lundi 9 novembre 2020

INITIATION ANGLAISE 7E PARTIE

 

Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.

J’ai 19 ans.

Je suis une jolie beauté scandinave.

Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. J’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est épilée, portant des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte, je garde ma toison pubienne velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85C de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.

Mes grandes lèvres de ma chatte sont ferrées au nom du Marquis Héraut, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse. Mais aussi mes reins sont tatoués A votre dévouée chienne Svetlana, je porte sur mes fesses les marques au fer rouge S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite, lors de mes viols par le Docteur Sexe O Roy Mac.

 

INITIATION ANGLAISE 7e PARTIE

 

16 décembre

Entamant son quatrième mois de grossesse, Olivier m’annonce devant Corinne et Justine :

- Mesdames, la Mafia a pris le contrôle du Haras, mais cela a échoué, malgré le playboy, mais il reste l’hippodrome. Une opération est en cours depuis un certain temps, mais confidentialité. Pénélope a été manipulé, elle est la victime mais elle devra payer quand même des dommages à l’Etat. Corinne est déjà numéro 1 sur les postes occupés au Haras et à l’hippodrome, avec les deux mois de salaire transférés et non perçus par Pénélope, pour la punir de sa grosse faute financière, mais non imputable car ce sont des auteurs extérieurs. Pénélope doit subvenir à ses besoins, sous le contrôle de Corinne, qui contrôle aussi son compte bancaire.

 

23 décembre

Vers 8 heures, vêtue en soubrette, avec une robe courte, en plus de mon tablier et en escarpins blancs, coiffée d’une queue-de-cheval, à la demande expresse d’Olivier, je suis à l’étage où se trouve le bureau personnel d’Olivier.

Je suis intriguée par la porte entrouverte. Ce n’est pas normal. Olivier est inconscient, il a du être surmené. Je dois prévenir Corinne, mais elle va me punir.

Je croise Corinne, en peignoir de bain, pieds nus, les cheveux libres, près à rejoindre la piscine intérieure, prête à retrouver Justine.

- Corinne, viens vite. Olivier…

- Tu es allée dans la zone interdite, mon chaton. Tu vas être punie.

- Vite…

- J’arrive.

Corinne fait la même constatation.

- Mon chaton, c’est encore toi, qui ouvert la porte de son bureau.

- Non, Corinne, je te jure.

- Attention, mesdames, nous évacuons Olivier vers l’hôpital, annonce un médecin et des brancardiers.

Olivier est évacué par le NH-90 médicalisé, sous haute protection.

Justine arrive en robe stricte fuchsia, en escarpins noirs, les cheveux libres, sans maquillage.

- Quel remue-ménage, Corinne et ma Pénélope, annonce Justine.

- Pénélope a ouvert la porte et Olivier était inconscient.

- Désolé, la porte de son bureau est protégée, Pénélope ne peut l’ouvrir. Seul Olivier peut l’ouvrir. Pénélope passe ta main sur le scanner.

Le scanner ne reconnaît pas la main de Pénélope, ni celle de Corinne ni celle de Justine, mais déclenche la venue d’hélicoptères sur le parc du Domaine, après le départ en urgence du NH-90.

Des hommes en costume sont entrés.

- Mesdames, veuillez quitter la zone. L’accès est strictement limité. Une opération en cours, la mise en sécurité du Major Honoré et les accréditions pour vous Corinne, vous êtes attendue au salon. Pénélope et Justine veuillez regagner vos chambres, pour l’instant, dit l’un d’eux.

J’obéis avec Justine, inquiète par ce branle-bas de combat.

Corinne demande des explications à un capitaine de vaisseau, de 45 ans, en grand uniforme blanc :

- Olivier a été évacué sur l’hôpital. Je veux de ses nouvelles, je suis son amie et enceinte de lui. Olivier travaille depuis des jours, peut-être des mois, avec sa conjointe Pénélope, qui lui fait des caprices. C’est peut-être la cause de son hospitalisation.

