Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. J’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est épilée, portant des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte, je garde ma toison pubienne velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85C de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Mes grandes lèvres de ma chatte sont ferrées au nom du Marquis Héraut, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse. Mais aussi mes reins sont tatoués A votre dévouée chienne Svetlana, je porte sur mes fesses les marques au fer rouge S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite, lors de mes viols par le Docteur Sexe O Roy Mac.
INITIATION ANGLAISE 6e PARTIE
16 octobre
Vers 9 heures, Corinne, radieuse, enceinte d’Olivier, vient le complimenter de son acte. Elle fera tout pour afficher ses rondeurs face à Svetlana.
Vers 13 heures, Justine vient au Domaine, pour une visite avant un rendez-vous avec Corinne, sa sexologue.
Justine avoue à Corinne et Olivier, vêtue d’un chemisier blanc sans bouton sur un haut de bikini triangle vert, avec un paréo, en mules dorées à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, sans maquillage :
- Au fait, MPA, cela te dirait de me prendre sur le fauteuil gynécologique. Je pense que c’est une légende.
- Non, la salle existe bien, Svetlana et Corinne y sont déjà passées, avec succès, leurs grossesses, dit Olivier.
- MPA, je ne vais jamais tomber enceinte avec toi. Tu as toujours ton problème de spermes.
- Non, Justine ou JVS du Domaine, dit Corinne, tu te trompes. Comment tu connais MPA, JVS ?
- Disons que cela fait dix ans, que le couple MPA et JVS ont connu leurs heures de gloire. MPA m’a honoré ma chatte et m’enculer, toute nue, avec mes bijoux intimes et mon tatouage sur mes reins, entre deux défilés, séances photos et soirées libertines avec mes amis photographes et mannequins, dit Justine. Je suis doublement ouverte. J’ai un œillet qui a été distendu, élargi, est devenu par la rééducation anale, redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire enculer. Mon Jacques adore, mon œillet serré pour m’enculer, même le colonel Charles Alexandre et surtout mon fils James, que j’ai eu avec Jacques. Pénélope est une jumelle et la sœur de James. James aime m’honorer lui aussi depuis l’âge de 16 ans. Je m’offre nue, sans pudeur, sans tabou. Il me caresse, me fait jouir en Force 10.
- Oui, Force 10, c’est le code quand Justine prenait du plaisir, elle hurlait Force 10 et les voyeurs savaient qu’elle avait un orgasme et je lui inondais soit sa chatte soit son anus bien élargi, dit Olivier.
- Tu veux dire, qu’il y a 10 ans, quand tu m’a rejoint ici, tu as connu Justine, la mère de Svetlana. Justine est la patiente de Sir Dan donc, qui vous honore aussi.
- Sir Dan m’encule uniquement et il a participé à ma rééducation après quelques temps au Domaine. Je ne suis une femme qu’un chien monte comme Pénélope. Elle aime ça avec son Arès et son Adam. Olivier, veux-tu me prendre, me caresser, devant ta Corinne, que j’aime beaucoup. Je suis aussi une bisexuelle, dit Janine.
- Tu prends beaucoup de plaisir avec James, dit Corinne.
- Sa jeunesse et son gros sexe me font jouir rapidement. Il aime aussi quand je le suce en 69, s’occupant longuement de ma chatte, mon clitoris et surtout me doigtant longuement mon anus élargi. Il est aussi bien monté que ton Olivier, qui est aussi mon Olivier, je suis partageuse. Tu veux voir ma chatte, j’ai laissé mes poils pubiens, pour continuer à plaire à mon Olivier. Mes seins sont encore superbes, mes mamelons sont constamment tendus ainsi que mon gros clitoris. Allons dans cette pièce, je me déshabille et je m’installe sur le fauteuil. Je suis toute mouillée.
Olivier glisse sa main entre les cuisses et fait lécher les doigts à Corinne et à Justine.
- Confirmé, tu es bien excitée de faire honorer par ton MPA, dit Corinne. J’aime ton discret tatouage sur tes reins.
Installée sur le fauteuil, cuisses écartées comme Corinne, Justine s’offre aux miroirs et aux discrètes caméras.
- MPA, au fait, il y a une porte secrète pour te promener dans le Domaine, dans cette pièce, dit Justine en lui susurrant à l’oreille.
- JVS, tu devrais d’abord sucer MPA, pour qu’il te fasse un Force 10, dit Corinne.
Corinne est surprise par la bouche experte de JVS sur le mandrin de son MPA.
- Merci, JVS, j’aime quand tu me prends en bouche. Maintenant, je me lubrifie avec la mouille de ta chatte, entre tes lèvres entrouvertes.
- C’est bon de recevoir à nouveau ta queue. Cette pénétration légère me fait jouir.
Dans la suite nuptiale, nue, me masturbant, en direct sur un écran de télévision, j’assiste à trois gros plans, une bouche suçant une queue, puis cette même queue dans une superbe chatte. Je suis jalouse. Je reconnais la voix du colonel, qui donne du plaisir à ma mère.
- Je crois que Pénélope va être très jalouse. JVS est la troisième sur le fauteuil, annonce discrètement Corinne.
- MPA, tu peux m’enculer maintenant. Je suis toute à toi. Je mouille abondamment. Je repense à nos premiers ébats.
Olivier éjacule un peu, jusqu’au fond de la chatte de JVS, lors d’un orgasme en lui masturbant délicatement son clitoris tendu.
- Force 10, tu es toujours aussi délicat, j’aime ça, dit Justine, les yeux mi-clos, ondulant son bassin.
Il l’encule en douceur, pour son anus s’habitue à nouveau à son gros sexe. Olivier active le mode silence pour la suite de la vidéo en direct sur l’écran de Pénélope.
- Oui, tu m’écartèles bien l’œillet. Je suis ta déesse du sexe, dit Justine, comblée à nouveau.
- Tu es bien ouverte, comme au premier soir, ma belle JVS.
- Pine-moi, encule-moi jusqu’aux testicules, fais-moi jouir, ordonne Justine, en pleine montée de son orgasme anal.
- Tu vas me faire inonder ton puits, ma belle. Caresse-lui les seins à JVS, pour l’exciter davantage.
- Corinne, quelle douceur, quelles superbes mains, je suis prête à faire l’amour avec toi, si tu le désires.
L’orgasme anal se combine à la longue éjaculation d’Olivier.
Olivier reste dans l’anus de sa Justine. Justine le libère et il éjacule encore un peu sur son pubis et Justine le nettoie.
- Tu as aimé, mon MPA. Je suis toute heureuse. On peut recommencer.
- Ce soir, tu passes la nuit, après ton rendez-vous avec Corinne. Tu porteras une tenue décente, mais nue pour les ébats dans une chambre du rez-de-chaussée, la chambre d’Eros Anal.
- Tu veux encore m’enculer, me faire jouir, dit Justine.
Olivier s’éclipse, car je descends voir la pièce qui est fermée par un code que je ne connais pas.
Au bout d’un quart d’heure, elle s’ouvre et je découvre Justine ma mère, cuisses écartées, avec un superbe bijou, nue, sans aucune trace de sperme sur son corps, épuisée et Corinne qui lui lèche le clitoris.
- Ca va, Pénélope, tu t’introduis, alors que je jouis sous la langue de ma Corinne, dit Justine.
- J’ai vu une queue t’honorer, tu l’as même sucée, j’ai entendu la voix du colonel. C’est lui, qu’il t’a pris, chère mère Justine.
- Ma Svetlana, tu sors de la pièce, tu nous perturbes. On va s’expliquer ce soir dans la suite nuptiale. File, immédiatement, dit Corinne, en stoppant le plaisir à Justine.
- Obéis, Pénélope, tu vas avoir des problèmes avec moi et Corinne, et peut-être avec Olivier.
J’obéis et me réfugie toute l’après-midi dans la suite nuptiale. J’ai rêvé.
- Corinne, continues. Je vais encore jouir.
Olivier revient.
- Pénélope n’a plus aucun accès à la vidéo de cette pièce. La fonction est désactivée, annonce Olivier.
- Olivier, baise-moi, j’ai la chatte en feu et Corinne m’a donnée du plaisir.
Corinne se retire et Olivier s’enfonce plus profondément dans la chatte bien lubrifiée par le sperme d’Olivier et la mouille mélangée par Corinne.
L’orgasme est plus rapide.
Olivier embrasse langoureusement sa Justine.
-Je peux me doucher, dit Justine.
- Oui, à la piscine intérieure, tu dois la connaître, dit Olivier, libérant la bouche de Justine pour une ultime fellation de JVS.
- Le bijou d’anus porte le meilleur diamant qu’à ton clitoris. Il te va à merveille, ma JVS.
