Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. J’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est épilée, portant des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte, je garde ma toison pubienne velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85C de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Mes grandes lèvres de ma chatte sont ferrées au nom du Marquis Héraut, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse. Mais aussi mes reins sont tatoués A votre dévouée chienne Svetlana, je porte sur mes fesses les marques au fer rouge S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite, lors de mes viols par le Docteur Sexe O Roy Mac.
INITIATION ANGLAISE 4e PARTIE
18 août
Je comble le désir anal de Justine, avec un de mes dalmatiens, rien que pour elle. Je peux jouir avec Adam, qui a du s’occuper de nos deux anus de chiennes jouisseuses.
Vers 14 heures, j’annonce à Justine :
- Je dois te quitter. J’ai mon rendez-vous.
- Détends-toi, il est tendre avec les femmes, pas comme ce sadique Docteur Sexe. Tu t’es épilée le pubis et la chatte ce matin, ma chérie.
- Oui, je me suis parfumée aussi.
Je revêts mon chemisier blanc, un porte-jarretelles à lacer et des bas blancs, une jupe éventail couvrant mes fers et une superbe paires de mules dorées à talons de douze centimètres. Je laisse mes cheveux libres.
J’ai changé ma Ferrari F40 que j’ai vendue à Justine, contre une 205 cabriolet. Je me sens plus féminine.
Le cabinet du gynécologue se trouve à une heure de route de la résidence du Marquis, dans un discret complexe hospitalier.
Dès mon arrivée, je suis accueillie au rez-de-chaussée par Sire Dan de Sade. Il ressemble à mon Olivier, plus âgé, 55 ans, athlétique.
- Miss Pénélope de Castel, je t’attendais. Tu es ponctuelle, élégante, encore plus belle qu’au Domaine.
Il me fait le baise-main, regardant mes bagues.
- Tu es ferrée, avec des bijoux intimes. Cela ne va gêner l’examen gynécologique.
Nous montons au premier étage et il m’annonce :
- Le rez-de-chaussée abrite des salles de plaisir, où les patientes ou en couple, se donnent en compagnie d’une sexologue, pour trouver leurs problèmes sexuels. Tu devrais essayer. Ta bisexualité, ton côté soumise et tes pratiques taboues doivent te perturber sexuellement.
Une fois dans le cabinet, il m’annonce :
- Déshabille-toi et installe-toi sur le fauteuil.
Je le fais devant lui, même s’il y a un paravent, cachant une douche.
Je mouille d’avance.
Allongée, nue, sur le dos, cuisses grandes ouvertes, je m’abandonne.
- Désolé, tu es constamment filmée, par mesure de sécurité et de discrétion.
Cela m’excite davantage.
Les lèvres de ma chatte sont bien entrouvertes, mon anus l’est partiellement dans cette position de soumise.
Il caresse délicatement mon clitoris déjà tendu. Puis ses doigts écartent les lèvres de ma chatte pour m’insérer un thermomètre dans la chatte et un dans mon anus. Il note mes températures.
- Masturbe-toi sans jouir, s’il te plait.
Le gynécologue fait entrer une superbe blonde aux petits seins, 42 ans, en blouse blanche sur son corps nu, au pubis velu, en mules à hauts talons, coiffée d’un chignon.
- Corinne, voici Pénélope, elle a subi des viols par un certain Docteur Sexe. Tu te montres douce avec elle. Elle te plait. Regarde comment elle se masturbe. Elle a un clitoris et des mamelons constamment tendus comme certaines soumises par un traitement dont j’ignore la composition. Elle est en excitation sexuelle maximale.
- Alors, ma chérie, tu es une des nombreuses patientes violées du sadique Docteur Sexe. J’ai plusieurs qui viennent me voir, celles qui ont échappées à des fins tragiques comme Jasmine Eléonore, une de mes patientes. Tu ruisselles bien, je te dérange sur ces faits.
- Non, Corinne, je veux en savoir davantage quand il sera emprisonné.
- Enfonce-bien les doigts lubrifiés dans ta chatte, maintenant et écarte-la bien.
- Comme cela, Corinne, cela te plait.
- Olivier, elle est chaude.
Quoi, Olivier, je me suis en plein rêve.
- Non, Sire Dan de Sade, se prénomme Olivier, c’est mon fidèle ami depuis longtemps. Détends-toi.
Dan exhibe son superbe mandrin, de trente-huit par huit. Je suis aux anges.
- Sa chatte est prête, un examen au spéculum et je vais la prendre ensuite. Tu t’occupes de ses superbes seins.
Dès que le spéculum m’écarte bien la chatte bien lubrifiée, je jouis, fantasmant sur un mandrin qui me baise.
- Du calme, Pénélope, tu jouis déjà. Tu as envie. Tu es comme Justine, prête avant l’acte. Tu n’as pas envie de te soulager.
Olivier me pénètre doucement jusqu’au fond de ma chatte pour vérifier ma défloration et remarque :
- SV 19 marquée au fer rouge, dans ta chatte, c’est un sacré sadique.
Un orgasme me terrasse, les seins pelotés et les mamelons léchés et sucés par Corinne l’experte, qui se déshabille aussi. Elle est nue dessous. Je suis aux anges.
- Je vais t’enculer de suite, sinon je vais éjaculer en toi.
La sodomie se fait sur le champ, cuisses levées, complètement ouvertes, tenues par les chevilles.
- Oui, encule-moi, Olivier. J’aime ta queue…
- Masturbe lui son clitoris, Corinne. Elle doit avoir un orgasme anal, pour juger de son plaisir.
Ce sont deux orgasmes anaux successifs que je connais, faisant éjaculer une première fois puis rebander au second.
Il retire et m’encule encore une fois, mais cette fois penchée en avant, sur le fauteuil gynécologique, cuisses écartées, les fesses écartées par Corinne, que j’embrasse sur la bouche.
- Dis donc, c’est la première patiente qui réclame que je l’encule à deux reprises.
- Olivier, elle est très excitée.
- Oui, prends-moi… Je suis ta… MPA encore…
Les coups de reins redoublent et il éjacule encore. Il se retire, épuisé tout comme moi.
Je me douche devant lui et Corinne, qui se masturbe en me regardant. Je baisse les yeux, par réflexe de soumise.
A la sortie de la douche, je vais pour me rhabiller. Corinne me fait lécher sa chatte et son clitoris pour jouir elle aussi.
- Comment tu connais MPA ?
- Au Domaine, il y a un invité avec ce pseudonyme.
- MPA est mon neveu. Tu dois bien le connaître. Corinne aussi, toi, il ne t’a jamais honorée, juste photographiée dans le passé. Mais, notre jeune Pénélope est l’amoureuse d’Olivier Beau Rivage Castel.
- Pénélope, je vais te prendre un rendez-vous avec moi, entre femmes. Je suis sexologue et aussi experte en plaisir anal.
Je vais pour me rhabiller, mais Corinne m’en empêche.
- Vas te soulager avant. Tu dois avoir envie.
Aux toilettes, je me mets à pisser debout au-dessus de la cuvette, étonnant Olivier et Corinne.
Discrètement, Olivier BRC dit MPA m’observe aussi, sans que je le sache.
Je me rhabille devant Olivier et Corinne, ensuite.
Vers 16 heures, Corinne me conduit au rez-de-chaussée, tout en questionnant :
- Je ne connais pas la signification de ton marquage au fer rouge sur ton pubis. Je suis une adepte SM, pour enculer de jeunes soumis.
- Je n’ai jamais essayé, Corinne.
- Le soumis y trouve son compte, si tu l’encules selon ses envies.
Corinne me conduit à la salle de plaisir 6 et j’aperçois furtivement une silhouette qui entre dans la salle de plaisir 9 juste en face.
- Qui est à la salle 9, Corinne ?
