. Sa base est moulé sur
le gland d’un dogue allemand. J’ai été saillie par des bergers allemands, des
dobermans, des labradors et des dogues allemands pour m’élargir. Je garde mes
mules à très hauts talons. J’aime avoir mes seins nus, mes fesses nues, mes
jambes nues et mes pieds nus mis en valeur, cambrée sur mes mules. J’attire les
regards.
Ma
silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me
fait des jambes superbes. Mon corselet offre des hanches de courtisane, mon dos
cambré et les fesses en arrière. Mes seins tendent leurs mamelons. Le
corselet moule le corps, pour en
épouser les formes et les mettre en valeur.
Je deviens
l’attraction de DMV. De l’archivage, je passe au service clientèle. Là, je
rédige des contrats que je dois signer, comme étant la putain. Je reçois
d’étranges instructions : je dois me prêter, mes carcans sont dans mon sac
à main. Les clients sont libres de me fouiller partout. Je ne peux me dérober,
je ne fermes jamais tout à fait les lèvres, ni ne croise les jambes, ni ne
serre les genoux pour donner libre accès à ma bouche, ma chatte et mon œillet.
Je dois relever ma jupe pour me faire enculer. Je suis aussi cravachée pour mes
fautes entre le coucher et le lever du soleil. Je ne dois plus lever les yeux
sur les hommes. Mes yeux se fixent sur leurs mandrins que je dois sucer. Le
soir, je dors nue, suçant, cuisses écartées, enculée et cravachée, menottée
dans le dos. Je suis soumise.
22 février
Dès mon
arrivée, dans mon élégant tailleur vert, sur mon corselet noir, en mules
blanches, coiffée d’une queue-de-cheval, le directeur commercial, Sir Nathan,
un bel étalon du double de mon âge, me fait le baise-main.
- Miss
Shawn, la pute de DMV, tu es sublime.
Les yeux
baissés, la bouche entrouverte, je reste silencieuse.
-
Aujourd’hui, nous avons quatre clients espagnols, dont les jumeaux Armand et
Xavier, ils sont redoutables en affaire. Tu iras au restaurant des Trois
Délices. J’ai réservé une table.
Je sens
une main sur mes fesses.
Je me
retourne, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Sir, tu
m’as caché cette déesse, dit Armand, un bel étalon musclé, brun. Des fesses
musclées, montre-moi tes jolis yeux. Tu n'ouvres désormais ici la bouche, en
présence d'un homme, que pour crier ou sucer.
J’ouvre
mes yeux.
- Sublime
regard vert émeraude, de jolis seins, tu es très désirable, dit Xavier.
Xavier
m’embrasse sur la bouche, tandis qu’une des mains d’Armand caresse mes fesses
et me donne une petite claque magistrale.
Nous
signons les contrats, en compagnie de Louis, un beau blond et Don Eros, un beau
brun.
Tous me
caressent mes fesses, encore marquées par les coups de cravache de la nuit.
- Elle est
cravachée souvent, demande Louis.
- Quand
elle a commise des fautes, mais de moins en moins souvent, elle est très
docile, dit Sir Nathan.
- Oui,
Sir, je suis une pute docile.
Après un
long entretien sur mes goûts sexuels, mes objets de punition, la grosseur et la
longueur des godes anaux, mes ébats canins, enfin, mes besoins lesbiens, nous
allons au restaurant.
Le
restaurant se trouve, à trois blocs de la tour d’affaires. Je sens le vent
monter le long de mes jambes et saisir mes cuisses nues. Armand me tient
fermement les mains dans le dos, pour que tout le monde puisse voir que j’ai
les fesses nues.
Tantôt
Armand, Xavier, Louis et Don Eros me plaquent contre un mur, pour m’embrasser
tout en doigtant ma chatte trempée et mon clitoris tendu.
Arrivés au
restaurant, nous allons à l’étage. Je suis assise sur le canapé, la jupe
relevée. Armand et Louis sont à ma gauche et Xavier et Don Eros à ma droite.
Entre deux
plats, je dois les sucer sous la table, sans perdre une goutte.
Peu avant
le dessert, je me retrouve assise nue, livrée aux caresses de mes amants.
- Tu es
une excellente suceuse, me complimente Armand.
- Son
œillet élargi ne demande qu’à recevoir les hommages, dit Xavier.
- Sa
chatte n’a du recevoir souvent un pilonnage en règle, dit Don Eros.
- Une
double pénétration lui ferait un excellent plaisir, dit Louis.
Sans
attendre, je me retrouve à quatre pattes, sur le canapé. Tout en suçant Armand,
je suis prise en double pénétration.
Louis, qui
a le sexe le plus fin, me baise, il est couché sur le dos, je suis dessus, avec
le corps incliné vers Louis. Xavier avec son gros mandrin m’encule
simultanément. Dès que Xavier a éjaculé en moi, Armand, qui possède un mandrin
plus gros, profite de mon œillet ouvert, pour m’enculer. Je suce alors Don
Eros, qui lui aussi m’encule, avec son long mandrin.
Je ne
compte plus mes orgasmes, ma bouche remplie de spermes chauds tout comme mon
anus et ma chatte trempée.
Je partage
leurs desserts, empalée, sur leurs mandrins. Profondément enculée, jusqu’aux
testicules, je m’abandonne aux caresses de mes seins, mes reins, mon dos, mes
fesses brûlantes par les claques magistrales.
Bien
lubrifiée, je m’abandonne aussi à leurs éjaculations. Ils me remettent mon
bijou d’anus. Pantelante, je me rhabille.
Ils vont
me revoir à ma chambre 6996, pour me cravacher, me prendre à nouveau jusqu’au
coucher du soleil.
25 février
Mes
frasques avec les quatre espagnols ont fait le tour des services. Je suis
reconnue comme une pute pour des contrats juteux.
Vers midi,
alors que je me refais une beauté aux toilettes, le responsable des opérations
fiscales, le Comte, ouvre ma veste rose, regarde mes mamelons tendus.
- Il faut
mettre un fard plus foncé, le tien est trop clair.
Ses mains
glissent entre mes cuisses, soulèvent ma jupe et me masturbent le clitoris
tendu. Il me susurre :
- Sacha,
l’allemand et Pénélope, l’italienne, sont tes nouveaux clients. Tu mouilles de
désir, d’avance.
Je me
retiens de jouir, il étire mon mamelon droit. Je ne sais si je dois gémir ou
jouir.
- Soulève
ta jupe et retire ton bijou d’anus, que je te prenne ici.
Penchée en
avant, les mains posées sur le meuble entourant les lavabos, cuisses écartées,
la jupe soulevée, je retire mon bijou d’anus trempé.
D’une
seule traite, il m’encule jusqu’aux testicules.
- Quel
puits, tu es bien ouverte.
Mes seins
se balancent, je me tends totalement aux coups. Il me saisit aux hanches, me
caresse les seins, étirent mes mamelons tendus. Il écarte davantage mes fesses,
pour m’enculer plus profondément. Je suis au bord de l’orgasme anal.
-
Retiens-toi de jouir, ma belle. C’est moi qui décide, pour éjaculer en toi.
Je ne peux
résister. Mon orgasme puissant, mon muscle anal se contracte très fortement.
- Alors,
la pute, tu me fais éjaculer.
- Mais, je
ne peux pas résister.
J’ai droit
à plusieurs claques magistrales sur mes fesses.
Il se
retire et je le nettoie, cuisses écartées, sans perdre une goutte, le bijou
d’anus remis en place.
Je
retrouve le couple qui m’attend à la sortie des toilettes.
Sacha est
un bel étalon brun, musclé et Pénélope est une brune aux seins plantureux.
- Voici,
Miss Shawn, désolé pour le retard, je l’ai corrigée.
Nous
allons dans un club privé. Je me promène nue et en mules, en compagnie du
couple. Des dizaines de filles, les yeux bandés, bâillonnées, portant des
pinces à seins, aux lèvres de la chatte, aux corps zébrés, sont exposées,
tantôt les bras en l’air, cuisses écartées, tantôt sur des croix de
Saint-André, de face ou de dos.
- Miss
Shawn, tu es soumise, me susurre Sacha.
- Oui, je
suis cravachée tous les jours, saillie par des chiens.
- Veux-tu
porter des pinces à seins et aux lèvres de ta chatte, comme les autres
filles ? demande Pénélope.
Sans
attendre, je suis équipée de quatre pinces plates finement réglables, cette
chaîne garantit aux soumises le confort dans l’inconfort ; les tétons et les
lèvres de la chatte sont pincés de manière excitante et non douloureuse. Les
pinces plates sont recouvertes de caoutchouc noir à leurs extrémités. Sacha me
dirige en me tirant par mes chaînes au niveau des seins ou au niveau du sein ou
tout simplement en empoignant la chaîne centrale. Mes mamelons sont étirés par
le bas par des clochettes qui tintent au moindre mouvement. La clochette en
métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement
cristallin.
J’attire
les regards, avec mes carcans de cuir.
Des
maîtres me cravachent, dans les mêmes positions que les filles, m’enculent
sauvagement avec des gaines péniennes à picots qui m’arrachent l’anus.
Je suce et
avale des litres de spermes.
Je passe
trois heures au club, empalée sur Sacha, enculée par le gode-ceinture de
Pénélope.
Après
cette séance de pinces à seins, je suis violée par une dizaine d’inconnus,
cagoulés, tandis que je porte une cagoule laissant libre ma bouche bâillonnée
par un bâillon-pénis canin, le nez, je garde mes clochettes à mes mamelons
tendus. Tous éjaculent dans mon anus.
Je
retrouve mon calme dans une luxueuse chambre entourée de miroirs et de glaces,
sur les murs et au plafond.