- Il me remplit bien l’œillet et je suis très bien ouverte.
Justine se douche, rejointe par Iris, la soubrette, qui la sèche et lui susurre à l’oreille :
- Justine, Pénélope est une jeune femme qui se croit tout permis, fille de général, vicieuse, offerte au premier venu, une vraie pute, désolée.
- Je sais, mais Pénélope sera corrigée à la hauteur de son comportement. Cela fait longtemps, que je dois subir son manque de respect vis-à-vis surtout de sa mère. Elle a fait jouir son père, mon Olivier et d’autre hommes, Adam et Arès. C’est désormais fini, c’est moi sa mère qui va choisir ses amants.
Olivier montre la vidéo à Corinne, de la piscine.
- Dis donc, Justine est comme nous deux, les caprices de Svetlana ont un temps. Tu lui annonce ce soir pour les 10 millions à ta Justine.
Nous retrouvons Justine, pensive.
- Au fait, tu te souviens, que je t’ai sauvée de la noyade, lors d’une soirée à la piscine, lors du séjour de Maîtresse Svetlana, dit Justine.
- Encore une fois, mais quel mépris pour toi, dit Corinne.
- Ma musculature et l’aide d’un client musclé a permis de le sauver de la noyade, mais Maîtresse Svetlana s’est éclipsée pour se faire jouir avec d’autres clients, sans aucun intérêt pour la bousculade de deux hommes dont MPA. C’est un baiser langoureux que j’ai eu droit, lors du bouche-à-bouche.
- C’est logique, je désire savoir qui l’a sauvé à Fuerteventura, dit Corinne curieuse.
- C’est moi aussi, j’étais avec Sven. Je me trouvais à la terrasse, en compagnie de Sven et Olivier. Mais Pénélope a bousculé Olivier et elle est partie, en croisant Jacques et Arès sans les remarquer. Je lui fais du bouche-à-bouche, mon premier baiser et non pas le dernier avec Olivier, mon admirateur. A Fuerteventura, Olivier aimait et continue à m’enculer avec un tel plaisir.
- Justine le pense sincèrement Corinne, dit Olivier.
Justine choisit un tailleur pour recouvrir son corps nu. Corinne porte le même tailleur avec minijupe fuchsia, avec des escarpins blancs et toutes les des ont les cheveux libres.
- Justine, tu ne portes pas de slip, ni string, ni soutien-gorge, tes seins sont superbes.
- Oui, Corinne, depuis le début de ma soumission, je suis nue sous mes vêtements, c’est pratique pour me prendre.
- Je vois, cette veste sur tes seins nus et cette minijupe mettent en valeur ton sublime corps athlétique. Allons en hélicoptère à mon cabinet. Sir Dan va t’examiner, pour voir si tu es la reine du désir sexuel.
L’Ecureuil personnel de Corinne les amènent au complexe. Justine le connaît, par Jacques.
- Corinne, je ne t’ai pas dit, Jacques m’a enculée la première fois, devant Sir Dan. Je ne lui ai pas avoué, que je pratiquais déjà cela. Jacques est moins imposant qu’Olivier, mais j’ai joui avec lui.
Justine s’offre une nouvelle sur le fauteuil gynécologique, nue avec Corinne et Sir Dan, en pleine séance de sa sexologue Corinne.
- Quel plaisir de te revoir, ma belle Justine. Ta dernière visite date du 10 septembre, au retour de Jacques. Il t’a bien défoncé l’œillet à cette visite.
- J’ai tellement joui, que Jacques a du attendre que je sois détendue, dit Justine, la chatte écartelée par le spéculum.
- Tu viens de te faire éjaculer dans ta chatte dernièrement, demande Sir Dan.
- Oui, c’est MPA, Olivier, mon premier amour du Domaine. C’était divin, dit Justine. pourquoi, elle est bien propre.
- Il reste un dépôt dans le fond de ta chatte.
- Mais Olivier ne peut me faire d’enfants, j’ai déjà Pénélope et James. Il a un sperme inapproprié.
- On verra, Justine. Si dans une semaine, tu ressens quelque chose, préviens-moi et Corinne, surtout.
- J’y manquerais pas. Surtout, si ce soir, je recommence avec lui.
- Justine a une énorme envie de son Olivier, dit Corinne.
- Oui, sa queue me fait jouir comme jamais auparavant. James qui m’a honorée dès ses 16 ans, ne peut me procurer autant de plaisir, même enculée. Il n’est aussi expert qu’Olivier, dit Justine.
- Tu couches avec James, ton fils, c’est tabou.
- Le colonel et Jacques le savent, je dois le préparer pour sa future promise. Je suis experte.
Sir Dan encule sur le champ Justine, qui jouit un peu moins fort qu’avec son Olivier.
Corinne et Justine préparent la riposte à Pénélope jusqu’à leur retour vers 20 heures, mangeant sur place, se caressant mutuellement dans le bureau de Corinne, se godant jusqu’au plaisir.
Vers 19 heures, Corinne et Justine reviennent, main dans la main, s’embrassant langoureusement, comme deux lesbiennes, me rendant jalouse.
Je suis simplement vêtue d’un tee-shirt blanc sur mon corps nu, en sandales blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval.
- Tiens, regarde, cette superbe pute, dit Corinne.
- Pénélope est une authentique pute. Tu te fais jouir avec Sir Dan, la chienne, dit Justine.
- Vous n’avez pas honte, toutes les deux, Corinne et ma mère ensemble, dis-je.
- Ma Svetlana, ta mère est libre de ses amours, mais toi, tu es une sacrée libertine à ton âge, dit Olivier, par derrière. Ca va, fesses nues, devant tout le monde. Tu aurais pu mettre une jupe.
- Olivier…
- Mais ma Svetlana répond à son chéri, dit Corinne, en me bâillonnant la bouche avec un bâillon-boule. Ainsi, tu vas obéir. Mais, tu as encore du poids, avec tes jumelles, tu vas devoir en perdre un peu, diète ce soir, n’est-ce pas Justine ?
- Oui, à la diète, ma Pénélope, un peu de sport et interdiction de sexe pendant un mois.
Je dois rester bâillonnée, agenouillée comme une soumise, nue, près de la table de la salle à manger, en compagnie de Justine, nue, enculée par Olivier, assise entre ses cuisses, se laissant caresser les seins, le clitoris. Elle jouit devant moi.
Enculée jusqu’aux testicules, c’est divin ma Corinne.
- Souvent, Olivier me prend dans cette position, tu es bien empalée, dit Corinne.
- Justine est très excitante après sa visite chez Sir Dan. Elle s’est fardée les mamelons et les lèvres de sa chatte, c’est superbe.
Je tente de m’approcher de la chatte de Justine, mais Olivier m’en empêche.
- Je la conduis à sa chambre, cette Svetlana, qui se conduit très mal. La correction du 2 ne t’a pas suffit. Tu continues, à mentir, à courir les hommes et surtout à manquer de respect, madame la pseudo Marquise du sexe.
Corinne me tient fermement par la taille, avec une main, bloque mes mains dans mon dos, bâillonnée. Je te tente de me dérober.
Arrivée dans la chambre, Corinne m’allonge sur le dos, regarde mon ventre, ma chatte et mon anus.
- Tu te masturbes encore, seule, en pensant à tes amants ou c’est Adam qui t’a enculée aujourd’hui en mon absence, ma Svetlana. Je te libère ma bouche et je veux une réponse.
Je ne dis rien malgré les fessées magistrales que je reçois.
- Tu vas arrêter de me fesser, Corinne. Je ne dirais rien ce soir sur ma journée.
- Tu le prends comme cela. Tu gagnes 10 millions et tu te crois au-dessus de tout soupçon, la fille d’un général. S’il découvre la vérité, tu es en mauvaise posture.
- Tu te crois intelligente. Je les ai gagné légalement et je ne te dirais rien de plus, Corinne. Quitte ma chambre.
- Mademoiselle Svetlana me donne des ordres. Tu mesures tes propos. Olivier va te corriger ainsi que Justine et Jacques.
- Jacques ne sait rien, ni Justine, ni Olivier et toi.
- On verra bien. Je reste là, me déshabille et je vais dormir avec toi. Je suis lesbienne, fais-moi alors jouir, ma chienne Svetlana.
Au même moment, dans une chambre au rez-de-chaussée, Olivier honore à nouveau Justine, dans un grand lit, avec vue sur le parc. Justine est encore plus chaude que sur le fauteuil gynécologique.
Tête-bêche, la chatte bien lubrifiée, allongée sur le dos, Justine s’offre à Olivier. Il me lime à fond ma chatte qui s’ouvre sous ses coups. Mes jambes sont levées en l’air, cuisses écartées.