- Calmez-vous, Adjudant Caroline, nous savons tout sur vous, Olivier, sa conjointe et Justine sa mère. Vous pourrez voir Major Honoré, dès que les conditions sont réunies. Je vous déconseille, par mesure de sécurité, tout déplacement au Haras et à l’hippodrome, ainsi que Justine et Pénélope. Pour information, je suis venue expressément à la demande de Jacques, pour superviser l’opération depuis le Domaine, qui sert de couverture. Je suis le capitaine de vaisseau Emmanuel du corps qui supervise les missions du Major Honoré. Je vous prie que l’hôpital a déployé tous les moyens pour que le Major Honoré soit sur pied prochainement. Voici vos accréditions sous enveloppe cachetée qui est à ouvrir que sous certaines conditions. Des instructions vous seront données.

- Merci, capitaine de vaisseau Emmanuel pour cette attention. Je reste au Domaine.

- Pénélope n’a pas ouvert la porte, c’est Olivier qui l’a ouverte.

Le capitaine de vaisseau se retire. Des hommes cagoulés patrouillent armés, avec des chiens, les vigiles sont renouvelés.

Pénélope retrouve Corinne qui a mis à l’abri l’enveloppe.

- Tu vas me punir, Corinne.

- Fais venir, Justine. On doit parler entre femmes, dans la suite nuptiale.

Là, dans la suite nuptiale, le trio est réuni.

- Que se passe-t-il Corinne, nous sommes sous très haute protection, dit Justine.

- Je ne peux vous en dire. Olivier est hospitalisé, les raisons sont inconnues. Pénélope, mon chaton, tu ne seras pas punie. J’ai d’autres soucis à régler.

- Qui est ce gradé ? questionne Pénélope. C’est un bel homme.

- Tu calmes tes ardeurs sexuelles, mon chaton. Tu dois être responsable de tes jumelles avant tout et de ta santé. Le temps qu’Olivier est hospitalisé, je garde mes fonctions. Pénélope, tu restes encore soubrette pour l’instant. Justine tu surveilles Pénélope, Olivier n’étant pas là. Pénélope, je sais tu es grande, mais on ne sait jamais.

Le ballet d’hélicoptères militaires et civils se succède jusqu’au coucher du soleil. Une cellule de crise est installée dans un étage, à l’accès limité. Même Corinne ne peut y accéder.

Pénélope et Justine tentent de la réconforter.

 

24 décembre

Vers 7 heures, Corinne est réveillée par un des vigiles. Elle s’habille d’un tailleur noir, avec des bas et des escarpins noirs à petits talons, les cheveux libres, après une brève toilette.

Elle est conduite non loin de la cellule de la crise, reçue par le vice-amiral, une femme, Hermine Val Roc, de 50 ans, une brune aux cheveux courts, en uniforme blanc :

- Adjudant Caroline, je vous fais lever de mon heure. Vous allez pouvoir rendre visite au Major Honoré. Votre tenue est prête. Uniforme de rigueur, car vous allez entrer en zone Marine Nationale qui s’occupe de votre ami. Si vous avez des soucis de santé, vous êtes prise en charge par l’armée de terre, tout comme Justine, dont je ne vous donne pas actuellement son grade. Pour la santé de votre ami, son hospitalisation dépend de votre santé, de celle de Justine et de la chipie Pénélope.

- Amirale, Olivier, va bien, je suis très inquiète.

- Mon adjudant, le lieutenant de vaisseau Daniela s’en occupe personnellement comme médecin, même s’il a du déjà s’occuper de la chipie Pénélope lors de sa venue à l’hôpital.

- Amirale, Je m’en occupais aussi, lors de son séjour de deux semaines.

Mon adjudant, je sais, mais il y avait aussi Olivier qui souhaitait en savoir davantage sur les raisons du malaise de la chipie Pénélope.

- Amirale, Pénélope vous la considérez comme une chipie, vous êtes de mon côté.

- Mon adjudant, je confirme, Pénélope doit redevenir une femme de poigne et ne pas se faire dominer. Justine va l’éduquer sur la gestion d’entreprise.

Arrivées à l’hôpital, à bord d’un Dauphin de la Marine nationale, Corinne et Hermine se rendent directement à l’étage dédié. Olivier est isolé, dans une chambre, sans aucune visite autorisée, sous assistance et divers équipements.

Corinne est prête à lâcher une larme.

