Je m’appelle Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
18 ANS ETUDIANTE DU VICE
20 juin
Vers 14 heures, je quitte l’université en région parisienne, où j’étudie les lettres, spécialité langues méditerranéennes Grec, Italien et Espagnol. Je suis la première de ma section.
Je suis une fille studieuse, mais je suis amoureuse secrètement de ma colocataire, Aimée, 19 ans, une jolie blonde aux cheveux courts, aux petits seins, comme moi, intégralement épilée et bronzée, par ses vacances en Grèce, où je vais souvent avec elle, entre copines. Je la connais depuis mes 16 ans.
Je suis une allumeuse à l’université. Mais aucun garçon n’a encore réussit à me prendre, sauf à me caresser, selon mes envies. Je suis très capricieuse, me réservant à un prince charmant. Je suis issue d’une dynastie de la noblesse Danoise, d’où mon physique. Je suis pratique assidûment la danse, la planche à voile, la natation et je suis une adepte du bronzage à la plage et à la piscine, en bikini.
Je porte un chemisier blanc et une jupe ample assortie arrivant à mi-cuisses, cachant mon soutien-gorge à balconnet demi-seins et un string assorti en dentelle transparente blanche, pour mettre en valeur mes seins et mon pubis velu qu’envie Aimée. Je suis une adepte des hauts talons, escarpins et sandales, pour mettre en valeur mes pieds nus.
A l’université, Aimée aime fréquenter Sven, 22 ans et Charles Thierry, 24 ans, deux beaux athlètes de 20 ans, musclés, bien montés. J’aime la voir prendre son plaisir avec les deux.
Aujourd’hui, ils nous attendent à l’appartement que nous louons. Nous prenons sa BMW cabriolet pour une demi-heure de route.
Là, je rejoins ma chambre, laissant Aimée et ses amants. Sven aime souvent prendre à la salle de bains, je la regarde par-derrière le rideau, le plus souvent nue, pour me caresser mon clitoris tendu par ses coups de langue de mon Aimée. Mes mamelons se tendent aussi. Je mouille beaucoup lors de ses plaisirs avec Sven.
Vers 15 heures, Sven rejoint Aimée, qui se douche. Je sais que je vais lui donner du plaisir ensemble, après le départ des deux amants.
Nue, allongée sur mon lit, sur le dos, cuisses écartées, je me masturbe lentement, sans jouir, pour me préparer.
Ma chambre est juste à côté de la salle de bains que nous partageons. Sven et Charles Thierry sont au salon, à discuter.
Je rejoins discrètement la salle de bains. Debout, cuisses écartées, je reprends mes caresses, en caressant mes seins aux mamelons durcis. Je suis déjà toute mouillée de désir.
Sven me surprend, en pleine montée du désir, me filmant discrètement avec son téléphone portable. C’est la première fois qu’il me voit nue, moi la prude.
- Tu es sexy, Shawn.
- Sven, va-t-en. Je me caresse tout en regardant Aimée qui se douche.
- Ne fais ta timide, je sais que tu as envie de moi. Tu es toute excitée, ma belle.
- Oui…
- Tu peux regarder comment je vais faire jouir ta copine Aimée. Je te prendrais ensuite, si tu as envie.
- Non… Oui… Je ne sais pas…
- C’est normal, ma Shawn. Tu es lesbienne, donc tu peux voir Aimée offerte son Sven. Tant pis, retourne dans ta chambre, pas un mot.
- Sven, j’ai quand même envie, mais juste des caresses, pas plus.
- Je te caresserais après avoir fait joui ta copine Aimée.
- D’accord, je t’attends, mon Sven.
Sven baise longuement ma Aimée, qui jouit. Il lui montre la vidéo de moi, me caressant, voyeuse.
- Ta Shawn est excitée, quand elle joue les voyeuses. On peut l’amener à ton endroit secret, tout à l’heure. Elle va aimée, des femmes seront à sa disposition.
- Oui, cela va lui plaire. Mais juste des femmes, mon Sven, elle n’aime pas trop les hommes.
- Mais Shawn aime les hommes. Elle n’a cesser de regarder ma queue qui va te prendre.
Je me fais jouir, rapidement, mes doigts enfoncés dans ma chatte, fantasmant sur mon Sven.
- Oui, mon Sven, pine-moi à fond. Je vais jouir.
- Je t’inonde bien ta chatte, Aimée.
Un violent orgasme m’envahit, mais celui d’Aimée couvre le mien. Charles Thierry prend ensuite Aimée, qu’il encule. Aimée aime ce plaisir aussi.
- Oui, Charles Thierry, défonce-moi aussi mon œillet. J’aime ça.
Mon Sven me rejoint dans ma chambre. Je suis désormais, les cuisses refermées sur ma main dont mes doigts sont enfoncés dans ma chatte trempée, pantelante.
- Mais, Shawn, tu as joui toi aussi. Tes cuisses sont humides. Tu veux me sucer.
- Non… Caresses…
- Oui, laisse-moi faire, je vais te caresser. Tu te feras belle, ensuite, Aimée t’a réservée une surprise. Tu aimes les femmes, tu seras gâtée.
Sven pelote mes seins, jouant avec mes mamelons tendus à l’extrême par mon orgasme. Il retire délicatement mes doigts de ma chatte trempée, caresse délicatement mon clitoris aussi tendu que mes mamelons et je jouis plus fort. Il me doigte, en écartant bien ma chatte, tout mon corps devient sensible.
- Oui… Sven continue… Encore…
- Tu veux que je les enfonce plus profondément.
- Oui… Mais ta queue s’il te plait…
- Bien sûr, mes doigts uniquement, comme avec Aimée.
- Oui…
Une vague de plaisir m’irradie et je connais un long et violent orgasme.
Repue, je me lève. Charles Thierry et Aimée ont fini. Je rejoins la salle de bains, pour m’habiller. Mais Sven me suit. Je tente de fermer la porte.
- Non, Shawn, tu laisses ouverte la porte.
J’obéis, inconsciemment.
- Robe courte sur ton string, seins nus de rigueur, ils sont superbes. Tu te parfumes, une fois belle, maquillée.
Je le fais devant lui, sans pudeur. J’aime mon Sven. Je ne vais pas le décevoir, mais je suis lesbienne. Je suis envahie d’un désir de soumission.
Habillée, maquillée, ma robe estivale dos nu fuchsia, couvre à peine mes fesses, mis en valeur par mon string en dentelle transparent blanc, que j’offrirai à mon Sven ensuite. Je garde mes cheveux libres. Je chausse mes sandales blanches à talons de douze centimètres, un cadeau d’Aimée.
Aimée nous rejoint, en chemisier blanc ouvert sur ses seins nus, noué, dénudant son ventre et un short en jean qui couvre juste le haut de ses cuisses, chaussée de mules blanches à talons de dix centimètres, les cheveux libres, maquillée.
- Tu es sublime, ma Shawn. Tu m’excites, dit Aimée.
- Elle est prête à tout, cette coquine cachée, susurre Sven à Charles Thierry, qui me toise aussi. Je soulève ma robe pour exhiber mon string dévoilant mon pubis brun.
- Quelles superbes fesses, dit Charles Thierry, en les caressant. Je ne dis rien.
Nous prenons la BMW et quittons le centre-ville pour la campagne.
Vers 16 heures, nous faisons une première halte, non loin d’une forêt. Sven me met un masque de nuit, pour que je ne puisse pas connaître l’endroit secret.
Charles Thierry en profite pour me retirer mon string mouillé par le court trajet, je suis excitée. Il caresse quelques instants, ma chatte et mon clitoris. Je pense que c’est ma Aimée.
Nous reprenons la route et nous longeons un long mur, pour une nouvelle pause.
Aimée me retire ma robe et me met des carcans en cuir. Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Elle me menotte les mains dans le dos.
- Ecarte bien tes cuisses humides, tu es très belle, excitée, ma chérie.
Je sens des mains entre mes cuisses, c’est Sven et Charles Thierry qui se relaient. Je suis au bord de l’orgasme.
Nous franchissons le portail d’une grille menant à un superbe château, nous remontons l’allée. Il est 18 heures. J’ai hâte.
Des BMW cabriolets, sportives, des Ferrari, des Jaguar et des Porsche sont déjà stationnées.
- Enfin, nous sommes arrivées à l’Université du Vice, section lesbienne, pour toi, ma Shawn. Ne retire pas ton masque, laisse-toi aller, menottée.
La portière ouverte, je me laisse guider, nue, tenue en laisse par mon collier, par un superbe valet nu sous son gilet, botté.