- Olivier, MPA, pine-moi à fond la chatte.
- Tu aimes cette position à la hussarde.
Olivier peut ainsi inonder la chatte de sa Justine, lors de son orgasme.
- Force 10, c’est divin. Encule-moi aussi, j’ai trop envie de toi.
Pour cela, Justine s’empale face à lui, enculée jusqu’aux testicules, prenant du plaisir, en se balançant. Ses seins sont perlés de sueur.
- Force 10 voir un Force 11, j’aime ce sperme dans mon puits de déesse.
Justine garde la pose jusqu’à la fin de son orgasme anal.
Elle nettoie son Olivier.
Corinne les rejoint, après avoir menottée Svetlana, les mains dans le dos, les cuisses maintenues écartées par un barre d’écartement et une chaîne passée à son collier, reliée au lit. Elle ne peut se dérober.
- Alors, les amoureux, dit Corinne, tu es toute chaude, ma Justine. Svetlana est menottée et au silence, pour la nuit. Je vais la surveiller.
- MPA m’a bien inondée de partout. Je peux me doucher, ma Corinne. Je finis de nettoyer mon MPA.
Corinne en profite pour bien lubrifier la chatte de Justine.
Je ne peux ni bouger, ni me masturber. Corinne va me le payer. Je suis une Marquise. Corinne dort nue à mes côtés, se masturbant et jouit dans de longs orgasmes. Je suis frustrée.
24 octobre
Vers 8 heures, à l’improviste, alors qu’Olivier n’a pas dormi depuis quelques temps avec Svetlana, pour diverses raisons personnelles et de désaccord mutuel, Justine arrive à bord d’un des Dauphins d’Olivier. Svetlana dort nue dans la suite nuptiale. Corinne a dormi dans la chambre que Olivier a partagé avec Justine, au rez-de-chaussée.
Elle est vêtue d’une robe moulante, saumon, au décolleté en V, mettant en valeur ses seins nus, couvrant ses cuisses nues, avec un discret dos nu, chaussée de sandales blanches à talons de dix centimètres, les cheveux libres, maquillée et parfumée.
Corinne est déjà debout, fraîchement douchée, vêtue d’un court peignoir sur son corps nu, dévoilant son ventre arrondi, pieds nus, les cheveux libres.
- Tu es très belle, ma Corinne. Olivier n’est pas là. J’ai une annonce à lui faire ainsi qu’à toi, mais pas à ma fille Pénélope.
- Il est dans son bureau, depuis hier soir. Il ne m’a rien dit depuis ton passage le 16 octobre. Il vient manger, puis disparaît, après avoir consignée Sveltana dans sa chambre. Pénélope a pris du poids, mais elle refuse son régime draconien et quelques exercices pour son corps.
- Je vois, la chipie continue. Elle commence à m’exciter sérieusement. Miss caprices, j’ai 20 ans, mais je me comporte comme une gamine de 16 ans. Mes fautes ne sont pas condamnables. Le playboy n’est pas impliqué. Un million sur son compte en banque, en espèces, elle me prends pour une pute.
- Donc, Justine, c’est vrai, cette affaire d’un million, plus une histoire de dopage par Pénélope au Haras. Sachant qu’elle a interdiction formelle depuis le 16 septembre d’aller au Haras et à l’hippodrome. Elle a violé son interdiction d’aller à l’hippodrome et de parier depuis son ordinateur portable qu’Olivier lui a confisqué. Elle mérite une sévère correction. Au fait, quelle est l’heureuse nouvelle, ma belle Justine, tu es toute en beauté, rayonnante, souriante ?
- Je suis officiellement enceinte de mon MPA. J’y croyais pas du tout. C’est un miracle à mon âge. Je vais devoir ceci sous surveillance.
- Si tu veux, tu pourras dormir ici, dans les derniers mois. Sir Dan équipé la pièce du fauteuil gynécologique, pour un suivi régulier de nous deux, la chipie et moi, donc avec toi, cela fera trois.
Olivier débarque à l’improviste, tout surpris de voir ses deux beautés en pleine discussion. Svetlana est enchaînée nue à son lit.
- Ma belle JVS, tu es très excitante. Tu veux que je prenne encore.
- MPA, je suis enceinte, donc.
- Mais JVS, Corinne, je lui donne du plaisir, en lui honorant son œillet. Je peux de faire, mais Svetlana refuse toute jouissance anale de ma part, depuis qu’elle s’est mis en mode, je te déteste mon chéri. Tu as mise enceinte, tu n’aurais pas du, en résumé, les pensées de Svetlana, que je surveille de près. Tu veux prendre un petit déjeuner, JVS avec Corinne et moi. Nous irons voir vers 9 heures, Svetlana la chipie à un million.
- Toi, aussi, tu es au courant, mon chéri, mon amour, mon MPA, dit Corinne, toute surprise.
- D’ici quelques jours, Svetlana devra affronter la réalité, Jacques a mis tout ce qu’il faut pour démontrer les paris truqués.
Le petit déjeuner se passe tranquillement.
Dans la suite nuptiale, je suis allongée nue, sur le dos, cuisses écartées, avec mes carcans de cuir, une barre d’écartement pour que je ne puisse me masturber, les mains jointes à mon cou, avec mon bâillon-boule comme chaque jour. Je suis toute humide, sur les draps.
Vers 9 heures, le petit déjeuner s’achève.
Je fais descendre la chipie pour son rituel. Elle sera baignée ensuite.
Olivier va chercher Svetlana. Il la descend, simplement vêtue d’un corset seins nus sous son boléro noir et d’une minijupe transparente blanche, en mules blanches à talons de dix centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, avec ses carcans de cuir, sans maquillage, ni lavée, en sueur, la chatte humide, avec son bijou d’anus, sans mon bâillon-boule.
Au rez-de-chaussée, tenue en laisse par son Olivier, les yeux baissés, j’annonce :
- Tiens, ma mère et Corinne, la nouvelle chérie de mon Olivier, qui a pris du grade. Tu vas me le payer, Corinne.
- Quelle façon de dire bonjour, Pénélope, à sa mère.
- Une soumise ne doit pas parler sans avoir y été autorisée, dit Corinne. Tu manques de respect à tes Maîtres, Maîtresse Svetlana. Ton inconfort te déplait, consignée, sans te caresser, sans être offerte à des hommes, ni même à ton Adam, qui s’occupe de sa Shawn, enceinte. Au fait, mes jumelles seront baptisées Shawn et Justine.
- Moi, ce sera Corinne et Olivia, en hommage à mon Olivier, mon chéri, mon amour, dit Justine. Bien sûr, Pénélope n’a pas encore choisie. Tes jumelles devront naître à leur terme, accouchement naturel bien sûr, ma chipie.
- Je ne suis pas ta chipie, mais ta fille, mère. Corinne, tu me fais honte.
- Donc, pas de petit déjeuner, Pénélope, j’en déduis, dit Olivier.
Une superbe brune aux longs cheveux, en tailleur strict noir, maquillée, en bas et escarpins noirs, arrive en hélicoptère Ecureuil. Olivier semble la connaître.
- Madame Charlotte Philippine, de la lutte contre les jeux clandestins et les escroqueries dans le monde hippique, quelle surprise de te voir, aujourd’hui ?
- Olivier, voici la fameuse Pénélope de Hauts Vallons, l’escroc, directrice de l’hippodrome et d’autres activités, sachant que ses postes sont occupés de façon temporaire et peut-être définitif par Corinne, je présume et sa mère, Justine.
- Oui, je suis Corinne, enceinte d’Olivier, tout comme Justine. Pénélope est en mode soumise et doit rester silencieuse pour l’instant.
- Olivier, tu as du goût, ces beautés sont sublimes. Quand à la Marquise, son comportement n’est pas à la hauteur de son rang, elle se comporte comme une pute, une allumeuse, une chienne, désolé. Le playboy va prochainement passé aux aveux, il est revenu dans la région. Il attend le cadeau de sa belle.
- Il est revenu, dis-je surprise. Il a interdiction de venir ici.
- Tu n’es pas autorisée à parler, dit Corinne.
- Très belle tenue, nue dessous, comme une authentique soumise ferrée, tatouée et marquée au fer rouge, je présume, dit Charlotte. Je peux la caresser.
- Attendez, je dois la préparer, dit Corinne.
Mes mains sont menottées dans le dos, après le retrait du boléro, pour exhiber mes seins nus aux mamelons tendus par l’excitation lesbienne.