- Tu es
courageuse, docile, Miss Shawn, me dit Pénélope, en léchant ma chatte trempée
et mon clitoris tendu, gros comme une cerise, saillant et volumineux, pendant
une longue durée.
Il est
devenu hypersensible. Je connais une excitation énorme. Je ressens une douleur
provoquée par le fait que mon clitoris soit constamment tendu. Mon clitoris est
complètement tendu et très dur au point de me faire vraiment mal et le moindre
effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement cet
endroit est devenu sensibles.
- Ton
clitoris reste plus dur plus longtemps. On l’a enduit d’une crème pour
accroître ton plaisir.
Je ne sais
si je dois jouir sous la langue de Pénélope. Je me retiens.
Quand sa
langue passe sur mes mamelons qui sont aussi tendus, très durs, saillants, gros
et longs. Ils sont aussi hypersensibles. C’est une véritable torture comme pour
mon gros clitoris.
Dans un 69
lesbien torride, j’offre ma chatte toute lisse, j’ai gardé mon triangle pubien
à la bouche de Pénélope et elle fait de même. Nous stimulons nos clitoris par
la bouche ou par les doigts. La stimulation du clitoris est majeure.
Sacha
m’encule au moyen d’une gaine pénienne à picots, je suis au-dessus de Pénélope.
Je me retiens de jouir sous la langue sur ma chatte et mon clitoris, enculée.
Bien
chaude, je retrouve mes pinces à seins, pour être cravachée et enculée,
menottée, les bras en l’air, cuisses écartées. Je suis cravachée sur
l’intérieur de mes cuisses.
Enfin,
nous quittons le club, après six heures d’ébats.
Sir Nathan
m’attends au pied de la tour d’affaires.
- Alors,
comment s’est comportée Miss Shawn, au club ? J’ai vu quelques vidéos en
direct.
- C’est
une soumise docile, annonce Sacha.
- C’est
une vraie lesbienne qui connaît les zones de plaisir, annonce Pénélope.
Je reste
les yeux baissés, la bouche entrouverte. Mes mamelons pointent encore sous ma
veste et sont visibles par Sir Nathan. Je dois soulever ma jupe pour dévoiler
ma chatte totalement lisse, des pinces avec des clochettes, étirent les grandes
lèvres de ma chatte.
- Elle en
a besoin. Les pinces sont là pour sensibiliser les lèvres de sa chatte.
Je porte
aussi un nouveau bijou d’anus, il mesure vingt-cinq centimètres de long et sept
centimètres de diamètre pour 600 grammes, muni d’un puissant va-et-vient, me
rappelant combien j’aime être enculée par un amant infatigable.
Je
retourne au bureau.
Je
travaille seins nus, sans ma veste. Tout le monde me complimente pour mes
mamelons constamment tendus sous l’excitation, la sodomie permanente.
Ce soir,
je vais retourner au club, comme membre officiel, prête à de nouveaux jeux.
Cela fait
quinze jours que je suis employée par DMV.
26 février
Peu avant
le lever du soleil, je quitte le club. Je porte encore mes pinces à mes lèvres de
ma chatte.
Un bel
étalon brun, musclé, du double de mon âge, m’aborde.
- Tu es
Miss Shawn, je suis Donatien. Tu sors du club privé « Désirs de
Vices ».
- Oui,
j’aime cette ambiance.
- Monte
dans ma limousine, je te conduis dans un lieu secret, à trois heures du club.
J’obéis.
Je relève
ma jupe, dévoilant mes fesses, mes jambes nues et je fais tinter mes
clochettes. J’écarte mes cuisses sans qu’il le demande.
Je retire
ma veste, dévoilant mon corselet.
- Superbes
seins nus, mis en valeur par le corselet. Tu es libre de descendre, si tu veux.
Je n’ose
répondre. Le chauffeur, un bel étalon africain, me toise dans le rétroviseur.
Donatien
me pelote les seins, étire et pince mes mamelons constamment tendus.
- Très
bien, tes mamelons sont constamment tendus.
Je me
retiens de jouir, sous les assauts des va-et-vient du bijou d’anus.
Il délace
mon corselet et me fait déshabiller. Je reste nue et en mules à ses côtés,
silencieuse. Il remarque les marques de la cravache sur mes cuisses et mes
fesses.
- Tu aimes
être cravachée.
Donatien
m’embrasse langoureusement. Je perds
haleine. Il me mets mes carcans à mes poignets et les joint dans mon
dos et mon collier. Il me bande les yeux.
Je
m’abandonne à ses caresses sur mes seins, mon clitoris tendu, ma chatte qui est
doigtée.
- Tu
portes un vibromasseur anal. Je le sens. Tu dois être chaude.
Nous
marquons une halte dans une allée forestière.
On m’aide
à descendre de la voiture.
Allongée
sur le dos, sur le capot encore chaud, on me retire le bijou d’anus et le gros
mandrin du chauffeur, prénommé Désiré, long de vingt-quatre centimètres et sept
de diamètre, m’encule sauvagement, les seins pelotés par Donatien.
Je connais
l’orgasme anal et une longue éjaculation.
- Elle
aime ça, les gros sexes, Donatien.
- Mes amis
vont l’adorer. Tu es belle dans le désir.
Désiré me
remet le bijou d’anus en place pour que je conserve son sperme chaud dans mon
anus lubrifié.
Nous
remontons en voiture.
Nous
franchissons une grille, gardée par des maîtres-chiens et des gardes à cheval.
- C’est la
nouvelle pour le Domaine du Bois des Sévices du Marquis.
Au bout de
l’allée, on m’aide à descendre, nue, les mains dans le dos, en mules, toujours
aveugle, qui font du bruit dans les graviers, puis sur les marches en marbre.
Mes clochettes tintent entre mes cuisses.
Je me
retrouve seule, mon bandeau enlevé, dans une pièce avec un épais tapis par
terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards. Deux femmes ouvrent la
porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues de corsets seins nus sous un
corsage transparent, dénudant entièrement les seins, avec des manches
mi-longues, dévoilant le galbe du sein, une jupe longue jusqu’à mi-cuisse à
l’arrière et assez courte devant pour dévoiler leurs chattes et leurs pubis
totalement lisses, leurs chattes portent des anneaux dorés, ainsi que leurs
gros clitoris tendus percés horizontalement d’un anneau avec une pierre
précieuse, leurs jambes et leurs pieds sont nus, dans des mules à hauts talons
avec plate-forme. Leurs yeux et la bouche sont fardés. Elles ont un collier serré
autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Elles
libèrent mes mains, me retirent le vibromasseur anal, mon anus reste encore
béant et expulse un peu de spermes. Elles me retirent mes clochettes.
Nue, je me
baigne en leur compagnie
- Accroupis-toi,
cuisses écartées, me dit l’une d’elle.
Elles me
savonnent, et leurs mains douces et caressantes, viennent partout sur moi.
Elles me mouillent les cheveux, puis elles me rincent debout, avec la pomme de
la douche.
Assise
dans un grand fauteuil de coiffeur, cuisses écartées, je me retrouve empalée
sur un vibromasseur de vingt-quatre centimètres de long et sept de diamètre,
muni d’un puissant va-et-vient qui m’encule. Je dois garder les cuisses
écartées. On me shampouine. Et comme il y a en face de moi une haute glace que
n'interrompt aucune tablette, je me vois ainsi, chaque fois que mon regard
rencontre mon reflet, exposé, la tête tout empanachée de shampooing blanc. On
me rince ; on me sèche ; on me longuement coiffe.
Le
vibromasseur est remplacé par une canule, qui m’inonde l’anus d’émollient. Puis
le vibromasseur reprend sa place. Je suis au bord de l’orgasme anal.
Elles
ombrent légèrement mes paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, les
mamelons et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de ma chatte rougi,
du parfum longuement passé sur la fourrure des aisselles et du pubis, dans le
sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des
paumes.
Pieds nus,
nue, j’entre dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir
au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des
miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu,
et il y a un tapis. Je regarde mon corps dans les reflets, sous tous les
angles. Je sens l'émollient qui fond en moi, sous les va-et-vient d’un nouveau
vibromasseur.
Une grande
fenêtre donne sur un beau parc sombre.
Un homme
entre seul, vêtu d'une longue cape, sur son corps nu, musclé, le mandrin en érection, dans une gaine à picots.
C’est le mandrin que je regarde d'abord, à son premier pas, puis le fouet de
lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une
cagoule, où un réseau de tulle dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des
gants aussi, et de fin chevreau. Il me remet les clochettes aux lèvres de ma
chatte.
-
Lève-toi.
Il joint
mes mains dans mon dos, caresse mes seins, étire mes mamelons tendus, caresse
ma chatte, mon gros clitoris tendu. Je me retiens de jouir, les yeux baissés,
la bouche entrouverte.
- Tu es
chaude. Tu es présentée ce matin.
Je reste
debout, cuisses écartées. Je me penche en avant, les mains dans le dos,
enculée. Il m’encule jusqu’aux testicules, me donne quelques claques
magistrales sur les fesses. Il caresse mon clitoris tendu.
Puis sur
le pouf, toujours enculée, je m’abandonne, mon dos touche son buste, enculée
jusqu’aux testicules. Il me masse les lèvres de la chatte et le clitoris,
déclenchant de violents mouvements de mon bassin et me masse les seins, étirent
mes mamelons tendus. Les picots de sa gaine m’arrachent l’anus.
- Tu
prends ton pied, enculée jusqu’aux testicules.
Sans
attendre, un autre homme entre et me baise avec une gaine à picots. Ce double
plaisir mêlé de douleur me font hurler de plaisir.
Les deux
hommes se retirent.
Je déjeune
seule, avec mon vibromasseur anal remis en place, agenouillée, cuisses
écartées, je mange avec les doigts. Un nouvel orgasme anal me terrasse
silencieusement. Cette sodomie par picots m’a donnée du plaisir. Je reste dans
une sorte de petite cabine où une main invisible me tend les plats par un
guichet. J’ai gardé mes clochettes à ma chatte.
