lundi 9 novembre 2020

18 ANS ETUDIANCE DU VICE 2E PARTIE

 

Je m’appelle Shawn.

J’ai 18 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis lisse entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est lisse. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

Je porte des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte totalement lisse, un anneau doré avec une pierre précieuse à mon gros clitoris, pour me faire reconnaître.

 

18 ANS ETUDIANTE DU VICE 2E PARTIE

 

4 juillet

Vers 3 heures, j’émerge dans ma chambre, enchaînée à mon lit, en guêpière, en sueur, bras et jambes écartées, Lancelot m’enculant, sous un slip cadenassé, laissant passer mes grandes lèvres humides percées. J’ai une envie de me soulager. Les rêves SM m’envahissent et me font jouir.

Vers 7 heures, enfin, Maître D vient me voir.

- Tu as une énorme envie, ma belle Shawn. Je vais te libérer de ton Lancelot.

Libre, Maître D me baise frénétiquement, sans me donner d’orgasme.

Je peux me soulager, en pissant debout, tout en masturbant Maître D, avant une longue sodomie, allongée sur le dos, cuisses écartées, menottée.

Je reste menottée jusqu’à neuf heures.

Equine Vicieuse me douche. Je reste nue et en mules. Je suis la soumise de Maître D.

Je déjeune, au salon, empalée, enculée, bien ouverte et lubrifiée par Lancelot sur Maître O, qui a passé la nuit ici.

- Tu as bien aimée, mon chaton, ton jeu de Maîtresse.

- Oui, Maître, alors qu’un orgasme anal commence à m’envahir. Qui est Lopette…

Maître O m’envoie un long jet de spermes chauds. Je me retire, à la fin de mon orgasme désiré par Maître D. Je le nettoie.

Maître D m’encule à son tour, à quatre pattes, cambrée, me fessant magistralement.

- Ma chienne Shawn, tu as interdiction totale de connaître la Lopette d’hier soir. C’est la règle. Seuls les Maîtres connaissent ta vraie identité.

- Bien, Maître, ce sera un inconnu soumis.

- Tu comprends très vite. Va te baigner, Equine Vicieuse va te présenter à Virginie Désir, une beauté de 16 ans, très belle. Elle sera ta soumise désormais. Tu la dresses selon tes désirs.

Je découvre en compagnie d’Equine Vicieuse, une jeune fille brune aux longs cheveux, aux petits seins, intégralement épilée, qui se baigne avec elle, dans une piscine intérieure couverte sur la terrasse.

- Viens te baigner, pour muscler ton corps de pute. Voici V D, elle est pour toi. Elle te désire aussi, après les photos et les vidéos qu’elle a vu de toi, au Domaine.

- Je veux la caresser, son superbe corps, dit V D.

- Tu as interdiction d’avoir la moindre caresse, qu’elle t'embrasses sur la bouche, et de te laisser embrasser par elle. Par contre, mais tu devra regarder comme A D se fait caresser par moi, fouettée par moi ou un homme, dit Equine Vicieuse.

Je me baigne dans la piscine, avec mon bijou d’anus, sous le regard de V D. Je regarde sa chatte lisse et vierge, son anus l’est aussi, tout comme à mes débuts. Je fais quelques longueurs.

Je me sèche, allongée sur le ventre, sur la chaise longue, offrant mon corps au soleil, enduite de crème solaire. Je lis et apprends par cœur les instructions des Maîtres du Domaine.

Puis Maître O vient me cravacher les reins et les fesses. Je jouis sous les coups, avant de m’enculer longuement dans cette position, je m’ouvre davantage, ses testicules claquent contre mes fesses brûlantes.

- Oui… Oui… Encore…

- Tu aimes que je te prenne. Tu es faite pour être une soumise comblée.

Il se retire avant mon orgasme anal et éjacule sur mes fesses zébrées.

Je suis offerte aussitôt à un nouvel inconnu dont je ne vois que son long et imposant mandrin de vingt-sept par huit. Il l’insère quelques instants dans ma chatte pour le lubrifier et m’encule alternant profondeur et partiellement, tout en écartant bien mes fesses pour mieux me prendre. J’agite ma croupe, pour le faire bander davantage, tandis que ses mains enserrent mes seins lors de ses sodomies profondes.

- Oui… Divin… Encore…

L’inconnu reste silencieux, mais il m’inonde largement l’anus écartelé. Je le suce, tout en gardant ma position.

- Quelle superbe bouche, dit l’inconnu. Bien dressée, un œillet bien élargi, des seins de déesse, une taille affinée, le summum du plaisir.

L’inconnu me remet mon bijou d’anus et Maître D me présente à lui :

- Chienne D A, voici Sir Stephen, un Maître très exigeant avec ses soumises. Il t’a repéré à l’université et a des photos de toi, nue dans ton appartement, te caressant. Tu dois obéissance comme depuis ton séjour au Domaine. Il t’a déjà prise là-bas.

- Qu’elle garde sa toison pubienne, mais sa chatte soit constamment lisse. J’aime voir ses anneaux et son clitoris percé. Tu es une lesbienne, devenue soumise bisexuelle et aussi Maîtresse pour soumis comme hier soir. Tes multiples sodomies t’ont rendu l’œillet sensible à la moindre pénétration, ta chatte a subi le même traitement, ton clitoris et tes mamelons sont très sensibles, dit Sir Stephen, un bel athlète de 60 ans.

- Sir, prenez-moi encore.

- Elle aime ça. Elle passera quelques jours ici, avant de me rejoindre. Elle doit devenir une soumise respectable et respectée. Tous les hommes non membres du Domaine ne sont pas tes amants, ma belle Shawn.

- Oui, Sir, j’ai compris.

Adieu, Sven et Charles Thierry, je dois me contenter d’autres amants plus mûrs. J’ai été observée, nue, me masturbant par ce bel athlète, mon nouveau Maître. C’est excitant de le savoir.

- A quatre pattes, je vais t’offrir à mon Mastiff Jason, tu vas aimée. Libère ton œillet.

Le Mastiff m’encule d’une seule traite jusqu’au nœud. Je subis ses coups de reins, jouissant rapidement.

- Quel plaisir de voir enfin une soumise chienne prendre du plaisir dès le premier coup.

Je connais trois orgasmes anaux en trois quart d’heure. Je suis pantelante, mais j’arrive à sucer Jason, pour le remercier. Maître D me remet le bijou en place.

 V D a tout vu.

- Tout le mérite est pour toi, ma belle Shawn. Tu as des compétences sexuelles hors pair.

- Merci, Sir.

- Non, il faut remercier le Baron, qui t’a initié à la saillie anale canine, jusqu’au dogue allemand. Tu es bien élargie, donc Jason n’a eu aucun souci pour te faire jouir. On se revoit bientôt, ma belle Shawn. J’ai filmé ta saillie anale avec Jason, tu l’as sur ton téléphone portable si tu veux te jouir en te regardant. Faites-lui porte régulièrement Lancelot encore quelques jours, entre huit à dix heures, avant de longues saillies et des saillies anales par vos dogues allemands uniquement pour D A. Elle a pris goût aux bergers allemands, aux malinois et aux dobermans. Mon chaton D A, tu vas monter rapidement en progression de soumission. Tu es dédiée au SM hard.

 

Je passe cinq jours enculée de façon espacée par Arès et son frère Apollo, dans diverses pièces de la villa, devant Maître D, Equine Vicieuse et V D, portant le gode Lancelot huit à dix heures, souvent la nuit et le matin. Dès mon anus est libre, je me fais mon lavement anal pour être propre. J’enduis mon anus de miel pour mes saillies. Je suis aussi fouettée tous les jours, portant aussi la guêpière ou un porte-jarretelles étroitement lacé pour affiner ma taille.

Lors de mes repos, pour ménager mon physique, Maître D vient solliciter ma chatte, laissant mon anus à d’autres amis.

 

9 juillet

Avant le départ au restaurant, Maître D me cravache les seins et le devant de mes cuisses, mes reins et mes fesses, pour être présentable. Je suis ainsi excitée.

Je me douche longuement pour retirer mon odeur de chienne, me farde, me parfume longuement, avant de mettre ma robe à corselet seins nus à jupe éventail blanche, des mules blanches à hauts talons de douze centimètres, les cheveux libres.

Vers 20 heures, nous retournons au restaurant. Il y a aussi Maîtres E et O, une jeune soumise. Je suis aux anges, les yeux baissés, devant mes Maîtres.

- Au fait, mon chaton Shawn, il paraît que Sven t’a surprise en train de te caresser sensuellement en train de regarder ta chérie Aimée sous la douche, le 20 juin. Il t’a caressée ensuite pour te faire jouir. Puis tu as joui avec moi, le 21 juin, tu as joui devant moi avec ton téléphone portable le 2 juillet avant une longue promenade tous les deux et surtout dans ce lieu le 3 juillet, dit Maître O.

- Maître O, ne me parler plus ce pervers, vicieux Sven. Il m’a caressé les fesses le 2 juillet peu après le départ d’Honoré, je jouissais en enfonçant mes doigts dans mon œillet bien lubrifié. J’ai me refaire jouir, après son départ.

- Il sera sévèrement puni son comportement. Toucher une soumise du Domaine est passable de très lourdes sanctions comme lopette pour des saillies canines, dit Maître D.

- Maître, j’accepte la punition à donner à Sven.

- Ce sera fait, mon chaton Shawn, dit Maître O.

Je caresse la jeune soumise aux toilettes pour femmes, elle possède une coupe à la garçonne blonde, comme Aimée, de jolis petits seins, intégralement bronzée et épilée, ferrée, en plus de ses bijoux intimes. Je l’amène à un long orgasme, en doigtant simultanément son anus et sa chatte, mes doigts sur son clitoris que je masturbe. Elle ne me caresse pas en retour, selon les voeux de son Maître, que j’accepte.

Puis un inconnu qui me drague soit éconduit par mes soins et que Maître O m’encule devant les toilettes pour hommes, penchée en avant jusqu’à mon orgasme anal et il éjacule sur mes fesse et dans ma bouche. Je me rattrape avec Maître O.

-  Quel plaisir de te reprendre après cinq jours, offerts à tes amants canins. Je te laisse le droit de jouir et d’inonder ton puits bien ouvert de vicieuse, dit Maître O.

- J’aime que tu me prennes ainsi à l’improviste.

Je finis le souper par mon dessert. Les autres clients sont déjà partis.

Maître D annonce à l’inconnu qui m’a dragué, qu’il a totale interdiction de m’approcher. Maître D me susurre à l’oreille

- Shawn, n’oublies tu dois te lever à 7 heures, demain, pour ta remise à Sir Stephen.