- Retenez-vous, mon adjudant. Il a été proche de la mort, il a un début de crise cardiaque, du à un surmenage, des activités intensives et surtout une pression de Pénélope, qui ne pense qu’à elle et elle cause des problèmes de santé à autrui.

Je comprends.

Le lieutenant de vaisseau Daniela arrive, en blouse blanche, une superbe blonde, aux cheveux longs, de 35 ans.

- Je suis le lieutenant de vaisseau Daniela. Olivier va s’en sortir, mais il y a une drôle de chimie. Sa santé s’est dégradée mystérieusement, mais cela est en lien à les trois grossesses, la votre, mon adjudant, celle d’une colonelle et celle de la Mademoiselle l’emmerdeuse dont il est son conjoint. Si l’une de vous connaît un souci, aussitôt, Olivier subit les répercussions. Il a une part de féminité plus importante que certains hommes. Je ne peux expliquer.

- Mon capitaine, je vois, mon Olivier détecte nos sentiments féminins.

- Mon adjudant, il faut faire très attention avec lui, le moindre écart peut provoquer une réaction de sa part. L’emmerdeuse va l’apprendre à ses dépends.

- Amirale, je peux avoir une entrevue avec la colonelle au Domaine. La couverture du Domaine semble bien protégée, mais la colonelle doit être mieux protégée.

- Mon capitaine, je vois que la colonelle risque aussi des soucis par sa fille.

- Mon adjudant, je vous laisse. Il y a une chambre à votre disposition, pour veiller sur Olivier.

Corinne est conduite à la chambre et connaît soudain, un léger malaise. Elle doit s’allonger. Les examens médicaux sont réalisés dans l’heure. Corinne est  hospitalisée jusqu’au 27 décembre.

L’entrevue de Daniela avec Justine permet d’arrondir les angles avec Pénélope.

Je suis sermonnée par Daniela, Justine et Hermine sur mon comportement.

- Mesdames, je vais respecter mes obligations, ne plus faire mes caprices, qui risquent de mettre en danger mes jumelles et mon Olivier.

Justine et moi passons les fêtes, isolées de Jacques, du colonel et de James par sécurité, mais les soubrettes font tout pour oublier l’absence de Corinne et d’Olivier, mon amour. Je me sens anxieuse, inquiète, pleurant de temps à autre. Tout est de ma faute, je regrette devant Justine.

- Ma Pénélope, Olivier occupe un poste à responsabilité et tes caprices l’ont malmenés. Il n’aime pas ton attitude.

- Oui, mère, je me serais plus gentille, discrète. Quand Corinne rentre-t-elle ? Elle me manque aussi, je suis aussi sa chipie, son chaton.

- Tu aimes ce surnom mon chaton, ma Pénélope.

- C’est gentil, c’est attentionné. Je suis mal comportée vis-à-vis de Corinne, l’amie de mon Olivier. Je ne veux être contrainte de divorcer d’Olivier pour mes caprices. Je suis intelligente et je vais tout faire pour préserver notre union.

Je reconnais une autre Pénélope, qui va s’occuper des siens.

Je reçois un livret sur sa grossesse par Sir Dan comme Justine, ainsi qu’un livre sur la gestion d’entreprise écrite par Justine. Justine reçoit en plus un recueil de photos de JVS au Domaine, réalisé par Olivier. Corinne a offert en son absence à Justine, un livre écrit par Olivier, sur la vie secrète du Domaine, dédicacé, juste avant l’hospitalisation d’Olivier.

Corinne reçoit dans sa chambre, un cadeau de son Olivier, remis par Sir Dan : des vêtements pour ses jumelles à leurs noms Shawn et Justine. Elle remarque son Olivier est très attentionnée sur elle, malgré son hospitalisation.

 

27 décembre

Vers 7 heures, Pénélope est admise à l’hôpital, avec les mêmes symptômes que Corinne et n’en sort que le 30 décembre. Le NH-90 médicalisé fait le transfert. Pénélope est placée en zone de l’armée de terre.

 

30 décembre,

Vers 9 heures, la colonelle est hospitalisée, et ne sort que le 2 janvier. Elle est transférée à bord du NH-90 médicalisé, sous contrôle d’officiers médecins de la Marine Nationale.