- Un certain Olivier que tu connais depuis l’âge de 16 ans à Fuerteventura. C’est toi, la pin-up en bikini blanc qui a bousculé Olivier avant qu’il se noie et tu as dédaignée ne pas lui porter assistance. Ses propos t’ont gênée, Yannis ne pouvait être un homme qui prostitue les jeunes filles, pour des clients aisés. Tu as pris Olivier pour un menteur. Mais tu te trompes. Tu es devenue amoureuse de ton Sven, pour échapper à Yannis, qui tenté d’abuser de toi, analement. Pénélope, assis-toi, mets à l’aise et tu répondras ensuite pour ta version. Je connais aussi Fleur, qui était ma patiente, ta demi-sœur, morte mystérieusement. Je t’informe Sven n’a jamais en couple avec Yannis, mais avec Olivier et moi. J’ai initié Olivier à la sodomie sur une femme, c’est à dire moi, lors de nos années d’étude. Olivier est un adepte des relations homosexuelles, mais aussi avec des femmes. Je t’annonce que Olivier a un coup de foudre, lors de ta venue chez Sven. D’où sa perte de connaissance en se noyant, je me suis inquiétée. Olivier a passé quelques soins au repos, je suis allée le chercher à l’aéroport. Sven a accompagné Olivier et toi avec tes parents étaient présents. Mais tu n’as même remarqué Olivier, tu fixais amoureusement ton Sven, ton sauveur pour tes premières règles. Olivier aurait pu te renseigner. Il connaît beaucoup de chose sur les femmes. Il a un côté féminin plus développé et il observe sans un mot. Chaque venue à Fuerteventura ou au village, tu faisais tout pour ignorer Olivier qui te cherchais à te joindre, même tu lui coupes la communication quand Sven veut te le passer pour te parler. Tu es très possessive. Depuis son arrivée le 16 août, tu n’arrêtes pas de dire mon Olivier, Sven passe au second plan. Tu le pardonnes de ton comportement de Fuerteventura. Tu étais naïve, lesbienne à l’époque, devenue bisexuelle, s’offrant des liaisons avec le premier venu, Yannis. Déçue de Yannis, puis devient amoureuse de Sven, ignorant Olivier son compagnon. Quant à moi, je me pose des questions sur toi. Tes photos et vidéos de ta soumission, tes saillies canines, ton mariage et surtout, ton changement d’attitude vis-à-vis d’Olivier. Tu commences à avoir les larme aux yeux. Une femme plus experte te contrarie.
Corinne a pris soin de mettre un enregistrement en direct vers le bureau d’Olivier, qui entend tout.
- Corinne, je peux tout te dire sur l’événement qui me perturbe. Yannis m’a bien tenté de m’abuser et je l’ai griffé profondément sur sa fesse gauche. J’ai quitté sa villa, qui était non loin de celle de Sven, sans connaître l’existence d’Olivier. Pour moi, Sven et Yannis se fréquentaient. Quand j’ai vu Sven, je lui ai avoué ma tentative de viol par Yannis, en lui précisant que je serais uniquement à lui, mon Sven. Olivier a confirmé le fait que Yannis prostituait des jeunes filles, mais je l’ai bousculé, car je ne l’ai pas cru. Je m’en mors les doigts de ma bousculade et de mon départ précipité chez mes parents. J’avais juste mon bikini blanc et j’aurai pu le sauver. Je suis mal comportée. Je me suis déjà excusée auprès de MPA. En retenant mes larmes, tu sais Corinne, j’ai beaucoup appris depuis son arrivée le 16 août, mon amour de mon Sven m’a révélé mon ignorance sur le couple de mon Sven et mon Olivier. Je dois me venger de Yannis.
- Attention, ma belle Pénélope, mon Olivier est très bien informé. Il m’a révélé que tu as t’appelles selon le registre de naissance Emmanuelle Eléonore Svetlana, née de père inconnu et d’une mère décédée à tes trois ans. Tu as adoptée par tes parents actuels, qui ne sont pas tes parents biologiques. Olivier a un lien de parenté avec Justine et toi. Car ton nom de famille réel est Bel Roc de Châtel, une branche de la famille Beau Rivage Châtel, dont la variante est Beau Rivage Castel. Donc, tu as un lien avec Justine par les initiales et aussi avec Olivier. Tu es la nièce de Justine et la nièce par alliance d’Olivier.
- Corinne, tu peux confirmer. Justine et Olivier font partie de ma famille.
- Oui, ton père inconnu a été le mari de Justine. Il est disparu dans des mystérieuses conditions en mer. Il mis enceinte ta mère, lors d’une soirée organisée par Justine. Mais Justine s’est rattrapée, en donnant naissance à James Victor, dans les années qui ont suivi la disparition de son premier mari. Quand à moi, je suis l’amie d’Olivier, mais si quelqu’un s’en prend à lui, il risque de le regretter. Comme c’est toi, Pénélope, c’est différent, car je connais la vérité sur toi.
- Corinne, nous faisons amies.
- Cela va dépendre de Justine, d’Olivier et de moi. Donc, tu as pratiqué l’inceste avec Olivier, avec un certain Nathan et Sir Dan de Sade, qui fait aussi parti de la famille par d’autres liens. Tu es une grande vicieuse, ma chérie. Tu aimes ça, le vice.
Vers 17 heures, Olivier arrive, ouvre la porte discrètement. Pénélope est assise nue, en mules, cuisses écartées, devant le bureau de Corinne, dos à Olivier.
- Tiens, une superbe patiente que tu as dans la salle de plaisir, ma divine Corinne. Tu me la présentes.
Pénélope tourne la tête et manque de faire un malaise.
Olivier la rattrape et l’allonge sur le canapé, pour la faire boire.
- Elle a beaucoup pleurée, lors de tes révélations. Elle a tout son maquillage à refaire.
- Oui, elle a tenté de retenir ses larmes, dit Corinne.
- Où suis-je ?
- Pénélope, reste allongée. Tu as eu un léger malaise, par une remontée d’émotions.
- Mon Olivier, c’est toi. Tu n’es pas parti avec Sven.
- Je suis en poste ici depuis deux ans. Corinne m’a fait venir, pour une raison personnelle et aussi, car je savais que tu venais aussi en vacances avec tes parents d’adoption. Sven s’est absenté et il va revenir prochainement. Il semble que les liens familiaux rapprochent. Tu connais la vérité sur ta famille. Pénélope, sache que je ne peux donner du sperme, pour diverses raisons. Mais si tu souhaites avoir un enfant de moi, il faudra le demander à une certaine personne.
- Qui…
- Curieuse, ma Pénélope, tu veux tout savoir. Le choc émotionnel t’a perturbé. J’avoue que nous deux, cela aurait fait un beau couple, Corinne. La déesse et le MPA, le Commandant serait aux anges.
- Le Commandant, il aime sa Svetlana, ajoute Corinne. Le Domaine est un lieu secret, mais qui peut réserver des surprises.
- Le Marquis a des soucis de santé, à son âge et que Jean Edouard serait son unique enfant. Donc, il te faudra un amant pour toi, la veuve. Agé de 66 ans, il risque de passer des séjours à l’hôpital ou en maison de repos, éloigné de toi. Il a épousé une superbe jeune femme. Corinne n’est nullement jalouse, si Justine, ni Prudence. Tu as un beau train de vie. Tu résistes à la tempête.
- Je te crois, Olivier. Je me suis embarquée dans des liaisons amoureuses depuis mon arrivée chez Alban et je vois que le Marquis est au courant. Je suis comportée comme une pute et une chienne. Je le regrette beaucoup, aveuglée par le désir.
- Je vais t’honorer sur le champ, surtout ta chatte.
- Prends-moi, mon Olivier, je te pardonne.
Cuisses écartées, je m’offre, les coups de reins et la caresse précise de mon clitoris tendu, me font rapidement jouir. Corinne m’observe.
- Elle a encore envie, après ce qu’elle a eu avec Sir Dan de Sade.
- Elle aime ça, ma belle pute Pénélope.
- Continue, mon Olivier, je veux ton sperme. Défonce-moi, je suis ta pute.
Un orgasme cumulé à la longue éjaculation me conduisent à un état de satisfaction sexuelle.
Olivier va jusqu’à me faire nettoyer son mandrin. J’obéis devant Corinne.
Je me relève en douceur.
- Doucement, ma belle, mon Olivier t’a bien comblée. Conserve bien son sperme, on verra si tu tombes enceinte de lui, annonce Corinne, qui m’enduit bien la chatte, une fois debout.