- Tu es très chaude, pour une ancienne lesbienne, Pénélope. J’ai un dossier épais sur toi, confidentiel, tout comme celui de mon Olivier, Corinne, Justine et de Jacques ton père. Nul ne peut accéder aux informations, même toi, il faut des autorisations très spéciales en haut lieu. Voyons ses seins et sa bouche dressée, puis nous verrons ses fesses et son bouton d’amour bien tendu.
Charlotte pelote les seins, étirant les mamelons tendus tout la questionnant :
- Le playboy a interdiction de venir ici, tu dit Pénélope. Mais tu as parié avec lui, désolé.
- C’est vrai, dis-je.
- Disons que le playboy a reçu une autorisation de venir dans la région, suite à une mauvaise rédaction de ta plainte et il a utilisé les mots « coups et blessures » de ta part sur lui.
- Il n’a pas le droit, réplique-je.
- Comme ça, dit Justine, il n’a pas le droit, tu fixes les règles, Marquise.
- Elle se croit au-dessus des lois. Tout est permis au royaume de Pénélope, dit Charlotte. Voyons ses fesses nues, musclées, sous cette minijupe de pute.
- Tu portes un bijou d’anus. C’est vrai, tu es la reine anale par excellence à ton jeune âge, disons depuis tes 14 ans avec un certain Jason, un étalon africain noir, qui t’a déflorée dans les toilettes. C’est un de tes protégés, du gros calibre, pour bien t’ouvrir l’œillet. Tu as prendre du plaisir, une à deux fois par semaine, dans les toilettes. Tu es une sacrée vicieuse, déjà, avant qu’Alban te dresse. Jason est devenu le juge en charge de tes affaires « Pénélope, Svetlana, Emmanuelle, Eléonore, Shawn ». Celui est très bien choisi, un prénom masculin pour cacher son identité féminine. Très intelligente, notre jeune Shawn ici présente. Mais tu es bien élargi du puits, ma chienne. Tu commence à jouir, doigtée. Je vais cesser, avant tu emprisonnes mes doigts.
- C’est vrai, elle prend son pied en anal, ma fille, dit Justine. Jason doit être un superbe bien monté, pour ma fille, mieux qu’Olivier.
- Non, il a possède un long sexe, mais pas trop gros, dis-je. Un trente-huit par huit pour Olivier, Jason c’est un quarante par sept, mère.
- En plus, on connaît les dimensions de ces messieurs, dit Charlotte. Tout est enregistré, ma belle. Tu mouilles de l’œillet, la chatte doit être pareille, j’imagine, en plus de ta grossesse, ton désir sexuel doit être décuplé. Sodomie tous les jours, c’est ton régime.
- Non, Charlotte, elle est mode abstinence en attente des sanctions, dit Olivier.
- Je vois, aucune pénétration, donc Olivier, tu prends du plaisir avec Corinne ou Justine ou les deux.
- Mais les deux, Charlotte, pour rendre jalouse Pénélope, sa conjointe, qui pourrait devenir rapidement célibataire et veuve sans un sou. La vie serait très dure alors, dit Justine.
- Tu as raison, Olivier, Pénélope serait l’objet de viols dans sa prison pour femmes, livrée à des inconnus pour se prostituer pour gagner sa vie à sa sortie. C’est pas la vie de princesse actuelle, elle n’a pas pensée, ses jumelles seraient placées avec interdiction de visite et tout le processus judiciaire qui va avec, fouille, empreintes, examens gynécologiques avec viol comme avec Docteur Sexe.
- C’est faux, je suis innocente, je le prouverais, dis-je. On ne me retirera ni mon Jean Edouard ni mes jumelles Vénus et Diane.
- Tiens, voici leurs prénoms, la coquine de Pénélope se dévoile, dit Corinne.
- Elle prend encore son pied, quand je lui fouille sa chatte et masturbe son clitoris tout tendu, tout comme ses mamelons. Elle est très belle, sans maquillage, pas comme les affiches de Maîtresse Svetlana du DSC.
- Le DSC, que signifie ces lettres, dit Corinne, curieuse.
- C’est le code du Domaine, pour Domaine des Sévices pour Chiennes, en clair.
- Sévices pour Chiennes, ma fille s’est comportée comme une authentique chienne depuis son dressage par Alban. Montée par Arès, Adam et d’autres chiens au chenil, elle aime ça, dans la chatte et dans son œillet bien élargi par les sexes de danois. Elle doit savoir à quoi je fais allusion, le must du sexe canin, mais moins imposant que le sexe d’Alizé en érection. Elle n’est pas ouverte pour ce plaisir, elle ne dirait pas non pour sa chatte, vicieuse, dit Justine.
- Olivier, où puis-je imprimer des documents que doit impérativement Pénélope, Corinne, Justine et toi, Jacques apposera sa signature ensuite.
- Dans la suite nuptiale, je la prépare et vous me rejoignez, mesdames. Corinne, tu tiens en laisse la chipie toute excitée.
- Je ne suis pas ta chipie, mon Olivier, dis-je, furieuse et énervée.
- Tu réponds encore à ton Maître, cela mérite une punition à la hauteur du million de tes paris clandestins, dit Corinne.
Un quart d’heure, dans la suite nuptiale, les documents sont imprimés. Charlotte passe les menottes à un des poignets pour la signature.
Je dois signer Pénélope Beau Rivage Châtel sur tous les documents officiels. Les autres signent aussi.
- Non, ces documents n’ont pas le droit à ta signature. Seule Corinne va les signer, c’est pour ton avenir proche.
- Je dois apposer ma signature, dit Corinne, étonnée.
- Oui, ma chère Corinne, mon amour, ces documents t’autorisent certains actes, comme numéro 1 officiellement depuis le 2 octobre. Pénélope ne garde que quelques fonctions de rang inférieur. Elle est désormais sous tes ordres, même si elle est consignée au Domaine.
Corinne étudie les documents en aparté, loin de mon regard baissé.
- Allez, Svetlana au bain. Justine, tu t’en occupes, elle reste menottée, accroupie, cuisses écartées comme une soumise, pas un mot de sa bouche, que je vais bâillonnée de suite.
Vers 10 heures, Charlotte me retire les menottes et me voit, nue, pieds nus, entrer dans la baignoire et prendre la pose. Olivier me met mes bracelets de mes poignets à une chaîne tendue au-dessus de ma tête. J’ai droit à une canule pour me laver l’anus.
- C’est très inconfortable, dit Charlotte.
- Elle a l’habitude, depuis son dressage, dit Corinne. Je lui fais très souvent son bain. C’est encore une enfant. Elle a besoin d’être corrigée à chacune de ses bêtises.
- Oui, je vois, dit Charlotte. Les miroirs reflètent son corps, ses zébrures sont récentes sur ses fesses, ses cuisses et ses reins.
- Oui, elle est cravachée tous les jours, matin, midi et soir, pour ses fautes, dit Justine. Je la cravache aussi, ainsi que Corinne et Olivier.
- Elle est très excitante ainsi, dit Charlotte. Elle se laisse faire.
- Charlotte, vos documents sont tous signés. Je vous laisse ce dossier pour les mettre, avec des pages d’un ouvrage sur la vie de Pénélope depuis mon union civile et son dressage par nos soins, dit Olivier.
Charlotte repart, escortée par Corinne.
Je me mets à pleurer subitement, baignée, devant Justine.
- Tu pleures maintenant. Tu me fais encore un de tes caprices, l’eau est trop froide, ton lavement à l’eau froide ne te convient pas, dit Justine.
- Je suis officiellement veuve et unie à mon Olivier, dis-je.
- Oui, tu es veuve de ton Marquis Héraut décédé le même jour que le Commandant pendant que tu étais entre les mains de Corinne. Leurs cendres sont dispersées dan le parc du Domaine. Tu as hérité d’eux, mais sous certaines conditions, d’autres termes de l’héritage te sont pas encore accessibles, il te faut avoir l’âge de 21 ans résolu. Donc, il te reste encore un an pour faire tes preuves mais tu as perdu certaines fonctions, le délai sera porté à tes 22 ans. Ce sera très long à attendre. Il te faut de l’expérience, mais pas des erreurs et des échecs, dans ce monde.
- Elle est toute belle, baignée. Amène devant le balcon, je vais la suspendre pour la faire sécher, face au soleil, puis de dos ensuite. Une heure devrait suivre, dit Olivier.
Vers 10 heures 30, je suis dans une position très inconfortable, debout, les bras tendus à un crochet, la porte-fenêtre grande ouverte, sur la pointe des pieds nus, une barre d’écartement fixé aux bracelets de mes chevilles, coiffée d’une queue-de-cheval, ni parfumée ni fardée. Je garde mon collier de maintien, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Attends, mon chaton, il faut raser ces poils pubiens et de ta chatte, dit Corinne. Justine, tu t’en occupes, j’applique de la crème solaire sur le devant du corps de ma chipie adorée.