- Oui, Maître, je serais à l’heure.

Je dois me lever demain matin. Sir Stephen doit venir me chercher pour me conduire à sa villa en Eure-et-Loir, je dois la région Parisienne. Ma Ferrari F40 a déjà rejoint ma nouvelle résidence, ainsi que ma garde-robe.

Je dors nue, menottée, prosternée, l’anus enduit de miel pour mes saillies anales canines nocturnes et mes nombreux orgasmes que je connais.

 

10 juillet

Vers 7 heures, après une ultime saillie anale par Arès, prosternée dans mon lit, l’anus dégoulinant, menottée à mon lit, je suis libérée par Maître D. Je me douche, fais ma toilette intime et mon lavement anal. Je déjeune à la salle à manger, nue, pieds nus, avant de me farder, me parfumer. Je m’habille d’un corsage fuchsia moulant sur mes seins nus, dont les mamelons durcis apparaissent, dos nu jusqu’à mon tatouage de mes reins, avec une minijupe noire couvrant à peine mes fesses nues, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres. Je m’appelle désormais nièce Désiré, pour Sir Stephen.

Nous partons vers 8 heures, avec Sir Stephen, à bord d’une BMW cabriolet jusqu’au Domaine. Là, nous prenons un Dauphin pour rejoindre l’Eure-et-Loir.

Le vol dure six heures, où je m’offre aux caresses de mes cuisses écartées, assise fesses nues sur la banquette arrière et aux longs baisers langoureux. Je garde constamment les yeux baissés, soumise.

La villa est isolée, sur deux étages, avec une piscine extérieure, un grand jardin, mais sécurisée par des maîtres-chiens, des patrouilles à cheval et de discrètes caméras de surveillance hors et dedans la villa.

Vers 14 heures, je fais la connaissance de la soubrette Prudence, 18 ans, une jolie brune aux petits seins, mis en valeur par sa robe de soubrette dénudant entièrement ses seins percés d’anneaux dorés, son pubis et sa chatte sont totalement épilés, avec des anneaux dorés aux grandes lèvres de sa chatte et un anneau doré avec une pierre précieuse à son gros clitoris percé. Elle a été fouettée sur les fesses, les cuisses et les reins. La robe couvre à peine ses fesses nues, un tablier blanc et une coiffe complètent sa tenue, fardée et parfumée. Elle porte des mules noires à talons de quinze centimètres, coiffée d’un chignon.

Je retrouve le Mastiff Jason et le majordome, un bel étalon de 35 ans, MPA, un Africain noir, qui conduit aussi la limousine blanche de Sir Stephen. Ma Ferrari F40 est stationnée à ses côtés, devant le rond-point de la fontaine du Désir, avec une statue qui me représente nue.

Au rez-de-chaussée, dans le salon, je retrouve la statue de l’Adonis de ma cellule, une copie. Au salon, il y a deux canapés, une table basse, puis la salle à manger avec une grande table en verre et des chaises. Le sol est en marbre.

La cuisine est au sous-sol, ma chambre est au premier étage reliée par un escalier en bois, devant une grande salle de bains avec baignoire scindée avec un jacuzzi, des miroirs et des glaces couvrent tous les murs et le plafond, un bidet pour mes lavements, un urinoir pour que je puisse pisser debout et utiliser la cuvette pour me soulager. Sir Stephen me pèse et cela se fera chaque jour le matin et le soir et chaque centaine de gramme pris sera sanctionné avec un régime à suivre.

Ma chambre est équipée d’un simple lit, sans volet ni rideaux, donnant sur la piscine, un grand miroir pour m’habiller, près d’une coiffeuse munie d’un tabouret avec un gode anal réaliste, pour me faire belle, une armoire avec ma garde-robe. J’ai interdiction formelle d’aller au second étage, dédié à Sir Stephen, MPA et Prudence.

Je m’y tiens, car je suis soubrette comme Prudence. Prudence me désire sexuellement, mais Sir Stephen me destine à une autre femme. Je porte la même tenue, corsetée pour cambrer mon dos, les fesses en arrière, mes seins offrent mes mamelons tendus, qui moule mon corps, met en valeur mes formes, me tient droite, que Prudence, avec mon chignon, sauf que je porte des sandales noires à talons de quinze centimètres pour m’habituer à la hauteur de talons. Je marche à un peu de grâce pour descendre l’escalier sans tomber. Des pinces à seins à mes mamelons sensibilisés et aux grandes lèvres de ma chatte, qui se balancent, avec des clochettes légères qui tintent à chacun de mes pas. Ma silhouette est plus élancée, mes chevilles et mes mollets sont tendus, cela me fait des jambes superbes et en accentuant mon déséquilibre en avant, mes talons me forcent à  redresser le buste et à creuser les reins. Je dois faire des petits pas serrés au début

Vers 17 heures, le Dauphin fait un rapide aller-retour, pour amener des invités pour la soirée. Je suis un peu fatiguée, par le voyage et les tâches ménagères que j’exécute sans aucun défaut. Sir Stephen le remarque, surtout mes fesses nues qui l’excite, tout comme MPA. Je me déhanche un peu, mais juste ce qu’il faut.

Je dois accueillir dès le poser, les invités et Prudence s’occupe des plateaux.

Le vent soulève ma jupe, dévoilant mon pubis velu, ma chatte et ses bijoux intimes à un bel étalon Africain, Pilon X, 35 ans, et son amie Orchidée Orgasme, une superbe brune Brésilienne, aux seins plantureux, 92C, que je conduis au salon.

Sir Stephen me fait boire un jus de fruit mélangé à un excitant sexuel. Assise à la demande de Sir Stephen entre Pilon X et Orchidée Sauvage, je découvre que c’est une transsexuelle, bien monté. Je les masturbe tous les deux allant jusqu’à les sucer, avalant tout.

Soudain, je suis prise d’une légère somnolence.

- Viens, ma belle, je vais te coucher. Tu reviendras quand tu seras mieux.

Sir Stephen me porte dans ses bras jusqu’à ma chambre.

Il me déshabille, en me laissant mes clochettes, je me laisse faire. Nue, il me conduit à la salle de bains et m’allonge dans un bain à bonne température, préparée par Prudence. Je me laisse me laver, avant de me coucher nue, sur les draps. Inconsciemment, je garde mes cuisses écartées, la chatte humide de désir de ses deux invités. Je m’endors d’une seule traite.

Vers 22 heures, je me réveille, m’habille et rejoint les invités que j’ai déçu et je leur annonce en descendant l’escalier, le tintement de mes clochettes les fait alerter.

- Je suis totalement désolée de mon comportement, Sir Stephen. Je dois m’excuser de ne pas avoir fait mon service correctement.

- Non, D A, tu es excusée. Nos invités sont au courant de tes cinq jours de saillie et le long voyage jusqu’ici. Pilon X souhaite que tu participes à un casting pour ton premier film porno SM, car tu as le physique et les qualités sexuelles requises.

Un film ? Quel film ? Je suis aussi actrice, en plus d’être soumise. J’ai droit de me restaurer, j’ai très faim.

- Oui, D A est l’actrice principale d’un film porno, avec des scènes SM, comme tu le fais depuis ton séjour au Domaine, dit Pilon X. Même s’il est tard, je vais réaliser une entrevue ici avec toi, mon équipe de tournage. Tu vas te présenter, comme D A, ton pseudo de porno star, tout ce que tu aimes dans le sexe, tes fantasmes, en te déshabillant en direct pour les futurs producteurs et réalisateurs. Tu peux rester discrète sur certaines questions posées. Je comprends que tu sois un peu timide.

Je m’exécute, un peu fatiguée, Sir Stephen me retire mes clochettes, mais excitée, devant un caméraman, une maquilleuse, Pilon X et Orchidée Orgasme, Sir Stephen, Prudence et MPA, plus deux autres inconnus. Je réponds de mon mieux, le regard fixé sur la caméra, sans les baisser. J’ai même droit à un gros plan sur mes yeux, pour envoûter mes futurs producteurs. L’entrevue dure une bonne heure, nue, avec une sodomie par Pilon X et une avec Orchidée Sauvage, suivie d’une double fellation où j’avale tout, telle une soumise docile.

Pilon X aime mon anus serré, qui s’ouvre tout grand, élargi, quand il m’encule jusqu’aux testicules, qui claquent contre mes fesses brûlantes par quelques coups de cravache donnés par Sir Stephen pour montrer ma soumission.

- Tu aimes être cravachée, ma belle D A, dit Pilon X.

- Oui, mon Pilon X, je suis au sommet du plaisir.

On filme en gros plan, mes fesses, mes bijoux intimes et mes reins tatoués, qui vont compléter mon fichier du Domaine avec mon nom D A, avec d’autres photos et vidéos de moi, depuis le 21 juin. Les admirateurs augmentent de jour en jour. Sir Stephen garde mon téléphone, qui sonne dès la fin de l’entrevue. Je dois déjà répondre à des propositions de producteurs, après ce film. Je ne sais pas quoi répondre, Sir Stephen leur donne une réponse, me laissant entre les mains de l’équipe de tournage.

Je signe aussi le contrat, de la maison de production dirigée par Pilon X et Sir Stephen. Ce dernier est propriétaire d’une joaillerie qui fournit les pierres précieuses au Domaine. Sir Stephen a d’autres activités qu’il dirige depuis sa villa.

Vers 23 heures, je fais la connaissance des deux inconnus, La Vallée des Apollon,  V A pour les intimes, un bel Adonis blond de 25 ans et Pierre Alexandre, 45 ans, un superbe brun en homme d’affaires, un producteur qui va produire le film avec Pilon X. Sir Stephen y participe financièrement. Je vais gagner un bon salaire sur cinq jours de tournage à la villa. Je dois m’offrir, pour une double pénétration, enculée par V A et baisée par Pierre Alexandre, dos à V A, les cuisses grandes ouvertes.

- Sven, il t’encule mieux que moi. Tu n’es pas trop détendue. Elle est trop grosse, dit V A.

Je reste silencieuse, préparant ma vengeance.

Je passe la nuit, doublement offerte à Pilon X et à Orchidée Orgasme, pour le tournage du lendemain. Je suis d’abord couchée sur Pilon X, pour satisfaire ma chatte, enculée par Orchidée Orgasme puis je suis enculée par Pilon X, dos à lui, cuisses grandes ouvertes. Je suis doublement inondée. Nous passons un long moment dans le jacuzzi, pour nous relaxer, avant de nous endormir vers 2 heures du matin.