Nous franchissons le perron et je suis conduite au salon, où sont de superbes étalons, nus, se masturbant. Ils sont là pour moi.
- Voici, Désir Anal, une novice, mais qui va sucer, jouir, honorée par vous dans sa superbe chatte velue, une vraie beauté « naturelle ».
Où suis-je, je dois sucer, baisée et autres plaisirs, moi la lesbienne.
Je n’ai pas le choix, tenue en laisse, je ne peux me dérober.
Je dois m’accroupir, cuisses écartées, en sandales, les mains menottées dans mon dos. Un premier et gros mandrin s’enfonce dans ma gorge. Je fais de mon mieux, fessée de temps à autre. Je dois sucer jusqu’à cinq étalons, aux mandrins entre six et huit de diamètre, longs entre trente et trente-huit de long. Un pince-nez, puis un bâillon O me sont mis, pour que j’avale leurs spermes abondants dans ma bouche. Je suis au bord de la nausée.
- Allez, Désir Anal, une dernière puis ce sera au tour de ta chatte. Non de ton œillet de vierge de t’offrir, prosternée.
J’ai droit à un long de pisse dans ma bouche.
Vers 20 heures, je suis lavée sommairement et offerte, prosternée, un premier gros mandrin s’enfonce dans mon œillet. Je sens son gland de huit de diamètre puis son mandrin en totalité jusqu’aux testicules. Il est en appui sur ses jambes pour mieux m’enculer. Je gémis sous le bâillon.
- Elle aime ça, dit celui qui m’encule. Elle s’offrira à d’autres, cette beauté anale.
Je dois subir trois sodomies, dans cette position. La douleur devient une vague de plaisir malgré la grosseur de leurs mandrins, mes fesses sont brûlantes par leurs claques magistrales pour me soumettre davantage.
- On la prend en double, messieurs.
Je suis en plein cauchemar. Non, mon anus écartelé, dégoulinant de spermes, ma bouche est à nouveau remplie de sperme, sans mon bâillon O et le pince nez.
Le premier se couche sur le dos et je m’empale ma chatte sur lui, tandis que le second m’encule simultanément. Je prends beaucoup de plaisir.
Sans ménagement, je m’offre empalée sur un troisième qui se trouve sur le dos et j’ouvre bien les jambes pour que le quatrième me baise simultanément. Le frottement de mon clitoris tendu à l’extrême contre le pubis que le quatrième qui me baise, me provoque une vague de plaisir comme à la première double pénétration.
Enfin, le summum, je m’empale la chatte, sur le cinquième qui me prend dans ses bras, je l’entoure de mes jambes et le sixième qui me soutient aussi, m’encule simultanément. Celui qui me baise, a un long mandrin, qui me déflore la chatte jusqu’au fond. Je suis devenue femme.
J’explose sous les orgasmes, tellement mon clitoris est sollicité.
L’action est renouvelée pour un total de six double pénétrations, qui me ravit. Je n’ai pris autant de plaisir. Je suis exténuée, ma chatte et mon anus sont encore bien ouverts, débordant de flots de spermes.
Pantelante, la chatte et l’anus dégoulinants de spermes chauds, je suis laissée offerte, allongée sur le ventre, sur le canapé du salon, nue, les mains menottées dans le dos, sans mon masque. Je n’ose regarder mes amants qui m’ont prises, moi la lesbienne.
- Désir Anal a bien débuté la soirée. Elle aime ça, dit un des hommes au long mandrin de quarante par huit, un Africain noir. Je m’appelle Horace, ton Maître. Mais c’est surtout le Baron Oscar, qui t’a pris le plus souvent. Il est bien monté, ma belle. Reste allongée un peu, repose-toi. Puis Câline Vicieuse va s’occuper de toi, te baigner, te faire belle comme les autres filles de l’Université du Vice, dont tu es devenue notre soumise. Dix étalons t’ont prise en quelques heures. Ecartelée, tu prends du plaisir, surtout anal. Tu seras enculée tous les jours, jusqu’à ce que tu prennes davantage de plaisir, ainsi que ta chatte en double pénétration et divers plaisirs. Tu gardes tes superbes yeux verts baissés, regardant que nos queues, compris, Désir Anal.
- Oui, Maître, prenez-moi encore. Je veux être enculée.
- Patience, il est 23 heures.
Câline Vicieuse, une superbe blonde aux seins plantureux, du 95C, entre, vêtue d’une robe au décolleté en trapèze, exhibant ses seins nus zébrés, avec une jupe longue jusqu’aux mollets, dénudant entièrement son pubis et sa chatte totalement lisses, avec des anneaux dorés à sa chatte et un bijou à son gros clitoris. L’intérieur de ses cuisses est zébré. Elle écarte sa jupe par-derrière, dévoilant ses fesses zébrées, ainsi que l’arrière de ses cuisses. elle porte une pierre précieuse entre ses fesses.
Horace a 30 ans et un mandrin de trente-six par huit et le Baron Oscar a 35 ans et un mandrin de trente par huit.
Devant moi, Câline Vicieuse, 22 ans, se fait enculer jusqu’aux testicules, l’anus libre, sans son accord. C’est Horace qui la prend, tout en lui pelotant ses seins et en masturbant son clitoris et doigtant sa chatte. Elle prend du plaisir.
Il se retire juste avant son orgasme et il la cravache sur les fesses.
Je ne comprends pas pourquoi. Le tout sans un mot.
Je me lève. On m’insère un bijou d’anus de dix-sept par six me remplit l’anus bien lubrifié d’excitation. Son gland et ses reliefs me font mouiller, me stimulent.
- Tu seras ainsi constamment ouverte. Tu prendras rapidement du plaisir avec. Chaque nouvelle sodomie te donnera du plaisir, tu verras, tu vas aimée, future vicieuse.
Câline Vicieuse me conduit au premier étage, dans l’étage des novices, tenue en laisse, par elle, escortée par deux superbes valets nus, sous leurs gilets, aux mandrins imposants, bottés. L’étage est caché par un accès discret derrière un grand mur avec des tableaux érotiques. M’ont-ils enculée ?
Nous stoppons à la première pièce sans porte.
Je me glisse dans la baignoire transparente, déchaussée, tenue en laisse. Je porte aussi des bracelets de cuir à mes chevilles.
Je dois m’accroupir, cuisses écartées, les bras tendus, coiffée d’un chignon, menottée à une chaîne reliée à un crochet au-dessus de ma tête, entourée de miroirs et glaces sur les murs et au plafond, tout autour de la baignoire. Je garde les yeux baissés.
Un des valets me menotte, m’observant la vue sur son mandrin de trente-cinq par sept, aux testicules portant des anneaux dorés. Le second se glisse derrière moi, agenouillé, et m’enfonce, une fois l’anus libre, son mandrin de trente-huit par huit jusqu’aux testicules. Je m’empale sous mon propre poids, ne pouvant me dérober. Câline Vicieuse leur passe l’éponge pour laver mon corps recouvert de sueurs, de spermes.
Je dois me retenir de jouir, enculée et caressée par la grosse éponge. C’est excitant. Je suis longuement savonnée, surtout sur mes seins, mon pubis et entre mes cuisses humides. Le valet qui m’encule, me fait coulisser sur son mandrin et je sens des picots dans mon anus. C’est un peu douloureux, mais j’aime ça.
- Regarde, comme elle se laisse faire, ses seins offrent leurs mamelons tendus d’excitation, son clitoris est bien tendu.
- Son anus se contracte, elle prend beaucoup de plaisir, enculée cette novice.
Une fois rincée à l’eau froide, le valet libère mon anus. Je suis libérée et je suis offerte debout dans une autre zone de la grande salle de bains, pour me farder.
Mes carcans se sont durcis par l’eau de la douche.
Câline Vicieuse me farde : je suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un des valets dépose quelques gouttes d’un vaporisateur sur mes mamelons et mon clitoris. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Le vent frais de l’extérieur sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux comme jamais auparavant, avec les mêmes glaçons. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles. Un des valets n’hésite pas à étirer mes mamelons et à masturber mon gros clitoris, tout en caressant ma chatte trempée.
- Penche-toi en avant, je vais te le mettre. C’est pour t’élargir davantage, tu es encore étroite. Tu vas aimée. Tout à l’heure, tu étais prête à jouir, enculée.
Un des valets prépare un gode anal avec des chaînettes et une ceinture en cuir.