Enfin, le
déjeuner fini, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, nue,
les bracelets fixées dans mon dos, mes pieds nus sont chaussés de mules à hauts
talons avec plate-forme.
On me
bande les yeux et on me tient en laisse par mon collier.
Une femme
avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme. Nous
traversons un vestibule, deux salons, et pénétrèrent dans la bibliothèque, où
quatre hommes prennent le café. Ils sont vêtus de capes, sur leurs corps nus,
leurs mandrins en érection, sans gaine, sans masques.
Il y a
aussi Donatien.
Je suis
aveuglée par une lampe-phare. Tout le monde reste immobile, les deux femmes de
chaque côté de moi, et les hommes en face qui me regardent. Puis le phare
s'éteint ; les femmes partent. On m’a remis un bandeau sur les yeux.
On me
retire le vibromasseur anal, deux mains caressent mes fesses, vérifiant mes
bracelets fixés ensemble, non gantées, me pénètre simultanément la chatte et
l’anus. Je jouis.
Une main
me prend un sein, une bouche saisit le mamelon tendu de l'autre. On me
déchausse.
Allongée
sur le pouf, sur le dos, je reçois le premier, qui m’encule. J’enserre sa
taille avec mes jambes, mes pieds appuyés sur ses fesses.
Puis il me
relève complètement les cuisses, sans débander, sur les épaules, pour
m’enculer. Je jouis.
Enfin, il
m’achève, en m’enculant latéralement, les cuisses relevées et bloquées par les
cuisses de l’homme, en traction.
Lorsqu’il
éjacule, il s’abat sur moi, pour mieux m’enculer.
L’anus
lubrifié, allongée sur le ventre, je reçois le second, qui possède un gros
mandrin, pour m’enculer, tête-bêche. La sodomie est un peu douloureuse. Il
éjacule en moi.
Le
troisième me fait asseoir entre ses cuisses, enculée jusqu’aux testicules, il
caresse mes seins, mon dos, mes reins, mes épaules et mon cou.
Lui aussi,
éjacule en moi.
Nous
sommes allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, l’homme est dans mon
dos et m’encule. Il caresse mes seins, le ventre, ma chatte. Le mouvement du
bassin guide l'acte de la pénétration, je suis enculée profondément en ajustant
mon bassin en face du mandrin. Il caresse aussi mon clitoris pour augmenter mon
plaisir.
Sans
débander, il m’achève, dans une position de rut, enculée, il m’enserre par les
hanches, glisse ses mains autour de mes seins, pour des coups plus profonds.
J’agite ma croupe pour qu’il bande et éjacule en moi.
Libre, je
suis agenouillée, mes mains liées au dos, fléchie, un peu en arrière, à demi
assise.
- Elle a
déjà été attachée et fouettée, regardez ces marques.
On
m’enlève le bandeau. La grande pièce avec des livres sur les murs est
faiblement éclairée par une lampe sur une console. Deux des hommes sont debout.
Un autre est assis, une cravache sur les genoux, et Donatien, penché sur moi et
me caresse le sein.
- Tous
t’ont enculée, Miss Shawn. Tu as aimée. Tu ne vois les visages de ceux qui te
violent ou te tourmentent, mais jamais la nuit, et que tu sais jamais quels
sont les responsables du pire. Que lorsqu'on te fouette, c’est pareil.
Je me
retrouve assise entre les cuisses de Donatien, enculée comme avec le troisième
homme.
On me
montre la cravache, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir ; le fouet de
cuir est long, fait de six lanières terminées par un noeud ; il y a la garcette
de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs noeuds, et qui sont
toutes raides, trempées dans l'eau, on
m’en caresse le ventre et mes cuisses écartées, je sens les cordes sont humides
et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
Je suis menottée, les bras en l’air, bras tendus, les mains au-dessus
de la tête, à un crochet tenu par la main d’une statue, je suis sur la pointe
des pieds nus. On me cravache. Je regarde les reflets dans les miroirs de mon
corps nu.
Le fouet
de cuir, qui m’a fait gémir, me marque beaucoup moins, que la corde mouillée de
la garcette, et au premier coup avec la cravache. Je suis ensuite uniquement
cravachée.
Je suis
sauvagement enculée entre deux séances, écartant mes fesses brûlantes.
- Son
œillet n’est pas encore élargi.
- On va en
prendre les moyens.
L’homme m’insère un gode réaliste, à l'imitation d'un sexe dressé, de
trente-cinq centimètres et cinq de diamètre, au gland proéminent, aux veines
saillantes, en érection, attaché, à trois petits trous percés dans la base,
trois chaînettes qu'il laisse pendantes.
Je ne peux
l’expulser. Il attache une étroite ceinture autour de ma taille, et il y
accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses,
et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le
triangle pubien. Il les ajuste au plus court, de façon que le mouvement
intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à
l'anneau de chair qu’il doit forcer et distendre, et il les attache avec de
petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, je ne peux être
tenté de me soulager de cette contrainte.
Le gode est gonflé jusqu’à sept centimètres. Je sens le gland qui monte
et descend à l’intérieur de mon anus. Le gland va encore plus vite de haut en
bas dans mon anus. Le gode s’allonge à chaque mouvement et s’allonge et
rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe qui s’étire ou
se contracte en suivant les montées et descentes du gode. Ce gode à mouvements
de va-et-vient me donne l’impression d’un véritable homme à ma disposition qui
me fait l’amour en étant infatigable. Mon bassin ondule violemment sur ce gode
qui m’encule. Je me retiens de jouir. Mes clochettes tintent entre mes cuisses.
Je suis
détachée, chancelante et presque évanouie.
- Son
bassin ondule sur le gode du Vice, qui va l’élargir.
Je
m’installe sur le sofa, cuisses écartées, ma chatte dégouline, mes mamelons et
mon clitoris sont tendus à l’extrême sous l’excitation.
Les deux
femmes jeunes et jolies, vêtues de corsets seins nus sous un corsage
transparent, dénudant entièrement les seins, avec des manches mi-longues,
dévoilant le galbe du sein, une jupe longue jusqu’à mi-cuisse à l’arrière et assez
courte devant pour dévoiler leurs chattes et leurs pubis totalement lisses,
leurs chattes portent des anneaux dorés, ainsi que leurs gros clitoris tendus
percés horizontalement d’un anneau avec une pierre précieuse, leurs jambes et
leurs pieds sont nus, dans des mules à hauts talons avec plate-forme. Elles
apportent ma tenue.
Debout, je
revêts le corset seins nus très baleiné, rigoureusement serré à la taille,
auquel est fixée la ceinture de cuir. Puis le corsage laisse mes seins,
remontés par le corset, dénudés entièrement, et la jupe dévoilant mon pubis
velu et ma chatte totalement lisse avec mes clochettes. Je remets mes mules à
hauts talons avec plate-forme.
Une des
femmes écartent par-derrière les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit
nue. Elle a les fesses récemment cravachées. Elles s’en vont.
« Tu es
ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu te prêtes, fouillée dans tous
tes orifices. Tu ne peux te dérober, tes lèvres restent entrouvertes, toujours
les cuisses écartées, montrant l’accès à ta bouche, ta chatte et ton oeillet.
Tes seins sont mis en valeur par le corset. Le jour durant, tu écartes ta jupe,
pour te faire utiliser, à visage découvert - et comme il veut - à la réserve
toutefois du fouet. Le fouet n’est appliqué qu'entre le coucher et le lever du
soleil. Le fouet est donné le soir pour manquement à la règle dans la journée :
c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui
te parle ou te prend : tu dois toujours fixer tes yeux sur nos mandrins nus,
que tu dois sucer. Dans la journée, tu observes les mêmes consignes. Tu écartes
et refermes ta jupe quand nous en aurons fini de toi. En outre, à la nuit, tu
suces, cuisses écartées, les mains liées au dos, nue, les yeux bandés pour te
fouetter. Tu es fouettée chaque jour, pour ton instruction. La chaîne qui,
fixée à l'anneau de ton collier, te maintiens plus ou moins étroitement à ton
lit plusieurs heures par jour, tu es contrainte. A ta sortie, tu portes un
anneau de fer à l'annulaire, qui te fais reconnaître : tu es obéissante à ceux
qui portent ce même signe - eux savent à le voir que tu es constamment nue sous
ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux
qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Je me
lève. Donatien me donne à Hughes, le premier maître qui m’a dit le discours.
L’anus
libre, fesses nues, je dois m’offrir prosternée, cuisses écartées. Hughes
m’encule, en appui sur ses jambes, jusqu’aux testicules. Je me retiens de
jouir. Puis il se penche latéralement, sans débander, puis enjambe mes fesses,
me donne quelques claques magistrales. Il éjacule en moi.
Eros, le
second maître, m’encule latéralement. Je suis offerte, face à lui, je glisse et
soulève une de mes cuisses au-dessus de la cuisse d’Eros. Je suis profondément
enculée. Je me retiens de jouir jusqu’à l’éjaculation, installée face à Eros,
en appui arrière sur mes mains.
Val, le
troisième maître, m’encule, allongée sur le dos, cuisses complètement ouvertes,
saisie par les chevilles, les reins soulevés, les bracelets fixés à mon
collier. Il m’encule violemment et éjacule en moi.
Xavier, le
quatrième maître, m’encule, renversée en arrière, les genoux sur les épaules,
en traction et en appui sur ses bras. Il éjacule en moi.
On me
remet le gode en place.
Mon anus
est alourdi par les spermes des maîtres.
Les mules
claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes
et propres, avec des serrures minuscules.
« Tu es
dans l'aile des vicieuses, et ton valet s'appelle Hermine.