Corinne m’annonce :
- On se voit vers 19 heures, chez toi. Tu dois être totalement nue, comme ici. Je te donnerais des instructions à suivre à la lettre.
Mon téléphone portable sonne. Je décroche, c’est Yannis :
- Alors, ma pute Shawn, la vie est belle. Mariée, pute active, encore très belle, tu me manques. Tu sais que ton comportement à Fuerteventura va te coûter très cher. Je connais des personnes qui pourraient s’occuper de toi personnellement. Surtout Sir Vladimir et Marquis D S H recherchent une fille style pute et très séduisante. Je viendrais demain dans la journée te chercher, tenue sexy de rigueur. Je dois te corriger, Shawn la vicieuse.
Il raccroche.
Olivier et Corinne ont tout enregistrés.
- Bon, Shawn, tu vas au rendez-vous, annonce Olivier. Ta bague a un discret GPS pour te localiser. S’il y a danger, les secours ne sont pas loin.
- Je vais me faire enlever, séquestrer, dis-je, en pleurs.
- Yannis ne va pas arriver à ses fins. Joue la comédie, dit Corinne, prends-toi un amoureux parmi les invités, séduis-le, rend jaloux Yannis. Tu dois le punir aussi à ton tour, Maîtresse Svetlana.
- D’accord, je joue gros avec Yannis.
- File, chez toi, je te rejoins.
Vers 18 heures, rhabillée, je retrouve Marquis, Adam, Félix et Horace. Justine est partie retrouver le colonel et son fils.
Je me douche, en veillant bien de garder le sperme de mon Olivier dans ma chatte.
Adam me veille.
Je garde mes mules, fardée et parfumée. Marquis est intégralement au courant de ma visite chez le gynécologue, Corinne et Olivier.
- Ma chère Shawn, si je dois décéder, Olivier assurera le relais. Tu es libre de vivre avec lui. J’ai décelé entre vous deux, une complicité. Tu es amoureuse de lui, je le sais. J’ai trouvé une femelle berger allemand, Shawn, pour ton Adam, lors de son repos du guerrier. Si Yannis te touche, il sera interpellé. Personne doit te soumettre, ma sublime Maîtresse.
- Merci, Marquis, je te dois tout, après le dressage par Alban. Je prendrais soin de mon Olivier, je te ferais mon nécessaire.
- Tu es une ancienne soumise, qui connaît les règles. Tu es devenue une femme facile, tu donnes envie aux hommes et aux femmes, c’est normal, que Olivier te revienne. Ton corps est désormais de celui d’une vraie femme élégante, vicieuse aussi. Tu es mon unique épouse. Tu n’as aucune rivale. Tu es aussi l’héritière de mon empire que tu connais en partie. J’ai assuré le passage pour ta venue, en cas de besoin. Tu pleures, Pénélope, je vais te laisser seule. Olivier sera à tes côtés.
Vers 19 heures, Corinne arrive, vêtue d’un tee-shirt blanc et d’une minijupe fuchsia, chaussée de sandales à hauts talons, coiffée d’un chignon, maquillée.
J’essuie mes larmes.
- Tu es prête pour ta séance.
- Oui, Corinne, tu connais mon mari.
- Il m’a beaucoup parlé de toi, mais la gynécologue qui s’est occupée de toi, s’est confiée sur toi.
Marquis fait le baise-main à Corinne.
- Allons dans ta chambre. Voici le superbe Adam, un beau mâle berger allemand, tu as choisi le bon calibre pour te satisfaire.
Là, Corinne ouvre mes tiroirs et découvre ma collection de godes de tous calibres, mes tenues avec ma lingerie de soumise et surtout mes vidéos enregistrées sur mon circuit fermé.
- Tu aimes te masturber en solo, même prendre du plaisir avec Adam. Cela me plait chez toi, ton Olivier n’est pas contre, si jamais tu n’éprouves pas le désir à certains moments. Une femme doit rester seule à se faire jouir.
- Tu n’es pas contre. Je pense…
- Arrête de penser, ma chérie. Allonge-toi, cuisses écartées, que je regarde ta chatte et ton gros clitoris.
- Je suis toute excitée, en ta présence et surtout celle d’Adam, j’ai hâte.
- Doucement, tu es bien humide. Je te fais de l’effet, ma gouine.
- Embrasse-moi, caresse-moi, prends-moi, je suis ta gouine, je suis la belle de mon Olivier.
- Adam, approche, tu vas la lécher et la baiser si tu le désires. Je veux te voir jouir, baisée ou enculée. Sache que c’est la première saillie canine que j’assiste.
Corinne enregistre sur un dictaphone les différentes phases de la séance.
- Adam lèche la chatte et le clitoris. La belle Shawn jouit, la langue la fouille profondément.
Sans attendre, je m’allonge sur le ventre, écartant bien mes fesses, pour surprendre Corinne.
Adam m’encule jusqu’au nœud.
- Shawn vient de recevoir jusqu’au nœud le sexe d’Adam. Elle est bien écartelée, l’orgasme l’envahit, mais Adam reste en elle. Elle tend ses reins vers Adam. Deux autres orgasmes, c’est jouissif. Moi, je me masturbe le clitoris tendu.
Au bout de trois quart d’heure, Adam se retire et lèche mon anus dégoulinant de sperme, me faisant jouir.
- Adam vient de libérer Shawn, l’anus est bien ouvert, léché par Adam, jusqu’au plaisir de Shawn.
Puis Adam m’offre son sexe à sucer, je le nettoie et il va se reposer. Je mets mon gros bijou d’anus.
- Tu te comportes comme si Adam te prenait comme une authentique chienne.
- C’est Alban qui m’a éduquée à me comporter comme une chienne.
- Viens, au salon, tu dois montrer autres choses, rafraîchit-toi.
Je me douche rapidement, devant Corinne, qui masturbe sa chatte et son clitoris. Nous jouissons presque simultanément.
Au salon, Marquis nous attend. Il entend nos râles de plaisir.
Corinne se déshabille à son tour. J’aime son corps aux petits seins.
- Corinne, j’ai envie de toi.
- Mets-toi à quatre pattes, Marquis enculez-la, son anus est bien lubrifié.
Cela fait longtemps que Marquis ne m’a pas honorée.
Il bande déjà, quand il m’encule jusqu’aux testicules. Je connais un autre orgasme anal, le clitoris léché par Corinne sous moi, m’offrant sa chatte à lécher et son clitoris. J’obéis.
Il éjacule et m’encule une seconde fois, sauvagement, me fessant, m’insultant :
- Tu es une pute. Tu aimes être enculée, telle une chienne. Corinne te donne du plaisir, ma gouine.
- Marquis, prenez-moi à fond dans mon puits de pute. Je suis ta pute, Marquis.
Ces paroles m’excitent et un nouvel orgasme me terrasse.
Corinne se retire et m’embrasse langoureusement sur la bouche, partageant ma mouille et je nettoie Marquis et j’avale tout.
Corinne est satisfaite de moi.
Corinne s’équipe d’un gode ceinture dans ma chambre et m’encule à son tour, tandis que je dois sucer en 69, Marquis. Corinne me fesse magistralement.
- Tu aimes que je t’encule, fessée, la pute, la chienne. Tu es ma gouine enculée. Tu aimes ça, cela t’excite, tu mouilles de la chatte et de l’œillet, ma chienne.
Je suis submergée par un nouvel orgasme anal plus violent, ma bouche reçoit sa ration de sperme de Marquis.
- Monte te doucher et aucun ébat sexuel jusqu’à demain. Tu as compris, ma chérie Shawn, en me tenant le menton, les yeux baissés face à Corinne.
- Oui, Corinne, je m’abstiens de ton rapport sexuel. Je suis fatiguée.
- Olivier te donnera du plaisir quand sa belle sera prête à toutes ses exigences.
Je monte dans ma chambre, me douche. Je suis submergée par le plaisir reçu par Corinne et la honte de ma mauvaise conduite vis-à-vis de mon Olivier. Je suis pas fière de moi.
Corinne repart, il est 23 heures.