L’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde et celui pour ma chatte, avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule. Il mesure trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Le valet attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. L’autre valet les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
Je me regarde dans un miroir. Je me sens belle, soumise à cet étalon qui m’encule.
J’enfile ma nouvelle tenue : une robe entièrement transparente blanche, formant un bustier seins nus, mes seins sont projetés en avant, tout en reposant sur un gousset pour chacun, étroitement lacé pour que ma taille soit étranglée, mon ventre est sailli et mes fesses sont cambrées, mais c’est confortable. Ma jupe longue derrière jusqu’aux mollets, mais devant s’arrête juste au-dessus de mon triangle pubien, mettant en valeur le gode, les chaînettes et la ceinture de cuir, pour montrer que je porte le gode anal qui m’écartèle. Menottée dans le dos, tenue en laisse, chaussée à mes pieds nus de mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval, je découvre ma chambre, avec juste un chevalet et une baignoire creusée dans la pierre, avec un crochet et des chaînes, donnant sur une grande porte-fenêtre ouvrant sur le parc.
- Je m’appelle Câline Vicieuse. Tes valets de ce soir sont Sexe Pilon Anal le brun et Défonce Sévices Dresseur le blond. Ils sont là pour te dresser, te prendre si personne ne te désirent. Mais ce soir, tout le monde te désire.
- Le gode lui va à merveille. Le Baron sera fière de son Désir Anal.
21 juin
Vers minuit, nous redescendons au salon.
Je dois sucer à nouveau, baisée, la chatte resserrée par le gode anal. Je jouis sous mon bâillon-boule.
Nue, je suis aussi cravachée sur mes fesses et mes cuisses, prosternée, mains jointes à mon cou, la bouche libre.
Puis je suis à nouveau offerte, jusqu’à trois heures du matin.
Tenue en laisse, je rejoins mon chevalet, après un bain rapide, menottée.
Sexe Pilon Anal, 25 ans, possède un mandrin de trente-deux par huit, me retire mon gode anal pour la nuit, me cravache les fesses et les cuisses pendant cinq minutes, avant de me faire enculer, dans le noir, par un mystérieux sexe que je dois sucer, puis reprise une seconde fois, enculée par un sexe similaire. Leur nœud m’écartèle bien mon anus bien lubrifié. Je prends du plaisir, mon anus est très sensible.
A l’aube, la porte fenêtre grande ouverte, laissant le vent frais entrer, je suis menottée, à un crochet, fixé dans une superbe statue d’Adonis, nu, le mandrin en érection, face à son mandrin, offrant mes fesses, accroupie, cuisses écartées, sur la pointe des pieds nus, sur le carrelage froid.
Au lever du soleil, le valet du matin m’encule ainsi, me cravache le devant de mes cuisses, avant de menotter au chevalet, pour me remettre le gode anal. Je suis bien ouverte. Ces sodomies ont rendu sensibles mon anus, me donnant un nouveau plaisir. Je souhaite qu’Aimée me gode ainsi.
Libérée ensuite, je prends mon petit déjeuner, au réfectoire, tenue en laisse, menottée dans le dos, au premier étage, nue, en mules, coiffée d’une queue-de-cheval, dévoilant mon collier. Deux valets nus sous leurs gilets, bottés, m’escortent avec chacun un berger allemand pour l’un et un doberman pour l’autre, qui m’ont prise durant la nuit, selon les commentaires satisfaits des valets.
Au réfectoire, je m’assois cuisses écartées, menottée dans le dos, nourrie par le valet de permanence, qui caresse mes seins, étirant mes mamelons tendus par de nouvelles gouttes vaporisées, ainsi que sur mon clitoris. C’est un peu douloureux, mais je connais du plaisir ensuite.
Je porte le gode anal jusqu’à midi, tenue en laisse du réfectoire, au jardin, pour la promenade, escortée par un berger allemand. Mes mains sont jointes à mon cou, pour cette fois. Je dois sucer le valet et le berger allemand, sans me dérober. Je ne compte plus mes orgasmes anaux par le gode anal, que je maîtrise.
L’anus libre, je suis livrée dans une petite pièce, dans une annexe, après avoir tenue en laisse, nue, en mules, à trois invités bien montés à qui je sers le café. Ils m’enculent, je les suce, avale tout. Je suis aussi menottée à un crochet, près de la cheminée, penchée en avant, cravachée sur les fesses et les cuisses, comme la veille. Je mouille de désir, sous les coups. Cela plait aux invités et je suis ensuite offerte à trois autres invités et encore trois autres jusqu’au coucher du soleil.
Après mon bain, menottée au crochet, je porte mon gode anal, pour le souper, au réfectoire, nue et en mules, les mains libres.
Il m’est retiré plus tard, pour que je m’offre au salon, prosternée à d’autres invités masqués, très bien montés et je suis aussi enculée par des bergers allemands et des dobermans, attachée au nœud, jusqu’à l’aube, prenant beaucoup de plaisir avec eux, sans jouir avec les hommes.
Parmi les hommes masqués, se trouve Maître O, 35 ans, un barbu, au mandrin de trente-cinq par huit, qui m’encule sans gaine à picots.
Je gémis, un peu, malgré les sodomies de la veille.
- Tu aimes les grosses queues, ma belle D A. Tu vas voir ton œillet étroit sera bien élargi par ces chiens qui vont te prendre.
Puis la douleur anale devient un plaisir qui m’irradie, lorsqu’il éjacule longuement, satisfait, après quelques fessées magistrales. Je le suce, accroupie, cuisses écartées, les yeux baissés, jusqu’à la dernière goutte.
- Tu vois, mon chaton D A, c’est facile de se faire enculer, tu aimeras.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en doigtant mon anus entrouvert. Je ne peux oublier ce baiser.
Maître D, un athlète de 60 ans, moustachu m’encule ensuite avec son mandrin de trente-huit par neuf. Je suis encore un peu étroite pour ce calibre.
Il n’a que faire de mes gémissements, m’enculant jusqu’aux testicules. Je jouis enfin, mais il se retire juste avant mon orgasme anal.
Il me punit à la garcette, avant que je le suce, agenouillée, jusqu’à la dernière goutte. La garcette, de cordes assez fines, faite de sept lanières terminées chacune par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, trempées dans l'eau, ce qui a été fait comme je peux le constater, peu après ma sodomie, sur l’intérieur de mes cuisses, combien les cordes sont humides et froides.
- Je t’enculerais tous les jours s’il le faut, D A pour que ton œillet s’habitue à ma queue, ma belle vicieuse. Tu me plait. Tu mouilles sous la garcette, j’aime aussi ça chez une soumise docile.
26 juin
Après mon lever vers 8 heures, nue, pieds nus, prenant mon bain, menottée, on retire le chevalet pour un hamac, installé à hauteur de sexe, pour m’enculer, allongée sur le dos, les bras et les jambes écartées et levées, pour m’offrir de jour comme de nuit. Je peux me reposer sommairement, menottée et enculée à tout moment, en plus des invités de la petite pièce qui me prennent. Sexe Pilon Anal est mon valet de jour et Jouisseur Ebène, 23 ans, avec un mandrin de trente-six par huit est celui de la nuit, pour m’ouvrir davantage, en plus des saillies en journée dans le parc et la nuit au salon. Mon gros clitoris a été percé, peu après une de mes sodomies sauvages, pour multiplier mon plaisir, lors des doubles pénétrations par des gaines à picots.
Maître D vient chaque jour, m’enculer jusqu’à trois fois, en accord avec le Baron. Le Baron me veut bien élargie. Je ne peux m’y opposer.
1er juillet
Vers 14 heures, installée sur mon hamac, menottée, je reçois la visite de Sven, qui vient me chercher. Je suis enculée par ses soins, devant le Baron Oscar, maître du Domaine, pseudonyme de l’Université du Vice et des Sévices, dont je suis la soumise et la prostituée selon les désirs de Sven. Sven a repris mon téléphone portable qui a filmé et photographié mon séjour, à mon insu, qui me redonne ensuite à la sortie du Domaine. Je n’ai même pas fais attention, trop excitée par la soumission. Il contient des messages de Maîtres D et O, mes nouveaux amants que je dois rencontrer prochainement, sans rien dire à Sven.
Je reçois ma bague sertie d’un anneau, à mon annulaire gauche, après mon bain, pris en compagnie de Sexe Pilon Anal, qui m’encule une ultime fois, dans mon bain, avec une gaine à picots.
- La bague à l'annulaire gauche, te fait reconnaître : que tu es constamment nue sous tes vêtements, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici, dit le Baron, que je suce une ultime fois, pour avaler son sperme et sa pisse, comme depuis le début de mon séjour de soumise D A.