- Quel
valet ? dis-je saisie par la douceur de la voix, et comment t’appelles-tu ?
- Je
m'appelle Saphir Désir.
- Et moi
Opale du Vice », dit la seconde.
- C'est le
valet qui a les clefs, qui t’attaches et te détaches, te fouettes quand tu es
punie et quand on n'a pas de temps pour toi, dit Saphir Désir
- J'ai été
dans l'aile des vicieuses l'année dernière, dit Opale du Vice, Hermine y était
déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres
qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Hermine
est debout contre une banquette. C’est une grande brune aux seins plantureux,
avec une veste sur son torse nu, son mandrin nu est gainé, ses testicules
portent des anneaux dorés. Hermine est chaussée de mules à hauts et porte à la
ceinture un fouet à lanière de cuir. Son mandrin mesure trente-deux centimètres
et six de diamètre.
Nous
entrons dans la cellule qui comporte en réalité deux pièces. La porte qui donne
sur le couloir refermée, on se trouve dans une antichambre, qui ouvrait sur la
cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvre, de la chambre, une autre
porte, sur une salle de bains.
En face
des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la
fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de
fourrures. Il n'y a pas d'autres meubles, il n'y a aucune glace. Il y a un
tapis. Saphir Désir me fait remarquer que le lit était moins un lit qu'une
plate-forme matelassée, recouverte d'une étoffe à très longs poils qui imite la
fourrure. L'oreiller, plat et dur comme le matelas, est en même tissu, la
couverture à double face aussi. Deux mètres au-dessus de la tête du lit, un
gros anneau brillant est scellé au mur où passait une longue chaîne d'acier :
l'une de ses extrémités s'entasse sur l'oreiller en formant une petite pile
d'anneaux, tandis que l'autre est retenue à un crochet, sur le côté.
« Tu dois
prendre ton bain, dit Opale du Vice. Je vais défaire ta robe. »
Ma tenue
est rangée dans le placard près du lavabo, avec mes mules.
Nue,
déchaussée, je découvre la salle de bains. Mes clochettes, et à chacun de mes
pas bougent entre mes jambes comme un battant de cloche. La salle de bains
comprend une baignoire, entourée d’un escalier. Les parois sont entièrement
revêtues de glace.
Saphir
Désir et Opale du Vice demeurent avec moi, je dois m’accroupir, cuisses
écartées. Hermine me retire le gode pour mon lavement par la canule et de
nouveau de l’émollient. Je me retiens de jouir.
Je suis enchaînée,
les bras tendus en l’air, pour éviter de me masturber, par Hermine.
- Nous
viendrons te chercher demain matin, dit Opale du Vice.
Détachée,
l’anus propre, Saphir Désir sourit en partant, et Opale du Vice, avant de me
suivre, caresse, mes mamelons tendus, je reste debout au pied du lit,
interdite. A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis
quand je me suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
Hermine
fait apporter un chevalet, où je suis menottée, le postérieur plus haut que la
tête. Mes bras sont fixés le long des pieds avant, mes jambes le long des pieds
arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Mes cuisses,
légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre,
ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peux refermer. Toute mon intimité est
ainsi très accessible. Hermine me retire mes clochettes à mes lèvres de ma
chatte trempée.
Elle
caresse mon clitoris tendu à l’extrême.
- Tu seras
saillie dès cet après-midi et cravachée. Ton œillet n’est pas encore assez
élargi à mon goût.
Hermine
m’encule sauvagement, en me cravachant les fesses.
Hermine
éjacule sur mes fesses, me caresse la chatte et je dois la sucer jusqu’à la
dernière goutte.
Je n’ai
plus l'usage de mes mains pour me masturber ma chatte. Les lèvres de ma chatte
me brûlent peut-être parce que je les sais ouvertes à qui veut : au valet
Hermine, s'il lui plait d'entrer.
Le fouet
me laisse sereine, ses multiples sodomies m’ont rendu plus vicieuses.
Je me repose.
Dans
l’heure qui suit, je sens un sexe m’enculer. C’est un premier berger allemand
qui m’encule jusqu’au nœud. Je le subis, jouissant, multipliant mes orgasmes.
A peine le
premier berger allemand parti, qu’un second m’encule d’une seule traite.
Puis deux
dobermans se relaient pour m’enculer. Je suis à moitié évanouie par mes
multiples orgasmes, l’anus alourdi de spermes canins qui dégoulinent.
Après une
courte pause, Hermine revient.
- Quatre
étalons t’ont donné beaucoup de plaisir, vu tes râles de plaisir.
Hermine me
libère les poignets du chevalet et les fixe au-dessus de ma tête à un crochet,
bras tendus.
Je suis
cambrée. Hermine me cravache à toute volée. Il n'attends pas qu'elle me taise,
et recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut
ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il a
cessé que je crie encore, et que ses larmes coulent dans sa bouche ouverte.
Hermine
cravache le devant des cuisses.
Le tout a
duré cinq minutes.
Il ouvre
la fenêtre et me laisse menottée debout, au crochet, bras tendus en l’air, les
chevilles fixées au chevalet. Hermine m’a mis une poire anale avec un ballonnet
qu'on gonfle une fois introduit à l'intérieur de mon anus. J’ai une envie
permanente d'aller à la selle, difficultés pour uriner par compression.
Je dois
garder la pose.
Un
jardinier m’observe et se masturbe devant mon corps nu, avec mes marques sur
mes cuisses.
Au bout de
deux heures, on me remet sur le chevalet, sans la poire anale, je suis à
nouveau saillie par deux labradors et deux dogues allemands pour m’élargir.
Au coucher
du soleil, je suis épuisée.
On me
change le vibromasseur anal pour un de trente-cinq centimètres et sept de
diamètre pour remplir mon anus béant et rougi complètement distendu par les
saillies canines. Je l’accepte. Les va-et-vient sont plus violents et puissants
que le gode du Vice, c’est le gode du Désir Anal. Je ne peux résister, enculée
par mon amant infatigable.
Au bout
d’une heure, l’anus libre, je sens des mains sur mes hanches pour me faire
coulisser sur le pénis du singe aussi gros que peut l'être un pénis humain, il
se termine par une pointe effilée, au bout duquel un gland minuscule fait comme
une petite boule de chair. Il mesure dix-huit centimètres. Je suis longuement enculée
par un chimpanzé. Un autre chimpanzé me fait sucer son sexe.
Je suis
doublement inondée.
Sept
chimpanzés se relaient pour m’enculer et presque autant pour les sucer. Je ne
compte plus mes orgasmes anaux. Les chimpanzés me caressent les fesses.
Au bout de
trois heures à me donner aux chimpanzés, je suis longuement cravachée sur les
fesses.
Quelques
instants après, un valet entre, c’est Val, un superbe transsexuel, une brune
aux petits seins, avec un mandrin de vingt-cinq centimètres et sept de diamètre.
Il est vêtu d’une veste sur son corps nu, de bottes.
Il possède
à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent
toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
- Miss
Shawn, ton œillet est bien ouvert par les chiens et les chimpanzés.
Il me
libère du chevalet, regarde le devant de mes cuisses marquées, il caresse ma
chatte et doigte profondément mon anus dégoulinant de spermes. Je garde les
yeux baissés. Il regarde mes fesses, le dos de mes cuisses.
Il m’allonge
sur le lit, me pose mes mollets sur ses épaules et m’encule sauvagement.
- Tu aimes
te faire enculer, la jouisseuse anale.
Je n’ose
répondre, les mains jointes à mon collier.
Il caresse
mes cuisses, mes mollets et mes chevilles. Je connais un orgasme quand il
éjacule en moi.
Gardant
les jambes levées, il me cravache les fesses, pour mon orgasme non désiré.
Il me met
un bijou d’anus de quinze centimètres de long et six de centimètres pour garder
le sperme.
Il libère
mes poignets.
Saphir
Désir et Opale du Vice, qui sont entrées avec lui, et qui attendent debout. Sur
quoi il s'en va.
Je dois me
prosterner, James, un des valets, entre.
Il porte
un coffret avec un nouveau gode.
Il est
moulé sur un sexe réaliste d’un labrador. Il mesure vingt-trois centimètres et
cinq de diamètre, une fois gonflé. Le nœud m’écartèle l’anus de la taille d’une
balle de golf à une balle de tennis.
Il est
maintenu à ma ceinture de cuir.
- Tu seras
mieux ainsi.
J’ai du
mal à m’agenouiller sur le lit, cuisses écartées.
James
repart.
Je mange
avec les doigts un bol de divers légumes et viandes, mélangés à un excitant
sexuel. Mes mamelons et mon clitoris sont tendus à l’extrême.
- Tu peux
dormir ensuite, jusqu’à dix-neuf heures. Il est dix-sept heures. Tu restes nue
ce soir. Tu prends ton bain, te coiffes, dit Saphir Désir, je viens te farder.
- Tu es de
service, dit Opale du Vice. Ah ! nous sommes seulement chargées de toi pour les
premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu es seule et tu n'as
affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à nous.
Désormais,
huit jours durant, entre mon lever et le repas de midi, puis entre la tombée du
jour et l'heure de la nuit, dix heures généralement, je le porte fixé au centre
de mes reins, écartelée, et chaque jour davantage, je porte aussi des godes
gonflables pour m’écarteler.
Rares sont
les nuits où je suis enculée à nombreuses reprises, mon anus s’est assoupli.
Donatien
me rejoint avec un autre homme, tous les deux sont nus, les mandrins en
érection.
- La belle
au labrador, aux fesses et aux cuisses marquées, viens offrir ta chatte et ton
œillet de soumise canine.
Je me
lève. Donatien m’embrasse langoureusement. L’autre homme me retire le gode
labrador.