Le rasage se fait avec un rasoir à l’ancienne, avec de la mousse. Justine s’applique et dévoile à nouveau ma marque du fouet et de la cravache entrecroisés, marque du DSC.
- Tu es toute belle ainsi, on dirait une jeune fille de 16 ans, non pas qui va vers ses 20 ans. Regarde, elle fait sa fière de nous avoir encore mentie, ma chipie, dit Justine.
- Notre chipie va devenir notre nièce O, pour une belle bouche bien dressée, O pour Œillet, O pour Orgasme, O pour Ordres, O pour Ondine, O pour histoire d’O, qu’elle ne connaît pas, n’est-ce pas Corinne, tu n’as pas ceci dans ta bibliothèque de sexologue ?
- Si, je crois qu’elle l’a survolée, pendant son séjour de deux semaines. Elle l’a ramenée au bout d’une journée, lors de sa marche.
- Survolée, mais nièce O, ce roman n’est pas à survoler, on le lit, page après page. Tu le liras intégralement et tu regarderas aussi son film avec une superbe Corinne. Non pas toi, ma sexologue, je m’égare, dit Olivier.
- Des couettes pour notre nièce O, j’ai prévu un superbe cadeau pour notre nièce. Elle sera ravie de le porter. Tu confisques ses parures, elles seront estimées et vendues, dit Olivier.
- Mon chéri, regarde, pourquoi elle a pris du poids, il y a des paquets de gâteau entamés, des fraises du frigo et une banane pour se goder, dit Justine. Elle nous les a cachée.
- Ce n’est pas moi, qui les ai mis dans ce placard, dis-je, surprise.
- Cela mérite des coups de cravache, ma chipie, dit Justine, en me donnant cinq coups sur chaque fesse, ses reins et l’arrière de ses cuisses et un final sur sa chatte humide.
Je m’évanouis, les larmes dégoulinant, après avoir compté les coups de cravache. Je suis toute brûlante et en sueur, au bout d’un quart d’heure.
- Mon chaton, il faut exposer maintenant ton dos. Je vais te mettre de la crème sur ton dos, tes fesses et tes cuisses, dit Corinne. Ses ongles sont naturels, sans vernis. Mais ce que mon chaton a sa chatte toute humide, son clitoris est tendu à l’extrême comme ses mamelons. Je reviens dans peu de temps, te surveiller, mon chaton, ma nièce.
Mais le temps est très long, je porte mon bâillon-boule et je ne peux hurler, sous les coups de soleil, sur mon dos. Le soleil est chaud.
Vers 11 heures, Corinne revient avec Justine et Olivier. Corinne et Justine portent leurs tenues saumon, avec une veste de tailleur sur un corset seins nus et une jupe éventail, avec des bas blancs, chaussées de sandales blanches à talons de douze centimètres, fardées et parfumées, les cheveux libres.
- Mon chaton, tu es tout en sueur. Il faut que tu boives un verre d’eau pour te rafraîchir. Mon chéri, détache-la, son dos à du cramer. Mince, elle a un superbe coup de soleil, j’aurai du la surveiller. Elle n’a pas au soleil depuis longtemps. Je vais te mettre de la crème, dit Corinne.
Allongée sur le ventre, cuisses écartées par la barre d’écartement, je me laisse enduire mon dos de crème apaisante. Je pense qu’Olivier va me prendre enfin. Je suis frustrée.
- Regarde, comment ton chaton tend ses fesses, dit Corinne.
- Ecarte lui les fesses, je vais l’enculer, dit Olivier. Tu es sexy, tout en beauté, ma chérie Corinne et toi Justine aussi. J’aime cette tenue de lady.
Il m’enfonce un objet froid long de onze centimètres dans mon anus lubrifié et propre. Je ne peux pas le rejeter et que mon anus va rapidement vouloir le rejeter, les sensations vont très vite évoluer quelques minutes plus tard avec la crainte d’un déchirement. Je suis ouverte sur six centimètres de diamètre et onze de long. Olivier me le cadenasse, une fois ouvert en trois parties dans mon anus. Justine me retire mes carcans de cuir aux poignets et aux chevilles, ainsi que la barre d’écartement. Je suis enfin libre.
- Corinne, Justine, voici les clés de la poire d’Angoisse, dit Olivier. Toi, tu vas le garder pendant le déjeuner voir au-delà.
Olivier, tu ne m’as pas enculée avec ta queue, tu m’as menti, dis-je, toute fière.
- Habille-la en jeune fille sage, dit Olivier.
Je dois enfiler une petite robe blanche assez courte, sur mon corps nu, mes mamelons pointent dessous, couvrant à peine mes fesses nues zébrées et mes cuisses, coiffée de mes couettes, avec mon collier de maintien pour parure. Je dois chausser des tongs à mes pieds nus, malgré le temps froid à l’extérieur.
Les vigiles me toisent au rez-de-chaussée, quand nous montons à bord de la Rolls-Royce conduite par Aimée. Je suis assise entre Justine et Corinne à l’arrière, fesses nues sur la banquette, comme moi. Olivier est assis à côté d’Aimée.
Lors du trajet par un raccourci, cela fait une heure que je personne qui la porte, je frotte mes fesses sur la banquette comme une chienne en chaleur.
- Chéri, est-ce normal que notre nièce O se frotte les fesses, dit Corinne.
- Oui, c’est l’effet de la poire d‘Angoisse. Imagine d’ici cet après-midi, surtout chez son amie, devant elle, dit Olivier.
- Une authentique chienne en chaleur, enculée par son Adam ou Arès, dit Justine.
Nous arrivons chez Miss V. Je suis surprise de revoir ce lieu.
Miss V nous accueille, dans le même tailleur que Corinne et Justine.
- Enfin, je mets un visage sur la chérie Corinne et son amie Justine. Toi, nièce O et Olivier, je vous connais déjà, dit Miss V. Je suis Miss V, votre hôtesse, pour le déjeuner et voir au-delà.
- On se connaît, Miss V, dit Corinne.
- Oui, je passe souvent au complexe hospitalier. J’ai discrètement rendue visite à votre nièce lors de ses deux semaines. Elle s’est vaguement souvenue de moi.
- Je me souviens, elle était pas dans son état normal, fatiguée, stressée, enceinte déjà, à 16 ans, en deuil d’une amie très chère, dit Corinne.
- C’est cela, à 16 ans, déjà enceinte. Elle commence très jeune, cette nièce. Entrez, désolé, Justine, Nathan a trouvé l’âme sœur. Une chérie qui va remplacer sa Pénélope favorite. C’est déjà une allumeuse à son âge, je présume des pratiques anales quotidiennes avec Jason.
- Vous savez aussi, dit Justine.
- On peux se tutoyer, dit Miss V. Quand à toi, nièce O, tu me vouvoies, s’il te plait et tu arrêtes ton comportement de vicieuse. Tu restes bien silencieuse.
- Oui, nièce O n’est autorisée à parler que on l’y autorise, moi, mon chéri Olivier et Justine et toi aussi, dit Corinne, tout en embrassant langoureusement Miss V, devant nièce O, pour la rendre jalouse.
- Patience, Corinne, je te réserve une surprise pour toi, ma chérie. Olivier est un homme de goût, la meilleure sexologue et la meilleure épouse d’un général et une nièce naïve, un peu maladroite en savoir-vivre en société.
- C’est normal, le sexe et l’argent sont de mauvais guides pour nièce O, dit Olivier.
- Venez vous asseoir. Toi, nièce O, tu t’assois sur le tabouret, et toi, Corinne et Justine vous avez le privilèges des chaises.
- Tu es super comme idée, mon chéri, dit Corinne. Je vais me jouir, c’est du gros calibre.
Je m’assois sur le tabouret et je retrouve la sensation de me frotter les fesses, tellement j’ai envie.
- C’est normal, pour O, elle est une authentique chienne en chaleur, laisse-la, Miss V, elle va se calmer. O, tu obéis et tu cesses de te frotter, tu es mode orgasme, ma chipie adorée. Tu seras corrigée à ton retour. Tu restes silencieuse et tu vides ton assiette, comme une grande. Justine tu vas la nourrir. Je vais lui menotter les mains dans le dos, pour ne puisse pas se masturber. Ce sera mieux ainsi, et en silence, surtout. Toute nue, tu es plus belle, les yeux baissés, concentre-toi sur ton plaisir.
Je commence à avoir mal à mes hanches pour le désir anal qui s’accroît.