Mais avant de m’habiller, Sven caresse mes fesses et mes cuisses, puis mes reins zébrés par la cravache, la garcette et la chicotte, que j’ai subi pendant mon séjour.
Je revêts un chemisier sans bouton blanc sur mes seins nus, une jupe éventail fuchsia, des sandales à hauts talons, les cheveux libres, sans mes carcans de cuir. La nudité sous mes vêtements est un nouveau plaisir, rendue plus accessible à mes amants.
Il me ramène à bord de sa Ferrari F40 rouge chez Aimée, dans sa villa à une heure de route.
Nous traversons un village. Je suis assise, cuisses écartées, fesses nues sur la banquette passager, dévoilant ma chatte velue, la jupe relevée, la cuisse caressée par Sven, mon nouvel amant.
Chez Aimée, je retrouve Charles Thierry. Les deux hommes m’ont prise au Domaine, sans que je puisse les identifier.
Je me repose allongée sur le dos, nue, dans ma chambre du premier étage, ayant une garde-robe sans aucun dessous, ni pantalon, ni short, mais des jupes et des robes dévoilant mes jambes nues jusqu’à mi-cuisse, au décolleté en V, dos nu, pour montrer à tous, que je suis les seins, les fesses et les jambes nues, comme on me l’a apprise au Domaine. Je n’ose me caresser, par crainte d’être punie par Sven.
Sven me rejoint, nu, exhibant son mandrin de trente par sept, que je suce, devant Aimée, obéissante. Il éjacule dans ma bouche, sans me prendre.
Puis vers 16 heures, je me baigne nue dans la piscine, portant mon bijou d’anus offert au Domaine, pour être prête à tout moment, faisant plusieurs longueurs, avant de bronzer, allongée sur le ventre, cuisses écartées, sur la chaise longue. J’exhibe ma pierre précieuse entre mes fesses bronzées. Cela plaît au trio.
Une fois sèche et bronzée, par un rapide passage par la douche, avant une nouvelle douche dans la salle de bains de ma chambre, mon téléphone portable m’envoie un message :
« Maître D, Désir Anal, caresse-toi dès maintenant et envoie une photo de toi, la chatte ruisselante, tu as toujours ton bijou en toi. »
J’obéis. Je ne mets pas longtemps à jouir et je me photographie, le téléphone portable entre mes cuisses écartées, en me cambrant, dévoilant ma pierre précieuse entre mes fesses. J’envoie la photo.
« Maître D, Désir Anal, je te rappelle plus tard. Tu es excitante, j’ai hâte… »
J’obéis à ce Maître D, sans le connaître. Le Domaine m’a changée. Auparavant, j’aurai refusé ce genre de message d’exhibition de ma chatte.
Après le souper, toujours nue, sans gêne devant Aimée, j’aide à ranger la vaisselle. Je porte juste mes sandales. Aimée a l’habitude que je sois habillée en sa compagnie, mais elle n’est nullement gênée et me pousse davantage vers le vice.
- Tu sais que tu excites Sven et Charles Thierry, toute nue, depuis ton retour.
- Oui, mon Sven, sait que je serais prête pour lui. Il m’enculera et je jouirais pour lui.
- Toi, qui a toujours refusée que je gode ton œillet. Tu es devenue une vicieuse sans le savoir, soumise en plus. Tu as tes marques sur tes fesses, tes cuisses et tes reins. Tu aimes ça, en somme. J’aime aussi tes bijoux intimes, ton gros clitoris percé et tes lèvres de ta chatte mises en valeur par tes petits anneaux dorés dans tes poils de la chatte.
Je dors très mal, cuisses écartées, allongée sur mon lit, sur les draps. Je suis aussi excitée. J’ai oublié de fermer les volets et de tirer les rideaux, tout le monde peut me voir.
2 juillet
Vers 2 heures du matin, mon téléphone portable vibre. Je lis un message :
« Maître D, Désir Anal doigte ton anus bien ouvert et jouis en silence. Filme-toi aussi en même temps. »
Je dois m’allonger sur le côté, pour m’offrir à la caméra de mon téléphone portable. Je suis tellement excitée, que j’enfonce deux doigts dans mon anus que je lubrifie avec ma mouille abondante. Je jouis en mordant l’oreiller, sous la montée de la vague du plaisir anal, le téléphone portable posé près de mes fesses humides.
Je raccroche, après mon orgasme anal.
Maître D me rappelle :
- Tu es très excitante, Désir Anal. On se revoit dans deux jours, soit prête. J’ai joui en te regardant.
Il raccroche. Je donne du plaisir en me filmant, c’est excitant. Je mouille davantage, tendant encore plus mon gros clitoris et mes mamelons déjà tendus.
Vers 5 heures, assoupie, par mon orgasme anal, mon téléphone portable vibre à nouveau. C’est un nouveau message :
« Maître O, Désir Anal masturbe ton clitoris percé de ta pierre précieuse et jouit devant ta caméra. A bientôt, ma belle. »
J’obéis, cuisses écartées, le téléphone portable proche de mon clitoris tendu, mais la douleur devient un plaisir concentré sur mon clitoris. Je jouis en mordant l’oreiller, submergée par le plaisir.
Je vais pour raccrocher et je reçois un autre message :
« Tu es divine, Désir Anal, à bientôt, ma belle jouisseuse anale. Maître O. »
Je me rendors, mes draps sont tâchés par ma mouille. Je n’aurai jamais fais cela auparavant. Je suis obéissante et docile à ses deux Maîtres. Je veux les rencontrer.
Vers 8 heures du matin, sous le chaud soleil sur mon dos offert, je me suis réveillée, allongée sur le ventre, mes mains entre mes cuisses humides. Je n’ai pas rêvée, j’ai bien joui. Mes draps sont tous tâchés.
Je rejoins ma salle de bains, marchant pieds nus sur le carrelage froid de ma chambre, comme dans ma cellule du Domaine.
Je me regarde mon buste, mes seins aux mamelons constamment tendus depuis deux semaines tout comme mon clitoris percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse et mes grandes lèvres de ma chatte percées chacune d’un anneau doré, dont je n’ai pas la signification. Je me masturbe, en repensant à cette nuit érotique. Je jouis rapidement, surtout lorsque mes doigts caressent mon clitoris.
J’entends du bruit au rez-de-chaussée. Ma chambre donne sur la piscine. Je ne prends pas le temps de prendre une douche, me faire belle. Je reste pieds nus, sans mes sandales que je porte le matin. Je laisse mes cheveux libres.
- Shawn, viens vite, tu as un bel Adonis qui t’attends.
Je descends l’escalier aux marches en bois, avec grâce.
Je découvre Aimée, juste en tee-shirt sur son corps nu, en tongs, en compagnie d’un superbe et élégant homme d’affaires de 35 ans, qui me toise aussi.
- Tu es sublime, mon chaton D A, encore plus belle que sous les éclairages. Je suis photographe, à ton université. Tu devrais faire modèle nu. Je m’appelle Honoré O. Je t’ai rencontré à une des soirées du Domaine, la première je crois. Tu t’es donnée ce soir-là et les autres. Superbe tes bijoux intimes, ils vont à merveille dans tes poils bruns. Il ne faut pas les épiler, tu es « naturelle ».
Honoré m’embrasse langoureusement devant Aimée et glisse sa main entre mes cuisses humides. Je ne l’ai jamais vu auparavant. Mais je me souviens d’un tel baiser le 21 juin. C’est donc lui.
- Shawn, tu rêves. Tu vas restée nue devant ce superbe Apollon, dit Aimée.
- Oui, je vais m’habiller.
- Je viens avec toi. Tu as de superbes fesses, D A. Aimée, tu sais qu’elle ouvre bien ses fesses pour jouir, son bouton est très érectile, tel un sexe, dit Honoré.
Je suis excitée par ses mots. Il me désire.
- Allez, ma belle, tu te maquilles, D A, bouche, mamelons, chatte, te parfume et je vais t’habiller pour une sortie de suite, ordonne Honoré.
Il me prend de cours.
- Je peux me doucher.
- Non, D A, tu te maquilles, te parfume et tu mets ce chemisier blanc sans le boutonner, cette jupe courte noire et ces sandales blanches à hauts talons. Une queue-de-cheval pour finir le tableau de la belle Désir Anal. Tu te douches au retour, après quelques longueurs dans la piscine derrière, tu seras nue, dit Honoré. Tu m’obéis désormais.