- Remarque comment elle se comporte cette chienne D A, dit Orchidée Orgasme que je suce. Elle aime se faire saillir, comme une authentique chienne vicieuse.

- Elle a un vrai talent caché d’actrice, dit Pilon X. Demain, tu commences.

Ces commentaires me font jouir quand j’avale le sperme d’Orchidée Orgasme et celui de Pilon X.

 

11 juillet

Vers 6 heures, je me lève la première, nue, me fais une toilette rapide, mon lavement, m’habille, fardée, parfumée, en moins d’une demi-heure, descends pieds nus, en tenant mes sandales, pour ne pas faire de bruit. Je remets mes sandales, mes clochettes sont mises en place, comme me l’a fait Sir Stephen.

V A est déjà réveillé. Il me désire, en m’exhibant son mandrin, qu’il masturbe et je suce, tout en montant les plateaux du petit déjeuner depuis le sous-sol. Le chef m’a repérée et comme bien me prendre aussi. C’est un bel étalon brun de 55 ans, bien monté. Je monte en douceur les escaliers entre la cuisine et le rez-de-chaussée, pour ne pas faire tomber le plateau, les clochettes tintent et m’excite.

- C’est toi la chérie de Sven, dit V A.

- V A, je ne veux pas que l’on prononce ce nom.

- Tu es bisexuelle. Donc tu aimes Sven, dit V A.

Sir Stephen nous rejoint.

- V A, c’est la vie privée de mon chaton nièce Désirée. Respecte-la. Elle a besoin d’être entourée, consolée et surtout quand elle donne un ordre, à lui obéir.

- Merci, Maître Stephen, pour votre attention.

Il m’enserre dans ses bras, pour me calmer. Il me trouve un peu excitée par V A.

Après mon petit déjeuner, pris assise, la jupe bien relevée, les cuisses écartées, devant les deux hommes, je fais le nettoyage de la table basse du salon, en verre transparent. Je le fais à la perfection. V A me rejoint, continue à se masturber et réussit à éjaculer sur la table basse, pour que je me penche davantage. Sans attendre, je lèche son sperme sur la table, sans savoir que je suis déjà filmée depuis ma descente au salon.

Sir Stephen m’encule dans cette position et je me retiens de jouir, mais Sir Stephen tient à mon orgasme anal, pour le film. J’explose, tout en suçant et nettoyant V A.

Vers 8 heures, je continue mon nettoyage, sur l’Adonis, que je fais lustrer, dans des poses érotiques, montant sur un escabeau, pour atteindre son visage, dévoilant mes fesses nues couvertes du sperme de Sir Stephen.

Prudence continue le service pour Pilon X, Orchidée Orgasme et l’équipe de tournage lors d’une pause. Les commentaires me complimentent sur ma première scène sans aucune reprise.

Je suce avec Prudence, les mandrins offerts.

- Tu suces comme une pute, D A. Sven me sucera mieux, dit V A.

Vers 10 heures, j’achève la mise en beauté de l’Adonis, simulant des caresses de son corps, fantasmant pour les besoins du film, pensive, rêveuse, mais terriblement excitée, j’en suis toute trempée, mon clitoris et mes mamelons ne peuvent le trahir. Sir Stephen m’a retiré mes clochettes pour être plus séduisante.

Vers 11 heures, en me rendant à la piscine extérieure, Jason me fait tomber, à quatre pattes. Il m’encule jusqu’au nœud, devant l’objectif de la caméra, alors que je devais m’offrir à Pilon X, à l’hélicoptère. Je connais trois violents orgasmes anaux, bien inondés de ses jets de spermes chauds pendant une bonne demi-heure. Je le suce après son retrait, mais Orchidée Orgasme m’encule ensuite, me traitant de chienne pour m’offrir à Pilon X. Je porte un court instant mon bijou d’anus.

Je suis d’abord baisée penchée en avant et enculée, nue, cuisses écartées, tenue par les chevilles, pour une double vague de plaisir. Je suce Pilon X et Orchidée Orgasme, avant un bon bain bien mérité. V A m’accompagne.

Vers midi, toute l’équipe mange, je dois m’empaler, nue, enculée sur V A, à sa demande, assise entre ses cuisses, livrée aux caresses de mes amants. Prudence est très jalouse, car elle aime secrètement V A. Sir Stephen le remarque lorsque Prudence fait le service, par des discrètes insultes à mon encontre.

- La queue de Sven est mieux que la mienne, tu préfères un trente par six qu’un trente-cinq par sept.

- Je choisis qui je veux pour me faire plaisir, peut importe le calibre. Je suis bien ouverte de l’œillet, même une queue d’un dogue allemand me comble.

- Bien parlé, mon chaton nièce Désirée, dit Sir Stephen. Elle a des préférences sexuelles, tu as vu avec Jason.

V A reste silencieux jusqu’à m’inonder l’anus. Pilon X lui fait un sermon devant moi, juste avant une scène avec lui, le soir.

- Tu vas arrêter de t’occuper des affaire de nièce Désirée. Tu me la contraries, cela influe sur son texte et son désir sexuel, dit Pilon X.

- C’est ça, tu l’aimes. Elle est plus désirable que la queue de Sir Stephen, qui a l’habitude de faire jouir, dit V A.

J’arrive derrière, V A, nu, je lui enserre les testicules.

V A perd l’équilibre et s’agenouille. Cela surprend tout le monde.

- V A, tu me dois le respect et tu risques certainement de quitter la villa d’ici ce soir.

Le silence règne puis des applaudissements envahissent la pièce.

Pierre Alexandre arrive, nu, le mandrin en érection, du trente-huit par neuf.

- Ma chérie Désirée, tu veux que je le vire. Cela est fait le champ. V A, tu es viré, tu iras au Domaine, chercher une autre pute, mais à pied. Ta Porsche est désormais ma propriété.

- Mais…

Je pose le doigt sur la bouche de V A.

- Tu obéis, sinon, je serre davantage et tu vas sentir mes longs ongles dans tes parties.

- Oui… Désirée, je me retire. Je m’excuse.

V A part la queue basse, avec ses valises, devant l’équipe de tournage.

Vers 14 heures, Pierre Alexandre me montre la superbe Porsche cabriolet louée.

- Ce modèle te plait. Il paraît que tu possèdes la Ferrari F40 rouge sur le parking, dit Pierre Alexandre.

- C’est combien la location ?

- C’est gratuit pour toi, inclut dans ton contrat exclusif, D A, dit Pierre Alexandre.

 -Surtout, pas un mot sur Sven, je suis à cran.

Je l’embrasse langoureusement, devant Sir Stephen.

Prudence est jalouse, que je sois en compagnie de Pierre Alexandre.

Sir Stephen m’invite à prendre un bain pour me relaxer. Je suis trop énervée, excitée sexuellement et je ne veux plus entendre le mot Sven. Je me repose seule, dans ma chambre, avant de reprendre le service.

Vers 16 heures, je fais le service à la piscine, rhabillée. Jason se repose. Prudence se montre un peu entreprenante à mon encontre, tentant des caresses sur ma chatte, mes seins, devant l’équipe de tournage et Sir Stephen.

Le contrat est négocié à nouveau, les acteurs restants ont droit à une augmentation, car V A ne touchera rien ce mois-ci et pendant une durée illimitée.

Vers 17 heures, Sir Stephen me susurre à l’oreille :

- Prudence te fait comme V A, ma nièce Désirée. Je vais la corriger ce soir au club libertin « Eros et Sévices », où nous irons avec Pierre Alexandre et Pilon X. Ce soir, c’était prévu avec V A, mais il t’a mis dans un état. Ce sera mieux.

- Oui, Sir, faites ce que vous voulez de cette gouine Prudence. Je suis rangée, mais par contre des scènes gouines pour le film.

Pierre Alexandre a prévu un scénario à la hauteur de tes désirs, ma belle soumise et chienne Shawn.

Je remercie Pierre Alexandre devant toute l’équipe, par des baisers, de discrètes masturbations de son mandrin, qui m’excite, devant Prudence, jalouse. Dans la précipitation, Prudence déchire la jupe de ma robe, dévoilant davantage mes fesses cravachées par Sir Stephen hier soir. Je remonte me changer et Prudence se fait sermonner.

Orchidée Orgasme me rejoint, me console, par des caresses, lorsque je change de tenue, une nouvelle robe. Je me refais une beauté.

- Je ne dois pas m’excuser devant toi, la nièce Désirée, pute anale et chienne D A et amoureuse de Sven, ma Shawn, dit Prudence.

- Tu peux répéter ce que tu viens de dire, Prudence la pute de V A, la chienne de V A et surtout la vicieuse de Pierre Alexandre, car tu souhaitais tourner le rôle principal.

 -Oui, tu n’es qu’une pute anale à Pilon X, dit Prudence.

- Les belles vous arrêtez vos insultes. On se conduit en dames bien éduquées et on se fait la bise, dit Sir Stephen.

- Jamais.

- Tu me fais un gros bisou sur ma chatte, gouine Shawn, dit Prudence.

Pilon X m’écarte de Prudence. Je suis prête à la gifler.

On va cela ce soir au « Eros et Sévices », mesdames, dit Sir Stephen. Prudence, tu vas te calmer dans ta chambre. Toi, tu assures le service, je reviens.

Au bout d’une heure, Prudence, toute nue, en mules, les seins, les cuisses et la chatte zébrées à coup de garcette, par Sir Stephen. Elle garde les yeux baissés, silencieuse.

- J’espère que tu as retenue la leçon, Prudence. Tu as interdiction de faire ta gouine avec Désirée, tu es jalouse et tu risques très gros dans les prochaines heures, dit Sir Stephen.

 -Tu vires la pute Désirée. J’étais la première, dit Prudence.

- Tu en veux encore, dit Sir Stephen.

- Non, pas la garcette, mon amour Stephen, dit Prudence.

- Tu es amoureuse de ton Maître, tu veux me bouffer la chatte et tu es mal venue.

- Mon chaton Shawn, tu as totalement raison sur cette Prudence, mal éduquée, dit Sir Stephen, en m’embrassant langoureusement.

Pierre Alexandre arrive :

- Mon chaton Shawn, tu dois tourner. On fera une scène spéciale ce soir au club.

Deux gardes du corps escortent Prudence à sa chambre, jusqu’au départ au club.