19 août
Vers 9 heures, j’émerge, nue, reposée, seule dans mon lit, sans Adam.
Félix m’apporte mon petit déjeuner au lit.
- Corinne est une superbe beauté. Son ami a de la chance. Elle m’a aidée à me réconcilier avec mon sexe. Les femmes gémissaient quand je les prenais. Mais avec toi, tu as joui aussitôt.
- Félix, préviens dès mon départ, le colonel, Natacha et Yannick, que Yannis va venir me chercher. Il faut savoir où il détient ses prostituées de luxe dont Rose et Patricia ont fait allusion.
- Ce sera fait. Vous ne faites pas confiance à votre bague offerte par Olivier.
-Si, mais par sécurité, je serais plus en sécurité. Félix, encule-moi s’il te plait.
- Désolé, je ne peux pas, ordre de Corinne. Tu dois rester sans rapport sexuel tant que Yannis ne t’a pas honoré.
J’obéis aux ordres de Corinne. J’accepte.
Je déjeune, me douche, fardée, parfumée. Je choisis un corset seins nus noir sous mon boléro transparent noir avec une jupe éventail grise et mes mules blanches à talons de douze centimètres, les cheveux libres.
Une limousine vient me prendre à 10 heures et me dépose près d’un champ à deux heures de chez moi.
Yannis m’accueille à bord d’un Ecureuil.
- Déshabille-toi, je te veux nue à bord, ma pute.
Je m’exécute.
Yannis est un colosse, barbu, de 35 ans.
- Tu es devenue très excitante, avec le temps, suceuse, pute anale, chienne, double, fouettée, surtout très riche.
- Caresse…
- Ferme ta bouche pendant le trajet, je vais te masquer tes jolis yeux verts et te mettre un bâillon-boule, pour ton silence, toi la pute.
Sanglée, nue, cuisses écartées, menottée dans le dos, aveugle et silencieuse, pendant le vol de six heures, je subis des caresses, des étirements de mes mamelons, des coups de cravache sur mes seins et l’intérieur de mes cuisses. Je suis sa soumise sexuelle. Je m’endors
Vers 17 heures, l’Ecureuil se pose sur une pelouse, près d’une immense villa de plain-pied avec piscine, vue sur la mer, un débarcadère pour un superbe yacht.
- Tiens, ma chienne, je vais te mettre ton collier et tenir en laisse.
Sans ménagement, il me fait descendre, me fesse magistralement.
Il m’abandonne nue, les mains menottées dans le dos, bâillonnée, ayant recouvré la vue, dans une chambre près de la piscine, allongée sur le ventre, cuisses écartées.
Il enfonce son mandrin de trente par neuf dans mon anus libre de mon bijou d’anus.
- Tu as un œillet de pute, de chienne. Tu aimes que je t’écartèle, pas tu m’as refusée de t’enculer à tes 16 ans. Non, tu étais gouine et une gouine ne se fait pas enculer par un bel étalon. Hurle, ma chienne.
Je tente de retarder mon orgasme anal que je ne désire pas.
- Cela ne te fais plaisir que je t’encule, alors je vais te défoncer la chatte.
Il m’allonge sur le dos, il est agenouillé, mes mollets sur ses épaules et il me baise profondément. Je tente de ne pas jouir, mais c’est plus fort que moi et il éjacule sur mon pubis pour m’humilier.
- Tu comptais que j’allais inonder ta chatte, mais ce sont mes amis qui vont s’occuper de cela. Allez debout, la pute en laisse, je vais te laisser respirer un bon bol d‘air, la chienne. Tu n’es qu’une chienne offerte à des mâles en rut.
- Tu es qu’un vicieux, un pervers. Tu es comme Docteur Sexe.
Il me donne une bonne paire de gifles et des coups de cravache sur mes seins.
- Voici ta punition, tu n’es pas très docile à mon goût. Docteur Sexe m’a envoyé tes vidéos de tes viols, j’ai joui en les regardant. Allez tu vas me sucer, ma pute.
Vers 20 heures, j’obéis, devant un parterre d’invités masculins, qui se masturbent.
Un des hommes sort du lot, ressemblant à mon Olivier. Je suis en plein rêve.
- Je peux la prendre quelques minutes pour voir combien je peux la monnayer.
Ecarter de la foule, l’inconnu me toise :
- Pénélope, c’est moi Olaf, le frère jumeau d’Olivier. Jouez la comédie, vous êtes surveillée par les amis du colonel.
- C’est bon, elle te plait. Je vais lui libérer ses mains. Toi, tu te tiens à carreau.
- Enfin, tu te comportes en homme galant, le vicieux Yannis.
Yannis va pour me gifler à nouveau, mais Olaf, plus costaud qu’Olivier, lui prend la main et lui annonce :
- Il faut la préserver. Elle vaut davantage. Elle n’a pas besoin d’être giflée. Elle va se montrer docile, n’est-ce pas Emmanuelle. C’est bien toi, Emmanuelle et non pas Shawn.
- Je me suis trompée de pute. Je vous la laisse. Prenez-la, j’ai d’autres à offrir à mes clients plus un arrivage demain. Je ne perds rien au change. File, Emmanuelle, tu es libre.
Emmanuelle était le mot de passe pour ma sécurité.
Yannis disparaît et revient, tenant en laisse une jeune fille, au corps zébré, intégralement épilé, avec des bijoux intimes.
- Je vous offre à vous tous, Rose la pute. Elle est en permission, il faut la violer jusqu’à l’aube.
- Emmenez-moi, je suis épuisée.
Vers 22 heures, Olaf me fait enfiler une courte nuisette et nous quittons la villa par une porte secrète que connaît Olaf, les gendarmes assurent la sécurité autour de la villa.
- Venez, j’ai ma villa à côté. C’est bon, elle a quitté Yannis. Colonel, prenez la suite des opérations.
- Elle a échappé au trafic. C’est l’épouse du Marquis et la future d’un certain Olivier, votre frère.
Pantelante, j’écoute à peine.
J’entre par le portail de la villa. Quatre superbes soubrettes brunes, petits seins m’accueillent, avec juste un tablier blanc, des sandales à hauts talons, coiffée d’un chignon.
- Voici, Aurore, Iris, Opale et Saphir, des soumises du Domaine qui sont à ton service, Pénélope, Marquise Pénélope.
Je suis épuisée, qu’Olaf me porte dans ses bras jusqu’à la chambre du premier étage. Il y a un bouquet de rose sur mon lit, avec une enveloppe.
Olaf me déshabille, la fenêtre est ouverte sur la mer. Je reprends mes esprits.
- Iris, tu vas masser Pénélope. Elle est ici chez elle. Demain, opération « Sirènes Fuerteventura », Pénélope sera des nôtres.
- Qu’elle est belle. Elle est ferrée et marquée. Je suis juste porteuse de bijoux intimes et de mon tatouage, Olaf.
- C’est une longue histoire. Amène-la à son bain relaxant.
Je sens la sueur, la mouille et le sperme de Yannis.
Allongée dans mon bain, coiffée d’un chignon, Iris me masse délicatement les épaules, les seins et s’attarde entre mes cuisses. Je jouis.
- Je suis désolée, Iris, d’avoir joui.
- Pénélope, vous êtes libres de votre plaisir.
- Tu es très gentille, Iris. Apporte-moi l’enveloppe.
Je lis la lettre, apprenant la mort de Vénus Chienne Câline, ma favorite du Domaine. Je pense à un piège. Je ne prends au sérieux le contenu.
Iris met les roses dans un vase.
Une fois sèche, je descends nue, pieds nus, sans mettre mes mules, les cheveux libres. Iris observe mon dos et mes fers.
- Pénélope, c’est douloureux la pose des fers.
- Un peu, mais ma chatte est constamment étirée et plus sensible.
Iris, amène de quoi manger et boire à notre invitée.
- Tu es encore plus belle, sans maquillage. Olivier a fait un excellent choix, malgré un léger quiproquo. C’est du passé, elle s’est réconciliée.
Après tout ce que j’ai vécu, je me sens plus sérieuse.
Après le souper, Olaf m’invite :
- Veux-tu me sucer ou tu souhaites te reposer.