 

8 janvier 2e année

La sécurité des paris a été renforcée, sécurisée, avec plus de contrôles sur les parieurs et interdiction formelle au membres du comité de l’hippodrome de parieurs, car l’auteur est un des membres, qui souhaitait devenir le numéro 1 du comité de l’hippodrome.

Corinne est la numéro 3 du Haras, numéro 3 du club des propriétaires des étalons reproducteur, numéro 3 du conservatoire du Domaine, numéro 3 du comité de l’hippodrome, numéro 3 des saillies des haras de la région, en plus numéro 3 de la société d’hélicoptères O Dauphin et numéro 2 des établissements médicaux. Corinne en est à son troisième mois de grossesse et son accouchement est prévu pour juillet. Si jamais j’ai un empêchement comme numéro 1 ou numéro 2 selon mes activités, Corinne me remplacerait temporairement, connaissant les dossiers.

J’avoue à Olivier, au salon, en soubrette :

- Je suis un peu naïve devant ses amis intimes, me révèle être très intelligente, aimant jouer la comédie, réelle soumise, réelle jouisseuse anale depuis le collège et aussi une redoutable Maîtresse SM.

- Je le sais, ma Pénélope. Mais tu mets en jeu ton empire et tes amis. Reprends-toi. La Mafia n’est plus présente, mais reste sur tes gardes. La sécurité de tous les lieux de ton empire est renforcé.

- Mon chaton Pénélope, tu ne l’as pas encore punie pour le couloir d’accès à ta zone interdite, mon chéri. Ma chipie Shawn continue à faire son intéressante, elle n’a compris la leçon du séchage de la dernière fois. Maîtresse C va te rappeler les instructions.

- Elle sera punie. Pénélope n’a pas les mêmes valeurs que nous tous. C’est la pute dressée par la Mafia d’Alban et du playboy, qui l’a marquée et ferrée, pour la faire reconnaître de ses amis, dont Yannis, qui aurait la séquestrée, sans que je m’en soucie, tout comme ton père, dit Olivier.

- J’ai le droit d’aller où je veux au Domaine. C’est chez moi.

- Tiens, mon chaton, nièce O, fait sa belle, Emmanuel ne te suffit pas, il te faut Daniela. Oui, ma chipie, je t’ai vue lors de la venue d’Emmanuel, en uniforme, il te plait, mais non, il m’est réservé, tout comme la lesbienne Daniela qui n’en est pas une, mais mariée avec Emmanuel, dit Corinne.

- Je n’ai plus revue Daniela. Que fait-elle ?

- Cela plait à ma curieuse, dit Corinne.

- Oui, elle est trop curieuse, ma fille, dit Justine. Tu n’as pas honte, les fesses nues sous ta tenue, mon chaton. Tu mouilles d’excitation, quand on te critique. La maladie d’Olivier est liée à ton comportement, il a perturbé nos états de santé à nous toutes. Tu dois te reprendre immédiatement, ma chipie nièce O. Maîtresse J va sévir, ma chérie.

Je pleure en silence devant le trio. Je suis mal à l’aise. On contrecarre mes projets futurs.

 

15 février

Olivier m’annonce :

- Ma chère Pénélope, tu vas te mettre au repos forcé, pour ta grossesse, pour ton sixième mois de grossesse. Je prends le relais. Finis la soubrette, les autres soubrettes vont revenir au Domaine.

- J’accepte. Je t’obéis, mon chéri.

Je me prélasse au lit, à regarder des vidéos de moi, pour me faire jouir, en me doigtant la chatte et l’anus, en me faisant discrète, nue, avec mes carcans de cuir.

 

20 avril

Libérée de mes carcans de cuir par Olivier, je suis transférée dès la perte de mes eaux, en NH-90 médicalisé, qui a déjà servi pour Olivier. Je suis sous bonne escorte médicale et policière.

J’accouche, de deux jumelles prématurées, dans la zone de l’armée de terre, qui sont placées sous surveillance pendant trois mois, jusqu’à son retour au Domaine. Je suis autorisée à rentrer deux jours après leur naissance.

Je fais virer Rose, qui est devenue la future nounou de mes jumelles. Olivier et Corinne acceptent ma requête, Jason la fait emprisonner loin de la région, pour délit de fuite lors de sa permission.