Nue, déchaussée, je m’offre à deux membres de l’équipe, le scénariste James, 35 ans, trente-deux par huit et le comptable Jean Alexandre, 50 ans, trente-sept par huit, frère de Pierre Alexandre. Je passe d’une double pénétration simple, baisée par James et enculée par Jean Alexandre, puis dos à Jean Alexandre, baisée entre mes cuisses écartées par James. Enfin, debout, empalée sur mes deux amants, je ne compte plus mes orgasmes, mon clitoris déguste, tout comme mes mamelons étirés par mes amants, doublement inondée.

Gentiment, James me monte à la salle de bains, dans ses bras, épuisée.

Je me baigne devant une assistance masculine et l’un d’eux me baigne, avec beaucoup d’attention, retirant mes traces de sueur, de spermes et de mouille. Je jouis avec la grosse éponge. Je me soulage devant et pisse debout à leur grande surprise.

Sir Stephen m’aide à me préparer, me farde, me parfume. Je revêts vers 19 heures, une robe transparente blanche, discrètement fendue devant jusqu’au dessus du pubis et derrière jusqu’au naissance des fesses, longue jusqu’à mi-mollet, corsetée et lacée étroitement, mais me laissant pouvoir respirer, laissant deviner mes mamelons tendus rougis, mes bijoux intimes et ma chatte lisse rougie. Je chausse des mules blanches à talons de douze centimètres, pour me reposer des talons de quinze centimètres, les cheveux libres. Je fais sensation. Tout le monde a assisté à mon habillage, aidée par la maquilleuse timide Justine, une blonde aux petits seins, 22 ans, encore vierge anale, d’après Pierre Alexandre. Orchidée Orgasme me masse le corps à la sortie de mon bain sur mon lit. Je revis.

Prudence porte la même robe, mais noire, les larmes aux yeux, énervée.

Je monte à bord de la limousine blanche conduite par MPA, qui pourra me faire jouir au retour. J’ai hâte.

Le reste de l’équipe s’occupe de Prudence.

Le club privé libertin est à l’entrée de la ville, à une heure de route. Le temps que Sir Stephen m’offre son mandrin de trente-cinq par huit, à sucer, sans le faire éjaculer.

Arrivée au club, des gardes du corps m’entourent, m’escortent jusqu’à l’entrée. Les appels de Désir Anal, Shawn résonnent dans l’allée.

- C’est pour toi, ma chérie. Ils savent que tu es la star de la soirée des plaisirs, hommes et femmes à volonté ce soir, en plus de deux actrices, qui vont tourner avec toi.

- Mais cela est trop, Sir Stephen. J’accepte. Enculez-moi dès que je vous le désirerais au club.

Prudence est directement conduite à la section SM, déshabillée et fouettez sur les seins, les fesses, les cuisses, les reins sans ménagement sur ordre direct du directeur, Don Vices, un bel étalon de 55 ans, athlétique qui me fait le baise-main au restaurant, au premier étage, dominant plusieurs pièces de plaisir de tous les genres sexuels. Je suis aux anges.

Nous prenons place sur la terrasse. Je m’assois près du balcon, en écartant bien ma jupe pour m’asseoir les fesses nues sur le cuir du fauteuil. Je mouille et je tâche le fauteuil.

- Shawn, votre choix a été fait d’avance. Messieurs, nous prenons vos commandes.

J’ai droit à un jus de fruit mélangé de stimulant sexuels. Mes repas contiennent des extraits d’excitants sexuels en poudre. Je suis chaude. Je manque d’air, mais cela est réparé par un discret ventilateur sur la table, qui provoque une tension maximale de mes mamelons, les cheveux au vent. Sir Stephen, Pierre Alexandre et James, l’invité de dernière minute, me toisent, discutent avec moi, je suis bien entourée. J’ai envie des trois. Les télévisions en circuit fermé diffusent les ébats sexuels de couples et de domination SM. Je fantasme sur certaines scènes.

Avant le dessert, j’ai besoin de me soulager.

James m’escorte du premier étage au rez-de-chaussée.

Là, je croise Jouisseuse Sapho, une grande brune aux seins plantureux, 95C, 35 ans, nue, au pubis lisse tatoué, ses reins sont aussi tatoués, porte des anneaux à sa chatte lisse reliés par un cadenas pour sa chasteté et un lourd bijou à son gros clitoris percé. Elle est accompagnée par une blonde aux petits seins, nue, intégralement épilée, Vice d’O, 25 ans, avec des anneaux aux seins reliés par une double chaîne à un anneau à son gros clitoris, son pubis est marqué au fer rouge d’un fouet et d’une cravache entrecroisé, ses fesses sont marquées au fer rouge S et V. C’est une ancienne soumise du Domaine, propriété de Maître O. Elles m’embrassent langoureusement, après les présentations par James, qui les connaît et les a souvent toutes les deux.

- On se voit chez toi, Shawn ou D A, dit Jouisseuse Sapho. Mon chéri Nathan rêve de te prendre. On a vu les premières scènes du film et celles du Domaine, mais tu prends beaucoup de plaisir.

- Oui, en double avec Nathan et mon Maître, tu as sacrément envie, ma Shawn, dit Vice d’O.

Quoi, Maître O est là aussi.

Je me soulage aux toilettes pour femmes, me refais une beauté, mon sac à main remis par James.

Je vais pour manger mon dessert, que Nathan, un bel Adonis de 22 ans, m’offre son mandrin de trente par sept à sucer. Je me retrouve rapidement nue, déchaussée, empalée sur lui, enculée, tandis que Maître O est sous moi à me baiser. Je lèche mes deux amies lesbiennes, les faisant jouir. Je connais un violent double orgasme et je suce mes amants. Je remonte, rhabillée, après un peu d’eau passé sur le visage et m’excuse :

- Excusez-moi pour mon retard, Sir Stephen.

- Tu es excusée. J S et V O et Nathan t’ont fait jouir, pour une rencontre torride, dit Sir Stephen.

Ils sont au courant. Le sperme dégouline de ma chatte et mon anus.

Je tente vainement de me retenir.

- Ce n’est pas grave, tu prends un bain en arrivant. Prudence est virée dès maintenant. Elle a été sévèrement corrigée et fouettée. Tu veux la voir.

- Non, je veux vous trois, pour me faire jouir.

Dans une pièce discrète, nue, au premier étage, derrière le restaurant, avec un grand lit, je m’offre en double pénétration, enchaînant les sodomies sauvages et profondes de mes amants, diffusée sur grand écran au rez-de-chaussée, au premier étage et même chez le directeur du club privé. Je ne compte plus mes orgasmes, mes hanches sont douloureuses, même Maître O et Nathan m’enculent aussi, tandis qu’un autre me baise simultanément. Je suis tellement lubrifiée par le sperme et ma mouille, que mes amants me font jouir rapidement.

 

12 juillet

Vers deux heures du matin, nous quittons le club. J’ai pris une douche pour mes voyeurs, dans une salle de bains transparente, proche du bureau du directeur, qui m’a enculée aussi et je l’ai avalé.

Dans la limousine, MPA m’encule, avec son mandrin de quarante par huit et Sir Stephen me baise à nouveau, avant de retourner à la villa.

L’équipe va à son hôtel.

Jusqu’à 7 heures, je dors profondément, les mains entre mes cuisses, douchée, dans ma chambre.

Vers 7 heures, Sir Stephen vient me voir et me porte dans sa luxueuse chambre, avec un immense lit, entouré de nombreux grands miroirs, discrètement filmée.

- Non, mon chaton Shawn, tu te reposes jusqu’à 9 ou 10 heures. Finie la soubrette, j’en ai trouvé une qui va te convenir. Dors un peu, soit détendue. Je t’ai prise ce matin, pendant ton sommeil, tu as joui très fort. Il me pose son doigt sur ma bouche.

J’obéis. Je frotte sur les draps de satin, qui me font exciter, surtout mes mamelons et mon clitoris.

En effet, une soubrette entre. C’est Sven, devenu Jasmine la lopette, dressé au Domaine, vêtue d’une robe noire, d’un tablier blanc, un porte-jarretelles et des bas noirs, de mules noires à talons de douze centimètres, d’une perruque courte brune, maquillée comme une femme, intégralement épilé, aux anneaux dorés aux testicules, castré et féminisé jusqu’à la voix. Ses testicules sont étirés et retournés entre ses cuisses. Il a ses ongles des mains et des pieds vernis en rouge.

- Tu es Jasmine la lopette, tu viens pour l’embauche. Il faudra t’occuper de ma nièce Désirée. Tu as interdiction de la caresser, juste tu dois la baigner, la farder, aucune insulte n’est permise. Tu dors au second étage. Debout à 6 heures et coucher dès que je l’exige. Tu ne dois pas filer tes bas et je veux tes dessous propres. Tu vas porter le petit déjeuner à Désirée dans une petite heure. Tu nettoies cette pièce. Si tu laisses des poussières, je te punis.

Ne pouvant plus dormir, nue, en mules dorées à talons de douze centimètres, un peu rafraîchie, sans me doucher, les cheveux libres, je descends au rez-de-chaussée.

Je vois une superbe soubrette, aux fesses musclées, qui fait le ménage.

- Ma chérie, regarde voici Jasmine la lopette, ta soubrette personnelle. Elle aime se faire enculer par une vraie queue ou un gros gode canin.

- Elle me plait. Elle me semble très docile. Elle est très belle. Je l’enculerai si j’en éprouve le besoin. Elle participe aux films, Pilon X la prendra avec plaisir, surtout Orchidée Orgasme, ma chérie. Elle va aimer ça, ma Jasmine.

- Oui, Maîtresse Désirée, je suis à vos ordres. Je ne peux vous caresser, mais je vous baigne, vous farde, réponds à vos exigences, dit Jasmine, un peu gênée, levant les yeux.

- Je déteste que l’on me regarde, Jasmine. Tu baisse les yeux en ma présence et de tous les hommes qui sont en ma compagnie. Amène immédiatement mon petit déjeuner, je t’attends, pour l’instant, je vais sucer mon chéri.

- Tu l’as bien accueillie, ma chérie. Suce-moi, cela va l’exciter.

Jasmine remonte avec le plateau et Prudence entre en furie, le corps zébré sous sa robe déchirée.

- Fais attention à ma Jasmine, Prudence, dis-je.

- Tu embauches un mec féminisé. Tu as besoin de repos. Sir Stephen, vous me devez mon salaire, mes divers services supplémentaires et un avocat

- Tiens, mon chéri doit te payer pour ton comportement.

- Prudence, tu quittes les lieux, tu gênes Désirée et Jasmine.

Deux gardes du corps affectés à ma protection la font expulser sans préavis.

Jasmine fait le service, rêvant à posséder Désirée.