Au bout d’une demi-heure, nourrie par Justine, Miss V annonce :
- Mesdames, j’ai un dessert spécialement pour vous, le désir de chatte, un mélange de fruits rouges entier, avec un coulis assorti, de la mousse couleur jaune, d’où je vais laisse trouver les parfums. Quant à toi, mon Olivier, c’est un spécial cocktail fruité, avec divers parfums, qui te rappellera certains délices de ta Justine et de ta Corinne chéri, ta prochaine épouse, d’après certaines sources. Justine, je peux te voir en aparté, pendant Corinne nourrit sa O.
Dans un coin du salon, Justine annonce à Miss V :
- Depuis le retour d’Olivier le 16 août, je me suis totalement donnée à lui, jusqu’à ma fécondité le 16 octobre. Il m’a rappelé nos ébats au Domaine. Mais cette O est venue perturbée toute la vie du Domaine, à son âge, déjà je joue ma princesse, tous les hommes sont à mes pieds. Mais disons que MPA et moi JVS, elle nous a mise à l’écart, provoquant divers incidents. Cette Madame O d’abord et les autres après.
- C’est la jeunesse qui veut sa revanche. Sachez que cette O jouissait en regardant les DVD de ses viols. Je lui disais qu’elle se fait mal pour elle, aucun effet, comme si elle était accroc au plaisir.
- Tu veux dire que les DVD existent bien.
- Justine, Corinne va les récupérer, Olivier les utilisera à bon escient.
- Cette O a besoin d’être corrigée. Son comportement de frottement de fesses, c’est négligé. Intégralement épilée, ferrée, marquée, tatouée, mais à son âge, elle s’offre à des pédophiles dont Yannis, Alban et d’autres hommes, en anal surtout. Elle doit offrir sa chatte à certains, d’où sa grossesse. C’est une rumeur, qu’Olivier l’ai fécondée.
- Non, c’est une vengeance d’Olivier. Cette chienne se donnait en spectacle, dont Olivier l’a mise enceinte pour la contraindre à devenir plus gentille avec les autres. Ses jumelles sont une contrainte pour elle. Moi, j’attends certainement des jumelles, comme ma grande amie Corinne.
- Au fait, Nathan va arriver, tu te donnes dans sa chambre, en face de celle préoccupée par O.
- Je donnerais le meilleur de moi-même, en anal. Je vais d’occuper la chipie pour qu’elle finisse son dessert. Pas café pour moi et chipie, je ne veux pas qu’elle soit énervée, mais un réconfortant pour sa fièvre, due à son coup de soleil.
- Tu verras, la chipie O va dormir profondément. Cela calmera son envie.
Miss V avec un verre d’eau, avec le réconfortant dissous et un verre de jus de fruit.
- Cela calmera ton coup de soleil dans ton dos. Tu as passé combien de temps.
Juste une heure, elle est devenue toute rouge, de honte, mais je n’ai pas attention à l’indice solaire. Elle n’a pas le soleil depuis cet été, dit Corinne.
Au salon, je somnole, après mon pipi dans la chambre de mon ancienne, la chatte nettoyée par un de mes strings portés, retrouvé dans ma chambre.
- Regardez, elle est toute belle, la chipie, elle commence à s’endormir. Il est 15 heures, dit Corinne. Tu la ramènes et tu reviens ensuite, mon chéri, il faut coucher la chipie pour ce soir. Tu la mets nue sous sa fourrure.
- Ce sera fait, ma chérie, mon amour, Corinne, dit Olivier.
Olivier embarque O, dans ses bras, allonge sur la banquette, toute nue, avec sa poire d’angoisse.
Au Domaine, dans la suite nuptiale, Olivier m’allonge sur le dos, m’enchaîne par le collier, mains jointes à mon cou, cuisses écartées, avec ma barre d’écartement, après m’avoir retiré ma poire d’angoisse, une pause somnolente sur la cuvette, pour me soulager. Je pisse beaucoup, par les aliments du déjeuner. Il me fait un rapide bain avec une canule pour mon lavement.
Il ferme à clé la porte et me fait surveiller. Je ne peux me dérober, enchaînée. Je suis toute tremblante sous la fourrure, qui pique un peu mon corps nu. J’ai encore un peu de fièvre.
Vers 19 heures, Corinne annonce :
- Justine, Olivier, on peut partir. J’ai joui avec Miss V, qui m’a enculée avec un long orgasme et Justine, tu as pris du plaisir, enculée par Nathan.
- Oui, Corinne, c’était divin. Mais avec Olivier, c’est désormais Force 11, dit Justine.
- On se tient au courant pour O, dit Miss V. Cette nièce est une véritable chienne de sexe. Corinne, tu as pris les DVD.
- Oui, Miss V, j’ai tout. On va se faire plaisir ce soir et les autres soirs.
- Corinne, nos cinq étalons vont arriver avec un peu d’avance. Vous serez enchantées de les rencontrer. O dort encore.
Vers 21 heures, au Domaine, la rencontre a lieu.
- Messieurs, je vous présente Corinne, mon épouse et son amie JVS. Pénélope sera pour vous jusqu’à 3 heures, voir davantage, selon son excitation sexuelle. Anal uniquement, elle aura les mains jointes à son cou, pour éviter toute agression de sa part, fessées aussi, fellation de rigueur et surtout du sperme et de la pisse dans sa bouche, sur ses fesses, ses reins, son pubis tatoué.
- Bien, monsieur, ces dames sont très excitantes, dit l’un d’eux, un colosse, grand Nounours, déjà nu.
- Corinne, tu vas préparer notre Pénélope, que son œillet soit prêt pour ces messieurs, dit Olivier. Attention, ces dames sont fidèles, elles sont enceintes. Ce serait désobligeant pour elles. Désolé, uniquement ce soir, Pénélope pour votre plaisir et vous en aurez pour votre argent. Si elle proteste, fessez-la, elle mouille de plaisir, fessée. Elle est très docile, d’où ses mains jointes à son cou. Mais la jeune O a besoin d’une bonne correction pour sa grossesse non désirée.
Corinne entre, nue, avec un gode-ceinture aux dimensions imposantes.
- Allez, debout, O. Tu as de la visite, tu as intérêt à être à la hauteur ce soir, jusqu’à trois heures du matin, au moins. Pas un mot, tu obéis. Je vais libérer ton collier et tu te prosternes, pour me présenter tes fesses, je vais t’enculer sur le champ avec mon gode danois. Tu te détends, c’est tout. Anal toute la soirée et tu suces et tu avales, ce sont les consignes que tu dois suivre à la lettre, O.
Corinne m’insère le gode, de bonne dimensions, réaliste, veiné. Il mesure vingt-six par sept, en érection. Je suis aux anges et je jouis. Je suis prête.
Dans cette position, les yeux baissés, je ne peux voir les cinq étalons qui entrent, ensuite, après le départ de Corinne.
Un des étalons tente sa chance avec Corinne.
- La belle, je peux t’honorer ta chatte.
- Va t’occuper de Pénélope, moi, j’ai mon chéri. Il n’est pas du genre commode, quand on veut s’occuper de moi.
- D’accord, je m’excuse. Tu es enceinte, je te laisse tranquille.
Corinne en fait part à Olivier, via le téléphone portable sur cet étalon, musclé, tatoué, très bien monté.
Je subis simultanément une fellation d’un calibre huit et un sept qui m‘encule jusqu’aux testicules. Les trois autres se relaient dans ma bouche, puis m’enculent à tour de rôle. Je ressens des picots dans mon anus, mais je n’éprouve aucune douleur anale.
Lors des éjaculations, je dois avaler et nettoyer. Certains pissent dans ma bouche en éjaculant. Je connais des nausées, lors de certaines fellations.
Malgré la fatigue, mes hanches douloureuses, allongée sur le dos, prosternée, empalée, enculée, je me retrouve couverte de spermes, de pisse sur mes cheveux, mon visage, mes reins, mes fesses brûlantes par les fessées magistrales. Ils me traitent de pute anale, de chienne, de vicieuse. Je suis toute excitée.
25 octobre
Vers 3 heures du matin, Olivier entre par une porte secrète, que je ne vois pas.
- Alors, messieurs, la pute anale, la chienne, la vicieuse Pénélope a eu son compte et vous aussi, je vois. Elle est allongée sur le dos, elle reprend ses esprits, après ses orgasmes anaux violents. Regardez ce clitoris tendu, cette chatte aux lèvres entrouvertes, toute humide.
- Monsieur, elle mouille, fessée, dit l’un des étalons.
- C’est normal, elle a l’habitude de l’abattage, d’être fessée, pour ses fautes. N’est-ce pas Pénélope, tu en fais des fautes ?
J’hoche la tête, ayant du mal à avaler.