 

23 mai

Vers 7 heures, je dois remettre exceptionnellement ma tenue de soubrette, avec une robe courte, en plus de mon tablier et en escarpins blancs, coiffée d’une queue-de-cheval. Je me tiens tranquille pour ménager surtout mon Olivier.

Sir Dan accepte la requête d’Olivier, je dois faire du sport, en plus de la relaxation.

Vers 8 heures, je suis conduite toute nue, pieds nus, les cheveux libres, à la suite nuptiale. Je suis menottée debout, les bras tendus à un crochet, la porte-fenêtre grande ouverte, sur la pointe des pieds nus, une barre d’écartement fixé aux bracelets de mes chevilles, coiffée d’une queue-de-cheval, parfumée et fardée. Corinne me met mon collier de maintien. Je garde les yeux baissés, la bouche entrouverte.

- Attends, mon chaton, il faut raser ces poils pubiens et de ta chatte, dit Corinne. Justine, tu t’en occupes, j’applique de la crème solaire sur le devant du corps de ma chipie adorée. C’est aujourd’hui ton anniversaire, mon chaton. Tu vas t’en souvenir, comme celui du 2, tu te souviens. Oui, soumise à nous trois, cela a du te marquer.

Le rasage se fait avec un rasoir à l’ancienne, avec de la mousse. Justine s’applique et dévoile à nouveau ma marque du fouet et de la cravache entrecroisés, marque du DSC.

- Tu es toute belle ainsi, on dirait une jeune fille de 16 ans, dit Justine. Cela mérite des coups de cravache, ma chipie, en me donnant cinq coups sur chaque fesse, ses reins et l’arrière de ses cuisses et un final sur sa chatte humide.

Je m’évanouis, les larmes dégoulinant, après avoir compté les coups de cravache. Je suis toute brûlante et en sueur, au bout d’un quart d’heure.

- Mon chaton, il faut exposer maintenant ton dos. Je vais te mettre de la crème sur ton dos, tes fesses et tes cuisses, dit Corinne. Ses ongles sont naturels, sans vernis. Mais ce que mon chaton a sa chatte toute humide, son clitoris est tendu à l’extrême comme ses mamelons. Je reviens dans peu de temps, te surveiller, mon chaton, ma nièce.

Mais le temps est très long, je porte mon bâillon-boule et je ne peux hurler, sous les coups de soleil, sur mon dos. Le soleil est chaud et le vent frais provoque une tension extrême à mes mamelons et mon clitoris exposés. Corinne et Justine se relaient cette fois, alternant pour offrir mon ventre et mon dos au soleil hivernal, il fait froid. J’ai la chair de poule. Je dois boire souvent un verre d’eau.

Corinne et Justine portent leurs tenues saumon, avec une veste de tailleur sur un corset seins nus et une jupe éventail, avec des bas blancs, chaussées de sandales blanches à talons de douze centimètres, fardées et parfumées, les cheveux libres, affichant leurs rondeurs.

Vers 9 heures 30, allongée sur le ventre, cuisses écartées par la barre d’écartement, je me laisse enduire mon dos de crème apaisante. Je pense qu’Olivier va me prendre enfin. Je suis frustrée.

- Regarde, comment ton chaton tend ses fesses, dit Corinne.

- Direction la baignoire, pour ton bain, soubrette vicieuse O, dit Olivier.

Je rejoins la salle de bains, sans ma barre d’écartement. Je suis menottée au crochet, accroupie, cuisses écartées, bras tendus, les yeux baissés.

Olivier ne me baigne pas, il me cravache bien les fesses et les cuisses sous l’eau, puis hors de l’eau.

Vers 10 heures, il me libère. Corinne me sèche rapidement. Je n’ai pas le temps de me farder. Je porte un gros bijou d’anus. Je remets ma tenue de soubrette.

- Allez, ma belle O, tu vas passer le plumeau sur les tableaux du rez-de-chaussée. On s’active, dit Corinne, en tenant la cravache qu’elle fait claquer sur mes fesses nues encore brûlantes. Tu obéis à Maîtresse C.

Au rez-de-chaussée, je trouve un escabeau, devant un des dix tableaux, que je dois nettoyer.