- Tu rêves Jasmine. Tu veux que je te godes, tu attends que cela de ta Maîtresse. Si tu éjacules, je te punis pour avoir tâcher ton beau tablier.

- Non, Maîtresse, je réfléchis.

- Tu dois obéir, c’est le strict nécessaire ici. Tu veux me prendre, même pas dans tes rêves.

Pilon X, Orchidée Orgasme, Pierre Alexandre, J S, V O et Nathan arrivent et voient Jasmine.

- Pilon X, tu peux corriger avec ta queue, cette soubrette qui souhaite me baiser.

- Bien, ma chérie, je vais le jouir. A quatre pattes, ma chienne en bas, je serais très doux avec toi.

- Non, pas ça, Shawn…

Pilon X l’encule jusqu’aux testicules. Il gémit un peu, puis jouit.

- Oh fait, tu m’as appelé Shawn. On se connaît Jasmine. Je ne connais pas et tu ne fais pas ta pute avec moi.

- Excuses-moi, Maîtresse, il est très bien monté, Pilon X.

- Tu aimes. Orchidée, tu la prends ensuite et le tout est filmé en direct. Dressage de la soubrette Jasmine la lopette, une poupée docile. Tu m’as tutoyé, toi ta Maîtresse, double dose.

Pilon X éjacule puis Orchidée fait de même, puis Jasmine apporte d’autres petits déjeuners. J’ordonne :

- Jasmine, tu nettoies ces queues, de suite.

Pilon X et Orchidée ne se gênent pas pour pisser dans sa bouche. Il essaye de recracher. Je lui mets un bâillon-boule.

- On avale Jasmine. Tu manques d’éducation. Au travail, nettoie moi tes flaques de sperme, tu ne portes pas de bijou d’anus.

Sir Stephen choisit un bijou d’anus moulé sur un doberman.

Jasmine marche avec difficulté et fait les allers-retours, bâillonnée.

- Ma chérie, tu as une soubrette. Elle est sexy, on dirait un mec féminisé. Je n’ai rien contre, dit Orchidée Orgasme. Elle te sera dévouée, après quelques sodomies voir par un chien et quelques pipes pour la dresser.

Toute la journée, Jasmine doit obéir sans se reposer. Je fais des scènes lesbiennes pour l’exciter, goder par mes amies, surtout enculée par les gros godes réalistes. Sir Stephen est aux anges, enculant Jasmine, qui passe entre les mains de la gent masculine, suçant et avalant.

Vers 19 heures, pantelante, au bout de six heures sans aucune pause, excitée par Jasmine, qui m’observe les yeux baissés, je réfléchis un peu, en prenant un grand verre de jus de fruits. Il ressemble à Sven, mais ce n’est pas lui.

- Jasmine, tu viens me baigner et Orchidée Orgasme va s’occuper de tes fesses qu’elle va cravacher, si tu ne me baignes correctement.

Jasmine est aux anges, baigner Shawn.

J’entre dans mon bain moussant, m’allonge, ma tête sur un oreiller et je laisse Jasmine me laver.

Cette vicieuse me pelote les seins, sans mon accord, me doigte la chatte et surtout masturbe sans douceur mon clitoris sans mon accord.

- Tu te gênes pas, sans autorisation, tu me caresses et tu prends du plaisir en plus. Mais, Jasmine, cela mérite une sévère correction par Orchidée. Orchidée est seule autorisée à me caresser. je n’ai pris aucun plaisir avec toi, Jasmine, pervers et vicieux.

Pilon X arrive, nu, le mandrin en érection.

- Oui, Pilon X encule-la, elle n’a pas compris le mot interdiction.

- Bien, ma belle Maîtresse Sévices, Jasmine va rapidement comprendre, comment on se comporte devant une lady. Orchidée occupe de ta chérie. Je vais le cravacher sur les fesses et les reins pour toi.

Jasmine hurle, gémit, enculée jusqu’à l’éjaculation et sous les coups de cravache à toute volée par Pilon X. Je jouis en compagnie d’Orchidée, qui me donne du plaisir, en me relaxant.

- Shawn… Pas ça… Je t’aime…

- Tu me la calme rapidement, dis-je un peu énervée. Pas de bain ce soir pour Jasmine, Jason va te prendre aussi, le plus tôt ce sera le mieux, pour désobéissance à une lady. Tu dormiras toute habillée, suspendue à un crochet, pour ta punition. Je te cravacherais aussi.

- Shawn… S’il te plait… Arrêtes, pas la cravache…

Je quitte la baignoire et Orchidée me rejoint dans ma nouvelle chambre. Pilon X et d’autres hommes se relaient jusqu’au repas.

Je m’offre, enculée par Orchidée, empalée entre ses cuisses, d’abord assise, puis Orchidée allongée sur le dos, puis mes mollets sur ses épaules, je suis excitée par ses caresses dans la baignoire.

- Elle délire ta Jasmine. Elle t’appelles Shawn. Une soubrette doit t’appeler Désirée ou Maîtresse Sévices, dit Orchidée.

- Je sais. Elle me met en boule, dès le premier jour.

- Détends-toi, demain, elle sera docile, dit Orchidée.

Je suis submergée par le plaisir anal, même quand Sir Stephen me rejoint.

- Jasmine a besoin d’un dressage en règle. MPA la conduit jusqu’à demain matin au club. Elle reviendra docile et finit le mot Shawn à ton encontre. C’est un manque d’éducation.

- Oui, mon chéri, je m’appelle Désirée et pas Shawn. J’ai effacé ce nom de ma mémoire. Que Jasmine fasse de même, dès son retour.

Je suce Sir Stephen, pour mon dernier orgasme.

Je m’endors, toute seule, jusqu’au souper de 21 heures. J S et V O font le service, me laissant manger, en compagnie de mes amants.

 

13 juillet

Le tournage continue jusqu’au 18 juillet, suite à des demandes de modification du scénario et des investisseurs qui parient sur le film.

Sir Stephen et Maître O me choisissent Saphir pour remplacer temporairement Jasmine qui est envoyée au dressage intensif au Domaine.

Saphir est l’ancien Don Juan, Edouard Valérie, 22 ans, de la briseuse de couple Charlotte Vanessa, 20 ans, une fille unique de la haute bourgeoisie, qui veut ses hommes à ses pieds. Il porte aussi une perruque brune et le même uniforme que Jasmine. Il m’est dévoué et obéit à mes ordres.

 

19 juillet

Vers 6 heures, Maître O me ramène au Domaine par le Dauphin de Sir Stephen.

Vers midi, je découvre ma nouvelle voiture, une Ferrari F8 blanche, immatriculé SH pour Shawn de Hauts Plaisir, ma nouvelle identité.

Je signe les papiers officiels de mon union comme soumise à mon Maître O.

Le Baron m’encule pour sceller l’union.

- Tu es encore plus désirable, depuis le tournage de ton film. Tu es très belle dans le désir. Maître O a fait le bon choix, dit le Baron.

Je connais un violent orgasme anal.

Je porte aussi une nouvelle bague au majeur droit, relié au poignet par une fine chaînette, prouvant mon union.

Vers 14 heures, de retour à l’université, en région parisienne, après une longue absence, Maître O m’a trouvé un luxueux appartement à un quart d’heure de l’université, au sixième étage, avec ascenseur privé. Le parking est sécurisé pour parquer ma Ferrari, que je conduis en alternant vitesse et douceur. Je passe devant l’immeuble où réside Aimée qui est rentrée de son séjour, sans Sven et Charles Thierry, qui sont dressés au Domaine, sans qu’elle le sache.

Je décide de me rendre à l’université pour récupérer mes cours, avec Saphir, qui est venue en taxi depuis le Domaine.

Je me douche, dans ma luxueuse salle de bains, avec de nombreux miroirs et glaces sur les murs et au plafond pour mieux me voir. Jasmine tente de me caresser, en me séchant, mais Jasmine est sévèrement cravachée sur ses fesses.

A l’université, je croise, vêtue d’une mini robe fuchsia, sur mon corps nu, fardée, parfumée, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, avec Saphir, en tenue, les six amants de Charlotte Vanessa, qui draguent Saphir et non pas moi. Ont-ils peur de moi, la Maîtresse ?

- On peut la prendre, ta soubrette. Elle suce, dit l’un d’eux.

- C’est toute option pour elle, n’est-ce pas Saphir. Tu te viens chez Sir Stephen.

- Oui, Maîtresse, je me prête à eux, dit Saphir.

- C’est ta mission ici. Sucer et être prise à tout moment, tu avales surtout.

Je me tiens plus droite, j’ai le regard plus clair, la perfection de mon immobilité, et la mesure de mes gestes. Ma robe dessine si doucement les seins nus aux mamelons tendus bien visibles. Mes fesses nues attirent les regards masculins.

Je retrouve le directeur, pour parler de mon avenir et de ma longue absence, qui est excusée. Mes cours me sont remis et j’apprends que certains professeurs fréquentent le Domaine et connaissent mon statut.

Charlotte Vanessa me toise, vêtue d’un chemisier blanc et d’une jupe ample noire, chaussée d’escarpins noirs, les cheveux libres. C’est une blonde aux longs cheveux, aux seins plantureux, du 95C, intégralement bronzée et épilée. Ma future soumise, elle plairait à Sir Stephen et au Baron. Je la ferais fouettée pour la soumettre à mes désirs.

- Tiens, revoilà Shawn. Sven ne t’accompagne pas, ni Edouard Valérie. Il est parti où mon amour. Tu ne l’as pas croisé.

Elle ne sait pas pour les deux. Saphir me rejoint et me susurre :

- Maîtresse, je dois rejoindre mes amants aux toilettes. Jasmine y est déjà.

- Vas-y, ma Saphir, tu connais les ordres.

- Oui, Maîtresse, je serais docile avec eux, dit Saphir.

- La pute et la soubrette, très beau tableau, Shawn, tu n’es plus qu’une pute gouine, une vicieuse, la pire de l’université, dit Charlotte Vanessa.

- A bon, tu sais Saphir est très douce avec moi. Tu ne la connais pas, toi, la briseuse de couple.

Dans les toilettes pour hommes, Jasmine et Saphir s’offrent agenouillés, les fesses nues, enculées par un des trois hommes, qu’elles sucent et avalent, dévoués à leurs amants.

- Shawn, tu as vu aux toilettes. Mais ce sont de vrais pervers, mes amants, dit Charlotte Vanessa, toute surprise.

- Ils aiment mes jolies soubrettes. Il paraît que ce sont des hommes féminisés, fétichistes de la belle lingerie.

- Shawn, tu veux dire, dit Aimée, en robe estivale blanche, en escarpins blancs à talons de dix centimètres.