- Non, je vais dormir nue. Si tu souhaites me prendre, je suis toute à toi.
Je m’endors rapidement jusqu’au lever du soleil.
20 août
Le soleil vient chauffer mon dos nu. Je me suis endormie sur les draps.
Ma chatte est toute humide. Me suis-je caressée cette nuit ?
Je me lève en silence. La fenêtre grande ouverte, je regarde la mer et j’aperçois le yacht « Sirène Vénus », battant pavillon des Bahamas, avec une noria de vedettes faisant la navette entre le yacht et un débarcadère, non loin de la résidence d’Olaf.
Je prends les jumelles pour observer.
Je me rafraîchis un peu et je descends, nue, sur la pointe des pieds, vers le salon, pour déjeuner.
Aurore et Opale m’attendent.
- Je suis surprise.
- Je croyais que la villa était vide. Je peux déjeuner, il est tôt.
- Olaf est occupé, Iris et Saphir sont allés faire quelques courses, dit Aurore, en m’embrassant sur les joues, comme si j’étais son amie.
- Dis donc, Marquise, est-ce normal cette rondeur à votre ventre ? dit Opale.
- Je ne suis pas tombée enceinte, toute surprise.
- Si c’est le cas, dit Olaf, c’est un miracle. Ton deuxième enfant, ma belle Pénélope, je pense que l’heureux père sera comblé.
Je déjeune, nue, cuisses écartées.
Soudain, une langue vient lécher mon clitoris et m’invite à présenter ma chatte humide.
- Tiens, viens Cœur de Lion, elle est pour moi, ta Pénélope.
Cœur de Lion est un superbe dogue allemand, un peu plus âgé qu’Adam.
- Tu sais que tu jouis cette nuit sous mes caresses, Marquise, dit Aurore.
- Moi, sous ma langue sur ton clitoris et les lèvres ferrées, dit Saphir, qui revient des courses. Cambre-toi mieux pour qu’il lèche ta superbe chatte.
Au même temps, dans le quartier bouclé par les forces de police et la brigade des mœurs, l’assaut est donné simultanément sur le yacht et dans la villa de Yannis.
Un fulgurant orgasme me terrasse, puis Cœur de Lion se retire, satisfait.
En une demi-heure, l’opération est achevée.
On frappe à la porte. Iris va ouvrir.
- De la visite pour la Marquise, un certain commissaire de la brigade des mœurs qui souhaite te parler.
- Je peux m’habiller, Olaf.
- Non, reste comme tu es. Tu es encore plus belle nue, avec ta rondeur.
Un élégant commissaire entre, avec un officier féminin de la brigade de la gendarmerie de la ville où vit Yannis.
Je suis surprise. C’est mon Sven.
- Commissaire Sven de la brigade des mœurs et voici le capitaine Olympe Bel Roc de Châtel, une de tes nombreuses membres de ta famille, c’est à propos de Vénus Chienne Câline, qui se prénomme en réalité Janine Beau Rivage Châtel. Son identité ne te dit rien. C’est normal, c’est une de tes demi-cousines.
Je m’effondre en larmes. Olaf me console.
- Au fait, Pénélope, je suis au courant pour Fuerteventura. Yannis, c’est pas gêné, il fait poser comme modèle mineur dans un magazine Garçon Eros, sans ton autorisation. Il va le payer. Ton Olivier, il t’a sauvé des griffes du pervers Yannis, par accident. Si tu ne t’étais pas réfugiée chez ton Sven, à l’heure actuelle, tu serais peut-être prostituée de luxe dans un autre pays. Habille-toi, ma belle. Tu es attendue au Domaine.
Je monte me changer, avec ma garde-robe sur mesure, achetée par Olaf, avec Iris. Je me baigne, les épaules massées, pour me détendre. Je me farde, me maquille et choisis un tailleur avec une veste sans mon chemisier, une jupe droite couvrant mes fers, un porte-jarretelles lacé avec des bas, un chapeau avec une voilette, des escarpins à talons de dix centimètres, le tout en noir, coiffée d’un chignon. Iris me remet mon téléphone portable avec le message qui a été imprimé de la mort de Vénus Chienne Câline.
A ma descente, tout le monde reste silencieux, observateur.
- Très élégante, Marquise, annonce Sven, il faut prendre la route. Une voiture t’attends, Olaf t’escorte. Je ne serais pas loin. Une escorte pour un témoin très important est prévue.
- Il ne fallait pas. Je suis apte à conduire, mon Sven.
- Doucement, ordre du sexologue Corinne, tu dois arrêter de conduire et diverses pratiques pendant quelque temps.
- Bien, si c’est ma Corinne, j’obéis. J’obéis aussi à mon Sven, mon Olivier…
- Tu te détends, Marquise. Tout le monde est à tes ordres. Je reste ici, annonce Olympe.
Le trajet routier jusqu’au Domaine, dans une voiture banalisée, je m’endors sur l’épaule de mon protecteur Olaf. Je pense que c’est mon Olivier qui me l’a envoyé.
La fatigue, la mort de ma demi-cousine, après celle de ma demi-sœur, ma grossesse, tous ces événements m’épuisent, me surmènent. J’ai besoin de me reposer et de faire le point.
Nous arrivons vers 15 heures, au Domaine. Les gendarmes, les policiers quadrillent les lieux, le major Natacha est présente, et même mon Olivier mon protecteur.
Le commissaire Sven et Olaf me laissent en leur compagnie, de loin.
J’enlace mon Olivier, en disant bonjour à Natacha.
- Tu es très resplendissante dans ton ensemble, ma Pénélope, dit Natacha. C’est un excellent protecteur, ton Olivier. Je ne l’ai pas assez connu, pour ses talents.
- Olivier…
- Silence, ma belle Marquise Svetlana, si tu remarques un détail au Domaine, signale-le à Natacha, dit Olivier, en me faisant un baiser profond à la fin.
Nous visitons les lieux et dans l’escalier menant au troisième étage du meurtre, mes escarpins marchent sur du verre.
- Attention, tu marches du verre, Pénélope, dit un des hommes, l’adjudant Val, un superbe athlète.
Je me retire. Le verre est récupéré et remis au laboratoire.
- De superbes jambes gainées, de superbes yeux verts, de beaux doigts bagués, Madame la Marquise, je dois mes hommages, dit Val.
Olivier m’empêche de parler, en me mettant le doigt dans ma bouche.
- Svetlana, tu es Maîtresse. Ici, on cherche des indices sur ce meurtre. Val n’est présent que pour l’enquête.
Arrivée au troisième étage, la chambre se trouve la porte ouverte, scellée par sécurité. Je vais pour franchir les scellés.
Olivier me retient.
- Interdiction d’entrer, c’est une zone réservée. Dès que l’enquête sera finie, tu pourras y entrer.
Je connais un soudain malaise, retenue dans les bras de mon Olivier.
Olivier me porte dans ses bras et me dépose sur un des canapés du salon. Il ouvre ma veste pour me faire respirer et délace discrètement mon porte-jarretelles, pour libérer mon ventre.
A moitié évanouie, je me sens un peu embarrassée, par ses attentions.
Il me fait boire un rafraîchissement.
- Allons, changer d’air, rhabille-toi. Nous allons au Haras, voir ton Alizé, ton Sultan et ton Zéphyr, ainsi que ton Tornade.
Je me rhabille, sors, main dans la main avec mon Olivier.
- C’est l’atmosphère qui te perturbe. L’air du Haras sera plus approprié. Nathan va nous y emmener.
- La visite s’est bien passée, ma Shawn ou ma Svetlana, dit Sven.
- Elle est un peu sous le choc émotif et disons que le futur bonheur la perturbe un peu.
- Oui, comme elle est enceinte, je comprends la situation. Il faut la ménager, ne pas trop la perturber, au niveau des émotions, dit Olaf.
- La Rolls-Royce de Nathan est stationnée, la porte ouverte.
- Marquise, votre voiture vous attend.
Je remarque la présence d’un motard à proximité.
- Mon Olivier…
- Tu es très protégée. Tout est déjà préparée, Marquise, ta protection et celle de ton futur bonheur sont la priorité, Héraut a tout planifier en cas d’événements imprévus. Tu te trouves à la tête d’un empire. Il faut préserver le numéro 1 et son avenir.