Comment, il connaît mon pseudonyme ?
Honoré possède une Ferrari 488 GTB rouge. Sven et Charles Thierry sont allés faire courses pour mon retour du Domaine.
Vers 9 heures, fardée, parfumée, devant lui, sans pudeur, la porte de la salle de bains ouverte. Je me sens bien avec cet Apollon. Il bande sous son pantalon. Je lui fais de l’effet.
Il me donne mon sac à main avec mon téléphone portable et une enveloppe glissée dans mon sac à main.
- Viens, tu dois prendre l’air, mon chaton D A.
Nous prenons sa Ferrari, nous stoppons deux rues plus loin, devant une villa qui ressemble à celle d’Aimée.
Puis nous roulons vers la forêt, à l’opposé du village. Il ne cesse de caresser ma cuisse nue. Je suis assise fesses nues, avec mon bijou d’anus en moi, la jupe relevée assez haut, selon ses exigences. Je ne sais qu’un discret appareil photo immortalise mes cuisses nues écartées, humides de mon désir d’être prise. Il m’invite même à enduire mon buste de crème solaire, pour les exposer nus au soleil et au vent frais du à la vitesse. Il m’aide à étaler la crème, tout en pelotant gentiment mes seins, mes mamelons sont tendus à l’extrême, je suis toute trempée, une flaque de mouille se dépose sur mon siège.
Vers 10 heures, il stoppe sa Ferrari, dans une route forestière, non loin d’une grille.
Il m’invite à prendre les jumelles et à regarder au loin derrière les grilles, au sud du Domaine. Je découvre un manoir, un château imposant au loin, avec des soumises en tenue comme celle que j’ai porté, offerte à des chiens de garde et une autre honorée par le sexe d’un superbe pur sang.
- Tu aimes ce que tu vois. Tu as déjà réalisé un fantasme, saillie par un chien. Tu as aimée et tu en as redemandée. Ne t’approches pas, c’est très surveillé.
Je remonte en voiture. Il me conduit à l’ouest du Domaine, avec une succession de murs et de grilles. Il y a juste des chiens de garde et des hommes nus, bâillonnés, les yeux bandés saillis. Je suis choquée, subjuguée par ce genre de soumission.
Avant de rentrer, il me dit :
- Couvre tes seins. Dès que tu rentres, tu te rafraîchis et tu fais quatre longueurs de piscine, nue. Je te rejoins ensuite, dit Honoré, mon chaton D A.
Arrivée chez Aimée, je m’exécute. Je me déshabille près de la piscine, prend un verre de jus de fruits, plonge dans la piscine après m’être aspergée de l’eau tiède.
Je fais les quatre longueurs. Honoré reste près de l’échelle.
- Non, mon chaton D A, encore deux plus, pour dégourdir tes jolis jambes. Ton bijou brille bien entre tes superbes fesses musclées, tandis que je commence à sortir de l’eau, à côté de l‘échelle, ordonne Honoré. J’obéis.
Aimée le rejoint.
- Elle est très belle, ce joli chaton, Honoré. Elle est très docile, dit Aimée.
- Viens, maintenant, D A, tu vas te doucher près de la piscine. De la crème solaire sur ton sublime corps nu, mon chaton, il ne faut pas attraper un coup de soleil, mais bronzer un quart d’heure, surtout allongée sur le ventre. Tu as déjà bronzée ton buste.
- Oui, mon amour, je t’aime.
- Tu as retenue ta leçon, mon chaton, dit Honoré. Tu auras droit à un long baiser tout à l’heure, D A.
Sven et Charles Thierry sont surpris par l’attention d’Honoré. Il lui sèche chaque parcelle de son corps, s’attardant sur ses seins et entre ses cuisses jusqu’aux pieds. Il fait de même avec la crème solaire, qu’il étale avec délicatesse, surtout sur mes seins, mes fesses, mes reins et mes jambes.
Je m’allonge sur le ventre, cuisses écartées. Ma chatte brille de ma mouille perlée, mes anneaux brillent tout comme ma pierre précieuse. Je suis heureuse, excitée de cet Apollon.
Il va jusqu’à m’offrir son mandrin durci par quelques caresses que je lui ai offerte en voiture, mais il ne m’a pas prise. Je le suce et j’avale son puissant jet de sperme, jusqu’à la dernière goutte, le nettoie devant le trio. Je me sens comme une autre femme.
Une fois bronzée, Honoré m’annonce :
- Je dois te quitter, D A, il est 15 heures. On se voit bientôt. Mets un tee-shirt blanc sur ton corps nu et tu penses à moi, mon chaton.
- Oui.
Il me donne encore un long baiser langoureux sur la bouche.
Rhabillée de mon tee-shirt blanc, les fesses nues, en mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée de ma queue-de-cheval, sans maquillage, je m’assois à la terrasse, à côté d’Aimée, en face de Sven et Charles Thierry.
- Ma Shawn est amoureuse, dit Aimée. C’est son premier amant très attentionné, mon chaton, ton Honoré.
- Non, je ne suis pas amoureuse. Tu es jalouse, car tu as ton Sven.
- Ah bon, je suis officiellement le petit ami d’Aimée, dit Sven. Et toi, tu vas rester une célibataire gouine.
- Cela dépend. Je suis toute excitée. S’il pouvait…
Mon téléphone portable sonne. Je monte directement à ma chambre, retire mon tee-shirt et décroche.
- D A, prosterne-toi et doigte-toi l’œillet tout en caressant ton gros clitoris. Je veux entendre tes râles, fantasme sur ce que tu veux. Maître D qui t’aime.
J’obéis, prosternée sur mon lit, les fesses vers la porte que j’ai laissé entrouverte.
Sven m’a suivi. Il voit mes deux doigts s’enfoncer dans mon anus que j’ai lubrifié avec ma mouille et mon autre main caresser mon clitoris très tendu.
Lors de mon orgasme, mes deux doigts sont emprisonnés par mon anus. Je me laisse jouir, puis je me détends pour les libérer et je les lèche, en suivant les indications de Maître D, qui m’observe de loin. En réalité, Maître D possède un site d’observation à portée d’un télescope pour m’observer chaque jour. Il jouit aussi, je l’entends à sa respiration. Je lui ai donné du plaisir et à moi aussi.
Je garde ma pose, dès qu’il raccroche.
Sven caresse mes fesses. Je fais un bond, surprise.
- Superbe pose pour Honoré, tu ruisselles depuis quand, cette nuit, hier ou depuis le 20 juin, ma Shawn, mon chaton ?
- Je ne sais plus. Tu m’as fait peur, je pensais…
- Tu penses à une belle queue pour te faire jouir. Tu as joui, en mordant ton oreiller, comme cette nuit. Je t’ai observé, par tes discrets appels de ton téléphone portable.
- Tu es jaloux de mon Honoré. Il est trop bien pour moi ou il est trop âgé pour moi, je dois me faire jouir avec des jeunes de ton âge.
Sven disparaît. Je me refais jouir, avec mes doigts à nouveau.
Aimée me rejoint et prends le relais sur mon clitoris, enfonçant ses doigts dans ma chatte humide.
- Non, tu me préfères, mon chaton, Shawn.
- Oui…
- Tu aimes vraiment Honoré.
- Oui…
- Tu vais jouir, attention à tes doigts dans ton œillet.
- Je sais, c’est bon, deux doigts pour m’enculer. Je suis une chienne.
Aimée m’embrasse langoureusement sur la bouche, en plein orgasme anal.
Elle me laisse tranquille.
Vers 18 heures, je descends, après une longue douche masturbatoire, repensant aux caresses nocturnes. Sven m’a observé cette nuit. Il a du jouir aussi. J’ai gardé juste mon tee-shirt blanc sur mes seins nus aux mamelons tendus dessous. Je n’ai pas mis de jupe, me promener les fesses nues pour exciter Sven. Je n’ai pas mis mes mules, je reste pieds nus. Je me suis fardée, parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval.
- Tu es de sortie, ma belle Shawn, dit Sven.
- Non, je fais des essais maquillage. Tu aimes mes mamelons fardés et les lèvres de ma chatte, voyeur.
- Non, mon chaton, a peut-être un autre amant, la coquine.
Je reste sur la terrasse, pensive, silencieuse, glissant de temps à autre, mes mains sur mes seins sous mon tee-shirt ou entre mes cuisses que je garde bien écartées.
Mon téléphone portable vibre. Je vois un message :
« Maître D, j’ai une enveloppe pour toi. Ce soir 22 heures chez toi, discrétion ».
