Je m’appelle Pénélope de Hauts Vallons, mais mes amis m’ont surnommés Shawn.
J’ai 18 ans.
Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis. Je suis totalement velue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Mon entrecuisse est velue. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent mes épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 85B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,75 m.
PENSIONNAT POUR JEUNES VICIEUSES
19 mai
Lesbienne à plein temps depuis mes 15 ans, je me suis toujours refusée à un garçon, capricieuse. Je déteste leurs mandrins, même dans ma chatte et dans ma bouche, mais je préfère les godes de mes copines que sur les lèvres de ma chatte et mon clitoris, mes mamelons durcis.
Pour mes 18 ans, mes parents m’ont inscrite dans une pension de jeunes filles, de la bourgeoisie, futures Comtesses, Duchesses, Marquises sont éduquées.
Vers 8 heures, après une visite gynécologique d’admission, je descends du minibus, dans ma tenue : un chemisier blanc sur mon soutien-gorge en dentelle transparente blanche, une jupe à carreau couvrant mes cuisses, un porte-jarretelles et des bas blancs, un string en dentelle transparente blanc, des mules blanches à talons de douze centimètres, coiffée d’une queue-de-cheval. Nous marchons dans des graviers.
Au rez-de-chaussée du bâtiment principal, alignée avec les autres filles, en tenue, nous sommes passées en revue par Hermine, la directrice, une superbe brune aux seins plantureux, en tailleur avec jupe éventail noir, bas noirs et Olympe, sa sœur jumelle, 35 ans, dans la même tenue, responsable du savoir-vivre et de la discipline de la pension.
Elles s’arrêtent devant moi.
- C’est Pénélope, future Marquise, ma chérie. Elle est encore plus désirable que ses photos en bikini l’été dernier, annonce Hermine. Quelles sont tes chances d’autres d’excellents résultats ici ?
- Je pense que je serais à la hauteur, Madame.
Elle déboutonne mon chemisier et exhibe mon soutien-gorge.
- Lingerie de luxe, superbe poitrine, mamelons tendus, c’est l’excitation, annonce Olympe. Il y a de la concurrence, mais tu peux atteindre l’objectif, ma belle pute ou chienne selon tes désirs sexuels.
- Cette vierge a du potentiel. Sors du rang, nous avons à discuter. Mesdemoiselles, allez à l’habillement, ordonne Hermine.
Je reste avec elles.
- Toi, tu viens au bureau, ordonne Olympe.
Nous longeons le couloir carrelé, où mes mules claquent et celles des filles claquent dans l’escalier de marbre menant aux chambres au premier étage.
Nous passons devant l’habillement, le bureau de la discipline et le bureau au fond, de la directrice.
Là, devant un mur tapissé de miroirs dans mon dos, des porte-fenêtres donnant sur le parc boisé, je reste debout, immobile.
Hermine m’ordonne :
- Je te veux toute nue immédiatement, devant moi.
- Mais, je me déshabille jamais devant une dame. Je suis un peu pudique.
Je m’exécute en cachant mes seins, ma chatte avec mes mains, une fois nue.
- Tu n’es pas encore exhibitionniste. Ces messieurs vont l’exiger de toi, me susurre Olympe, en découvrant mon string et ma toison pubienne velue.
- Je veux que tu te masturbes la chatte et tu caresses tes seins, ordonne Hermine.
Je m’exécute.
- Mieux que ça, tu dois mouiller et tes mamelons doivent se tendre. Ne sois pas timide, je suis sûr que tes copines te font jouir en te caressant, me susurre Olympe.
- Oui, je vais m’appliquer.
Hermine prend le relais, en pelotant mes seins, et me dit :
- Tu vois, tes mamelons se tendent. Tu commences à être excitée.
Ma chatte est toute humide entre mes doigts, mon clitoris commence à me faire mal.
- Tu prends du plaisir. Enfonce tes doigts dans ta chatte, comme si une queue te défonce ta sublime chatte, complète Olympe.
Je m’exécute.
- Mets plus d’ardeur. Entre nous, aucun garçon ne t’a baisé, ni rempli ton sublime œillet, sous-entend Hermine.
- Non, je n’ose pas.
- Tu n’ose pas, ou disons tu ne veux pas, ni ne peux pas, me susurre Olympe.
Hermine prend mes doigts et me l’enfonce davantage dans ma chatte, avec plus de vigueur.
Je commence à jouir.
- Enfin, tu jouis. C’est un début. D’ici quelques jours, tu auras pris l’habitude d’une queue dans ta sublime chatte. Tu restes velue, ma belle.
Pantelante, je dois écarter mes fesses, devant le miroir, dos au miroir.
- Tu vois ton œillet est peu serré, jamais pénétrée. Ni enculée, tes copines ne t’ont jamais godée ton œillet, toi l’allumeuse, dit Olympe.
Hermine introduit un doigt rempli de ma mouille abondante de ma chatte. inconsciemment, je tends mon anus au doigt qui ramone mon goulet étroit avec vigueur.
Hermine glisse un, puis deux, enfin trois doigts dans le rectum contracté. Je gémis sous la légère douleur que je ressens, excitée aussi par l'attente de l'intromission dans mon anus.
- Continue à enfoncer tes doigts dans ta chatte, pour jouir.
Mon anus s’ouvre péniblement sous les doigts d’Hermine.
Elle enfonce un gode de vingt-quatre par quatre, dont le prépuce qui glisse le long du gland réaliste. Elle enfonce d’abord le gland et pousse résolument le gode dans le trou écartelé qu’elle maintient avec ses doigts.
Ce gode va te prépare, la belle pute anale, dit Olympe.
Je hurle lorsque le gode enfoncé brutalement me brûle l’anus.
- Oh ! Mon Dieu, c'est atroce. Retire-le, je t'en prie. C'est insupportable. Ça me brûle. Oh ! J'ai mal, c'est affreux. Je vais mourir, je suis transpercé, c'est abominable. Oh ! Non ! Oh ! Non ! Je n'en peux plus. C'est effroyable. Je vais mourir !
Hermine reste immobile, attendant patiemment que la douleur s'estompe pendant qu’Hermine masturbe ma chatte de l’autre main. Peu à peu le conduit anal se décontracte. Je commence à s'habituer à cette sodomie par le gode. Ma mouille dégouline dans l’autre main d’Hermine. J’avance mon bassin à la rencontre de du gode qui m’encule. Je connais mon premier orgasme anal, le premier d’une longue série.
Pantelante de mon orgasme anal, Hermine m’enfonce un gode similaire dans ma chatte pour me déflorer. Je connais aussi un rapide orgasme.
- Te voilà désormais femme, quelques queues te feront jouir, ma belle, dit Olympe.
- J’ai hâte de me faire défoncer maintenant.
- Patience, ma belle, chaque chose en son temps. Un double gode te fera l’affaire pour te préparer.