- Son
œillet est bien ouvert, mais encore assez élargi, Donatien.
- C’est
normal, Miss Shawn, n’a pas été soumise à ses amants, Yannis.
Yannis
m’écarte mes fesses brûlantes et m’encule d’une seule traite jusqu’aux
testicules. Je sens la langue de Donatien sur ma chatte et mon clitoris,
pelotant mes seins à deux mains. Je jouis.
Yannis
m’encule jusqu’à l’éjaculation en moi et joint mes bracelets dans mon dos.
Donatien
me renverse sur le lit, en arrière, les genoux sur les épaules, m’encule en
traction et en appui sur ses bras.
- Elle est
bien ouverte.
Yannis
m’embrasse langoureusement.
Donatien
éjacule aussi.
Je garde
la pose et Donatien me remet le gode labrador en place.
Yannis
part. Je me baigne, accroupie, cuisses écartées, l'eau tiède me fait frémir
quand mes cuisses meurtries y plongent, et je dois m’éponger sans frotter, pour
ne pas réveiller la brûlure. Je me sèche dans la grande serviette, je me coiffe
devant la glace et, toujours nue mais les yeux baissés et la bouche
entrouverte, revient dans la cellule.
- Ma
belle, Miss Shawn, ton œillet doit être élargi chaque jour davantage. Les
chiens sont là, pour t’écarteler. Tu as pris goût.
Nue, en
mules, avec ma ceinture de cuir, et du fait des chaînettes et de la ceinture,
tout le monde peut voir que je le porte.
Opale du
Vice me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de
nouveau sur le carrelage, et nous trouvons, ils trouvèrent de nouveau sur la
banquette, entre les portes, un valet, c’est Jason, doté d’un long et gros
mandrin, de trente centimètres de long et six de diamètre. Il était vêtu comme
Hermine. C’est un grand étalon africain, musclé, chauve. Je fixe son mandrin en
érection.
- Tu dois
être Miss Shawn, avec le gode Atlas. T’en fait pas, Balzac sera plus apte à
t’enculer, la belle.
Sans
attendre, je dois me pencher, les mains contre le mur et je me fais longuement
enculée, l’anus libre, lubrifié par le sperme de mes amants.
- Oui, tu
es sacrément chaude. Tu te retiens de jouir.
Il se
retire et éjacule sur mes fesses, me donnant quelques claques magistrales en me
remettant le gode en place.
Nous
entrons dans une antichambre dallée de marbre noir où, par un escalier venant
du sous-sol, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de hauts rideaux,
deux autres valets attendent, deux dobermans bruns à leurs pieds, plus un dogue
allemand.
« C'est la
clôture », murmura Opale du Vice.
Le
bâtiment comprend au rez-de-chaussée, à droite d'un grand vestibule (sur lequel
ouvrait l'une des grilles, la plus grande), la bibliothèque, un salon, un
fumoir, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et une pièce
attenante réservée aux valets. Quelques chambres, au rez-de-chaussée, sont
occupées par les filles que les membres du club amènent. Les autres chambres,
aux étages, par ceux d'entre eux qui font un séjour. A l'intérieur, les filles
ne peuvent circuler qu'accompagnées ; elles étaient absolument astreintes au
silence, même entre elles, et aux yeux baissés; elles ont toujours les seins
nus et le plus souvent la jupe relevée par-devant ou par-derrière. On en
dispose comme on veut. Quelque usage qu'on en fait, quoi qu'on en exige.
Mais Jason
qui marche devant l'entend et se retourne brusquement.
- Eh, toi
! Tu oublies le règlement ? Viens ici ! » Il claqua dans ses doigts.
- À quatre
pattes. Par terre, toutes les deux. Tout de suite ! »
Opale du
Vice se courbe en avant, sur le carrelage, appuyé sur ses bras tendus.
- Pardon,
pardon... Ne me fouettez pas... Je vous en supplie... »
Je fais de
même, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- C’est la
nouvelle avec le gode Atlas. Je lui réserve Balzac. Apollo va s’occuper de la
nouvelle et Hadès d’Opale, dit un des valets.
Le valet
me retire le gode et Apollo m’encule jusqu’au nœud, l’anus enduit de foie gras.
Je reste
vingt minutes avec Apollo jusqu’à l’éjaculation et quatre orgasmes anaux.
Balzac me
saillit dans la foulée. Elle dure trois quart d’heures.
Pantelante,
je suis enculée sauvagement par les deux valets à tour de rôle, que je suce et
j’avale.
- La
nouvelle est courageuse, vicieuse à souhait. Elle suce divinement bien.
L’un d’eux
me conduit au réfectoire, une salle dallée, la table longue, en verre épais,
pour que les valets puissent voir ce que les soumises y ont pu faire
par-dessous, et chacune a pour siège un tabouret rond recouvert de cuir noir.
Nue, je me retrouve profondément empalée sur le gode qui m’écartèle davantage.
Je me retiens de jouir, cuisses écartées. Le valet de permanence remarque mes
mamelons et mon clitoris tendus à l’extrême, par l’excitation que j’ai subie.
Le valet
me caresse mes fesses marquées, mes seins.
- Petits
seins, beau visage, tu dois être Miss Shawn.
Je sais
qu’en quittant les lieux, je dois, vêtue comme tout le monde, mais les fesses
nues sous mon tailleur banal ou ma robe ordinaire, relever à chaque fois ma
jupe pour s'asseoir aux côtés de son amant, ou d'un autre, à même la banquette
d'une auto ou d'un café, je retrouve mes seins offerts dans les corsets de
soie, les mains et les bouches à qui tout était permis, et le terrible silence.
A la fin
du repas, dehors, le valet m’encule sauvagement devant les autres filles, les
mains jointes à mon cou. Il éjacule une partie sur mes fesses et le reste dans
ma bouche que j’offre, accroupie, cuisses écartées, le gode remis en place.
Je semble
plaire aux valets.
6 mars,
Nue, en mules, avec mon gode Balzac, je suis présentée par Donatien à
des inconnus. Les yeux baissés, la bouche entrouverte, les bracelets fixés dans
mon dos, je découvre un grand russe, un chinois barbu, un japonais, un
sud-américain chauve et un émir des pays arabes. Chacun possède une mallette de
billets de leurs pays d’origine. Ma chatte a été épilée, ainsi que le haut des
cuisses, les grandes lèvres, périnée, pourtour de l'anus et l'intérieur des
fesses. J’ai mes lèvres intimes plus renflées, toutes lisses.
Cela plait aux inconnus.
- Messieurs, Miss Shawn a son œillet élargi par les multiples saillies
canines depuis le début de son instruction. Elle est docile. Soumise au Duc
dans la chambre 6996, qui me l’a confié pour parfaire son instruction. J’ai vu
vos enchères. Je vais la libérer de son gode, son œillet est encore lubrifié
par ses saillies de la nuit. Ses mamelons et son clitoris sont constamment
tendus vingt-quatre heures sur vingt-quatre, démontrant son excitation
sexuelle.
Je dois me prosterner, sur le tapis, cuisses écartées.
Le russe, le Vicomte Vladimir, d’un mandrin de six centimètres et
vingt-deux de long, m’encule jusqu’aux testicules, en m’écartant bien les
fesses, sur lesquelles il me donne quelques claques magistrales.
- Quel œillet bien chaud, elle prend du plaisir, sous mes fessées.
Vladimir éjacule sur mes fesses et dans ma bouche, je le nettoie.
Sans attendre, le chinois, Tan Sen, possède un petit mandrin, trois de
diamètre et quinze de long. Mais il m’encule, une fois qu’il est bien dur dans
ma bouche.
Ses rapides va-et-vient me font jouir rapidement, tandis que Samo, un
Yakuza, enfonce son gros mandrin, sept de diamètre et vingt-cinq de diamètre
dans ma bouche. Je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes
chaque fois que le membre gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge,
repoussant la langue et m’arrachant une nausée.
- Excellente suceuse, sa bouche est très bien dressée.
-Son puits me convient. Elle
sait maîtrisée le plaisir.
Samo m’encule à son tour, je suis allongée sur le dos, je dois fléchir
au maximum sur mon buste, tête-bêche, son gros mandrin rend ma sodomie
douloureuse. Mais je prends du plaisir.
Le sud-américain, Juan, et l’émir, Kamal, dotés tous les deux de gros
mandrins, me prennent en double anale, une première pour moi.
Kamal se met sur le dos pour que je m’encule dessus, offrant mon anus
dilaté à Juan. Ils m’enculent lentement puis plus rapidement ou violemment. Je
suis enculée en rythme. Ils rentrent par surprise, donne quand c’est possible
des petits coups plus sauvages et ardents, pour que les deux mandrins fassent
un maximum d’effet. Ils modifient régulièrement les cadences et je connais
plusieurs orgasmes anaux.
Pantelante, l’anus débordant de spermes chauds, Donatien me met un
nouveau gode anal : long de vingt centimètres et quatre de diamètre, avec
son gland bien dessiné, ses veines en relief et sa paire de testicules le
rendent encore plus réaliste. Donatien le gonfle jusqu’à sept centimètres de
diamètre. Je subis aussi des va-et-vient et des vibrations qui s’accroissent.
Je dois rester debout, à attendre le verdict.
Chacun remet sa mallette.
Je suis transférée dans la journée sur la côte, dans une luxueuse
villa, sous haute protection, avec mon gode anal vibrant en place.
Quand j’émerge, sans mon bandeau sur les yeux et ma bouche libre du
bâillon-pénis que j’ai porté, pour étouffer mes orgasmes anaux, je suis
allongée sur une chaise longue, près de la piscine, nue, avec mes carcans de
cuir, les mains libres, déchaussée.