- Empire…
Vers 16 heures, le couple monte dans la Rolls-Royce. Nathan reste silencieux et les fait prendre un raccourci inconnu par moi, vers le Haras du Marquis.
En cours de route, je suis prise d’un léger malaise.
La Rolls-Royce s’arrête. Nathan me prend la main pour descendre.
Olivier m’annonce :
- Détends-toi, respire. La journée n’est pas encore finie. Si tu connais d’autres malaises, Corinne a tout prévu.
- Ma Corinne est aux petits soins, surprise.
Nathan me sort mes cuissardes.
- Marquise, voici vos cuissardes, pour le haras, je vais vous les faire chausser.
Je retire mes bas pour glisser mes jambes et mes pieds aux ongles vernis en rouge, dans les cuissardes.
- Tu es très en beauté. Les jambes et les pieds nus sont mis en valeur.
Après un bon bol d’air, nous arrivons au Haras, avec une haie d’honneur des cavaliers et cavalières.
- C’est le protocole, surprise.
- Oui, tu es la directrice officielle du Haras. Je t’annonce, que pour le Domaine, tu as un éventail de missions à assurer.
- C’est trop. Je serais en charge du Haras, du Domaine. C’est trop pour une seule femme, surtout dans ma situation.
- Les délégations sont prévues. Tu peux occuper les postes dès que tu seras en condition.
Au Haras, je me dirige vers le rez-de-chaussée comme à mes habitudes, pour voir mes étalons.
Olivier me retiens par la main.
- Non, tu es attendue au premier étage. Il y a un conseil d’administration exceptionnel, pour ta venue.
Là, je découvre un parterre d’hommes d’affaires et un superbe jeune inconnu.
- Voici, la nouvelle directrice du Haras, Marquise Svetlana Beau Rivage Castel, qui va prendre en charge les affaires courantes, malgré sa grossesse.
Tous les hommes me font le baise-main, me complimentent pour ma grossesse et en s’interroge sur le futur père.
Les divers rapports financiers, administratifs et autres sujets annexes sont débattus, votés. Je signe des documents officiels, avec ma nouvelle signature Marquise Svetlana BRC, à laquelle je dois m’y habituer.
Vers 17 heures, au bout d’une heure, je perds quelques instants connaissance.
Olivier et le bel inconnu me font sortir jusqu’à l’extérieur, soutenue sur leurs épaules.
- Svetlana, tu m’as fait peur, dit le bel inconnu. Tu es surmenée, plus le choc de l’annonce. Je suis le fameux James Victor, fils de Justine et ton présumé frère.
- Mon frère, James, je perds connaissance.
- James, tu l’as surprise, dit Olivier, pendant que je rouvre les yeux.
- Oui, Svetlana, par un jeu de circonstances, Justine a donné naissance à toi, mais une autre personne a assuré ton éducation, car Justine n’était pas en condition, avant ton adoption par la famille de Hauts Vallons.
- Justine est donc ta mère, je suis surprise. Moi, qui souhaitais faire l’amour avec toi, c’est raté.
- Mais non, tu le feras un jour ou l’autre, une fois la naissance assurée.
Nous finissons la réunion vers 18 heures. Je suis fatiguée.
Nathan va te conduire à un nid amour que tu connais, où tu es allée avec Héraut.
Le nid d’amour est une villa cachée dans la forêt, construite par Héraut, que j’ai fréquentée une fois, isolée, sécurisée. Il m’a conduite le lendemain de ma fécondation confirmée par la gynécologue.
Après divers raccourcis, nous arrivons à la villa. Iris et Corinne nous attend.
Dans ma chambre, donnant sur la forêt, je me déshabille, aidée par Iris. Le porte-jarretelles m’a bloqué ma respiration. Corinne me suggère :
- Mets ce tee-shirt sur ton corps nu. Tu seras bien désirable.
Iris me masse les épaules et les zones tendues par la réunion. Je plonge dans un léger sommeil.
A mon réveil, vêtue de mon tee-shirt blanc, moulant mes seins nus, pieds nus, les cheveux libres, après une courte douche, sans maquillage, je retrouve Corinne et Olivier.
- Au fait, Svetlana, tu es une prématurée. Disons, que la chance te guide. Après ton protecteur Sven, maintenant c’est Olivier, dit Corinne.
- Je ne le savais pas. C’est pour cela, autant d’attention pendant mon enfance, même mes parents de Hauts Vallons. Mais j’ai grand appétit.
- Viens voir, la vue sur la terrasse, il y a des animaux en couple, dit Olivier, qui me tient par la main.
Je lui glisse ma main autour de sa taille.
Il y a même une chaise longue où je m’allonge, sans faire attention que le tee-shirt dévoile ma chatte humide d’excitation, ainsi que mes mamelons constamment tendus.
Je revis, apaisée.
Au souper, pris à cinq, avec Nathan et Iris, je mange peu, encore affaiblie par divers soucis.
- Svetlana, tu n’as pas très faim. Mange, c’est Iris qui l’a préparée rien que pour toi.
Je me force, mais après le dessert, je me lève et je tombe sur le tapis, inconsciente.
23 août
Vers 8 heures, j’émerge, dans une chambre climatisée, sous assistance respiratoire. Corinne, Sven et Olivier sont présents.
- Tu nous as fait peur, dit Corinne. Ce sont plusieurs effets cumulés sur ton corps qui t’ont fait sombré dans un profond sommeil. Je vais te retirer l’assistance. Tu n’as pas mangé depuis trois jours. Tu vas remonté la pente, tu es forte.
- Ma Corinne, personne ne m’a violée aucun.
- Tu es en lieu sécurisé, personne ne sait où tu te trouves, sauf Olivier, Sven et moi, bien sûr. Ta protection est quotidienne, surtout depuis.
- Oui, ma Svetlana ou ma Shawn, l’enquête judiciaire sur le réseau de Yannis avance, soixante jeunes filles de 16 à 17 ans ont été libérées, remises à leurs parentes, entre le yacht, Fuerteventura et Mykonos. Des complices sont passés au vœu. Tu es un témoin sous protection.
- Je suis nue sous mes draps. Je ne souviens plus pourquoi.
- La forêt, tu te souviens, dit Olivier, en caressant mes cheveux et effleurant ma bouche.
- Oui, je me souviens.
- Corinne t’as fait admettre immédiatement ici, suite à une alerte d’Iris. Mais ma Corinne t’avait avertie, tu ne l’as pris au sérieux, comme moi, la première fois, dit Olivier.
- Je m’excuse, Corinne.
- Tu es toute excusée. Il faut préserver ton futur bonheur. C’est aussi pourquoi tu dois rester quelques jours, dit Sven.
- Disons le 1er septembre, elle pourra sortir pas avant. Compris, ma Svetlana, ordre formelle de ta Corinne.
- Bien, Corinne, j’obéis.
- Viens marcher un peu, il faut faire quelques pas. Mets cette blouse sur ton corps nu, dit Corinne.
La blouse couvre à peine mes fers.
Je marche difficilement, pieds nus sur le carrelage froid. Sven et Olivier parlent entre eux.
- Elle va s’en remettre, surtout avec la mort prochaine de Héraut et du Commandant. Ils sont sous coma artificiel.
- Pas un mot, surtout, ma veuve ne doit rien savoir, Sven. Tu le promets.
- Bien sûr, dès qu’elle est veuve, elle ne remarquera rien. Il faut incinérer les deux corps et lui offrir les urnes comme cadeaux de notre union civile.
- Quoi, tu vas épouser Svetlana, comment ?
- J’ai mis un plan, diverses personnes sont au secret confidentiel, dont toi et Corinne bien sûr. Svetlana va se retrouver comme dans un rêve éveillé. Elle, la soubrette, devenue Marquise en quelque temps, va devenir une femme d’affaires, grâce au Haras, au Domaine, à l’hippodrome et pourra donner sa fortune pour diverses actions. Elle est désormais la numéro 1, je suis son numéro 2. Elle va l’apprendre très vite dés le 1er septembre. Pour l’union civile, il faudra attendre le 15 septembre, un peu de patience. Sa famille et des proches seront là, pas de fastes, une robe toute simple, en fonction de sa grossesse. Elle sera présentée enceinte et mariée. C’est le vœu de Héraut et du Commandant. Il sera honoré.