- Tu ne portes plus jamais aucun sous vêtement. Plus de culottes ou de strings, plus de soutien-gorges et jamais non plus de body. Tes seins et ta chatte doivent toujours être nus sous tes vêtements et ton entrejambe jamais dissimulée. De ce fait, jamais plus non plus de collants, de shorts, de jupes culottes ni bien sur de pantalons. Tu ne portes que l’uniforme. Pour tes pieds, soit tu es pieds nus soit tu portes des chaussures mais dans ce cas, toujours à talons. Tu dois être parfaitement maquillée vingt quatre heures sur vingt quatre, aussi bien le visage que tes mamelons. Quand tu te laves, aussitôt après, tu dois te remaquiller. Tu dois avoir dans ton sac en permanence de quoi faire les retouches nécessaires à ton maquillage pour qu'il soit toujours parfait. Ton corps est désormais public, donc en ma présence ou en présence d'un de mes représentants, tu dois te montrer nue sur un simple ordre. Ou que ce soit, quand que ce soit et devant qui que ce soit. Tu n'as pas de temps de réflexion. Tu dois t'exécuter à la seconde même. Je garde ton téléphone portable, tu as totale interdiction de l’utiliser, sans mon ordre.
- Tu vas te doucher à l’eau froide, avant de t’habiller, dit Hermine.
Une fois propre, je me suis poudrée le visage et mes paupières sont légèrement ombrées. Un glaçon passé sur mes mamelons fixe la couleur rouge, comme aux grandes lèvres de ma chatte. Le parfum que j’ai longuement passé sur mes aisselles lisses et ma fourrure pubienne, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
- Avant de t’habiller, tu vas porter ceci, pour voir si ta chatte est celle d’une vierge, dit Olympe.
L’anus entrouvert, je reçois un superbe gode muni de picots, de bonne dimension, trente-huit par huit. Ma chatte est rempli par le gode similaire d’utilisation et de calibre, pour une double pénétration pour me préparer.
Son prépuce glisse le long du gland pour ma sodomie profonde et celui pour ma chatte, avec des va-et-vient. Le gode en érection s’allonge et rétrécit à chaque mouvement de va-et-vient grâce à son enveloppe ultra-souple qui s’étire ou se contracte en suivant les montées et descentes du gode. C’est comme un vrai étalon infatigable qui m’encule et me baise simultanément. Ils mesurent trente-huit par huit et neuf avec sa gaine à picots. Trois chaînettes pendent de la base du gode. Hermine attache une étroite ceinture autour de ma taille, et l'on y accroche les trois chaînettes, une par derrière qui suit le sillon des fesses, et les deux autres par-devant, qui longent le pli des aines en contournant le triangle pubien. Hermine les ajuste au plus court, de façon que le mouvement intérieur des muscles ne peut repousser le gode et permettre de se resserrer à l'anneau de chair qu'il doit forcer et distendre, et on les attache avec de petits cadenas, pour s'assurer que, lorsque je suis seule, pour me soulager de cette contrainte.
- Tu les portes dès ton lever jusqu’au repas de midi et de la tombée du jour jusqu’à l’heure de la nuit, dix heures quotidiennement. Je m’occupe personnellement de les ôter, pour que tu sois enculée par des sexes à chaque fois que ton œillet est libre et baisée comme une pute. Comme pute anale et soumise, tu dois accepter ta sodomie sans te dérober et te faire baiser, dit Hermine.
Je mouille et mon bassin ondule sur ces godes. Je ne sais qui télécommande les godes.
Je remets mon chemisier blanc, sans soutien-gorge, qui met en valeur mes superbes seins, quant à mes aréoles et mes mamelons sont bien visibles, noué dans le dos, dénudant mon nombril. Je remets la jupe s’arrête, sans culotte dessous. Je chausse des mules à talons de douze centimètres à mes pieds nus aux ongles vernis de rouge, tout comme ceux de mes mains. Je garde ma queue-de-cheval.
- Ainsi, tu dois marcher élégamment, ta silhouette est plus élancée, tes chevilles et tes mollets sont tendus, de superbes jambes. Tu marches, en redressant le buste et creusant tes reins. Tu vas faire de petits pas, pour marcher et descendre l’escalier. Tu dois te laisser peloter, caresser, et obéir. Tu te contentes seulement de te laisser caresser. Dis donc, la ceinture et les godes te vont à merveille, sur mesure, dit Olympe.
Mes seins offrent les mamelons constamment tendus, par les glaçons. Le vent frais de l’extérieur sur mes mamelons et mon clitoris me provoquent une excitation énorme. Mes mamelons pointent au maximum tout le temps, vingt quatre heures sur vingt quatre et de même pour mon clitoris. Mon clitoris devient gros comme une cerise, saillant et volumineux comme jamais auparavant, avec les mêmes glaçons. Mes mamelons saillants sont aussi gros et longs. Mes mamelons et mon clitoris sont complètement tendus et très durs au point de me faire vraiment mal et le moindre effleurement même involontaire devient une véritable torture tellement ces endroits sont devenus sensibles. Hermine n’hésite pas à étirer mes mamelons et à masturber mon gros clitoris, tout en caressant ma chatte trempée.
Puis entre dans le bureau de la directrice, une superbe brune aux seins plantureux, 22 ans, dans son uniforme.
- Tiens, Tatiana, voici ta colocataire Pénélope. Elle sera baptisée désormais Shawn. Elle porte le double gode avec la ceinture, pour la déflorer, comme toutes les premières années. Montre à Shawn, ton secret.
Tatiana soulève sa jupe et exhibe un mandrin de quarante par sept.
Mes lèvres osent à peine effleurer la pointe du mandrin, que protége encore sa gaine de douce chair. Le mouvement de ma bouche refermée et resserrée sur le mandrin saisi, et le long duquel je monte et descend, mon visage défait qui s'inonde de larmes chaque fois que le mandrin gonflé me frappe jusqu'au fond de la gorge, repoussant la langue et m’arrachant une nausée. Je guette les gémissements, attentive à le caresser, avec un respect infini et la lenteur que je sais lui plaire. Ma bouche est belle, et Tatiana éjacule dans ma bouche. Je me relève et Tatiana m’embrasse langoureusement, en caressant mon clitoris tendu.
- C’est une novice, mais en éduquant sa bouche, elle fera des merveilles. C’est ta première fellation, tu dois sucer mieux. Je vais t’apprendre.
- Oui, Tatiana, c’est ma première.
- Viens percevoir tes tenues, ma chérie. Je suis en seconde année et tu dois obéissance à tous. Les messieurs, tu regardes uniquement leurs queues.
Il y a un uniforme similaire, plus un tee-shirt dénudant entièrement les seins et le buste pour le sport, une jupe éventail, une grande serviette pour les cheveux et le corps après la douche, une trousse de maquillage. Mais aucune paire de tennis, je dois faire du sport en mules.
Nous rejoignons la chambre au premier étage.
Le parc boisé entoure la pension, qui se trouve à six heures du premier village.
Je me déshabille entièrement, ne gardant que ma ceinture et les chaînettes.
- Tu es sublime, musclée, sexy.
- Tatiana, tu peux me retirer les godes. Je veux que tu me pénètres.
- Doucement, ma belle, c’est Hermine ou Olympe qui décide. Je te prendrais plus tard.
Vers 9 heures, nue, en mules, nous allons au réfectoire au second étage. Je retrouve les autres filles avec la même ceinture et un gode anal uniquement.
Les secondes années ont leur propre table. Je dois assurer le service du petit déjeuner, devant Hermine et Olympe, les surveillants et la gent masculine, qui me toisent.
Je connais un violent orgasme, assise sur mon tabouret. Je tente de me faire silencieuse, mais la vague de plaisir m’irradie.
A la fin du petit déjeuner, je dois rester seule en compagnie d’Olympe et du professeur de sport, Alexandre de Sade, un bel athlète musclé de 55 ans, bien monté, quand je regarde son pantalon de jogging baissé.
- Alors, ma belle pute, on jouit avec les godes. Tu sais que cela mérite une punition. Mais avant, tu vas sucer Alexandre.
J’obéis et je le fais éjaculer en quelques minutes.
- Penche-toi, on doit continuer ton éducation, ma chérie.
Olympe me retire le gode anal, pour que ma chatte reste resserrée.
- Encule-la, elle va prendre son pied, Shawn.
Alexandre enfonce son mandrin de trente-cinq par huit jusqu’aux testicules. Je mouille.
- Son clitoris est bien gros et elle mouille, cette superbe beauté. J’ai hâte de la voir dans mon cours.
Après quelques va-et-vient, il éjacule lors de mon orgasme anal.
- Nettoie-le bien, ma chérie, tu as joui encore, même avec une queue. Tu es en manque, dit Olympe, en m’embrassant sur la bouche.
Accroupie, cuisses écartées, je m’exécute, le gode anal est remis en place, pour tapisser mon anus.
J’avale tout.
Vers 10 heures, je me dirige vers la salle de cours, au rez-de-chaussée, toute nue, sans prendre le temps de m’habiller.
Les professeurs ne se gênent pas pour peloter mes seins aux mamelons tendus, mon gros clitoris et m’embrasser.
Je fais mon maximum pour ne pas jouir jusqu’à midi.
Avant midi, Olympe me fait quitter le cours.
- Alors, on oublie de s’habiller. Tu mérites une punition, mais je serais gentille avec toi. Tu as envie de vraies queues, avoue.
- Oui, Madame…
- Tu es toute trempée. Vas te doucher. Je te fais surveiller par Brice, un bel étalon de 35 ans, bien monté.
Nue, les cheveux libres, dans la grande salle de douches, au premier étage, pour huit personnes, je me douche à l’eau froide. Je me caresse, me fais jouir avec l’éponge, le savon, avant de me rincer.
Les yeux baissés, je regarde sans cesse le mandrin nu de Brice, du trente-six par sept.
Brice me tend une serviette et me susurre :
- Ca va, tu me mates, les yeux baissés. Cet après-midi, je m’occupe de ton oeillet de vierge. Tu vas aimer.
- Je peux te sucer.
- Autorisation accordée, je vais voir ta bouche en action.
Je suis tellement excitée, qu’il éjacule trop vite à son goût.
J’avale tout.
- Penche-toi, cuisses écartées, que je te donne une bonne fessée.
Je jouis lors de chaque claque magistrale sur mes fesses.
Brice passe sa main entre mes cuisses.
- Tu prends du plaisir, tu es une vraie vicieuse.
Hermine arrive.
- Tu viens de fesser Shawn. Elle prend goût. Très bien, je vais la libérer du double gode. Brice, tu vas l’enculer sur le champ et si elle a un orgasme, tu la fesses.
En retirant mes godes, les lèvres de ma chatte humide sont écartelées, mon anus est entrouvert.
- Quel spectacle, tu trouves, Brice. Sa chatte est trempée, son oeillet attend ta queue.
Brice m’encule sans ménagement, m’écartant bien mes fesses brûlantes par les fessées que je subis à nouveau.
- Détends-toi, tu vas bien t’ouvrir. Tu sens comment que je te défonce.
- Oh oui, Brice, défonce ta pute.
Il me fesse magistralement en retour. Je suis au bord de l’orgasme anal.
Il masturbe mon gros clitoris. J’explose.
Il éjacule en moi.
- Reste en elle, elle a joui. Punis-la.
Les fessées redoublent, mais je jouis encore.
Brice se retire et Hermine me loge un bijou d’anus de dix-sept par six me remplit l’anus bien lubrifié d’excitation. Son gland et ses reliefs me font mouiller, me stimulent.
- Habille-toi avec ton tee-shirt et tes mules, on t’attend en salle de sports.
En tenue, je retrouve Alexandre de Sade, entouré d’engins de musculation, pour les cuisses, un vélo d’appartement et des machines à baiser reliées à des appareils, au rez-de-chaussée.
- Monte, sur le vélo, sans ton bijou d’anus.
Je me retrouve empalée et enculée par un gode réaliste comme celui qui m’a enculé avec les chaînettes, immobilisée. Je dois pédaler pendant une bonne demi-heure, enculée sans arrêt. Je connais des orgasmes anaux de plus en plus violents.
Je suis offerte sur un cheval d’arçon avec un double gode réaliste, les fesses cravachées pour mon comportement toute nue. Je connais d’autres orgasmes. Les coups de cravache décuplent mon plaisir anal.
Alexandre m’encule encore, penchée en avant, entrant et sortant de mon anus bien ouvert et humide. Je me retiens de jouir.
Au bout d’une heure, en salle de sport, je suis en sueur, l’anus rempli de spermes chauds, tout comme ma bouche. Je me douche à l’eau froide devant Alexandre, qui me pelote les seins et me masturbe mon gros clitoris tendu. Je porte mon bijou d’anus.
Vers 15 heures, je pense trouver un peu de repos.
C’est le professeur d’éducation sexuelle, Don Sexo Roy, un bel athlète de 40 ans, bien monté, nu, qui m’attend au second étage.
- Voici, la fameuse Shawn, la vicieuse et la pute de la pension, tu as du potentiel.
Il me caresse, ma chatte humide, mes seins dénudés par le tee-shirt, aux mamelons constamment tendus, tout comme mon gros clitoris tendu à l’extrême par l’excitation.
Puis il m’encule, l’anus libre, d’abord à quatre pattes, en me fessant, en m’empalant sur son mandrin de trente-six par huit puis empalée sur lui, assise de face enfin allongés sur le côté, jambes légèrement repliées, il se met dans mon dos de la personne et m’encule, caressant mes seins, ma chatte, en m’enculant lentement. La sodomie est profonde, mon bassin face à son mandrin, mon gros clitoris est masturbé aussi. Je connais un violent orgasme anal tandis qu’il éjacule en moi.
Je le suce et le nettoie, avant une nouvelle douche jouissive, en sa compagnie.
- Tu es une sacrée vicieuse. Rares, sont les pensionnaires, qui connaissent rapidement le plaisir anal.
Il est 17 heures, quand je le quitte, en tee-shirt et jupe éventail et en mules, les cheveux libres.
Hermine me retrouve en direction de la salle de cours du rez-de-chaussée.
- Shawn, tu collectionnes. C’est excellent, mais les coups de cravache réduisent tes points gagnés. Si tu es docile, plus de points à gagner.
Au coucher du soleil, Hermine me remet le double gode, jusqu’à la fin de la soirée.
Je le garde au réfectoire, après ma douche, menottée au pommeau de la douche, enculée et fessée par le surveillant de permanence.
Les commentaires parlent que de moi. Mes compétences sexuelles sont mises en valeur, moi, l’ancienne double vierge, car les autres pensionnaires de première année sont un peu timides au sexe.
Vers 22 heures, après les devoirs faits dans les chambres, Hermine vient me voir.
- Tiens, ma belle, voici tes bracelets et ton collier de cuir, pour la nuit. Tu dors nue, sur les draps, cuisses écartées.
Ils sont faits en plusieurs épaisseurs de cuir, chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt, verrouillés par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement comme un cadenas quand on le referme, et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clé. Dans la partie opposée à la fermeture des bracelets, pris dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donne une prise pour fixer, et qu'on positionne du côté intérieur du poignet. Pour le collier, l'anneau pend devant le cou, reposant sur la saillie des clavicules, et brinquebale au rythme des mouvements de celui qui le porte.
Elle me menotte au lit, les bras écartés, une chaîne fixée à mon collier.
Elle me retire le double gode et juge de mes ouvertures.
- Très bien, les surveillants Eros et Sexos vont s’occuper de toi, sodomie sauvage pour ma belle pute anale. Tu aimes le sexe, tu seras servie. Tatiana, encule-la un peu pour la préparer, maintenant qu’elle est menottée. Ta queue est prête pour son œillet lubrifié.
Tatiana m’encule, avec une telle aisance, que je jouis.
Elle éjacule dans ma bouche. Puis Eros et Sexos nous rejoignent dans la chambre. Toutes les chambres n’ont pas de porte, pour que les surveillants puissent venir pendant la nuit.
Eros et Sexos sont deux superbes jumeaux étalons musclés, bruns, 30 ans, aux mandrins de trente-huit par sept, gainés de picots.
- C’est la fameuse pute Shawn. Quel bijou, c’est une superbe poupée, tout en muscle, bien chaude, dit Eros, que je dois sucer.
- Regarde, comment mon gland la défonce. Elle est bien lubrifiée, dit Sexos.
Il m’encule jusqu’aux testicules, pinçant mes mamelons et jouant avec mon clitoris tendu.
Je fais de mon mieux pour le sucer et jouir.
Il relève ma jambe droite et pose mon mollet sur son épaule gauche, pour mieux m’enculer.
- Tu aimes ça, la belle pute.
- Laisse-la moi, aussi, elle a envie de ma queue, dit Eros.
- Vivement qu’elle soit prête pour des double, dit Sexos. Elle ne dira pas non.
Eros prend le relais et pose mes deux mollets sur ses épaules. Il est agenouillé, je suce Sexos tout en subissant des sodomies profondes et légères. Un orgasme me terrasse et fait éjaculer Eros.
- Tu m’as fait jouir, tu seras punie demain. Tu en veut encore.
Il continue. Je suis en sueur, quand Sexos me prend encore dans la même position.
20 mai
Ce n’est que vers minuit, qu’ils me quittent, après une série de nettoyage de leurs mandrins.
Je dors peu.
En effet, Tatiana, profitant de mon anus ouvert, m’encule encore une fois, tout en m’embrassant sur la bouche, pour étouffer mes râles de plaisir.
Vers 8 heures, je suis libérée de mon lit. Je me douche avec mes carcans de cuir.
Douchée, fardée, les glaçons passés sur mes mamelons et mon clitoris par Tatiana, habillée de mon uniforme, en mules, les cheveux libres, je prend mon petit déjeuner au réfectoire.
Je dois m’empaler, enculée sur un gode réaliste comme ceux du double gode, en relevant ma jupe. Je me retiens de jouir.
Puis Olympe me met le double gode jusqu’à midi. Le rituel reprend avec la gent masculine jusqu’au 25 mai. Je suis cravachée dans la salle de sport, doublement godée.
25 mai
Après une courte nuit de sodomies sauvages par les surveillants et Tatiana, je suis officiellement apte à jouir de ma chatte frustrée.
Je découvre mes premières doubles pénétrations.
Eros se couche sur le dos et je m’empale ma chatte sur lui, tandis que Sexos m’encule simultanément. Je prends beaucoup de plaisir.
Sans ménagement, je m’offre empalée sur Brice qui se trouve sur le dos et j’ouvre bien les jambes pour qu’Alexandre me baise simultanément. Le frottement de mon clitoris tendu à l’extrême contre le pubis qu’Alexandre qui me baise, me provoque une vague de plaisir comme à la première double pénétration.
Enfin, le summum, je m’empale la chatte, sur Don qui me prend dans ses bras, je l’entoure de mes jambes et Tatiana qui me soutient aussi, m’encule simultanément.
J’explose sous les orgasmes, tellement mon clitoris est sollicité.
L’action est renouvelée pour un total de six double pénétrations, qui me ravit. Je n’ai pris autant de plaisir. Je suis exténuée, ma chatte et mon anus sont encore bien ouverts, débordant de flots de spermes.
Les autres pensionnaires échouent.
Je porte désormais ma bague sertie d’un petit anneau à mon annulaire gauche, faite sur mesure et une autre bague au majeur droit, relié au poignet par une chaînette très fine, sous mon bracelet de mon poignet droit. Je dois les porter quotidiennement pour me faire reconnaître.
28 mai
Je connais aussi ma première saillie anale canine.
Le berger allemand Adam me lèche la chatte et mon clitoris, pour me lubrifier. Sa langue a de puissants muscles qu'il peut utiliser beaucoup plus longtemps sans être fatigué. La langue d'un chien, est plutôt grosse, fine mais large et longue et extrêmement flexible. Elle est râpeuse entre mes lèvres de ma chatte que Hermine écarte pour lui, après menottée mes mains dans mon dos.
- Prosterne-toi pour que Adam te prenne, bien chaude, ma belle chienne, annonce Olympe.
Je suis baisée et enculée par Adam. Je gémis un peu, mais le plaisir anal est plus fort sous les coups de reins du superbe berger allemand.
Après quelques nouvelles saillies anales, avec le nœud. Cette situation avec le nœud m’écartèle davantage, mais Adam le fait en douceur.
En une heure, je connais de nombreux orgasmes anaux, plus violents qu’en compagnie des hommes. Mon anus est un peu douloureux par la grosseur du nœud, mais je m’habitue.
Plus tard, un colley m’encule, lorsque je me mets à quatre pattes, bien cambrée. Je suis sous l’effet d’une vague d’orgasmes anaux de plus en plus violents, longuement inondée de son sperme chaud.
Je connais un violent orgasme lorsque le colley me baise vigoureusement, attaché par son nœud dans ma chatte. L’attache dure trois quart d’heure, avec une longue éjaculation. Je redresse mes jambes, je les passe par-dessus le dos du chien, et je m'agrippe à lui, les mollets croisés sur ses reins, jusqu'à me coller étroitement sous lui.
Ce sont les chiens du chenil assurant la sécurité du pensionnat. J’y prends goût, entre deux sodomies par la gent masculine.
Je gagne de précieux points, doublement ouverte.
Hermine et Olympe m’invitent à me comporter comme une chienne, en suçant mes amants canins.
Des photos et des vidéos de moi circulent, sur mes exploits sexuels.
Je passe la grande partie de la journée, nue, en mules, dans les cours et dans ma chambre, accompagnée d’un amant canin.
Je découvre aussi une scène qui m’excite.
Dans un 69, Eros et Sexos s’offrent, se suçant mutuellement. Bien dur, Eros encule Sexos, que suce Tatiana. Je me masturbe nue devant le spectacle, en retardant mon orgasme, mon gros clitoris désormais percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse.
Hermine me surprend :
- Tu aimes que deux hommes font l’amour entre eux. C’est ton côté lesbien qui ressort. Tu es toute humide. Va sucer ton amant, l’un d’eux t’enculera aussi.
J’obéis et je me retrouve prise en double pénétration, enculée par Sexos, baisée par Tatiana, suçant Eros. Nous jouissons simultanément, nos anus sont inondés de spermes, que je nettoie à tour de rôle. Je suis toute excitée.
Bien sûr, les trois m’enculent ensuite, me fessant, empalée jusqu’aux testicules, puis Adam et le colley m’achèvent, enculée.
Je dors peu, submergée par le plaisir anal, toujours menottée à mon lit, cuisses écartées, la chatte et le clitoris livrés à mes amants canins.
26 juin
Cela fait un mois que je suis au pensionnat, en première année. Hermine souhaite me mettre en seconde année, pour mes compétences sexuelles, ma docilité et ma soumission.
Vers 8 heures, Eros et Sexos sont connus dans le milieu du porno amateur et de la prostitution sadomasochiste au sexe hard et sans limites et m’annoncent dans ma chambre, je suis encore menottée, nue, cuisses écartées, l’anus dégoulinant de spermes canins et humains, sans Tatiana :
- Tu aimes le sexe, Shawn. Il y a un casting organisé non loin de là. On connaît le producteur et le photographe. Surtout, il y a un superbe étalon Africain qui supervise le casting. Attention, du sexe torride, avec cravache, plaisir anal et autres désirs sexuels suivant les clients exigeants.
- Je serais payée si je suis retenue.
- Bien sûr, tu te fais belle, ongles des mains et pieds vernis en rouge et tu mets une tenue sexy, avec tes mules, les cheveux libres, telle une séductrice.
Je me douche longuement, libérée, sans mes carcans de cuir, me fait un lavement anal, me farde, me parfume. Je choisis une robe courte fuchsia sur mon corps nu avec mes mules.
Vers 10 heures, Eros et Sexos m’attendent avec Olympe et Hermine.
- Séduisante, la belle Shawn, tu as toutes tes chances, ton statut de première t’autorise une longue permission de sortie, dit Olympe.
Nous prenons une BMW cabriolet. Je dois m’asseoir, la jupe relevée, à côté d’Eros qui conduit. Je mouille.
Nous rejoignons par une route forestière, le long de l’enceinte du pensionnat, puis la forêt jusqu’à une villa hautement sécurisée, avec des caméras, des maîtres-chiens et des gardes montés.
Il est marqué sur la plaque du portail : Domaine des Biches – Production Réalisation Casting Maître D de Sade
Je suis intriguée. Je ne peux plus reculer.
Les deux hommes me déposent devant l’entrée dans l’allée en gravier.
Je descends seule, avec mes papiers médicaux sur ma double non virginité.
Un superbe étalon brun, un peu plus grand que moi, en homme d’affaires, âgé de 45 ans, me toise.
- Selon moi, je te donne 20/20, sexy, joli visage, jolie bouche bien dressée, petits seins mis en valeur par ta robe, superbes fesses musclées et surtout si tu es aussi docile qu’au pensionnat, on peut s’entendre. C’est toi la pute du pensionnat, tu collectionnes les professeurs et les surveillants. Moi, c’est Pilon X.
Je n’ose répliquer.
Il me fait entrer au salon, recouvert de marbre. Il y a le producteur, un beau brun, de 55 ans, nu, se masturbant, le photographe, un blond, de 47 ans, nu, aussi et le fameux étalon Africain, 25 ans, nu aussi, une superbe brune nue, de 20 ans, intégralement épilée, se fait fouetter, menottée au chevalet. Les pinces emprisonnent ses mamelons constamment tendus. Les clochettes tintent au moindre mouvement. La clochette en métal fixée par un anneau s'anime au moindre mouvement, émettant un tintement cristallin. Ses seins doivent être sensibilisés. Des dents minuscules mordent mes mamelons. Ses seins tombent sous le poids des pinces, ses mamelons deviennent froids. Elle est immobilisée, nue, dans cette posture dégradante, le postérieur plus haut que la tête. Ses bras sont fixés le long des pieds avants, mes jambes le long des pieds arrières, et une large sangle m'est passée au niveau de la taille. Ses cuisses, légèrement fléchies sont empêchées de se resserrer par la largeur de la poutre, ainsi d'ailleurs mes fesses que je me peut refermer. Toute son intimité est ainsi très accessible. Sa chatte rasée et percée à chacune de ses petites lèvres et de mes grandes lèvres, de petits anneaux dorés pour la faire reconnaître.
- C’est Anal Beauté, qui se fait fouetter. On lui fouetter les seins avec ses clochettes. Regarde bien, dit Pilon X. Puis Jason va l’enculer ensuite et elle va sucer Sven. Tu sembles bien intéressée par le sujet. Tu dois mouiller. Déshabille-toi, ne fais pas ta timide.
Nue, en mules, les mains de Pilon X pelotent en alternance mes seins aux mamelons constamment tendus et ma chatte humide et mon gros clitoris. Anal Beauté gémit puis jouit. Je suis au bord de l’orgasme, quand l’étalon Africain, Jason, doté d’un mandrin de quarante par huit l’encule et elle suce Sven, doté d’un mandrin de trente par six.
- Retiens-toi un peu, tu es toute excitée, soumise S.
Je ne prête pas attention à la voix de Pilon X, mais à la scène en direct.
Au bout d’un quart d’heure, Anal Beauté avale le sperme dans sa bouche et Jason éjacule et finit par quelques gouttes de spermes sur les fesses zébrées.
Anal Beauté est pantelante, en sueur.
Une Ferrari F8 stationne peu après le départ d’Eros et de Sexos vers le pensionnat.
Un élégant homme d’affaires Nord Africain en descend, escorté par deux gardes du corps avec un superbe doberman et un superbe malinois.
- Maître K, voici la nouvelle pute, soumise S, elle a beaucoup appréciée la scène d’Anal Beauté.
Je baisse inconsciemment les yeux baissés, la bouche ouverte, comme me l’a apprise Olympe. Il bande sous son pantalon.
- C’est toi, la nouvelle pute du pensionnat, tu aimes le sexe et le SM. Tu es au bon endroit. Tu me plais. On va faire un essais avec elle, en solo, puis si Jason veut la prendre, elle se donne à lui, Sven peut aussi et surtout Maître D, pour voir son niveau de docilité. Son maquillage est parfait, elle doit garder sa toison pubienne et sa chatte velue, j’ai des clients intéressés. Mais elle portera en plus de ses bagues, un anneau à son gros clitoris tendu et des anneaux à ses grandes lèvres, pour les besoins du contrat. Tu regardes Hadès mon doberman et Conan mon malinois. Ils sont là pour aussi, tu es une chienne du désir.
Je suis conduite, avec mes carcans de cuir remis en place, coiffée d’une queue-de-cheval, à la place d’Anal Beauté, sans le chevalet, qui sera pour plus tard.
Je prends des poses érotiques, écartant bien mes fesses, me masturbant jusqu’à l’orgasme.
Au bout d’un quart d’heure, je suis chaude, sans compter les caresses de Pilon X.
- Allez, ma vicieuse, tu vas sucer Jason et Pilon X à tour de rôle, sans les mains, ma belle. Jason, tu l’encules jusqu’aux testicules, cette pute, annonce Maître D.
- Bien, elle me plait, son œillet s’ouvre déjà, dit Jason.
Pilon X m’exhibe son mandrin de trente-six par huit. Je m’applique, accroupie, cuisses écartées, sans les mains.
Ma chatte dégouline de mouille abondante, qui tombe dans une coupelle.
Dès que Jason est bien dur, il annonce :
- Elle peut se soulager dans la coupelle. Elle doit le faire dans la coupelle, qu’elle va boire, docile, dit Pilon X.
Je m’exécute et je bois sans perdre une goutte.
Jason m’encule sur le champ, mains menottées dans le dos, prosternée, cuisses écartées. Il me fesse magistralement, ce qui décuple mon plaisir anal. Je jouis, la bouche bâillonnée par le sexe d’Hadès.
- Elle aime ça, cette chienne, sucer et enculer. Son bassin ondule, elle va avoir un orgasme, je me retire et je vais lui éjaculer sur ses fesses brûlantes, à cette chienne.
Je sens le sperme chaud sur mes fesses.
Anal Beauté me regarde, entre Maître K et Maître D, caressée par leurs mains.
Sven m’encule aussitôt, l’anus bien ouvert, puis avant mon orgasme anal, Hadès prend le relais et m’encule. En trois quart d’heure de saillies anales canines, je connais trois orgasmes anaux violents, largement inondée, suçant Jason et Sven.
- C’est bon coupé, tout est dans la boîte. Soumise S est une chienne est le nom de l’essais, annonce Maître D, le producteur.
Je suis à moitié évanouie, par la violence des orgasmes anaux avec Hadès.
On m’aide à me relever.
On me met une laisse à mon collier. Je remets mes mules, les mains menottées dans le dos. Je porte un gros bijou d’anus moulé sur l’avant du sexe d’Hadès, pour me garder ouverte. Cela m’excite.
- Dan va la maquiller, puis on s’occupe de son gros clitoris et de sa chatte humide, dit Maître K. Hadès a fait un excellent travail avec cette superbe chienne.
Maquillée, par Dan, un superbe transsexuel brun, aux petits seins, nu, avec un mandrin de trente-deux par huit.
- Suce, ma chérie, pendant qu’on s’occupe de ton gros clitoris et de ta chatte.
En effet, je ressens une légère douleur lors du perçage et de la pose des anneaux dorés.
Mon gros clitoris est percé d’un anneau doré avec une pierre précieuse et chacune de mes grandes lèvres portent un anneau doré qui se perd dans mes poils bruns.
Dan éjacule dans ma bouche.
- Viens ma belle, tu vas découvrir ta chambre. Tu es la star du film « Chienne et Pute ». Tu vas aimer, annonce Maître K.
Tenue en laisse, en mules, nue, les deux anneaux de mes bracelets sont glissés l’un dans l’autre, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou.
- Comme ça, tu ne seras pas tentée de te masturber ta chatte brûlante.
Je monte l’escalier en marbre avec grâce, faisant claquer mes mules.
La chambre est près de l’escalier. Elle est entièrement recouverte de miroirs et de glaces tout comme la grande salle de bains avec douche, baignoire, bidet, urinoir masculin et une coiffeuse avec un tabouret muni d’un gode anal réaliste, avec tout le matériel de maquillage comme au pensionnat. Un grand miroir d’un seul tenant est à côté de la coiffeuse, où je me découvre, cuisses écartées, l’anneau doré de mon clitoris brille avec mes anneaux à ma chatte.
- Tu aimes, les draps sont en satin. Tu dors menottée, cuisses écartées. Il n’y a pas de porte, pour que quiconque vienne s’occuper de toi. Tu es menottée, bras tendus, lors de ta douche ou ton bain. Tu es cravachée si tu commets une faute, ma belle chienne. Tu aimes que je t’appelle chienne ou pute, Shawn, annonce Maître K.
- Je ne sais pas.
- Ne fais pas ta timide. Je suis sûr que tu te sens chienne. Tu es très belle avec tes anneaux et tes bagues, une vraie princesse SM. Il est midi, on va te porter à manger et à boire, tu as faim. Cet après-midi, Maître D te fait signer ton contrat et on te présente tes partenaires.
Je suis douchée à l’eau froide, les bras tendus, menottée à un crochet, sur la pointe des pieds, cuisses écartées. Maître K me passe l’éponge sur mon corps, tout en m’embrassant langoureusement sur la bouche. Je garde les yeux baissés et me retiens de jouir.
Il retire le bijou d’anus et m’insère une canule pour me rincer à l’eau froide mon anus. Je jouis.
Il me menotte, mains jointes à mon collier, sur mon lit. Dan me nourrit et me fait boire divers mélanges avec des stimulants sexuels, mes mamelons et mon gros clitoris sont tendus à l’extrême, mais je jouis sous la douleur endurée.
Dan m’encule, en retour. Je m’abandonne à son mandrin, je me retiens de jouir.
- Que tu es belle, dans le plaisir, ma chienne.
- Oui, prends-moi à fond.
- Silence, ma chienne, sinon je te fesse.
Silencieuse, je me laisse enculer.
Vers 14 heures, Dan me farde et je descends, nue et en mules, l’anus libre.
Je suis menottée au chevalet, avec des clochettes à mes mamelons et à mes grandes lèvres de ma chatte, humide, subissant par les six hommes cagoulés et nus, dix coups de cravache, dix coups de garcette et dix coups de chicotte par chacun sur mes fesses, mes cuisses et mes reins, je mouille et je remplis la coupelle de ma mouille que je bois dès qu’elle est bien pleine.
Puis chacun m’encule, je suis toujours menottée au chevalet. Les clochettes tintent à chaque coup de rein. Ils éjaculent soit dans mon anus soit dans ma bouche et j’avale tout.
Vers 16 heures, libérée, je suis offerte en double pénétration canine, une première pour moi.
La chatte remplie jusqu’au nœud par Conan et enculée sans le nœud par Hadès, je connais de violents orgasmes. Je m’évanouis, mais doublement inondée de leurs spermes chauds.
Je suce mes amants canins, dès que j’ai repris mes esprits, devant mes Maîtres qui sont comblés. Je le suce aussi et j’avale tout.
Je signe mon contrat, épuisée.
Vers 18 heures, après un ultime maquillage, une douche jouissive, masturbée par Maître D, je peux me reposer, menottée au chevalet, sans pénétration ni fellation, juste fouettée selon les envies des partenaires.
Vers 21 heures, je suis invitée à manger, empalée, enculée, assise entre les cuisses du partenaire numéro 6, Jason. Je suis aux anges, le clitoris et la chatte livrés aux langues de Conan et d’Hadès.
Jason éjacule en moi et je le suce en retour, enculée par Hadès, offerte à quatre pattes, cambrée, telle une chienne.
Les autres m’enculent dans ma chambre, prosternée, sur le lit, cuisses écartées, sauvagement, me fessant, menottée par mon collier.
Je dors peu, car Conan m’encule pendant la nuit. Je m’offre à lui, dans la position désirée.
27 juin
Vers 3 heures du matin, Maître K vient me voir, j’émerge d’une longue saillie anale canine.
- Ma chérie, les chiffres de visionnage de ton essais et de ton tournage d’hier, explosent. De riches clients commandent tes scènes, adorateurs de ton côté naturel et de ta docilité.
Profitant de mon anus ouvert et lubrifié, il m’encule avec une telle vigueur, que je le fais éjaculer rapidement, il me fesse.
- Ce n’est pas grave, tu es excitée, ma belle chienne. Repose-toi un peu. Suce-moi et avale tout.
Vers 9 heures, j’émerge, en sueur. Dan vient me doucher, me farder et me pare d’une guêpière seins nus de nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, qu’un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserrait à volonté. Elle est lacée étroitement. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
J’enfile une robe au corsage échancré en trapèze, de la base du cou jusqu'à la pointe et sur toute la largeur des seins, qui est d'une seule pièce, et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant suivre ainsi la ligne du buste. Elle est grande ouverte par derrière, dénudant entièrement mes fesses, mes jambes nues. Je garde mes mules et ma queue-de-cheval de soumise.
- La belle chienne est prête, dit Maître K. Je vais te masquer les yeux, assise cuisses écartées, dans ma Ferrari, nous allons te présenter.
J’accepte. Sur le siège passager, je me laisse peloter mes seins nus exhibés, mon clitoris par une fente sur le devant, je me retiens de jouir.
Nous allons au chenil qui garde la villa.
Je suis rapidement, menottée, aveugle, sur une de table basse réglable par plusieurs manivelles, j'ai la chatte trempée, dégoulinante et mon anus bien ouvert et lubrifié. Je suis filmée et photographiée pour mes saillies. Je suis allongée sur le ventre, cuisses bien écartées.
Directement, un premier chien m’encule, c’est le doberman Hadès, pendant une bonne demi-heure attaché à moi, puis un sexe humain, le berger allemand Adam, le malinois Conan, chacun pendant trois quart d’heure attachés à moi et enfin un sexe humain.
Pantelante, on marque une pause.
Je découvre mes amants canins, Adam, Hadès et Conan, puis le colley, le dogue allemand et un poney pour me baiser.
Le colley me baise et m’encule, entre la saillie anale du dogue allemand, un imposant sexe pour m’écarteler l’anus.
Le sexe du poney de vingt-quatre par sept me remplit la chatte bien lubrifiée aux lèvres bien entrouvertes et me fait jouir, je ne maîtrise mon orgasme. Le poney donne des coups de reins, tandis que son sexe grossit dans ma chatte. C’est mieux qu’un homme. Je fais de mon mieux pour sucer les amants canins.
Le poney éjacule en moi et je jouis encore.
Je suis pantelante, par mes saillies.
Je me repose, libérée. Maître K est fier de moi.
Pour la première fois depuis la pose de mes anneaux à mes lèvres de ma chatte, je suis baisée par Maître D, ma chatte est bien lubrifiée par le sperme équin.
- Quelle sacrée pute chevaline, tu fait, Shawn.
Je me retiens de jouir. Il éjacule dans ma bouche.
Je suis nourrie et je me repose l’après-midi, menottée à mon lit.
Vers 19 heures, Maître K m’offre à une jeune soumise de mon âge, Svetlana Lesbos, aux reins tatoués Sapho Désir, aux petits seins, intégralement épilée, aux cheveux courts blonds à la garçonne, doublement vierge et adepte des masturbations et des godes.
- Tu dois la faire jouir et la préparer pour ce soir. Elle sera soumise à tes désirs, ma belle Shawn. Tu seras sa Maîtresse.
- J’accepte, Maître K, toutes vos exigences.
- Tu as bien joui avec tes amants ce matin. Donc, tu es récompensée. Tes vidéos se vendent bien, il y a de nouveaux clients intéressés par tes plaisirs sexuels. Je reste à t’observer. Si Svetlana se refuse à toi, tu peux la fesser et la cravacher.
- Bien, Maître, tu seras fier de moi.
Les ébats lesbiens commencent. Elle a sa chatte déjà lubrifiée et j’enfonce mes doigts avec aisance, son gros clitoris est tendu tout comme le mien, dans un 69 torride. Elle me lèche la chatte percée et le clitoris percé. Nous avons des orgasmes simultanés.
Mais Svetlana refuse que je lui doigte son anus encore vierge.
Hadès observe aussi, pour me prendre aussi.
Vers 21 heures, Svetlana commence à me chauffer par certains plaisirs auxquels je la destine.
- Toi, la pute, tu arrêtes de me doigter mon œillet. Je te laisse t’occuper de ma chatte et de mon clitoris.
- Shawn, tu as des problèmes avec cette gouine, mal baisée.
- Oui, Maître, prenez-la, je suis à bout.
Maître K lui met ses carcans de cuir, la douche rapidement à l’eau froide et la conduit au salon, pour la punir.
- Enfile cette tenue, Shawn, c’est ton tour.
Je deviens Maîtresse des Sévices, avec guêpière seins nus en cuir, boléro assorti fermé au cou, des cuissardes à talons de douze centimètres, la cagoule laissant juste visible mes yeux et ma bouche, coiffée d’une queue-de-cheval et tenant en main, la cravache et le martinet offerts par Maître K. Maître K me retire mes carcans de cuir.
Je dois enfiler un gode-ceinture avec double gode réaliste, muni d’un gode anal interne moulé sur le sexe d’Hadès, pour me faire jouir. C’est divin.
Menottée au chevalet, Svetlana gémis, tout en suçant les hommes cagoulés, sous la cravache, la garcette et la chicotte que chacun manie avec dextérité.
Je prends le relais avec mon double gode.
- Prends la en double pénétration, cette chienne de Svetlana.
Après quelques va-et-vient, j’arrive à la faire jouir un peu, mais moi aussi je jouis, le gode anal coulisse en moi à chacun de mes coup de reins. Je connais un violent orgasme anal. Je cravache les fesses et je donne des coups de martinet sur les seins aux mamelons pincés par des clochettes qui tintent.
- Non, arrête, tu me fais mal. Retire-toi, pute ou pervers, gémit Svetlana.
Je suis en sueur. Je bois pour me rafraîchir. Dan me refait mon maquillage. Je retire mon gode ceinture et je me mets à quatre pattes dans le salon, attendant mon heure de sodomie.
Je m’attends à Hadès, mais c’est le poney Marquis qui m’encule. Je gémis un peu, le sexe de Marquis s’enfonce en douceur. Son gros sexe me remplit sur quinze centimètres, je prends du plaisir anal enfin. Je jouis.
Je coulisse empalée sur lui et il me donne des coups de reins en retour.
Il se retire, une fois vidé en moi. Je le suce en retour.
Svetlana continue son dressage, offerte à trois des hommes cagoulés simultanément, un l’encule, un la baise et le dernier elle le suce. Cela se répète jusqu’à l’aube, pour le tournage de la scène qui la concerne. Je me masturbe la chatte et le clitoris, tout excitée, avec mon bijou d’anus conservant le sperme de Marquis.
J’ai droit à deux jours de repos, bien mérité, baisée uniquement par mes amants canins et Marquis, pour reposer mon anus trop sensible. Svetlana continue son dressage et son clitoris est percé et elle est marquée au fer rouge sur les fesses M et K en lettres gothiques et caractères cyrilliques. Elle apprend à mieux parler lors de ses scènes.
1er juillet
Après une nouvelle journée de baise, je tourne à nouveau.
J’ai juste rasée ma chatte pour des scènes plus torrides avec Dan, pour le film.
Avec Dan, les scènes de baise et de sodomie se déroulent le matin, et l’après-midi, ce sont des scènes de saillies anales avec mes amants canins. Je suis une vraie vicieuse.
Vers 20 heures, pour le final, c’est double pénétration et ma première double anale, qui me fait provoquer un violent orgasme anal, comme jamais auparavant et je découvre aussi que mon anus peut recevoir, bien préparé le poignet de Maître D, après une préparation avec un écarteur anal. Je suis comblée. Mon anus se referme normalement après cette sodomie particulière.
Olympe, Hermine, Eros et Sexos viennent me voir au tournage.
Vers 22 heures, je peux retourner au pensionnat, avec des compétences sexuelles reconnues.
Je suis admise en seconde année dès mon arrivée.
Tatiana me conduit de l’autre côté de l’étage des chambres. La tenue est un corset blanc seins nus, une jupe éventail fuchsia et des sandales à talons de quinze centimètres, avec queue-de-cheval de rigueur, fardée et parfumée. Le sport se fait nue, tout comme les activités nocturnes dans les chambres et dans la salle de surveillance des devoirs.
J’ai droit à ma douche personnelle. J’ai profite pour me masturber devant Tatiana qui est ma voisine de chambre.
Je suis aussi sous la surveillance de Comtesse V, un transsexuel brun aux seins plantureux, doté d’un mandrin de trente-cinq par huit, et de Gwendoline, une superbe rousse aux petits seins, un transsexuel récemment opéré. Tous les deux viennent me voir, pour mon installation.
- Tiens, la nouvelle vicieuse, Shawn ou Pénélope. Le tournage SM l’a bien chauffée, elle est toute resplendissante, dit Comtesse V, en masturbant son mandrin que je fixe, les yeux baissés.
- Tu préfères lécher ma chatte, ma belle chienne Shawn. Tu hésites, tu mouilles déjà.
J’hésite.
Tatiana intervient :
- Laissez-la prendre ses marques. Elle a passé des journées à se faire jouir et à faire jouir les autres.
- Oui, je déciderai plus tard.
Je connais un violent orgasme en masturbant mon gros clitoris, tout en doigtant ma chatte et mon anus.
Je reprends mes esprits, que je sens le mandrin de Comtesse V qui m’encule, tandis que je suis contrainte de lécher Gwendoline, nue sur mon lit.
- Elle aime ça, elle est bien élargie.
- Sa chatte a bon goût de mouille. Lèche-moi au lieu de jouir, enculée.
Je ne sais comment réagir.
C’est après deux sodomies sauvages par Comtesse V, qui éjacule en moi, que je suis libérée, à moitié évanouie.
Tatiana m’enlace en m’embrassant langoureusement sur la bouche.
- Tatiana, pourquoi tu les a laissé faire. Je suis très fatiguée.
- Désolé, je ne peux désobéir aux deux, c’est comme Olympe et Hermine. Tu dois leur obéir.
Je comprends.
Je m’endors profondément.
3 juillet
Vers 7 heures, j’ai droit à l’inspection de ma chambre par Olympe. Je suis toute nue, douchée et fardée, non habillée.
- Alors, Comtesse V et Gwendoline t’ont dressée, ma belle Shawn.
- Oui, Olympe, je suis leur soumise.
- Au fait, Maître K t’a offert un cadeau pour ton film « Chienne et Pute, Maîtresse des Sévices avec Sapho Désir en bonus ». Tu as reçu une belle somme sur ton compte personnel bancaire du pensionnat.
- Je peux que l’accepter. Que deviennent les acteurs qui m’ont fait jouir et les amants canins ?
- Tu es très intéressée. Une scène bonus est prévue au pensionnat. Viens, mets juste tes sandales et coiffée de ta queue-de-cheval.
Nous descendons l’escalier de marbre du premier étage vers le rez-de-chaussée, dans l’allée menant du portail gardé, une Ferrari F40 arrive, escorté par de superbes étalons en motos. Je descends avec grâce, malgré la hauteur des talons.
C’est Maître D, en personne, avec Anal Beauté à ses côtés.
Maître D m’annonce :
- Voici les clés de ta voiture personnelle, fais attention avec.
Il m’embrasse langoureusement sur la bouche, pendant un long moment, la main entre mes cuisses humides, mes seins sont pelotés par Anal Beauté. Je suis au bord de l’orgasme.
- Tu es très en beauté et excitée de ton cadeau, ma belle Shawn.
Je n’ose répondre.
- Regarde-moi, tu l’aimes.
- Oui, Maître, je suis ta chienne. Prends-moi, en le fixant dans les yeux, craignant d’être punie.
- J’adore quand tu es adorable. Les autres filles vont t’envier, mais tu envies les hommes, les femmes, les chiens et les autres étalons, ma chérie.
Allongée sur le capot, je suis longuement enculée, les jambes écartées, tenue par les chevilles jusqu’à l’orgasme anal, mon pubis recouvert de son sperme. Je le suce, avant son départ.
- Tu te comportes comme une vraie professionnelle anale.
Il repart avec Anal Beauté, dans une limousine, escortée par les motards.
J’admire ma voiture, sous toutes les coutures. La gent masculine ne se gêne pas pour m’observer aussi, assise, cuisses écartées, debout, penchée en avant et apprenant à conduire, avec Olympe, dans la route intérieure du pensionnat. Je me comporte docilement avec.
Lors d’une halte, Olympe me fait jouir, doigtée et léchée. Je suis aussi sa chienne et sa pute. Je suis une excellente élève et qui dépasse sa Maîtresse. Je ne porte pas mon bijou d‘anus depuis mon départ de la chambre.
Vers 9 heures, alors que je gare la Ferrari F40 à côté de la BMW cabriolet d’Eros et de Sexos, je sens une langue sur mon clitoris. C’est le dogue allemand Lancelot, qui me désire.
Je prends une position plus confortable. Olympe m’a bien lubrifié l’anus, lorsque je suis enculée jusqu’au nœud par Lancelot et je ne peux retenir ma série d’orgasmes anaux de plus en plus violents, suivis d’une longue éjaculation. Je le suce en retour.
Olympe m’insère mon bijou d’anus pour que je garde son sperme au chaud.
Je me douche rapidement, fardée, parfumée, je pars en cours.
Adam m’attend dans la salle, c’est mon garde du corps.
Entre les pauses entre les cours, Adam m’encule ou me baise selon ses envies. Je suis très chaude.
Vers 20 heures, l’équipage de tournage vient réaliser une orgie anale avec moi, mes transsexuelles de seconde année, quelques amants canins et des acteurs.
Le tournage dure jusqu’à l’aube. Je ne compte plus mes orgasmes, sodomie, double pénétration, double anale, saillies. Je finis en sueur, recouverte de spermes, de pisses et évanouie, les hanches douloureuses de mes ébats.
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