Une grande brune aux seins plantureux, nue, au pubis et à la chatte
épilés, s’approche de moi :
- Miss Shawn, émerge. Tu es désormais la propriété
d’un Maître. Tu signes ton contrat d’esclave dès aujourd’hui. Tu vas être
fouettée pour ton premier jour à la Villa des Mille Soumises Dressées du Désir.
Je me lève, tenue en laisse par mon collier. Je la suis, il y a deux
hommes pour dix femmes.
J’entre dans le salon. Là, je découvre une femme nue, intégralement
épilée, aux petits seins, avec les seins, les fesses, le dos et les cuisses
cravachées, portant un masque de nuit, les bras en l’air, sur la pointe des
pieds, sur le carrelage froid.
- Tu vas faire équipe avec Câline Désir.
Je suis installée dans la même position, dans un face-à-face, bouche
contre bouche, limite baiser, mamelons contre mamelons tendus, les fesses bien
cambrées, cuisses écartées par une barre d’écartement.
La brune m’enfonce un gode anal gonflable moulé sur le sexe d’un
doberman, dans l’anus et Câline Désir reçoit le même gode anal, relié par une
tige courbée. Les godes sont gonflables, vibrants et dotés de va-et-vient
puissants.
Un valet tient une cravache, puis une garcette.
A chacun de mes orgasmes anaux, je suis cravachée d’abord sur les
fesses, dix à vingt coups en moyenne, puis sur le dos, les reins et le devant
des cuisses et l’intérieur des cuisses. Je gémis quand les coups cinglent
l’intérieur de mes cuisses.
Mes multiples orgasmes anaux m’épuisent, mais je résiste.
Au bout de trois heures, en sueur, assoiffée, malgré les rares gorgées
d’eau données au goulot de la bouteille, je reçois la visite de la brune.
- Tu es accro aux sodomies, Miss Shawn. Je vais t’en faire passer
l’envie. Détache-la. La punition du joug te fera du bien.
Détachée du crochet, on fixe mes carcans de mes poignets à un joug. Je
dois garder les bras tendus. On me coiffe d’une queue-de-cheval, pour maintenir
en place le crochet anal dans l’anus relié pour me maintenir le dos cambré et
la tête en arrière. La boule anale mesure cinq centimètres et pèse 500 grammes.
Je dois garder la barre d’écartement et je suis promenée en laisse,
dans la villa, cravachée et fouettée à la garcette. Je suis dédiée à sucer les
rares hommes présents.
Mon supplice dure cinq jours et cinq nuits, à sucer, en étant fouettée.
Le crochet n’est retiré que pour mes besoins que je fais dans le jardin, comme
une chienne soumise. Je dors peu, je suis nourrie de liquides mêlant des
stimulants sexuels.
13 mars,
Avant de me retirer le joug, à l’aube, j’entends un hélicoptère
atterrir non loin de la villa.
La brune vient me voir :
- C’est ton Maître, tu vas recevoir les anneaux aux grandes lèvres de
ta chatte et un anneau à ton gros clitoris comme toutes les autres soumises.
Je suis suspendue par mon joug. On m’épile la chatte. Les yeux baissés,
avec un bâillon-pénis, je sens qu’on perce mes grandes lèvres pour poser deux
petits anneaux dorés discrets, à chacune, soit quatre anneaux et mon clitoris
est percé horizontalement pour l’installation d’un anneau doré alourdi en son
centre par une pierre précieuse pour l’étirer. Il me faut deux à quatre mois pour
qu’il soit bien en place, soit le même temps pour mes grandes lèvres.
Le Maître vient admirer le travail.
- Très bien, le travail est excellent. Je suis Hussein, le frère de
Kamal. Tu es la propriété officielle de Tan Sen et Samo, pour leurs bordels SM
dans l’Emirat du Tamarzastan. Viens, je vais t’enculer, Emeraude du Vice.
Hussein possède un mandrin impressionnant, trente centimètres et six de
diamètre.
Prosternée, je suis longuement enculée. Il éjacule longuement dans ma
bouche.
- Kamal avait raison, tu as un puits bien ouvert, chienne soumise.
Je revêts une tenue plus sexy : un corset seins nus sous un
corsage transparent, dénudant entièrement les seins, avec des manches
mi-longues, dévoilant le galbe du sein, une jupe longue jusqu’à mi-cuisse à
l’arrière et assez courte devant pour dévoiler ma chatte lisse et mon pubis
velu, je suis chaussée de mules à hauts talons avec plate-forme. Je garde ma
queue-de-cheval. Je porte un gros bijou d’anus : cinq centimètres de
diamètre et douze de long pour poids : 899 gr. J’ai l’anus bien rempli et bien
lourd.
Je monte à bord de l’Ecureuil, assise cul nu. Nous rejoignons
l’aérodrome à proximité. Je signe mon contrat en trois exemplaires.
Là, je monte à bord d’un Falcon 900, qui nous conduit au Maghreb, où je
rejoins d’autres soumises. Nous sommes attachées nues, dans la soute d’un B747,
les mains menottées dans le dos, une chaîne nous relie à chacune par nos
colliers, une barre d’écartement nous empêche de nous masturber, nous portons
des bâillons-pénis et des masques de nuit. Nous sommes ainsi aveugles et
muettes, prêtes à être fouettées si nous faisons une faute.
L’avion rejoint la capitale du Tamarzastan, en six heures de vol.
A l’aéroport, je suis libérée de mes chaînes, on me fait monter dans
une limousine, toujours nue, aveugle, bâillonnée, les mains menottées dans mon
dos, déchaussée. Il faut chaud. Je suis en sueur.
Sur la banquette arrière, je me retrouve rapidement, l’anus libre,
étendue sur la banquette, sur le dos, les genoux sur les épaules. Un inconnu avec
un gros mandrin m’encule sauvagement. Je jouis sous le bâillon.
Il éjacule en moi.
Il me retire le bâillon et s’enfonce jusqu'à la gorge qu’il heurte le
fond de mon palais me fait jaillir de nouvelles larmes.
- Tu es facile, ton œillet est bien élargi, chienne soumise.
La limousine marque une halte.
Je suis enculée sauvagement par trois inconnus à tour de rôle, qui
éjaculent dans ma bouche.
Mon anus a du mal à se refermer sur mon bijou d’anus.
Enfin, nous franchissons le portail d’un palais oriental. Je descends
pieds nus, tenue en laisse par mon collier. Le sable est brûlant.
- Emeraude du Vice, elle rejoint le harem des appartements privés du
Prince Farouk, pour sa première journée. Elle sera lavée, parfumée et saillie
par Eclair du Haras des Vices.
Après un long dédale dans un grand bâtiment au centre de la forteresse,
toujours nue, pieds nus, ayant recouvrée la vue, tenue en laisse par mon
collier, les mains jointes dans mon dos, je suis abandonnée au rez-de-chaussée
devant une porte.
La porte s’ouvre et je découvre une pièce circulaire. Une porte unique
que je viens de franchir constitue son seul passage. La pièce est luxueuse,
éclairée par ouvertures dans le plafond et des persiennes sur les murs.
La porte est verrouillée.
Au milieu de la pièce, se trouve un grand bassin, où se baignent de
jeunes soumises intégralement épilées, portant des anneaux aux grandes lèvres,
à leurs gros clitoris et aux mamelons tendus, tatouées et marquées au fer
rouge. Elles me parlent dans un mélange d’arabe et de dialectes asiatiques.
Trois s’approchent de moi, libèrent mes mains, caressent mon corps, me
retirent mon bijou d’anus, pour me doigter longuement l’anus jusqu’à quatre
doigts. Je suis bien ouverte et je jouis sous leurs doigts.
J’entre dans le bassin, embrassée sur ma bouche, mes mamelons, ma
chatte et mon clitoris, par des expertes.
Je suis longuement lavée, ainsi que ma chatte et mon anus.
Elles introduisent une main entière dans ma chatte, pour me nettoyer et
mon anus subit le même sort. Je dois être propre, sans aucune trace de spermes.
A la sortie du bassin, je suis massée de toutes parts. Je m’endors.
Les soumises se relaient pour m’enculer au moyen de divers godes de
différents calibres, certains sont inspirés de sexes canins.
J’apprends en détail les us et coutumes qu'elle devait savoir adopter
dans ce monde.
Je fais mes besoins dans le jardin, accroupie, cuisses écartées,
surveillée par une des soumises.
Je dors sur un petit matelas souple posée à même le sol en compagnie de
mes partenaires de harem, autour du bassin central qui fait à peine un mètre de
profondeur. Dans ce bassin, nous y faisons toute nos toilettes. Je suis
constamment nue, avec souvent un bijou d’anus.
Parfumée, maquillée, la chatte épilée et l’anus épilé, le Prince Farouk
aime les pubis velus, qui est peigné à la brosse, la chatte et l’anus propres,
mes anneaux sont mis en valeur et brillent, je porte de lourdes boucles
d'oreille ornée d'améthyste, bracelets sertis de rubis ou saphir et divers
anneaux sont passés aux doigts et aux orteils. Je dois enfiler une jupe
entièrement transparente, dévoilant mon pubis velu, et un soutien-gorge quart
de seins assorti, dénudant mes seins et mes mamelons tendus aux aréoles
marrons. Je suis l’objet sexuel de Farouk.
Mais avant, en sortant du harem, tenue en laisse par mon collier, pieds
nus, je rejoins une pièce attenante au harem.
Là, je découvre un superbe étalon, le fameux pur-sang arabe, Eclair du
Haras des Vices, auquel je suis destinée.
Je retire ma jupe et accroupie, cuisses écartées, je caresse les
couilles de l'étalon et la base de son sexe, pour qu’il bande. Je me déforme la
bouche pour avaler l'énorme gland. Le cheval est rapidement au mieux de sa
forme avec plus de quarante centimètres de corps caverneux raide comme un
bâton.
- Ouh ! aie ! stop !