- Tu veux te soulager. Je te conduis. Messieurs, utiliser la baignoire pour vous laver, je la conduis aux toilettes.
Je me mets à vomir tout le repas du midi, plus de la pisse et du sperme. Je pleure chaudement.
Les messieurs partent, lavés et s’éclipsent. Corinne revient et l’un d’eux l’évite de tout commentaire.
- Quel est le problème, O, tu es malade. Tu as maintenant le ventre vide. Désolé, tu attendras demain. Tu es toute pale, fiévreuse. Tu vas te reposer, après ton bain pris en ma compagnie, je te fais ton lavement. Du sperme dans les cheveux, tu sens pas bon. Je vais parfumer la salle de bains après ton bain. Chéri, tu es attendue. On te désire.
- Je sais, j’arrive, la nuit sera courte mais Force 11.
Olivier s’en va et Justine arrive :
- Ce sont ses nausées de grossesse. Cela arrive, elle n’a pas encore connue cela. C’est normal, j’en ai aussi des nausées, ma O.
Je la baigne et je la couche. Je vais lui mettre une couche, si elle a envie de se soulager, enchaînée pour la nuit et une coupelle si elle a d’autres nausées. On se relaie pour la changer et la faire boire.
Après mon bain et mon lavement, Corinne me met une couche-culotte taille adulte. Je suis traitée comme une gamine.
- Tu te tiens propre jusqu’à demain 9 heures. Déjeuner léger, bronzage et sport demain matin.
Je dors mal, bercée par mes nausées et mes pipis fréquents.
Vers 7 heures, Corinne me change ma couche et m’en remet une nouvelle.
- Tu pues ma O, ce sont les effets secondaires du déjeuner d’hier. Je te baignerai tout à l’heure.
Olivier est mis au courant, après avoir fait jouir Justine, enculée à de nombreuses reprises, dans la chambre du rez-de-chaussée.
Vers 15 heures, habillée comme la veille, un peu remise de ma soirée, je suis présentée à Jason, mon premier amour. Il est devenu un bel athlète, c’est son premier poste, il a 23 ans.
- Tiens, voici la fameuse Pénélope, qui m’a fait passer pour son amant anal, la jeune lesbienne.
Justine est là, vêtue d’un haut de bikini triangle rose, dévoilant ses mamelons tendus et un paréo, en sandales blanches à talons de dix centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, exhibant son ventre qui s’arrondit.
Corinne s’est absentée pour ses fonctions de numéro 1 aux Haras pour la journée.
- Jason, elle risque gros, ma Pénélope.
- Nous serons fixé le 16 novembre, pour une audition sur les motifs de la possible inculpation.
- Au fait, pour le million, c’est confirmé, dit Olivier.
- Oui, les preuves s’accumulent. Surtout, quand Pénélope présente un découvert de deux millions, des entrées d’argent de ses tableaux qui chutent dangereusement et aussi, la banque qui réclame l’argent de la vente de ses parures.
- Elles seront vendues, pour renflouer l’Etat, dit Olivier. Un expert m’a annoncé pour environ 15 million à la vente.
- Elle est consignée au Domaine désormais, sans aucune fonction. Elle pourrait redevenir monitrice au Haras et hôtesse à l’hippodrome, en attendant des jours meilleurs, dès la décision prise le 16 novembre.
- Tu vois, Pénélope, tu redémarres en bas de l’échelle. Tu serais une excellente soubrette comme à tes débuts chez ce pervers Alban, ou actrice, tu aimes jouer les rôles principaux, dit Justine.
- Oui, Pénélope avait toujours les premiers rôles féminins et jouer à la perfection, son texte et les gestuelles, dit Jason. Des fois, elle simulait son orgasme, pour me faire croire qu’elle aimait, mais elle raffolait que je l’encule quotidiennement, aussi que je caresse son clitoris et doigte simultanément sa chatte humide.
- Déjà, adepte des doubles pénétrations, cette chipie. Corinne va très contente de l’apprendre, dit Olivier. Tu es bien silencieuse. Tu as repris des couleurs, le soleil t’as fait du bien. Il ne fallait exposer ton ventre au soleil, pour tes jumelles.
- Elle attend des jumelles, mes compliments, ma Pénélope. Justine, tu es sa mère, cette tenue met en valeur ton ventre qui s’arrondit. Je vous tutoie, car on s’est connu lors des années où Pénélope était une élève studieuse à l’école, dit Jason.
- Oui, c’était un plaisir que je vous initie, tout comme mon Olivier ici présent. Je suis une excellente Maîtresse du plaisir, dit Justine.
- Je vous quitte. Pas de visites d’ici le 7 novembre, elle va encore rester au Domaine.
- Justine, tu le raccompagnes et si tu veux, Jason pourra satisfaire ton désir, pas Pénélope.
- D’accord, quand tu veux, Justine, dit Jason.
- Tu es restée toute silencieuse, Pénélope, dit Justine à son retour. Ton Jason t’a bluffée, ma chipie adorée.
- Mais, Jason m’a trahie, il va me le payer, lui aussi. Je vais m’offrir à lui, quand il vient à nouveau, non, toi, ma mère Justine.
Olivier compose un numéro.
- Bon, Pénélope, Justine tu la prépares. Elle sera offerte à cinq étalons dans la foulée jusqu’à 18 heures, plus un supplément à vingt heures à trois heures du matin.
- Tu fermes ta bouche et tu obéis, ma Pénélope.
Vers 20 heures, Corinne rentre, conduite par Aimée. Corinne est radieuse, elle est au courant des informations de Jason. Corinne est vêtue d’un chemisier blanc avec une jupe noire, sur des bas noirs et des escarpins noirs à talons de dix centimètres, les cheveux libres, maquillée.
- Ca va, ma Corinne, dit Justine, qui vient de préparer Pénélope pour son troisième abattage. Pénélope a encore des nausées. Cela devrait passer avec le traitement qu’elle a pris. Je lui ai mis sa couche entre les deux abattages, elle pisse beaucoup.
- Je suis au courant, pour les derniers événements. Il faut attendre le 16 novembre. Il faut des preuves. Cette chipie n’a ce qu’elle mérite. Iris peut-elle venir me masser mes épaules, j’ai besoin d’être détendue. Olivier, tu pourras m’honorer ou tu prends Justine.
- Corinne, va te dormir, tu as faim. Un souper t’attends si tu veux.
- J’ai mangé au Haras. Mais ces hommes sont des vicieux en puissance, c’est Pénélope qui les a chauffé. J’ai du mettre le frein et je dois en licencier quelques-uns pour propos sexistes et gestes déplacés. Je ne suis pas Pénélope. Ils vont le regretter, mais pour le dopage, Pénélope caressait toute nue le corps de ses étalons et les masturber. Les enquêteurs vont donner leurs verdicts.
- Ce n’est pas une légende, dit Justine. Elle prend son plaisir où elle veut.
- On va lui donner une belle correction. Elle se fera défoncer sa chatte, peu après son accouchement et elle prendra du plaisir avec son étalon favori.
- Au fait, mon Olivier, certains prétendent au Haras, que Justine est une pute chevaline. Tu dois prouver le contraire.
- Quel comportement, tout cela car je monte souvent au Haras, de superbes étalons et des juments aussi. L’un d’eux veut me prendre aussi aux écuries, ces pervers, dit Justine.
- Tu me fais licencier ses auteurs, Corinne, tu as le feu vert. La gendarmerie enquête et expulsion immédiate avec interdiction de pratiquer au niveau national dans des établissements équestres.
- Ce sera fait. J’ai ma petite idée sur tes pervers, ma Justine. Je vais me coucher. Pénélope est en abattage jusqu’à trois heures. Justine ou Olivier, vous la baigner ou pas, tant pis, sa couche obligatoire. Elle pue cette Pénélope. J’ai aussi des nausées dans la nuit.
- On va s’en occuper. Repose-toi, demain tu restes au Domaine. J’irai aux Haras en simple visiteur avec Justine, tu seras anonyme dans un rôle sur mesure. Les gendarmes arrêteront les auteurs sur le fait.
26 octobre,
Vers 10 heures, Olivier et Justine, avec une perruque brune, à la garçonne, en tailleur et jupe droite noire, en bas, escarpins noirs, en veuve, viennent au Haras, incognito. Le colonel et le général ont mis un dispositif en place.
- Tiens, regarder elle ressemble pas à la pute chevaline, cette belle en veuve, dit l’un des hommes. Ma belle, cela te dirait que le sexe de ton étalon te défonce la chatte.
Justine le gifle et lui donne un violent coup dans les testicules.