- Oui, mes chéries, des hommes féminisés, dressés, pour se faire enculer et sucer de vrais mâles en rut.

- C’est horrible. Je veux mon Sven et mon chéri Edouard Valérie, dit Charlotte Vanessa.

- Ils sont là devant toi, mais tu ne les a pas reconnus, maquillées, comme de vraies putes anales, épilées comme des femmes, avec des manières féminines. Elles sont vraiment belles. Tu en veux une, ma chérie. Je vais t’en trouver, tes parents seront contents d’avoir une soubrette docile. Tu feras le nécessaire pour qu’elle soit à tes désirs.

Un des hommes sort des toilettes, le pantalon baissé, exhibant un mandrin de dimension moyenne, qui me déplait, avec du sperme au bout, me drague, 23 ans.

- Shawn, tu peux m’en offrir une de soubrettes. Moi, c’est Sacha Pierre Dominique.

- Oui, je peux t’en trouver, s’ils te plaisent celles-là. Il faudra passer me voir à une adresse secrète. Tu aimes mes bijoux intimes. Tu souhaites que Charlotte Vanessa en porte. Tu aimes les Danois, ils raffolent des belles queues comme la tienne.

- Oui, cela lui ira à merveille, dit Sacha. Tu sens bon des fesses.

- Sacha, tu te calmes avec ma copine Shawn, dit Charlotte.

C’est nouveau, je suis sa copine, moi l’ancienne lesbienne, traitée de pute vicieuse par Charlotte, le Baron va très content d’avoir une soumise qui me déteste.

- Charlotte, tu es la bienvenue à mon adresse secrète. J’ai des Danois à te présenter.

Dans les 24 heures, les six hommes et Charlotte sont dressés au Domaine, avec des instructions de ma part.

J’en parle à Maître O.

Le gynécologue du Domaine m’a confirmé des signes de grossesse.

Le gynécologue Docteur Vice d’Anus m’encule aussi, sur le fauteuil gynécologique, dans une position lui permettant de mieux me prendre, nue, cuisses écartées et levées, tenues par mes chevilles. Je connais un violent orgasme anal et une longue éjaculation de sa part, je le suce devant le Baron, en totale décontraction.

Nous passons l’après-midi et la soirée avec Jasmine et Saphir surveillés par mes amies transsexuelles d’Orchidée Orgasme, qui les enculent et les font sucer, les cravachent pour toute tâche mal exécutée, des caresses sur mon corps et des venues dans la chambre que je partage avec Maître O lors de nos ébats sexuels, baise et sodomie à volonté.

 

26 juillet

Charlotte Vanessa est devenue depuis son dressage, Pute Anale Chienne Diane, tatoué sur ses reins, avec des fers à ses grandes lèvres de sa chatte, à ma demande, totalement épilée, avec une coupe de cheveux à la garçonne, méconnaissable à l’université. Elle appartient désormais à plusieurs professeurs de l’université. Ses fesses, ses reins, ses cuisses et ses seins sont zébrés par les nombreux coups de cravache, de garcette et de chicotte que je lui ai administrée, ainsi que les autres Maîtres, qui l’ont enculée à plusieurs reprises, pour la dresser. Elle a été saillie de nombreuses fois.

J’ai recruté de mon côté, la soubrette Vicieuse Annale, l’ancien Sacha, devenue une superbe blonde, avec de nombreux anneaux dorés aux testicules épilés. Elle a été enculée et saillie.

Je possède désormais un colley pour les saillir. Je me réserve de temps à autre à lui, prénommé Cœur de Lion. Il a un petit sexe, mais il me donne du plaisir.

Les cinq autres soubrettes sont données à PACD et d’autres copines de PACD.

Vers 15 heures, je me rends à bord de ma Ferrari F8 au club gay non loin de l’université. Des superbes étalons en cuir me toisent. Je suis vêtue d’une robe dos nu blanche très courte, couvrant à peine mes fesses nues, chaussée de sandales blanches à talons de quinze centimètres, fardée, parfumée, les cheveux libres. Je fais descendre ma nouvelle pute Vicieuse Annale, que je compte offrir à de beaux étalons musclés, comme je les aime.

- Eh la belle, dit un bel Adonis. Ta soubrette aime l’anal.

- Oui, mon chéri, elle sait sucer et s’offrir. Elle très docile.

- Fais la entrer, on va s’occuper d’elle. Tu veux voir, moi, c’est Alexandre, un joli brun de 35 ans, bien monté, qui bande à la vue de mon corps.

- Maîtresse, je ne peux pas entrer dans ce lieu, dit Vicieuse Annale.

- Tu obéis à Alexandre et tu te tais, ma belle soubrette. Jasmine et Saphir vont te rejoindre.

Je ne peux refuser. Mais je dois parquer ma Ferrari.

- Tu la gares au sous-sol dans le parking gardé.

J’obéis. Le parking est entièrement sécurisé et un escalier me conduit au club, par une entrée discrète. Vicieuse Annale se fait courtiser, par un trio. J’ai hâte de les sucer, mais je suis une lady.

C’est Vice du Plaisir, un superbe blond musclé, de 22 ans, qui me voit.

- Tiens, une nouvelle. C’est toi, la Maîtresse de cette pute anale soubrette V A.

- Oui, elle t’intéresse. Je te la prête pour la demi-journée, ou la journée. J’ai d’autres soubrettes Jasmine et Saphir à mon service.

- Non, c’est toi que je veux, avec mes amis Sexe Jouissance et Prépuce Vice. Viens, on va dans un endroit où tu pourras aussi voir ta pute jouir et sucer. Tu es très belle. Tu es aussi l’épouse de Maître O et Sir Stephen. Sir Stephen vient de temps à autre, recruter de jeunes putes pour son plaisir et celui de ses amis.

- Sir Stephen est…

- Pas un mot, ma belle, tu es en terrain conquis, plein d’étalons qui ne sont pas contre pour prendre une jolie déesse du sexe. On connaît ton parcours au Domaine. Le club Gay Lesbos Désir est ouverte aussi aux femmes bisexuelles, comme toi. Suce-moi, tu aimes ma belle queue.

Vice du Plaisir me fait emboucher son mandrin de trente-six par huit, S J un trente-huit par sept, 27 ans et P V un trente-deux par huit, 25 ans. Je ne sais plus où donner de la tête, nue, sur un grand lit, derrière une grande glace sans tain, observant ma V A, que je perds de vue.

Ils m’enculent à tour de rôle, à quatre pattes, sur le dos, cuisses écartées et levées et enfin, empalée sur chacun, enculée de face, avant une double où j’avale celui qui m’encule.

Je suis surprise par ces homosexuels qui me prennent. Je suis en sueur, comblée, couverte de spermes sur le corps, par mes amants. Je filme ma scène pour Maître O, avec mon téléphone portable.

Maître O m’envoie un message :

« Jasmine et Saphir vont te rejoindre, Orchidée Orgasme les amène. Tu es resplendissante dans le désir. J’ai joui en regardant ton direct. »

Vicieuse Annale a son mandrin libéré et enfermé dans un harnais de chasteté cadenassé, dont j’aurai la clé. Jasmine et Saphir subissent un long viol et suçant leurs violeurs, avant d’être cadenassé avec le même harnais.

D’autres étalons viennent me prendre en double. Ils sont très bien montés, mon anus s’ouvre rien que pour eux. J’enchaîne les orgasmes. Dire que je connaissais pas ce club pour mon plaisir sexuel.

Vers 17 heures, je marque une pause, au bar, nue et en sandales, exposant mon corps en sueur. On m’offre de grands verres d’eau.

Le barman, un bel étalon Africain noir, athlétique, 25 ans, me toise :

- Tu as besoin d’une bonne douche. Elles se trouvent au premier étage, près du bureau du Boss, Phallus d’Or. Moi, c’est Six Orgasmes, car je donne six orgasmes à mes amants, même à toi, si tu le désire.

- Pourquoi pas, je me douche.

Les douches sont occupées par quelques couples d’hommes s’enculant, leurs mandrins en érection. Je suis tentée de les sucer. Un couple me laisse sa place et se délecte de voir une beauté en compagnie d’Adonis.

- Quel est ton nom, ma belle, dit l’un d’eux qui masturbe sa belle queue ?

- Anal Désir ou Shawn, mon vrai prénom, tu aimes mon corps et j’aime ta belle queue.

- A D, tu es une soumise du Domaine. Je suis un des valets du Domaine. Ne baisse pas tes yeux, continue à te caresser sous la douche. Moi, c’est Pine du Vice.

- Tu m’as déjà donc prise au Domaine.

- Plusieurs fois, tu réclamais qu’on te donne du plaisir, tout en restant silencieuse. Ton œillet est régulièrement défoncé par des chiens de garde. Tu hurlais ton plaisir, alors que les autres gémissaient, enculées par les amants canins.

Un homme en costume d’homme d’affaires entre dans les douches, 50 ans, brun, athlétique.

- Tiens, une de nos amies, Shawn, tu es au royaume du plaisir sexuel, je suis Phallus d’Or. Je t’ai repérée sur le trottoir. Personne que toi, possède une telle Ferrari.

- Vous voulez que je sois votre conductrice.

L’homme exhibe un mandrin de quarante par huit, en érection. Je baisse les yeux pour l’admirer.

Il me lève le menton, dès que je suis sortie de la douche. Je suis séchée par trois hommes à mes pieds.

- Regarde en face avec tes jolis yeux. Tu dois en envoûter des bels Adonis. Il a de la chance, celui qui est ton mari, d’avoir une superbe bisexuelle. Je vais étudier ta proposition, mais tu vas sucer tous ses étalons, dix devraient te satisfaire.

Accroupie, cuisses écartées, filmée à mon insu par les caméras des douches, relayées au rez-de-chaussée sur un écran géant pour les clients du bar, je m’applique, avant qu’ils éjaculent à tour de rôle dans mon anus offert. Malgré la fatigue, je tiens le rythme et je suce Phallus d’Or et Six Orgasmes qui m’a rejoint.

- Bouche dressée, fesses bien ouvertes, un superbe écrin lisse, le top du Domaine, une vraie chienne, c’est très rare pour une soumise, dit Phallus d’Or.

- J’aime me faire saillir, Phallus d’Or, par des dogues allemands.

Je sais, certains des chiens du Domaine sont ma propriété, tu es la vraie chienne du plaisir pour eux.

Je dois me doucher à nouveau. Il est 18 heures, je n’ai pas vu le temps passé. Mes soubrettes ont du déguster. Elles ne sont pas à la douche.