Je suis installée sur un chevalet, me rappelant celui du Domaine du
Bois des Sévices du Marquis. Je suis menottée.
Son sexe de cinquante centimètre m’encule. Je hurle, l’anus écartelé.
Ma bouche est vite remplie par des mandrins des amis de Farouk, que je dois
sucer et avaler. Le cheval m’encule sur près de la moitié de sa longueur. Il
contracte de façon saccadée son arrière train.
La saillie dure une éternité jusqu’à l’éjaculation. J’atteins l’orgasme
anal. Puis il éjacule dans mon anus, je suis anéantie. Quand l'animal retire
son vit, ce dernier continue de laisser échapper du liquide séminal.
Je dois nettoyer aussi Eclair, tandis que les amis m’enculent, l’anus
complètement distendu et boursouflé. Mon anus est grand ouvert et suinte.
- C’est une excellente jouisseuse anale, Farouk, dit un des amis, un
Européen.
- Elle est française, déflorée des deux côtés par mon fidèle, Brice,
qui me fournit ses plus belles soumises, annonce Farouk. Elle sera constamment
enculée pendant son séjour. Elle va pouvoir se restaurer.
Nue, je rejoins le bout d’une grande table, avec mon bijou d’anus pour
conserver le sperme.
Farouk me masturbe la chatte et me pelote longuement les seins, pendant
que je fais le service.
Excitée, les mamelons et le clitoris tendus, j’attire les regards.
Ma chatte rosie, les lèvres de ma chatte béante et trempée, sont
exposées.
Je rejoins la chambre, bien éclairée, avec de multiples glaces et
miroirs sur les murs et au plafond.
Deux soumises nues sont là pour m’observer.
Je me prosterne, cuisses écartées, selon les désirs de Farouk.
Farouk me rejoint :
- Alors, Emeraude du Vice, tu m’as plu lors de ta première saillie
anale équine. Tu es une sacrée jouisseuse.
Je n’ose répondre.
Farouk me présente son gros mandrin de sept centimètres de diamètre et
vingt de long, pour ses soixante ans.
Il me lèche longuement ma chatte trempée et mon clitoris tendu.
Il m’encule sauvagement jusqu’aux testicules qu’il fait claquer sur mes
fesses brûlantes. J’ai un nouvel orgasme anal.
Il éjacule en moi.
Il me cravache les fesses tandis que je garde la pose.
Une des soumises le suce et j’ai droit aussi de le sucer.
Il s’allonge sur le dos. Une des soumise guide son mandrin dans mon
anus encore un peu béant. Je dois m’empaler sur lui, de face, les cuisses très
écartées de part et d’autre du bassin, jusqu’aux testicules. Je m’accroche à
ses épaules, lors de ses va-et-vient, me balance d’avant en arrière doucement
puis il éjacule en moi. J’ai encore un orgasme anal.
- Très bien, empalée, tu me fais éjaculer rapidement, la belle.
Me libérant de son mandrin, je dois pivoter, m’empaler, dos à lui, le
masser pour qu’il rebande dans mon anus bien lubrifié. J’ai les cuisses
largement ouvertes sur celles de Farouk. Il me pelote les fesses, la chatte, le
clitoris et les seins aux mamelons tendus. Je suis empalée jusqu’aux
testicules. Je sens son mandrin bien dur, bandant, qui m’écartèle l’anus
jusqu’à l’orgasme.
Il éjacule une troisième fois.
Je me retire, le suce et le nettoie.
- Tu es endurante, Emeraude du Vice.
Après une courte pause à le sucer, Farouk s’allonge sur le dos. Je
m’empale sur son mandrin, enculée jusqu’aux testicules. Je passe la jambe à
l’extérieur du lit, pour une sodomie plus profonde. Il m’immobilise en plaquant
fortement une main sur une de mes cuisses, pour mieux m’enculer. Un orgasme
m’irradie.
Il éjacule encore.
Mon anus est alourdi par les litres de sperme.
Dans un torride face-à-face, tous les deux allongés, sur le dos, les
cuisses grandes ouvertes, enculée jusqu’aux testicules, je m’abandonne. Je
coulisse sur son mandrin pour une ultime éjaculation.
Gardant la pose, enculée, je dois subir la saillie de ma chatte par le
dalmatien Conan, long de douze centimètres et trois de diamètre.
Baisée jusqu’au nœud, je connais un double plaisir, Conan éjacule en
moi.
Très bien, tu aimes les doubles pénétrations.
Farouk me remet mon bijou d’anus et une des femmes me ramène au harem.
J’ai mal aux hanches à cause des fabuleux orgasmes que j’ai eu avec Conan.
A l'intérieur du harem, je suis lavée, ma chatte et mon anus sont
nettoyés.
Chaque soir, je suis baisée par Conan et enculée par Farouk.
Les saillies de Conan me rendent entièrement dépendante de lui, tout
comme avec Eclair, pour mes saillies anales équines.
Une fois, je suis prise en double pénétration, enculée par Eclair et
baisée par Conan, allongée sur Conan. Je subis de longues éjaculations par mes
deux amants.
Je garde mes hanches si étroites, le ventre plat, mes fesses rebondies
et musclées.
10 juin
Cela fait trois mois que je suis au harem. Mes grandes lèvres portent
deux plus gros anneaux dorés que les premiers anneaux que j’ai porté, à
chacune, soit quatre anneaux et mon clitoris reçoit un anneau plus gros doré
alourdi en son centre par une pierre précieuse pour l’étirer. Mes grandes
lèvres sont bien étirées maintenant. Farouk me les cadenasse lorsqu’il me
présente à ses amis. Je suis rarement enculée par ses amis. Mon anus reste
partiellement béant, suite aux multiples saillies anales équines que j’ai subi.
Farouk a trouvé de nouveaux amants équins pour me satisfaire dans les écuries
des champs de course du Prince. Lorsque mon amant équin gagne une course, je
dois passer une demi-journée à me faire saillir par ses soins.
Aujourd’hui, je dois éduquer de nouvelles soumises européennes,
fraîchement dressées, enculées (souvent déflorées par Farouk). Je maîtrise le
fouet, sur les ordres des anciennes. Bien sûr, je porte aussi des marques sur
mes seins, mes fesses, mon dos et mes cuisses. J’éprouve de la fierté.
Je reste l’esclave sexuelle du Prince. Il m’encule moins souvent dans
la semaine.
Je dois assister à la défloration anale d’une jeune beauté, Orchidée,
c’est une brune aux yeux verts. Elle fait 1,68 m pour des mensurations de rêve
84C-64-89, elle est tatouée sur le haut de ma cuisse droite et au poignet gauche,
son nombril est percé. Ses seins sont naturels. Son corps est mince, sa chatte
est épilée, je ne garde qu’un ticket pubien. Elle porte déjà les petits anneaux
à sa chatte, selon les règles en vigueur.
Je doigte l’anus d’Orchidée, qui se rebelle. Farouk la cravache.
L’anus bien lubrifié par sa mouille, j’enfonce le mandrin de Farouk,
que j’ai sucé.
Orchidée gémit, se contracte, obligeant Farouk à la cravache, je dois
lécher le clitoris tendu d’Orchidée et la première sodomie est réalisée. Farouk
m’équipe d’un gode-ceinture avec le sexe canin d’un berger allemand pour
l’enculer.
Je l’encule comme une chienne. Elle se rebelle, je la fesse et la
cravache.
Après quelques semaines de saillies anales canines puis équines pour
Orchidée, Farouk n’a aucun mal à l’enculer. Orchidée me lèche l’anus en même
temps, prête à me faire monter par le nouveau amant canin, un dogue allemand,
doté d’un mandrin long de vingt centimètres et six de diamètre en érection,
prénommé Hadès.
- C'est un des canidés les mieux pourvus. Tu vas apprécier de le
prendre dans ton puits !
A quatre pattes, Hadès me monte d’une seule traite et m’encule
directement.
- Quel sauvage !
Le dogue s'agite maintenant frénétiquement dans mon anus, je gémis,
mais le plaisir anal l’emporte.
- Il t’encule profondément et longtemps. Il vient d'entrer son nœud, il
te déchire l'anus. Il te dilate bien, c'est géant. C'est trop bon…
Le nœud gonfle et m’écartèle davantage l’anus. La saillie dure trois
quart d’heure avec l’éjaculation. Mon anus est rougi complètement ouvert et
dégoulinant de sperme.
- Ton anus est bien ouvert comme pour tes saillies anales équines.
Je passe de longues heures à me faire enculer par les amis jusqu’à
l’aube.
Farouk me fait subir des dizaines de sodomies et double anale par des
inconnus, dans divers bâtiments du palais pendant deux mois.
16 juillet
Vers 8 heures, je quitte nue le harem, en mules, tenue en laisse par
mes anneaux de la chatte, qui est cadenassée par deux gros cadenas. L’homme qui
m’escorte, me conduit dans la grande salle.
Brice, Duc Val et mon père Xavier et un de mes frères, Sylvain sont
présents, nus, sucés par les autres filles du Harem.
- Voici, Emeraude du Vice, ancienne Miss Shawn, à la bouche très bien
dressée, doublement ouverte, adepte des saillies anales canines et équines,
d’où son ouverture anale qui la font très demandée. Elle ne reçoit que du
sperme canin et équin dans sa chatte. Elle est masturbée par les autres filles
du Harem, c’est une excellente lesbienne, future bisexuelle. Elle porte les
anneaux de soumise, pour étirer les lèvres de sa chatte, dit Farouk.
Les quatre hommes me toisent, me caressent le corps, me font divers
compliments, me susurrent des paroles vicieuses, qui m’excitent. Je dois rester
les mains menottées dans le dos.
Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte, silencieuse.
Chacun me doigte l’anus assoupli et me fait lécher ses doigts.