- Tu te déchausses, tu nettoies toute la poussière sur chacun. Ils sont très grands, débrouille-toi, mon chaton, dit Corinne, sous l’œil amusé d’Olivier, assis sur le canapé du salon. La cravache claque sur mes fesses pour m’encourager. Tu veux encore un coup, c’est ce que tu veux, ma chipie adorée. Mon chéri, tu aimes ma jupe, sur mes jambes nues comme ton chaton. Elle n’a pas honte, les fesses nues. Tu fais des écarts de savoir-vivre, future Marquise.

Corinne a changé sa jupe pour une jupe boutonnée devant, sur ses jambes, qu’elle déboutonne bouton par bouton de bas en haut, après le nettoyage de chaque tableau. Je dois monter sur l’escabeau à chaque fois, pour exhiber mes fesses nues zébrées. J’ai envie de me soulager mes fesses brûlantes.

- Allez, nièce O, léchage de mon clitoris et de ma chatte, direction le canapé, tu vas me faire jouir, ta Maîtresse C. Puis Maître D me prendra, devant toi.

Vers 10 heures 30, je rejoins le canapé, Olivier m’observe, en se masturbant son mandrin, que j’envie.

- A quatre pattes, entre mes cuisses, ma belle chienne Shawn, tu salives de ma chatte, dit Corinne. Jupe relevée, que je vois tes fesses nues. Tu aimes te promener les fesses à l’air sous ta tenue de soubrette. Mais mon chaton, Maîtresse C va devoir te corriger sévèrement, n’est-ce pas Maître D.

Qui t’autorises à te promener les fesses à l’air, ma chienne Pénélope, dit Olivier, en tendant la cravache à Corinne.

- Tu t’actives à me lécher la chatte et mon clitoris tout tendu, ma gouine chérie, dit Corinne. Tu relèves bien ta jupe jusqu’à la taille, s’il te plaît, je ne le dirais pas deux fois.

Je fais de mon mieux, entre les cuisses écartées de Corinne, qui a retiré entièrement sa jupe. Elle mouille et son clitoris est bien tendu, aussi dur que le mien, par mon excitation. Fesses nues, la jupe relevée, je sens de violents coups de cravache cinglées mes fesses nues, encore brûlantes

- Aie, tu me fais mal, Corinne…

- Tu protestes et tu ne m’as pas dit Maîtresse C, tu me manques de respect, ma pute anale.

Pendant toute la durée que je dois mener Corinne à son orgasme, les coups redoublent. Je tente de mettre mes mains.

Olivier prend l’initiative de menotter mes mains dans mon dos, en passant son mandrin sur mes lèvres humides de la mouille de Corinne.

Humiliée, je tente d’échapper aux coups bien calculés par Corinne.

Corinne jouit et retire ses sandales, dévoilant ses jolis pieds nus aux ongles vernis en rouge.

- Tu vas me lécher mes orteils un à un puis la plante de mes pieds. Tu vas aimer, ils sont tous propres.

Je m’exécute. Je suis mal à l’aise.

- Mieux que cela, tu es une soubrette, tu nettoies bien.

Après le léchage des orteils et des semelles, Corinne s’allonge sur le dos, cuisses écartées sur le canapé.

- Toi, tu t’agenouilles, cuisses écartées, talons contre fesses, les yeux baissés. Tu as interdiction de te faire jouir, sans te caresser, menottée, ma nièce O. Chéri, baise-moi puis encule. Maîtresse J, tu la maintiens en position avec tes mains sur ses épaules.

- Je vais te baiser, même si tu es enceinte.

- J’ai envie de ta queue, devant cette voyeuse vicieuse, qui mouille déjà.

Olivier fait de son mieux, pour satisfaire sa Corinne, qui jouit, légèrement pénétrée, tout en caressant son clitoris tendu par la langue de Shawn.

- Je vais jouir, encule-moi aussi. J’ai très envie.

Olivier encule Corinne avec plus de profondeur et Corinne connaît un nouvel orgasme.

Olivier éjacule sur le pubis, le ventre et les seins de Corinne. Je suis humiliée.

- Toi, la soubrette, on reprend le travail, dit Corinne, en sueur, pantelante. On te surveille de près. Justine, tu lui passeras de la pommade tout à l’heure avant le souper. Tu peux toi aussi, la cravacher, si elle t’insultes ou te dragues, ma chérie.