- Ne t’inquiètes pas, P V va te ramener, on garde tes soubrettes pour la soirée. Tu n’es pas contre, dit Phallus d’Or.

- Non, surtout elles aiment ça.

- Toi, tu te régales aussi, dit Phallus d’Or.

- Oui, mais j’ai besoin de me reposer un peu.

- Ramène-lui sa robe et tu peux te farder dans mon bureau. J’ai tout le nécessaire du Domaine pour les soumises qui me rendent visite.

En effet, je suis surprise par la coiffeuse, les écrans de télévision reliées aux caméras dans toutes les pièces.

Je me farde devant Phallus d’Or qui me donne une enveloppe. Je remets ma robe et mes sandales, je laisse mes cheveux libres.

- Voici, une liasse de billets, tu en fais ce que tu veux. Tu as plus d’un million sur ton compte. Surtout, je vais réfléchir. Une sublime conductrice en tenue sexy ferait monter la popularité du club. J’accueille souvent des soirées lesbiennes cuir et soumis. Je peux te réserver une soirée rien que pour toi. tu es voyeuse aussi, tu mouilles en voyant tous ses étalons.

- J’ai un agenda chargé. Je suis dans mon premier mois de grossesse. Oui, cela m’excite, un parterre de bels Adonis nus, bien montés.

- On va s’arranger entre le Baron, ton chéri et moi. Ta chatte et ton pubis épilés vont faire des ravages, avec tes bijoux intimes, ma belle déesse du sexe Shawn. Cela ne te gêne pas que je t’appelle Shawn.

- Non, je suis votre propriété ainsi que celle du Domaine.

P V m’attends, élégamment vêtu. Il est 19 heures, j’ai très faim, surtout avec deux étalons à satisfaire. Orchidée Orgasmes reste au club, pour dresser mes soubrettes.

Pendant le court trajet jusqu’à la résidence, P V me drague.

- Tu es très ouverte, bisexuelle, te faire prendre par un homosexuel, tu aimes ça.

- Oui, j’aime tous les sexes, P V.

- C’est vrai, que tu es devenue une chienne. J’étais le premier à t’enculer le 20 juin, sur ordre du Baron. Tu étais étroite, mais maintenant tu es bien assouplie par tes multiples sodomies.

- Tu m’as prise aussi. J’ai aimée cette première sodomie, un peu douloureuse, mais j’ai connu une vague de plaisir anal inconnu ce jour-là.

Arrivés à la résidence, P V garde la Ferrari.

Arrivés à l’appartement, je me déshabille et me déchausse, m’exhibant nue, pieds nus, démaquillée, après une courte douche rafraîchissante.

- Ma chérie, c’est P V, un de mes amants avec Sir Stephen. Tu ne le savais pas, tu n’es pas jalouse.

- Mais, Maître, tu es libre de tes amants comme de ceux qui m’ont prises comme soumise.

- Shawn est une superbe déesse du sexe, dit P V, qui bande, déjà nu, lui aussi.

Nous mangeons à trois. Maître O nous amène le souper préparé par Orchidée Orgasmes avant son départ.

J’en profite pour sucer mes deux amants.

- Tu sais que Shawn est enceinte de moi, P V. Elle rayonne de bonheur et sa libido sexuelle est intense. Tu peux l’enculer et je m’occupe de sa chatte trempée, dit Maître O. Elle est très excitée pour sucer ce soir.

- Oui, elle a très envie, c’est une femme facile, dit P V.

Après le dessert, je suis prise en double pénétration, enculée par P V, sous moi et baisée par Maître O, pour offrir mes rondeurs. Maître O caresse délicatement mon clitoris tendu. Je connais un double orgasme.

J’en redemande, qu’ils se retirent et nous reprenons après un 69 torride, où Maître O m’encule, tandis que je suce P V, avant qu’il m’encule à nouveau.

 

27 juillet

Nous enchaînons les doubles pénétrations et les sodomies, jusqu’à mon épuisement, vers 3 heures du matin. Ils sont très endurants.

- Shawn, je dois te quitter, dit P V après une douche en solo, devant moi, toute excitée, nue, fraîchement douchée.

- Non, tu restes ici, je prends le canapé et tu dors avec mon chéri.

- Ma chérie, tu prends le lit et je prends le canapé, dit Maître O. Ce sera mieux et P V tu reste avec elle jusqu’au lever du soleil.

J’accepte la proposition. P V me caresse un peu, pendant mon sommeil, surtout entre mes cuisses écartées, toute humide. Je jouis un peu.

Vers 4 heures, du matin, P V me susurre  :

- Mets-toi à quatre pattes, Shawn, je vais te faire encore jouir, dit P V.

J’obéis. Maître O nous a discrètement rejoint, le mandrin en érection.

Les doigts de P V s’enfoncent dans ma chatte ouverte et luisante de mouille, jusqu’à sa main et son poignet. Je suis surprise par l’ouverture de ma chatte par une main. Le poignet va et vient, je coulisse dessus, telle une queue. Un orgasme m’envahit rapidement, mes hanches ondulent, pilonnée. Puis à la fin de mon orgasme, P V retire son poignet en douceur, je suis très humide, exténuée par mon orgasme. Maître O profite de ma position, la chatte béante pour me baiser, son mandrin bien dur, qu’il a masturbé lors de mon orgasme, la chatte remplie par le poignet, jusqu’à un nouvel orgasme, avant de m’allonger sur le dos, pour me reposer.

Le tout a duré une demi-heure.

Vers 9 heures, j’émerge. Je suis seule dans mon grand lit. Ma chatte est encore un peu entrouverte, du sperme dégouline et j’en ai sur mes fesses.

Je me lève, rejoins mes amants.

Vicieuse Anale est rentrée seule.

- Maîtresse, il faut vous doucher.

- Tu t’occupes du petit déjeuner, vicieuse.

-Tu as aimé cette nuit, disent P V et Maître O.

- Je n’ai jamais autant joui comme cela, c’était divin.

- Phallus d’Or…

- Tu me laisses parler, Vicieuse Anale. P V, encule-moi maintenant, devant Vicieuse Anale.

- Phallus d’Or t’offre 5.000 pour chaque sortie de ta Ferrari avec lui.

L’orgasme anal m’envahit, penchée en avant, sur la table, cuisses écartées, le clitoris caressé par P V et ma bouche embrassée par Maître O.

A la fin de mon orgasme, je suce P V. J’avale tout.

- Tu viens de dire combien, Vicieuse Anale ?

- 5.000. Tu le conduis dans des clubs gays, tu lui donnes du plaisir et tu recrutes des gouines pour le Domaine. PADC en fait déjà partie.

Je reçois un appel de Phallus d’Or :

- Tu as reçu ma proposition, ma belle Shawn.

- Je vais l’étudier. Je dois gérer ma grossesse, mes cours à l’université et d’autres plaisirs.

- Bon, je te laisse une semaine pour réfléchir.

- D’accord, je réfléchis avec mon chéri. Je suis toute à toi, Phallus d’Or. J’en mouille d’avance.

Je déjeune, me douche en compagnie de P V. Vicieuse Anale se fait enculer par Maître O qui la cravache pour avoir parlé sans mon autorisation.

Je reste nue, pieds nus, c’est mon côté exhibitionniste, dans mon appartement, me promenant dans les diverses pièces, sous l’œil de discrètes caméras reliées aux téléphones portables de Maître O et de Sir Stephen. Je serais ferrée plus tard, après mon accouchement. J’aime me caresser mon corps, provoquant des vagues de plaisir incontrôlées.

Après le départ de P V, j’ai une longue discussion à huis clos avec Maître O. Vicieuse Anale se rend à l’université, faire son travail avec les autres garçons de l’université, pour continuer son dressage de soubrette docile.

Je la rejoins dans la journée, pour mes cours, vêtue de ma robe très courte, qui s’adapte à mes rondeurs et mes seins prennent peu à peu du volume. PADC fait désormais sa pute pour mon service et celui du Domaine, offerte à des étalons bien montés, dans divers endroits de l’université. Elle est reniée par ses amis et ses parents, depuis la révélation de sa liaison avec Saphir.

 

3 août

Vers 9 heures, je redeviens une soumise, sur ordre de Maître O, avec mes carcans de cuir, nue, pieds nus, fardée et parfumée, après une douche rapide, sans me caresser, coiffée de ma queue-de-cheval, pour une visite de Phallus d’Or. Mes soubrettes sont au club gay pour la journée. Je suis seule avec Maître O.

J’hésite encore.

Je l’attends, agenouillée, cuisses écartées et mes mains liées au dos, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons, intégralement épilée, les yeux baissés.

Phallus d’Or est ponctuel.

- Shawn, tu hésites encore. Je te comprends. Tu es facile, Shawn, me dit-il. Tu aimes Maître O, mais tu es facile. Tu as envie de tous les hommes qui te désirent, lors de ton séjour au Domaine ou en te livrant à d'autres, il te donne autant d'alibis pour ta propre facilité ? Tu devrais être plus obéissante qu’amoureuse de tes amants. Cela mérite une correction.

- Maître, prenez-moi, fouettez-moi, je suis votre soumise aussi.

- D’abord, tu vas me sucer et je verrais ensuite. Tes rondeurs de ton ventre te rendent encore plus belle, Shawn.

Je m’exécute devant Maître O, qui m’offre le sien, sans les mains jointes à mon cou.

Je retarde leurs éjaculations dans ma bouche et Phallus d’Or pisse dans ma bouche. Je l’accepte. J’avale sans dire un mot.

Phallus d’Or me fait me mettre dos droit, pour me fesser. Je dois compter les coups jusqu’à cinquante, mes fesses sont brûlantes. Depuis deux jours, je n’ai subi aucune sodomie ni de Maître O et d’autres hommes qui sont venus ici. Ma chatte est humide de frustration. J’ai commis une faute. Je ne gémis pas sous les coups, mais je dépose une grande flaque de mouille.

- Très belles fesses musclées qui sont bien rougies. Tu aimes ça, les fessées, ma Shawn.

J’hoche la tête, les yeux baissés.

Sans attendre, Phallus d’Or m’encule sauvagement à plusieurs reprises, pour me faire lubrifier.

- Tu vas nettoyer avec ta langue, ta mouille après tes fessées, prosternée.

J’obéis. Je fais de mon mieux, menottée dans le dos, cuisses écartées, exposant mon anus rougi et ouvert.

- Allez au coin, accroupie, cuisses écartées, en silence, face au mur.

Je sanglote, c’est la première fois que je suis sévèrement punie.