Je ne dis rien au trio.
Après le souper, je reste près de la fenêtre, à surveiller la Ferrari F40 de Sven, mais en fait, la voiture de Maître D.
Sven va jusqu’à me caresser les fesses. Je le laisse faire, mais sans prendre de plaisir aucun avec lui.
A l’heure prévue, on sonne. J’ouvre discrètement. Un athlète de 60 ans me remet discrètement une enveloppe anonyme et je monte immédiatement dans ma chambre, après un discret signe de la main.
Il est très séduisant, très élégant, ce Maître D. Il possède une Ferrari 488 GTB selon le bruit par Sven. Il aime le luxe comme mon Maître O. Honoré me l’a discrètement susurré à mon oreille, en m’enduisant de crème solaire.
J’ouvre l’enveloppe et celle de Honoré. Maître D a écrit au dos d’une photo de moi, enculée par le doberman, jusqu’au nœud, en gros plan « A ma sublime chienne du désir, je t’attends demain midi, surprise. Regarde tes reins ». Celle d’Honoré est écrite au dos d’une photo de moi, enculée par un gros mandrin, en gros plan « A ma belle D A, ton œillet me fait plaisir à te défoncer ». je suis toute excitée et je masturbe, nue, en ayant retiré mon tee-shirt, une brève toilette et je regarde mes reins, mes marques du fouet disparaissent, au profit de marques blanches, je découvre tatouer en lettres noires gothiques « A ma chienne S ouverte au Désir ». je ne sais quand j’ai été tatouée, ni pour mes bijoux intimes.
Je jouis jusqu’à l’orgasme, mes doigts enfoncés dans mon anus et dans ma chatte, deux doigts sur mon clitoris. Je me cambre, bercée par des vagues successives. Je râle de plaisir, je me sens dégoulinée.
Je m’endors, ayant libérée mon anus entrouvert et les lèvres de ma chatte entrouvertes humides.
3 juillet
Vers 8 heures, je prends mon petit déjeuner, en tee-shirt noir, pieds nus, coiffée d’une queue-de-cheval, tout fraîche, après ma longue douche dès 7 heures, reposée. J’ai la chatte et l’anus en feu, par mes doigtés nocturnes. J’ai hâte de revoir mon Honoré et de rencontrer Maître D.
Aimée me fait monter un colis à mon nom « Shawn Désir Anal de la part de ton ami ».
Aimée est jalouse.
Je me change dans ma chambre pour une robe moulante, blanche, dénudant partiellement mes seins par des ouvertures discrètes, tout comme mon accès à ma chatte et à mes fesses, dos nu jusqu’aux reins tatouées, mes mamelons fardés pointent dessous, permettant de voir mes bijoux intimes, longue jusqu’à mi-mollet, fendue sur les côtés, pour exhiber mes jambes nues, aux ongles des pieds vernis de rouge, fardée et parfumée, les cheveux libres. Je chausse des sandales blanches à talons de douze centimètres. Je me suis insérée mon nouveau bijou d‘anus, conséquent, douze par huit, moulé sur le sexe d’un doberman, avec des picots dessus.
Vers 11 heures, une superbe Rolls-Royce dorée stationne devant chez Aimée. Le chauffeur m’ouvre la porte arrière. Je retrouve Maître D, masqué.
Le chauffeur se trouve être une séduisante brune, de 30 ans.
Pendant le trajet jusqu’au restaurant, qui se trouve entre la villa d’Aimée, le village et une zone commerciale à la même distance. Le restaurant est isolé, relié par une route depuis une grille.
Vers 12 heures, je fais sensation au restaurant. Il y a des clients qui me toisent. Je garde mes yeux baissés, en présence masculine, même devant Maître D. Je crois reconnaître Honoré, en galante compagnie d’une jeune blonde aux petits seins, qui me ressemble, de 40 ans.
Je dois m’asseoir une chaise en cuir, en ouvrant ma jupe, pour m’asseoir fesses nues, me rappelant mon trajet dans la BMW d’Aimée. Je suis aux anges. J’écarte bien mes cuisses, dénudant partiellement mes jambes.
- Shawn, ma belle tu es resplendissante, tu connais l’usage de ta bague à ton annulaire gauche. Tu as de superbes yeux, même baissés, tes seins sont mis en valeur. Tu dois te donner au premier venu, comme la règle du Domaine l’impose. Enculée ou baisée, peut importe, libre à lui, tu es sa soumise. Es-tu à obéir à toutes mes demandes, Désir Anal ?
- Oui, Maître, je suis prête à toutes vos demandes.
- Même les actes sexuels auxquels tu n’as pas encore pensé.
- Oui…
Pendant le service, Maître D s’interrompt puis reprend.
- Tu es venue doublement vierge au Domaine et tu l’as quittée à la fin de ton séjour, doublement ouverte.
Je l’écoute, tout en mangeant. J’avais un grand appétit. Le bijou d’anus fait monter mon plaisir sexuel, par des contractions anales.
- Tu as offert ta chatte, ton œillet, ta bouche à tous les hommes qui ont envie de toi, au Domaine. Tu le feras dans la vie quotidienne, jusqu’à ton retour à l’université, à une date que je déciderai. Tu seras préparée à d’autres vices. Oublie Sven, pense uniquement à ceux qui connaissent le pouvoir de ta bague. Tu m’appartiens tout autant que tu appartiens à Maître O et à Maître D. Tu dois répondre à nos messages, nos appels et rien d’autre. Tu auras une Ferrari personnelle pour te rendre aux rendez-vous. Ton amie Aimée, tu l’aimes, tu la caresses depuis de longues années, mais tu devras la livrer au Domaine pour son instruction. Tu seras la preuve à ses yeux.
Je vois Aimée, nue, avec ses carcans de cuir, offerte à Sexe Pilon Anal, qui la fouette, ou en robe, enculée à l’envie.
- Tu vas la recruter pour le Domaine dès aujourd’hui. Dès son entrée au Domaine, elle ne sera plus à toi. Elle pourra quitter le Domaine si elle le désire.
Je suis toute surprise. Le dessert se fait désirer.
Je me rends aux toilettes pour me soulager.
- Tiens, ma belle Désir Anal, que fais-tu ici, dit Honoré ?
- Je suis…
- Je sais qu’un Maître te désire, tout comme moi. Allons aux toilettes pour hommes, de suite.
Vers 12 heures 30, Honoré me prend par la main et me fait entrer dans les toilettes, en passant devant un serveur qui apporte mon dessert.
Honoré me fait penchée en avant, les mains appuyées sur le mur, devant un urinoir.
- Si tu as envie, pisse. Je vais te relever ta jupe, dévoilant tes superbes fesses nues. Tu es avec ton bijou d’anus. Tu commences à aimer à le porter.
J’ai du mal à pisser, par le bijou d’anus qui bloque mon anus.
Dès que Honoré le retire, je peux me soulager.
Mais cela est trop court, le mandrin de trente-cinq par huit me remplit jusqu’aux testicules.
- Tu te souviens du 21 juin où tu as gémi, la première fois que je t’ai prise.
- Oui…
- Bien ouverte, désormais, tu prends du plaisir.
Maître D nous rejoint. Il exhibe son mandrin de trente-huit par neuf que je dois masturber, coulissant sur Honoré.
- Elle se souvient du 21 juin, notre Désir Anal, susurre Honoré à Maître D.
- Lubrifie-la bien, je vais la prendre ensuite. Elle ouvre ses lèvres pour jouir. Laisse-la jouir.
Honoré m’ajuste un violent coup de reins, mon anus écartelé reçoit sa longue éjaculation et il disparaît. Je reste ainsi, l’anus entrouvert dégoulinant du sperme d’Honoré.
- Maître O t’a donné du plaisir, à mon tour. Tu pourras prendre ton dessert, il est resté au chaud. Tu la sens bien dans ton puits, ma chienne Shawn.
- Oui, Maître, elle est très grosse. Je suis bien ouverte à ta queue.
- Tu aimes ça, depuis le 20 juin, tu as du en recevoir tous les jours, même des chiens t’ont prise. As-tu joui avec eux ?
- Oui, Maître, c’est divin, attachée à eux par leurs nœuds.
- A mon tour, puis tu remets ton bijou d’anus. Tu me suces et tu te refais une beauté.
Maître D me donne le même orgasme anal, mais un peu plus violent, en me fessant longuement magistralement, tout en éjaculant.