 

10 juin

Vers 4 heures du matin, Corinne, Justine et Olivier quittent le Domaine, à bord d’un NH-90 VIP de l’armée de terre, escorté par d’autres NH-90 en couverture. Tous portent leurs uniformes de cérémonie de l’armée de terre pour Corinne et Olivier et de la marine Nationale, pour Justine, car capitaine de vaisseau est correspondant au grade de colonelle. Corinne et Justine portent des escarpins à petits talons.

Sir Dan assure ma garde.

Vers 10 heures, en un lieu tenu secret, en pleine forêt, loin de toute habitation, à quatre heures de vol du Domaine, abritant un immeuble discret, gardé par des sentinelles armées, des maîtres-chiens, des fusiliers commandos de l’air et des commandos-marine et des tireurs d’élite. Une caserne est à proximité pour assurer la zone vie. Le NH-90 atterrit sur une hélisurface sécurisée, avec des soldats en arme, avec le béret vert.

A leur descente du NH-90, le trio est pris en charge par l’adjudant-chef de l’armée de l’air Frédérique, en uniforme de cérémonie qui les conduit à l’immeuble. Tous doivent s’identifier par un badge donné à leur arrivée, plus des scanners des mains et un code d’accès sur une borne, envoyé à chacun dans les jours précédents.

Frédérique les dirige vers la salle de cinéma où le major Eve de l’armée de terre prend le relais et les emmène au premier rang. Les saluts se succèdent, les serrages de main, lors de rencontres avec d’autres officiers des différentes armes.

Le général de l’armée de terre, commandant le dispositif qui a soutenu le démantèlement de la Mafia au Haras et à l’hippodrome, remercie après la projection d’un condensé :

- Je tiens à remercier, en tant que général de division, les officiers présents : le major Corinne, anciennement Adjudant Caroline, le capitaine Honoré, et le capitaine de vaisseau Justine, dite la colonelle. Venez sur le podium pour les présentations aux invités.

Le trio arrive, les saluts de rigueur. Corinne et Justine reçoivent une médaille et Olivier en reçoit deux.

En aparté, le général de brigade souhaite les vœux de bonheur pour Corinne et Justine, invitées.

Corinne apprend qu’elle aura deux marraines pour ses jumelles, car elle est une des « filles » de l’agence comme Justine.

Le maître-principal Brigitte les accompagne ensuite pour la visite de l’immeuble, siège de l’agence, travaillant avec EUROPOL et INTERPOL, entre autres et d’autres services de l’Etat.

Connaissance de l’officier lieutenant Philippe, aveugle, ami de longue date d’Olivier, qui confirme que Corinne pourrait avoir un nouvel enfant, prochainement, après sa naissance de juillet.

 

17 juillet

Corinne accouche, dans la zone Marine nationale, surveillée par Daniela, suit de peu par Justine peu en avance le 19 juillet. Corinne est promue Major Caroline.

Je dois attendre mes 22 ans pour devenir directrice, par manque d’expérience et je reste numéro 4 en attendant ma nomination officielle par Corinne.

 

Corinne épouse officiellement Olivier, après mon divorce confirmé, pour divers non respect légaux pendant mon mariage, donc mon libertinage et mes nombreux amants comme soumise. Je reste soubrette à leurs services.

Les trois paires de jumelles sont éduquées ensemble.

Je garde mes bijoux intimes, mes tatouages et mes marques au fer rouge.

Olivier souhaite me baiser régulièrement pour que je puisse donner encore d’autres enfants, que Corinne adoptera. Justine et mon père le général Jacques sont accord. Ce sera une nouvelle punition que j’accepte.

Corinne tient les rênes de l’empire. Je continue à m’instruire sur mon futur rôle.

Je ne regrette pas mon dressage et mon éducation anglaise, qui ont fait de moi cette soumise à tous les hommes qui connaissent ma bague. De temps à autre, je suis fouettée, nue, par tous les temps, dans la suite nuptiale, pour mes fautes, naïve.

 

A bientôt, votre soumise Shawn, qui attend de vous recevoir, dans son œillet ouvert sous vos coups. J’en mouille d’avance.

Votre dévouée chienne Shawn.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire