Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 19 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. J’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est épilée, portant des anneaux à mes grandes lèvres de ma chatte, je garde ma toison pubienne velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85C de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
Mes grandes lèvres de ma chatte sont ferrées au nom du Marquis Héraut, mon gros clitoris est percé d’un anneau doré serti d’une pierre précieuse. Mais aussi mes reins sont tatoués A votre dévouée chienne Svetlana, je porte sur mes fesses les marques au fer rouge S sur ma fesse gauche et V sur ma fesse droite, lors de mes viols par le Docteur Sexe O Roy Mac.
INITIATION ANGLAISE 5e PARTIE
10 septembre
Vers 9 heures, vêtue de mon tailleur avec jupe éventail saumon, fardée et parfumée, chaussée d’escarpins blancs de talons de dix centimètres, les cheveux libres, je suis conduite avec Olivier, par Aimée à la mairie du village.
Là, Aimée qui assure la fonction des mariages, en compagnie du maire et de son adjointe, nous font signer des papiers relatifs à l’union civile, et d’autres documents du décès de Marquis, dont je ne dois connaître le contenu à la demande express d’Olivier.
- Ma Svetlana, dans la journée, dans la journée, deux vases vont être livrés. Pendant en soin, c’est un cadeau d’avant notre union civile.
- Mon Olivier, j’en prendrais soin, tout comme toi, mon futur enfant, mon Jean Edouard, ma Corinne et ma Justine.
- Au fait, tu n’oublies pas parmi tes invités, ton vrai père, celui qui t’a conçue.
- Mon Olivier, mon vrai père a disparu peu après mes 4 ans, lors de ma remise à l’adoption à la famille Hauts Vallons, qui m’a considérée comme leur fille.
Nous retournons au Domaine.
Entre-temps, Corinne, qui est rentré avec l’Ecureuil qui lui est réservé, est intrigué par la présence d’un bel athlète de 60 ans, au chenil, où se trouvent Adam et sa femelle Shawn, enceinte.
Corinne est intriguée par le comportement gentil d’Adam devant cet inconnu.
- Vous êtes certainement Corinne, l’amie d’Olivier, le futur conjoint de ma fille Pénélope. Je suis son père, le Baron Beau Rivage Châtel, ancien époux de Justine Baronne Beau Rivage Châtel. J’ai les documents qui le prouve.
- Répétez un peu, monsieur. Je suis surprise, car Pénélope, connue sous Svetlana pense depuis des années que son père, épouse de sa mère Justine, dont elle a pris le lien de parenté, est porté disparu.
- Ma Pénélope se trompe. Adam est le fils d’Arès, un superbe berger allemand qui a vécu à Fuerteventura et a connu un sauvetage d’un noyé, prénommé Olivier Beau Rivage Castel, une des branches familiales. Par mesure de sécurité, Beau Rivage Châtel est modifié en Bel Roc Castel, j’en ai assuré la transformation par mes soins. Pénélope est un Beau Rivage Châtel en réalité.
- Vous semblez très bien informé. Je ne doute pas de votre sincérité. Pénélope va tomber des nues, si vous venez à son union civile.
- N’en doutez pas, chère Corinne, j’ai connu son feu mari Héraut et le Commandant des missions confidentielles visant des réseaux de prostitution de luxe à Fuerteventura et à Mykonos entre autre. Pénélope a été la hauteur de l’arrestation du Yannis, Sven m’en a parlé. Pénélope a ébloui la galerie. Pénélope n’a jamais connu la teneur des opérations.
- Vous voulez dire que Pénélope aurait pu être prostituée si Yannis avait réussi son opération.
- C’était une option à courir, perdre ma fille. Yannis l’aurait regretter. Il a tenté de la violer, cela ne se passe pas avec moi. Arès est très joueur avec Pénélope. Questionnez-la sur Arès, des photos de Fuerteventura dont je vais lui envoyer un livre de photos souvenirs de sa première année à ses 20 ans, elle sera très surprise, mais pas un mot sur notre entrevue, ni ma présence à l’union civile. Je dois vous quitter, on se revoit ma chère Corinne, le 15. Je me prénomme Jacques Désiré.
Corinne n’en reviens pas. Elle garde le secret. Un père qui revient pour l’union civile de sa fille va provoquer un choc émotif à la belle Svetlana.
Au repas de midi, pris avec Corinne et Olivier, je reste sous le charme des dessins lesbiens sur un des vases et un autre avec des dessins d’Adonis en couple.
- Ma Svetlana, tu es bien silencieuse, tu ne cesse de regarder ses deux vases, dit Olivier.
- Je pourrais me relancer dans la peinture pour me relaxer.
- Oui, tu es peintre. Les tableaux exposés, certains sont de moi, sous le pseudo Delta Hermine Coquine, dit Corinne.
- C’est toi, le fameux tableau, de l’homme cheval et la belle inconnue. Tu es très inspirée, dit Olivier.
- Ce sont mes fantasmes érotiques que je traduis. J’ai des autres thèmes sur mes tableaux.
- Cela explique le tableau, dit Corinne. Ton homme cheval est Arès et la scène se déroule sur une plage de Fuerteventura, en plein été.
- Arès, c’est un superbe berger allemand, ce coquin, qui m’a jouir, en léchant mon clitoris sous mon slip de bain. J’ai du masturbé la nuit de ses venues. Arès est un séducteur. Il ressemble un peu à mon Adam.
- Cela s’est passé où et quand, questionne Olivier. C’est une information que je ne connais pas, de ma Svetlana.
- C’était à Fuerteventura, peu après ma rupture avec Yannis. Cet Arès est venu me réconforter et j’aurai pu me faire monter par Arès. J’étais chaude, mais trop jeune pour ce plaisir.
- Déjà, tu pensais à l’amour zoophile, dit Corinne.
- C’est pour cela, Adam vient te monter de temps à autre, quand tu es toute seule dans ta chambre, ajoute Olivier.
A la fin du repas, Adam vient faire un tour, demande son câlin à Svetlana.
Je soulève ma jupe et offre mon clitoris à la langue de mon Adam, commence à jouir devant Olivier et Corinne. Un orgasme fulgurant me submerge, lorsque la langue fouille ma chatte humide.
Vers 13 heures, remise de mon orgasme, je prends le Dauphin pour aller au Haras pour les affaires courantes.
Corinne dit discrètement à Olivier :
- Cette coquine avec Arès et Adam, nous réserve bien des surprises, surtout avec Jacques Désiré.
- Comment tu es au courant de cette identité, ma Corinne ?
- Disons par un concours de circonstance, ce Jacques Désiré a rendu visite à Adam, qui n’a plus que trois ou quatre ans, sa femelle Shawn assurera la descendance de nombreux Arès et Adam.
- Tu aurais me prévenir de sa venue. Je suis un de ses amis intimes.
- Tu connais Jacques Désiré, mon Olivier. Tu es mystérieux sur ton passé.
- Devoir de réserve, certaines informations sur ma vie sont classifiées, même ma Svetlana ne peut y accéder. Disons Jacques Désiré a été mon instructeur et aussi que Héraut m’a discrètement présentée à ma Svetlana lors de son mariage, sans que Svetlana puisse connaître ma vraie identité. A cette époque, j’étais connu sous Major Honoré. Elle ne pourra pas le lien entre Honoré, mon nom de code et Olivier. Je n’avais pas la barbe et j’étais en uniforme.
- Tu devais être élégant.
- Surtout, le fait de revoir l’objet de ma noyade, cela m’a troublé. Je n’ai pas eu l’occasion pendant le repas de parler à Pénélope. Madame est trop occupée à son Héraut et à son futur enfant, coïncidence comme aujourd’hui.
- La possessive, un homme rien pour elle, maintenant c’est à ton tour. Tu vas lui parler d’Honoré, mon cher Olivier.
- Elle va le découvrir tôt ou tard, selon divers indices. Elle est très curieuse de nature.
- Je vais surveiller ma belle Svetlana depuis le Domaine. Sa sécurité physique et celle de son bureau sont à toutes épreuves, comme le tien, ma chère Corinne.
Olivier fait un gros baiser langoureux à Corinne.
Vers 17 heures, un des Ecureuil démarre ses moteurs au Domaine.
- Corinne, il faut aller immédiatement au Haras, ma Svetlana a trouvé un nouvel intrus.
- Elle collectionne, la belle.
Arrivés au Haras, j’exhibe les couteaux, le pistolet, les produits pour empoisonner et un séduisant Adonis, agenouillé devant moi, tenu par les épaules.
- Mon chéri, regarde ce pervers. Il tenait à tuer mes amours Alizé, Sultan et Zéphyr, pour me faire perdre les courses nocturnes du 15. Tu vas me le payer, pervers.
- Ma Svetlana, vas le corriger, Maîtresse, dit Olivier.
Soudain, je décoche un coup de pied dans la figure du pervers.
Il tombe dans les pommes. Je m’approche du pervers, à moitié évanoui, elle enserre les testicules et les griffe pendant quelques instants. Je me retire, tout souriante, sérieuse, fière de moi.
- On m’a surnommé la briseuse de testicules par mes soumis qui me déshonorent.
Je suis applaudie, Olivier me fait des baisers attentionnés. Les gendarmes embarquent l’intrus, membre éminent du conseil d’administration du Haras, qui est aussitôt expulsé de la région, une fois en garde à vue et mise en examen.
La sécurité des écuries du Haras est renforcée. Olivier fait le nécessaire, avec le discret soutien de Jacques Désiré.
15 septembre
Les courses nocturnes sont confirmées par courrier et divers moyens de communication du comité de l’hippodrome.
La robe de l’union civile choisie est une robe estivale, blanche, au décolleté en trapèze sur ses seins nus recouvert de dentelle transparente, un discret cœur sur ses fesses nues, des fentes sur les côtés, la jupe s’arrête à mi-cuisse, couvrant à peine les fers. Je suis coiffée d’un chignon, fardée et parfumée, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètres. Corinne supervise ma tenue, Olivier n’est pas présent, mais je sais qu’il est au Domaine.
Les invités arrivent en hélicoptère de la société O Dauphin pour l’union civile dans la matinée, plus le repas.
Parmi les invités, se trouve un invité de dernier minute, le Baron Jacques Désiré Beau Rivage Châtel, le père officiel de Pénélope, car il a fécondé Justine.
Vers 10 heures, devant les invités, mon union civile avec Olivier est célébrée. Tout le monde me complimente pour les rondeurs de mon ventre, certains membres de la gent masculine n’osent m’approcher, d’après les échos sur l’hippodrome et le Haras. Je les comprend.
Je reçois comme cadeau, un livret photo qui me provoque quelques émotions, que je découvre en compagnie de la gent féminine. Je les commente comme au premier jour. Corinne est surprise de mes sourires, mes rires, mes courts pleurs. Je ne connais nullement l’auteur de ce livret photo.
Le Baron Jacques Désiré entre discrètement, avec Adam, en uniforme de colonel de la gendarmerie mobile. Le colonel Charles Alexandre le remarque et le fait discrètement asseoir à la table de Justine et de James. Adam reste en retrait.
Je ne le remarque même pas sa présence, même avec l’insistance de Corinne et d’Olivier.
Le déjeuner se passe sans aucun problème. Je conserve mon regard sur mon Olivier, qui caresse mon ventre.
Après le dessert, tout simple, les groupes se forment, dont un avec Justine, le père et la mère de Hauts Vallons, mes parents qui m’ont adopté. Je reste avec Olivier, Corinne et d’autres amis, dont Miss V.
Vers 15 heures, je me change dans la suite nuptiale, abandonnant ma robe, prenant un bon bain relaxant, un massage pour me détendre un peu par Iris, pour un tailleur strict fuchsia sur mes seins nus sans chemisier, une jupe largement fendue, fardée, parfumée, coiffée d’une queue-de-cheval, chaussée de mules blanches à talons de douze centimètres.
Mes mules claquent sur les escaliers en marbre, attirant tous les regards, même celui de Jacques Désiré.
- Ma fille Pénélope, qu’elle est très en beauté, pour son âge, annonce Jacques Désiré au colonel, Justine et James.
- Tu as vu grandir notre fille, Jacques, dit Justine.
- Oui, désolé, de ne pas avoir participé à ses anniversaires, mais elle a droit à son cadeau tous les ans, sauf l’année dernière où je n’ai pas plus l’offrir, à cause d’un certain Alban, qui l’a dressée.
Justine remarque sa table, un cadeau et elle l’ouvre, c’est un superbe nounours en peluche, similaire à celui que Jacques a remis à sa fille peu après sa naissance de prématuré. Il porte l’étiquette Svetlana JD.
- C’est curieux, Pénélope a gardé le sien, je pense. A moins ce soit le cadeau de son futur bébé, dit Justine.
Je rends à la table.
- Tiens, un joli nounours en peluche. Il ressemble à celui qu’ai dans ma suite nuptiale, que j’ai conservé. Il n’est pas unique, Justine.
Corinne me suit.
- Svetlana, il y a encore quatre nounours similaires emballés qui attendent leurs destinataires, c’est-à-dire tes futurs bébés, si tu souhaites une famille nombreuse, en plus de ton Jean Edouard.
- C’est très touchant de ta part, ma Corinne et aussi ma Justine. Qui se trouve à côté de Charles Alexandre, ma Justine ?
- Tu ne le reconnais pas. Il t’a reconnu du premier coup d’œil. Il connaît tes marques de soumise, ton parcours depuis ton arrivée chez Alban et aussi ta réconciliation avec son ami Major Honoré, annonce Justine.
- Major Honoré, mais cela remonte à mon mariage avec Héraut. Ce major ne cessait de me regarder, j’aurai pu le gifler, mais cela ne me plaisait pas du tout. C’est Héraut mon principal soutien à cette époque.
- Major Honoré, Olivier de Fuerteventura, Olivier, mon ami, ton conjoint actuel, ton père qui est présent ici.
- Ma Corinne, tu es insensée. Mon père a disparu, ce serait un miracle qu’il soit encore vivant.
Justine est prête à me gifler.
- Pénélope, annonce Charles Alexandre, un peu de respect pour votre père, l’opération Yannis a été achevé par vos soins et finalise les travaux de votre père.
- J’ai fait arrêter Yannis, et c’est l’aboutissement des travaux de mon père, je suis toute surprise.
- Oui, ma chère Pénélope, Emmanuelle Eléonore Svetlana Beau Rivage, annonce Jacques Désiré, je suis tout heureux de te revoir, depuis ces longues années. Tu es heureuse avec mes amis Olivier, Sven, Nathan. Héraut et le Commandant te souhaitent tous tes vœux de bonheur, avec ton futur héritier. J’ai été surpris de tes réactions en regardant le livret des photos que je t’ai offert. Si Yannis t’avait enlevée, j’aurai mis tous les moyens nécessaires pour te libérer, malgré l’incident de Fuerteventura.
Je suis embarrassée, pensive, silencieuse. Olivier s’approche de moi, m’enlace et m’annonce :
- Eh oui, ma Svetlana, je suis aussi connu sous le nom de Major Honoré. Tu ne sais pas de tout, désolé, devoir de réserve. Mes respects, mon colonel, je prends soin de votre fille depuis mon arrivée le 16 août et bien avant, ayant eu des instructions de la plus haute teneur sur votre fille.
- Capitaine Honoré, c’est votre nouveau grade. Je serais prochainement nommé général de brigade, grâce à mes états de service, l’assistance de ma fille sur la vaste opération de démantèlement par EUROPOL et INTERPOL du réseau Yannis de prostitution de jeunes filles mineures. Quant à Pénélope, tu me dois le respect et surtout je te souhaite tes vœux de bonheur avec ton Olivier.
- Père, je me suis déjà excusée pour mon comportement à Fuerteventura devant Olivier, qui m’a en partie révélé quelques informations que je n’ai pas crue, car je suis encore naïve. Si tu le désires, je peux discuter avec toi, mon père, seul à seul, dans la suite nuptiale. Tu décides de l’heure. J’aime les hommes experts en amour. Je suis fraîchement marié à mon Olivier, qui me protège. Si vous voulez me prendre, je suis toute à vous.
Vers 17 heures, Jacques me prend la main et m’éloigne des invités, me susurrant :
- Cela me plairait de te défoncer ton œillet bien élargi.
- Oui, viens me prendre dans la suite nuptiale, je suis toute chaude.
Je le prends par la main, prête à tout pour mon vrai père.
Au troisième étage, je me déshabille et m’offre à quatre pattes, devant lui.
Il exhibe un mandrin de quarante par sept, que je suce.
Il m’encule.
Olivier visionne la scène en direct depuis le poste de commande dont j’ignore l’existence. Corinne est à ses côtés.
- Quel œillet, tu t’es fait défoncer à plusieurs reprises, ma chère Pénélope.
- Oui, depuis mon arrivée chez Alban, je suis devenue sa soumise et il m’a défloré la chatte et mon œillet. Je ne regrette pas cette expérience.
- Tu es chaude. Cela fait longtemps que je n’ai pas honoré une jolie femme.
- Père, je vais m’empaler sur ta queue.
- Tu es récemment tombé enceinte. Qui est l’heureux élu, ma sublime fille ?
- C’est Olivier. Je l’aime tout autant qu’il m’excite. Caresse mon gros clitoris percé.
- Ces bijoux intimes te vont à merveille, « ma dévouée chienne Svetlana ». Tiens, un de tes prénoms que j’ai choisi. Tu me serres la queue, tu es plein orgasme.
- Caresse-moi encore, enfonce tes doigts dan ma chatte trempée.
- Je vais jouir.
- Inonde mon puits, je suis ta chienne, père.
Jacques Désiré se retire après mon orgasme anal et éjacule sur mes fesses et mes reins, après quelques claques magistrales sur mes fesses.
Je le suce et je le nettoie. Mais il est prêt à m’enculer à nouveau.
Pendant une bonne demi-heure, nous enchaînons sodomie et 69 torride.
Je suis aux anges, l’endurance de mon père me surprend.
Il éjacule une ultime fois sur mes fesses et va se laver. Je reste allongée sur le ventre, sans essuyer mes fesses et mes reins de ce sperme tant désiré.
Jacques s’éclipse, rhabillé, sans que je sache que Corinne a préparé une diversion.
Olivier entre nu dans la suite nuptiale.
- Olivier, j’ai pris du plaisir avec mon père. Tu vas me punir.
- Non, ma chérie, je vais te prendre aussi de suite.
Il bande déjà bien.
Je me prosterne au départ, pour la première sodomie, puis à quatre pattes et enfin, je m’empale enculée sur lui, de face, avec chaque fois de courtes éjaculations. Il me réserve sa dernière pour ma bouche, avant un long baiser. Je suis comblée.
Il se repose, je me baigne, pour retirer le sperme de mes fesses et de mes reins, aidée par Iris.
Je redescends, rhabillée. Mes mules claquent sur le marbre de l’escalier. Je suis seule. Corinne m’attends, Justine aussi.
- Ma chérie, tu t’es fait jouir avec deux étalons. Je te félicite. Je suis au courant pour Jacques. Tu es libre, ma fille de jouir avec qui tu veux. Corinne m’a racontée, annonce Justine.
Je découpe la pièce montée. Olivier va me rejoindre ensuite.
Justine, le colonel et le Baron sont en discussion. Je vais me faire sermonner par le colonel. Mais aucune réaction, comme si cela était normal.
Vers 19 heures, je m’éclipse deux heures pour les courses nocturnes qui sont un succès. Je gagne mon pari sur Alizé et Sultan, qui finissent sur le même chrono. Je touche le jackpot et en reverse une part au comité. Jacques Désiré assiste à mon succès.
Vers 23 heures, de retour avec la Rolls-Royce, sous bonne escorte, lors du coucher, j’invite Justine, le colonel, le Baron et James dans une chambre à quatre au Domaine, pour la réconciliation.
Je pense la nuit enculée par mon Adam. Olivier est fier de moi.
16 septembre
Vers 7 heures, matinale, je me lève. Adam a rejoint sa belle Shawn.
Olivier me prend immédiatement, son mandrin en érection, allongée sur le dos, cuisses écartées grandes ouvertes, tenue par les chevilles.
- Je vais t’enculer, tu es très excitée, ma sublime chérie.
- Prends-moi, je suis toute à moi. Excuse-moi pour hier soir.
- La chienne n’a pas a s’excusée. Tu prends ton plaisir avec qui tu veux.
- Je voulais dire…
Un orgasme anal me terrasse.
- Avec Jacques…
- Tu es libre de choisir ton amant, je vais t’inonder de mon sperme, ma belle pouliche.
Il éjacule en moi
Je recueille ses dernières gouttes dans ma main et je les lèche. Nous prenons un bain en commun, les épaules massées par Iris.
Habillée d’un tailleur avec jupe éventail saumon, en escarpins blancs à talons de dix centimètres, les cheveux libres, sans maquillage, je retrouve mes invités pour le petit déjeuner.
Le Baron vient me voir :
- Pénélope, tu es libre de faire l’amour avec qui tu veux. Tu es mariée avec un homme qui te protège. Tu es ma fille, je suis libre de la faire jouir. Justine est d’accord pour que je te revois à nouveau. Le colonel va prendre ma déposition sur ma disparition et mon retour. Surtout, prends soin de ton futur enfant et de ton premier enfant, si tu as besoin, j’assurerai son avenir financier, même si tu es une femme influente.
- Père, merci pour hier soir, j’ai pris autant de plaisir. Pour Yannis et Docteur Sexe, j’ai simulé, je n’ai pris aucun plaisir avec eux. Je suis aussi une actrice pour simuler. Je te dirais pour la date de mon accouchement, honorée par mon chéri Olivier.
- Je le savais. Tes orgasmes ne sont pas aussi bruyants que ceux d’hier soir.
Il m’embrasse sur la bouche, comme s’il était mon amant.
Les hélicoptères d’Olivier ramènent les invités vers des sites pour le voyage retour.
Vers 17 heures, je me rends avec Olivier, voir mon gynécologue Sir Dan de Sade, pour ma visite pour ma grossesse. J’ai gardé mon tailleur, fardée et parfumée. Je suis un peu nerveuse, malgré la seconde visite. Je mouille d’excitation. Nous prenons l’Ecureuil. Olivier m’indique :
- Un NH-90 médicalisé est à ta disposition, le jour de ton accouchement, ma chérie Svetlana.
- C’est trop touchant de ta part. Tu penses à tout, Capitaine Honoré.
Corinne nous attends.
- Svetlana, tu es ponctuelle, c’est grâce à Olivier. Tu as fait décoller Jacques hier soir, ma coquine.
- Tu es au courant toi aussi. Olivier m’en a parlé aussi.
- Ma chérie, le Domaine a ses secrets que seul le Commandant connaît et dont tu ne connais pas l’existence, annonce Olivier.
- Je connais des codes secrets des salles du Domaine. Je connais donc l’accès à ce lieu.
- Désolé, ce code est confidentiel et le Commandant le détient sur lui, dit Olivier. Tu fais ta curieuse. Viens, on est attendu.
Dans le cabinet gynécologique, Olivier me fait entrer. Il y a Sir Dan et un bel homme, de 50 ans, qui m’est inconnu. L’examen sera d’autant plus excitant.
Je me déshabille rapidement et m’allonge cuisses écartées, prête à mon examen.
L’homme âgé s’approche entre mes cuisses.
- Ferrée par Maître H, un ami. Tu es Pénélope, Shawn, Svetlana, la conjointe de Olivier, ici présent. Je suis Marquis Donatien de Castel, le frère cadet de Héraut. Tu es très excitante. Je sais qu’il ne faut pas honorer ta superbe chatte aux lèvres ouvertes au désir, telle une fleur. J’aime ce superbe clitoris percé.
Je me sens un peu gênée et timide.
- Elle fait sa timide, mais votre queue dans son œillet va la faire décoller, n’est-ce pas ma chérie ?
- Oui, Olivier, Donatien, je suis toute à vous, enculez-moi s’il vous plait.
- Patience, dit Sir Dan, voyons d’abord, cette chatte très active, même non honorée.
Il me fait une échographie en direct, d’abord sur mon ventre et dans ma chatte.
- Le processus est bien enclenché. Elle est bien enceinte. D’ici mai de l’année prochaine, elle sort prête pour accoucher. Son œillet est régulièrement honoré, je vois cela.
Je jouis lors de l’examen de l’écarteur anal.
Donatien exhibe son mandrin de trente-six par sept, que je suce, pendant l’examen.
- Prends-moi s’il te plait, je suis chaude, Marquis. Je me remémore mes premières sodomies par Héraut.
Donatien m’encule jusqu’aux testicules, je suis bien écartelée. Il caresse aussi mon clitoris, doigte avec dextérité ma chatte trempée.
- Elle a un clitoris très tendu, sa chatte ruisselle bien, une authentique soumise anale.
- Pine-moi, défonce-moi, je veux ton sperme dans mon puits de pute.
- Modération, ma chérie.
- Je veux son sperme. J’ai trop envie…
Un orgasme anal m’envahit.
Donatien s’exécute, en se synchronisant sur mon orgasme.
Libéré, il frotte son mandrin encore un peu dur, sur mes lèvres ferrées de ma chatte, déclenchant une nouvelle jouissance. Je suis pantelante, mais je réclame, par l’endurance du Marquis :
- Mon chéri, Sir Dan, enculez-moi aussi.
J’enchaîne deux nouveaux orgasmes anaux plus violents que le premier.
Ils éjaculent en moi et accroupie, cuisses écartées, je nettoie mes trois hommes, en sueur, comblée, satisfaite, heureuse. J’ai en les larmes aux yeux, de joie.
- Tu pleures ma chérie.
- Je suis heureuse de vous trois, mes amours.
- Quand tu veux, Pénélope, je peux te reprendre ici, ou au Domaine, c’est toi qui choisis, annonce Donatien, surpris du plaisir sexuel de sa Pénélope.
Je me repose, sur le fauteuil gynécologique. Olivier m’essuie mon anus qui dégouline, puis Sir Dan me fait un lavement anal, je me soulage assise, cuisses écartées sur la cuvette, devant mon trio, me masturbant le clitoris, pour une ultime jouissance. Corinne a tout vu, voyeuse par un jeu de caméras reliées à son téléphone portable. Je me douche et je quitte le cabinet, après le baise-main par Donatien et Sir Dan.
- Quel spectacle, ma Svetlana, annonce Corinne. On t’attendais jouir jusqu’au bout du couloir. Tu es mode jouissance extrême, dès que l’on te caresse ou t’encule, tu exploses.
- J’ai repris confiance en moi, sexuellement grâce à toi, ma Corinne.
- Disons, plutôt que les sodomies de ton Adam et celles d’Olivier, qui te font monter au septième ciel, réplique Corinne.
J’embrasse langoureusement mon Olivier.
Nous rentrons au Domaine.
Je me repose.
Vers 21 heures, je suis déjà couchée. Olivier ne me fera pas jouir, car il sait que je réserve pour le lendemain.
J’ai le lendemain mon vernissage de mes tableaux au Domaine.
Je me confierai à mes amis. J’ai fait aménagé une des pièces spéciales avec le fauteuil gynécologique, des miroirs. Je l’offrirai au gagnant de mon loto. Olivier a assuré le transfert, avec son accord de sécurité des invités. Je l’ai mis dans la confiance depuis le 10 septembre.
17 septembre
Vers 10 heures, j’émerge, toute reposée. Je déjeune léger, me baigne, passe la matinée et une partie de l’après-midi, à peaufiner l’inauguration du vernissage, avec Jean Alexandre Directeur adjoint de la collection du conservatoire du Domaine.
Je suis vêtue d’une robe longue fuchsia couvrant bien mes fers, avec mes sandales blanches à talons de douze centimètres, sans maquillage, parfumée, les cheveux libres. Je ne reçois personne jusqu’à ce soir. Je me maquillerais ce soir.
Je visite chaque pièce, vérifie chaque tableau du rez-de-chaussée jusqu’au second étage, avec un ou plusieurs tableaux selon mes goûts de peintres dont je connais leurs travaux, plus les miens aussi insérés.
Il y a pour environ 200 millions hors assurance d’exposer. Mes invités seront comblés.
Je vérifie aussi les collations, les plats du traiteur que je goûte au déjeuner, avec Olivier, Corinne, Justine et Jacques Désiré, qui me donne son impression.
Jacques ne regrette nullement :
- Ma fille Pénélope, je ne regrette pas ce que tu as fait lors de ton union civile. Tu es belle dans le désir.
- Père, je suis heureuse pour cet acte. Si tu es heureux, je le suis aussi.
Vers 17 heures, je dois me préparer. Olivier m’a trouvé une tenue : une robe à corselet montant jusque sous les seins nus avec une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, et portée avec un boléro fermé au cou, de couleur blanc, avec des mules dorées à talons de dix centimètres, coiffée d’un chignon. Je me farde, Corinne me vernit mes ongles des mains et des pieds. Je suis resplendissante.
- Si on te traite de pute, avec cette robe, que vas répondre ma Svetlana, annonce Olivier, en me découvrant habillée ?
- L’auteur aura droit à une sévère correction. Je ne suis pas une pute, mais la femme d’un époux que je respecte, à qui je me soumets.
- J’ai hâte de voir la réaction des invités. Tu vas faire chavirer des cœurs.
- Seul ton avis compte, ainsi que ceux de Corinne et de Justine et de mon père Jacques. N’oubliez pas, ce soir, loto gagnant avec du plaisir sur le fauteuil gynécologique, mon Olivier tu es y convié. Tu peux venir avant, pendant ou après. Sir Dan de Sade va venir et il sera le premier à me prendre. Je suis sa fidèle patiente. Personne ne pénétrera ma chatte que je tiens à préserver.
Vers 18 heures, les premiers Ecureuils et Dauphin atterrissent, faisant des rotations vers les lieux de chargement.
Environ 70 invités triés sont conviés, tous issus du monde de l’art, des mécènes et des propriétaires de galerie d’art.
Les vigiles assurent les contrôles. Corinne et Justine sont présents, en plus de mes valets et soubrettes. Je reste au troisième étage, à observer les couples élégamment vêtus qui se rafraîchissent. Adam est à mes côtés. Olivier a mis un dispositif évitant toute photo et vidéo du vernissage, sauf Sven est autorisé, par une procédure spéciale.
Vers 19 heures, une fois l’ensemble des invités disséminé sur le rez-de-chaussée et les deux étages réservées. Un accès au troisième étage est très strict, avec une liste de personnes accréditées, c’est à dire Olivier, Corinne, Justine, Iris et Sir Dan de Sade, avec une possibilité pour Donatien.
Je rends visite aux invités au second étage, tenant la main d’Olivier, en homme d’affaires, Adam à mes côtés.
Là, un couple me toise et le mari me lance :
- C’est qui cette traînée, sa tenue est une honte, ma chérie. Son mec n’est pas à la hauteur du couple.
Je lui décoche une violente gifle. Olivier compose un code et deux vigiles viennent expulser le couple.
D’autres invités sont figés.
- Je vous avise que toute phrase déplacée à mon encontre et c’est l’exclusion immédiate du vernissage. Je me suis bien fait comprise, messieurs, mesdames.
La visite et nous allons au premier étage. Soudain, je sens une main sur mes fesses qui sont bien caressées. Je donne un coup de jambes par l’arrière, visant les testicules. L’auteur se retrouve agenouillé, à moitié évanoui.
Je me retourne :
- Ca va, tu caresses mes fesses. Tu ne te gênes pas, mais tu vires immédiatement avec ta chérie. Dehors, interdiction de revenir.
Deux vigiles les expulsent sur le champ. Je sens une main sous mon boléro, ce n’est pas mon Olivier. Je libère discrètement la main de mon Olivier. Je décoche un violent coup de coude dans le ventre de l’auteur.
Olivier le recadre devant moi, Adam s’installe devant les testicules de l’auteur.
Tous les invités de l’étage s’éloignent et entourent la scène.
Je soulève le menton de l’auteur en le tenant bien :
- Bon, toi, tu me pelotes les seins. Ceci n’est réservé qu’à mon chéri. Pas touche, tu as touché, donc tu vires de ma vision. Si tu as une chérie, tu descends au rez-de-chaussée, tu vas t’expliquer avec mes amis.
Le couple descends illico presto, sans un mot.
- Il y a quelqu’un qui serait intéressé pour me caresser. Désolé, il faudra attendre le résultat du loto, où j’ai une surprise pour le gagnant.
Vers 20 heures, au rez-de-chaussée, un des invités, âgé de 55 ans, athlétique, va voir les vigiles et leur annonce :
- Je vais m’éclipser. Vous direz à Marquise Svetlana, je préfère visiter la galerie d’art avec plus d’intimité. Svetlana est très spéciale.
- Oui, les hommes la chauffent. Elle réplique. Nous avons en plus des invités qu’elle vient d’expulser, un autre exclu de la région pour le même motif et un autre emprisonné. Les avocats de la Marquise sont difficiles pour le respect de lois, dit un des vigiles. Elle est la fille d’un général de gendarmerie et l’épouse d’un capitaine des forces spéciales. Vous voyez la protection.
- Je vois. Il ne faut la provoquer. Je reviens demain. Voici ma carte de visite, Baron Désiré de Mille Plaisirs de Val Eros, je suis un mécène qui pourrait une offre intéressante sur les tableaux d’une certaine Hermine, dont j’ignore la vraie identité à ce jour.
Le Baron repart en Rolls-Royce.
Discrètement, au rez-de-chaussée, je demande de cesser de servir certaines boissons. L’ordre est passé. Baron Sacha de Hauts Castel vient nous voir :
- Excusez-moi, Marquise Svetlana, un de nos invités a quitté brusquement le vernissage. La situation l’embarrassée. Il vous a laissé sa carte de visite.
- Il aurait du rester. J’aurai discuté avec lui et mon Olivier. Si souhaite me voir demain, je serais à sa disposition. Les accès au sous-sol sont verrouillés. Sir Dan a mis en place le gain du loto.
- Marquise, tout est sécurisé. Quand vous voulez, l’accès au sous-sol vous est ouvert.
- Quel est la suite des événements, ma Svetlana, tu es chaude, pour les coups, demande Corinne ?
- On organise immédiatement le loto. Les perdants quitteront eux-même le Domaine. Tu avises la sécurité.
- C’est en cours, les vigiles ont les instructions. A toi l’honneur du tirage du loto.
Sur un podium, un dispositif de loto est en place, avec Justine aux commandes.
- Mesdames et messieurs, je vous invite au rez-de-chaussée pour le tirage du loto avec une surprise à la clé. Vous avez en main une grille avec votre invitation. On annonce les numéros, les cinq numéros cochés sur la grille, vous venez directement auprès du podium. Les perdants remettront leurs grilles à d’autres hôtesses et pourront s’ils le désirent partir ou rester mais leur temps sera limité.
Tout le monde est figé au rez-de-chaussée, les regards fixés sur moi et le panneau avec les numéros.
Vers 21 heures, avec des pauses en chaque tirage, à la fin des tirages des cinq numéros, je leur annonce :
- On rajoute un sixième numéro, pour départager, s’il y a déjà un ou plusieurs gagnants. Nous avons le 02-66-59-96-20. Les gagnants, veuillez rejoindre le podium.
Quatre couples se présentent. Je m’éclipse et je descends toute nue, en mules au sous-sol retrouver Sir Dan. La pièce et ouverte.
Il y a un jeu de miroirs, pour m’exhiber, me caresser, sans que je connaisse l’emplacement des caméras. Je m’installe sur le fauteuil. Sir Dan le positionne, pour que je sois écartelée, le ventre en avant, bien enfoncé dans le fauteuil, les lèvres de ma chatte entrouverte bien humides. Sir Dan me refait le maquillage de mes lèvres. Je repeins mes mamelons, me peaufine mon maquillage. Je me rafraîchis en attendant les gagnants. Sir Dan enduit mon anus de ma mouille abondante de ma chatte.
Les quatre gagnants arrivent. Mais j’ai l’information qu’un cinquième gagnant ne s’est pas présenté. Corinne vérifie les grilles gagnantes et perdantes et Olivier les croise avec les numéros et il y a une grille manquante.
Je suis toute excitée, même pour cinq étalons pour me faire jouir.
Les quatre entrent dans la pièce, me toisent, les cuisses écartées. Je donne les consignes :
- Messieurs, aucune pénétration de ma chatte, seul mon œillet vous est destiné. Libre à vous de vous masturber ou de venir dans ma bouche. Dès que j’ai mon orgasme, libre à vous d’éjaculer en moi ou sur mon pubis ou sur mon ventre. Des questions ?
- Ta chatte velue, mais c’est pas bandant, le jeune de 25 ans. Je m’appelle Pierre Alexandre.
- Pour l’instant, Pierre Alexandre, mon plaisir, tu me donnes en me défonçant uniquement mon œillet. Sir Dan va surveiller. Si tu oses insérer ta queue dans ma chatte, je te punis.
Sir Dan ouvre les hostilités et au bout de quelques va-et-vient, j’ai mon orgasme et il éjacule en moi. Pierre Alexandre se laisse sucer, Charles Jean, de 30 ans, se met de l’autre côté, Victor, de 45 ans, attend son tour et Vladimir, de 60 ans, caresse mon clitoris, avec l’accord de Sir Dan.
La bouche libre, j’annonce, après le retrait de Sir Dan :
- Vladimir, tu m’encules maintenant.
Vladimir me fait jouir rapidement et reste en moi. Au bout de son éjaculation, il inonde mon ventre de longs jets de sperme.
- Je ferais mieux, la pute Pénélope. Tu verras, annonce fièrement Pierre Alexandre.
Il commence à chauffer ce Pierre Alexandre.
- Pierre, tu m’encules, on verra le résultat et si je prends des sanctions.
Vladimir me fait nettoyer son imposant mandrin, je me régale.
Pierre le vicieux, s’autorise un écart. Je sens son gland glisser discrètement entre les lèvres de ma chatte. Je vais le punir sérieusement.
Sir Dan le fait orienter vers mon anus entrouvert lubrifié. Pierre m’encule sauvagement, entrant et sortant et je connais un orgasme alors que Pierre se trouve à l’extérieur de mon anus que je contracte pour lui interdire l’accès. Il doit éjaculer sur mon pubis.
Pierre s’approche de ma bouche, pour que je le nettoie. Mais Pierre, tu penses que je vais accepter ceci, je pense sans lui dire en face.
Je lui enserre les testicules encore un plein de spermes, les griffe profondément. Pierre tombe agenouillé, à moitié évanoui.
J’ouvre mon anus pour Charles Jean, qui me donne un plaisir ultime, ainsi que Victor dans la foulée. Charles Jean et Victor ont droit à un nettoyage en règle. Vladimir, Charles Jean, Sir Dan et Victor m’applaudissent.
Sans savoir que la vidéo a été transmise en direct sur les téléphones de leurs épouses.
Celle de Pierre Alexandre commente :
- Elle se prénomme comment la jouisseuse anale ? Moi, c’est Saphir.
- C’est Maîtresse Svetlana, dit Corinne. Je pense que ton Pierre Alexandre va regretter son geste. Manque de respect, insulte et surtout, violation des règles dictées par Maîtresse Svetlana.
- Vous voulez dire que Pierre Alexandre aurait des problèmes par la suite, comme divorce, problèmes sexuels et autre.
- Si vous voulez en parler entre femmes, je suis sexologue. Un rendez-vous gratuit s’impose. Voici ma carte.
Pierre Alexandre sort le premier. Les autres ont droit à un plaisir supplémentaire de ma part, une masturbation en solitaire où je connais un nouvel orgasme qui me terrasse.
Les autres quittent la pièce.
Je remonte toute nue, rafraîchie, avec mon bijou d’anus, en mules, la sueur sur les seins.
Les épouses se rapprochent de moi.
- Mesdames, prenez les décisions qui s’imposent. J’ai pris les miennes.
- Je suis la future divorcée de ce pervers Pierre Alexandre. Merci de votre aide, Maîtresse Svetlana.
Les autre me complimentent sur mes prouesses sexuelles. Je monte me reposer dans ma suite nuptiale, il est 23 heures. Iris me masse, me baigne devant mon Olivier. Je suis fière de la soirée. En plus du cadeau, j’ai récupéré de l’argent des dons des invités.
- Ma chérie Svetlana, quel talent ce soir. Tu as corrigé ce pervers comme une professionnelle.
- Je suis une professionnelle, mon chéri. Je sais corriger quand il faut. Ces hommes mal attentionnés, ont eu leurs punitions. J’ai hâte de rencontrer ce Baron, un mécène. Les affaires sont au top. Je gagne des courses à l’hippodrome, le Haras tourne bien avec les activités, le Domaine va venir un lieu réputé et recherché et j’ai un chéri qui m’aime, me désire pour mon plaisir. Viens, me prendre, malgré l’heure tardive.
- Tu n’es pas fatiguée par tous ces orgasmes anaux.
- Nullement, mon œillet t’attends en priorité. Je suis ta chienne, n’oublies pas.
- Ma chérie, le 2 octobre, je te veux disponible la journée, pour un événement inoubliable.
- Je reste à tes côtés toute la journée. J’annule mes rendez-vous et je suis toute à toi.
Sur le lit, dans un 69 torride, je le suce et lui caresse ses testicules. Il bande en échange, il doigte ma chatte trempée et mon anus libre et lubrifié, que je n’ai pas lavé et caresse délicatement mon clitoris tendu.
Entre deux fellations, je lui annonce :
- Tu me donnes du plaisir dans mon écrin, mon œillet et sur mon bouton d’amour, mon chéri. J’ai hâte d’être honorée.
Pour ménager mon ventre, il me fait empaler dos à lui, enculée, cuisses écartées, soutenu par les bras de mon Olivier, qui me soulève et m’abaisse. Je suis empalée jusqu’aux testicules. Je connais deux orgasmes anaux successifs, avec une longue éjaculation et Olivier rebande encore.
Je le nettoie, mais Olivier en redemande.
Je m’offre, allongée sur le dos, face à face, enculée jusqu’aux testicules, accoudée. Il me saisit ma cuisse droite et par le mollet gauche. La position me fait jouir rapidement.
- Pine-moi à fond. Mon œillet est bien ouvert à ta grosse queue.
- Tu aimes ça que je t’honore ainsi.
- Tu me fais jouir, inonde-moi.
L’éjaculation me comble. Je me baigne en sa compagnie, nous lavant et nous caressant mutuellement, je me fais un lavement anal avec ma canule et je jouis encore. Nous dormons rapidement.
18 septembre
Vers 7 heures, je me lève la première, en suçant discrètement mon Olivier.
Je déjeune au rez-de-chaussée. Corinne déjeune aussi, elle a rendez-vous à son cabinet. Les clientes d’hier doivent la rencontrer. Pierre Alexandre a été interpellé, pour insultes des gendarmes en état d’ébriété à la sortie du Domaine.
Je me baigne longuement, me refais une beauté.
Vers 8 heures, Olivier me rejoint. Je le suce pour qu’il éjacule dans ma bouche. Je suis comblée.
Il choisit ma tenue pour revoir le Baron.
Une robe blanche au décolleté en V, moulante sur mes fesses nues, couvrant juste mes fers, chaussée de sandales blanches à talons de douze centimètre, coiffée d’une queue-de-cheval, sans maquillage et parfumée. Je porte mon bijou d’anus, après mon lavement anal.
- Tu feras plus naturelle, avec ta chatte et ta toison pubienne velus, tu vas lui plaire.
Corinne nous rejoint. Justine est partie revoir Jacques et le colonel, pour la promotion de mon père.
- Sexy, une jolie fille sage, on pourrait la prendre pour ta nièce. Les lèvres et les yeux au naturel, c’est bluffant. Tu vas te faire passer pour la nièce d’Olivier, tu seras Vanessa. D’accord, ma Vanessa. Je ferais la responsable de la galerie d’art avec mon adjoint Olivier. Tu vas vouvoyer ton Olivier et il te diras tu.
- J’accepte, ma Corinne.
Vers 10 heures, au rez-de-chaussée, l’Ecureuil atterrit avec le Baron.
Nous allons à sa rencontre.
- Quelle personne s’occupe de la galerie d’art ? Quelle personne doit me remettre le cadeau de la grille gagnante que j’ai en ma possession ?
- Moi, c’est Corinne, pour la galerie d’art. La nièce Vanessa vous remettra le cadeau, après vos propositions.
- Monsieur le Baron, je suis Vanessa, à vos services. Olivier, puis-je vous amener à boire, pour votre invité ?
- Tu amènes ce que désire notre invité, annonce Olivier.
- Juste, un verre de jus de fruit, ma sublime Vanessa. Un superbe corps de déesse possède votre nièce.
- Elle a tout juste 20 ans et déjà, elle est une sacrée dragueuse et une riposte adapté si on l’agresse, dit Olivier.
La discussion se concentre sur les tableaux d’Hermine.
- Qui est la peintre Hermine, dont les tableaux vont s’arracher aux enchères virtuelles ?
- C’est moi, Monsieur le Baron, voici votre jus de fruits. Je suis peintre de ces tableaux.
- Vous, à 20 ans, vous avez un talent. En plus d’être belle, élégante, intelligente, douée et surtout, vous peignez avec un certain style.
- Je suis flattée. Si je vous annoncez que je suis prêt à mettre 30 millions de prix d’enchère de départ sur l’ensemble de vos tableaux exposés au Domaine.
Je suis un peu embarrassée.
- Ma Vanessa, c’est une chance pour la galerie d’art, dit Corinne, pour me taquiner.
- Tu es une artiste née. Tu vaux peut-être davantage, avec ces enchères.
- J’ai hâte de connaître la valeur exacte de mes tableaux, dis-je pensive.
- Vanessa, déshabille-toi que le Baron juge sur les talents cachés de ton superbe corps.
J’obéis, nue, sans aucune pudeur. Il me toise, caresse délicatement ma bouche. Je ferme les yeux, telle une soumise. Il voit mon bijou d‘anus entre mes fesses marquées.
- Elle est ferrée, des bijoux intimes, tatouée, marquée au fer rouge. C’est une authentique soumise du Domaine. Le Commandant me l’avait recommandé lors d’une de mes visites il y a peu. Elle aime l’anal, votre nièce. Son œillet ne peut la trahir. Elle est enceinte d’un second enfant, je lui souhaite tous mes vœux de bonheur, à toi, Vanessa et à son heureux père.
- Monsieur le Baron, le cadeau est que vous devez me faire jouir, sur un fauteuil gynécologique dans une des pièces.
- Je ne peux refuser d’honorer une superbe intimité.
- Vous acceptez, dis-je un peu surprise. Je m’installe et je vous attends.
- Monsieur le Baron, vous aurez juste à l’enculer et à la mener au plaisir. Sa chatte ne doit pas être souillée.
- Je comprends, soyez sans crainte. Je sais comment jouit une soumise, enculée uniquement.
Le trio me rejoint. Ma chatte ruisselle, mon anus est bien lubrifié, libre de mon bijou.
Olivier me fait sucer son mandrin, tandis que le Baron enfonce le sien de quarante par huit dans mon anus bien ouvert et humide.
- Quel plaisir de la reprendre. Son œillet s’est encore plus assoupli.
- Vanessa est connue pour ses saillies anales canine, ajoute Corinne. Son plaisir anal est le summum sur l’échelle jusqu’à 20. 20/20 en plaisir anal, c’est la note maximale.
- J’approuve. Tu es libre de jouir. Tu es bien trempée, aussi pour ta chatte, j’aime ses lèvres rougies entre ses poils de sa chatte. Son clitoris tendu aime mes caresses.
Je sens la montée de l’orgasme anal, combinée aux caresses délicates de mon clitoris et un frottement des lèvres de ma chatte.
- Regardez, elle commence à prendre du plaisir, dit Corinne.
- Je vais pas tarder à éjaculer dans la bouche de Vanessa, dit Olivier.
- Retiens-toi. Tu éjaculeras dans son œillet, dès que le Baron aurait pris son plaisir.
Le Baron m’inonde longuement, lors de mon orgasme anal. Il reste un peu en moi et cède sa place à mon Olivier.
- Elle aime se faire défoncer son œillet par vous, Olivier.
- Elle est une jeune fille facile, aimant l’anal. Je ne peux lui refuser ce plaisir, avec un membre de sa famille. N’est-ce pas Vanessa, ma nièce vicieuse ?
- Oui, Olivier, je suis toute à vous.
- Tu aimes ça, tu vas encore jouir. Baron, que Vanessa vous suce et vous nettoie.
- Vous aurez votre 30 millions voir davantage. Cette sodomie de cette soumise m’a beaucoup plu. Je le referais plus tard, si Vanessa m’autorise et vous, Olivier et Corinne.
- Permission accordée, n’est-ce pas Vanessa, annoncent en cœur Olivier et Corinne.
- Oui, je…
Un violent orgasme anal me fait vibrer. Le Baron me remplit ma bouche d’un dernier jet de spermes, suivi de la longue éjaculation dans mon anus.
Epuisée, je reste dans la position.
Le Baron vient voir mon anus entrouvert, dégoulinant de spermes de mes amants.
- Quelle superbe vue, c’est le plaisir au naturel, j’aime ça.
- Va te laver, Vanessa et reviens nue au salon.
- Oui, Olivier, j’obéis.
Après un bain rapide et un court massage, nue, les cheveux libres, déchaussée,
Elle fait encore plus femme, les cheveux libres, votre nièce Vanessa alias Hermine.
- On se donne rendez-vous à quelle date, dit Corinne ?
- Voici les coordonnées pour le virement de 10 millions comprenant la sodomie de Vanessa, royale.
- C’est trop, Monsieur le Baron, dis-je.
- Tu le mérites, Vanessa, dit Olivier. Ta sodomie vaut de l’or.
Je reste silencieuse. Cela fait un moment que je n’ai pas joui pour de l’argent, comme pute anale.
Corinne reçoit discrètement un message de Sir Dan de Sade, le gynécologue personnel de Svetlana et de Corinne :
Svetlana a été fécondée le 16 août, donc il y a un mois, par le sperme d’Olivier. Dont on pensait qu’il ne pouvait donner de sperme, car il avait divers soucis médicaux. Mais un déclic a provoqué la fécondation le 16 août, plus les événements du 19 août ont accéléré le processus de grossesse, la pénétration par Yannis de la chatte, l’humiliation, l’exhibition, la soumission combinés ont provoqué un choc au niveau de sa chatte et le sperme d’Olivier a fait le travail. Le malaise est une combinaison de sa grossesse, la perte de son amie, la fatigue et aussi un peu de comédie pour être protégée par son Olivier, devenu son amant. En tant que soumise, Svetlana collectionne depuis son dressage par Alban. Elle a déjà eu des expériences anales sous faux prétexte lesbien, avec un copain. Personne ne devait savoir son expérience anale et Svetlana se faisait passer pour lesbienne, pour avoir la paix avec les hommes. Ceci vient d’une partie classifiée de son dossier médical, comme elle est sous étroite surveillance depuis sa naissance, du au statut de son père. Corinne, fais attention si jamais tu as des rapports sexuels avec Olivier, tu peux aussi tomber enceinte. Si tu as un moindre changement de poids ou de règles, préviens-moi. Je ferais le nécessaire.
22 septembre
Vers 10 heures, je suis surprise par le retour du Baron, à la demande de Corinne, sans m’en parlée. Je porte ma même tenue et je redeviens la nièce Vanessa.
- Désolé, soumise Vanessa, annonce Sacha. Je viens pour vous Corinne, votre intimité m’intéresse aussi. Olivier, vous n’êtes pas contre que j’honore aussi votre Corinne.
- Je n’ai aucun avis à donner. Vanessa et maintenant ma Corinne, tu se feras un plaisir de se faire honorer par vous.
- Mon Olivier, tu me prêtes à Sacha. Je suis un peu libertine aussi. J’ai vu à l’œuvre sur Vanessa. Vanessa, tu vas observer une experte anale, dit Corinne.
- Mais, Corinne, c’est moi la nièce qui doit être honorée aujourd’hui.
- Désolé, Vanessa, je tiens à honorer Corinne aujourd’hui. Vous, Vanessa, il faudra patienter.
Je suis gênée. Sacha qui va s’offrir à ma Corinne. Corinne me cache quelque chose.
Après un rafraîchissement et les discussions sur la vente de mes tableaux, Corinne descend à la pièce, nue, s’installe dans le fauteuil gynécologique, qui a gardé la même position que pour prendre Vanessa.
Le trio descend. Olivier commente :
- Voici, un superbe bijou intégralement épilé, l’œillet est déjà bien assoupli et elle est juste tatouée sur le pubis et sur son pied droit.
- Quel superbe tableau, dit Sacha. J’ai hâte de la prendre.
- Faites, je suis toute chaude, excitée. Défonce-moi l’œillet, je suis à tout vous.
Corinne prend son plaisir. Je me masturbe discrètement sous la jupe de ma robe, sans me faire voir.
Olivier me prend la main et me susurre :
- Vanessa, tu te retiens de jouir. Seuls Sacha et Corinne ont le droit, tu as ton temps de plaisir, la dernière fois.
- Vanessa, en plein orgasme de Corinne, vos tableaux sont très bien côtés, votre nom est à la hausse.
- Inonde-moi l’œillet.
- C’est en cours, ma chère Corinne. Vous allez aimez. Vanessa, tu me suces aussitôt que j’ai fini avec Corinne.
- J’obéis, j’avale tout, mais Sacha se fait aussi sucer par Corinne. Olivier prend le relais et encule sa Corinne, qui a droit un nouvel orgasme.
Corinne, épuisée, est très heureuse de ses orgasmes.
- Sacha, revenez quand vous voulez. Disons le 2, ce serait un superbe événement. Vous verrez Vanessa sous un autre angle.
Le Baron repart. Il est 14 heures.
- Dis donc, Corinne et Olivier, il reviens le 2. Je fais quelle rôle, ce jour-là.
- Ce sera un souvenir de tes premiers plaisirs, annonce Corinne.
Le mystère reste entier.
2 octobre
Vers 7 heures, dans la suite nuptiale, je suis réveillée par Corinne, vêtue d’une guêpière seins nus, de bas, de cuissardes, d’une casquette, le tout en noir, avec une cravache.
- Alors, ma chienne Shawn, tu t’es bien abstenue de tout rapport sexuel et caresses depuis hier le 1er à 7 heures. Je veux ta réponse par un hochement de tête.
J’obéis.
Corinne m’écarte bien les cuisses. Je suis allongée sur le dos. Olivier dort à mes côtés.
- Je vais te mettre tes carcans de cuir à ton cou, tes poignets et tes chevilles.
Ils sont à ma taille, provenant du Domaine.
- A quatre pattes, la chienne, je vais te promener en laisse et tu vas faire tes besoins dehors, si tu as envie. Ta chatte est humide d’excitation. Tu aimes que je te traite de chienne, de pute anale et de vicieuse de l’inceste.
Nous descendons jusqu’au rez-de-chaussée. J’ai interdiction de me mettre debout.
L’exercice est un peu périlleux, les yeux baissés, la bouche entrouverte.
- Avance, ma chienne. Tu as très faim, ma chienne. Maître O va s’occuper de toi, ainsi que Maîtres S et B et Maîtresse J. Tu es très attendue, ma chienne.
Au rez-de-chaussée, se trouve sur une table basse, des tartines, de la confiture, du miel et des verres de jus de fruits. Je dois attendre à quatre pattes, les ordres de ma Maîtresse.
Vers 8 heures, Sven entre nu, sous une cape, en bottes, le mandrin en érection, avec un anneau pénien sur le mandrin pour la raidir.
- Voici, chienne Shawn, elle est très belle. Elle va prendre son petit déjeuner, avec ses tartines. Maîtresse C, elle aime ça.
Corinne prépare les tartines qui sont larges pour pénétrer ma chatte humide.
Elle m’enfonce une première tartine et je dois la manger. Elle a le goût d’abricot avec ma mouille. J’aime ça. Puis une fois que je l’ai toute mangée, c’est une tartine au goût de fraise et une tartine au goût de pastèque. Je les nomme tous, sans me montrer.
Olivier arrive, nu, sans cape, avec son anneau pénien, et prend en aparté Corinne. Corinne lui passe une tartine. Je ne sais ce qu’ils font les yeux baissés.
- Tiens, voici ta dernière tartine. Tu as très faim, ce matin.
Du miel dégouline dans ma chatte. je la mange, mais je suis un peu hésitante pour la finir.
- Tu dois la finir, chienne Shawn, dit Olivier. Les goûts te sont pas familiers.
- Il y a du miel, ma mouille et un dernier élément, j’arrive pas à identifier.
Sacha entre nu, sous sa cape, avec un anneau pénien, en bottes.
- Elle n’a pas d’odorat, cette chienne Vanessa. Essaye de l’identifier et finit ta tartine.
Je le fais avec peine. Je suis au bord de la nausée. J’avale la dernière bouchée.
- Enfin, chienne Shawn a fini sa dernière tartine. Un verre de jus de fruit pour faire passer ce dernier élément, que tu aimes.
- Je me suis soulagé sur ta dernière tartine, chienne Shawn.
Je suis prête à vomir, mais Corinne me met un bâillon-boule pour que j’avale.
- Mais chienne Shawn, tu avales.
Humiliée, je tente de remonter l’escalier à quatre pattes.
Mais retenue par la laisse de mon collier, toute tentative est vaine.
- Alors, chienne Shawn, tu veux te soulager à ton étage, mais cela se fait dehors comme ton Adam.
J’obéis et je me soulage, comme je peux, sans m’accroupir, cuisses écartées.
Vers 9 heures, de retour, je suis punie pour ma tentative d’évasion.
- Combien de coups de cravache sur ses fesses de chienne Vanessa ? annonce Sacha.
- Dix, annonce Olivier.
- Non, quinze sur chaque fesse et elle devra les compter, sans se tromper et dix sur ses cuisses, annonce fièrement Corinne.
Justine la rejoint dans le même uniforme, avec une cravache elle aussi.
J’obéis et je compte, mes fesses et mes cuisses me brûlent. Il est 9 heures, mais je ne vois pas l’heure. Je reste à quatre pattes, cambrée.
- Très bien, la docile chienne Shawn, annonce en m’applaudissant Justine.
- Elle a besoin un peu d’être saillie, enculée, cette belle pute anale Svetlana, dit Olivier. Qui souhaite l’enculer, son œillet est tout ouvert. Prosterne-toi devant tes Maîtres, chienne Shawn.
Les trois hommes m’enculent, sans me laisser atteindre au moins un orgasme anal. Je suis en sueur, le bâillon-boule m’empêche d’hurler mon plaisir. Mes bracelets de mes poignets sont joints à mon cou, m’interdisant toute caresse.
- Agenouille-toi, vicieuse, cuisses écartées. Tu vas garder la pose, les mains menottées dans le dos, les yeux baissés, ma belle, annonce fièrement Sven.
J’obéis, cuisses écartées constamment, me rappelant mon passé de soumise. Deux poignes pesèrent sur ses épaules comme pour l'empêcher de se relever. Je dois rester, fléchie un peu en arrière, à demi assise sur les talons. La position est un peu confortable. J’attends mon prochain ordre.
Les hommes discutent, et Corinne et Justine se relaient pour me surveiller, sans que je dois bouger.
Mais Sven remarque :
- Mais cette chienne a lâchée une flaque de mouille. Elle a pris du plaisir, cravachée. Corinne, elle ruisselle, elle adore ça ! Elle apprécie! Elle en redemande!
- Elle ne joue pas la comédie, elle fait son intelligente, sa jouisseuse sans se caresser, annonce Corinne. Tu caches bien ton jeu, la soumise et Maîtresse. Patience, tu seras encore punie. Déjà, tu vas nettoyer ta flaque avec ta langue.
J’obéis, je fais de mon mieux. Le marbre doit être tout propre.
- Tu te retiens de mouiller quelques instants, chienne Shawn, dit Sacha.
Je ne peux m’empêcher d’avoir des jets de mouille, humiliée, excitée, dressée.
- Debout, tu vas pisser debout dans un seau, pour te soulager, même si tu n’as pas envie. Olivier, tu lui caresses bien son clitoris, pendant qu’elle se soulage et elle lèche ensuite tes doigts, mon chéri. Ta chérie est une soumise bien dressée.
Je m’exécute, les caresses délicates sur mon clitoris me font monter une vague de plaisir que je ne peux contrôler, mais Corinne retire délicatement les doigts de mon clitoris tendu, je suis au bord du plaisir.
- Juste à temps, elle allait jouir sur ses doigts, mon chéri Olivier.
- On la punira plus tard. Tu vas te promener debout, monter et descendre avec grâce les trois étages. Ceci t’aidera en plus.
Une chaîne en forme de Y et ses trois pinces se fixent respectivement sur les mamelons et le clitoris. Mes mamelons sont déjà sensibilisés à ces pinces.
J’exécute l’ordre sans me faire jouir, malgré les plaisirs sur mes mamelons et mon clitoris.
Vers 11 heures, on marque une pause. Je suis un peu fatiguée et Corinne me ramène dans ma chambre, les mains jointes à mon cou, tenue en laisse, avec mon bâillon-boule, les yeux baissés.
- Tu es une sacrée actrice. Tu mouilles quand on te cravache, tu te montres docile quand tu le désires. Je vais te baigner, tu restes nue à te sécher. La cravache peut arriver à tout moment.
- Ma chienne Shawn est toute docile, depuis son dressage. Elle a besoin de jouir, tu sais que cela t’est formellement interdit. Je te signale c’est mon anniversaire, ma chérie Svetlana. Tu as intérêt à le mémoriser. Si tu veux jouir, il faudra le mériter. Mais, tu es encore toute humide. Mes paroles t’excitent, annonce Olivier.
- Oui, ta Svetlana nous joue sa naïve. Soumise à Alban, dressée par Hermine, violée par Docteur Sexe et Yannis, elle fait sa fille sage, simulant son plaisir. Mais en réalité, elle jouit, par tous les moyens. Tu vas pas le nier, tu prends du plaisir, aujourd’hui, comme soumise, enculée par Sacha, ton père et tes multiples amants offerts par Alban et Hermine, ainsi qu’au Domaine, réplique Corinne.
Je ne sais plus comment me dérober. Car Olivier me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main droite me caresse un sein, et l'autre lui tient l'épaule.
- Lèche-lui un peu son clitoris à cette chienne Shawn, ma chérie.
- Elle est bien tendue, cette jouisseuse, en tirant mes poils pubiens, pour ouvrir ma chatte humide.
Olivier me pousse en avant, puis son bras droit glisse autour de ma taille, ce qui lui donne plus de prise.
- Très bien, allonge-la sur le lit, cuisses écartées, je vais l’enculer sur le champ. Elle n’a ce qu’elle mérite, pute anale. Son clitoris est bien tendu maintenant sous ta langue, ma chérie. Elle commence à jouir.
Cuisses écartées, maintenue par les chevilles, un oreiller sous mes reins, je suis enculée jusqu’aux testicules, par Olivier, tandis que Corinne embrasse mes mamelons tendus, mes mains sont menottées désormais dans mon dos par une parade d’Olivier. Sven, Sacha et Justine sont là, voyeurs.
- Jouis, enculée de chienne Svetlana, ma conjointe.
Bâillonnée, je sens l’orgasme anal m’envahir rapidement, malgré la sodomie sauvage que je subis.
- Sven, prends-la encore. Je vais jouir sur son pubis.
Sven m’encule avec la même méthode et lors de mon orgasme, sans mandrin dans mon anus, je reçois aussi son sperme sur mon ventre et Sacha m’achève en éjaculant dans mon anus, peu avant mon orgasme anal.
- Au bain, c’est lavement obligatoire, annonce Justine.
Je dois rester accroupie, cuisses écartées, les bras tenus en l’arrière, par Sven, je ne peux m’empêcher de fixer son mandrin encore dur.
Le bain dure une éternité.
- Tes Maîtres t’ont prises, c’est pour te récompenser. Tu dois encore faim, les tartines ne t’ont pas suffies. On verra comment te nourrir.
Après le bain, je dois rester debout, nue sur le balcon de la chambre, au soleil, à me sécher, les mains menottées dans le dos, surveillée par Justine.
- Ma fille, tu es une sacrée vicieuse. T’offrir à trois hommes, tu es une pute anale. Tu te comportes comme cela depuis qu’Alban t’a dressée. Mais tu aimes l’anal depuis bien avant cela, Yannis voulait t’enculer, peut-être Olivier le souhaitait aussi avant de te revoir.
Je ne peux répondre. Je suis au bord de la colère. Olivier va me le payer.
- Tu veux te venger. Attention, Svetlana, tu risques de le regretter. Tu joues très gros surtout aux courses hippiques. Tout le monde le sait.
Quelle histoire aux courses hippiques, je dois savoir ?
J’hésite, faire payer Olivier ou enquêter sur les courses hippiques.
Vers 13 heures, Justine me fait redescendre, mon bâillon est retiré et je peux juste boire, des jus de fruits avec des stimulants sexuels, agenouillée, les yeux baissés, cuisses écartées, mains jointes à mon cou, tandis que les autres mangent, un succulent déjeuner qui me tente. Je suis calme et silencieuse.
- Non, chienne Shawn, tu as droit juste de boire. Tu mangeras tout à l’heure. Elle doit avoir très faim, dit Olivier, en me regardant. J’oublie, ma chérie Svetlana ne m’a pas donné mon cadeau. Quel est mon cadeau, ma chérie Svetlana ?
- Olivier, tu m’as enculée chez Sven, oui ou non ?
- Tiens, elle est très en colère, la naïve. Olivier, tu l’aurais enculée à Fuerteventura, mais si c’est une fausse information, Olivier va te punir, dit Corinne, en tenant la cravache. Tu n’as aucune preuve, disons que plutôt que c’est Sven qui t’a enculée à Fuerteventura et non pas ton conjoint actuel.
- Je confirme, dit Sven. J’ai bien pratiqué des doigtés anaux sur Shawn à Fuerteventura, mais Olivier ne pouvait être présent. Elle l’avait éloignée d’elle, se donnant à moi, n’est-ce pas, ma chienne Shawn.
Je deviens énervée, mais mes menottes m’empêchent de gifler Olivier.
- Olivier, il semble que ta pute anale Shawn veuille te gifler, annonce Justine.
- Tu veux me gifler, mais je te vais te cravacher, tu inventes des faits sur moi. Tu confonds Sven et moi. Ces coups de cravache sur l’intérieur de tes cuisses te feront un excellent moyen de te souvenir, Corinne et Sven écartez lui bien les cuisses.
C’est la première fois que je suis cravachée sur l’intérieur des cuisses.
Olivier passe doucement de la droite à la gauche, s'arrête, reprend. Je gémis, pleure, mais je suis fermement maintenue dans la position, allongée sur le dos, cuisses bien écartées.
- Plus vite, dit Corinne à Olivier, et plus fort.
Une minute plus tard, je cède aux cris et aux larmes, tandis que Justine me caresse le visage.
- Encore un instant, dit-elle, et puis c'est fini. Cinq minutes seulement. Tu peux bien crier pendant cinq minutes. Olivier tu arrêtes, quand je te le dirai.
Je subis le supplice cependant jusqu'au bout, et Justine me sourit quand Olivier arrête.
- Tu as compris, pourquoi tu dois dire la vérité. Olivier n’aime pas les menteuse, les naïves.
- Pardon, Olivier, c’est Yannis qui m’a doigté l’anus. Je m’excuse, pleure longuement.
- Viens, je vais te consoler, ma chérie, dit Olivier.
Il m’enlace dans ses bras, ses mains tapotant mes fesses zébrées et brûlantes.
- Tu ne recommences plus ce jeu avec vous, ma vicieuse Svetlana.
- Je te promets. Je serais sage.
Un silence règne.
- Viens manger, après ta punition, annonce Corinne.
- Corinne, dis-je les yeux baissés, rougis, tu ne me fais plus cravacher l’intérieur de mes cuisses, s’il te plait.
- Tu implores de ne plus te cravacher. On efface tout. Mais ma soumise, tu es très impolie. J’aviserai plus tard, mange et on verra ensuite.
Après le déjeuner, je pisse à nouveau debout.
L’après-midi se passe sans problème, enculée, suçant et cravachée juste sur les fesses et les cuisses. Je reste silencieuse, comptant les coups.
- Tu vois, quand tu es docile, ma chérie Svetlana. Désormais, tu nous dois respect, obéissance et plus de mensonges, sinon Olivier prendra des mesures à ton encontre, dit Corinne. Au fait, je suis le numéro 3 pour surveiller tes activités au Haras, au Domaine et à l’hippodrome. Si j’apprends des choses sur des faits te concernant, tu devras me fournir des explications, ainsi qu’à Olivier, ton père et Justine. Tu me donnes ton accord.
- Oui, Corinne, j’accepte tout de toi.
- Même de ton conjoint, ma belle Shawn, toute sourire, tu es toute sage, dit Olivier.
- Oui, mon Olivier, je veux que tu me punisses pour mes fautes futures.
Vers 17 heures, Olivier m’encule sans préavis, prosternée et il pisse dans ma bouche, après éjaculé sur mes fesses et mes reins. Sven et Sacha font de même. Je sens la sueur, mon parfum ne sent pas, je suis pas très belle à voir.
Corinne me ramène à ma chambre, devant un des miroirs, les mains menottées dans le dos, tenue en laisse, debout.
- Tu as vu ton corps, couvert de spermes, de sueurs, de mouille, de pisses. Va te baigner de suite, je vais te surveiller. Tu te baignes seule, sans te caresser. Tu dois devenir une Marquise toute belle, maquillée, parfumée, désirable et facile.
Le bain est difficile à gérer, accroupie, cuisses écartées, je fais de mon mieux, les yeux baissés. Je pleure un peu, pour retenir ma honte, humiliée, de mon comportement depuis mon adolescence.
- Tu pleures, Svetlana. La journée a été dure pour toi, pour nous tous. A 20 heures, tu te couches toute nue, menottée mains jointes, après avoir mangée, empalée sur tes Maîtres, sans jouir surtout.
A la sortie du bain, je me presse contre Corinne, que j’enlace, telle une fille qui veut du réconfort.
- Finis les caprices, Marquise Svetlana, tu es désormais une femme, enceinte de mon amant Olivier. Tu accoucheras au moment venu.
Je m’exécute, assise à tour de rôle, pour chaque plat, entre les cuisses de mes Maîtres, enculée jusqu’aux testicules, caressée par eux, sans jouir. Ce qui est très frustrant, seul Sacha a droit d’éjaculer en moi et je nettoie mes trois amants.
Je remonte à ma chambre, tenue en laisse par Olivier, escortée par Corinne.
Les autres invités partent, après que Justine se soit offerte en double pénétration jouissive, que je n’ai pas pu réaliser.
- Allonge-toi sur le dos, Shawn, tu peux te reposer une partie de la journée. Tu es très fatiguée. Je dois te laisser menotter, mains jointes à ton cou, pour la nuit et cuisses écartées, ma belle.
Je me mets à pleurer discrètement, fautive. Je suis bien punie.
Olivier profite de sa Corinne. Corinne s’offre à quatre pattes à mes côtés, j’observe discrètement. Olivier, en érection, glisse son gland dans la chatte de sa Corinne, puis se retire. Je devine une goutte de spermes dégoulinant de la chatte. Il n’a pas mise enceinte sa Corinne, après moi. J’aime ça, une rivale enceinte. Je sens Corinne jouir, enculée profondément par son Olivier.
- Oui, Olivier, défonce-moi profondément mon puits de vicieuse. Je suis aussi vicieuse que ta Svetlana.
- Je vais t’inonder, ma belle lionne Corinne. Rugit de plaisir
- Oui, je vais jouir et rugir.
Un violent orgasme anal terrasse la belle Corinne, en sueur. Le couple se baigne et Olivier reste à mes côtés.
- Regarde, Svetlana, elle est toute triste. Elle a eu une belle correction.
- Elle sait maintenant comment se tenir, savoir-vivre, digne d’une Marquise. Finis les caprices, tu dois affronter la vraie vie avec ses réussites et ses échecs, ma Shawn. Repose-toi.
Je m’endors rapidement. Je n’ose refermer mes cuisses brûlantes, ni me caresser pour apaiser mes douleurs.
3 octobre
Vers 9 heures, Corinne revient dans ma chambre. Je suis encore endormie.
- La belle Shawn se repose. Repose-toi, tu as bien jouée ton rôle de chienne, de pute anale et de vicieuse. Tu as bien méritée tes punitions. Olivier, tu viens m’enculer encore, j’ai envie de toi.
Le couple fait l’amour dans la chambre, sans gêne. Corinne connaît un nouvel orgasme.
Vers 17 heures, Corinne revient de son cabinet. Je suis réveillée, consolée par Olivier, pour mon comportement de Fuerteventura.
- La belle est réveillée. Au fait, Olivier, hier tu m’as bien honorée mon œillet, tu es formel.
- Bien sûr, ma belle lionne, pourquoi tu poses cette question ?
- Disons, que je suis allée me coucher dans ma chambre, en me douchant, j’ai retrouvé du sperme sur mon clitoris. Ce n’est pas le tien, donc c’est un de nos invités.
- Corinne, Olivier a en partie éjaculé dans ta chatte, avant de t’enculer.
- Shawn, tu me mens. Olivier m’a bien enculée hier soir. J’ai pris mon plaisir anal. Je suis une experte.
- Corinne, c’est la vérité. Vérifie, je ne mentirais pour couvrir ton Olivier.
- J’aviserai dès que Sir Dan m’aura examiné. Il a les tests ADN d’Olivier, l’ensemble des hommes qui viennent au Domaine.
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