- Mais Olivier, tu mesures l’importance de ta Svetlana. Mais il risque d’avoir des gens mal intentionnés.
- Sa protection est très bien assurée, des personnes triées sur le volet, dévoué à Héraut et au Commandant. Elles connaissent leurs missions, leurs objectifs et Svetlana depuis longtemps. Bien sûr, indirectement, nous sommes protégés. Son berger allemand Adam a été entraîné pour cette mission, sans qu’elle ne sache rien, même si elle fait l’amour avec lui, notre vicieuse. Adam est le fils d’Arès, un berger allemand entraînée par un certain JD, que tu connais, dont sa disparition est en lien avec Yannis et Docteur Sexe. Mais JD devrait être présent à l’union civile. Ma Svetlana va être très surprise.
- D’accord, j’accepte ton plan. Corinne est au courant, je présume.
-Même Justine sa mère est au courant, comme James.
- C’est authentique, Justine est bien la mère de Svetlana.
- Les tests ADN réalisés ici avec d’autres tests ADN l’ont prouvé. Svetlana sera très surprise lors de ses vœux à l’union civile.
Dès mon retour dans ma chambre, je me rallonge nue et je fais un long baiser langoureux à mon Olivier et un bisou à mon Sven.
- Bon, on se revoit le 1er septembre, ma Svetlana. Pense à ton avenir, dit Olivier.
- Oui, tu as un bel avenir, complète Sven.
- Vous nous cachez quelque chose, messieurs, surprise.
- Tu es trop curieuse, dit Corinne. Rendors-toi. Tu as encore un peu de fièvre.
Je me rendors.
Pendant mon séjour, je fais un peu de sport dans une pièce dédiée, pour ménager mon ventre, avec un régime draconien. Je dévore les plateaux repas pour reprendre des forces.
1e septembre
Vers midi, je suis autorisée à sortir. Corinne, Olivier et Sven sont là. J’ai pris un bon déjeuner avant.
Je sors nue de mon lit, sans aucune pudeur.
Je me douche, devant mes voyeurs. Une bonne et longue douche où je me fais jouir, cela faisait longtemps.
- Tiens, Svetlana, voici ta tenue pour ta sortie officielle.
J’ouvre la housse de protection. C’est une robe stricte, au décolleté en V, blanche, couvrant mes fers, discrètement dénudant mon dos, et fendue sur les côtés. Corinne me chausse de mes sandales blanches à talons de douze centimètres, une fois fardée et parfumée. Je garde mes cheveux libres.
- Non, ma chérie, un chignon ou une queue-de-cheval est plus appropriée. Regarde je refais le vernis de tes ongles de tes mains et j’ai même fais ta pédicure. Ils sont resplendissants. Il faut prendre soin de ta beauté désormais, Marquise.
Je suis tellement subjuguée par ma tenue, que je ne fais même attention au mot Marquise.
Le chignon me change.
A la sortie du complexe hôtelier, une Rolls-Royce nous attends. Je pense que c’est mon Nathan.
Non, surprise, un chauffeur en uniforme blanc avec sa casquette, apparaît. On dirait une femme, par son maquillage.
Elle porte une magnifique tresse nattée blonde, très grande, athlétique.
- Marquise, je suis Aimée de Châtel, votre chauffeur attitrée, en charge aussi de votre protection. Je remplace temporairement Nathan. Nathan est de repos.
- Vous êtes très élégante, Aimée. Mon Olivier, c’est toi, qui l’a choisie.
- Non, ma chère, c’est Héraut qui l’a choisie pour toi.
- Elle me plait, je pourrais coucher avec elle, quand j’aurais le temps.
- Nous verrons, ma Svetlana. Direction, le Haras, puis le Domaine et en fin d’après-midi, l’hippodrome.
- Quel programme, je suis si importante que cela, comme Marquise.
Je découvre mes nombreuses cartes de visite : Directrice du Haras, membre du club des propriétaires des étalons reproducteur, Directrice du conservatoire du Domaine, conservatrice personnelle des arts, Directrice du comité de l’hippodrome, Vice-présidente des saillies des haras de la région et vice-présidente de la fondation Vénus en détresse.
- J’oubliais, tu es mon adjointe de la société d’hélicoptères O Dauphin et des établissements médicaux que je gère avec Corinne. Autre nouvelle, tu es enfin la nouvelle Svetlana Baronne Beau Rivage Châtel.
- Je suis à la fois Baronne et Marquise. Je vais devoir choisir et ainsi que mon futur conjoint.
- Tout est déjà préparé, curieuse, Marquise Svetlana. Je suis l’élu.
- Quoi, mon Olivier, tu es mon élu. Je ne comprends plus rien. Soit, tu es mon élu, je ferais tout pour que nous soyons heureux ensemble et mon futur enfant.
Nous allons au Haras. Svetlana reste silencieuse, observant la conduite d’Aimée.
La sécurité est assurée discrètement par des motards et des voitures.
Avant d’entrer au Haras, Aimée me met mes cuissardes blanches en échange de mes sandales.
Au Haras, je monte au premier étage. Je découvre personne.
- Où sont les homme de la dernière fois, mon Olivier chéri ?
- Ma chérie, ils travaillent. Ils font tourner le Haras. Voici ton bureau, je suis à côté, si tu as d’aide. Aimée peut te seconder, elle est aussi secrétaire. Tes étalons se portent à merveille. De nouvelles victoires pour ton écurie, le Haras prend de la valeur.
Je signe les documents après lecture. Je suis submergée par les chiffres, les informations. Je marque une pause.
Vers 14 heures, Olivier et Aimée me rejoignent.
- Un problème, Marquise Svetlana, je vous vois pensive.
- Tu vois voir tes étalons. C’est cela, ils t’ont manquée.
- Oui, c’est cela. J’ai besoin d’air.
Nous allons tous les trois voir les étalons. Je les câline comme mes enfants. Le personnel n’ose s’approcher de moi.
J’ai la frayeur de ma vie, quand un palefrenier manque de me bousculer avec une brouette de foin. Aimée m’écarte juste avant.
- Merci, Aimée, c’était moins une. Je suis sauve.
Le palefrenier vient s’excuser. Il remarque un détail.
- Que puis-je faire pour vous, Marquise ?
- Je veux un suivi régulier nourriture, soins, repos de mes étalons et de tous ceux qui sont logés au Haras, avec des saillies des meilleures juments de la région. Autre chose, ne faites plus ceci, en ma présence.
- Bien, Marquise, ce sera fait.
- Tu es bien sage. Je m’attendais à ce que tu le sermonnes.
- Je modère mes paroles, désormais.
L’activité reprend, comme si aucun événement n’avait eu lieu.
Mais, je ne remonte pas à mon bureau.
- Aimée, direction le Domaine, je veux revoir les lieux.
- Ma chérie, j’ai le Dauphin Alpha Victor qui t’attend près du Haras. On ira plus vite, Aimée, tu nous accompagnes. Amandine va ramener la voiture à l’hippodrome.
Je m’assois à côté de mon Olivier. Aimée est devant. Le pilote est une femme, Bénédicte.
Vers 17 heures, le vol se pose en douceur, pour me ménager. Je découvre le Domaine sous un autre angle.
La zone de poser est sécurisée par des maîtres-chiens. Je crois reconnaître mon Adam et Shawn sa chérie.
J’ai remis mes escarpins et j’ai libérée mes cheveux, remise en beauté.
Je suis surprise par le personnel dans les jardins, au rez-de-chaussée du Domaine Certains sont des valets que j’ai connue.
- Marquise Svetlana, vous êtes attendue. Vous êtes très en beauté. Je suis Sacha Baron de Hauts Castel, le responsable de la sécurité du Domaine, nommée par vous-même.
Je suis surprise.
- Oui, ma chérie, tu as signée la nomination de tes délégués tout à l’heure. La nomination prend effet immédiatement.