Pantelante, accroupie, cuisses écartées, je le suce et je le nettoie. Un autre homme, inconnu, Maître S, nous rejoint. Il a 52 ans, barbu, chauve, musclé, athlétique, exhibe son mandrin de quarante par huit, devant ma bouche. Je m’exécute.
- Assis-toi sur la cuvette, elle s’enculera toute seule, caresse-la, elle s’ouvre facilement, Maître S.
Maître D s’éclipse. Je m’empale jusqu’aux testicules, sous mon propre poids, enculée. Il caresse mes seins, jouant avec mes mamelons par les ouvertures, puis mon clitoris par une autre ouverture. Je suis au bord de mon troisième orgasme anal.
- Quel plaisir de laisser une jolie pute anale s’offrir sur ma queue.
- Oui, Maître, prends-moi.
- Tu seras servie, ma chienne.
Un long jet m’inonde, combiné à un violent orgasme incontrôlé. Je suis au bord de l’évanouissement. Je me reprends et je suce le mandrin et j’avale les dernières gouttes.
Maître S me remet mon bijou d’anus et je me refais une beauté chez les femmes.
Vers 13 heures, je prends mon dessert, silencieuse. Maîtres O et S ont disparu avec leurs amies.
- J’espère que tu as aimée te faire prendre dans les toilettes.
- Oui, Maître, je suis à vous trois.
C’est un accord entre une soumise et ses Maîtres. Je te prendrais encore, te fouetterais si tu le désires et tu connaîtras d’autres plaisirs sexuels, d’autres hommes.
Nous prenons un café. Nous sommes le seul couple, il est 14 heures.
Nous rejoignons la Rolls-Royce.
- Non, Désir Anal, tu t’assois toute nue, avec tes sandales, à côté de ma soumise Equine Vicieuse. Elle te caressera ainsi jusqu’à mon hôtel particulier. Tu rentreras chez Aimée à l’heure que je t’indiquerais, pas avant.
- Bien, Maître, je suis toute à toi.
Pendant le trajet entre le restaurant et la zone commerciale, je m’abandonne aux caresses lesbiennes. Je me retiens de jouir.
Deux motards de la gendarmerie nous font stopper.
- Désolé, Baron Donatien, c’est votre beauté nue qui nous a contraint à vous stopper.
- C’est ma nièce Svetlana, qui aime se promener nue. C’est son côté exhibitionniste, elle aime aussi le sexe sous toutes ses formes. Le commandant se fera un plaisir de la prendre, s’il le désire. Vous connaissez l’adresse.
Les motards nous escortent. Je suis au bord de l’orgasme par les caresses longues et calculées sur mon clitoris tendu à l’extrême.
Vers 14 heures, nous arrivons devant une grille dans un labyrinthe de rues de divers commerces dont un sex-shop, un club libertin, un salon de beauté.
La grille s’ouvre et nous arrivons après une longue allée, devant une villa, sécurisée, discrète, sur trois étages. Des maîtres-chiens avec des bergers allemands, des malinois, des dobermans et des dogues allemands patrouillent dans le parc entourant la villa. Cela me rappelle ceux qui m’ont saillie au Domaine.
A la sortie de la voiture, Maître D m’ordonne :
- Penche-toi en avant, que je te prenne encore, mais dans ta chatte humide. Cela t’excite.
- Oui, Maître.
Equine Vicieuse se tient à mes côtés. Je suis penchée sur le capot, cuisses écartées. Equine Vicieuse porte des fers qui se balancent entre ses cuisses. Je suis intriguée.
Equine Vicieuse me doigte longuement ma chatte et fait durcir mon clitoris, pour me faire jouir et me rendre encore plus humide.
Je suis baisée jusqu’aux testicules sans difficulté.
- Ta chatte est aussi bien ouverte que ton œillet. Tu as l’habitude avec tes godes et ton Aimée.
- Oui, Maître, pine-moi à fond.
- J’aime ça, toute gentille.
Je suis remplie jusqu’au fond de ma chatte. Je jouis sans retenue, sans me caresser.
Il éjacule en moi et me fait saillir sur le champ par un des dobermans, Hadès, qui me baise, décuplant mon orgasme que je viens d’avoir avec Maître D. Je suis offerte à quatre pattes, cuisses écartées, ma chatte dégouline de son sperme et de ma mouille mêlés.
- Elle aime ça, se faire monter, dit un des maîtres-chiens. C’est une soumise du Domaine, cela se voit. Les saillies, elle les pratique souvent.
Pantelante, au bout d’une demi-heure, en sueur, je dois subir la saillie de ma chatte, dès le retrait du doberman par le dogue allemand.
- Non, ma belle, pas par ici, plutôt par là, Arès, elle est plus ouverte.
Le nœud du dogue allemand m’écartèle davantage l’anus, malgré les sodomies du restaurant. Son sexe est plus imposant de la race canine. Je dois gémir un peu, mais la douleur devient un plaisir au bout de trois quart d’heure, attachée à lui.
Les deux maîtres chiens m’enculent ensuite et éjaculent dans ma bouche offerte.
Pantelante, je me relève, en sueur. J’ai bien joui.
Vers 15 heures, Maîtres O et S sont là, aussi et le commandant de la brigade de la gendarmerie, qui est venu, dès ma présence chez Maître D.
Maître O honore ma chatte et je jouis, suçant le commandant. Le commandant m’encule, très bien monté, avec un trente-deux par huit. Je prends du plaisir, le clitoris léché par Equine Vicieuse. Je les suce et avale leurs longs jets de spermes dans ma bouche bien dressée.
Dès 16 heures, Je m’offre à des ébats lesbiens avec Equine Vicieuse, ma Maîtresse SM, que j’ai aucune autorisation de faire jouir sauf en 69. Je suis prise par un double gode réaliste canin, un berger allemand pour ma chatte et un dogue allemand pour mon anus. Je tente de retenir de jouir, par ce double plaisir. Je regarde avec plus de détails les fers au nom de Maître D.
- Tu sais, D A, tu en porteras un jour, si ton Maître l’exige. Mais on peut aussi marquer tes fesses pour te faire reconnaître en plus de tes superbes bijoux intimes. Tu dois t’épiler la chatte tous les jours, ordre de Maître D, comme moi.
Vers 18 heures, je porte un gode anal adapté, de trente-six centimètres avec un fourreau partiellement retiré en arrière de trois centimètres supplémentaires en longueur et six de diamètre, pour libérer le pénis qui est plus large que le fourreau. Lors d'une érection, le fourreau va se retirer en arrière, en même temps que le pénis va pousser pour sortir et grossir en dehors du fourreau. Le pénis grossit par un dispositif télécommandé. Mon anus reçoit un plus gros diamètre avec le pénis de neuf pour un dogue allemand. Il n’a nul besoin de chaînettes, car il a une base qui ne permet pas de l’expulser. Je me suis douchée, lavée par Equine Vicieuse, qui m’a fardée, parfumée. Je reste nue et en mules, avec ma queue-de-cheval.
- Elle porte désormais le gode Lancelot, après son initiation avec le gode Adam qui l’a élargi, messieurs. Elle peut prendre tout le plaisir anal qu’elle veut, constamment enculée, par un amant canin infatigable, qui l’écartèle.
Mes vêtements de ma chambre chez Aimée sont désormais dans une luxueuse chambre du troisième étage, avec vue sur la piscine extérieure complétée par une piscine intérieure. Ma chambre comprend un grand lit, avec des chaînes pour me menotter à tout moment de la journée, je porte aussi mes carcans de cuir, me rappelant le Domaine.
Une fois équipée de mon gode, menottée à mon lit, par les bracelets de mes poignets, nue, pieds nus, les cheveux libres, je suis offerte à mes trois amants, qui défoncent ma chatte resserrée, l’inondant. Je connais trois orgasmes autorisés par Maître D. Je suis toute humide, excitée, offerte, cambrée, des pinces à seins en Y à mes mamelons et mon clitoris tendus à l’extrême par mes orgasmes qui m’envahissent, suçant celui qui me baise ou qui va me baiser, jusqu’à la dernière goutte.
- Elle mouille abondamment, prête à des orgasmes intenses de sa chatte en feu, dit Maître D qui me prend en premier, tandis que mes râles sont étouffés en suçant Maître O et le commandant, Maître E.
- Vous avez raison, cette chatte en feu, inondée par vous, Maître D, en redemande. Son corps est submergé par le plaisir. Sa chatte est aussi sensible que son œillet de chienne, dit Maître O.
- Je vais l’achever, ce long jet devrait avoir calmé ses désirs, dit Maître E. Elle a besoin de sa ration quotidienne dans sa chatte que dans son œillet en feu constant. Elle est bien excitée, son clitoris est très bien tendu. Ce gode resserre sa chatte telle une vierge du désir.