Je suce chacun, accroupie, cuisses écartées.
Lorsque je suce Brice, Sylvain m’encule sauvagement, faisant claquer
ses testicules contre mes fesses brûlantes par les claques magistrales. Jamais,
je n’ai remarqué la grosseur du mandrin de Sylvain. Habituée par de gros
mandrins, je m’ouvre facilement.
- Un danois l’encule facilement, elle est très facile d’accès, susurre
Farouk à Sylvain.
Je me retrouve empalée sur le mandrin de Sylvain, Brice éjacule dans ma
bouche, j’avale jusqu’à la dernière goutte. Un orgasme anal me terrasse,
combiné à la longue éjaculation de Sylvain dans mon anus en feu.
Je dois sucer Duc Val et me faire enculer par Xavier.
- Quel puits, ma fille, tu possèdes. Il est bien assoupli.
Les chiens et les chevaux l’honorent régulièrement. C’est une vraie
chienne soumise à ses amants, une jument exceptionnelle.
En une demi-heure cependant, tout es terminé pour moi. Je suis en nage,
du sperme dégouline de partout sur mon corps.
Après un bain rapide, au harem, je reviens nue.
Emeraude du Désir va rejoindre l’Extrême-Orient à bord de mon B777,
pour parfaire son dressage. J’ai de nouvelles soumises dressées par ses soins.
Sans attendre, je rejoins l’aéroport, dans la limousine, nue sur la
banquette, aveugle, avec mon bâillon-pénis et un gros bijou d’anus, moulé sur
le devant du sexe du dogue allemand, me rappelant combien j’aime être remplie.
Nous sommes attachées nues, dans la soute d’un B747, les mains
menottées dans le dos, une chaîne nous relie à chacune par nos colliers, une
barre d’écartement nous empêche de nous masturber, nous portons des
bâillons-pénis et des masques de nuit. Nous sommes ainsi aveugles et muettes,
prêtes à être fouettées si nous faisons une faute.
Nous débarquons sur un aéroport privé, à la frontière entre la Chine et
le Vietnam.
Nous sommes séparées et vendues suspendues, les bras en l’air, sur la
pointe des pieds, cuisses écartées, ayant retrouvé la vue, la bouche libre.
- Voici Emeraude du Vice, beauté européenne, à la bouche bien dressée,
propriété de Tan Sen et Samo, dressée par le Prince Farouk, l’enchère est à
25.000.
Le vendeur m’écarte bien les fesses, pour montrer mon anus encore béant
par le bijou d’anus. Des caméras filment en gros plan, mes fesses, mon anus, ma
chatte cadenassée, mes seins, ma bouche.
Les enchères grimpent.
En une heure, les enchères sont à 125.000. Mais cela n’est pas encore
assez.
Je suis contrainte d’être enculée par un dogue allemand, devant les
acheteurs, pour plus de réalisme. Les ondulations de mon bassin trahissent mes
orgasmes anaux, qui durent une bonne demi-heure jusqu’à l’éjaculation. Je dois
nettoyer le sexe du dogue allemand.
Le compteur monte à 250.000.
Pantelante, je suis à nouveau menottée.
Un appel téléphonique annonce : 525.000 pour Emeraude du Vice.
Les bougies s’éteignent. Les enchères s’arrêtent à 800.000 par de
nombreux appels téléphoniques.
Je dois rejoindre le Vietnam à bord d’un cargo. Je passe la traversée
dans une cage, avec impossibilité de m’asseoir, me tenir debout, je dois rester
accroupie, cuisses écartées, menottée aux barreaux au-dessus de ma tête.
Les hommes me violent dans la cage, je suis nourrie de leurs spermes,
de divers légumes phalliques, enfoncés dans mon anus lubrifié.
Je passe trois jours en mer, avant ma destination.
20 juillet
A l’aube, le cargo accoste dans une baie protégée.
On transfère ma cage, avec une couverture dessus, pour éviter de
reconnaître les lieux.
On ouvre la cage dans un grand bâtiment. C’est un bordel réputé.
J’ai droit à une douche sommaire, un lavement.
On enduit mon corps d’une poudre dorée, qui cache un stimulant sexuel.
Ce qui déclenche une excitation, mes mamelons et mon clitoris sont tendus à
l’extrême.
Je porte des pinces à seins, à mes mamelons tendus et à mes grandes
lèvres, munies de lourdes clochettes qui tintent et se balancent entre mes
jambes, étirant simultanément mes mamelons et mes grandes lèvres.
Sans ménagement, je suis conduite dans une grande cage, où je dois danser,
retenue par une chaîne venant du plafond de la cage, fixée à mon collier. Mes
carcans sont remplacés par ceux en fer inoxydable, articulés et à demi rigides.
Ils étaient hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même
métal. Je dois les garder jour et nuit, même pour me baigner. J’en porte à mon
cou, mes bracelets et à mes chevilles. On farde ma bouche, mes paupières et mes
mamelons en rouge, ainsi que les petites lèvres de ma chatte.
Je dois danser des heures, nue, en mules. Je porte aussi une chaîne,
pareille à celles avec lesquelles on attache les chiens d’un mètre et demi de
long, et se termine par un mousqueton, fixé au plafond de la cage. La chaîne
entoure ma taille. Je suis intégralement épilée, ma toison pubienne a disparu.
Il y a des dizaines d’invités fortunés, masqués, nus, qui s’occupent
des filles.
Je suis enculée à de nombreuses reprises par les inconnus. On aime mon
anus assoupli. Je reçois des billets à mes pieds. Certains se masturbent et
éjaculent sur mon corps, certains me font sucer leurs mandrins, tandis que
d’autres se relaient pour m’enculer sauvagement, me fessant.
Puis un client me gagne aux enchères. Je suis soigneusement nettoyée du
sperme.
Nue, tenue en laisse par ma chaîne, par un vigile, je rejoins dans ma
chambre, entièrement recouverte de glaces et de miroirs, cachant des caméras et
des appareils photographiques à déclenchement automatique, qui diffusent en
direct, sur des réseaux confidentiels, mes ébats sexuels.
Il y a un grand lit en rond, une coiffeuse avec un gros vibromasseur
anal sur le tabouret, une douche et des toilettes.
Chaque client m’encule sauvagement, après de longues caresses,
masturbations de ma chatte et mon anus, que je l’ai sucé, dans de torrides 69.
Il fait souvent venir un doberman spécialement dressé, Hannibal, pour qu’il
m’encule, pour que le client me baise, lors de plusieurs doubles pénétrations
jouissives, décuplant mes nombreux orgasmes, suivis d’éjaculations.
La secrétaire de DMV que je suis, devient en trois mois d’esclavage au
Vietnam, une vraie esclave sexuelle prête à tous les désirs.
Fin septembre
Duc Val me rejoint dans le bordel.
Je me réveille, d’une courte nuit de sodomies et de doubles
pénétrations par de riches clients.
Je suis allongée nue, sur mon lit, cuisses écartées, l’anus béant,
dégoulinant de spermes canins et humains, la chatte entrouverte, débordant de
spermes canins et humains.
- Alors, Miss Shawn, alias Emeraude du Vice, tu es devenue une superbe
esclave sexuelle. Tu as été marquée hier soir au fer rouge, sur tes fesses, des
lettres EV sur ta fesse gauche, pour Emeraude du Vice et SD pour Sir Nathan et
Duc Val, tes propriétaires officiels. Une plaque fixée à un de tes anneaux
porte la cravache et le fouet entrecroisés et Miss Shawn, Comte X. Ainsi, tu es
officiellement ferrée, marquée, avec ta bouche bien dressée, doublement
ouverte. Je te ramène par le jet privé. Ton dressage et ton instruction en
Extrême-Orient s’achèvent. Tu redeviens la secrétaire de direction du Comte X.
Tu as compris ce que l’on attends de toi.
6 octobre
Je me présente à la tour DMV. J’ai quitté ma chambre de Désir Valeur
Morale pour une villa, conduite tous les jours, par mon chauffeur, Hermine. En
effet, Hermine me baise tous les jours depuis mon retour, la chatte libre de
mon cadenas, que j’ai remis à Duc Val. Hermine doit me faire assurer une
descendance.
Nue sous mon nouveau tailleur fuchsia, sans chemisier, ni
porte-jarretelles ni bas, juste en mules à très hauts talons, fardée, parfumée,
je retrouve Aimée et une nouvelle, disons plutôt un homme travesti en femme
soubrette.
- Tiens, Miss Shawn, tu es rayonnante. On n’a pas trouvé de remplaçante
à la hauteur. Mais cette soubrette, Lopette Yannis, est à la hauteur, avec sa
cage de chasteté et sa boule anale.
C’est le fameux Yannis qui m’a violé avec Donatien, au Domaine du Bois
des Sévices du Marquis.
Il garde les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Tu me lécheras le clitoris, Lopette, quand j’en éprouverais le
besoin.
Je baisse ma jupe, dévoilant mes anneaux, ma plaque et mes fesses
marquées au fer rouge.
- Miss Shawn, tu es…
- Silence, Lopette, qui t’a autorisé à parler. Mène-moi au bureau du
Comte X.
Il m’escorte jusqu’au septième. Il frappe et ouvre la porte.
Je découvre Xavier, enculant Sylvain.
- Ma chérie, Sylvain est ta seconde lopette. Sache que tu seras enculée
par moi, plusieurs fois par jour. Je t’ai choisi un danois pour te faire
saillir.
- Merci, je suis devenue la pute familiale, soumise, père.
- Non, ma chérie, tu as le rang de Maîtresse, Lady Shawn Miss des
Baisers du Désir. Viens me sucer, Sylvain m’a fait jouir.
Bons baisers de Shawn, votre esclave dévouée, j’ai hâte de
vous rencontrer.

dressage d'une secrétaire en soumise
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