Nous entrons au salon du rez-de-chaussée, où j’ai fais mes prestations. Il reste les canapés et divers tableaux sur les murs cachant les miroirs et les glaces. Je reconnais certains, qui viennent de mon bureau personnel et de la collection personnel du Marquis.
- Qui à osé exhiber mes tableaux et ceux du Marquis, je veux les noms ? un peu énervée.
- C’est moi, Marquise Svetlana, Jean Alexandre Directeur adjoint de la collection du conservatoire du Domaine, en accord avec Marquis et le votre, ainsi que Monsieur Olivier ici présent.
- Je m’excuse. Cette collection met en valeur ce lieu qui m’évoque tant de souvenirs. C’est devenue une galerie d’art. Excellente idée, mon chéri, j’approuve. Le sexe et le SM sont du passé, pensons à notre avenir.
- Tu ne souhaites pas de salles de plaisir, ni de suite nuptiale au troisième étage. On peut donc tout rénover, dit olivier Surpris.
- Non, mon chéri, tu laisses quelques pièces souvenir, si mes invités souhaitent faire l’amour au Domaine. La suite nuptiale du troisième étage drôle d’idée pour le Domaine. Jamais le Commandant m’en avais parlée.
- Montons, tu seras toute surprise.
Sur la porte, suite nuptiale Svetlana et O, privée. Deux valets ouvrent la porte, une soubrette nous attend, c’est Iris.
- Que fais-tu là, Iris ?
- Je vous attendais, un bon massage et un bon bain avant l’hippodrome, cela vous tente.
- Demande accordée, mon chéri, tu ne vois pas de problème avec Iris.
- Ma chérie, tu es libre de faire ce qu’il te plait. Le Domaine est ta résidence officielle et celle du Marquis sera celle de nos invités.
- Le Domaine est vaste, ils pourront loger ici.
La chambre est similaire à celle que j’ai connue. Des plaques Svetlana et O sont mises sur les portes des pièces. Je retrouve ma grande baignoire où MPA m’a enculée, disons Olivier.
Je me baigne devant Olivier et Jean Alexandre et Iris me masse les épaules, pour me détendre.
Soudain, j’entends aboyer des chiens.
- Chéri, il y a une intrusion.
- Tout est sous contrôle, Adam et Shawn ont maîtrisés l’intrus.
- Iris trouve de quoi me vêtir, je dois voir cet intrus.
Séchée, sans maquillage, je descends en tunique blanche avec une jupe longue et des mules blanches à petits talons, les cheveux libres, escortée par Olivier et Jean Alexandre, dont je devine son érection.
Les vigiles encadrent un jeune homme, au pantalon déchiré, escorté par Adam en personne.
Je câline mon Adam.
- Tu es un excellent chien, mon Adam. Qui est-tu pour violer mon intimité ?
- Je suis Ivan, le fils de Sir Vladimir. Je devais te tuer, pour achever l’œuvre.
- Tu travailles pour Yannis et Docteur Sexe aussi. Mais tu t’es trompée sur moi, je m’appelle Svetlana et non pas Pénélope, désolé. Tu as perdu, Ivan. Adam, cela te dirait t’enculer cet intrus.
Le pantalon baissé, à quatre pattes, Ivan se fait enculer par Adam, qui redouble ses coups de reins pendant un quart d’heure, jusqu’à l’éjaculation. Ivan gémit, me supplie :
- Retire-le de mon anus, tu es une chienne. C’est toi, qui devrait…
- Silence, c’est un magnifique tableau, mon chéri, tout en masturbant le mandrin de Jean Alexandre qui éjacule dans son slip.
- Il est à vous, messieurs les gendarmes. Il est passé aux aveux. Iris, mon massage, s’il te plait. Je suis détendue.
Iris me masse, nue, sur le lit. Je m’abandonne, à moitié endormie.
Il est 18 heures, quand Olivier vient me réveiller, il m’annonce :
Rendez-vous à l’hippodrome avant le coucher du soleil, le Dauphin t’attends. Il passera la nuit à l’hippodrome. Il y a une suite à ta disposition. Tu pourras dormir en ma compagnie.
Je remets ma robe, mes escarpins, me coiffe de mon chignon, fardée et parfumée.
A l’hippodrome, je suis accueillie par le comité de l’hippodrome au complet, des gardes du corps féminines m’escortent. Je tiens la main à mon Olivier.
Les commentaires vont du compliment à des baise-mains. Certains sont jaloux de ma nomination. Un playboy tente de m’approcher, pour me prendre rien pour lui. Malheur, je lui décoche une violente gifle au visage, tout en tenant mon Olivier.
Les deux femmes le maîtrisent au sol.
La police intervient sur le champ.
- Alors, playboy, je ne suis pas la femme facile que tu penses, n’est-ce pas mon chéri ?
- Elle est très bien gardée. Qu’il soit placé en garde à vue, pour menaces sur la Marquise et divers délits attenants, dit Olivier, tout en me consolant, dans ses bras.
Les membres du comité sont figés.
Le playboy est expulsé de la région à la fin de sa garde à vue.
Nous parlons des divers projets du Marquis sur l’hippodrome et ses annexes.
- Au fait, à qui appartient cette copie du Domaine non loin de l’hippodrome, très active lors des courses ?
- Vous voulez la racheter, Marquise.
- Je mettrais le prix. Ce bâtiment doit faire partie de l’hippodrome, pour des soirées hippiques. Je veux des courses nocturnes renommées dès que possible.
- Nous allons étudions cette proposition.
- Je les veux d’ici la date du 15 septembre, la première course nocturne se tiendra. Faites-le nécessaire.
- Ma chérie, le 15 septembre, tu as des obligations à honorer, dit Olivier.
J’honore mes obligations et je me rendrais à la première course nocturne.
En aparté, je discute avec Olivier :
- Quelles obligations, mon chéri, cela n’est pas prévu dans mon agenda personnel que j’ai feuilleté au Haras ?
- Disons que c’est un événement exceptionnel, une fois dans ta vie et surtout, pour ton avenir. Il faut signer quelques papiers à la mairie pour les accords.
- C’est notre mariage à la mairie et les fastes qui vont avec. Je vais montrer mon ventre à mes amis.
- Ma chérie, le mariage sera intime au Domaine avec le maire et son adjointe. Quelques invités, bien sûr les animations, mais surtout un de mes hélicoptères te conduira à ta course nocturne, sous bonne escorte.
- Pourquoi, toutes ses mesures de protection, je suis menacée. Je suis une femme riche, je suis…
- Je souhaite juste te préserver, toi et ton futur enfant, Jean Edouard. Il faut mettre le prix.
- Je vais tout payer, mon chéri.
- Tout est déjà payé, le montant est confidentiel. Ces femmes étaient déjà prévenues sur ce playboy. Tu es une cible parfaite, jeune avec un beau chevalier servant.
- D’accord, j’accepte pour le 15 septembre. Allons, souper avec les membres du comité, cela m’a donnée faim. Les courses se feront le 15 impérativement.
Le souper se déroule sans problème. Je ne cesse de porter des gestes attentionnés sur mon protecteur. Je suis en sécurité avec lui. Je dévore chaque plat, en ne cessant de regarder mon Olivier rien que pour moi.
Nous dormons dans une suite qu’à fait construire le Marquis sans me prévenir avant de me rencontrer. Elle est luxueuse, vue sur l’hippodrome.
Je me fais jouir dans diverses positions, Félix et Horace sont là aussi. Iris nous a rejoint, même Corinne.
- Oui, Olivier, encule-moi bien profond, mon chéri. Je raffole de ta queue.
- Svetlana, tu es au summum du plaisir. Cette grossesse décuple ton plaisir.
- Oh oui, prends-moi encore. Corinne, tu peux jouir avec Félix et Horace et Iris aussi.
Corinne se fait prendre en double pénétration par Félix et Horace et Iris embrasse Corinne, lors de longs orgasmes.
Nous jouissons à tour de rôle. Dès que mon Olivier est épuisé, Félix et Horace se relaient, jusqu’à mon épuisement.
Lors de pause, je suis cajolée, leurs mains se posent sur mon ventre qui s’arrondit doucement.
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