Il me cravache aussi les fesses, les cuisses, le devant, le dos et l’intérieur de chacune et les reins, pour avoir joui avec Maîtres O et S aux toilettes du restaurant. Je compte les coups, malgré le plaisir que j’en retire.
- Tu aimes la cravache, ma belle Shawn, tu vas déguster pour tes écarts, dit Maître D, devant les deux autres amants. Tu mouilles de désir.
Equine Vicieuse apaise mes marques, pour me préparer pour ma sortie nocturne. Je suis à nouveau douchée et maquillée, parfumée, toujours avec mon gode en place.
Maître D me rase les poils de ma chatte pour mettre encore en valeur mes anneaux dorés et mon clitoris percé, ma chatte lisse et luisante, mais laisse ma toison pubienne pour les amateurs.
- Tu seras plus désirable pour la soirée spéciale, ma chienne soumise, dit Maître D en caressant ma chatte lisse.
Je mange en compagnie de mes amants. Maître D me retire mon gode anal, pour ma soirée, où je dois m’offrir aux invités.
Vers 20 heures, Maître O revient avec ma Ferrari F40, en réalité celle de Sven, dont je suis officiellement la nouvelle propriétaire, au nom du Domaine. En tant que Maîtresse Sévices, j’ai besoin d’une voiture pour me rendre au Domaine pour mes nouveaux plaisirs.
Je suis vêtue d’un boléro sur mes seins nus, le tissu fait pointer davantage mes mamelons déjà bien tendus, excités, mis en valeur par ma guêpière seins nus et des cuissardes à talons de douze centimètres, cagoulée, laissant visible mes yeux et ma bouche, ma queue-de-cheval, pour passer incognito au Domaine.
La guêpière est tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. Elle est lacée aussi étroitement par Equine Vicieuse, qui en porte une aussi, que je dois lui lacer. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Ta taille sera affinée ainsi, depuis ton séjour au Domaine et tu peux la garder pour la nuit, dit Maître D, en me retirant mes carcans de cuir, pour mon nouveau statut.
J’ai touché 5.000 pour mes quinze jours de dressage en juin, pour mes diverses passes.
- Tu es sexy ce soir, dit Maître O. Ce soir, entrée par l’entrée à l’est du Domaine, l’entrée au nord est dédiée aux soumises novices comme toi le 21 juin. Tu t’en souviens.
- Oui, Maître O, m’avez-vous prise ce soir-là ?
- Tu le sauras en temps et en heure. Mais ce soir, tu seras la seule Maîtresse, enviée par les autres Maîtres. Tu suis à la lettre, les instructions. Je te bande les yeux pour ta première venue, ma belle Shawn ou plutôt Maîtresse Sévices à votre service.
Depuis ma rencontre, Maître D garde mon téléphone portable pour espionner mes messages et ne garder que ceux du Domaine. Je ne peux répondre à ceux-ci, soit par message soit par appel téléphonique comme Maîtresse Sévices ou Désir Anal selon l’auteur.
Nous prenons la route. Je suis assise à ses côtés, comme lors de sa sortie du 2 juillet, dans la même position. La guêpière permet facilement des caresses de ma chatte et mon clitoris.
- Tu aimes que je te caresse. Les Maîtres seront ravis d’avoir une superbe compagnie, dit Maître O. Tu mouilles encore et déjà, tu es impatiente.
- Maître, serais-je enculée, je vais sucer, on va défoncer ma chatte.
- Patience, mon chaton, tu verras, comment est traitée une si jolie Maîtresse.
Arrivée dans la cour, des Ferrari, des BMW coupé, des Porsche cabriolet et d’autres modèles de voitures sportives sont alignées en vis-à-vis. Maître O dépose la voiture, qui est stationnée par un valet. Il me tient la main. Je l’aime.
- Qui est-ce, cette superbe beauté ? dit une voix masculine, en caressant ma chatte lisse, cela m’excite.
- C’est l’invitée du Baron. Si vous le désirez, Messieurs, elle sera aussi votre chienne d’un soir, désir de Maître D, dont elle est la pute anale préférée.
Ma guêpière cache mes reins tatoués, mais mes bijoux intimes montrent mon statut de soumise.
Nous montons au premier étage, surplombant une vue sur le salon où j’ai été déflorée le 21 juin. Maître O me retire mon bandeau, je suis excitée. D’autres soumises nues sont livrées à d’autres hommes masqués et nus, bien montés. Il y a aussi des hommes nus, aux yeux bandés, aux testicules percés d’anneaux dorés, intégralement épilés, avec des carcans de cuir. Je garde mes yeux baissés depuis mon arrivée.
- Oui, mon chaton, des hommes sont dressés comme toi. Tu les enculeras, les griffera, tu les punira en les offrant à des amants canins.
- J’accepte, Maître, de faire tous les sévices sur ses hommes.
Sans savoir, que Sven fait partie des soumis. Je ne peux le reconnaître, quand je descends au salon. Les orgasmes bâillonnés et les soumises gémissent enculée, me font davantage mouillée. Les caresses de ma chatte et de mes seins nus, par le retrait de mon boléro, en sont la cause.
- Maîtresse Sévices, quel plaisir de votre présence, dit le Baron. Voici votre soumis pour le dressage, Lopette S, tu en fais ce qu’il bon te semble. Il est pour toi, pour la soirée. Tu auras un gode ceinture avec un double gode interne pour ton plaisir, une cravache, une garcette voire la chicotte, s’il n’est pas coopératif avec tes désirs de soumission. Tu te donnes au maximum. Il me fait le baise-main et lèche mon clitoris pour la bienvenue. Je suis au bord de l’orgasme par ces caresses excitantes par les invités et les Maîtres que je croise, qui me désirent.
- Bien, Maître, je vais dresser ce superbe soumis.
Il tente de parler, bâillonné.
- Il paraît qu’il souhaite fouetter une Shawn, tout en étant non membre. Cela lui est formellement interdit, ma belle.
- Oui, je suis une Maîtresse et ni sa pute à cette Lopette. Je suis celle de Maître D.
Le dressage commence devant un parterre de Maîtres et leurs soumises.
Je gode l’anus étroit, tout en prenant un double orgasme, par ces godes dotés de va-et-vient, avec leurs prépuces, qui me pilonnent à chaque coup de rein donné pour l’enculer.
En sueur, je griffe les testicules de la lopette, mord son gland et le cravache sur les fesses, tout en le godant. Il est très étroit.
Au bout d’une demi-heure, après quelques orgasmes, je le fais saillir, prosternée, par un des dobermans. Il gémit et je le fais sucer simultanément un autre doberman, qui l’encule ensuite au bout d’un long moment. Je me caresse, en jouant avec mes godes partiellement en moi, excitant les hommes présents.
Une fois sailli, je le fouette à la garcette, pour s’être donné en spectacle. La lopette quitte les lieux vers le chenil.
Quand à moi, mon anus est rempli par un puis par dix étalons qui se sont masturbés en me regardant, filmée constamment par les discrètes caméras du salon puis à la piscine intérieure, par d’autres étalons, dans diverses positions jouissives. Maître O m’excite par ses caresses sur ma chatte qu’il doigte et mon clitoris douloureux sous ses doigts délicats. Il sait que je suis très sensible. Mes orgasmes anaux sont souvent suivis de longues éjaculations, je suce ses étalons masqués offerts, telle une soumise, offrant une vue sur ma chatte lisse. Mes seins ne sont pas épargnés par les caresses, l’étirement de mes mamelons, telle une soumise.
Vers 23 heures, je peux me reposer, un gros bijou d‘anus me remplit, pour ne pas perdre le précieux de mes étalons, dans un salon discret, entourée de glaces sans tain, offrant mon corps à une bonne douche en solitaire, exhibant mes reins tatoués.
Le Baron m’invite à venir au chenil voir mon soumis Lopette. J’ai remis ma tenue de Maîtresse S.
Là, devant une dizaine de chiens, des bergers allemands, des dobermans, des malinois, des colleys, des dogues allemands, Lopette S présente ses fesses pour se faire saillir, ayant recouvré la vue et gémissant sous la saillie anale qu’il subit. Je mouille en pensant être à sa place.
Le Baron m’encule debout, un peu penchée en avant, me tenant par les hanches douloureuses, caressant de temps à autre mes seins, ma chatte et mon clitoris offert dans un violent orgasme et un long jet de sperme.
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