- Tu pleures, Shawn. Tu as compris ta faute. Tu mérites un retour au Domaine, pour ton comportement. Mais ta grossesse te l’interdit. Tu me devais une réponse dans les 48 heures et pas plus. Donc, ce sera 2.000 au lieu de 5.000.

- Oui, Maître, dis-je à Phallus d’Or.

Phallus d’Or me libère mes mains et me console dans ses bras.

- Tu ne recommences pas ce jeu-là. Même si tu es la soumise de Maître O et de Sir Stephen, tu me dois aussi obéissante, ma belle Shawn. Essuie tes larmes, va te doucher. Nous allons au restaurant d’un ami. Tu te fais belle. Maître O doit corriger tes soubrettes, pour leurs fautes, comme toi, aujourd’hui. Tu as mémorisée ta faute.

Vers 11 heures, je me douche longuement devant Phallus d’Or, me farde, me parfume et revêts juste un boléro transparent blanc, un corset étroitement lacé pas trop pour mon ventre, un pantalon ouvert transparent blanc dévoilant intégralement mes fesses nues, ma chatte et mon pubis totalement lisse. Je chausse des mules blanches à talons de douze centimètres. Je me coiffe d’un chignon, ne gardant que mon collier de cuir, sans ceux de mes poignets et de mes chevilles. Je fais un peu pute.

Je m’assois à côté de Phallus d’Or. Je reste silencieuse, les yeux baissés, ne sachant ce qu’il me réserve.

Le restaurant est près de chez Aimée, à l’angle.

Vers 12 heures, nous entrons par une porte discrète au sous-sol.

- Voici, ma pute Shawn, dit Phallus d’Or, devant six superbes beaux étalons, musclés et athlétiques en costume d’hommes d’affaires. Je baisse les yeux. Elle aime le sexe, menottée, déjà fouettée, très vicieuse. Elle s’empalera sur vos queues qu’elle sucera, à chaque plat. Interdiction formelle, mon chaton Shawn de jouir, sans mon autorisation. Si tu as envie, tu retardes ton plaisir. C’est 5.000 par pal anal, plus 2.000 les pipes. Vous avez déjà payés. Elle est toute à vous pour son abattage en public.

C’est la première fois que j’apprends que je suis une soumise payée.

Ils caressent ma chatte par l’ouverture de mon pantalon et je les suce, agenouillée, cuisses écartées, offrant une vue sur ma chatte. Aucun ne parle pendant que je reçois leurs jets de spermes dans ma bouche, j’avale tout, mais ils restent encore en érection.

Je dois m’enculer sur chacun, me laisser caresser sur les zones désirées, nourrie par chacun. Mon envie de jouir est trop forte, mais je résiste tant bien que mal, par ses gros mandrins gainés de picots qui m’écartèlent l’anus.

- Ma pute se retient, très bien, Shawn, tu coopères très vite, dit Phallus d’Or. Je passe à 3.000 mon dernier prix.

Après le dessert, je suis immédiatement prise en double pénétration, dos à celui qui m’encule, sans leurs gaines, par les six étalons et Phallus d’Or pisse dans ma bouche aussi.

J’explose lors de la dernière double pénétration, mon clitoris est trop sollicité. Je me suis retenue à l’appartement.

- Viens te soulager aux toilettes pour hommes, dit Phallus d’Or.

J’obéis, tenue par les hanches, toujours habillée, le boléro retiré.

- Tu viens de jouir à la dernière double, ma pute Shawn. Tends tes fesses et pisse en même temps, plus vite.

J’obéis, je reçois trente fessées et je pisse longuement.

Phallus d’Or m’achève par une longue sodomie et éjacule sur mes fesses brûlantes. Il me met un bijou d’anus pour ne pas perdre le sperme.

- Tu vas dire au revoir à ces messieurs, en les suçant. J’aviserai au club. Oui, nous allons au club, il est 15 heures. J’ai besoin de toi.

Je reste silencieuse, surprise par sa douceur et sa violence.

Ils éjaculent et certains pissent dans ma bouche. J’avale tout.

Je remets mon boléro et je monte en voiture, le moteur allumé par un des serveurs.

Nous rejoignons une clinique privée à une heure de route de l’université. Je reste silencieuse.

Vers 13 heures, dès l’entrée de la clinique, je lui annonce :

- Tu vas me faire hospitaliser pour mon obsession du sexe, car je suis une lesbienne qui ne peut devenir une bisexuelle libertine. Tu abuses de mon corps au nom du Domaine. Je suis ta pute et ma santé ne te préoccupe pas, que j’ai des émotions. Je suis au bord de la dépression.

- Non, Shawn, je vais te faire rencontrer un ami sexologue, qui va résoudre tes problèmes sexuels rencontrés depuis le 20 juin, suite à une remise par ta copine Aimée au Domaine, pour que tu deviennes une vicieuse de tous les sexes, dit Phallus d’Or.

- Aimée va me le payer.

- Viens, je vais te présenter au Docteur Oscar. Il est très gentil, du même âge que Maître O et ils sont frères.

Phallus d’Or me laisse dans le bureau de Docteur Oscar. Je suis tendue, par crainte qu’il me caresse, me viole.

Mais il me relaxe. Il est très sexy, musclé, barbu, plus grand que moi. Il détaille mes différentes étapes de mon lesbianisme vers ma bisexualité, mon côté libertin, que j’ai du passée rapidement en deux mois. Il note que cela a perturbé mon côté émotionnel, d’où mes pleurs, mes obéissances contraintes et mon désir d’être mère. Tout cela me trouble. Il me connaît comme s’il avait vécu en ma compagnie. Maître O l’a informé. Je ne souhaite pas le questionner, pendant l’heure de son discours. Je me sens fautive et Aimée aussi. Je reste assise devant son bureau, cuisses écartées, mouillant de désir pour lui.

- As-tu des questions, Shawn ? Je vais mon possible pour y répondre.

- Non, prends-moi, encule-moi, je vais te sucer, si tu veux. Tu m’as libérée d’un poids. J’assume ma bisexualité un peu tardivement, mes désirs de soumission et de domination. En somme, je peux être lesbienne, pute anale et vicieuse simultanément. Je pensais avoir perdu mon côté lesbien au Domaine. Je suis toute humide de désir.

Je me déshabille en même temps, sans aucune pudeur, découvrant le canapé où je m‘allonge sur le dos, cuisses écartées, je me masturbe un peu.

Docteur Oscar m’offre un mandrin de seize par huit, mais ce n’est pas grave. Je veux jouir avec lui. Je le suce, avant une baise qui me mène à l’orgasme, puis je suis enculée, les cuisses écartées et levées, maintenues par les chevilles. Il me filme avec mon téléphone portable pour Maître O.

Phallus d’Or nous rejoint.

- Il te viole, Shawn.

- Non, je prends du plaisir, nuance. Ce sera désormais moi, qui choisit mes amants, mon agenda. Si je perds de l’argent, je le gagnerais légalement, comme assistante du Docteur Oscar par exemple. Oui, inonde-moi dans mon puits. J’aime ta petite queue bien grosse.

- Tu peux te doucher, Shawn, si tu le désires, dit Docteur Oscar.

Je remets mon bijou d‘anus. Je me douche de façon érotique, pour exciter mes deux amants. Docteur Oscar me sèche et je reste nue, pieds nus devant eux, ensuite.

- Shawn, le Domaine t’a dressée trop sévèrement. Tu n’as pas pu accepter ta transformation si rapide, dit Phallus d’Or. Tu es libre de ton corps. Je ne vais m’insérer dans ta vie intime. Le film t’a transformée en beauté bisexuelle libertine.

- Oui, mais je reste ta pute, si tu désires m’offrir à d’autres hommes. Je pourrais devenir l’assistante de Docteur Oscar, s’il faut faire des études, pour découvrir les problèmes sexuels masculins. Je veux une 205 cabriolet, moins discrète que ma Ferrari que je te cède, Phallus d’Or, tu en feras meilleur usage. Je dois être une femme sérieuse, élégante, avec un côté soumise et vicieuse et prochainement mère d’un enfant que je veux élever. Je veux être offerte en douceur, non pas violentée comme au Domaine.

- Maître O et le Domaine vont tenir compte de ta santé. Aimée sera dressée de suite au Domaine, dit Phallus d’Or.

- Le 5 août à 15 heures, prochain rendez-vous pour toi, Shawn, si tu as un souci, tu me contactes.

- Bien, Docteur Oscar, je serais présent avec Maître O.

- Tiens, Shawn, un tailleur plus strict blanc te sera plus approprié pour ton retour à la résidence, dit Phallus d’Or.

Je le revêts sans aucun chemisier dessous, sur mes seins nus, la jupe s’adapte au rondeur de mon ventre, sur mes fesses et mes jambes nues. Je garde mes mules à mes pieds, laissant mes cheveux libres. Je me sens plus femme.

Je conduis au retour.

A l’appartement, où je retrouve Maître O et mes soubrettes.

- Mon chaton Shawn, tu rentres de ton rendez-vous avec Docteur O. Je l’ai contacté pour tu le rencontres. Il a résolu tes soucis.

- Oui, je suis libre, tout en étant ta soumise. Phallus d’Or m’a punie, mais en fait, il va faire dresser Aimée. Je serais ferrée dès que les conditions seront réunies. Je déciderai du moment.

Je retire rapidement mon tailleur et je reste nue, me laissant caresser par Maître O, sous ma douche.

Je me repose dans ma chambre, me souvenant de mes débuts de mon dressage jusqu’à ce que je suis devenue une soumise bisexuelle et j’en suis fière.

La Ferrari rejoint le club et j’ai officiellement une 205 cabriolet, plus discrète.

Jusqu’au 5 août, je reprends mes cours, les garçons n’osent plus m’approcher et même certaines copines, par mon changement sexuel. Jasmine, Saphir et Vicieuse Anale m’accompagnent, pour s’offrir à ma place. Je me suis rangée, mais tout en restant à disposition du Domaine.

Lors du rendez-vous du 5 août, je m’offre en double pénétration, après une courte discussion, nue, à Docteur Oscar qui m’encule et Maître O qui me baise. Je connais une vague de plaisir, qui me comble. Je suis un peu épuisée, mais je me douche devant mes amants, tous les deux me sèchent et je remets mon tailleur saumon. Docteur Oscar aime que je sois seins nus sous ma veste, et que mes fesses nues soient moulées sous ma jupe droite. J’ai mis des escarpins noirs à talons de dix centimètres et je me coiffe d‘une queue-de-cheval, me rendant un peu plus jeune fille.