- Ta belle te dit bien des choses, n’est-ce pas mon chéri. Je viens de perdre mon fidèle étalon, Jason des Haies, que je ne pourrais plus monter. C’est un manque total de respect, dit Justine, en pleurs sous ses lunettes noires.
L’homme est aussi remis à la gendarmerie.
- Mais, la belle vient de faire arrêter un des nôtres. Elle est très excitante, on la fait dans une écurie à trois ou à quatre, dit un autre qui vient avec d’autres hommes musclés.
Les gendarmes les encerclent et les six sont transférés. Justine a eu la peur de sa vie, se faire violer par plusieurs hommes, comme sa Pénélope.
Les autres employés se font discrets.
- Messieurs, votre comportement est un total manque de respect de la gent féminine. Tout prochain geste ou parole de votre part conduira à un licenciement sec et une expulsion de la région et divers soucis judiciaires. Pénélope est souffrante, je la remplace, je suis le numéro 2 des Haras et d’autres activités. Je me suis bien fait comprendre. Je vais au bureau avec Janine. Je ne veux aucun dérangement.
Le colonel et le général font leurs comptes-rendu par la fouille des vestiaires, de photos et de vidéos concernant Pénélope et Corinne, surtout des montages avec des insultes et des propos sous-entendus. Les propriétaires des casiers sont mis en garde à vue, mis en examen par Jason et emprisonnés.
Jason rejoint Justine.
- Tu as bien joué ton rôle, ma Justine. Pénélope a mis le bazar sexuel dans le Haras. A l’hippodrome, cela doit être pareil, dit Jason.
- Je la fais corriger chaque soir, voir maintenant en plus l’après-midi et peut-être même le matin, dit Olivier.
1er novembre
Vers 7 heures, au réveil matinal, après un court sommeil, je suis convoquée nue au salon, menottée, mains jointes à mon cou, même pas baignée, ni sans manger.
- Olivier, Corinne et Justine, vous allez cesser de me faire prendre tous les jours, trois fois si possible. Je ne suis pas une pute, ni une chienne. Je suis une femme enceinte qui a besoin de repos, de manger et surtout d’être prise uniquement par mon chéri Olivier.
- D’abord, qui t’as autorisé à parler, ma chipie adorée, dit Corinne, en peignoir, les cheveux enturbannés, en mules à petits talons. Mon chaton va pleurer à chaudes larmes comme lors de chaque abattage. C’est stressant.
- Tu n’aimes pas ton abattage quotidien, ma chipie, dit Olivier. Mais tu ne vas pouvoir rembourser tes dettes. Bon, 15 millions ont été remboursés à l’Etat et pas sur ton compte bancaire. Donc, il faut renflouer ton compte bancaire par ses abattages.
- Je ne suis pas ta pute, mon Olivier chéri. Toi seul, tu dois me prendre.
- Tu n’es pas ma pute, donc tu es la fameuse pute chevaline du Haras, dit Corinne. Les hommes tu dois les allumer, offrir tes charmes et jouir, n’est-ce pas O ?
- Je m’appelle Svetlana, Corinne, en premier. Ma vie privée au Haras ne regarde que moi, en second. Quand à toi, mon Olivier, tu vas perdre tes fonctions prochainement, car j’ai le pouvoir par mon père général de te faire licencier aussi.
- A bon, tu as le pouvoir, dit Corinne, mon chaton. Je suis la numéro 1 du Haras et des activités annexes, tu me manques de respect. Tu seras désormais, en plus de tes abattages, la soubrette du Domaine, Iris va m’accompagner et peut-être une autre à chacun de mes déplacements. Tu seras nue, sous ton tablier, avec tes pinces à seins à clochettes, en tongs, avec ta queue-de-cheval, sans maquillage, avec un salaire horaire minimal, dont une partie sera versée sur ton compte bancaire, comme la commission de 5 % pour tes abattages, dès le lever du soleil et tu coucheras dès la fin du service. Réfléchis bien pour ta réponse, aucune option possible.
- Corinne a tout à fait raison, au lieu de te prélasser dans ta chambre. Tu peux être très utile. Cela te fera un peu de sport et maigrir un peu. Tu vas tes rondeurs, ton surpoids. Tu es enceinte, tu dois te bouger, dit Justine, en caressant les zones concernées.
- J’accepte, mon emploi de soubrette.
- Avec le sourire, du respect et de la gentillesse avec chacun de nous, sinon des coups de cravache, mon chaton, dit Corinne. En tenue, tu es notre soubrette jusqu’à vingt heures, heure de ton abattage et réveil à six heures, toilette rapide, tu te soulages. On avisera pour tes pipis, dus à ta grossesse. Je serais très exigeante et sévère avec la cravache ou Justine ou Olivier, en fonction de la personne qui sera présente. Autre chose, tu ne penses pas, tu agis dans l’instant. Les cuisines sont au courant. Tu t’habilles devant moi, pas dans ta chambre. Chéri, elle dort où notre soubrette.
- Elle dort au rez-de-chaussée, dès la fin de son abattage, baignée, enchaînée par son collier, sur le coussin, sans couverture. Elle devra s’habituer rapidement. Elle est frileuse, tu feras avec. Aucune caresse n’est autorisée de jour comme de nuit.
- Oui, Maître, j’ai compris.
- Tu deviens enfin raisonnable, obéissante. C’est la Pénélope toute souriante qui revient, dit Justine. Tu souriras même si tu te sens embarrassée. Au fait, ton compte bancaire reprend un peu de couleurs. Tu vois quand tu veux, docile et obéissante, tu peux réussir. Alors, tu fait correctement ton travail d’ici le 16 décembre.
- Bien, ma mère, j’obéirais.
- Tu m’appelles Maîtresse J, Corinne sera Maîtresse C et Olivier sera Maître D, pour dressage. Tu as encore besoin d’être dressée cette année du à ta grossesse, a eu un effet non désiré, non tu es devenue une Maîtresse avec tous les privilèges.
- Exécution, soubrette, au travail, tu dois être propre pour ton rendez-vous de vingt heures, mon chaton, dit Corinne. Si des personnes viennent, tu mets juste un chemisier lacé au-dessus de ton ventre, pour exhiber ton avenir. Tu parles poliment quand on t’autorise. Tu es encore une soumise en formation.
16 novembre
Vers 9 heures, dans la suite nuptiale, je regarde les rondeurs de mon ventre après trois mois de grossesse et mes seins ont pris du volume. Mon goût sexuel pour l’anal est décuplé.
- Mon chaton Shawn, tu sais que tu avais raison. Mon Olivier m’a bien mise enceinte. Je ne vais le punir. Tu es trop curieuse. Je suis désormais enceinte de mon premier mois de grossesse. Je souhaite conserver mon futur bébé, tout en gardant la ligne. Nous allons suivre un régime adapté à nos grossesses. Je te surveillerais, tu vas manger pour deux désormais. Je suis trop heureuse que le miracle se reproduise une nouvelle fois. Toi, puis moi, mais Olivier est un père chanceux, ma chérie. Tu devrais lui offrir des cadeaux, comme tes anciens strings portés et d’autres cadeaux pour un homme. Je connais un lieu où tu pourras faire des folies et moi aussi, pour notre Olivier. Tu le gardes pour toi, sur le fait que je sois enceinte de lui. Tu n’es pas encore en tenue, tu traînes aujourd’hui. Un grand jour pour ton avenir.
- Je te promets de rien lui dire à notre Olivier.
- Tu es radieuse, mon chaton, même tu souris. Cela fait longtemps que je n’ai pas vu sourire, avec tous tes soucis. Une rumeur dit que tu fais des paris à l’hippodrome et qu’ils sont truqués. Si c’est vrai, tu risques gros de ma part et d’Olivier, tu ne dois pas jouer de l’argent, comme membre du comité d’équitation et surtout si c’est un membre de ce même comité qui te le propose.
- Corinne, cette rumeur est infondée. Je suis sérieuse.
- Je te crois. Je te taquine un peu, mon chaton adoré. Tu vas donner naissance à deux jumelles, il faut confirmer à la prochaine échographie, ma chérie. Tu mets ta tenue immédiatement ou je te cravache sur le champ.
Vers 16 heures, Sir Dan de Sade confirme à l’échographie :
- Svetlana, tu es bien enceinte de deux jumelles.
- Je vais les prénommer Vénus et Diane.
- Tu surveilles ton poids et toute modification. Je viens faire les examens au Domaine, dans la salle du fauteuil gynécologique réaménagée spécialement. Il me faut surveiller Corinne et Justine.
Olivier, le général Jacques, Corinne, Justine et James, le frère de Svetlana, sont tous mis au courant par des photos de l’échographie via divers moyens de communication.
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